MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI
|
|
- Chantal Guérard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple - Un But - Une Foi SECRETARIAT GENERAL CENTRE NATIONAL D INFORMATION, D EDUCATION ET DE COMMUNICATION POUR LA SANTE (CNIECS) FICHES TECHNIQUES MODULE DE FORMATION DES COMMUNICATEURS TRADITIONNELS DANS LE CADRE DE LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Mars 2008
2 OBJECTIFS D APPRENTISSAGE A la fin de la formation, les participants seront capables de : décrire les missions du Programme National de Lutte contre le Paludisme ; citer les objectifs généraux du Programme National de Lutte contre le Paludisme ; citer trois (3) méthodes de prévention contre le paludisme ; expliquer le traitement retenu pour la prévention du paludisme chez la femme enceinte ; orienter les populations vers les centres de santé pour recevoir les meilleurs soins ; formuler deux messages pour chacune des cibles suivantes : les mères, les leaders communautaires et le public ; citer deux stratégies de lutte et de promotion des bonnes pratiques nécessaires pour faire reculer le paludisme ; énumérer deux principes généraux de la communication pour le changement de comportement des communautés en matière de prévention, traitement et contrôle du paludisme. RESULTATS ATTENDUS Les communicateurs traditionnels connaissent les missions et les objectifs du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP). Les communicateurs traditionnels connaissent le rôle qu ils doivent jouer dans la lutte contre le paludisme. Les communicateurs traditionnels connaissent au moins deux principes généraux de la communication pour le changement de comportement dans le domaine de la prévention, du traitement et du contrôle du paludisme. Les communicateurs traditionnels s engagent à œuvrer aux côtés des autres acteurs pour le changement de comportement nécessaire afin de faire reculer le paludisme. STRUCTURE DU MODULE Le module est composé de trois (3) thèmes : un aperçu sur le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) ; le rôle et la place de la communication traditionnelle dans la lutte contre le paludisme ; la communication pour le changement de comportement (CCC).
3 THEME I : APERCU SUR LE PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME (PNLP) Les responsables de la santé du Mali ont mis l accent sur le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) en tant qu élément important d un plan global de promotion de la santé de la population en général et particulièrement de la mère et de l enfant. En impliquant les communicateurs traditionnels dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de communication pour la lutte contre le paludisme, l on espère obtenir des populations un changement de comportement susceptible de faire reculer la maladie. SOUS THEME I : GENERALITES Au Mali, le système de référence des malades est organisé de la manière suivante : 1) Les relais communautaires niveau villages /quartier 2) Les Centres de Santé Communautaires (CSCOM) et les structures privées ou confessionnelles de santé. 3) Les Centres de Santé de Référence (CSRéf) 4) Les grands hôpitaux Historique En plus des activités menées depuis l indépendance, l engagement de l Etat dans la lutte contre le paludisme s est manifesté par des actions concrètes à partir de : 1993 : Elaboration du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) ; 2002 : Mise en œuvre de la stratégie intégrée de la promotion de la moustiquaire imprégnée d insecticides longue durée (MIILD) ; 2003 : Introduction du Traitement Préventif Intermittent (TPI) à la sulfadoxine pyriméthamine (SP) chez la femme enceinte ; 2004 : Introduction des Combinaisons Thérapeutiques à base d Artémisinine (CTA) 2007 : Retrait de la chloroquine ; Prise en charge gratuite des enfants de 0 à 5 ans par les CTA en cas de paludisme simple, par la quinine en cas de paludisme grave et compliqué chez l enfant de 0 à 5 ans et chez les femmes enceintes. En dépit des efforts accomplis, la lutte contre le paludisme rencontre encore certaines difficultés liées à: la faible connaissance chez les populations des méthodes de prévention, de diagnostic et de traitement du paludisme ; la méconnaissance des causes du paludisme ;
4 l existence des croyances très souvent fortement encrées chez certaines populations ; le recours d une majorité de la population au traitement traditionnel ; le recours systématique à l automédication. Missions du PNLP La mission principale du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) se résume d une manière générale à faire reculer le paludisme au Mali et en particulier à réduire les taux de morbidité et de mortalité chez les enfants de moins de cinq (5) ans et les femmes enceintes. SOUS THEME II : PRESENTATION DE LA MALADIE Au Mali, le paludisme est la première cause de consultation, de mortalité et d absentéisme des élèves et des travailleurs. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq (5) ans sont durement touchés par la maladie. Définition Le paludisme est une maladie parasitaire provoqué par la piqûre d un moustique femelle appelé anophèle. Le paludisme se guérit rapidement s il est vite pris en charge au centre de santé. Signes de la maladie Le paludisme se manifeste par un ou plusieurs des symptômes suivants : une forte fièvre pouvant atteindre 41 ; les maux de tête ; les frissons avec sensation de froid ; les courbatures généralisées ; les nausées ou vomissements et quelques fois la diarrhée ; la faiblesse et le manque d appétit. Cas de complications L automédication et le retard dans le traitement sont des causes de complication du paludisme. Chez les enfants de 0 à 5 ans, il est fréquemment constaté des accès pernicieux (neuropaludisme) appelés «kono» en bambara. Cette forme se manifeste par : la forte fièvre, les convulsions, l agitation, les délires et le coma. N.B : Tout enfant qui présente l un de ces signes doit être conduit immédiatement au centre de santé le plus proche. Chez la femme enceinte, le paludisme peut entraîner des conséquences graves pour la vie de la maman et de l enfant. Cela se manifeste par : l anémie, l avortement, l accouchement prématuré, le faible poids de l enfant à la naissance, le risque élevé de mortalité pour le nouveau-né et l hémorragie pendant la délivrance. N.B : Pour éviter ces cas de complication, il faut absolument faire régulièrement des consultations prénatales au centre de santé dès les premiers signes de la grossesse. Il faut également prendre deux doses de sulfadoxine pyriméthamine (SP) entre le 4 ème et le 8 ème mois de la grossesse. La femme enceinte doit dormir chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticides.
5 SOUS THEME III : MESURES PREVENTIVES ET MESSAGES DE SENSIBILISATION Mesures préventives Pour éviter le paludisme, il est conseillé d observer certaines mesures : dormir chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticides ; faire les visites de consultations prénatales pour prévenir le paludisme chez la femme enceinte ; utiliser des rideaux et traverses trempés dans de l insecticide ; mettre des grillages anti-moustiques aux portes et fenêtres des maisons ; porter des habits à manches longues et couvrir les jambes si nous restons tard la nuit au dehors ; drainer les eaux stagnantes qui sont des gîtes de moustiques ; combler les fosses et aménager les alentours des puits ; éviter les cultures dans les concessions et alentours ; protéger les eaux de consommation et ne pas laisser traîner les récipients usagés pouvant contenir de l eau ; évacuer les eaux usées loin des habitations ; curer les caniveaux, etc. Quelques messages de sensibilisation Pour les mères Femmes enceintes, faites régulièrement vos visites de consultations prénatales (CPN) pour bénéficier gratuitement des moustiquaires imprégnées d insecticide et de la sulfadoxine pyriméthamine (SP). Ainsi, vous serez protégées contre le paludisme. Femmes enceintes, fréquentez régulièrement les structures de santé pour les consultations prénatales, afin de bénéficier des deux doses de la sulfadoxine pyriméthamine dont la première est administrée à partir du 4 ème mois et la deuxième au 8 ème mois au plus tard. Ainsi vous serez protégées contre le paludisme. Mères, emmenez régulièrement vos enfants aux séances de vaccination pour qu ils soient complètement vaccinés et bénéficier gratuitement d une moustiquaire imprégnée d insecticide qui les protégera contre le paludisme. Mères de famille, dormez et faites dormir vos enfants de 0 à 5 ans toutes les nuits sous moustiquaires imprégnées d insecticide, ainsi vous et vos enfants serez protégés contre le paludisme. Mères, dès que vous constatez une élévation de température chez vos enfants, enveloppez le dans un linge mouillé et consultez immédiatement un agent de santé pour une meilleure prise en charge. Pour le Public Populations, les aliments gras, les aliments sucrés, les fruits sucrés, le lait frais les œufs et les légumes frais ne donnent en aucun cas le paludisme. Le paludisme est dû uniquement aux piqûres des moustiques. Dormez chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticide pour se protéger contre le paludisme.
6 Populations, ne faites pas l auto médication qui est un facteur d aggravation du paludisme, pour tout cas de fièvre consultez immédiatement les agents de santé, pour éviter les formes grave du paludisme. Populations, les combinaisons thérapeutiques à base d artémésinine (CTA) sont données gratuitement aux enfants de moins de 5 ans dans les centres de santé. Emmener immédiatement les enfants au centre de santé dès qu ils ont le corps chaud afin qu ils bénéficient d une prise en charge précoce. Populations, l accès pernicieux «KONO» est une complication grave du paludisme non traité ou mal traité. Pour une meilleure prise en charge, emmener immédiatement au centre de santé le plus proche tout enfant présentant l un des signes suivants : persistance de la fièvre, convulsion (révulsion oculaire) incapacité de s asseoir, vomissement. Population, un environnement insalubre est propice à la prolifération des moustiques vecteurs du paludisme. Rendez votre environnement propre en menant les actions suivantes : éliminer les eaux stagnantes ; évacuer quotidiennement les ordures ; désherber régulièrement la cour et ses alentours ; éviter les cultures dans la cour et ses alentours ; curer régulièrement les caniveaux ; éviter l élevage des animaux dans les concessions ; éviter de laisser traîner les récipients usagers pouvant contenir de l eau. Ainsi vous serez à l abri du paludisme. Pour les leaders communautaires Leaders d opinion, d associations ou de groupements, responsables administratifs et politiques, la lutte contre le paludisme, serait vaine sans votre implication. Participez à améliorer le cadre de vie des populations en leur facilitant l accès aux soins. Ainsi vous aurez fait œuvre utile pour votre communauté. Leaders communautaires, la moustiquaire imprégnée d insecticides est un moyen efficace dans la prévention du paludisme chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, impliquez vous pour sa vulgarisation. Ainsi vous aurez fait œuvre utile pour votre communauté.
7 THEME II : LE COMMUNICATEUR TRADITIONNEL ROLE ET RESONSABILITES DU COMMUNICATEUR TRADITIONNEL Présentation : La communication traditionnelle : expression d une identité culturelle. Elle est l apanage des hommes de caste communément appelés «Niamakala». C està-dire ceux qui, de génération en génération ont transmis oralement l histoire et la culture de père en fils et de mère en fille. Considéré à ce titre comme dépositaire de la mémoire des peuples et maître de la parole, le communicateur traditionnel de souche continue de bénéficier d une légitimité populaire doublée d une solide crédibilité auprès de la population. Rôle : intervenir pendant les baptêmes, mariages, funérailles, conflits ou toutes autres cérémonies pour faciliter les débats ; rappeler l histoire millénaire qu il a reçue de ses prédécesseurs ; utiliser adroitement des dictons, des expressions, des proverbes et du rythme pour attirer l attention de l auditoire. Responsabilités : le respect de l éthique et de la déontologie ; le maintien de la tranquillité sociale. IMPLICATION DES COMMUNICATEURS TRADITIONNELS DANS CONTRE LE PALUDISME LA LUTTE Catégories de Communicateurs Traditionnels : Jeli : griot Numu : forgeron Fina : homme de caste ayant pour rôle de faire la promotion de l islam Garanke : cordonnier Mabo : tisserand Gesere : griot en milieu soninké Kusantage : forgeron en milieu soninké Sake : sculpteur Gawulo : griot en milieu peulh du Fouta Garassa : forgeron ou griot en milieux Songhoy et Tamasheq Woloso : Bien que n étant pas niamakala est le dernier recours dans le règlement des conflits.
8 Stratégies d implication des communicateurs traditionnels dans le PNLP Mode d intervention L habilité du communicateur traditionnel renvoie à la carte affective et organisationnelle de la communauté à laquelle il s adresse. Ainsi, en matière de sexualité ou de procréation par exemple, le concours des leaders religieux et des groupes d âge est sollicité dans la diffusion du message. Domaines de compétence en matière de lutte contre le paludisme : l information des populations concernant les méthodes de prévention de la maladie ; l information des populations de la disponibilité dans les centres de santé, de médicaments appropriés pour soigner rapidement et efficacement le paludisme ; la sensibilisation des mères, des leaders communautaires, et du public sur l utilisation de la moustiquaire imprégnée d insecticides longue durée.
9 THEME III : COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT CONCEPTS ET DEFINITIONS Communication : c est un processus qui consiste à échanger des idées ou des informations avec une ou plusieurs personnes, afin d apporter le savoir, le savoir faire, le savoir être nécessaire pour le changement de comportement souhaité Changement : action de modifier, de remplacer ; c est la perturbation d un système avec pour résultat des effets visibles. Le changement de comportement peut être positif, amélioré ou même négatif. Comportement : manière de se conduire ; ensemble des réactions objectivement observables chez un individu qui agit en réponse à des stimulations internes ou externes. Le comportement d un individu peut s exprimer par un geste, un acte, une perception etc. Communication pour le changement de comportement (CCC) : c est un processus qui consiste à échanger des idées ou des informations avec soi-même ou avec une ou plusieurs personnes, afin d apporter le savoir, le savoir faire et le savoir être nécessaire pour un changement de comportement. Facteurs qui influencent le changement de comportement Les facteurs liés à l individu, le motivent à adopter un nouveau comportement. Les facteurs liés à l environnement sont externes à l individu mais ils exercent sur lui une motivation à adopter ou à poursuivre un comportement. STRATEGIES POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT Quelques causes de résistance au changement de comportement la peur du changement ; les habitudes (seconde nature) sont sources de sécurité ou de plaisir ; l ignorance des bienfaits du nouveau comportement ; l opposition entre le nouveau comportement et les pratiques établies/existantes; l insuffisance d informations rassurantes et convaincantes ; le conformisme ou certaines considérations traditionnelles ou religieuses. Pour vaincre les résistances au changement de comportement dans le cadre de la lutte contre le paludisme il est nécessaire de mener les actions suivantes : la proposition dans la communauté des personnes ressources comme les relais, les niamakala, les leaders d opinion, les présidents d association etc.; la formation et le recyclage des personnes ressources sur le paludisme ;
10 l identification et l orientation des cas de paludisme vers le centre de santé le plus proche ; la promotion de l utilisation de la moustiquaire imprégnée d insecticides ; la formation des personnes ressources à l utilisation d un outil de communication pour le changement de comportement. Principes généraux en CCC Bien qu il n y ait pas d approche unique et uniforme, quelques principes généraux doivent être respectés. Il s agit notamment de : responsabiliser les acteurs concernés Dans le processus de la communication pour le changement de comportement, chaque individu doit être responsable de sa décision et de son action. Il s agira d inciter l individu à décider de lui-même. respecter la diversité des acteurs Dans ce cas précis, il faut tenir compte de la diversité et communiquer avec toutes les couches, s assurer que chacun a le même poids dans la prise de décision en matière de changement de comportement. engager la communication avec tous les acteurs Il est important que le message à communiquer prenne en compte certaines catégories sociales comme les femmes, les enfants et les groupes marginalisés. concilier le changement proposé avec les valeurs établies Le changement proposé doit offrir des avantages viables, il ne doit en aucune manière menacer l autorité, l autonomie, la sécurité ou un quelconque privilège des acteurs concernés. examiner la situation selon le point de vue des différents groupes d acteurs Aborder par exemple la question du paludisme dans une seule perspective, à partir d une seule technique, peut provoquer des déviations. L approche triangulaire, c'està-dire analyser à partir de trois points de vue au moins, rendrait les informations collectées plus complètes et plus fiables.
11 Ces fiches techniques ont été élaborées par le Centre National d Information, d Education et de Communication pour la Santé (CNIECS) avec l appui technique et financier du Programme Santé USAID/ Assistance Technique Nationale et la collaboration du Réseau des Communicateurs Traditionnels pour le Développement (RECOTRADE)
Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détaille livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé.
L association plaisirs de l eau vous présente le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. http://plaisir-de-leau.wifeo.com 27/09/14 Plaisirs de l eau livret bébé nageur 1 BIENVENUE à l association
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailBANQUE CENTRALE DU CONGO
BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailLa lutte contre le paludisme
FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des
Plus en détailMANUEL DE FORMATION DES RELAIS COMMUNAUTAIRES EN SANTE MATERNELLE ET NEONATALE ET EN TECHNIQUES DE COMMUNICATION
REPUBLIQUE DU NIGER Fraternité - Travail - Progrès ----------- MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ----------- DIRECTION GENERALE DE LA SANTE PUBLIQUE ----------- DIRECTION DE LA SANTE DE LA MERE ET DE L ENFANT
Plus en détailPlanification familiale et. Cheickna TOURE Directeur Général Adjoint Union Technique de la Mutualité Malienne UTM
Planification familiale et assurance santé Cheickna TOURE Directeur Général Adjoint Union Technique de la Mutualité Malienne UTM - Situation sanitaire Plan de présentation -Description des régimes d assurance
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailRÈGLEMENT 569. Et résolu à l unanimité des conseillers présents que le règlement suivant soit adopté :
2011-06-117 CANADA PROVINCE DE QUÉBEC MRC DRUMMOND MUNICIPALITÉ DE SAINT-FÉLIX-DE-KINGSEY RÈGLEMENT 569 RÈGLEMENT ÉTABLISSANT LES CONDITIONS DE SALUBRITÉ ET D'ENTRETIEN DES LOGEMENTS CONSIDÉRANT QU en
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailDISCOURS MOUSTIQUE AEDES
DISCOURS MOUSTIQUE AEDES Il existe différents types de moustiques, dont le moustique tigre (nom scientifique Aedes albopictus), reconnaissable à sa silhouette noire et à ses rayures blanches, sur l abdomen
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailC est quoi un logement insalubre?
LOGEMENT INSALUBRE C est quoi un logement insalubre? C est un logement qui présente un danger pour la santé des occupants, compte tenu de la dégradation du bâti ou de la présence de substances dangereuses
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détail«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable
«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier
Plus en détailTravailler ensemble pour une meilleure alimentation, éthique et plus respectueuse des animaux d élevage. CIWF Agroalimentaire
Travailler ensemble pour une meilleure alimentation, éthique et plus respectueuse des animaux d élevage CIWF Agroalimentaire L Équipe Agroalimentaire Depuis sa création en 2007, l équipe agroalimentaire
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailSénégal. Enquête Nationale sur le Paludisme 2008-2009 (ENPS-II)
Sénégal Enquête Nationale sur le Paludisme 2008-2009 (ENPS-II) RÉPUBLIQUE DU SÉNÉGAL Enquête Nationale sur le Paludisme au Sénégal 2008-2009 (ENPS-II) Salif Ndiaye Mohamed Ayad Ministère de la Santé,
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailFocus Assistance 2014
Focus Assistance 2014 SOCIETE D ASSURANCE MUTUELLE LES SERVICES D ASSISTANCE INTÉGRÉS À VOS CONTRATS D ASSURANCES SOMMAIRE Assistance Route Tranquille... 3 Assistance Automobile... 4-5 Assistance Vie Tranquille...
Plus en détailInstitut Régional du Travail Social Poitou-Charentes
Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi
Plus en détailLes 11 èmes Journées de la Recherche Avicole et Palmipèdes à Foie Gras les 25 et 26 mars 2015, à Tours CONSIGNES AUX AUTEURS Soumission du résumé
Les 11 èmes Journées de la Recherche Avicole et Palmipèdes à Foie Gras les 25 et 26 mars 2015, à Tours CONSIGNES AUX AUTEURS Soumission du résumé Retro-Planning 31 août 2014 : Soumission des propositions
Plus en détailPROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un
Plus en détailGuide de l'invité du Club Toastmasters francophone : «Grand Lyon» www.toastmasters-grandlyon.org
Guide de l'invité du Club Toastmasters francophone : «Grand Lyon» www.toastmasters-grandlyon.org Version du 5-12-2014 Table des matières Toastmasters International... 3 Programme de formation... 4 Les
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailOBSERVATOIRE DE LA m-santé
OBSERVATOIRE DE LA m-santé La m-santé, de nouvelles perspectives pour le bien-être et la santé Qu il s agisse de surveiller son poids ou son alimentation, d arrêter de fumer, de mesurer son activité physique
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailORGANIGRAMME DES ETUDES
ORGANIGRAMME DES ETUDES Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat de Qualification C.E.S.S. après la 7ème année Certificat de Qualification
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailLE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE
LE SOMMEIL : QUAND MORPHÉE SE FAIT ATTENDRE Le sommeil est très important pour la croissance et le bon développement de l enfant. Toutefois, il arrive que certains bébés aient plus de mal à dormir que
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailAPPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012
APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012 RÉPONSE DE L ORGANISME LES ORGANISMES DE FORMATI ON S ENGAGENT A COMPLETER LE PRESENT DOCUMENT DE REPONSE DANS LE CADRE DE L APPEL A PROPOSITION SUR LE
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailLe Guide. des stratégies pour la lutte : Malaria Safe
«Nous encourageons les leaders du secteur privé dans toutes les régions endémiques à lire le Guide des stratégies et à appliquer ses stratégies gagnantes.» Professeur Awa Marie Coll-Seck Director exécutif
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailMETIERS DE L INFORMATIQUE
METIERS DE L INFORMATIQUE ISO 27001 LEAD AUDITOR REF : GOMO019 DUREE : 5 JOURS TARIF : 3 500 HT Public Toute personne amenée à conduire des audits dans le domaine de la sécurité des systèmes d'information.
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailListe des formations : Développement personnel
Liste des formations : Développement personnel Gamme de formation 06 LES 5 OUTILS ESSENTIELS DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL POUR... 7108 DEVELOPPER SA PRESENCE POUR MIEUX COMMUNIQUER http://www.cegos.fr/formation-ameliorer-ses-relationsprofessionnelles/p-0106-
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailMODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES
MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier
Plus en détailPOLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY
POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler
Plus en détailJournée Allaitement. Formation et Clinique d allaitement. en pharmacie. en pharmacie
Journée Allaitement en pharmacie Formation et Clinique d allaitement en pharmacie Formation aux pharmaciens en allaitement accréditée par l Ordre des pharmaciens du Québec 1,5 UFC Durée : 1 h 30 Clinique
Plus en détailwww.habefast.ch contact@habefast.ch Agence web en Suisse romande CH-1260 Nyon 022 362 25 70
1 By Agence web en Suisse romande 2 Qu est ce qu est le SEO? Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimisation) est une pratique qui, comme son nom l indique, permet d optimiser un site web pour
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailRÈGLEMENT 2012-24 VERSION REFONDUE
PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT D ABITIBI VILLE DE VAL-D'OR RÈGLEMENT 2012-24 VERSION REFONDUE Règlement concernant la salubrité et l entretien des habitations. PRÉAMBULE CONSIDÉRANT QUE la Loi sur l aménagement
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailTHEMATIQUE J : COMMUNICATION DIGITALE 1
ANNEXES 1. LA COMMANDE DE LA BRANCHE 2. LE DOSSIER DE CANDIDATURE OFFRE DE FORMATIONS 2015 A DESTINATION DES ENTREPRISES DE LA BRANCHE DU GOLF ADHÉRENTES A UNIFORMATION THEMATIQUE J : COMMUNICATION DIGITALE
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailREUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010
REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailINVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME
INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailPrise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école
Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport
Plus en détailDéfi 7/7 Mission Ecogestes
Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières
Plus en détailConditions Générales pour l achat de biens et services
Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détail