Reconnaissance et prise en charge de la dénutrition à l hôpital
|
|
- Edith Nadeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Reconnaissance et prise en charge de la dénutrition à l hôpital david.seguy@univ-lille2.fr Définitions Dénutrition: apports / stocks énergétiques en macro- et/ou en micronutriments insuffisants pour répondre aux besoins métaboliques de l organisme (amaigrissement) * Apports alimentaire oraux inapproprié ou insuffisant * Augmentation des besoins métaboliques (maladie, stress) * Augmentation des pertes énergétiques (pathologie du tube digestif) A la perte de masse s associe une altération des fonctions Conséquences sur l organisme fonction du type de dénutrition * Si apports insuffisants : épargne ses réserves protéiques * Si besoins métaboliques : faillite de l épargne des protéines
2 Dénutrition marasmatique ou hypoalbuminémique? Deux syndromes aux extrémités d un même continuum McClave et al. JPEN 1992 Marasme Dénutrition hypoalbuminémique ingesta P et E Adaptation physiol Albumine N Continuum physiopathologique Carence P Agression métabol Albumine Œdèmes Les deux formes coexistent souvent chez les patients Prévalence de la dénutrition (%) Année Evolution de la prévalence de la dénutrition à l admission pour les patients hospitalisés plus de 3 jours Flanel et al. J Am Diet Assoc 1995
3 Dénutrition et morbidité Suivi d une population de 709 sujets hospitalisés Correia et al. Clin Nutr 1995 Dénutrition et mortalité Suivi d une population de 709 sujets hospitalisés * de la mortalité 12% vs 5%, p < 0.05 * La dénutrition était un facteur indépendant Correia et al. Clin Nutr 1995
4 Dénutrition et durée de séjour Suivi d une population de 709 sujets hospitalisés * de la durée d hospitalisation de 7 jours en moyenne * du coût d hospitalisation de 60 % Correia et al. Clin Nutr 1995
5 Peut-on être obèse et dénutri? Cycle alanine glucose d après P. Felig
6 En cas d agression l alimentation ne stoppe plus la néoglucogenèse Le phénomène persiste aussi longtemps que dure l agression Cycle alanine glucose d après P. Felig Atrophie villositaire intestinale au cours de la dénutrition protéique Deitch et al. Gut 1994
7 Favorise la malabsorption et la translocation intestinale NP préopératoire est un facteur associé à l de prévalence de la translocation bactérienne MacFie et al. Br J Surg 2006 Atrophie villositaire intestinale au cours de la dénutrition protéique Deitch et al. Gut 1994 Influence de l âge Dysrégulation de l appétit (restriction/hyperalimentation) Moins le sujet âgé mange, moins il a d appétit Plus on ses ingesta, plus il mange Roberts et al. JAMA 1994
8 Evaluation des ingesta oraux Le patient a mangé tout le plateau Le patient a mangé plus de la moitié du plateau Le patient a mangé moins de la moitié du plateau Le patient n a rien mangé du plateau La moitié de la ration = 1000 kcal/j (ne permet pas de couvrir la DER) Le patient est à jeun Survie en fonction de l alimentation orale Données de l équipe mobile * n = 8198 I = 2000 kcal/j I > 1000 kcal/j I < 1000 kcal/j I = 0 kcal/j p<0.0001
9 Evaluation des ingesta oraux par EVA Ingesta insuffisants si < 7 Thibault. Clin Nut 2011 Facteurs associés à la dénutrition Solitude, veuvage, dépression Revenus insuffisant Mauvais état bucco-dentaire Troubles digestifs (constipation) Troubles de déglutition et/ou de conscience Maladie (néoplasique, syndrome inflammatoire ) Polymédication (> 3 / j) et régimes (! sans sel!) Age > 55 ans et si > 75 ans Alimentation orale < 50% des plateaux repas (2 repas / jour) Poids < 55 kg Impossibilité de tenir debout sur la balance Circonférence brachiale (CB) 25 cm Durée d hospitalisation > 10 jours Escarre et/ou perte d autonomie physique ou psychique
10 L amaigrissement/poids de forme * 5% en un mois * 10% en 6 mois Reconnaître une dénutrition sévère Indice de masse corporel (IMC) * < 18,5 kg/m² si moins de 75 ans * < 21 kg/m² si plus de 75 ans Le poids habituel n est pas toujours disponible et la pesée est parfois difficile Un IMC normal n exclut pas une dénutrition Albumine < 30 g/l ou préalbumine < 0,15 g/l Intérêt du dosage de la CRP! Si > 50 mg/l! SLA : conférence de consensus Intérêt de la circonférence brachiale Mesure de la circonférence brachiale * Mesure initiale en même le temps que le poids * Pratique, simple et sensible Intérêt de la CB chez les patients * Grabataires * Avec œdèmes * Contestant le poids du pèse personne * Suivi nutritionnel ( 1cm 2kg) Une CB < 25 cm est très fréquemment associée à une dénutrition SLA : conférence de consensus
11 Anthropométrie Hand grip test - Dynamomètre à main hydraulique - Examen simple et sensible Nécessite la coopération du patient - Expression en percentile ou comparaison du patient / lui-même Un HG < 25 kg est très fréquemment associée à une dénutrition Albumine et dénutrition sévère Mortalité durant le séjour en fonction de l albumine 0,14 0,12 10% 0,1 0,08 P < 0,0001 n = ,06 0,04 0,02 0 3,5% 1,6% <= 30 g/l >30 à <=40 g/l > 40 g/l Seuils d albumine déterminé en fonction de la morbi/mortalité Décès Infection à BMR 3 ème secteur Escarre Valeur seuil (g/l) ,4
12 Définition d une dénutrition sévère Moyennes des 5% de valeurs proches du seuil maximisant l aire sous la courbe ROC (âge ans, n = 5954) Paramètre Décès Infection à BMR 3 ème secteur Escarre* Seuil Variation de poids (%) IMC (< 70 ans) 22,7 21,6 23,3 21,7 21 IMC ( 70 ans) 23,3 23,2 24,1 23,4 23 Test de préhension (kg) Circonf brachiale (cm) 26,8 26,7 27,9 26,8 27 Albumine (g/l) 30,2 31,1 29,9 30,8 30 Préalbumine (g/l) 0,14 0,15 0,14 0,16 0,15 CRP (mg/l) * Escarre stade II (perte de substance) Survie en fonction du critère de dénutrition Données UTN : survie (Kaplan Meier, log rank) Perte de poids (%) Albumine (g/l) Préalbumine (g/l) < <30 0,15 <0,15 p=0.024 n=6432 p< n=5752 p< n=4627
13 Prise en charge nutritionnelle Principe de l enrichissement Alimentation hypere chez le sujet âgé hospitalisé * Alimentation std 1670 kcal/j vs. enrichie 2520 kcal/j (volume identique) * Dans les 2 cas 80% de la ration est consommée (volume comparable) * de 35% de l énergie ingérée (1347 kcal/j vs kcal/j) Olin et al. JPEN 1996 Alimentation hyper E chez le sujet âgé en réeducation (n = 35) * Alimentation enrichie de 14% avec volume de 20% * de 20% de l énergie ingérée (1425 kcal/j vs kcal/j) ( gaspillage) Barton et al. Clin Nutr 2000! Effet anorexiant du régime hyposodé!
14 Physiologie de la CO Effet du volume d une précharge sur la consommation du repas * Homme de poids normal (n= 20) * Précharge 30 min avant un déjeuner ad libitum: - Apport E cst de 500 kcal (lait) dans volume (300, 450, 600 ml) - Palatabilité cste - Répartition en macronutriments cste = -225 kcal La précharge les ingesta totaux mais les ingesta spontanés Son volume est déterminant sur les ingesta spontanés -27% -32% -40% Rolls et al. Am J Clin Nutr 1998 Physiologie de la CO Influence de la précharge sur les ingesta totaux de la journée Au-delà de 2 unités par jour les CNO risquent d avoir un effet paradoxal Rolls et al. Am J Clin Nutr 1998
15 Physiologie Effet de la densité énergétique sur la consommation des aliments (2 j) * Femme de poids normal (n = 18) * Alimentation ad libitum * 3 densités (kcal/g) L = 1; M = 1,2; H = 1,4 * Palatabilité cste * Répartition en macronutriments cste Bell et al. Am J Clin Nutr 1998 Kcal Une densité énergétique élevée les ingesta énergétiques spontanés Influence de la CO sur l état nutritionnel Influence de la CO sur le poids (22 études randomisées) Avec CO Sans CO Etudes Moy SD n Moy SD n Diff moy Cancer (5) -1,96 7,7 79-2,77 7,4 82 0,81 Sujets âgés (4) BPCO (8) HIV (1) Cirrhose (2) Post-opé (2) Total (22) Excepté dans la cirrhose, la CO permet de prendre du poids ou de limiter la perte de poids Stratton et al. Clin Nutr 1999
16 Prise en charge LPPR Compléments oraux Alimentations orale ne couvrant pas les besoins nutritionnels Limites * Amaigrissement modéré 10% * Tube digestif fonctionnel * Etat de conscience satisfaisant * Possibilité de déglutition préservée Action préventive et non curative des CO Au delà de 2 CO/j, les apports oraux totaux Les CO améliorent les ingesta! A condition de les prendre! SLA : conférence de consensus
17 Indications de la NE Echec des mesures diététiques et des suppléments oraux Trouble de la déglutition Trouble de la conscience Nutrition peri-opératoire Affections digestives Principe de la NE Traitement à part entière de la dénutrition Aussi efficace que la NP avec * Facilité d'utilisation * Tolérance métabolique * Complications * Coût Respect de la physiologie digestive L'apport alimentaire se fait par une sonde Choisir sa voie d'administration * Naso-gastrique (durée prévisible < 1 mois) * Gastrostomie (durée prévisible > 1 mois)
18 Dispositifs de NE Sonde naso-gastrique * La pose de la 1ère sonde est déterminante! * SNG de faible diamètre (7f r) * Mise en confiance (laisser la sonde 1 à 2 j) * Apprentissage de l auto-sondage +++ * Sonde naso-jéjunale en dernier lieu Gastrostomie * Jamais avant d avoir testé la tolérance de la NE avec une SNG! * GPE extractible ou bouton initial (push) * Remplacement systématique par un bouton * Gastrojéjunale en dernier lieu Assurer un SAV 24/24! Voie d abord : SNG Idéale pour NE de courte durée (< 1mois) Bonne tolérance de la SNG en pratique * Polyuréthane, de petit (7à12fr) * Pose facilitée par un mandrin * Contrôle de la position simple *Lasondepeutrester2à3moisenplace Posée par l IDE ou le patient lui-même Marquage X 2 Ne pas utiliser les SNG d aspiration en polyvinyle (PVC) pour la NE Fixation X 2
19 Gastrostomie Technique «pull» Technique «introducer» Avantages de la technique «introducer» Pas de contact entre le dispositif et l oropharynx ou l œsophage Gastropéxie Mise en place immédiate du bouton Longueur de 1 à 4,5 cm Diamètre de 14 àfr 24 Fr Le bouton: plus pratique, plus esthétique
20 L administration Remarques générales * Mise en confiance à l initiation essentielle * Débit initial lent (10 à 25 ml/h) * Régulateur de débit impératif * NE en sac à dos pour le domicile +++ * Importance de l éducation - Observation - Participation passive - Participation active Intérêt de la NEcn N 1ère visite Dernière visite p* Poids (kg) Grip test D (kg) Grip test G (kg) CB (cm) Albumine (g/l) NS Préalbumine (g/l) < CRP (mg/l) < * 1ère versus dernière visite de l UTN (test T); CB: circonférence brachiale Non réalisation de la NEcn proposée par l UTN
21 Intérêt de la NEcn N 1 ère visite Dernière visite p* Poids (kg) NS Grip test D (kg) Grip test G (kg) < CB (cm) Albumine (g/l) NS Préalbumine (g/l) < CRP (mg/l) < * 1ère versus dernière visite de l UTN (test T); CB: circonférence brachiale Réalisation de la NEcn proposée par l équipe mobile Intérêt de la NEcn p =0, Durée de séjour (j) ,8 0 Sans Groupe C Avec Groupe NEcn Durée de séjour des patients selon la réalisation / non réalisation de la NEcn proposée par l équipe mobile (n=3133)
22 Impact de l équipe mobile Survie durant le séjour à l hôpital * n = 5742 Groupe NEcn* (4,7% de décès) Groupe sans NEcn (9,1% de décès) * Au moins 1 nuit de NEcn Efficacité de la prise en charge proposée Survie durant le séjour à l hôpital en fonction de l âge * n = 5742 (log rank) p=0,116 p=0,089 p=0,017 p=0,036 p=0,001 p=0,010 p=0, % 98,4% 96,8% 97,2% 95,6% 93,7% 94,9% 92,6% Taux de survie (%) 90% 80% 70% 94,6% 92,7% 90,9% 90,2% 84,2% 86,8% Groupe NEcn* 60% * Au moins 1 nuit de NEcn [18-40[ [40-50[ [50-60[ [60-70[ [70-80[ [80-90[ [90-100[ Tranches d âge (années) 61,5% Groupe sans NEcn
23 Indications de la NP Impossibilité réelle de réaliser une NE Occlusion intestinale Exclusion digestive (abcès, fistulisation) Intestin non fonctionnel (pseudo-obstruction) Insuffisance intestinale (grêle court) Produits Flacons séparés (histoire ancienne) Mélanges prêt à l emploi ou à reconstituer Mélanges ternaires en poche tricompartimentée * Avec ou sans ions * Mais sans vitamines et sans oligo-éléments!
24 Alimentation orale jugée insuffisante Oui Apport oral possible Non Menu complémenté (2 CO /j) Intestin fonctionnel Non Oui NP Oui Consommation du menu > 50% /j Non NE exclusive Suivi nutritionnel 1/s Oui Adaptation possible (diététicienne) Echec Echec Non Nutrition entérale + alimentation orale Arbre décisionnel simplifié de prise en charge de la dénutrition
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détail«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»
Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 27 novembre 2014 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à l évaluation de deux aliments diététiques
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailLa consultation diététique réalisée par un diététicien
Recommandations pour la pratique clinique La consultation diététique réalisée par un diététicien Recommandations Janvier 2006 Avec le partenariat méthodologique et le soutien financier de la Tous droits
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailBesoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
Besoins Nutritionnel N 110 - Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l adulte. Évaluation de l état nutritionnel. Dénutrition. Exposer les besoins nutritionnels de l adulte, de la personne âgée,
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailMise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums
MÉTHODOLOGIE DE LA FAO POUR MESURER LA PRÉVALENCE DE LA SOUS- ALIMENTATION Mise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums Division des Statistiques de la FAO Rome,
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailGESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS
GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY
Plus en détailAVIS 1 / 7. Afssa Saisine n 2009-SA-0153. Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009
Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009 AVIS LE DIRECTEUR GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur un projet d arrêté relatif à l emploi de la taurine et de D-glucurono-gamma-lactone
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailProgramme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque
Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailDENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION. Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits
Université René Descartes-Paris Faculté Cochin Port Royal DENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits Docteur Françoise Waignier
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailJ aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?
Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailFiches techniques Alimentation par sonde Nutrison
Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison 2 Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Renseignements téléphoniques : 0844 844 802 Commandes téléphoniques : 0844 844 808 Version : juillet
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLe Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems
Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailStratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée RECOMMANDATIONS Avril 2007 1 L argumentaire scientifique de ces recommandations
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailLe traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes.
Les troubles du comportement alimentaire (TCA) sont l expression d un mal-être et d un manque de confiance en soi. Anorexie et boulimie sont des maladies douloureuses et il faut du temps pour s en sortir.
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLa consommation d édulcorants. Effets sur la santé des enfants et des adolescents
Promotion Santé Suisse Document de travail 22 La consommation d édulcorants. Effets sur la santé des enfants et des adolescents Aperçu de la littérature et recommandations Mai 2014 Promotion Santé Suisse
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailDÉCHETS (Volume) - Suivi journalier SEMAINE 1
DÉCHETS (Volume) - Suivi journalier SEMAINE 1 Complétez le premier tableau en notant le jour de collecte, ainsi que le nombre de sacs ou des sortis. A la fin de la semaine, faites le total pour chaque
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailImpact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999
Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Au cours d'un cycle de production, les semaines qui entourent la mise-bas sont capitales : elles conditionnent
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailLes principaux problèmes alimentaires du patient en oncologie GUIDE ET CONSEILS PRATIQUES
Les principaux problèmes alimentaires du patient en oncologie GUIDE ET CONSEILS PRATIQUES 1 Avant-propos Fin 2002, la Fondation contre le Cancer a réalisé une enquête auprès de diététiciens hospitaliers
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailAccumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur. Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen
Accumulateur combiné au service de la chaleur solaire et des pompes à chaleur Michel Haller, Robert Haberl, Daniel Philippen Présentation Avantages de la combinaison pompe à chaleur et chaleur solaire
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailEnfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be
Enfants et adolescents diabétiques Problématiques courantes en médecine générale dominique.beckers@uclouvain.be Hyperglycémies Acido-cétose = Insulinopénie * Au moment du diagnostic (dépistage) * Lors
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détail