DIAGRAMMES POTENTIEL-pH

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DIAGRAMMES POTENTIEL-pH"

Transcription

1 DIAGRAMMES POTENTIEL-pH Sauf mention contraire on se place à 5 C : RTLn10 / F = 0,06 V. 1.Domaines de prédominance et d existence: On va ici tracer des domaines de prédominance uniaxe, en potentiel ou en ph. Définition : Une espèce A est prédominante devant une espèce B si [ A] > [B] Espèces toutes en solution : Exemple 1 : NH H O NH 3 + H 3 O + ph = pk a + log( [ NH 3 ] / [NH 4 + ] ). Si ph > pk a, [ NH 3 ] > [NH 4 + ] : domaine de prédominance de NH 3. Si ph < pk a, [ NH 3 ] < [NH 4 + ] : domaine de prédominance de NH 4 +. NH 4 + NH 3 pk a ph Exemple : Fe3+ + e- Fe+ E = E + 0,06 log ( [Fe3+] / [Fe+] ). Si [Fe3+] > [Fe+], E > E : domaine de prédominance de Fe3+. Si [Fe 3+ ] < [Fe + ], E < E : domaine de prédominance de Fe +. Fe + Fe 3+ E E Exemple 3 : Cr O H+ + 6e- Cr3+ + 7H O dans une solution à ph = 0. E = E + 0,01 log ( [Cr O 7 - ][H + ] 14 / [Cr 3+ ] ) = E + 0,01 log ( [Cr O 7 - ] / [Cr 3+ ] ) On ne peut plus se contenter de comparer [CrO7 - ] et [Cr 3+ ] pour attribuer les domaines de prédominance, même en fixant le ph. Convention : la frontière limitant les domaines de prédominance entre deux solutés est telle que: [Ox] = [Red] = C, C étant une concentration arbitrairement fixée. Dans notre exemple, sur la frontière : E frontière = E - 0,01.logC = E - 0,01.logC ; - si E > E frontière on est dans le domaine de prédominance de CrO7 - ; l'oxydant est prédominant : - si E < E frontière on est dans le domaine de prédominance de Cr 3+ ; le réducteur est prédominant : Cr 3+ Cr O 7 - E frontière E

2 Remarque : on peut rencontrer une autre convention : sur la frontière limitant les deux domaines de prédominance on a équirépartition de l'élément, cet élément se trouvant en concentration totale C arbitraire. Cette convention n'est applicable que si n'existe pas de phase condensée. On l'évitera. 1.. Une phase condensée : Exemple 1 : Fe + + OH - Fe(OH) s Ks = [Fe + ][OH - ] Avec une concentration initiale en fer C 0 fixée, on calcule le ph de précipitation par [OH - ] pré = Ks / C 0. On en déduit un ph de précipitation ph 0. Si ph < ph 0, il n y a pas de solide précipité : domaine d existence du soluté seul. Sinon Ks = [Fe +][OH - ] il y a coexistence de Fe + et de Fe(OH), le précipité étant très prédominant car en général K s << 1 ; on est dans le domaine d existence du précipité. Fe + Fe(OH) ph 0 ph Exemple : Ag + + e - Ag E = E + 0,06 log [Ag + ]. Choisissons une concentration totale en argent dans la solution C = 10 - mol.l -1 ; on a alors pour cette concentration : E(C) = E frontière = 0,80 + 0,06.log10 - = 0,68 V. - si E > 0,68 V tout l argent est sous forme dissoute ; Ag +, l oxydant prédomine ; - si E < 0,68 V on a alors [Ag + ] < C ; le réducteur Ag prédomine. Ag Ag + E frontière E La frontière limitant le domaine d existence d un solide est telle que [ concentration arbitrairement fixée. ] = C, C étant une. Tracé du diagramme potentiel-ph du zinc : La méthode est identique à celle utilisée pour les diagrammes d Ellingham. 1 ) On recense toutes les espèces à considérer et on les classe selon leur n.o. Pour le zinc :Zns, Zn +, Zn(OH)s ( précipité blanc ), Zn(OH) 4 ( complexe ion zincate ). Les données thermodynamiques sont fournies : E (Zn + /Zn) = -0,76 V ; pks( Zn(OH) s ) = 16 ; logβ 4 = 15,5 pour l'ion zincate.

3 ) On choisit une convention : on choisit pour toutes les espèces dissoutes C = 0,01 mol.l-1 sur les frontières. 3 ) On cherche les frontières et on trace les domaines de prédominance ( ou d existence ) des espèces correspondant à un même degré d'oxydation : ce seront des frontières en ph. a) degré 0 : une seule espèce : Zn : pas de problème ; b) degré, trois espèces : Zn +,Zn(OH)s et Zn(OH) 4. Pour l'équilibre Zn(OH)s Zn+ + OH- Ks = [Zn+][OH-].= On en déduit phlim = 7,0. Si ph 7,0 : Zn(OH)s est prédominant ; Si ph 7,0 : Zn + est prédominant ( en fait pas de Zn(OH) ) frontière verticale à ph = 7,0 délimitant les deux domaines. Pour l'équilibre Zn(OH)s + OH - On en déduit ph lim = 13,5. Zn(OH) 4 K = β4. K s = frontière verticale à ph = 13,5 délimitant les deux domaines. On peut donc tracer le diagramme de prédominance suivant : Zn + Zn(OH) Zn(OH) 4-7,0 13,5 ph 4 ) Tracé des frontières de potentiel : diagramme potentiel-ph : On considère les couples rédox de n.o. voisins, en partant du n.o. le plus petit ( on pourrait partir du no le plus grand ). On va ici étudier les couples rédox relatifs aux degrés 0 et II. Pour chaque couple de degrés, il faut considérer l'espèce prédominante selon le ph. a) ph 7,0: Les espèces à considérer sont Zns et Zn +. Zn + + e - Zns E = E + 0,03 log [Zn + ]. avec [Zn + ] = 0,01 mol.l -1 sur la frontière ; d'où E = - 0,76 + 0,03 log0,01 = - 0,8 V frontière horizontale à E = - 0,8 V. b) 7,0 ph 13,5 Les espèces à considérer sont Zn s et Zn(OH) s. Zn(OH) s + e - Zn s + OH - E = E ( Zn(OH) s / Zn s ) - 0,03 log [OH - ]

4 = E ( Zn(OH)s/ Zns ) - 0,03 log ( Ke / [H+]). E = E ( Zn(OH)s/ Zns ) - 0,03 log ( Ke) - 0,06 ph. soit E = Cte - 0,06 ph. Attention: E ( Zn(OH)s/ Zns ) E ( Zn + / Zn )! Cependant il n'est pas utile de le calculer, le tracé s'effectuant par continuité à ph = 7,5, car le potentiel est une fonction continue du ph. A ph = 7,0 : E = -0,8 = Cte 0,06 * 7,0 => Cte = -0,4 V Sous la frontière entre ces deux degrés, on peut donc effacer la portion de verticale ph = 7,0. b) 13,5 ph : Les espèces à considérer sont Zns et E = E ( 4 Zn(OH) 4. Zn(OH) e- Zns + 4OH- Zn(OH) / Zns ) + 0,03 log([ Zn(OH) ]/[OH-] 4 ) avec [ Zn(OH) ]= 0,01 mol.l -1 sur la frontière; 4 soit E = E ( Zn(OH) 4 / Zn s ) +0,03log(0,01) + 0,03 log ( [H + ]/Ke) 4 E = E ( Zn(OH) 4 / Zn s ) 0,06-0,1 log ( Ke) - 0,1 ph soit E = Cte - 0,1 ph. 4 3.Domaine de stabilité de l'eau : On trace en général sur les diagrammes potentiel-ph le domaine de stabilité de l eau, qui est souvent le solvant. Pour cela on étudie les couples rédox faisant intervenir H O. Couple H+/H (gaz) : H + + e - H gaz E = 0,00 V E = E + 0,06log [H + ] - 0,03 log( p(h) / P ). Convention : la frontière limitant les domaines de prédominance entre un soluté et un gaz est telle que p(gaz) = P, P étant une pression arbitrairement fixée. On choisit en général P = 1 bar. Conventions : pour O et H : P = 1 bar. On a donc E frontière = E + 0,06log [H + ] - 0,03 log( P / P ). Si E > E frontière, on est dans le domaine de prédominance de H + ; Si E < E frontière, on est dans le domaine de prédominance de H. Couple O (gaz) / H O : ½ O + H + + e - H O E = 1,3 V

5 4. Utilisation des diagrammes potentiel-ph L'utilisation est basée sur la règle du «gamma» : un oxydant peut oxyder tout réducteur dont la droite d'équilibre se trouve au-dessous de la sienne. La constante de réaction sera d'autant plus grande que les droites sont éloignées. Remarque : si les droites sont proches, la règle doit être appliquée avec prudence : en toute rigueur c est l affinité qui permet de trancher quant au sens de déplacement d une réaction. Autre critère : deux espèces ne peuvent coexister que si leurs domaines de prédominance présentent une partie commune. 4.. Application au diagramme du zinc : a) Stabilité des différentes espèces du zinc : L'ion Zn+ ne peut exister qu'en milieu acide. L'ion Zn(OH) - 4 ne peut exister qu'en milieu très basique. Le métal zinc peut exister à tout ph. b) Stabilité dans l'eau : Le zinc au degré II est stable dans l'eau à tout ph. Le zinc métallique est oxydé en milieu acide selon le bilan : Zn s + H + Zn + + H g En présence de dioxygène, seul le zinc II est stable ; le métal zinc s oxyde.

6 Annexe : tracé du diagramme potentiel-ph du fer. 1 ) On recense toutes les espèces à considérer et on les classe selon leur n.o. Pour le fer : Fe s, Fe +, Fe 3+, Fe(OH) s ( précipité verdâtre ), Fe(OH) 3s ( précipité rouille ). Remarque : Fe 3+ est en solution aqueuse complexé par H O en Fe(H O) 6 3+, qui lui donne une couleur rouille clair, Fe + est complexé en Fe(H O) 6 +, qui lui donne une couleur vert clair. Les données thermodynamiques sont fournies : E ( Fe + / Fe s ) = - 0,44 V ; E ( Fe 3+ / Fe + ) = 0,77 V ; pks ( Fe(OH) ) = 15 ; pks ( Fe(OH) 3 ) = 38. ) On choisit une convention : on choisit pour toutes les espèces dissoutes C = 0,01 mol.l -1 sur les frontières. 3 ) On trace les domaines de prédominance ( ou d existence ) des espèces correspondant à un même degré d'oxydation ( diagramme 1 ) degré 0, une seule espèce : pas de problème ; 3.. degré, deux espèces : Fe + et Fe(OH) s. Pour l'équilibre Fe(OH) s Fe + + OH - Ks = [Fe + ][OH - ].= On en déduit ph lim = 7,5. Si ph 7,5 : Fe(OH) s est prédominant ; Si ph 7,5 : Fe + est prédominant ( en fait pas de Fe(OH) ) frontière verticale à ph = 7,5 délimitant les deux domaines degré 3, deux espèces également : Fe 3+ et Fe(OH) 3s. Pour l'équilibre Fe(OH) 3s Fe OH - Ks = [Fe 3+ ][OH - ] 3.= On en déduit ph lim =,0. Si ph,0 : Fe(OH) 3s est prédominant ; Si ph,0 : Fe 3+ est prédominant frontière verticale à ph =,0 délimitant les deux domaines. 4 ) Tracé du diagramme potentiel-ph : On considère les couples rédox de n.o. voisins, en partant du n.o. le plus petit ( on pourrait partir du no le plus grand ). On va ici étudier les couples rédox relatifs aux degrés 0 et II, puis on étudiera les couples rédox des degrés II et III. Le diagramme sera alors fini. Pour chaque couple de degrés, il faut considérer l'espèce prédominante selon le ph. 4.1 Degrés 0/II : - Pour ph 7,5, les espèces à considérer sont Fe s et Fe +. Fe + + e - Fe s E = E + 0,03 log [Fe + ]. avec [Fe + ] = 0,01 mol.l -1 sur la frontière ; d'où E = - 0,44 + 0,03 log0,01 = - 0,50 V frontière horizontale à E = - 0,50 V.

7 - Pour ph 7,5, les espèces à considérer sont Fe s et Fe(OH) s. Fe(OH) s + e - Fe s + OH - E = E ( Fe(OH) s / Fe s ) - 0,03 log [OH - ] = E ( Fe(OH) s / Fe s ) - 0,03 log ( Ke / [H + ]). E = E ( Fe(OH) s / Fe s ) - 0,03 log ( Ke) - 0,06 ph. soit E = Cte - 0,06 ph. Attention: E ( Fe(OH) s / Fe s ) E ( Fe + / Fe s )! Cependant il n'est pas utile de le calculer, le tracé s'effectuant par continuité à ph = 7,5. Sous la frontière entre ces deux degrés, on peut donc effacer la portion de verticale ph = 7,5 car Fe s est prédominant, et la verticale ph =,0 relative au degré III. 4. Degrés II/III : - Pour ph,0, les espèces à considérer sont Fe + et Fe 3+. Fe 3+ + e - Fe + E = E (Fe 3+ /Fe + ) + 0,06 log( [Fe 3+ ]/[Fe + ] ). avec [Fe + ] = [Fe 3+ ] = 0,01 mol.l -1 sur la frontière ; d'où E = 0,77 + 0,03 log1 = 0,77 V. On trace donc une frontière horizontale à E = 0,77 V jusqu'à ph =,0. - Pour 7,5 ph,0, les espèces à considérer sont Fe + et Fe(OH) 3s. Fe(OH) 3s + e - Fe + + 3OH - On calcule sur la frontière: E = E ( Fe(OH) 3s / Fe + ) - 0,06 log ( [Fe + ] [OH - ] 3 ) avec [Fe + ] = 0,01 mol.l -1 sur la frontière ; E = E ( Fe(OH) 3s / Fe + ) - 0,06 log 0,01 + 0,18pKe - 0,18pH. soit E = cte - 0,18pH (en V ). On trace cette droite par continuité à ph =,0. - Pour ph 7,5, les espèces à considérer sont Fe(OH) s et Fe(OH) 3s. Fe(OH) 3s + e - Fe(OH) s + OH - On calcule sur la frontière: E = E ( Fe(OH) 3s / Fe(OH) s ) - 0,06 log ( 1,5 1 E(V) Diagramme E-pH du fer C 0 = 10 - mol.l -1 [OH - ] ) E = E ( Fe(OH) 3s / Fe(OH) s ) + 0,06 pke - 0,06pH. soit E = cte - 0,06pH ; On trace cette droite par continuité à ph = 7,5. Sous la frontière entre ces deux degrés, on peut donc effacer la portion de verticale ph =,0 car Fe + est prédominant. Au dessus de la frontière entre ces deux degrés, on peut aussi effacer la portion de la verticale ph = 7,5 relative au degré II. 0,5 ph ,5-1

8 4.. Application au diagramme du fer : a) Stabilité des différentes espèces du fer : L'ion Fe 3+ ne peut exister qu'en milieu très acide ; pour cette raison les solutions ferriques sont toujours très acides. Les solutions ferreuses doivent également avoir un ph acide. Le fer II a un domaine de stabilité à tout ph ; il ne se dismute jamais. Le fer au degrés III et 0 n'ont pas de domaine commun : si l'on met en présence des ions Fe 3+ et du Fe s ( sous forme de limaille ) il se produit la réaction : Fes + Fe 3+ 3Fe+ quasi-totale. b) Stabilité dans l'eau : Le fer aux degré II et III est stable dans l'eau à tout ph. Le fer métallique est oxydé en milieu acide selon le bilan : Fe s + H+ Fe+ + H g En présence de dioxygène, seul lefer III est stable. Pour cette raison les solutions de fer II utilisées au labo doivent être fraiches car elles s'oxydent progressivement en fer III au contact de l'air.

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Notions de Chimie Générale - 4. Sommaire

Notions de Chimie Générale - 4. Sommaire Notions de Chimie Générale - 4 Sommaire Notions de Chimie Générale - 4... 1 R. Acides et bases... 4 R-1. Un acide est un donneur de proton, une base est un récepteur de proton ('proton donor / acceptor')...

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

ChimGéné 1.3. Guide d utilisation. Auteur : Alain DEMOLLIENS Lycée Carnot - Dijon avec la collaboration de B. DIAWARA Ecole de Chimie de Paris

ChimGéné 1.3. Guide d utilisation. Auteur : Alain DEMOLLIENS Lycée Carnot - Dijon avec la collaboration de B. DIAWARA Ecole de Chimie de Paris ChimGéné 1.3 Guide d utilisation Auteur : Alain DEMOLLIENS Lycée Carnot - Dijon avec la collaboration de B. DIAWARA Ecole de Chimie de Paris INOVASYS 16 rue du Cap Vert 21800 Quétigny Tel : 03-80-71-92-02

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

Fiche de révisions sur les acides et les bases

Fiche de révisions sur les acides et les bases Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage

Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Table des matières. Acides et bases en solution aqueuse... 10. Oxydo Réduction... 26

Table des matières. Acides et bases en solution aqueuse... 10. Oxydo Réduction... 26 Annales de Chimie aux BTS 2000-2004 Table des matières Table des matières Table des matières... 1 Réactions chimiques...5 BTS Agroéquipement 2003 et BTS Maintenance et après vente des équipement de travaux

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES

1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES !"#!$# #"%&&&&' 1. GENERALITES... 4 1.1. OBJET DU MARCHE... 4 1.2. DUREE DU MARCHE... 4 1.3. REGLEMENTATION... 4 1.4. SECURITE... 5 1.5. ASTREINTE ET GESTION DES DEMANDES... 5 1.5.1. Du lundi au vendredi

Plus en détail

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30 Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une

Plus en détail

LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie

LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

Vitesse d une réaction chimique

Vitesse d une réaction chimique Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES

TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE

Plus en détail

La voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque

La voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?

Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations 1. Depuis quand utilise-t-on les métaux? 1) Le seul métal qui existe à l état natif est l or. 2) Les métaux obtenus à partir de minerais sont l argent, le cuivre,

Plus en détail

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Audit de l installation de traitement d exhaure et de surveillance de la mine dite «Les Malines» Rapport final

Audit de l installation de traitement d exhaure et de surveillance de la mine dite «Les Malines» Rapport final Audit de l installation de traitement d exhaure et de surveillance de la mine dite «Les Malines» Rapport final BRGM/RP-53321-FR septembre 2004 Audit de l installation de traitement d exhaure et de surveillance

Plus en détail

Mesures calorimétriques

Mesures calorimétriques TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS!

TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! FICHE 1 Fiche à destination des enseignants TS 31 ATTAQUE DE FOURMIS! Type d'activité ECE Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences exigibles du programme de Terminale S TYPE ECE Evaluation

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :..

Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Document type : expression préliminaire de besoin client final Version / Révision Date de publication

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

SOMMAIRE. Introduction...05 Domaine d'application...05 Visées des textes existants...06

SOMMAIRE. Introduction...05 Domaine d'application...05 Visées des textes existants...06 SOMMAIRE Introduction..........................................05 Domaine d'application..................................05 Visées des textes existants.................................06 Dispositions communes.................................09

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.

THE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226. CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

101 Adoptée : 12 mai 1981

101 Adoptée : 12 mai 1981 LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Propriétés des options sur actions

Propriétés des options sur actions Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles

Plus en détail

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1 TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port

Plus en détail

MODE D'EMPLOI. ba76137f01 03/2013 4110 / 4110-3 CHAÎNES DE MESURE DU PH À ÉLECTROLYTE GEL

MODE D'EMPLOI. ba76137f01 03/2013 4110 / 4110-3 CHAÎNES DE MESURE DU PH À ÉLECTROLYTE GEL MODE D'EMPLOI ba76137f01 03/2013 4110 / 4110-3 CHAÎNES DE MESURE DU PH À ÉLECTROLYTE GEL 4110 La version actuelle du mode d'emploi est disponible sur Internet à l'adresse www.ysi.com. Coordonnées Copyright

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

Probabilités. I Petits rappels sur le vocabulaire des ensembles 2 I.1 Définitions... 2 I.2 Propriétés... 2

Probabilités. I Petits rappels sur le vocabulaire des ensembles 2 I.1 Définitions... 2 I.2 Propriétés... 2 Probabilités Table des matières I Petits rappels sur le vocabulaire des ensembles 2 I.1 s................................................... 2 I.2 Propriétés...................................................

Plus en détail

Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés

Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés Aide-mémoire Edition juin 2005 [Table des matières] Page 1 Généralités 1 2 Les mesures constructives 1 3 Les installations techniques

Plus en détail

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39 (19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

Plus en détail

Principe de la corrosion galvanique :

Principe de la corrosion galvanique : Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter. La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres

Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter. La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres Docu-pH Meter Une base solide pour des résultats sûrs La sécurité commence par un fonctionnement facile

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène

Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi

Plus en détail

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique *

L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique * N 792 BULLETIN DE L UNION DES PHYSICIENS 451 L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique * par Guy DURLIAT Département de biochimie ENS de Cachan - 61, avenue du Président Wilson - 94235 Cachan

Plus en détail

Session 2011 PHYSIQUE-CHIMIE. Série S. Enseignement de Spécialité. Durée de l'épreuve: 3 heures 30 - Coefficient: 8

Session 2011 PHYSIQUE-CHIMIE. Série S. Enseignement de Spécialité. Durée de l'épreuve: 3 heures 30 - Coefficient: 8 PYSCSLl BACCALAU Session 20 PHYSIQUE-CHIMIE Série S Enseignement de Spécialité Durée de l'épreuve: 3 heures 30 - Coefficient: 8 L'usage des calculatrices est autorisé. Ce sujet ne nécessite pas de feuille

Plus en détail

Les réactions ion neutre dans la base de

Les réactions ion neutre dans la base de 1eratelierdugroupederéflexionsurlesbasesdedonnées chimiquespourlemilieuinterstellaire Lesréactionsion neutredanslabasede donnéesosu:r1++r2 P1++P2 NathalieCarrasco,PascalPernot ChristianAlcaraz,RolandThissen,OdileDutuit

Plus en détail

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête: Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments

Plus en détail

Hortensia! bleu! Hortensia!

Hortensia! bleu! Hortensia! Vousêtesgérantd unmagasindeplantesetfleurs(l Arcenfleur).Vousrecevezlecourrierd unclientmécontent(m Durand):ilaachetéchezvousdesgrainesd hortensiasdontlaphotod emballageprésentaitdesfleursdecouleur bleue.ilvousindiquedanscecourrierquepeud

Plus en détail

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE

Plus en détail

HRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2

HRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2 ! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique?

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique? Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir

Plus en détail