GROUPE DE TRAVAIL GAZ 2004

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1 GROUPE DE TRAVAIL GAZ 2004 GROUPE DE TRAVAIL N 2 «GESTION DE L ACHEMINEMENT» Impact du profilage distribution sur l équilibrage transport et sur le respect des capacités VERSION V1 Prolongation jusqu au 30 juin 2005 de la procédure d utilisation d un k 2 de référence en cas de déséquilibre transport ou de dépassement de capacité 14 FEVRIER /02/05 1

2 1. Objet Dans le cadre des discussions au sein du GTG2004, et suite à la définition des règles d allocation des quantités aux interfaces Transport Distribution, certains expéditeurs ont exprimé l inquiétude de se voir pénalisés, dans la facturation de leur acheminement sur le réseau de transport, pour des déséquilibres ou des dépassements de capacité sur le réseau de transport résultant d écarts entre les quantités prévues en application des profils et allouées, de manière provisoire à J+1 et de manière définitive à M+1. Un sous-groupe de travail a été créé pour mener une réflexion sur le sujet et tenter d y apporter des solutions. Ce document est le bilan des réunions du groupe de travail qui se sont tenues en mai Problématique «Ecarts entre allocations à J+1 et allocations post J+1» Les allocations fournies par les GRT aux expéditeurs transport à J+1 leur servent principalement au pilotage de leur compte d écart cumulé. Des corrections a posteriori de l allocation établie en J+1 pourraient conduire à des achats ou ventes de gaz pénalisés supplémentaires, par rapport à ceux qui auraient été calculées sur la base des allocation établies à J+1, entre les expéditeurs et les gestionnaires de réseaux de transport, sur lesquels les expéditeurs n auraient pu mener d action corrective. Il a été convenu que ces écarts seraient minimisés grâce aux solutions suivantes, qui ont, a priori, vocation à être pérennes : a) Transformation des comptages distribution M/J en comptages J/J Les gestionnaires de réseaux de distribution procéderont à la transformation progressive des comptages M/J en comptages J/J, suivant un planning à définir. Les clients ayant exercé leur éligibilité seront équipés systématiquement de manière prioritaire. b) Traitement des mesures M/M en distribution identique à celui des 6M/6M. Les clients à relève M/M en distribution seront traités comme les clients à relève 6M/6M au travers d un compte d écart. La procédure détaillée a été revue en conséquence dans le document «Règles d allocation des quantités aux interfaces Transport Distribution». c) Qualité des données de comptage aux PITD Outre la qualité des profils, de leur affectation aux consommateurs et des valeurs de consommation annuelle de référence, la qualité des coefficients k 1 et notamment la variabilité entre les coefficients k 1 établis en cours de mois et les coefficients définitifs k 2 calculés lors de la facturation mensuelle sont également liés à la qualité des données de comptage aux PITD. GDF Transport communiquera en septembre 2004 une évaluation du niveau de performance des données de comptage des PITD publiées à J+1 et M+1, ainsi qu un plan d action pluri-annuel permettant de remédier aux éventuelles insuffisances constatées. d) Traitement des mesures des PITD et des mesures J/J distribution «au fil de l eau» La position du GT2 concernant le processus de recalcul entre J+1 et M+1 et les raisons de cette position sont exposées dans le document «Règles d allocation des quantités aux interfaces Transport Distribution» : 14/02/05 2

3 «Si la qualité des données journalières à J est satisfaisante, ce que les gestionnaires de réseau transport et distribution, vont s efforcer d atteindre, il n est pas nécessaire d envisager un re calcul des opérations journalières entre J+1 et M+1. Un tel re calcul pour les GRD présente en effet le risque d être très lourd en exploitation du système d information avec une répercussion immédiate et évidente sur les coûts pour un gain de précision minime, notamment si les calculs de J établis à J+1 sont réalisés convenablement. Un point pourra être fait lorsque les gestionnaires de réseaux disposeront d un retour d expérience suffisant.» Il est toutefois demandé aux GRD de mener dès à présent une étude de faisabilité de ce type de re calcul, avec les conséquences en termes de développements informatiques, de coûts et de délais. 3. Problématique «Ecarts entre prévisions et allocations J+1» 3.1. Analyse du problème Les expéditeurs transport ont l obligation d équilibrer les quantités de gaz qui entrent et qui sortent du réseau de transport. Pour ce faire, ils doivent prévoir les quantités de gaz qui leur seront allouées aux PITD. Pour les clients profilés, l expéditeur doit s appuyer sur les résultats des profils, appliqués à la prévision de température et la consommation moyenne journalière Ca, et tenir compte d une prévision k 0 du facteur de correction k 1 : Prévisions = C a x Profil (T prev ) x k 0 Les allocations à J+1 aux PITD sont déterminées sur la base des résultats des profils appliqués à la température constatée du jour J, corrigés du coefficient de correction k 1 qui permet un calage sur la mesure connue à J+1 au PITD, comme précisé dans le document «Règles d allocation des quantités aux interfaces Transport Distribution» : Allocations = C a x Profil (T obs ) x k 1 En appliquant ces méthodes, un expéditeur mettant en entrée du réseau de transport des quantités de gaz égales aux prévisions serait en déséquilibre de : = allocations prévisions = C a * k 0 * [Profil (T obs ) - Profil (T prev )] + C a * (k 1 - k 0 ) * Profil (T obs ) Le premier terme est attribuable aux aléas météorologiques. Il est un élément de risque qui n est pas nouveau mais inhérent à l alimentation de clients climatiques. Le deuxième terme est attribuable au degré de prévisibilité de k 1, fonction de sa variabilité. Cette variabilité peut être causée par : - l erreur inhérente à toute modélisation (écart entre le résultat du profil et la consommation réelle à une température donnée), - les erreurs d affectation des profils, - une valeur de consommation moyenne journalière de référence inadaptée, - la qualité de la mesure de l énergie totale livrée au PITD. Le coefficient k 1 étant commun à tous les expéditeurs d un PITD, ces expéditeurs sont tous impactés en cas d erreur de ce type. Ce risque est nouveau et non quantifiable à l heure actuelle en l absence de retour d expérience. 14/02/05 3

4 Rappel de l origine des données : C a : consommation moyenne journalière du client fournie par le GRD Profil ( ) : modèle déterminé par le GRD k 0 : estimation par l expéditeur k 1 : calcul du GRD sur la base des profils, de ses mesures et de celles du GRT au PITD T prev : température estimée par l expéditeur T obs : température mesurée récupérée par le GRD 3.2. Conséquences pour les expéditeurs transport Les déséquilibres qui pourraient être générés par une mauvaise prévisibilité de k 1 auraient pour conséquences : - au premier ordre, des achats/ventes de gaz pénalisés causés par des dépassements de la tolérance d écart journalier qui n ont pu être anticipés par les expéditeurs (sur la base du k 2, coefficient de calage servant aux allocations définitives et à la facturation), - au deuxième ordre, des achats/ventes de gaz pénalisés causés par des dépassements supplémentaires de la tolérance d écart cumulé. Il est à noter que les expéditeurs ont à leur disposition des outils d échanges aux PEG (Point d Echange de Gaz) pour compenser, au moins en partie, au cours de la journée gazière, les déséquilibres qu ils pourraient anticiper Conséquences pour les gestionnaires de réseaux de transport L équilibrage des réseaux de transport est une obligation fondamentale des expéditeurs transport. Les gestionnaires de réseaux de transport maintiennent un équilibre intra-journalier alors que la contrainte d équilibrage sur les expéditeurs n est que journalière. En cas d injection sur le réseau de quantités de gaz insuffisantes ou excédentaires de la part des expéditeurs : le réseau de transport est déséquilibré physiquement, le GRT doit compenser physiquement ce déséquilibre en utilisant différentes ressources : le stock en conduite, dont le volume est très limité et déjà mobilisé pour l équilibrage intra-journalier, les stockages, qui sont des ressources limitées, coûteuses et dont l utilisation doit respecter des strictes contraintes physiques et géologiques selon le type de stockage, des fournisseurs de secours. la réservation et l utilisation de tels moyens pour couvrir ces risques de déséquilibres physiques ont un coût significatif à la charge des expéditeurs transport et par conséquent des consommateurs. Les pénalités de déséquilibres ne sont que le reflet et la conséquence de tels déséquilibres, et ce sont bien les déséquilibres qu il faut chercher à minimiser. Les membres du groupe de travail estiment qu il ne serait pas vertueux de rendre les déséquilibres indolores et que les objectifs à atteindre à terme sont de : 14/02/05 4

5 développer des outils de prévision les plus précis possibles, permettant de minimiser les incertitudes et le coût des moyens compensatoires physiques à la charge de la collectivité, faire en sorte que le coefficient k 1 soit le plus proche possible du coefficient k 2 qui servira à facturer les dépassements éventuels, mettre à disposition des expéditeurs des outils permettant de traiter les déséquilibres résiduels. A ce titre, les stockages font partie des outils physiques les mieux adaptés Solutions Les membres du groupe de travail ont convenu des points suivants : L effort à moyen terme doit porter sur l amélioration continue des profils, qui passe par le suivi des coefficients k 1 et k 2 et par le développement, avec le concours de tous les acteurs (GRT, GRD, expéditeurs), d outils de prévisions fiables. D autre part, comme le montre la formule développée au paragraphe 4.1, le risque de variabilité du coefficient k 1 est aussi lié à la détermination de la consommation moyenne journalière des clients C a. Ainsi il est important que ces consommations soient déterminées le plus justement possible. Des solutions transitoires pragmatiques doivent être néanmoins mises en œuvre à court terme pour accompagner l ouverture du marché en l absence actuelle de retour d expérience sur les résultats des profils. L échéance du 1 er juillet 2004 ne permettant pas le développement d outils «industriels», ces solutions doivent être suffisamment légères pour pouvoir être facilement mises en œuvre. Par ailleurs, elles ne doivent pas inciter les expéditeurs à moins de vigilance sur leurs strictes obligations d équilibrage du réseau de transport et les dispenser de minimiser leurs déséquilibres par l'utilisation des différents moyens d'équilibrage dont ils disposent. Etant entendu que les expéditeurs utilisent tous les moyens dont ils disposent pour s équilibrer, notamment leurs éventuelles capacités de stockage, il est proposé que, jusqu au 30 juin 2005, dans le cas où un expéditeur devrait payer des pénalités de déséquilibre (écart journalier ou écart cumulé), la procédure suivante soit appliquée : - le GRT demande au GRD concerné le re calcul de l allocation de l expéditeur, aux PITD de la zone d équilibrage sur lesquels celui-ci est actif, sur la base d un k 2 de référence. Dans un premier temps, le k 2 de référence sera égal à 1 pour tous les PITD. Dans un second temps, au vu des premiers résultats, le k 2 de référence d un PITD pourra, le cas échéant, être redéfini sur une valeur stabilisée différente de 1. Les expéditeurs seront informés de toute évolution des k 2 de référence sur les sites internet des GRT, avec un préavis de 15 jours. - le GRT dé-pénalise les quantités achetées ou vendues par l expéditeur au-delà de l allocation corrigée, en remplaçant le prix pénalisé par le prix de référence de la zone d équilibrage concernée, tel que défini dans le tarif de transport en vigueur. Cette solution présente les avantages suivants : elle maintient les obligations d équilibrage des expéditeurs jusqu à un k 2 de référence connu, tout en supprimant les pénalités de transport dues à des variations significatives et non maîtrisées du k 2 par rapport à cette référence, elle évite de mettre en place des mécanismes lourds en SI, elle peut être mise en œuvre, le cas échéant, une fois par mois au moment de la facturation, elle ne change pas les règles définies en transport et aux PITD, 14/02/05 5

6 elle n impacte pas les quantités de gaz allouées aux PITD. Il n y a donc pas de quantité de bouclage à affecter à un des acteurs. Néanmoins, le traitement étant manuel pour l instant, il pourrait devenir rédhibitoire si le nombre de calculs à effectuer par les GRD et GRT était élevé. L opportunité de prolonger la période transitoire d application de cette solution sera examinée à la fin du 1 er semestre 2005 au vu du retour d expérience à cette date. La bonne adéquation de cette solution devra également être périodiquement évaluée. Si la solution s avérait inadéquate pour un des acteurs, une autre solution devrait être trouvée, l objectif restant de ne pas faire supporter aux expéditeurs les conséquences de variations significatives et non maîtrisées des coefficients k 1 et k 2, qu ils ne pourraient pas compenser par d autres moyens. 4. Problématique «Dépassement de capacités» Certains expéditeurs ont exprimé le même souci pour le risque de dépassement de capacités que celui exprimé pour les déséquilibres. Les GRT estiment que le sujet a déjà été abordé dans le sous-groupe «Dimensionnement et allocation de capacités aux PITD» et qu il ne relève pas de la même problématique que celle relative aux déséquilibres ( 3). Néanmoins, les membres du groupe de travail ont convenu de mettre en œuvre la même solution que celle décrite au 3.4, en dépénalisant de manière temporaire les dépassements de capacités par rapport à des k 2 de référence. L opportunité de prolonger la période transitoire d application de cette solution sera examinée à la fin du 1 er semestre 2005 au vu du retour d expérience à cette date. La bonne adéquation de cette solution devra également être périodiquement évaluée. Si la solution s avérait inadéquate pour un des acteurs, une autre solution devrait être trouvée, l objectif restant de ne pas faire supporter aux expéditeurs les conséquences de variations significatives et non maîtrisées des coefficients k 1 et k 2, qu ils ne pourraient pas compenser par d autre moyens. 14/02/05 6

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