ACCUEIL ET PRISE EN SOINS DE LA PERSONNE ÂGÉE DÉSORIENTÉE AUX URGENCES
|
|
- Edith Bruneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ACCUEIL ET PRISE EN SOINS DE LA PERSONNE ÂGÉE DÉSORIENTÉE AUX URGENCES 1 Présentation par : Sandie BASTOS, Angélique BERTHELOT, Carine BLANCHARD, Philippe DEPONTAILLER, Sylvie LAMOLINE et Kévin VATTEPIN
2 sommaire Introduction 1) a/ Définition du vieillissement b/ Vieillissement physique c / Vieillissement psychique 2) La personne âgée désorientée a/ Définition b/ Les soins apportés c/ Les risques encourus/précautions à prendre d/ Soin particulier : la contention physique 3) Aspect administratif 4) Identitovigilance 5) Déroulement de l accueil et prise en soins d une personne âgée aux urgences du CHT 2
3 INTRODUCTION Rappelons que les personnes âgées (personnes de plus de 65 ans) représentent en 2010, 16.2% de la population. En 2005, la France comptait personnes de plus de 85 ans et elles seront de plus en Leur nombre aura doublé en Parallèlement, aux urgences, au cours de l année 2010, sur passages 21 % des personnes ont plus de 65 ans (10 157) 7 % des personnes ont plus de 85 ans (3 326) 3
4 1/ a) DÉFINITION DU VIEILLISSEMENT Le vieillissement est un processus normal, touchant tous les êtres vivants dès le début de leur existence. Cette loi biologique fondamentale s inscrit dans les gènes de chacun de nous et rend l organisme plus vulnérable. 4
5 1/ b) LE VIEILLISSEMENT PHYSIQUE Le vieillissement de l organisme induit une diminution de la capacité de l organisme à s adapter aux situations d agression (stress, infection, traumatisme ). Les conséquences du vieillissement, sur le métabolisme sur le système nerveux sur les organes et les sens sur le système cardio-vasculaire sur l appareil locomoteur sur l appareil urinaire sur les organes sexuels sur la peau et les phanères sur le système immunitaire 5
6 1/ c) LE VIEILLISSEMENT PSYCHIQUE Au fur et à mesure que le temps s écoule, le sujet âgé se trouve confronté à de nombreuses pertes, sociales sensorielles affectives cognitives 6
7 2/ LA PERSONNE AGÉE DÉSORIENTÉE a) DÉFINITION Est définie comme désorientée une personne qui présente des problèmes presque chaque jour dans l espace et dans le temps. 7
8 B) LES SOINS APPORTÉS Les soins techniques Aspect hémodynamique Glycémie capillaire Température Saturation en oxygène, fréquence respiratoire Evaluation de la douleur 8
9 Les soins d hygiène et de confort Installation adaptée en fonction de la pathologie Mise à disposition de l appel malade Vérifier si le patient est souillé Proposer les toilettes Respect de la pudeur du patient Evaluation du risque d escarre Alimentation et boisson selon prescription médicale Et selon la situation soins de bouche, toilette des mains, du visage, etc 9
10 Les soins relationnels Se présenter Expliquer le déroulement des soins Rassurer par des paroles bienveillantes, des gestes doux Réorienter dans le temps et l espace A REPETER AUTANT DE FOIS QUE NECESSAIRE Récupérer les informations auprès des proches, des vecteurs sanitaires ou à l aide de la fiche de liaison Etre à l écoute des proches Mettre en place le bracelet d identification 10
11 c) LES RISQUES ENCOURUS ET PRÉCAUTIONS A PRENDRE La chute du brancard : mettre des bas flancs, baisser le brancard au maximum, assurer une surveillance visuelle, faire rentrer un proche La chute de la chaise : mettre le frein, surveillance visuelle, faire attention au repose-pied, faire rentrer un proche La déambulation jusqu au risque de se perdre dans les locaux voir plus : surveillance visuelle, contention physique (sur prescription médicale le cas échéant), faire rentrer un proche La déshydratation : stimuler le patient à la boisson La rétention d urine : stimuler le patient à aller aux toilettes L apparition d escarre : attention au patient dépendant et désorienté 11
12 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Elle se caractérise par l utilisation de tous moyens (méthodes, matériels ou vêtements) qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire, de tout ou d une partie du corps. Le seul but est d obtenir la sécurité pour une personne âgée qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté. Les moyens utilisés Les gilets et les sangles thoraciques, les ceintures Les attaches poignets et de chevilles Les barrières de brancard. 12
13 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Il convient de rechercher les conditions et les moyens spécifiques, les moins restrictifs et les plus adaptés au patient pour la durée de la contention. Une certaine liberté de mouvement doit être recherchée. Le choix du matériel est à faire au cas par cas. Il doit être en bon état, adapté à la taille du sujet, garantir son confort et sa sécurité. Les indications : Dépendance fonctionnelle Prévention de la déambulation et de la chute 13
14 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Les dangers de la contention physique passive Premier niveau Risque d escarre Aggravation de la confusion ou de l agitation Incontinence fonctionnelle Fausses routes Second niveau Décès par strangulation ou asphyxie Recommandations pratiques avant la contention physique passive Connaissance des risques liés à l immobilisation Evaluation régulière des besoins et des risques Programme de soins et de surveillance individualisé 14
15 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Cadre légal : La contention physique ne peut être mise en place que sur prescription médicale qui doit être écrite, horodatée et permettre l identification du prescripteur. Les motifs de la contention, sa durée prévisible, les risques à prévenir, le programme de surveillance ainsi que le matériel de contention sont notifiés. Cette décision est éclairée par l avis des différents membres de l équipe soignante. Le patient et ses proches devront être informés de la nécessité de la contention pour que la décision soit prise avec leur consentement. 15
16 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Surveillance : Une surveillance écrite et programmée à intervalles réguliers doit être réalisée. Cette surveillance intègre les dimensions physique, psychologique et environnementale. Il est préconisé d effectuer un contrôle au moins toutes les heures, de l existence ou non de symptômes concernant : La fonction respiratoire ; L état cutané au niveau des points d attaches et des points d appui ; L hydratation La continence 16
17 d) UN SOIN PARTICULIER : LA CONTENTION PHYSIQUE PASSIVE Levée de la contention physique passive Elle est décidée sur prescription médicale, doit être expliquée à la personne âgée et à ses proches. En l absence d un médecin et dans les cas d urgence, cette prescription peut être faite a postériori et confirmée dans les plus brefs délais par un médecin. 17
18 3/ ASPECT ADMINISTRATIF Personne à prévenir : Lors de l admission s assurer de disposer des coordonnées de la personne à prévenir (fiche de liaison). A ne pas confondre avec la personne de confiance. Vigilance vis-à-vis des patients sous tutelle 18
19 3/ ASPECT ADMINISTRATIF La tutelle concerne une personne majeure et/ou tout ou partie de son patrimoine, si elle n est plus en état de veiller sur ses propres intérêts. C est la plus contraignante des mesures de protection. Un tuteur la représente dans les actes de la vie civile. 19
20 3/ ASPECT ADMINISTRATIF La curatelle concerne la personne majeure qui, sans être hors d état d agir elle-même, a besoin d être conseillée ou contrôlée d une manière continue dans les actes importants de la vie civile. 20
21 4/ identitovigilance C est le système de surveillance et de gestion des risques et des erreurs, liés à l identification des patients. Elle concerne l ensemble des acteurs d un établissement de santé Elle a pour but : D améliorer le processus d identification des patients De prévenir le risque d erreur d identité du malade De relier toutes les données concernant un malade en vue d assurer la qualité de la prise en charge. Il est recommandé de poser un bracelet d identification dès l accueil du patient désorienté. 21
22 5/ DÉROULEMENT DE L ACCUEIL ET DE LA PRISE EN SOINS D UNE PERSONNE ÂGÉE DESORIENTEE AUX URGENCES DU CHT Mme X, âgée de 90 ans, est amenée aux urgences par les ambulanciers pour chutes à répétition et plaie du cuir chevelu. Enregistrement auprès de l agent Gestion Administrative des Malades Prise en charge par l Infirmier Organisateur de l Accueil et l Aide Soignant d Accueil (présentation, motif de recours, recueil de données) Mme X présente une désorientation connue selon le courrier du médecin traitant. Réorientation dans le temps et dans l espace 22
23 5/ DÉROULEMENT DE L ACCUEIL ET DE LA PRISE EN SOINS D UNE PERSONNE ÂGÉE DESORIENTEE AUX URGENCES DU CHT Prise de constantes Pose du bracelet d identité Vérifications des coordonnées auprés des ambulanciers (Personne à prévenir? Lien de parenté? Coordonnées?) Priorisation en box de la zone soins Installation dans le box adapté (surveillance visuelle) Réinstallation sur le brancard par le binôme infirmierbrancardier (habillage, déshabillage, change si besoin, toilette succincte). 23
24 5/ DÉROULEMENT DE L ACCUEIL ET DE LA PRISE EN SOINS D UNE PERSONNE ÂGÉE AUX URGENCES DU CHT Sons relationnels : rassurer, expliquer le déroulement de la prise en charge Installation des barrières, brancard en position basse. Mise à disposition de l appel malade. Transmission au médecin pour prise en charge. Vérification de la présence d un proche. Réalisation des soins prescrits. Sécurisation et surveillance des dispositifs médicaux stériles (bandage au niveau de la VVP, attache poignet, retour conduit du collecteur à urines au niveau de la cuisse) 24
25 5/ DÉROULEMENT DE L ACCUEIL ET DE LA PRISE EN SOINS D UNE PERSONNE ÂGÉE AUX URGENCES DU CHT Accueil et information des proches sur le déroulement de la prise en charge et les risques encourus (aggravation de sa désorientation et possible agitation) Accompagnement des proches lors des déplacements de la patiente pour des examens complémentaires (radiologie, scanner ) ou consultations diverses. Sollicitation des proches pour rester auprès d elle tant que l orientation n est pas définie. 25
26 CONCLUSION Accueillir une personne âgée désorientée aux urgences est une étape importante dans son parcours de soins. Les soignants sont régulièrement sollicités pour les resituer dans le temps et l espace. Ils doivent rester constamment vigilants et attentifs face aux risques encourus au sein de l unité (hors du contexte habituel et de leur lieu de vie). En effet, la personne âgée désorientée est à prendre en compte dans sa globalité afin d optimiser sa prise en soins de manière à éviter d accroitre le stress lié à la consultation urgente et/ou à l éventuelle hospitalisation. 26
27 CONCLUSION Cet accueil reste en étroite adéquation avec le flux d arrivée, la disponibilité des personnels et des locaux. Néanmoins, dans certains cas les circuits tels que des hospitalisations de jour et/ou des consultations gériatriques pourraient être sollicités. Ceci permettrait une prise en charge personnalisée, programmée et ainsi plus confortable pour le patient et son entourage. 27
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détail3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.
L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au
INSTITUT DE FORMATION FILIERE AMBULANCIER PROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au DIPLOME D ETAT D AMBULANCIER Juin à Novembre 2013 Directrice, Cadre supérieur de Santé : Agnès MISSAULT Infirmières
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailCentre SSR - EHPAD La Chimotaie B.P. 10014 85613 CUGAND Montaigu Cedex
Centre SSR - EHPAD 85613 CUGAND Montaigu Cedex SSR (orientation en rééducationréadaptation) SSR (orientation en cancérologie et soins palliatifs) SSR polyvalents Secrét. Médical : 02.51.45.68.23 Secrét.
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailLa contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre
Chapitre 112 La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre T. CHARPEAUD, P. EYMERE, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT, G. BROUSSE
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailACCORD NATIONAL DE BON USAGE DES SOINS SUR LES PRESCRIPTIONS DE TRANSPORTS
ACCORD NATIONAL DE BON USAGE DES SOINS SUR LES PRESCRIPTIONS DE TRANSPORTS Entre, d une part, Au titre des généralistes : La Confédération des Syndicats Médicaux Français, Le Syndicat des Médecins Libéraux.
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailBaccalauréat Professionnel. Accompagnement, soins et services à la personne. - option «à domicile» - option «en structure»
Baccalauréat Professionnel Accompagnement, soins et services à la personne - option «à domicile» - option «en structure» Référentiel bac pro ASSP 21 décembre 2010 1 Référentiel des activités professionnelles
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailQUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS
QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS Numéro questionnaire : Région : District : Commune /quartier : Nom de l enquêteur : Date de l enquête : Signature : I. INTRODUCTION: Je vais vous poser
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailLES AMIS Service à Domicile
LES AMIS Service à Domicile Association certifiée Services SAAD / SSIAD / MANDATAIRE / Conseil aux Familles N agrément qualité : E / 181206 / A / 075 / Q / 044 Autorisation délivrée le 29/11/2004 par le
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailInformation destinée aux proches. Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques
Information destinée aux proches Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques Qu est-ce qu une démence? La démence est une affection qui entraîne une détérioration du fonctionnement
Plus en détailGL5 GLS5. Lève-personnes mobiles
GL5 GLS5 Lève-personnes mobiles Lève-personnes mobile GL5 Les lève-personnes mobiles GL5 sont les alternatives au sol des appareils de levage fixés au plafond de la gamme de produits Guldmann. Depuis plus
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailPour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129.
Journal urinaire À quoi sert un journal urinaire? Nous vous demanderons de remplir ce journal à deux reprises : avant et après les classes d exercices. Les données recueillies nous permettront de mieux
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailVERSION 2.1 SOMMAIRE 8. INTERVENANTS UTILES A LA PRISE EN SOINS DU PATIENT DANS LA SITUATION ACTUELLE.. 10
DOCUMENT MÉDICO-SOCIAL DE TRANSMISSION VERSION 2.1 MODE D EMPLOI SOMMAIRE I. INTRODUCTION...2 II. CHAMPS ET RUBRIQUES DU DMST...3 0. DONNEES D ENTETE DU DOCUMENT... 3 1. DONNEES DE BASE... 3 2. DONNEES
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détailService Privé d ambulances 2010
FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Service Privé d ambulances Codification NAA : 85.16 Codification ONS : 85.17 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailInstitut de FORMATION
Institut de FORMATION plaquette.indd 1 28/11/2012 20:52:47 edito L INSTITUT DE FORMATION J.LEPERCQ Fondé en 1946, l institut de formation est un établissement situé dans le centre ville, à taille humaine
Plus en détailLes contentions. Moteur de recherche : Daniel Goutaine www.geriatrie-albi.fr Page d'accueil Rubrique : contentions
Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine www.geriatrie-albi.fr Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détailFICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI
Date : 21/05/2014 FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI Produits impliqués : Table de Verticalisation Top Niveau Réf TF1-2860 / TF1-2861 Tables fabriquées en 2012 (2860 10 12 01 et 2860 10 12 02)
Plus en détailMoteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions
Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil ou au lit du résident,
Plus en détail1. But général. 2. Public - cible. 3. Contenu de la formation. 3.1 Evaluation de la situation. 3.2 Alerte
Niveau 1 pour la formation de non-professionnels dans le domaine du sauvetage (Cours de sauveteur dans les situations différées et BLS 1 selon les normes SRC 2 ) 1. But général La formation de niveau 1
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailLE DOSSIER PARTAGE DU PATIENT A DOMICILE
LE DOSSIER PARTAGE DU PATIENT A DOMICILE Dans le cadre du CLIC du CCAS de la ville de NICE. Etablit en partenariat entre : Le CCAS de la ville de Nice Le CHU de Nice Les établissements hospitaliers et
Plus en détailVous vous occupez d une personne âgée malade. vous êtes son. aidant naturel
Vous vous occupez d une personne âgée malade vous êtes son aidant naturel Avant-propos Cette brochure est conçue pour vous informer vous et votre famille sur le rôle, les devoirs et les droits d un «aidant
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailLa problématique de la prise en charge d un patient obèse. Pierre Vanaudenaeren CoAMU Province du Hainaut
1 La problématique de la prise en charge d un patient obèse. Pierre Vanaudenaeren CoAMU Province du Hainaut 2 Une demande d avis a été demandée par le Conseil national des secours médicaux d urgence en
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailREGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES
REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES Article 1 Bénéficiaires Le restaurant scolaire municipal accueille les enfants scolarisés dans les écoles DU RPI OZENAY-PLOTTES.
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailDocument destiné aux Présidents des associations et dirigeants bénévoles des associations de solidarité
Document destiné aux Présidents des associations et dirigeants bénévoles des associations de solidarité Catalogue de formation des bénévoles associatifs lorrains 2008 Les formations présentées dans ce
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailFICHE 3 Situations les plus fréquentes devant lesquelles l étudiant pourra se trouver Notions de situations clés, prévalentes
LIVRET «ACCUEIL ET RESSOURCES» DU TERRAIN DE STAGE UNITE DE SOINS INTENSIFS DE CARDIOLOGIE Institut de Formation en Soins Infirmiers DES ETUDIANTS ENNFIRMIERS GUIDE D ELABORATION FICHE 1 Identification
Plus en détailLe Service de Téléassistance aux Personnes Agées et Isolées
Le Service de Téléassistance aux Personnes Agées et Isolées 30 ans d expérience à votre service Simple et rassurant! Qui est Custos? > Société créée en 1978, sous forme associative, > Spécialisée depuis
Plus en détailRECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)
RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailGROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION
GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle
Plus en détailDOSSIER DE SOUSCRIPTION TELEASSISTANCE CLASSIQUE ou TELEASSISTANCE MOBILE
Mutualité Française Bourguignonne services de soins et d accompagnement mutualistes Union de mutuelles régie par les dispositions du code de la mutualité RNM 775 567 761 Siège social : 16 bd de Sévigné
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCADRE REGLEMENTAIRE. - en un lieu distant de plus de 150kms. - pour se soumettre au contrôle médicalm
LES TRANSPORTS CADRE REGLEMENTAIRE Sont remboursés, au titre des prestations légales les transports - liés à l hospitalisation - en rapport avec une affection de longue durée - en ambulance - liés à un
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ADMINISTRATION. Commission nationale de l informatique et des libertés
ADMINISTRATION Autorités administratives indépendantes et établissements sous tutelle CNIL Commission nationale de l informatique et des libertés _ Délibération n o 2013-255 du 19 septembre 2013 portant
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailDes questions..des réponses
1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact
Plus en détail