La «Bronchiolite» BAAVN
|
|
- Louis Julien
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La «Bronchiolite» BAAVN Pr Michael Fayon Hôpital Pellegrin-Enfants, CHU de Bordeaux
2
3
4
5 Objectifs Aspects cliniques Epidémiologie Physiopathologie Prise en charge
6 Présentation clinique En période épidémique (mais pas toujours) NRS < 2 ans Atteinte ORL Toux, dyspnée obstructive, polypnée, tirage, surdistension thoracique, wheezing expiratoires, râles sibilants + crépitants à prédominance inspiratoire Premier épisode (voire le 2ème épisode)
7 Définition Conférence de consensus Prise en charge de la bronchiolite du nourrisson 21 septembre 2000 Le terme de bronchiolite aiguë englobe l ensemble des bronchopathies obstructives liées le plus souvent au virus respiratoire syncytial humain (VRS). Elles surviennent en période épidémique chez les nourrissons de 1 mois à 2 ans. Les recommandations qui suivent sont limitées au premier épisode de bronchiolite aiguë.
8 Définition
9 Epidémiologie Cause la plus fréquente d infection des VRI de l enfant dans le monde A 3 ans, pratiquement tous les enfants ont déjà eu la bronchiolite Rôle majeur dans l asthme et la BPCO de l enfant Potentiellement grave sur terrain fragilisé Transmission inter-humaine via un contact avec des sécrétions respiratoires
10 Bronchioles normales
11 BAAVN
12 Autres aspects cliniques Apnées, malaise grave du NRS, MSN Alvéolite isolée Fausses routes Troubles alimentaires Fièvre inconstante, modérée
13
14 Epidémiologie
15 Épidémiologie virale au CHU de Caen J Brouard, Caen
16 Epidémiologie VRS (A & B) % Parainfluenzae % Influenzae A & B, adénovirus, rhinovirus Autres France métroplitaine : % des NRS CHU de Bordeaux : environ 500 cas / an
17 Mode de contamination VRS Réservoir strictement humain Transmission directe ou indirecte sécrétions contaminées, contacts étroits, matériel contaminé Survie VRS 30 min sur les vêtements 1h30 sur des gants 7h sur les surfaces non-poreuses
18 Mode de contamination... Pénétration par voie nasale Incubation 2 à 8 j Excrétion 2 semaines (jusqu à 4 s) Contagiosité avant les SC, et se maintient 1 à 2 s L immunité n est pas durable (taux maximal d Ac en 3 à 4 semaines)
19 Explorations : Pas d examens complémentaires systématiques SpO2 : meilleur predicteur de gravité Gaz du sang : PCO2 RxP de face surdistension, épaississement bronchique, + opacités alvéolaires, + EGIT Aucune corrélation radiologique <=> clinique Recherche virologique : non systématique atypique grave terrain fragile.
20
21
22 Diagnostics différentiels Myocardiopathie virale / Insuffisance cardiaque +++ Hépatomégalie Reflux hépato-jugulaire / Distension des jugulaires Bruit de galop Cardiomégalie (RP) Asthme du NRS
23 Dyspnée du nourrisson de moins de 3 mois - Pr Michael FAYON - Pneumologie pédiatrique, Hôpital Pellegrin-Enfants, CHU de Bordeaux, Bordeaux Cedex, FRANCE Société Pédiatrique de Pneumologie et Allergologie, Interrogatoire (1) (Anamnèse ante-, per- et post-natale) Examen clinique (2) Inspiratoire (3) (Radio tissus mous du cou, NasoFibroscopie)* Nasale Rhinopharyngite hypersécrétante Hypoplasie/Atrésie partielle des choanes Pharyngée Sd de Pierre Robin Laryngée Laryngomalacie Angiome sous-glottique Paralysie des CV Kystes Infections (2) Dyspnée bruyante (obstructive) Signes de lutte Aux 2 temps (3) (RT, TOGD)* Trachéale Trachéomalacie (I ou II, cardiopathie, double arc Ao, atrésie de l œsophage) Malformations (sténose bronchique, kyste bronchogénique) Compression extrinèque (malformation adénopathie) Anomalie endobronchique (tuberculose) Expiratoire (3) (RT)* Bronchique DBP Bronchomalacie Malformations Fausses Routes Bronchiolaire BAAVN Bronchiolite oblitérante Tachypnée Signes de lutte + Alvéolaire (RT)* Infections, avec ou sans déficit immunitaire (materno-fœtales tardives, virales (aiguë ou séquellaire)) Pneumopathies interstitielles Anomalie de développement pulmonaire (MAKP, ELC, séquestration, hypoplasie) DBP Fausses routes Dyskinésie ciliaire primitive Mucoviscidose Cardiaque (Echo)* Cardiopathie Congénitale Cardiomyopathie Troubles du rythme Sd de Cimeterre Pariétale (RT, Echo)* Paralysie diaphragmatique/eventration Hernie Diaphragmatique Congénitale Chylothorax Pneumothorax Maladie Neuro-Musculaire (4) Dyspnée Sans signes de lutte (Sine materia) (Biologie, Echo transfontanellaire /cardiaque)* Acidose métabolique Anémie Collapsus SNC CV : cordes vocales. BAAVN : Bronchio-alvéolite aiguë virale du nourrisson. DBP : dysplasie broncho-pulmonaire. ELC : Emphysème lobaire Congénital. MAKP : Malformation adéninoïde kystique pulmonaire. Sd : syndrome. SNC : système nerveux central. * Examens initiaux (RT : radio thoracique, TOGD : Transit oeso-gastro-duodénal, TDM : tomodensitométrie thoracique)
24 TRAITEMENT Conférence de consensus Prise en charge de la bronchiolite du NRS 21 septembre 2000
25 PRISE EN CHARGE DE LA BRONCHIOLITE AIGUE DU NOURRISSON DE MOINS DE 1 AN. Actualisation et consensus médical au sein des hôpitaux universitaires du Grand Ouest (HUGO). Archives de Pédiatrie 2014;21:53-62 Cette proposition de recommandations a été établie à partir des données de la littérature et sont également inspirées des recommandations de 2010 de l hôpital pédiatrique de Sainte Justine.
26 Traitements Recommandés DRP au SP, avant chaque biberon Fractionnement des repas + épaississement des biberons Hydratation Médicaments antipyrétiques (si température 38,5 C) Couchage : proclive dorsal 30 Aération de la pièce et température 19 C Evitement du tabagisme passif Oxygène Hygiène, mesures préventives Palivizumab (Synagis*)
27 Consignes de surveillance pour la famille : appeler le médecin si Refus alimentaire Troubles digestifs Changement de comportement Détérioration de l état respiratoire Elévation thermique > 38,5 C
28 Traitements A discuter (au cas par cas) Kinésithérapie respiratoire Bronchodilatateurs b 2 -agonistes courte durée d action Salbutamol Adrénaline Sérum Salé Hypertonique (SSH 3%) Antibiotiques
29 Kinésithérapie respiratoire
30 - Ingestion > 2/3 des besoins alimentaires journaliers Etude multicentrique (n = 7) randomisée, France PlosOne er épisode de BAAVN, 10/2004 1/2008. Kinésithérapeutes (seuls au courant du groupe de randomisation) : 3 fois/j IET + AC (AFE + TP) n = 246 (Age médian 2.1 m) NS (AN) n = 250 (Age médian 2.0 m) Critère principal d évaluation : Temps nécessaire pour guérir - 8 H sans 02, pas/peu de tirage ET
31
32 2013, 2014
33 Score de WANG modifié Score Score du patient FR < 30/min 30 à 45/min 45 à 60/min > 60/min Sibilants En fin d expiration Durant toute l expiration Audibles à distance ou Absents Crépitants Discrets Moins de la moitié des champs pulmonaires Plus de la moitié des champs pulmonaires Signes de lutte Absents Tirage intercostal Tirage sus-sternal et sus-claviculaire Sévères avec battement des ailes du nez État général Normal Léthargique, irritable ou difficultés alimentaires Score total du patient
34 2013, 2014
35 Réseau Aquitain Accès au soins Continuité, globalité, multidisciplinarité Accroître compétences individuelle
36 en hospitalisation Ne pas prescrire de kinésithérapie respiratoire systématique dans la bronchiolite. N avoir recours à la kinésithérapie que dans des circonstances spécifiques : - pathologie sous-jacente : pathologie neuromusculaire, pathologie respiratoire chronique - trouble mécanique majeur secondaire à la ventilation assistée
37 la kinésithérapie respiratoire en hospitalisation ne change: -ni la durée d hospitalisation -ni les besoins en oxygène -ni le score clinique
38 Recommandation 10- Kinésithérapie respiratoire en ambulatoire Ne pas prescrire de kinésithérapie respiratoire systématique en ambulatoire dans la bronchiolite. N avoir recours à la kinésithérapie pour aider à la surveillance de l enfant en ambulatoire qu en cas de situations particulières : - Milieu socioéconomique précaire, - Difficultés d évaluation de la part des parents - Pathologie sous-jacente : pathologie neuromusculaire, mucoviscidose, déficit immunitaire
39 Bronchodilatateurs
40 Modl 2005
41 adrénaline vs salbutamol Hôpital Ambulatoire Taux d hospitalisation
42 Recommandation 13- les traitements nébulisés a) Ne pas prescrire de nébulisations de bêta-2-mimétiques lors d un premier épisode de bronchiolite ; en cas de 2ème épisode leur utilisation sera décidée en fonction des antécédents atopiques, de l'anamnèse et de la clinique.
43 Sérum Salé Hypertonique
44 Aérosols de sérum salé hypertonique Hyper Iso Eau
45
46 Durée d hospitalisation Taux d hospitalisation
47 Score Clinique J de traitement J1 J2
48 b) Les nébulisations de sérum salé hypertonique doivent être envisagées dans le traitement des bronchiolites aigues modérées à sévères en hospitalisation (score de 4 à 8). SH 3% + adrénaline ml NaCl 10 % 1,2 EPPI 1,2 Adrénaline 1 mg/ml 1,5 Prix: SH 3% sans adrénaline ml NaCl 10 % 1,2 EPPI 2,9 N/Réf: 77G5003
49 Elles permettent une diminution significative de la durée d hospitalisation et des scores cliniques de gravité à 48 heures. Il n y a pas encore de consensus sur leur utilisation : la nébulisation de 4 ml de SSH3% toutes les 8h semble la pratique la plus évaluée et efficace. Il parait raisonnable de réserver leur utilisation aux nourrissons de plus d 1 mois. L indication et l évaluation de son efficacité reposent sur un score clinique de gravité (score de WANG modifié).
50 Antibiotiques
51 Recommandation 11- Antibiothérapie Ne pas prescrire d antibiothérapie chez l enfant présentant une bronchiolite de manière systématique. Les seules indications à une antibiothérapie sont : - pathologie sous-jacente : cardiopathie, maladie respiratoire chronique (mucoviscidose ), déficit immunitaire. - signes de gravité d emblée (respiratoire, hémodynamique, neurologique, «aspect septique») L antibiothérapie est à discuter en cas d opacité systématisée à la radiographie thoracique ou de symptomatologie persistante. Si une antibiothérapie est justifiée, on recommande en première intention l Amoxicilline à 100 mg/kg/jour toutes les 8 heures.
52 Traitements Non - recommandés Bronchodilatateurs anti-cholinergiques Corticoïdes inhalés Corticoïdes par voie orale Montelukast (Singulair*) Ribavirine
53 Traitement... Médicaments... Corticoïdes NON Antitussifs NON Mucolytiques NON Mucorégulateurs NON Pas d études Potentiellement dangereux +++ Oxygénothérapie Si désaturation < 92 %
54 Mesures de prévention Information (familles & personnel) SHA/Simple lavage des mains Pas de port de gants, masque? Décontamination des objets et des surfaces Collectivités > 6 mois Limitation des hospitalisations et durée de séjour «Plan bronchiolite» Pas d isolement en chambre individuelle
55 Mesures de prévention Ac Antiviraux 50 mg mg 765 Vidéo 4
56 Mesures de prévention Médicamenteuse : Antiviraux (Synagis*) Prévention des infections respiratoires basses graves, nécessitant une hospitalisation chez les enfants à risque élevé d'infection à VRS : Enfants nés à 35 semaines d'âge gestationnel ou moins et de moins de 6 mois au début de l'épidémie saisonnière à VRS. Enfants < 2 ans ayant nécessité un traitement pour dysplasie bronchopulmonaire au cours des 6 derniers mois. Enfants < 2 ans atteints d'une cardiopathie congénitale avec retentissement hémodynamique
57 Evolution Habituelle Amélioration spontanée en 10 j Toux pdt 2-3 semaines Mortalité 0,005 à 0,2 % (ensemble des bronchiolites) 1 à 3 % (hospitalisés) Co-infection virale possible (rotavirus) Surinfection bactérienne (
58 Evolution de la bronchiolite Régression spontanée acmé 2 à 4 jours obstruction 8 à 10 jours toux résiduelle pendant 2-4 semaines BO signes respiratoires au-delà de 3 semaines. < 1 % DC Terrain +++ Surinfections Surinfection bactérienne vraie relativement rare 4,8 % à 64 % Asthme du nourrisson trois «bronchiolites» pendant les 3 premières années de vie 0,005 à 0,2 % 23 à 71 % ATCDs d atopie +++
59 Pièges à éviter Méconnaître les terrains à risque de brochiolite sévère Méconnaître une cardiomyopathie sousjacente Hépatomégalie </> Ptose hépatique Abuser des traitements médicamenteux
60 Merci de votre attention
61
62
63 BRONCHIOLITE OBLITERANTE Obstruction bronchique résistante au traitement Hypoxémie Sd interstitiel Sd restrictif A Teper, Argentine
DOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailAsthme de l enfant de moins de 36 mois RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Février 2008 Asthme de l enfant de moins de 36 mois : diagnostic, prise en charge et traitement en dehors des épisodes aigus RECOMMANDATIONS Mars 2009 Avec le partenariat
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail2015-01-29 OBJECTIFS QUOI DE NEUF, DOC? EN PÉDIATRIE MIGRAINE TRIPTANS EN PÉDIATRIE MIGRAINES STRATÉGIES DE TRAITEMENT
OBJECTIFS QUOI DE NEUF, DOC? EN PÉDIATRIE Sophie Bergeron, MD Département de pédiatrie Hôpital de Gatineau Triptan en pédiatrie Comprendre la pathophysiologie de la migraine Connaître les différentes approches
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailQu est-ce qu un réseau de santé? L ANAES a proposé
Enquête Les réseaux bronchiolite sont utiles Kinesither Rev 2006;(50):19-34 Les réseaux bronchiolite sont utiles SOMMAIRE Réseau Bronchiolite Aquitaine : bilan et impact sur le CHU de Bordeaux 20 Marik
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailDYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE?
QU EST-CE QUE LA DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE? COMMENT SE TRANSMET-ELLE? COMMENT SE MANIFESTE-T-ELLE? DYSKINESIE CILIAIRE PRIMITIVE BROCHURE D INFORMATION DESTINEE AUX PATIENTS ET LEUR FAMILLE COMMENT
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détail4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détail8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs
Objectifs Connaître le rôle de l inhalothérapeute dans les unités de soins critiques Connaître les dispositifs d oxygénation et d humidification Connaître les modes et principes de la ventilation (invasive,
Plus en détailCampagne de vaccination contre la grippe saisonnière. Une priorité de santé publique
Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique 9 octobre 2013 Communiqué de presse Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailhttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr
http://portaildoc.univ-lyon1.fr Creative commons : Paternité - Pas d Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr Université Claude Bernard
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailCe que doit connaître un réanimateur adulte de la réanimation pédiatrique
1 Le Congrès Médecins. Conférence d essentiel 2014 Sfar. Tous droits réservés. Ce que doit connaître un réanimateur adulte de la réanimation pédiatrique Juliette Bailly-Salin, Anne-Sophie Guilbert, Pierre
Plus en détail3 ème rencontre autour de la DCP
3 ème rencontre autour de la DCP Cette troisième rencontre a pu se dérouler à Reims grâce à Christine Pietrement et Gilles Denis, qui ont souhaité l organiser dans leur ville et que nous remercions pour
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailOxygénothérapie à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailEVALUATION DES SIGNES VITAUX REANIMATION DU NOUVEAU-NE EN SALLE DE NAISSANCE
MINI-MODULE D AUTO-ENSEIGNEMENT TECHNICIENS SUPERIEURS EN OBSTETRIQUE 2 EME ANNEE EVALUATION DES SIGNES VITAUX REANIMATION DU NOUVEAU-NE EN SALLE DE NAISSANCE Introduction et intérêt du sujet Dr EMIRA
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailL INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES L INFIRMIER (ERE) DIPLOME(E) D ETAT SEUL DEVANT UNE SITUATION DE DETRESSE MEDICALE Société Française de Médecine d Urgence Décembre 2011 1 INTRODUCTION La Société Française
Plus en détailRECOMMANDATION FINALE DU CCEM
RECOMMANDATION FINALE DU CCEM BROMURE D UMÉCLIDINIUM ET TRIFÉNATATE DE VILANTÉROL (Anoro Ellipta GlaxoSmithKline inc.) Indication : la maladie pulmonaire obstructive chronique Recommandation : Le Comité
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailConduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque
Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailen KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE SAMEDI 23 JUIN 2012
Comité contre Les maladies Respiratoires www.lesouffle.org Nicolas VERBEKE MKDE nicolas_kinesi@hotmail.com Marine LELIEVRE Masseur-Kinésithérapeute lelievremarine@free.fr Jean-François HILAIRE Président
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailService des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca
A. Bahlaoui & N. Zaghba Service des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca Pr. Abdelkrim BAHLAOUI Service des Maladies Respiratoires, Hôpital Ibn Rochd CHU, CASABLANCA (bahlaoui@hotmail.com)
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détail