Physiologie des régulations BI 632 L3
|
|
- Adèle Bertrand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Physiologie des régulations BI 632 L3 Christophe Porcher Institut de Neurobiologie de la Méditerranée - INSERM U901
2 Plan du cours Généralités (cours 1) Concept d homéostasie (cours 1) Système nerveux périphérique (cours 1-2) Système endocrinien (cours 2) La régulation de la glycémie (cours 3-4) La régulation de la température (cours 4-5) La régulation du stress (cours 5-6)
3 Histoire de la physiologie Physiologie : "la connaissance de nature. Aristote a utilisé ce mot pour décrire le fonctionnement de tous les organismes vivants. Il a chercher des corrélations entre la structure et la fonction des organes et à une conviction que chaque organe a un fonction unique Platon & Aristote
4 Histoire de la physiologie Il est considéré le père de médecine, a utilisé le mot physiologie pour signifier "le pouvoir guérissant de la nature". La médecine hippocratique est fondée, de manière générale, sur l'observation et le raisonnement. L'enseignement hippocratique tente de se donner un cadre théorique. Hippocrate Le plus connu est la théorie des humeurs dont le déséquilibre cause maladie physique mais aussi trouble psychique.
5 La théorie des humeurs Flegmatique Sanguin (jovial) Colérique (bile jaune) Mélancolique (bile noire) Postulat : la santé résulte du mélange (crase) équilibré des fluides corporels que sont les humeurs, (eucrasie). Toute maladie provient soit d'un déséquilibre des humeurs (surabondance ou manque excessif ; la dyscrasie), soit lorsque l'une des humeurs s'isole et se met à fluer, causant une double douleur, à l'endroit qu'elle quitte et à l'endroit où elle se fixe. Ces humeurs sont le sang, de couleur rouge qui est produit par le cœur, la bile jaune qui provient du foie, le phlegme, de couleur blanche, ou pituite, qui est produit par le cerveau, et la bile noire provenant de la rate.
6 De nos jours : qu est-ce que la physiologie? C est l étude des fonctions des tissus, organes et systèmes d'organes dans les animaux multicellulaires. C est aussi étudier comment un être vivant s'adapte à son environnement et enfin comprendre les mécanismes qui opèrent chez ces êtres vivants à tous les niveaux (du subcellulaire à l organisme entier).
7 Tout système a par définition un but : survivre assez longtemps pour reproduire. toujours plus d ADN! Survivre : avoir accès à de l énergie.. Et ne pas se faire manger Reproduire : exprimer des programmes inscrits
8 Niveaux d approches en physiologie La physiologie englobe de nombreux niveaux d organisation, du moléculaire a une population d une espèce. Les groupes d organes forment des systèmes physiologiques
9 Les systèmes physiologiques
10 La physiologie est liée à deux notions principales : 1. Le milieu intérieur : ensemble des liquides extracellulaires dans lesquels Il Le Il est constitué par trois compartiments : Plasmatique Interstitiel lymphatique 2. Le maintien de la constance du milieu intérieur : notion complétée ensuite celle d'homéostasie : Les paramètres du milieu intérieur sont maintenus constants dans l'organisme par des mécanismes régulateurs.
11 De grandes fluctuations dans l'environnement sont traduites par de petites fluctuations du milieu intérieur L'indépendance que l'organisme a de son environnement provient du fait que ses tissus sont isoles des influences directes des conditions externes.
12 La notion de milieu intérieur Le corps vivant, bien qu'il ait besoin de l'environnement, est quand même relativement indépendant de celui ci. Les tissus sont protégés des influences externes directes par un environnement intérieur véritable qui est constitué par les liquides circulant dans le corps. Claude Bernard ( ) «C'est la stabilité de l'environnement intérieur qui est la condition de la vie libre et indépendante»
13 La notion de milieu intérieur Chez les métazoaires, la plupart des cellules sont trop profondes pour échanger directement avec l environnement. Les échanges se font grâce à un liquide intermédiaire : le milieu intérieur.
14 Milieu intérieur = plasma + lymphe
15 Intérêts du milieu intérieur 1. les cellules ne peuvent vivre en l absence d eau. Le MI permet à toutes les cellules de baigner dans un milieu liquide, même si l organisme vit hors de l eau. L existence du MI a permis aux animaux de conquérir le milieu terrestre au cours de l évolution. 2. Grâce au MI, les organismes sont moins sensibles aux variations de l environnement, car cette «mer interne» s interpose entre les cellules et l environnement hostile. Les cellules subissent les «tempêtes de l environnement» de manière atténuée. 3. S il n est pas possible pour un animal vivant dans une mer ou un lac de changer son environnement (volume trop grand), il peut réguler très précisément les caractéristiques de son MI ; cela permet aux cellules de vivre dans un milieu stabilisé (notion d homéostasie).
16 Homéostasie : état constant Walter B. Cannon ( ) Le terme "homeostasie" a été d'abord utilisé par Walter Bradford Cannon au cours des années 1920 : «Les processus physiologiques coordonnés qui maintiennent l équilibre dans l'organisme sont si complexes et si particuliers aux créatures qu ils vont impliquer le cerveau, le coeur, les poumons, les reins et la rate, tous travaillant coopérativement que j'ai suggéré une définition pour ces états, c est l homéostasie. Le mot n'implique pas que quelque chose est au repos ou immobile. Cela signifie une condition - une condition qui peut varier, mais qui est relativement constante»
17 Homéostasie Homéostasie : L'environnement intérieur est maintenu constant en face d'un environnement changeant. Dans ce cours, nous allons étudier comment les animaux régulent leur environnement intérieur pour maintenir un état constant.
18
19 Homéostasie L'homéostasie est donc l'équilibre interne de l'organisme Pour les animaux endothermes, un des paramètres principaux est la régulation de la composition du sang et de ses paramètres dynamiques (mécanique des fluides), pour éviter les déficits ou les excès, notamment : 1. En ions sodium (Na + ) : natrémie (hyponatrémie, hypernatrémie); calcium Ca 2+ : calcémie (hypocalcémie, hypercalcémie) potassium K + : kaliémie (hypokaliémie, hyperkaliémie) 2. Sucre (glucose) : glycémie (hypoglycémie, hyperglycémie) 3. L'acidité, le ph, et notamment la quantité de gaz carbonique ou capnie (hypocapnie, hypercapnie) 4. L'osmolarité (équilibre hydrique) 5. La circulation sanguine, pression artérielle (hypertension, hypotension) 6. La température, homéothermie (hypothermie, hyperthermie)
20 Homéostasie et systèmes de contrôles mise en relation de la cybernétique et de la physiologie Il est possible d'étudier la physiologie d'un organisme par une approche cybernétique : Il s'agit là d'étudier comment évoluent les paramètres physiologiques de l'organisme Une approche cybernétique de la physiologie commence par une modélisation des mécanismes physiologiques de l'organisme.
21 Modélisation : le concept de "boîte noire" On étudie donc des paramètres d'entrée, décrivant les informations, molécules, paramètres physico-chimiques, etc., arrivant ou influençant l'activité de l'organisme, et des paramètres de sortie, décrivant les informations, molécules émises par l'organisme, les paramètres physicochimiques modifiés par l'organe, etc., ainsi que les relations entre ces paramètres.
22 Modélisation cybernétique d un système effecteur La physiologie d'un organisme peut ainsi être étudiée à travers ses paramètres, stabilisés (l'homéostasie de l'organisme) par des systèmes effecteurs. Ces systèmes effecteurs permettent la régulation physiologique de l'organisme. Et sont donc des régulateurs. On peut distinguer deux types de régulateurs : en constance et en tendance
23 Modélisation cybernétique d'un régulateur en constance : Il est caractérisé par une rétroaction négative En physiologie, le système effecteur correspond à un homéostat, et peut donc être assimilé à un régulateur en constance : la finalité du système effecteur est de maintenir la grandeur réglée, ou grandeur de sortie ("output"), à une valeur constante. Cette valeur constante est dénommé la grandeur de consigne, fixée au préalable, et caractéristique du régulateur en constance. Cette régulation est réalisée en s'opposant aux variations de la grandeur d'entrée, qui ont pour effet d'éloigner la grandeur de sortie de cette grandeur de consigne. Il s'agit donc d'un effet en retour s'opposant aux variations observées : ce système fonctionne grâce à un rétrocontrôle négatif (feed-back négatif).
24 Modélisation cybernétique d'un régulateur en tendance : Il est caractérisé par une rétroaction positive Dans de rares situations physiologiques, au contraire, le système effecteur amplifie les variations de la grandeur réglée : il agit alors comme un régulateur en tendance. La finalité d'un tel régulateur est d'entretenir une variation de la grandeur réglée, soit dans le sens d'un accroissement continue, soit dans le sens d'une diminution continue. Ce système fonctionne, au contraire d'un régulateur en constance, grâce à un rétrocontrôle positif (feed-back positif). Ces régulateurs sont toujours couplés avec des régulateurs en constance : ceci évite que le système aboutisse à une impasse.
25 Chaîne d événements qui se produit au cours d un réflexe pour rétablir l homéostasie 1. Stimulus : modifie une variable 2. Modification détectée par un récepteur 3. Entrée : information acheminée par une voie afférente au centre de régulation 4. Sortie : information acheminée par une voie efférente à un effecteur 4. Réponse de l effecteur qui agit sur l intensité du stimulus par rétroaction et rétablit l homéostasie en ramenant la variable à la normale.
26 Exemple d un système de chauffage Les composants impliques dans un réflexe d homéostasie (exemple d un système de chauffage). Le récepteur (thermomètre) détecte un changement de température, il envoie cette information au centre intégrateur (thermostat) qui envoie un ordre à l effecteur et produit une réponse (le chauffage).
27 Homéostasie : régulation par rétroaction (feedback) qui s oppose aux variations du paramètre réglé On utilise, pour de nombreux paramètres (glycémie, calcémie, pression osmotique, pression artérielle, température, etc.), l expression de régulation par rétroaction (feedback), pour désigner l action du système réglant qui s oppose aux variations du paramètre réglé. Le qualitatif de rétroaction négative signifie «qui s oppose» mais ne désigne pas uniquement une diminution (par exemple le système réglant de la glycémie peut avoir pour effet d augmenter la glycémie si elle est trop faible ou de la diminuer si elle est trop forte)
28 Exemple : la régulation de la température centrale Notre sujet est au repos à une température ambiante de 20 C. Sa température interne est 37 C et il perd de la chaleur à l'environnement qui est à une température plus basse. Pourtant, les réactions chimiques se produisant dans les cellules de son corps produisent de la chaleur à un taux égal au taux de perte de chaleur. Dans ces conditions, le corps ne subit aucune augmentation nette ou perte de chaleur et la température du corps reste constante. On dit que le système est réglé, défini comme un système dans lequel une variable particulière (la température) ne change pas, mais l'énergie (la chaleur) doit être ajoutée constamment pour maintenir cette variable dans un état constant. Les états réglés diffèrent des états d équilibre, dans lequel une variable particulière ne change pas mais aucune contribution d'énergie n'est investie pour la maintenir constante. La température permanente dans notre exemple est connue comme grandeur de consigne du système thermorégulateur.
29 Exemple : la régulation de la température centrale recroquevillé
30 Conformité et régulation Quand un animal est confronté à un changement dans son environnement (la [oxygène], la salinité etc..), il existe deux sortes de réponses : La conformité : les changements dans l'environnement induisent des changements intérieurs identiques à ceux de l'environnement externe. La régulation : elle engage des mécanismes biochimiques, physiologiques ou comportementaux qui permettent le maintien de l homéostasie
31 Rappels sur l organisation du système nerveux et endocrinien Le système nerveux central (SNC) et périphérique (SNP) vont ensemble et avec le système endocrinien (SE) coordonner les réponses appropriées pour maintenir l homéostasie
32 DEFINITION Le système nerveux est un système complexe qui tient sous sa dépendance toutes les fonctions de l organisme. Il se compose : - de centres nerveux, qui sont chargés de recevoir, d intégrer et d émettre des informations - de voies nerveuses qui sont chargées de conduire ces informations.
33 DIVISIONS DU SYSTEME NERVEUX On divise le système nerveux en 3 parties : système nerveux central Première partie : Le système nerveux central (névraxe) qui comprend deux segments: 1. l encéphale (intracrânien) 2. la moelle épinière (intra-rachidienne) L encéphale comprend lui même 3 parties : A. le cerveau B. le tronc cérébral C. le cervelet
34 DIVISIONS DU SYSTEME NERVEUX Seconde partie : Le système nerveux périphérique, représenté par les nerfs qui se détachent du névraxe. Ces nerfs sont groupés en nerfs crâniens et nerfs rachidiens. Il se subdivise en une composante motrice (qui comprend le système nerveux autonome et le système somatique) et sensorielle.
35 DIVISIONS DU SYSTEME NERVEUX Troisième partie : Le système nerveux autonome ou neurovégétatif. Il se subdivise lui-même en sympathique et en parasympathique.
36
37 Organisations et fonctions des systèmes nerveux Somatique et végétatif
38 Différences entre systèmes nerveux somatique et végétatif
39 LE SYSTEME NERVEUX VEGETATIF Il est indépendant de la volonté. Il règle et coordonne le fonctionnement des organes, bien qu il ne soit pas à l origine de ce fonctionnement. Il ne fait que l adapter aux besoins de l organisme. La plupart des organes possèdent un système nerveux intrinsèque ou intrapariétal, qui commande leur activité motrice ou sécrétoire et un système nerveux extrinsèque, qui peut moduler cette activité propre de l organe par stimulation ou inhibition. Anatomiquement et fonctionnellement, le système nerveux végétatif est constitué de deux parties à action opposée : le système nerveux (ortho)sympathique et le système nerveux parasympathique
40 Système nerveux végétatif (actions antagonistes) PARASYMPATHIQUE SYMPATHIQUE
41 Le système sympathique Les fibres nerveuses préggl quittent les segments thoraco-lombaires se dirigent vers les ganglions sympathiques où elles forment des synapses avec les neurones postganglionnaires. Les neurones postganglionnaires innervent les organes effecteurs.
42 Le système sympathique On peut distinguer 6 plexus végétatifs : 1. Céphalique : œil, glandes lacrymales et salivaires et la muqueuse nasale 2. Cardiaque : cœur 3. Bronchopulmonaire : bronchioles 4. Épigastrique : système digestif 5. Lombo-aortique ou mésentérique : système digestif 6. Hypogastrique : organes pelviens (rectum, vessie, organes génitaux).
43 Le système sympathique Effecteurs La connexion sur l effecteur musculaire ou glandulaire est adrénergique : sécrétions de catécholamines (adrénaline et noradrénaline). Provoque contraction ou relâchement des muscles lisses suivant le type de récepteurs présent sur leur membrane : contraction récepteur alpha relâchement récepteur bêta Au niveau du coeur, ce sont des récepteurs bêta, mais sous l action de l adrénaline, ils provoquent une augmentation de fréquence et de force de contraction au myocarde.
44 Le système sympathique Médullo-surrénale les cellules chromaffines de la médullosurrénale libèrent une décharge de cathécholamines dans le sang. Cette glande endocrine augmente et amplifie l action du système sympathique sur l organisme. Cette glande peut être assimilée à un ganglion du système sympathique au sein duquel les neurones post-ganglionnaires se sont différenciés en cellules endocrines. ACh cathécholamines Préggl Postggl
45 Le système sympathique Les glandes sudoripares
46 Le système parasympathique Les fibres nerveuses préganglionnaires quittent le SNC par des nerfs crâniens et sacrés. Ils forment des connexions synaptiques avec des neurones postganglionnaires courts dans ou prés des organes effecteurs.
47 Le système parasympathique Nerf vague ou pneumogastrique (X) Seul le nerf X assure l innervation des organes thoraciques et abdominaux. Il forme l équivalent pour le parasympathique de la chaîne des ganglions sympathiques pour le sympathique. Les plexus végétatifs Les plexus végétatifs du système parasympathique sont identiques à ceux du système sympathique.
48 Le système parasympathique Effecteurs La connexion entre la terminaison nerveuse parasympathique et l effecteur musculaire ou glandulaire est cholinergique. l acétylcholine provoque la contraction ou le relâchement des fibres musculaires lisses suivant le type de récepteur que porte leur membrane, les récepteurs parasympathiques n ont pas encore été subdivisés comme les récepteurs sympathiques.
49 Voies efférentes du SNV
50 Système nerveux végétatif (actions antagonistes) PARASYMPATHIQUE DOMINE SYMPATHIQUE DOMINE En général, les systèmes sympathique et parasympathique ont des effets opposés. Le système parasympathique permet le maintient des ressources corporelles (diminution du rythme cardiaque et de la pression artérielle). Il favorise la digestion. Il prépare le corps à la relaxation et au repos. Le système sympathique intervient dans la réponse au stress par une accélération du rythme cardiaque, de la pression artérielle et par la mobilisation des réserves énergétiques : il prépare l organisme à l action.
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailC EST QUOI LE STRESS?
C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailChapitre 1: Facteurs d'échelle
Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailAMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS. Docteur Renaud Gruat
AMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS Docteur Renaud Gruat Activité de greffe en France Origine des greffons Donneur Vivant Organes «doubles» Rein/ Foie/Pm Tissus Résidus op Peau/ os Cellules souches
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailSéquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire
Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailBIENVENUE A L ESPACE BIEN ÊTRE DU CHATEAU DE BEZYL
BIENVENUE A L ESPACE BIEN ÊTRE DU CHATEAU DE BEZYL Profitez de votre séjour au Château de BEZYL pour prendre un peu de temps pour votre bien être, afin de vous retrouver avec vous même en découvrant ou
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailNotice d'utilisation. Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106. 6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur
6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur Notice d'utilisation Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106 Lire attentivement avant utilisation SVP Préface Remarque Les appareils répondent aux
Plus en détailFonctionnement de l organisme et besoin en énergie
Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailTélémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010
Télémédecine F. Brunet 28 octobre 2010 Définition Idée générale : Faire voyager les informations plutôt que les patients Selon le CNOM (Conseil National de l Ordre des Médecins) : La télémédecine est une
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailConstruire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions)
Construire un QCM (un questionnaire qui ne comporte uniquement ce type de questions) Ce résumé est réalisé à partir du livre de D. LECLERCQ, «La conception des questions à choix multiple», Education 2000
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps
DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détail