REGLEMENTATION USIC Décret 07 avril 2002
|
|
- Claudine Alizée Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 ASSISES NATIONALES DU CNCHG - 23 Novembre 2007 PARIS GROUPE DE REFLEXION USIC : DR MARCAGGI X. DR DUJARDIN J.J. DR FELLINGER F. DR FONT M. DR HANSSEN M. REGLEMENTATION USIC Décret 07 avril 2002
3 CONDITIONS GENERALES : une défaillance aigue de l organe concerné par la spécialité la mise en œuvre prolongée de techniques spécifiques, l utilisation de dispositifs médicaux et spécialisés ainsi qu une permanence médicale et para-médicale
4 CONDITIONS PARTICULIERES AUX USIC : comportent au minimum 6 lits la permanence médicale est assurée par au moins un médecin En dehors du service de jour, par un interne en médecine dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de la santé
5 sous la responsabilité d un cadre infirmier, l équipe para-médicale de l USIC comprend : de jour un infirmier et un aide soignant pour 4 patients ; de nuit, au moins un infirmier pour 8 patients. Lorsque pour 8 patients présents la nuit, un seul infirmier est affecté à l unité, doit être en outre prévue la présence d un aide-soignant». Pour tous les établissements de santé, mise en conformité au Arrêté du 6 novembre 1995 relatif à l organisation et à l indemnisation des gardes médicales effectuées par les internes dans les établissements publics de santé
6 Arrete du 6 nov 95 Art Lorsque l effectif des praticiens visés à l article 2 ci-dessus est insuffisant pour permettre d assurer une présence médicale permanente sans qu un praticien ne soit mis dans l obligation d assurer une garde dans le service, plus d une nuit par semaine et plus d un dimanche ou jour férié par mois, il peut être fait appel à des internes titulaires
7 Les internes doivent, à cet effet, avoir fait l objet d une décision expresse d autorisation signée du directeur général du centre hospitalier universitaire d affectation et du directeur de l établissement public de santé où ils seront appelés à prendre des gardes. Elle ne peut être accordée qu aux étudiants ayant validé au moins trois années d internat et au minimum deux tiers des semestres spécifiques exigés pour l obtention du diplôme d études spécialisées permettant l exercice de la spécialité au titre de laquelle ils seront autorisés à prendre des gardes. L'interne participe au service de gardes et astreintes. Les gardes effectuées par l'interne au titre du service normal de garde sont comptabilisées dans ses obligations de service à raison de deux demi-journées pour une garde. Il peut également assurer une participation supérieure au service normal de garde
8 Arrêté du Relatif aux gardes des internes, des résidents en médecine et des étudiants Un interne ne peut prendre une garde dans un service qu après accord du chef de service.
9 Recommandations de la S.F.C. pour la prise en charge des urgences cardiologiques (AMC 1999) : L ORGANISATION DU SERVICE Tout service de médecine à orientation cardio-vasculaire comporte une USIC ou, à défaut, une unité de surveillance continue L EQUIPEMENT DU SERVICE Le nombre minimal de lits souhaitables dans une USIC est de 8» «Mais ne doit pas descendre en-dessous de 6». enfin, accès sur le site, 24 heures sur 24 et dans un délai inférieur à 60 minutes, à une installation de coronarographie
10 L EQUIPE MEDICALE A défaut de cette formation, ils doivent avoir validé au moins 3 années d internat dont 2 semestres dans un service qualifiant pour la spécialité, incluant un semestre en USIC. doit être doublé pendant sa garde par un cardiologue spécialisé, d astreinte et de se rendre dans l USIC en moins de 60 minutes.
11 LE PERSONNEL PARA MEDICAL au moins une I.D.E. et une A.S. pour 4 patients un secrétariat dédié à l unité, chargé de l accueil
12 L ACCREDITATION ET EVALUATION DES USIC L objet de l accréditation est la vérification tous les 5 ans que les conditions techniques de fonctionnement répondent aux normes fixées par décret La procédure d évaluation annuelle est obligatoire et a pour objectif la vérification et l amélioration de la prise en charge du malade un registre anonyme un geste d urgence qui témoignerait de la sévérité de leur état
13 RECOMMANDATIONS DE l ESC (EHJ 2005) 4 à 5 lits pour habitants 10 lits pour passages annuels. Un médecin cardiologue certifié chef de service et un médecin (cardiologue, résidant, fellow), pour 3 ou 4 patients. Au moins 2.8 infirmières par lit pour couvrir les trois périodes. Au moins 1 infirmière pour 2 lits le jour, et 1 pour 3 lits la nuit.
14 SROS III - ILE DE FRANCE JANVIER 2006 l USIC sans plateau d angioplastie coronarienne l USIC avec plateau d angioplastie coronarienne
15 ANALYSE DES UNITES DE SOINS INTENSIFS DE CARDIOLOGIE DE LA REGION ILE DE FRANCE 55 USIC 510 lits Répartition des lits hétérogènes 72.7 % des USIC disposent d un centre d angioplastie coronaropathie 41.2 % SCA St + (N = 354) admis à 91.2% dans un établissement avec centre d angioplastie coronaire.
16 L analyse statistique a permis de dégager 5 organisations d USIC Le premier groupe de 16 USIC Le deuxième est constitué de 10 USIC Le troisième est constitué de 8 USIC Le quatrième est constitué de 10 USIC orientés dans la prise en charge des syndromes coronariens aigus. Enfin le cinquième est constitué de 3 USIC L analyse des patients hospitalisés dans ces unités montre que 56 % relevaient d une USIC.
17 ENFIN UN SOUS EFFECTIF EN PERSONNEL EST CLAIREMENT UN FACTEUR DE SURMORTALITE DEPUIS LONGTEMPS Cohen - Crit. Care Med Thorens - Crit. Care Med 1995.
18 Approche pragmatique de la garde médicale sur place : Prise de la garde des médecins en cours de formation après initiation aux gestes de réanimation validée par le chef de service avec une astreinte opérationnelle d un senior Rapprochement avec le service de réanimation, le médecin de garde sur place et doublé par une astreinte opérationnelle de l autre spécialité. Pour les internes, la règle pourrait être la suivante : interne ayant validé les 2/3 du D.E.S. : peut être recruté et rémunéré comme un senior et prendre la garde sur place seul. interne de cardio non validé : peut prendre la garde su place et être rémunéré comme sénior si accord du chef de service et couverture d astreinte par senior.
19 mais la séniorisation de la garde médicale sur place a ses limites avec la perte dans certains services de 1 à 2 P.H. par jour avec les repos post-gardes et les RTT : - diminution de l offre de soins alors que la démographie médicale diminue (CHG : 60 % de la cardiologie en France, mais beaucoup de postes de PH non pourvus, vieillissement des cardiologues). - perte financière pour les hôpitaux lors de la T2A à 100 % pour 2008.
20 La continuité des soins dans l intérêt du malade peut s organiser à partir des internes avec une astreinte opérationnelle cardiologique avec l accord des différentes commissions ad hoc (permanence des soins, ). Efficacité des S.A.U. pour la prise en charge des urgences cardiologiques (MG + CAMU).
21 ETUDE USIC 2006 CNCHG PARIS
22 P.NOURY l organisation des USI
23 P.NOURY l organisation des USI
24 P.NOURY l organisation des USI
25 P.NOURY l organisation des USI
26 P.NOURY l organisation des USI
27 P.NOURY l organisation des USI
28 P.NOURY l organisation des USI
29 TABLEAU RECAPITULATIF CNCHG (1 Nombre total de C.H.G.en France Nombre d USIC 6 lits Nombre d USIC ayant répondu au questinnaire Nombre d USIC déclassées en soins continus C.H.U (annuaire CNCHG 2006)
30 TABLEAU RECAPITULATIF CNCHG (2) REGION ENQUETES RETOURNEES SOINS CONTINUS ALSACE 1 1 AQUITAINE 5 1 AUVERGNE 3 0 BASSE NORMANDIE 2 3 BOURGOGNE 2 2 BRETAGNE 4 0 CENTRE 1 1 CHAMPAGNE ARDENNES 2 1 FRANCHE COMTE 3 0 HTE NORMANDIE 2 0 ILE DE FRANCE 6 0 LANGUEDOC ROUSSILLON 2 0 LIMOUSIN 2 1 LORRAINE 2 1 MIDI PYRENEES 1 2 NORD PAS DE CALAIS 3 0 TERRITOIRES O.M. 1 0 PAYS DE LA LOIRE 2 0 PICARDIE 0 0 POITOU CHARENTE 2 2 PROVENCE A.C.A. 5 2 RHONE ALPES 7 1
31
32 1- Population du territoire de santé : ( ) n = 38 Indice pour habitants : 3,8 (1,2 14) n = 38 Nb lits ESC (5/100000) = 13,4 (2,5 40)
33 2 -Présentation générale : Nombre de lits MCO : 476 ( ) n = 36 Nombre de lits SIC : 8,33 (4 14) n = 48 Nombre de lits REA (médicale + Chirurgicale) : 12,6 (8-28) n = 39 Nombre de lits Surveillance continue : 8,4 (2 24) n = 16
34 Nombre de lits cardiologie : 34 (17-80) n = 48 Nb lits SFC (5/lits USIC) = : 41 (20-70) ratio : 0,8 (0,4-2) Nombre de passage Urgences : n = 32 % d hospitalisations : 29 (18-54) Nb lits ESC (10/100000) = 3,7 (1,7-7,4) Nombre de sorties SMUR : ( ) n = 27 Cardiologie interventionnelle sur site : OUI 30 NON : 20
35 3 - Conventions SAMU/SMUR n = % Réanimation Médicochirurgicale n = % CCV n = 24 87,5% Cardiologie interventionnelle si elle n existe pas sur place n = 21 Distance (Km) : 65,9 (2-180) Délai moyen de transfert «porte à porte» (mn) : 63,8 (15-150) 13 > 60mn
36 4 - Personnel SIC Médecins : 4 (1-9) Internes : 1,5 (1-4) IDE : ratio : 0,99 (0,3-2,3) n =44 23<1 A.S. : ratio : 0,7 (0,2-2) n =38 A.S.H. : 1,8 (0-8) n = 39 non rapporté au nb de lits Secrétaire : 1,4 (1-3) n = 41
37 En fonction du décret n et du 5 Avril 2002 le calcul théorique des effectifs a été réalisé sur la base de : IDE Jour 1 par poste pour 4 patients Nuit 1 par poste pour 8 patients AS Jour 1 par poste pour 4 patients Nuit 1 par poste pour 8 patients soit le calcul suivant : effectif jour pour 4 patients 2 X 365 X 7,5 : 1540 = 3,55 ETP 2 = nombre d agents par poste 365 = nombre de jours par an 7,5 = quotité journalière de travail 1540 = quotité annuelle de travail par agent effectif nuit pour 8 patients 1 X 365 X 10 : 1450 = 2,51 ETP 1 = nombre d agents par poste 365 = nombre de jours par an 10 = quotité journalière de travail 1450 = quotité annuelle de travail par agent
38 TABLEAU RECAPITULATIF DE L EFFECTIF THEORIQUE JOURNALIER NOMBRE DE LITS NOMBRE IDE MINIM UM PAR POSTE EFFECTIF JOUR EFFECTIF NUIT TOTAL EFFECTIF 6 2J + 1N 5,32 2,51 7,83 7 2J + 1N 6,21 2,51 8,72 8 2J + 1N 7,1# 2,51# 9,61# 9 3J + 2N 7,98 5,64 13, J + 2N 8,9 6,27 15, J + 2N 9,76 6,96 16, J + 2N 10,65# 7,53# 18,18# 13 4J + 2N 11,53 8,15 19, J + 2N 12,42 8,78 21,2 15 4J + 2N 13,31 9,41 22, J + 2N 14,2# 10,04# 24,24# X# : valeurs seuils
39 Nous avons considéré la norme minimale de 2 IDE de nuit dés 8 lits d accueil. L approche se veut statistique pure, ne tenant pas compte de l aspect pratique qui ne permet évidemment pas l affectation de dixièmes d agents. Ceci aboutit donc au fait que les ratios calculés se retrouvent être supérieurs à leur valeur calculée en «phase pratique» ( l effectif jour minimum serait alors de 11,53 dés 9 lits ). Ces coefficients théoriques nous ont alors permis de calculer un score de conformité correspondant à la péréquation entre l effectif réel et l effectif théorique. Pour 10 hôpitaux, renseignements absents ou inexploitables (mutualisation d effectifs par exemple).
40 5 - Gardes : Médicale sur place : 92,5 n = 40 dont Sénior : 100% pour 18 Astreinte opérationnelle : 96,9% n = 32 Astreinte de sécurité : 83,3 n = 6 SIC + REA (garde couplée) : n = 4
41 6 - Activité 2006 SIC nombre patient : 847 ( )n = 38 âge moyen : 63,8 (60,7-75) nombre journées : 2500 ( ) n = 42 nombre séjours (RSS) : 920 ( ) n =34 nombre de passages (RUM) : 932 ( ) n =29 Taux d occupation : 77,9% (54-94) n= 42 Durée moyenne de séjour (DMS) USIC : 2,7 (1,6-3,7) n =45 Programmés : 17,9% (0-46) n = 34 Pourcentage de mortalité : 3% (1-7)
42 7 - Remarques : Une garde médicale sur place refusée par la direction qui souhaite une mutualisation de l USIC en réanimation polyvalente. Est-ce qu un cardiologue peut être responsable d une unité de soins continus? Diminution de lits d USIC pour la création d une UNV Gardes mutualisées avec la réanimation : 3. L existence d une cardiologie interventionnelle ne permet pas de différences significative pour : ratio IDE CI : 0,91/ 1,25 ratio AS CI : 0,6/0,8 % occupation : 75/79 DMS : 2,6/2,7 Mortalité ; 2,1/2,5 sauf age : 67,2/69,8
43 8 - Conclusion : Malgré des résultats encore incomplets, on note un sous effectif du personnel en particulier pour la CI ( développement à moyen constant? ) Garde médicale sur place fréquente avec seniorisation modérée
44 PROJET D ENQUETE POUR 2008 Appréciation de la lourdeur des patients pris en charge à partir : 10 diagnostics principaux Principaux G H M Actes classants en réanimation r (cf( liste et calcul IGS II) Enquête sur 1 à 4 semaines, par exemple à définir, en collaboration avec les chefs de DIM L idéal serait une saisie sur tableur EXCEL et à envoyer par Internet pour un dépouillement d facile
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailMutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13
62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailRAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)
RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailRecommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques
RECOMMANDATIONS Recommandations de la Société française de cardiologie pour la prise en charge des urgences cardiologiques Qu elles soient coro n a i res, hémodynamiques, rythmiques ou de toute a u t re
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailExterne : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions
Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions 18/08/2013 Rodolphe LEDIEU 0 Sommaire Introduction 1. Du DFSGM au DFASM : du Régime de Sécurité Sociale Etudiante au Régime Général
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détail30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne.
Un nouveau circuit de saut d obstacles Au format très télévisuel Support de paris sportifs en ligne 30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailPlus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires
Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailLe Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.
Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailProtocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013
Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailNomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein
Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailSamu-Urgences de France. Référentiel
Samu-Urgences de France Référentiel Les ressources médicales et non médicales nécessaires au bon fonctionnement des structures d'urgence (Samu, Smur, Service des Urgences, UHCD) Novembre 2011 http://www.samu-urgences-de-france.fr
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailRapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR
DGCS EVALUATION DU DISPOSITIF LITS HALTES SOINS SANTE (LHSS) Rapport final version définitive 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS-1788-EVALUATION
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailSECTION SYNDICALE CFDT VINCI Construction Terrassement GUIDE 2012 A L USAGE DES OUVRIERS ETAM CADRES
SECTION SYNDICALE CFDT VINCI Construction Terrassement GUIDE 2012 A L USAGE DES OUVRIERS ETAM CADRES SOMMAIRE 1 EDITO... 3 2 SALAIRES ET TEMPS DE TRAVAIL... 4 2.1 SALAIRES ET TEMPS DE TRAVAIL DES OUVRIERS...
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailRésultats du sondage
Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailLe P2D2. Réunion INSIS 24 mars 2014. Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis
P. 1 Le P2D2 Réunion INSIS 24 mars 2014 Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis Sommaire P. 2 1 - Contexte et enjeux du P2D2 2 -
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailMESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE
Le Ministère de la santé, de la famille Et des personnes handicapées. MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le ministre de la santé, de la famille
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailCette nouvelle édition du Lien «spécial
Décembre 9 Editorial éditorial Editorial Editorial SPECIAL STATISTIQUES Evolution du nombre d'étudiants et de stagiaires à l'iufm de BOURGOGNE SITUATION 7 novembre 9 Evolution du nombre Effectifs d'étudiants
Plus en détailRèglement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006
Règlement Intérieur Date : 6 novembre 2014 Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 OBJECTIFS - FINALITES DE L ORU-MiP Article 1. : Conformément à sa convention constitutive, la mission principale du GIP
Plus en détailDossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster
Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailQuelle image avez-vous de la Belgique?
Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailINAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013
Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement
Plus en détailAUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES
AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailREGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014
REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailAssociation d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PROFESSION DE CHIRURGIEN DENTISTE EN FRANCE POUR LES CHIRURGIENS DENTISTES À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailLutter contre les déserts médicaux et les inégalités d accès aux soins : bilan 2013 et perspectives 2014. Dossier de presse 10 Février 2014
Lutter contre les déserts médicaux et les inégalités d accès aux soins : bilan 2013 et perspectives 2014 Dossier de presse 10 Février 2014 MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ 1 J ai lancé, il
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détail