Juin Vert De 25 à 65 ans, vaccinée ou pas, un frottis tous les 3 ans, c'est important.

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1 Juin Vert 2016 De 25 à 65 ans, vaccinée ou pas, un frottis tous les 3 ans, c'est important. 1

2 PRÉVENTION ET DEPISTAGE DU CANCER DU COL DE L UTERUS LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE MOBILISATION JUIN 2016 SOMMAIRE Introduction I. Le cancer du col de l utérus : des moyens d agir 1. Virus HPV, prévention, dépistage 2. Le dépistage pour agir précocement 2.1 le frottis cervico utérin 2.2 les freins au dépistage 2.3 le dépistage organisé 3. La vaccination préventive contre les HPV II. JUIN 2016 : A la Martinique, des actions en faveur de la prévention et du dépistage du cancer du col de l utérus. 1. Le dispositif pour les femmes 2. Le dispositif à destination des professionnels de santé Pour en savoir plus Quelques données épidémiologiques CONTACT PRESSE Mme Aurélie TOMASI Mme PICCOTTI Claire Dr Catherine BACHELLIER-BILLOT a.tomasi@amrec.mq c.piccotti@amrec.mq cbb@amrec.mq 2

3 Introduction Chaque année, le cancer du col de l utérus est responsable de près de décès en France. Or, il est possible d agir très précocement et efficacement face à ce cancer. Le dépistage par frottis cervico-utérin permet, en effet, de détecter les lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l utérus et de les prendre en charge pour guérir ce cancer, voire prévenir son apparition. Le dépistage du cancer du col de l utérus est aujourd hui en France majoritairement individuel. Il repose sur l initiative du professionnel de santé et de sa patiente. On estime qu il couvre près de 60 % des femmes de la population-cible (25-65 ans). Il existe des freins au dépistage liés à l âge (les femmes de plus de 55 ans se font moins dépister) ou à des facteurs socioéconomiques. Le «Baromètre Cancer 2010» a montré que le niveau d études, de revenus et la catégorie socioprofessionnelle sont étroitement liés à la réalisation d un dépistage. D où l importance de continuer à sensibiliser la population concernée et de travailler à la réduction des inégalités de recours à cette pratique de santé. Des programmes expérimentaux de dépistage organisé sont menés dans 13 départements français dont la Martinique. Ils associent des actions d information, de prévention, d éducation à la santé et de dépistage (invitation par courrier des femmes n ayant pas fait de frottis depuis trois ans, relance des femmes ne donnant pas de suite à l annonce d une anomalie sur leur frottis ). Ces programmes pilotes ont abouti dans le 3 ème Plan cancer à ce que soit programmée la généralisation de ce dépistage sur l ensemble du territoire national (action 1.1). Ces programmes, qui permettent notamment de toucher les femmes en situation de vulnérabilité sociale, répondent ainsi à l objectif phare du Plan- Cancer en matière de lutte contre les inégalités d accès et de recours aux dépistages. Parallèlement, il existe, une vaccination préventive destinée aux jeunes filles et luttant contre certains types de virus HPV (papillomavirus humain), à l origine des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l utérus. Cette vaccination ne se substitue pas au dépistage par frottis mais constitue un moyen complémentaire d agir face à l apparition d un cancer du col de l utérus. Le Plan cancer prévoit, à ce titre, d améliorer les taux de couverture vaccinale contre les HPV des jeunes filles de 11 à 14 ans (action 1.2) en renforçant la mobilisation des médecins et en facilitant l accès, notamment avec gratuité, pour les jeunes filles concernées. 3

4 Le cancer du col de l utérus : des moyens pour agir 4

5 1. Virus HPV, prévention et dépistage Le cancer du col de l'utérus est un cancer provoqué dans la très grande majorité des cas par une infection sexuellement transmissible causée par le virus du papilloma humain (HPV). Ce papillomavirus humain est retrouvé dans 99,7 % des cancers du col utérin. Le rôle cancérigène de ce virus à l origine d infections du col (pas seulement inflammatoires) est maintenant démontré. Il est par conséquent recommandé et licite de proposer une vaccination aux adolescentes et jeunes filles, afin de les protéger de la survenue de ces lésions et par là- même de la survenue d un cancer du col utérin. Mais cette prévention vaccinale (efficace dans environ 70 % des cas en Europe) ne doit pas faire supprimer la pratique du dépistage régulier par le frottis cervico-utérin. 2. Le dépistage pour agir précocement 2.1 Le frottis cervico-utérin Il est possible d'éviter l apparition d un cancer du col de l'utérus et/ou de le traiter à un stade précoce assurant une quasi-certitude de guérison puisque ce cancer peut être découvert par un dépistage régulier. On constate cependant que bien des femmes qui développent un cancer du col de l'utérus n'ont pas réalisé de frottis de dépistage au cours des trois années précédant le diagnostic. Le cancer du col de l utérus est un cancer pour lequel de grands progrès ont été réalisés au cours des 40 dernières années : - Il existe un test de dépistage simple, non douloureux, efficace : le frottis cervico-utérin, ou frottis de PAPANICOLAOU (PAP), qui permet de diagnostiquer également les états précurseurs du cancer du col utérin. - L introduction du «frottis en milieu liquide» a apporté une plus grande facilité de réalisation technique de l acte avec recours possible à des examens complémentaires sur le même prélèvement, recherche HPV. Sa sensibilité est comparable au frottis "classique". - Du fait de son évolution lente et de l existence de lésions précancéreuses curables, le cancer du col de l utérus peut ainsi être dépisté à un stade précoce ou prévenu par la détection des lésions précancéreuses qui précèdent le plus souvent le cancer de 10 à 15 ans et dont le traitement permet d éviter la transformation en cancer invasif du col utérin. - Elle est très fréquente puisqu'elle touche 80% des femmes dans l'année qui suit les premiers rapports sexuels (cf INCA), cependant 90% d'entre elles se débarrasseront spontanément du virus. 5

6 Réalisation du frottis : Au cours d un examen gynécologique, après mise en place d un spéculum, le médecin traitant, le gynécologue ou la sage-femme prélève des cellules sur le col de l utérus au fond du vagin, à l aide d une petite brosse ou d une spatule. L acte est indolore. Le prélèvement est ensuite adressé à un médecin spécialiste, l anatomocytopathologiste, pour lecture et interprétation. En cas de test négatif (frottis "normal"), le frottis devra être renouvelé tous les trois ans. En cas de test positif (frottis "anormal"), des examens complémentaires seront réalisés afin de déterminer la nature de l anomalie. Par ailleurs, en cas de symptômes entre deux frottis, il est important de consulter sans attendre son médecin. 2.2 Les freins au dépistage Des barrières culturelles et émotionnelles ainsi que des obstacles pratiques sont évoqués parmi les raisons principales pour lesquelles des femmes choisissent de ne pas se faire dépister. Combattre ces barrières par une meilleure information et augmenter le nombre de professionnels de santé réalisant le frottis sur le département va aider à améliorer la prise de conscience et la volonté de participer à une démarche certes de santé publique mais dont les bénéfices se manifestent au niveau individuel. Une approche éducative basée sur le partage d expériences au niveau de la communauté féminine aidera à réduire la peur des femmes non participantes et leur mauvaise compréhension du dépistage et des traitements du cancer du col utérin. En améliorant l'information délivrée aux femmes et en les incitant à partager leurs expériences quand elles sont positives l'amrec entend améliorer le taux de participation des femmes jusqu'alors non participantes. Parallèlement, le retour d'information "négative" contribuera à l'amélioration du dispositifs depuis le dépistage jusqu'à la prise en charge thérapeutique des femmes porteuses d'un cancer du col de l'utérus. A la Martinique, on observe globalement : - Une mauvaise connaissance de l anatomie féminine associée à une compréhension insuffisante du fonctionnement des organes reproductifs féminins. - Une méconnaissance des maladies associées - Une mauvaise connaissance du cancer du col utérin. - Un accès aux services de santé parfois perçu comme difficile. 6

7 - Un ressenti difficile du frottis alliant peur d un examen vaginal et sentiment de "honte" lors de sa réalisation. - Un manque de perception de l intérêt de la surveillance gynécologique après la ménopause Les frottis réalisés en dehors de la campagne de dépistage bénéficient d un niveau d assurance-qualité similaire. L'AMREC est en charge du suivi de toutes les femmes dont le frottis est "anormal". 2.3 Le dépistage organisé A ce jour, il n existe pas de programme national de dépistage organisé du cancer du col de l utérus en France, à l instar des programmes de dépistage du cancer du sein et du colorectal. Dans les années 90, quatre départements (Bas-Rhin, Haut- Rhin, Isère et Martinique) ont mis en place des programmes expérimentaux de dépistage organisé du cancer du col de l utérus. Une étude épidémiologique de l INVS menée de 2002 à 2005 dans ces quatre départements, a montré que ces programmes de dépistage organisé contribuaient à une augmentation des taux de couverture (en FCU) de la population cible. Suite à la décision de la Direction Générale de la Santé de maintenir et de renforcer les expérimentations en France, en collaboration avec l Institut National du Cancer et l Assurance Maladie, l AMREC a été confirmée comme structure de gestion du dépistage du cancer du col de l utérus à la Martinique depuis Les campagnes de dépistage du cancer du col de l utérus concernent les femmes de 25 à 65 ans, invitées tous les 3 ans à pratiquer un frottis de dépistage. A réception de leur prise en charge les femmes prennent rendez-vous chez leur médecin traitant, gynécologue ou sage-femme, pour effectuer leur frottis de dépistage. Parmi les départements expérimentaux, la Martinique est la seule à avoir fondé l'expérience sur le principe de gratuité totale. A la Martinique le programme organisé de lutte contre le cancer du col de l utérus, associe des actions de dépistage, de prévention et d éducation à la santé. 3. La vaccination préventive contre les HPV La vaccination préventive contre certains types d HPV est un deuxième moyen d agir face au cancer du col de l utérus. Il s agit d un mode d action d autant plus important que la prévention de la transmission des virus HPV est difficile. Ce virus est présent sur l ensemble de la zone ano-génitale et l utilisation du préservatif n a qu une efficacité partielle. Deux vaccins préventifs sont disponibles en France : un vaccin «bivalent» car protégeant contre l HPV de génotypes 16 et 18 et un vaccin «tétravalent» protégeant également contre l HPV de type 6 et 11, non cancérigènes mais à l origine du développement de lésions bénignes appelées «condylomes» ou verrues génitales. Ces lésions sans risque d évolution vers un cancer sont, en revanche, gênantes et difficiles à traiter. 7

8 Ces deux vaccins préventifs, pour être pleinement efficaces, doivent être administrés avant les premiers contacts avec les virus. Ils ont obtenu leur autorisation de mise sur le marché à environ un an d intervalle, le 29 septembre 2006 pour le «tétravalent» et le 20 septembre 2007 pour le «bivalent». La vaccination a fait l objet d une recommandation conjointe du Comité Technique de vaccinations et du Conseil Supérieur d Hygiène Publique de France (avis du 9 mars 2007). La population ciblée par cette vaccination se compose : des jeunes filles de 11 à 14 ans avant l exposition au risque de l infection HPV, des jeunes filles et jeunes femmes jusqu à 19 ans (population de rattrapage) qui n auraient pas eu de rapports sexuels ou, au plus tard, dans l année suivant le début de la vie sexuelle. Le schéma de vaccination comporte trois injections quel que soit le vaccin utilisé. Ces trois injections sont indispensables pour que le vaccin soit pleinement efficace. Les travaux menés avec un recul de 9 ans actuellement, montrent que la protection est maintenue si le schéma initial a été respecté. A noter que la vaccination protège contre 70% des sérotypes de HPV. Il est donc nécessaire de réaliser les frottis cervico-utérins dans le cadre du dépistage. La vaccination vient en complément du dépistage et réciproquement. 8

9 JUIN 2016 : A la Martinique, des actions en faveur de la prévention et du dépistage du cancer du col de l utérus 9

10 1. Le dispositif pour les femmes Des dépliants seront distribués tout au long du mois, pour répondre aux principales questions sur le dépistage du cancer du col de l utérus, en plusieurs langues. Des affiches, sont diffusées auprès de divers professionnels de santé avec pour objectif de sensibiliser les femmes sur l importance du frottis entre 25 et 65 ans. Programme «juin vert» : Cette année, les séances de frottis sont programmées dans plusieurs quartiers de Fort de France, au plus près de la population, en collaboration avec la municipalité et la CTM. La gratuité est totale. L AMREC adresse aux femmes éligibles des invitations ainsi que le planning. Elles doivent prendre rendez-vous au préalable auprès de l AMREC au

11 PROGRAMME JUIN VERT 2016 En partenariat avec la Ville de Fort de France et la CTM QUARTIER PERSONNEL MEDICAL DATES / HEURES ADRESSES Godissard Sage femme PMI Mercredi 1 er juin h00 12h30 PMI GODISSARD Cité Godissard Godissard / Debriand/Floreal/Balata Sage femme CPIOF Samedi 4 juin h00 12h MJC Floréal Dillon Sage femme PMI Mardi 7 juin h00 12h30 Dillon/Pointe des Carrières/Volga/Ste Thérèse Sage femme CPIOF Samedi 11 juin h00 12h PMI DILLON Avenue Salvator-Allende Cité Dillon PROXI MAIRIE Av Salvador Allende Centre ville Sage femme libérale Samedi 11 juin Bd du Général de Gaulle Centre ville Sage femme PMI Mercredi 15 juin h00 12h30 PMI LA RUCHE Rue Louis Blanc Langellier/Ravine Vilaine/Desbrosse/Tivoli Sage femme CPIOF Samedi 18 juin h00 12h Maison de quartier de Redoute Rue de la Jeunesse Bellevue Sage femme PMI Mercredi 22 juin h00 12h30 PMI BELLEVUE 119 ancienne Route de Schoelcher Trenelle/Citron/TSV Sage femme CPIOF Samedi 25 juin h00 12h Cours Fruit à Pain (à confirmer) Centre ville Sage femme libérale Samedi 25 juin h-12h 66 Bd du Général de Gaulle Bellevue Sage femme PMI Mercredi 29 juin h 12h30 PMI BELLEVUE 119 ancienne Route de Schoelcher 11

12 Lors de ces matinées, de la documentation reprenant une information validée ainsi que des goodies seront distribués (Tee-shirt, sacs, stylos, éventails, porte monnaie) MESSAGES CLEFS Une hygiène de vie saine contribue à la prévention des cancers. Le cancer du col utérin évolue lentement et est évitable dans 90% des cas. Le dépistage permet la détection de lésions précancéreuses qui peuvent être traitées et guéries avant transformation en cancer. Les femmes de 30 ans (et plus) sont plus sensibles au développement d'un cancer du col utérin que les plus jeunes. Entre 25 et 65 ans, un frottis tous les 3 ans c est important 2. Information des jeunes filles et de leurs mères sur la vaccination contre les HPV En parallèle avec les actions sur le dépistage, un dispositif d information sur la vaccination contre le virus HPV est proposé à la fois aux jeunes filles concernées et à leurs mères. Des dépliants sont ainsi distribués pour répondre aux principales questions que les jeunes filles et leurs parents peuvent se poser sur le cancer du col de l utérus et la vaccination. 3. Un dispositif à destination des professionnels de santé: Les professionnels de santé sont des acteurs d importance majeure en termes d information et d incitation à la vaccination et au dépistage des cancers. Les patientes se reposent sur leurs conseils, surtout lorsqu elles doutent des informations qu elles ont pu collecter. Le rôle des gynécologues est clairement établi et prédomine sur le département : ils sont depuis toujours en première ligne sur la prévention et le dépistage du cancer du col de l utérus. Les médecins généralistes constituent des interlocuteurs incontournables face au cancer du col de l utérus : ils réalisent des frottis de dépistage à tous les âges et la majorité des frottis chez les femmes de plus de 50 ans. Toutefois, leur rôle dans le dépistage peut être renforcé et leur action est nécessaire pour inciter toutes les femmes au dépistage. 12

13 Le partenariat ouvert avec les sages-femmes est un atout important pour le dépistage, concernant les femmes en âge de procréer. Les pharmaciens contribuent à délivrer des messages de prévention aux femmes concernées et à l ensemble de la population. Les infirmières scolaires se démarquent en tant qu interlocutrices privilégiées pour les jeunes filles de 11 à 15 ans concernées par la vaccination. Il est de ce fait essentiel que ces infirmières scolaires puissent avoir accès aux recommandations émises par les sociétés savantes et les tutelles nationales autant en termes de vaccination HPV que de dépistage par frottis. Des séances d information seront proposées tous les mardis soir du mois de juin aux professionnels de santé : VILLE DATES / HEURES ADRESSES FORT DE FRANCE MARDI 7 JUIN 18H30 SALLE CANELLE CLINIQUE STE MARIE TRINITE MARDI 14 JUIN 18H30 MAISON DES ASSOCIATIONS FORT DE FRANCE MARDI 21 JUIN 18H30 SALLE CANELLE CLINIQUE STE MARIE SAINTE LUCE MARDI 28 JUIN 18H30 SALLE DE LA MAIRIE 13

14 Pour en savoir plus Données épidémiologiques. En 1981, en Martinique, l'incidence standardisée du cancer du col de l utérus était de 29,30/ personnes-années avec une mortalité de 4,1/ Il y avait ainsi en Martinique une fréquence deux fois plus élevée de cancer du col utérin qu en France Métropolitaine, ce qui a motivé la mise en place d un programme de dépistage organisé par frottis. Le dépistage du cancer du col de l utérus a démarré en Martinique dès Depuis la mise en place de cette action de santé publique, l incidence et la mortalité ont reculé. En 2010, l incidence standardisée avait diminuée de plus de 5% par an entre 2006 et 2010 avec un taux de 7,92 pour femmes. La mortalité quant à elle est passée de 3,9 en 1995 à 2,3 pour en Sur une période récente, près d une trentaine de cas et une dizaine de décès sont enregistrés par an. Le cancer du col de l utérus est la quatrième localisation la plus fréquemment diagnostiquée chez la femme (10ème en France hexagonale). La Martinique est une région où le cancer du col de l utérus (CCU) reste un problème de santé publique important. Pourtant, 90% des cancers du col de l utérus pourraient être évités avec un frottis réalisé tous les 3 ans. 14

15 A la Martinique 75% des cancers invasifs, surviennent encore chez les femmes n ayant pas eu de frottis de façon régulière. 15

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