MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI

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1 MINISTERE DE LA SANTE REPUBLIQUE DU MALI Un Peuple - Un But - Une Foi SECRETARIAT GENERAL CENTRE NATIONAL D INFORMATION, D EDUCATION ET DE COMMUNICATION POUR LA SANTE (CNIECS) FICHES TECHNIQUES MODULE DE FORMATION DES COMMUNICATEURS TRADITIONNELS DANS LE CADRE DE LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Mars 2008

2 OBJECTIFS D APPRENTISSAGE A la fin de la formation, les participants seront capables de : décrire les missions du Programme National de Lutte contre le Paludisme ; citer les objectifs généraux du Programme National de Lutte contre le Paludisme ; citer trois (3) méthodes de prévention contre le paludisme ; expliquer le traitement retenu pour la prévention du paludisme chez la femme enceinte ; orienter les populations vers les centres de santé pour recevoir les meilleurs soins ; formuler deux messages pour chacune des cibles suivantes : les mères, les leaders communautaires et le public ; citer deux stratégies de lutte et de promotion des bonnes pratiques nécessaires pour faire reculer le paludisme ; énumérer deux principes généraux de la communication pour le changement de comportement des communautés en matière de prévention, traitement et contrôle du paludisme. RESULTATS ATTENDUS Les communicateurs traditionnels connaissent les missions et les objectifs du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP). Les communicateurs traditionnels connaissent le rôle qu ils doivent jouer dans la lutte contre le paludisme. Les communicateurs traditionnels connaissent au moins deux principes généraux de la communication pour le changement de comportement dans le domaine de la prévention, du traitement et du contrôle du paludisme. Les communicateurs traditionnels s engagent à œuvrer aux côtés des autres acteurs pour le changement de comportement nécessaire afin de faire reculer le paludisme. STRUCTURE DU MODULE Le module est composé de trois (3) thèmes : un aperçu sur le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) ; le rôle et la place de la communication traditionnelle dans la lutte contre le paludisme ; la communication pour le changement de comportement (CCC).

3 THEME I : APERCU SUR LE PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME (PNLP) Les responsables de la santé du Mali ont mis l accent sur le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) en tant qu élément important d un plan global de promotion de la santé de la population en général et particulièrement de la mère et de l enfant. En impliquant les communicateurs traditionnels dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de communication pour la lutte contre le paludisme, l on espère obtenir des populations un changement de comportement susceptible de faire reculer la maladie. SOUS THEME I : GENERALITES Au Mali, le système de référence des malades est organisé de la manière suivante : 1) Les relais communautaires niveau villages /quartier 2) Les Centres de Santé Communautaires (CSCOM) et les structures privées ou confessionnelles de santé. 3) Les Centres de Santé de Référence (CSRéf) 4) Les grands hôpitaux Historique En plus des activités menées depuis l indépendance, l engagement de l Etat dans la lutte contre le paludisme s est manifesté par des actions concrètes à partir de : 1993 : Elaboration du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) ; 2002 : Mise en œuvre de la stratégie intégrée de la promotion de la moustiquaire imprégnée d insecticides longue durée (MIILD) ; 2003 : Introduction du Traitement Préventif Intermittent (TPI) à la sulfadoxine pyriméthamine (SP) chez la femme enceinte ; 2004 : Introduction des Combinaisons Thérapeutiques à base d Artémisinine (CTA) 2007 : Retrait de la chloroquine ; Prise en charge gratuite des enfants de 0 à 5 ans par les CTA en cas de paludisme simple, par la quinine en cas de paludisme grave et compliqué chez l enfant de 0 à 5 ans et chez les femmes enceintes. En dépit des efforts accomplis, la lutte contre le paludisme rencontre encore certaines difficultés liées à: la faible connaissance chez les populations des méthodes de prévention, de diagnostic et de traitement du paludisme ; la méconnaissance des causes du paludisme ;

4 l existence des croyances très souvent fortement encrées chez certaines populations ; le recours d une majorité de la population au traitement traditionnel ; le recours systématique à l automédication. Missions du PNLP La mission principale du Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) se résume d une manière générale à faire reculer le paludisme au Mali et en particulier à réduire les taux de morbidité et de mortalité chez les enfants de moins de cinq (5) ans et les femmes enceintes. SOUS THEME II : PRESENTATION DE LA MALADIE Au Mali, le paludisme est la première cause de consultation, de mortalité et d absentéisme des élèves et des travailleurs. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq (5) ans sont durement touchés par la maladie. Définition Le paludisme est une maladie parasitaire provoqué par la piqûre d un moustique femelle appelé anophèle. Le paludisme se guérit rapidement s il est vite pris en charge au centre de santé. Signes de la maladie Le paludisme se manifeste par un ou plusieurs des symptômes suivants : une forte fièvre pouvant atteindre 41 ; les maux de tête ; les frissons avec sensation de froid ; les courbatures généralisées ; les nausées ou vomissements et quelques fois la diarrhée ; la faiblesse et le manque d appétit. Cas de complications L automédication et le retard dans le traitement sont des causes de complication du paludisme. Chez les enfants de 0 à 5 ans, il est fréquemment constaté des accès pernicieux (neuropaludisme) appelés «kono» en bambara. Cette forme se manifeste par : la forte fièvre, les convulsions, l agitation, les délires et le coma. N.B : Tout enfant qui présente l un de ces signes doit être conduit immédiatement au centre de santé le plus proche. Chez la femme enceinte, le paludisme peut entraîner des conséquences graves pour la vie de la maman et de l enfant. Cela se manifeste par : l anémie, l avortement, l accouchement prématuré, le faible poids de l enfant à la naissance, le risque élevé de mortalité pour le nouveau-né et l hémorragie pendant la délivrance. N.B : Pour éviter ces cas de complication, il faut absolument faire régulièrement des consultations prénatales au centre de santé dès les premiers signes de la grossesse. Il faut également prendre deux doses de sulfadoxine pyriméthamine (SP) entre le 4 ème et le 8 ème mois de la grossesse. La femme enceinte doit dormir chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticides.

5 SOUS THEME III : MESURES PREVENTIVES ET MESSAGES DE SENSIBILISATION Mesures préventives Pour éviter le paludisme, il est conseillé d observer certaines mesures : dormir chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticides ; faire les visites de consultations prénatales pour prévenir le paludisme chez la femme enceinte ; utiliser des rideaux et traverses trempés dans de l insecticide ; mettre des grillages anti-moustiques aux portes et fenêtres des maisons ; porter des habits à manches longues et couvrir les jambes si nous restons tard la nuit au dehors ; drainer les eaux stagnantes qui sont des gîtes de moustiques ; combler les fosses et aménager les alentours des puits ; éviter les cultures dans les concessions et alentours ; protéger les eaux de consommation et ne pas laisser traîner les récipients usagés pouvant contenir de l eau ; évacuer les eaux usées loin des habitations ; curer les caniveaux, etc. Quelques messages de sensibilisation Pour les mères Femmes enceintes, faites régulièrement vos visites de consultations prénatales (CPN) pour bénéficier gratuitement des moustiquaires imprégnées d insecticide et de la sulfadoxine pyriméthamine (SP). Ainsi, vous serez protégées contre le paludisme. Femmes enceintes, fréquentez régulièrement les structures de santé pour les consultations prénatales, afin de bénéficier des deux doses de la sulfadoxine pyriméthamine dont la première est administrée à partir du 4 ème mois et la deuxième au 8 ème mois au plus tard. Ainsi vous serez protégées contre le paludisme. Mères, emmenez régulièrement vos enfants aux séances de vaccination pour qu ils soient complètement vaccinés et bénéficier gratuitement d une moustiquaire imprégnée d insecticide qui les protégera contre le paludisme. Mères de famille, dormez et faites dormir vos enfants de 0 à 5 ans toutes les nuits sous moustiquaires imprégnées d insecticide, ainsi vous et vos enfants serez protégés contre le paludisme. Mères, dès que vous constatez une élévation de température chez vos enfants, enveloppez le dans un linge mouillé et consultez immédiatement un agent de santé pour une meilleure prise en charge. Pour le Public Populations, les aliments gras, les aliments sucrés, les fruits sucrés, le lait frais les œufs et les légumes frais ne donnent en aucun cas le paludisme. Le paludisme est dû uniquement aux piqûres des moustiques. Dormez chaque nuit sous moustiquaire imprégnée d insecticide pour se protéger contre le paludisme.

6 Populations, ne faites pas l auto médication qui est un facteur d aggravation du paludisme, pour tout cas de fièvre consultez immédiatement les agents de santé, pour éviter les formes grave du paludisme. Populations, les combinaisons thérapeutiques à base d artémésinine (CTA) sont données gratuitement aux enfants de moins de 5 ans dans les centres de santé. Emmener immédiatement les enfants au centre de santé dès qu ils ont le corps chaud afin qu ils bénéficient d une prise en charge précoce. Populations, l accès pernicieux «KONO» est une complication grave du paludisme non traité ou mal traité. Pour une meilleure prise en charge, emmener immédiatement au centre de santé le plus proche tout enfant présentant l un des signes suivants : persistance de la fièvre, convulsion (révulsion oculaire) incapacité de s asseoir, vomissement. Population, un environnement insalubre est propice à la prolifération des moustiques vecteurs du paludisme. Rendez votre environnement propre en menant les actions suivantes : éliminer les eaux stagnantes ; évacuer quotidiennement les ordures ; désherber régulièrement la cour et ses alentours ; éviter les cultures dans la cour et ses alentours ; curer régulièrement les caniveaux ; éviter l élevage des animaux dans les concessions ; éviter de laisser traîner les récipients usagers pouvant contenir de l eau. Ainsi vous serez à l abri du paludisme. Pour les leaders communautaires Leaders d opinion, d associations ou de groupements, responsables administratifs et politiques, la lutte contre le paludisme, serait vaine sans votre implication. Participez à améliorer le cadre de vie des populations en leur facilitant l accès aux soins. Ainsi vous aurez fait œuvre utile pour votre communauté. Leaders communautaires, la moustiquaire imprégnée d insecticides est un moyen efficace dans la prévention du paludisme chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, impliquez vous pour sa vulgarisation. Ainsi vous aurez fait œuvre utile pour votre communauté.

7 THEME II : LE COMMUNICATEUR TRADITIONNEL ROLE ET RESONSABILITES DU COMMUNICATEUR TRADITIONNEL Présentation : La communication traditionnelle : expression d une identité culturelle. Elle est l apanage des hommes de caste communément appelés «Niamakala». C està-dire ceux qui, de génération en génération ont transmis oralement l histoire et la culture de père en fils et de mère en fille. Considéré à ce titre comme dépositaire de la mémoire des peuples et maître de la parole, le communicateur traditionnel de souche continue de bénéficier d une légitimité populaire doublée d une solide crédibilité auprès de la population. Rôle : intervenir pendant les baptêmes, mariages, funérailles, conflits ou toutes autres cérémonies pour faciliter les débats ; rappeler l histoire millénaire qu il a reçue de ses prédécesseurs ; utiliser adroitement des dictons, des expressions, des proverbes et du rythme pour attirer l attention de l auditoire. Responsabilités : le respect de l éthique et de la déontologie ; le maintien de la tranquillité sociale. IMPLICATION DES COMMUNICATEURS TRADITIONNELS DANS CONTRE LE PALUDISME LA LUTTE Catégories de Communicateurs Traditionnels : Jeli : griot Numu : forgeron Fina : homme de caste ayant pour rôle de faire la promotion de l islam Garanke : cordonnier Mabo : tisserand Gesere : griot en milieu soninké Kusantage : forgeron en milieu soninké Sake : sculpteur Gawulo : griot en milieu peulh du Fouta Garassa : forgeron ou griot en milieux Songhoy et Tamasheq Woloso : Bien que n étant pas niamakala est le dernier recours dans le règlement des conflits.

8 Stratégies d implication des communicateurs traditionnels dans le PNLP Mode d intervention L habilité du communicateur traditionnel renvoie à la carte affective et organisationnelle de la communauté à laquelle il s adresse. Ainsi, en matière de sexualité ou de procréation par exemple, le concours des leaders religieux et des groupes d âge est sollicité dans la diffusion du message. Domaines de compétence en matière de lutte contre le paludisme : l information des populations concernant les méthodes de prévention de la maladie ; l information des populations de la disponibilité dans les centres de santé, de médicaments appropriés pour soigner rapidement et efficacement le paludisme ; la sensibilisation des mères, des leaders communautaires, et du public sur l utilisation de la moustiquaire imprégnée d insecticides longue durée.

9 THEME III : COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT CONCEPTS ET DEFINITIONS Communication : c est un processus qui consiste à échanger des idées ou des informations avec une ou plusieurs personnes, afin d apporter le savoir, le savoir faire, le savoir être nécessaire pour le changement de comportement souhaité Changement : action de modifier, de remplacer ; c est la perturbation d un système avec pour résultat des effets visibles. Le changement de comportement peut être positif, amélioré ou même négatif. Comportement : manière de se conduire ; ensemble des réactions objectivement observables chez un individu qui agit en réponse à des stimulations internes ou externes. Le comportement d un individu peut s exprimer par un geste, un acte, une perception etc. Communication pour le changement de comportement (CCC) : c est un processus qui consiste à échanger des idées ou des informations avec soi-même ou avec une ou plusieurs personnes, afin d apporter le savoir, le savoir faire et le savoir être nécessaire pour un changement de comportement. Facteurs qui influencent le changement de comportement Les facteurs liés à l individu, le motivent à adopter un nouveau comportement. Les facteurs liés à l environnement sont externes à l individu mais ils exercent sur lui une motivation à adopter ou à poursuivre un comportement. STRATEGIES POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT Quelques causes de résistance au changement de comportement la peur du changement ; les habitudes (seconde nature) sont sources de sécurité ou de plaisir ; l ignorance des bienfaits du nouveau comportement ; l opposition entre le nouveau comportement et les pratiques établies/existantes; l insuffisance d informations rassurantes et convaincantes ; le conformisme ou certaines considérations traditionnelles ou religieuses. Pour vaincre les résistances au changement de comportement dans le cadre de la lutte contre le paludisme il est nécessaire de mener les actions suivantes : la proposition dans la communauté des personnes ressources comme les relais, les niamakala, les leaders d opinion, les présidents d association etc.; la formation et le recyclage des personnes ressources sur le paludisme ;

10 l identification et l orientation des cas de paludisme vers le centre de santé le plus proche ; la promotion de l utilisation de la moustiquaire imprégnée d insecticides ; la formation des personnes ressources à l utilisation d un outil de communication pour le changement de comportement. Principes généraux en CCC Bien qu il n y ait pas d approche unique et uniforme, quelques principes généraux doivent être respectés. Il s agit notamment de : responsabiliser les acteurs concernés Dans le processus de la communication pour le changement de comportement, chaque individu doit être responsable de sa décision et de son action. Il s agira d inciter l individu à décider de lui-même. respecter la diversité des acteurs Dans ce cas précis, il faut tenir compte de la diversité et communiquer avec toutes les couches, s assurer que chacun a le même poids dans la prise de décision en matière de changement de comportement. engager la communication avec tous les acteurs Il est important que le message à communiquer prenne en compte certaines catégories sociales comme les femmes, les enfants et les groupes marginalisés. concilier le changement proposé avec les valeurs établies Le changement proposé doit offrir des avantages viables, il ne doit en aucune manière menacer l autorité, l autonomie, la sécurité ou un quelconque privilège des acteurs concernés. examiner la situation selon le point de vue des différents groupes d acteurs Aborder par exemple la question du paludisme dans une seule perspective, à partir d une seule technique, peut provoquer des déviations. L approche triangulaire, c'està-dire analyser à partir de trois points de vue au moins, rendrait les informations collectées plus complètes et plus fiables.

11 Ces fiches techniques ont été élaborées par le Centre National d Information, d Education et de Communication pour la Santé (CNIECS) avec l appui technique et financier du Programme Santé USAID/ Assistance Technique Nationale et la collaboration du Réseau des Communicateurs Traditionnels pour le Développement (RECOTRADE)

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