Newsletter presse n 19

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1 Direction des Relations avec les Médias N 113 /DRM/2012 Newsletter presse n 19 Forum de Liberté 6 août 2012 Edition électronique août 2012 Manel AIT-MEKIDECHE Newsletter n 19- Août 2012 Page 1

2 Sommaire Record de consommation électrique 3 Des contraintes et oppositions de tiers qui mettent en péril l alimentation et la sécurité énergétique de régions entières du pays 3 Puissance supplémentaire à réaliser d ici 2017 pour répondre à une demande fulgurante 4 Evolution de la demande électrique sur période Capacité de production additionnelle prévue sur la période : 5 Rappels importants 7 Canicule exceptionnelle et impact sur la demande de l électricité et sur le fonctionnement du réseau électrique national 7 La pointe matin et l impact de l utilisation des climatiseurs 8 Bon à savoir 8 Retenir 8 Canicule, forte consommation et incidents sur les réseaux de distribution 9 En bref 9 Retenir 10 De la dénomination «Sonelgaz» 10 Contact Presse 11 Newsletter n 19- Août 2012 Page 2

3 Record de consommation électrique Consécutivement à la vague de chaleur qui touche l ensemble du pays, l Opérateur du Système électrique national a enregistré, jeudi 02 août 2012 à 20h45mn une puissance maximale appelée (PMA) de MW. Cet appel de puissance a dépassé de MW la demande maximale du mois de juillet 2011, soit une hausse de 18,3%. Le record de puissance appelée enregistré le 02 août 2012 est en évolution de 13,6% la puissance maximale appelée durant l été 2011(8 606MW réalisé le 08 Août 2011). Il est à signaler par ailleurs que l appel de puissance maximal «matin» a atteint quant à lui MW enregistré à 13h15mn. En énergie, la demande du réseau interconnecté, de la journée de 02 août 2012, a atteint les ,2 MWh correspondant à une hausse de 27,5% par rapport à la demande maximale d Aout L opérateur système a été contraint d opérer des délestages tournants pour sauvegarder le système électrique et maintenir l équilibre entre l offre et la demande. En tenant compte de ces délestages, la puissance maximale appelée aurait atteint le seuil historique de MW durant. la soirée du 04 août à 21h 00mn. Le taux d évolution de la demande comparativement à la PMA de l été dernier aurait été de plus de 14% Des contraintes et oppositions de tiers qui mettent en péril l alimentation et la sécurité énergétique de régions entières du pays Les fortes températures enregistrées sur l ensemble des régions du pays et l augmentation de la consommation de l électricité qui en découle a mis à rude épreuve le système électrique notamment dans le sud est du pays. Depuis plusieurs semaines, l Opérateur système et Sonelgaz n ont cessé d alerter sur les risques de coupure d électricité dans cette région qui sont dues à une forte consommation de l électricité en raison de la vague de chaleur. L alimentation de cette région devait être sécurisée par la mise en service de deux lignes de transport de l électricité très haute tension avant l été (lignes Msila Barika et Ain Djasser Barika). CEEG (Compagnie de l Engineering de l Electricité et du Gaz) a mis en œuvre un dispositif opérant pour les réaliser dans les délais impartis. L achèvement de ces deux lignes électriques est aujourd hui encore compromis en raison d oppositions fermes, par des tiers. Ces oppositions mettent en péril l alimentation de la région sud est, sa sécurité d approvisionnement et, par conséquent, la sécurité de l ensemble du système électrique. En effet, les lignes Msila Barika et Ain Djasser Barika revêtent une grande importance pour le système électrique national. Névralgiques, elles sont indispensables pour le transit de l énergie électrique vers le Sud Est du pays Pour parer aux contraintes engendrées par l inachèvement de ces deux lignes électriques, les opérateurs de l OS sont contraints de mettre en œuvre un délestage volontaire, tournant et maîtrisé, notamment entre 13h et 17h, afin d éviter un «black-out» total de l ensemble de la région. La non finalisation des travaux et la non mise en service de ces lignes entrainera invariablement de graves perturbations dans l alimentation des citoyens de la Région sud-est du pays. Newsletter n 19- Août 2012 Page 3

4 L alimentation de la région du sud-est sera nettement améliorée dès que les oppositions sur ces deux lignes seront levées. Il y a lieu de noter que les problèmes d opposition ont freiné la réalisation des programmes de développement du transport et distribution de l électricité : 40% du programme de développement des réseaux de distribution est en souffrance. Seulement les deux tiers du programme de développement des réseaux de transport a été réalisé Puissance supplémentaire à réaliser d ici 2017 pour répondre à une demande fulgurante L accroissement important de la demande en électricité observé ces dernières années avec un taux de croissance à 02 chiffres, notamment en période estivale, les retards de remise en service des groupes en réhabilitation, les indisponibilités de certains groupes de production de SPE, induisant un niveau de disponibilités relativement bas (83% en 2011), nécessitent la mise en œuvre d un important programme de réalisation d infrastructures électriques et gazières afin d assurer la couverture de la demande avec la réserve requise de 20% d ici D ici 2017, il est prévu le doublement des capacités actuelles de production, de transport et de distribution de l électricité (9 centrales électriques d une puissance totale de MW, 300 postes très haute et haute tension, près de km de réseau de transport très haute tension et 500 km de réseau gaz pour alimenter les centrales). Evolution de la demande électrique sur période Compte de l évolution de la demande observée en été ces dernières années, il a été retenu un taux d évolution de 14% pour la détermination du parc de production sur la période Ce tableau donne les prévisions de la puissance maximale appelée sur la période En MW Prévisions de la Puissance Maximale Appelée (PMA) à 14% Il y a lieu de noter : 60% de l énergie produite est actuellement consommée par les ménages. Newsletter n 19- Août 2012 Page 4

5 Capacité de production additionnelle prévue sur la période : La puissance additionnelle sur la période totalise une puissance de MW : Région Ouest : Unité : MW Sites prévus Cycle Combiné Turbine à Gaz Total Mostaganem (nouveau site) Naama (nouveau site) Boutelilis (extension) Total Région Centre : Unité : MW Sites prévus Cycle Combiné Turbine à Gaz Total Hadjret Ennous (nouveau site) Djelfa (nouveau site) Boufarik (MAPNA) (extension) Total Région Est : Unité : MW Sites prévus Cycle Combiné Turbine à Gaz Total Kaïs (nouveau site) Biskra (nouveau site) Ain Djasser (extension) Total Total Général : Unité : MW Région Cycle Combiné Turbine à Gaz Total Région Ouest Région Centre Région Est Total Newsletter n 19- Août 2012 Page 5

6 Cette puissance vient s ajouter aux centrales suivantes, déjà décidées et dont les appels d offres ont été lancés : Centrales Labreg (TG) Ain Djasser 2 (TG) Boutlelis (TG) 1x 171 MW TG 2x132 MW TG 2x 171 MW TG 2x258 MW TG Hassi Messaoud (TG) Hassi R Mel (TG) 4x150 MW TG 2x150 MW TG Ras Djinet 2 (CC) Ain Arnat (CC) 3x400 MW CC 3x400 MW CC Total (MW) Figure 1: montre les centrales diesel en cours de réalisation dans le sud Newsletter n 19- Août 2012 Page 6

7 Figure 2: montre les centrales turbines à gaz en cours de réalisation dans le sud Rappels importants Canicule exceptionnelle et impact sur la demande de l électricité et sur le fonctionnement du réseau électrique national La canicule qui sévit actuellement en Algérie fait que les systèmes de conditionnement de l'air (climatiseurs, ventilateurs, réfrigérateurs, etc.) fonctionnent à plein régime, contribuent notablement à l augmentation de la demande et fragilisent considérablement les capacités d'approvisionnement électrique du pays. La canicule qui s est installée, avec des températures dépassant parfois plus de 40 degrés au nord et plus de 50 degrés au sud, a conduit - pour faire face à la forte demande - à une sollicitation accrue des moyens de production et à une gestion à flux tendu du système électrique. En effet, la première contrainte climatique qui a un impact systématique et immédiat sur la demande de l électricité et sur la gestion du réseau électrique est la température. Les climatiseurs étant fortement répandus dans la majorité des foyers algériens, leur utilisation a induit des pics de consommation exceptionnels durant le mois de juin, juillet et les premiers jours du mois d août 2012). Pour pouvoir répondre autant que possible à la forte demande enregistrée, l Opérateur Système Electrique (l OS) a dû solliciter tous les moyens de production disponibles et a adapté la configuration du réseau. En parallèle, l Opérateur Système a veillé à préparer les moyens nécessaires pour faire face à d éventuels aléas et assurer ainsi l intégrité du système électrique. Newsletter n 19- Août 2012 Page 7

8 Il y a lieu de noter que le Centre National de Conduite de l Opérateur Système a enregistré un taux d évolution de la demande maximale appelée de plus de 14% (en tenant compte des délestages et de l effacement des clients industriels). Autant dire qu en seulement une année, l accroissement de la demande en puissance électrique (plus de MW en une année) équivaut à l alimentation, en une année, deux nouvelles villes de la même dimension que le grand Alger. C est dire aussi qu il faut annuellement mobiliser une puissance supplémentaire équivalente à la puissance totale d une méga-centrale de type cycle combiné de MW afin de pouvoir couvrir une demande exceptionnelle qui dure à peine quelques heures durant l année (moins de 10 heures par an). Pour mieux comprendre la croissance fulgurante de la demande, il faut savoir que la PMA de août 2012 représente 102,56% d évolution par rapport à celle de Elle représente également 30 fois la puissance appelée de l Algérie des années 70 et plus de 10 fois la puissance appelée de l Algérie des années 80. La pointe matin et l impact de l utilisation des climatiseurs Un autre point est également à retenir : la structure de la courbe de charge journalière de consommation en Algérie a complètement changé confirmant ainsi une tendance observée depuis plusieurs années. En effet, élément nouveau, la pointe matin n est plus en reste et rejoint en importance la pointe soir. Cet été, les deux pointes matin et soir sont d ailleurs presque au même niveau. La pointe matin a même dépassé la pointe soir le 27 juin dernier. Pour la première fois dans l histoire du système électrique algérien, le maximum de la pointe matin enregistré durant le mois de juin 2012 a dépassé l appel de puissance maximal enregistré en pointe soir. Ceci confirme l impact important de l utilisation massive des climatiseurs qui fonctionnent à plein régime notamment dans l après-midi, dans les foyers et les administrations. La pointe matin est d ailleurs en forte progression par rapport à la pointe matin 2011, en évolution de 14,7% qui correspond à MW d écart. Le nombre des clients et les activités industrielles n ayant pas changé, on peut conclure que cet écart renvoie à l effet température et donc, à l utilisation des climatiseurs. Bon à savoir La pointe soir ne dure en général pas plus de deux heures de temps. Lorsque le Centre National de Conduite de l Opérateur Système utilise dans son jargon technique le terme PMA (Puissance Maximale Appelée), il entend par là une demande maximale de l ensemble des consommateurs connectés au réseau. A noter que la puissance maximale appelée s étale sur une courte durée (2 à 3 heures au maximum) à partir de 19h30-20h00 en été, pour ensuite décroître à partir de 22h00mn 22h30mn. Ceci correspond à ce qui est communément appelé «pointe de consommation» en référence au «pic» de la courbe de charge journalière laquelle représente la modulation de la consommation de tous les clients sur une période de 24 heures. Retenir Satisfaire la demande en électricité en période de «pointe» nécessite la mobilisation de beaucoup de moyens de production qu il faut faire vite monter en puissance pour un fonctionnement sur une très courte durée. Les dispatcheurs (opérateurs de réseau) veillent donc, en période de pointe, à suivre le rythme de montée en production pour répondre à l augmentation de la demande en mettant sur le réseau de la puissance supplémentaire. Ainsi, si des centrales sont en fonctionnement continu pour couvrir la demande dite de «base», d autres centrales sont sollicitées exclusivement pour fonctionner en «pointe». Aussi, pour assurer la sécurité du réseau, il y a nécessité de disposer d une réserve mobilisable instantanément ou en léger différé qui sera sollicitée au besoin pour Newsletter n 19- Août 2012 Page 8

9 faire face à des aléas conjoncturels tels que la perte de production ou une augmentation inattendue de la demande. Cette réserve doit représenter environ 20% à 25% de la demande de «pointe». C est dire finalement que c est la «pointe» qui justifie et sert d indicateur aux investissements décidés par les opérateurs de l électricité. En d autres termes, le taux d évolution de la demande en période de «pointe» donne une indication sur la nécessité d investissement et du niveau de puissance installée pour consolider le système électrique et le dimensionner correctement. Canicule, forte consommation et incidents sur les réseaux de distribution Si les conséquences des incidents majeurs qui touchent les centrales et les postes d interconnexions et les lignes haute tension sont importantes vu le nombre de clients basse, moyenne et haute tension qui peuvent être affectés, ces types d incidents sont relativement rares et les coupures de courte durée grâce aux dispositifs des plans de sauvegarde et de reconstitution du système qui limitent l impact des coupures et leur étendue avec une très grande efficacité. Ceci dit, la plupart des coupures qui ont affecté les clients industriels et domestiques, notamment en cette période de canicule comme celle que connait l ensemble du pays, sont majoritairement la conséquence de la défaillance des réseaux de distribution moyenne et basse tension et non pas à des incidents majeurs comme l on a tendance à le croire. L utilisation massive des climatiseurs et la croissance en profondeur de la consommation des algériens à des taux exceptionnels de plus de 20% dans certaines régions du nord et plus de 45% dans certaines régions du sud, conjuguées à l importance des actes de piratage et d agressions, fragilisent les réseaux de distribution, particulièrement les postes de transformation dont la capacité diminue sous l effet de la hausse des températures. Ceci induit des risques importants d interruption de l alimentation électrique dans certains quartiers ou régions du pays en dépit de la disponibilité des moyens de production et de transport de l électricité. Si la demande a considérablement augmenté et si des investissements colossaux sont consentis pour restructurer et renforcer les réseaux de distribution, de nombreuses difficultés restent à solutionner notamment celles liées à l environnement extérieur. Les agressions multiples que subit le réseau (constructions sur ou sous les ouvrages, agressions par des engins lors de travaux et chantiers, foudre, givre, oiseaux, chaleur intense etc.) génèrent des points faibles qui entrainent des incidents et causent des coupures d électricité lors des périodes de grande consommation. Il est important de souligner aussi que la demande croissante d électricité nécessite la réalisation des postes de transformation supplémentaires pour la satisfaire dans de bonnes conditions de qualité et de sécurité. L implantation de ces postes exige la mise à disposition d assiettes de terrain proches des lieux de consommation et la délivrance des autorisations de passage aujourd hui difficiles à obtenir notamment dans les grandes agglomérations (autorisations des collectivités locales, oppositions de passage brandies par les particuliers etc.). L absence des sources d alimentation des réseaux de distribution ne fera que dégrader la qualité de service. En bref Des solutions palliatives mais temporaires (sans grande fiabilité) sont mises en œuvre entre temps et les discussions avec les collectivités locales se poursuivent en vue de dégager des terrains nécessaires à la consolidation des réseaux dans le tissu urbain notamment. Newsletter n 19- Août 2012 Page 9

10 Sans la disponibilité du foncier pour les réseaux de distribution, aucune amélioration de la qualité de service ne sera perceptible par les clients finaux même si le système production transport fonctionne dans de très bonnes conditions. Retenir Il faut souligner enfin que les réseaux basse tension alimentent le client final. Leurs rayons d action sont très réduits et leur impact est donc local. Les pannes peuvent y être relativement fréquentes, mais elles n affectent que très peu de clients à la fois. Le nombre de défaillances par kilomètres et par an est variable d un bout à l autre du territoire : faible en zone urbaine du fait de l enfouissement des réseaux, le taux de panne peut atteindre - dans les zones où le réseau est aérien et donc plus fragiles aux agressions extérieures - une moyenne de plusieurs heures par an et par clients. Sur une ligne moyenne tension peuvent être raccordés de nombreux postes de transformation MT/BT, et donc de nombreux clients. Toute défaillance du réseau moyenne tension pourra donc priver d électricité de nombreux clients. Même si le temps moyen de coupure en moyenne tension est inférieur au temps moyen de coupure en basse tension, le nombre de clients concernés à chaque coupure est nettement supérieur. Les multiples contraintes précédemment évoquées font le quotidien des opérateurs chargés du fonctionnement du système : un travail passionnant, angoissant et indispensable à la fois, dans lequel les hommes jouent un rôle déterminant. Il importe qu ils disposent d un bon plan de sauvegarde conçu pour protéger le système électrique en sollicitant de façon automatique les protections et automates capables, en cas d incident, de déconnecter le plus rapidement possible les parties en défaut du système et de circonscrire la perturbation dans une zone géographique limitée (éviter ainsi sa propagation, voire, sa généralisation). Le plan de sauvegarde permet, en d autres termes, de gérer le système dans des conditions extrêmes dues à des agressions externes ou à des défaillances d équipement. De la dénomination «Sonelgaz» La loi sur l électricité et la distribution du gaz par canalisations promulguée en 2002 a permis la restructuration du secteur de l électricité et du gaz et a eu, pour principale conséquence, la réorganisation de l opérateur historique en 36 sociétés autonomes chargées des activités opérationnelles et une société holding dénommée Sonelgaz, détentrice de leur portefeuille d actions. Les statuts amendés de Sonelgaz en 2011 clarifient, de façon très précise, les responsabilités entre la holding et ses filiales : D une part, les statuts confirment à Sonelgaz sa véritable vocation de société holding, D autre part, les activités de production de l électricité, de transport et de distribution de l électricité et du gaz sont dévolues légalement et statutairement aux sociétés filiales. La loi sur l électricité et la distribution publique du gaz par canalisations a institué la CREG, autorité administrative autonome : responsable de la satisfaction des besoins en énergie du marché national (article 22) et Newsletter n 19- Août 2012 Page 10

11 ayant pour mission la réalisation, le contrôle et l évaluation du service public (articles 113, 114 et 115). La loi a également confié l exercice des métiers de production, de transport et de distribution de l électricité et du gaz à des sociétés autonomes : SPE et les autres producteurs tels que SKH, SKS et Kahrama, OS, l Opérateur du Système électrique, GRTE et GRTG, respectivement gestionnaires des réseaux de transport de l électricité et du gaz, SDA, SDC, SDE et SDO, sociétés de distribution de l électricité et du gaz, détenteurs des concessions électricité et gaz et fournisseurs de l ensemble des clients abonnés à l électricité et au gaz. Aussi, toutes ces sociétés ont l obligation d assurer le service public sous la responsabilité, le contrôle et l évaluation de la CREG. Dans tout ce dispositif, Sonelgaz n intervient plus directement sur le service public puisque toutes ces activités ne figurent plus comme missions et attributions de «Sonelgaz», En effet, la société holding Sonelgaz ne détient plus et ne gère donc plus ni réseaux ni clients. Elle n exerce plus aucune activité opérationnelle conformément à ses nouveaux statuts. En conséquence, ce sont les sociétés filiales qui détiennent toutes les compétences liées à leurs métiers et donc au service public. La société holding Sonelgaz a désormais pour principales missions de gérer le portefeuille d actions de ses sociétés, de favoriser et de faire développer, par le biais de ses filiales, les énergies renouvelables et l intégration nationale dans les domaines de la recherche, de l engineering, de la fabrication, de la maintenance et de la réalisation des ouvrages industriels. Elle est chargée également d élaborer et de mettre en œuvre la stratégie de développement et la politique financière. La dénomination «Sonelgaz» et son logo sont réservés exclusivement aux activités de la holding sise au 02, Bd Krim Belkacem - Alger Pour éviter les confusions, nous invitons les professionnels de la presse à se rapprocher de la CREG et des opérateurs chargés du service public pour accéder aux informations utiles liées aux métiers de l électricité et du gaz et les porter à la connaissance du grand public. Sonelgaz reste à votre disposition pour contribuer à rapprocher la presse des opérateurs du service public et à améliorer le circuit de l information au profit de la presse et des citoyens. Contact Presse Sonelgaz Direction des Relations avec les Médias 02, Bd Krim Belkacem Alger Tél: Fax: Courriel : presse@sonelgaz.dz, ait-mekideche.manel@sonelgaz.dz Consultez : Newsletter n 19- Août 2012 Page 11