Prise en charge des infections à HSV, VZV et CMV. O. Epaulard Maladies Infectieuses, CHU de Grenoble 26 février 2016
|
|
- Yolande Leblanc
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prise en charge des infections à HSV, VZV et CMV O. Epaulard Maladies Infectieuses, CHU de Grenoble 26 février 2016
2 Plan Les antiviraux concernés Prise en charge des infections à HSV Immunocompétents et immunodéprimés Prise en charge des infections à VZV Immunocompétents et immunodéprimés Prise en charge des infections à CMV Immunocompétents et immunodéprimés Résistance aux antiviraux
3
4
5 Vancomycine Acyclovir
6 De Clercq 2004
7 Antiviraux au sens large Virucides : Détergents UV Cryothérapie Anti-réplication : Molécules utilisées en systémique Agents immunologiques Immunomodulateurs : Interférons, imiquimod Transfert passif d immunité adaptative : Immunoglobulines Lymphocytes T
8 Acyclovir Analogue de la guanosine (acycloguanosine) Phosphorylation par une thymidine kinase virale [ACV-P] : 40 à 100 fois plus élevée dans les cellules infectées Double effet : Inhibition de l ADN polymérase virale Blocage de l élongation de l ADN Efficacité : HSV>VZV >>CMV Pharmacocinétique Biodisponibilité : 15-20% Distribution large (faible liaison protéique) LCR : 50% des concentrations plasmatiques Sécrétion vaginales : 15 à 170% Humeur aqueuse : 30% Fœtus : 100% Demi-vie : 3h Excrétion majoritairement rénale
9 Acyclovir Guanosine
10 De Clercq 2004
11 Acyclovir Analogue de la guanosine (acycloguanosine) Phosphorylation par une thymidine kinase virale [ACV-P] : 40 à 100 fois plus élevée dans les cellules infectées Double effet : Inhibition de l ADN polymérase virale Blocage de l élongation de l ADN Efficacité : HSV>VZV >>CMV Pharmacocinétique Biodisponibilité : 15-20% Distribution large (faible liaison protéique) LCR : 50% des concentrations plasmatiques Sécrétion vaginales : 15 à 170% Humeur aqueuse : 30% Fœtus : 100% Demi-vie : 3h Excrétion majoritairement rénale
12 Acyclovir Analogue de la guanosine (acycloguanosine) Phosphorylation par une thymidine kinase virale [ACV-P] : 40 à 100 fois plus élevée dans les cellules infectées Double effet : Inhibition de l ADN polymérase virale Blocage de l élongation de l ADN Efficacité : HSV>VZV >>CMV Pharmacocinétique Biodisponibilité : 15-20% Distribution large (faible liaison protéique) LCR : 50% des concentrations plasmatiques Sécrétion vaginales : 15 à 170% Humeur aqueuse : 30% Fœtus : 100% Demi-vie : 3h Excrétion majoritairement rénale
13 Acyclovir Toxicité Veinite (due au ph de la solution) Neurotoxicité : encéphalopathie Généralement par surdosage IV Toxicité rénale Cristallurie Néphrite interstitielle Majorée en cas d insuffisance rénale Indication : Infections à HSV : prophylaxie et thérapeutique Infection à VZV : thérapeutique Plus vraiment de place pour la forme orale
14 Valacyclovir Ester de valine de l acyclovir : prodrogue Biodisponibilité 50-60% AUC 1gx3 per os > 5mg/kgx3 d acyclovir IV
15
16 Beutner mg 800mg
17 Penciclovir Famciclovir Analogue de la guanosine structurellement proche du ganciclovir phosphorylé par TK : HSV-1 et 2, VZV, EBV effet : inhibition de l ADN polymérase virale pas d effet «butoir» Utilisation en topique essentiellement prodrogue du penciclovir biodisponibilité 70% efficacité proche ACV affinité ADN polymérase : 100 fois moindre mais concentration intracellulaire 100 fois plus forte EI : céphalées, nausées, diarrhées Interaction : digoxine (augmentation des taux de Dgx) Indication : infections herpétiques ; zona = ORAVIR
18 Ganciclovir Analogue de la guanosine Phosphorylation par une thymidine kinase virale dans les cellules infectées par HSV et VZV une kinase virale (gène ul97) dans les cellules infectées par CMV [P-GCV] : 10 fois supérieure dans les cellules infectées par le CMV Interférence avec la polymérisation de l ADN Pas de blocage immédiat comme l aciclovir Ralentissement puis arrêt Activité sur cellules infectées par le CMV 10 fois supérieure à celle de l acyclovir Pharmacocinétique : Faible liaison protéique Biodisponibilité : GCV : 5-10% Diffusion LCR : 40-70%, oculaire : 100% Excrétion urinaire Demi-vie : 2-4h
19 Ganciclovir Toxicité : Neutropénie (20-40%), thrombopénie (20%) Après 1 semaine de traitement généralement Survenue même sans surdosage La même concentration est inhibitrice sur les cellules infectées et sur les progéniteurs médullaires Encéphalopathie (5-10%) Mutagène et Tératogène Indications Infection à CMV : thérapeutique
20 Valganciclovir Ester de valine du ganciclovir Biodisponibilité 60% (meilleure avec les repas) Taux de GCV après prise orale comparable au taux après perfusion de GCV 900mg de V-GCV = 5mg/kg de GCV IV
21 Foscarnet Pas de métabolisation nécessaire en intracellulaire Inhibition directe des ADN polymérases virales Analogue pyrophosphate Compétition avec la liaison des nucléotides Affinité 100 fois plus importante qu avec l ADN polymérase humaine Spectre : tous les herpesvirus Sans résistance croisée avec les analogues nucl. Pharmacocinétique Biodisponibilité : 5-10% Excrétion rénale Demi-vie : 4-8h Bonne diffusion cérébrale (66%) et oculaire (140%) Toxicité : Rénale : tubulopathie Hypocalcémie, hypokaliémie, dysphophatémie Ulcérations génitales (mucite de contact)
22 Cidofovir (Vistide) Analogue de la cytidine Phosphorylation par les kinases cellulaires Demi-vie heures Perfusion hebdomadaire (hyperhydratation/probénicide) Faible fixation protéique, bonne diffusion Spectre : tous les herpesvirus Élimination urinaire Toxicité : Atteinte tubulaire proximale +++ Protéinurie, glycosurie, insuffisance rénale Neuropathie, uvéite Baisse de la pression oculaire
23 Mode d action des anti-herpesviridae Kinase virale Alain, Virologie, 2009
24 Concentration inhibitrice (mg/l) Virus Acyclovir Ganciclovir Foscarnet Cidofovir HSV1 0,02-0,09 0,05-0,6 0,08-0,2 0,4-3 HSV2 0,3-2,2 0,05-0,6 0,08-0,2 0,4-3 VZV 0,8-4 0,4-10 0,08-0,2 0,25 CMV ,2-2,8 0,1-0,3 0,2-0,9 EBV 1,6 1,5 0,08-0,2 <0,03
25 Quelques notion sur les virus : HSV, VZV et CMV
26
27 Latence virale Existe pour tous les herpesviridae Excrétion asymptomatique : latence ou replication à bas niveau? (HSV, CMV, EBV, HHV8) Sites de latence spécifiques : ganglions rachidiens postérieurs (VZV, HSV) Lymphocytes B, cellules épithéliales (EBV) Cellules endothéliales, leucocytes (CMV, HHV8)
28 Première (et dernière ) mention de l EBV Certains antiviraux ont une activité anti-virale sur l infection à EBV in vitro Mais! Les maladies liées à l EBV ne sont pas liées à la réplication du virus Sauf la leucoplasie chevelue de la langue Elles sont liées à l effet de certaines protéines sur le cycle cellulaire immortalisation
29 HSV-1 et HSV-2
30 Herpès oral et pharyngé HSV1 Méningo-encéphalite herpétique HSV1>2 Kérato-conjonctivite HSV1 Herpès génital - HSV2>1
31 Mailles 2009
32 Œsophagite Formes plus rares Kaposi-Juliusberg Érythème polymorphe Panaris
33 Diagnostic d une infection à HSV Clinique Sérologie : uniquement sur séroconversion Recherche de l ADN viral Surtout qualitatif Si lésions cutanéomuqueuses atypiques Œsophagite, peau LCR LBA
34 Infections à HSV de l immunocompétent : traitement curatif Primo-infection génitale ou avec gingivo-stomatite V-ACV 500mg x2/j per os 10 jours Ou FCV 250mg x3/j per os 5 jours Récurrence importante V-ACV idem Ou FCV 125mg x2/j per os 5 jours(amm 2012) Herpès oculaire (conjonctivite, kératite, rétinite) ACV en pommade locale, voire ACV IV (K ite, R ite ) Encéphalite herpétique ACV IV 10mg/kg/8h 21 jours (20mg/kg/8h chez le nouveau-né) Facteur de mauvais pronostic : >4j entre symptomes et ttt, >2j entre hospit et ttt Si mauvaise réponse clinique : PL, si PCR+ : prolonger le traitement
35 Du valacyclovir pour les infections cérébrales? Lycke 2003 AUSC LCR/sang : 20% Sang LCR
36 Pouplin patients with HSV encephalitis and treated by V-ACV
37 Pouplin 2011
38 Méningite herpétique La plus fréquente des étiologies de méningite bénigne récidivante (Mollaret) HSV-2 > HSV-1 Intérêt des antiviraux pour traiter un épisode ponctuel? Pas d étude valable Intérêt d une prophylaxie secondaire pour éviter les récidives? Aurelius 2012 : non car délétère
39 Aurelius 2012
40 Aurelius 2012
41
42
43 Méningite herpétique : conclusions Pas de traitement S abstenir de faire la recherche d HSV-2 en cas de 1 er épisode de méningite lymphocytaire hors protocole de recherche Ce n est pas décisionnel
44 Infections à HSV de l ICompétent : traitement de prophylaxie II aire Essentiellement pour les récurrences génitales Justifié au-delà de 6 par an 6-12 mois puis arrêt Et reprise si 2 nouvelles récurrences V-ACV 500mg/j Ou FCV 250mgx2/j
45 Infections à HSV de l IDéprimé : traitement curatif Formes proches de celles de l IC Souvent plus étendues et plus nécrosantes Autres formes viscérales, également nécrosantes Voies aériennes hautes et basses Voies digestives Foie Récurrences génitales non graves : V-ACV 1-2g/j per os 8-10 jours ou FCV 500mgx2/j per os 7 j Autres formes ACV IV 10mg/kg/8h
46 Infections à HSV de l ID : traitement de prophylaxie II aire Indications : Récurrences : idem immunocompétent Prophylaxie secondaire après un épisode grave chez un patient lourdement ID V-ACV 500mgx2/j Ou FCV 500mgx2/j Risque de sélection de résistance
47 Quelle prophylaxie I aire anti-hsv? Pour les greffés de CSHP? Pour les greffés d organes solides?
48 Allogreffe de CSHP
49 HSV et greffe de cellules souches hématopoïétiques Essentiellement chez les séropositifs Par réactivation Risque = 80% si séro+ Surtout pendant les 4 premières semaines Peau > muqueuses orogénitales > œsophage > autres viscères Justifie une chimioprophylaxie chez les séro+ Pendant 3-5 semaines
50 Yahav 2009 Allogreffe de CSHP
51 ECIL 2007
52 Valacyclovir 500x2/j ECIL 2007
53 Greffe d organe solide
54 HSV et greffe d organe solide Risque principal : réactivation chez les séro % en l absence de prophylaxie Mais formes plus sévère chez le séro- Car absence totale d immunité Faut-il une prophylaxie? Pas tranché Zuckerman 2009
55 Virus Varicelle-Zona
56 Varicelle : indications de traitement selon la conférence de consensus S il existe un risque de forme grave Immunodépression Varicelle du nouveau-né Varicelle de la femme enceinte Traitement de la mère quel que soit le stade Traitement de l enfant si varicelle entre -10 et +2 jours // accouchement Si forme grave avérée En présence d une «forme grave avant 1 an» Si varicelle compliquée (atteinte viscérale) Aciclovir IV 10mg/kg/8h 10 jours 15mg femme enceinte, 20 nouveau-né, enfants 15 si encéphalite
57 Varicelle et grossesse Risque maternel : sur-risque de forme grave chez la femme enceinte? Pas de mortalité supérieure Mais morbidité supérieure? Donc traitement maternel Risque fœtal 15-20% d infection fœtale si varicelle de T1 ou T2 Risque d anomalie congénitale chez 12% des fœtus infectés Donc traitement maternel Pas de risque démontré si zona maternel Risque néonatal Si éruption maternelle dans les 3 semaines précédant l accouchement Risque maximal si rash maternel entre -5 et +2 jours Exposition de l enfant à la virémie mais pas aux anticorps maternels Donc traitement prophylactique de l enfant
58 Zona : indications de traitement selon la conférence de consensus Immunocompétent : Zona ophtalmique (prévention des atteintes oculaires) ACV 800mgx5/j per os ou V-ACV 1000x3/j per os 7 jours Ou FCV 500mgx3/j per os Débuter dans les 72h suivant le début de l éruption Zona de l adulte de plus de 50 ans (prévention des APZ) V-ACV 1000x3 7 jours Ou FCV 500mgx3/j per os Débuter dans les 72h suivant le début de l éruption Autres (prévention des APZ) : si «éruption grave» Douleurs importantes à l éruption Prodromes algiques plusieurs jours avant l éruption
59 Aciclovir oral et algies post-zostériennes Li 2009
60 V-ACV vs AVC et APZ Beutner 1995
61 Zona : indications de traitement selon la conférence de consensus Immunodéprimés : tout zona doit être traité ACV IV 10mg/kg/8h Pendant 7-10 jours Possibilité d utiliser le FCV 500mgx3/j per os (AMM 2012)
62 Encéphalite à VVZ De Broucker dans l étude nationale de tranplanté pulmonaire, 1 LEAD sous IS Contemporaine de 8 zona (adultes) et 3 varicelles (enfants) 4 patients ont une anomalie macrovasculaire Sténose de l ACM Hémorragie ventriculaire Hématome sous-dural et hémorragie ventriculaire Hématome thalamique 40% de séquelles modérées à importantes à 3 ans
63 VZV et greffe de cellules souches hématopoïétiques Varicelle : Risque de forme viscérale Particulièrement chez les séronégatifs Risque maximal pendant les 24 premiers mois Pas de chimioprophylaxie des séronégatifs (sauf post-exposition en l absence d Ig anti-vzv) Zona : Risque chez les séropositifs : 20-50% Risque maximal durant les 6-12 premiers mois Justifie une chimioprophylaixe
64 Steer 2000
65 Steer 2000
66 VZV reactivation rate per year Erard 2007
67 1 month ACV 1 year ACV <1 year ACV Erard 2007
68
69 ECIL 2007
70 ECIL 2007
71 VZV et greffe d organe solide Pergam 2009
72 Prévention de la varicelle après contage chez l immunocompétent Vaccination dans les 72 heures si non immun Intérêt de la sérologie en urgence Pas de place pour les antiviraux
73 Prévention de la varicelle après un contage par les Immunoglobulines anti-vzv Femme enceinte non immune Pour le risque maternel voire foetal Si contage il y a moins de 96 heures Attention, la varicelle est contagieuse au moins 48h avant l éruption Donc peu d indications si contage avec son enfant Intérêt de la sérologie en urgence Immunodéprimé non immun ( ) Si contage il y a moins de 96 heures Nouveau-né de mère ayant fait l éruption entre -5 jours et +2 jours Car ils ont été exposés à la 2 ème virémie mais n ont pas eu les Ac maternels Conférence de consensus 1998
74 D. Floret
75 Vaccin varicelle : recommandations 2015 Pas de généralisation de la vaccination chez le nourrisson ans sans ATCD varicelle ou douteuse (sérologie facultative) Adulte 18 ans sans ATCD varicelle Professionnels de santé (si sérologie négative) Professionnels en contact avec la petite enfance (crèches ) (si sérologie négative) Dans les 3 jours suivant un contact (+/- contrôle sérologique) Contact avec immunodéprimé (si sérologie négative) Femme en âge de procréer ou dans les suites 1ère grossesse sous couvert d une contraception efficace (+/- contrôle sérologique) Enfants candidats à recevoir une TOS (si sérologie négative) 2 doses avec un intervalle d au moins 1 mois
76 Cytomégalovirus
77 Pouvoir pathogène du CMV Sujet sain Transplanté d organe solide Greffe de cellules souches hématopoïétiques Fœtus SIDA, CD4<50 Effet immunopathologique Agression virale
78 Infections à CMV de l immunocompétent Le plus souvent asymptomatique Parfois fièvre, asthénie et lymphadénopathie Exceptionnellement grave : Colite Méningite et myélite Pneumopathie interstitielle Guillain-barré Myocardite Hépatite grave Une réplication du CMV n est qu inconstamment trouvée dans les lésions tissulaires Ex : LCR : PCR généralement négative Mécanisme dysimmunitaire essentiellement
79
80 Infections à CMV de l immunocompétent Faut-il un traitement antiviral? Probablement si lésions tissulaires ET CMV localement (PCR+++) Ou (moindre certitude) une charge virale CMV élevée dans le sang Pas d étude apportant de certitude, nombreux case reports Valganciclovir en 1 ère intention? Situation rare Infections à CMV du sujet âgé (colite ++) Immunosenescence ; sous-évaluée Traitement probablement nécessaire
81 Chez le patient immunocompétent en réanimation, la réactivation du CMV est-elle délétère? - ADN CMV dans plasma chez 33 % des patients - En analyse multivariée : CMV Corrélée avec Décès et durée de séjour Limaye A, JAMA 2008
82 Infections à CMV de l immunodéprimé Principales situations : Greffe de CSHP Greffe d organe solide SIDA Attention aux patients dont l immunodépression est sous-estimée Patients âgés
83 Quelques définitions Infection par le CMV Détection d une réplication virale En général par ADNémie Primo-infection ou réactivation Symptomatique ou non Syndrome viral à CMV Fièvre, leucopénie, thrombopénie et réplication virale Maladie à CMV Infection associée à des lésions d organes Soit médiées par l inflammation Soit médiées par l effet cytopathogène SOT : dite «tardive» si survient après le 3 ème mois
84 Greffe d organe solide «syndrome viral» (fièvre, cytopénie, hépatite) Atteinte viscérale Greffon Œsophage, intestin grêle, colon Poumon Augmentation des risques de rejet Greffe de CSHP Intestin grêle et colon Poumon Augmentation des risques de GVH
85
86
87 Trois problématiques chez l ID Comment faire le diagnostic d infection? Et faut-il un suivi systématique des paramètres viraux? Comment prévenir les infections? Durée de traitement curatif? Prophylaxie IIaire?
88 Diagnostic d une infection à CMV Séroconversion sur 2 sérums successifs Les IgM peuvent se repositiver en cas de réactivation Avidité des IgG : pour dater (<3mois ou > 3mois) Non pertinent en post-transplantation Recherche du virus dans le sang Sang total ou PBMC Antigénémie pp65 à la surface des PNN PCR : plus sensible ; possible même si neutropénie Recherche du virus dans l organe atteint LBA, LCR, biopsie colique Interprétation parfois difficile Pas toujours positif chez l immunocompétent Positivité : réplication ou simple latence intracellulaire?
89 Transplantation d organe solide
90 Facteurs de risques de maladie à CMV après TOS Sérologie CMV avant greffe : D+R- > D+R+ > D-R+ > D-R- Ac anti-lymphocytes Un ou plusieurs épisode(s) de rejet aigu Nombre d incompatibilités HLA Hépatite fulminante en TH Organe transplanté riche en tissus lymphoïde Charge virale plasmatique CMV élevée
91 Cope 1997
92 Emery 1999 Doubling time : 2 days
93 Emery transplantés 3873 CV CMV analysées 49 maladies à CMV
94 Prévention des infections à CMV en greffe d organe solide Éviter les mismatch CMV D/R si R- Épargne des immunosuppresseurs Éviter les primo-infections sur transfusion (produits déleucocytés) Anti-viraux : plusieurs schémas possibles
95 Utilisation des antiviraux contre l infection à CMV Préventif Curatif Prophylaxie Universelle Prophylaxie ciblée Traitement Préemptif Traitement curatif Prophylaxie identique chez tous les transplantés patients à haut risque : D+/Rou situation à risque (tt rejet) Traitement précoce si infection à CMV asymptomatique (PCR CMV +) Traitement d une maladie à CMV (symptomatique) Peu d études comparatives des 2 stratégies
96 Utilisation des antiviraux contre l infection à CMV Préventif Curatif Prophylaxie Universelle Prophylaxie ciblée Traitement Préemptif Traitement curatif Prophylaxie identique chez tous les transplantés patients à haut risque : D+/Rou situation à risque (tt rejet) Traitement précoce si infection à CMV asymptomatique (PCR CMV +) Traitement d une maladie à CMV (symptomatique) Peu d études comparatives des 2 stratégies
97 Prophylaxie anti-cmv Avantages Plus simple Moins d infections Moins de perte de greffon?
98 CMV & SOT : maladie à CMV Lowance 1999 Kidney Tx
99 CMV & SOT : : maladie à CMV Lowance 1999 Kidney Tx
100 CMV & SOT : rejet d organe Lowance 1999 Kidney Tx
101 CMV & SOT : rejet d organe
102 Opelz 2004
103 R- D+ R- D- R+ D- R+ D+ Opelz 2004
104 Hodson 2010
105 Prophylaxie anti-cmv Avantages Plus simple Moins d infections Moins de perte de greffon? Inconvénients Volume de prescription Toxicité Développement de résistance Obstacle au développement d une immunité anti-cmv Avec risque d infection tardive
106 Prophylaxie Valganciclovir 900 mg/j PO 6 mois au moins pour les Tx pulmonaires et du grêle 3 mois pour les autres
107 Traitement préemptif Charge virale CMV hebdomadaire Alerte si positive Traitement antiviral d attaque : Dès la positivation? Selon le temps de doublement? En fonction de l immunodépression?
108 CV CMV détectable ou non Reischsig kidney Tx
109 Reischsig kidney Tx Maladie liée au CMV
110 Rejet Reischsig kidney Tx
111 SOT : propositions selon les statuts des D et R Receveur R- R+ Donneur D- Pré-emptif Pré-emptif ou D+ Prophyl. prophyl.
112 Quel traitement d attaque en préemptif? Asberg 2009
113 SOT : Quel traitement d attaque? V-GCV per os si tableau non grave (préemptif) 900mg x2 GCV IV sinon (surtout si maladie à CMV : curatif) 5 mg/kg x2 Jusqu à négativation de la PCR CMV dans le sang à 2 reprises à 1 semaine d intervalle Durée minimale du traitement d attaque : 2 semaines Puis traitement d entretien? 1 à 3 mois? Grande variabilité entre centres Probablement si CV initiale élevée, si intensification du traitement anti-rejet, si primo-infection Probablement si atteinte digestive (clairance virale plus lente) (Eid 2010)
114 Allogreffe de CSHP
115 Yahav 2009 Allogreffe de CSHP
116
117
118
119
120
121 VIH et CMV Atteinte ophtalmique Essentiellement rétinite ; dépistage systématique si lymphopénie CD4 < 100/mm 3 Mais aussi uvéite, épisclérite, conjonctivite Tube digestif dans son ensemble Foie et voies biliaires (cholangite sclérosante) Système nerveux central Surrénales Poumon (réactivation délétère ou non?)
122 Traitement de l infections à CMV chez l immunodéprimé GCV IV ou V-GCV per os selon la gravité place pour l instant pour le V-GCV après HSCT? Traitement d attaque jusqu à négativation de la CV 5mg/kg x2 GCV ou 900x2 V-GCV Puis traitement d entretien Foscarnet Si toxicité (cytopénie++) sous (V-)GCV Si suspicion de résistance Cidofovir Si résistance au foscarnet et au GCV
123 CID 2008
124
125 CMV : perspectives Association thérapeutiques Les molécules sur le marché agissent sur les mêmes cibles d action Risque de résistance multiple (MDR) Antagonisme Maribavir/Cymevan Nouvelles molécules Maribavir arrêt essai phase III pour manque d efficacité Intéressant pour souches multi-r mais n est plus produit Leflunomide Immunosuppresseur, interfère avec l assemblage du virion Artsunate Antipaludéen de synthèse, agit en modulant la signalisation cellulaire (phase III) Vaccination Pas de vaccin CMV prometteur en développement avancé
126 Kumar 2009 Intérêt de l immunomonitoring? Immunité T anti-cmv Absence d immunité T anti-cmv
127 Résistance aux antiviraux
128 Résistance virale chez HSV Rare Essentiellement chez l ID : SIDA et greffe 3 à 10% Favorisée par la réplication virale à bas bruit Et par l exposition de longue durée au traitement Très rare chez l immunocompétent Y compris sous prophylaxie II aire Environ 0,2%
129 Résistance virale chez HSV Mutation des gènes de la kinase virale Si absence d activité ; perte de fitness Si forme altérée : peu de perte de fitness Mutation des gènes des ADN polymérases : plus rare Résistances croisées Résistance presque constante au penciclovir et au ganciclovir Sensibilité au foscarnet et cidofovir
130 Résistance du HSV Suspecté si non-contrôle de l infection Y compris sous ACV hautes doses Diagnostic génotypique Traitement par foscarnet en 1 ère intention 2 ème intention : cidofovir
131 Incidence de la résistance du CMV : les leçons du VIH Traitement cumulé Ganciclovir 1 valganciclovir 2 Cidofovir 3 Foscarnet mois 7% 2% 0-9% 6 mois 12% 7% 13-26% 9 mois 27% 9% 29% 24-37% 12 mois 27% 13% 37% 1 : Jabs et al, JID 1998; 2 : Boivin et al., JID 2001; 3: Jabs et al., AAC 1998; 4 : Weinberg et al., JID 2003
132 CMV et greffe : cohorte de Chicago (Lurain, JID, 2002) Organe transplanté N (%) de patients virémiques Total résistance Poumon (15,2) Coeur 38 2 (5,3) Foie 18 1 (5,6) Rein 45 1 (2,2) Total (9,5)
133 CMV et greffe : cohorte de Cleveland (Lurain, JID, 2002) N (%) de receveurs Organe Résistance Total transplanté Poumon (2,2%) Coeur (0,25%) Foie (0%) Rein (0,48%) Total (0,47%)
134 Mutations de résistance du CMV UL97 : phosphotransférase 90% des cas Résistance au ganciclovir UL54 : polymérase : résistances induites : Sous ganciclovir ou cidofovir : résistance aux deux souvent secondaire à l apparition de mutation dans UL97 Sous foscarnet : résistance au foscarnet La souche mutée devient majoritaire en 1 à plusieurs mois
135 ADN polymérase du CMV
136 Si suspicion de résistance Devant Persistance de la virémie au-delà de 21j Diminution <0,5 log copies/ml par semaine augmentation secondaire de la virémie (éventuellement non-réponse clinique) Test génotypique Utilisation du foscarnet Éventuellement en maintenant le ganciclovir
137
138 Variabilité inter-laboratoires des charges virales CMV Pang 2009
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailMonitoring des infections virales chez les patients immunodéprimés. Applications pratiques
16/01/2013 Monitoring des infections virales chez les patients immunodéprimés Applications pratiques Marie-Christine MAZERON Immunodépression Infections virales opportunistes Herpèsvirus CMV EBV HSV VZV
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailTRAITEMENTS ANTI-VIRAUX
UE de l Agent Infectieux à l Hôte Mars 2012 TRAITEMENTS ANTI-VIRAUX Dr Isabelle GARRIGUE UMR CNRS MFP Microbiologie Fondamentale et Pathogénicité isabelle.garrigue@chu-bordeaux.fr La lutte antivirale Mesures
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE Septembre 2004 Service évaluation technologique Service évaluation économique Septembre 2004 Évaluation
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOEITIQUES ET SES COMPLICATIONS INFECTIEUSES. Michael HUMMELSBERGER Hématologie clinique CHU de Nice
GREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOEITIQUES ET SES COMPLICATIONS INFECTIEUSES Michael HUMMELSBERGER Hématologie clinique CHU de Nice OU POURQUOI LES INFECTIOLOGUES PENSENT QUE LES HEMATOLOGUES SONT IRRAISONNABLES
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailPrise en charge des infections à VZV
11è CONFÉRENCE DE CONSENSUS EN THÉRAPEUTIQUE ANTI INFECTIEUSE de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) Prise en charge des infections à VZV Méd Mal Infect. 1998 ; 28: 1-8 25
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailL HERPÈS VIRUS DE TYPE 6 Quelle attention mérite-t il en médecine générale?
L HERPÈS VIRUS DE TYPE 6 Quelle attention mérite-t il en médecine générale? A.F. NIKKELS (1, 2), G.E. PIÉRARD (3) RÉSUMÉ : L herpès virus humain de type 6 (HHV6) fait partie de la famille des ß-herpesviridae.
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détail