Expert CHSCT agréé depuis 2003 par le Ministère des Affaires Sociales, du Travail Agrément formation des membres des CHSCT :
|
|
- Thibaud Lussier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L entretien d évaluation : enjeux et rôle des IRP Atelier n 3 des Assises de l Observatoire du Stress et des Mobilités Forcées de FT - Orange 9 décembre 2010 Expert CHSCT agréé depuis 2003 par le Ministère des Affaires Sociales, du Travail et de la Solidarité, pour les expertises à la demande des CHSCT. Renouvellement par Arrêté du 21 décembre Agrément formation des membres des CHSCT : Arrêté n du 28 octobre 2003 de la Préfecture de Région d'île-de-france Déclaration Formation Continue auprès de la DRTEFP d Île-de-France sous le n Habilité IPRP depuis 2005 Intervention Sociale et Alternatives en Santé au Travail 17 bd Poissonnière Paris Tél Fax contact@isast.fr SAS au capital de euros SIRET APE 7022Z R.C.S. Paris 2007 B 16683
2 Sommaire L EI au centre d une confusion entretenue L encadrement réglementaire des EI Leviers d action des IRP et points à surveiller - 2 -
3 L EI au centre d une confusion entretenue
4 L EI au centre d une confusion entretenue! Les aspirations des salariés à une reconnaissance de leur travail ont été dès les années 80 récupérées par un ensemble de techniques poussant à une individualisation des performances. C est dans ce contexte de recherche de la performance qu est apparu l entretien annuel d évaluation. Celui-ci est distinct de l entretien professionnel institué par la loi de 2004 (suite à l ANI sur la formation professionnelle) dont la vocation est d évaluer plus spécifiquement les besoins en formations (doit avoir lieu tous les 2 ans). Attention, dans la pratique beaucoup d entreprises organisent les deux types d entretiens dans le même temps, ce qui provoque une confusion
5 Évolutions constatées : L entretien (individuel, d évaluation, d appréciation, de progrès, ) s est développé avec la culture de la performance économique, de la recherche de l excellence et de la qualité totale. Le dispositif d évaluation devient un outil pour: Les gestionnaires afin de faire adhérer les salariés à des normes managériales et comportementales Mobiliser les individus et les rendre conformes au fonctionnement et à la stratégie de l entreprise. Un outil de gestion des ressources humaines dont l objectif est de définir et de piloter les performances individuelles et collectives
6 Des objectifs aux engagements Les salariés ne doivent plus seulement atteindre des résultats, il leur est demandé de se «surpasser», de se «sur-engager». On passe alors du concept d atteinte des objectifs et/ou des résultats à celui d engagements. Par exemple ce que nous avons trouvé dans une grille d évaluation Inférieurs à l engagement, au niveau de l engagement, au-dessus de l engagement, La notion de cible (atteinte ou dépassée) Ces méthodes poussent les salariés à une intensification du travail extrême : On ne comptera plus les heures pour réaliser un «engagement» dont les limites sont sans cesse repoussées, on utilisera des méthodes peu avouable etc. Autant de facteurs très forts de RPS
7 L objectivité? Les méthodes sont souvent présentées comme «objectives». Cette prétention ne repose sur aucun fondement, une méthode quelque qu elle soit est toujours un «parti pris». Un évaluateur est toujours impliqué dans l évaluation, il n est jamais neutre. Il agit, même inconsciemment, sur l évalué. L évalué peut se sentir «sous pression» lors de son entretien Les critères retenus peuvent être éloignés du poste occupé Ce à partir de quoi on évalue (informations, faits, le réel, ce qui est, tel que perçu) Référé Jugement Evaluation pondérée Référent Ce en fonction de quoi, on évalue ou comparativement (Critères, normes, idéal ou ce qui devrait être) - 7 -
8 La modification des répères Une vocation de certaines méthodes d EI à perturber les repères traditionnels régissant les relations de travail : Le déplacement d un référentiel métier vers un référentiel de valeurs et de bonnes pratiques Il est important pour les élus de continuer à se référer aux définitions de postes, aux fiches de postes. Parmi les différentes méthodes d EI, la plus redoutable est, sans doute, le 360, car chacun est également évalué par ces collègues Il est important pour les élus de veiller au respect de la dignité des salariés et de s opposer aux méthodes arbitraires. Une remise en question permanente de la compétence de chacun Il est important pour les élus de continuer à se référer aux définitions de la convention collective
9 Des conséquences parfois graves pour la santé des salariés La mobilisation de la subjectivité de l individu Un engagement total de sa personne pour la cause de l entreprise Des appréciations pouvant être discriminantes Une mise à contribution de toutes les sphères de sa vie (professionnelle et privée) Des performances toujours plus grandes en matière de productivité Une intégration totale aux objectifs de l entreprise, que le salarié fasse corps avec elle Un «don de soi» - 9 -
10 Le cadre général Pas d obligation légale Même si ce processus s est développé dans beaucoup d entreprises privées et/ou publiques cela reste une incitative de l employeur Liée à l existence d un lien de subordination salarié/employeur La Cour de Cassation a clairement affirmé en 2002 que l employeur est en droit d évaluer les salariés. Elle l a rappelé dans un arrêt de novembre 2007 Les obligations incombant à l employeur en la matière ne portent pas sur l existence d un tel outil mais sur les méthodes utilisées et sa mise en place. Comment, le Code du Travail encadre t-il les dispositifs d évaluation? tant sur l aspect de leur mise en place et ses évolutions que sur le contenu des ces EI
11 L encadrement réglementaire des EI
12 Le cadre des conditions de mise en place L employeur doit: Informer et consulter le CE préalablement à la décision de mise place des entretiens. Ils constituent une technique permettant un contrôle de l activité des salariés (C. trav., art. L al 3) mais aussi en raison de l impact de cet outil sur les conditions de travail et de rémunération. Informer et consulter le CHSCT, au titre de sa mission contribuant à prévention de la santé physique et mentale et l amélioration des conditions de travail (C. trav., art. L ) La Cour de Cassation considère que «les enjeux de l entretien sont manifestement de nature à générer une pression psychologique entraînant des répercussions sur les conditions de travail». Le défaut de consultation des IRP constitue un trouble manifestement illicite justifiant la suspension de dispositif, même dans le cas de changement d un dispositif déjà en place (Arrêt 19 octobre 2010, Cour d appel de Rouen)
13 L encadrement du contenu des EI (1/2) Même si la pratique généralisée des Entretiens d évaluation des salariés assez récente, celle-ci est encadrée par la réglementation : est D une manière générale : Art. L du Code du Travail : «Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché» Les méthodes et les techniques utilisées pour évaluer les compétences des salariés ou recueillir des informations les concernant doivent préalablement portées à la connaissance des intéressés. En cas de traitement informatisé des données personnelles, une déclaration préalable doit être opérée (procédure simplifiée) auprès de la commission nationale de l informatique et des libertés (CNIL)
14 L encadrement du contenu des EI (2/2) Outre ces dispositifs généraux les EI doivent: Être pertinents au regard de la finalité poursuivie Reposer sur des critères objectifs et transparents Art. L du Code du Travail : «Les informations demandées, sous quelque forme que ce soit, à un salarié ne peuvent avoir comme finalité que d'apprécier ses aptitudes professionnelles. Ces informations doivent présenter un lien direct et nécessaire avec l'évaluation de ses aptitudes». Art. L du Code du Travail : «[ ] Les méthodes et techniques d'évaluation des salariés doivent être pertinentes au regard de la finalité poursuivie». L évaluation doit s opérer sur les aptitudes professionnelles du salarié, qui sont en lien avec les qualifications*, en lien avec son métier et également les tâches qu il doit réaliser et non sur des comportements ou attitudes. *Qualification correspondant pour le salarié, à l emploi qu il exerce, (réf. Gérard Cornu «Vocabulaire juridique» 7 ème édition mise à jour en juin 2005)
15 Leviers d actions des IRP et points à surveiller
16 Leviers d actions des IRP L information/consultation du CE Information/consultation du CHSCT Au titre de sa mission de contribution à la santé physique et mentale et à l amélioration des conditions de travail Les enjeux de l entretien sont de nature à générer une pression psychologique entraînant des répercussions sur les conditions de travail Expertise CHSCT : C est un projet important lors de la mise en place ou la modification des méthodes des EI Cela peut être un risque grave si le CHSCT constate des dérives Le CHSCT a aussi un rôle de veille de surveillance permanente, par exemple : au travers du DUER des fiches de postes Des référentiels compétences et/ou métier Lorsque l évaluation produit un risque grave et imminent pour la santé Droit d alerte du DP
17 Lors d un constat d EI affectant un salarié : droit d alerte du DP Le droit d'alerte est le droit pour un Délégué du Personnel (Article L du Code du travail) de dénoncer des comportements portant atteinte: aux droits des personnes aux libertés individuelles à la santé physique et mentale l existence d une mesure discriminatoire La loi «de modernisation sociale» du 17/01/2002, a élargi la procédure d alerte des DP aux cas d atteinte à la «santé physique et mentale» des salariés. Elle condamne le harcèlement moral ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail, susceptible de porter atteinte aux droits et à la dignité du salarié, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel
18 Quelques points de vigilance issus d accords ou de «bonnes pratiques» [1] Information à donner au salarié préalablement à l entretien 1. Descriptifs de la fiche de poste ou de la fiche métier et sa conformité aux définitions de la Convention collective 2. Supports et grille d entretien d évaluation 3. Durée et déroulement de l entretien 4. Porter à sa connaissance les critères d évaluation, des barèmes éventuels 5. L informer des conséquences possibles et probables de l entretien (par ex. sur rémunération, sur carrière, sur mobilité et affectations, etc.)
19 [2] Surveiller la conduite de l entretien Déroulement «dans un climat socialement responsable de transparence, de respect et d écoute mutuels» Eventuellement intégrer l entretien individuel dans l approche collective (ex.: réunions d équipe pour amélioration organisation et conditions de travail, objectifs, coopération équipe ) Evaluer pas uniquement l attente des objectifs et les responsabilités permanentes liées au poste, mais aussi l adéquation des moyens aux objectifs, et ce qu incombe à l interviewé, ses savoir-faire, c est-àdire la maîtrise du poste et les évolutions Dans le même esprit, définir tâches, compétences et objectifs, méthodes de contrôle pour l année suivante Attention aux approches psychologisants, génériques qui culpabilisent l interviewé et recadrage de l entretien sur faits et actions concrètes, dysfonctionnements, moyens nécessaires pour le travail
20 [3] Gérer la conclusion de l entretien L auto évaluation (éventuelle) et l analyse écrite par l évaluateur doivent être accessibles en toute transparence et confidentialité pour chacune des parties Rien n oblige légalement à signer. Notamment, si on ne connaît pas les résultats de l évaluation ou si on n est pas d accord En cas de désaccord, prévoir des procédures d appel (autres entretiens, médiations, accompagnement de l interviewé ou même de l intervieweur.) Prévoir une procédure d alerte et des interventions en cas de dérives (comme pour la violence au travail)
21 Merci de votre attention Apex & Isast un Groupe au service des élus et représentants du personnel Expertise CHSCT Diagnostic des comptes des entreprises Expertise Nouvelles technologies
CARSAT Club RPS. Mardi 18 octobre 2011. Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon
CARSAT Club RPS Risques psycho-sociaux : prise en compte dans les documents uniques des entreprises du Languedoc-Roussillon Mardi 18 Nombre de contrôles et d'interventions en entreprise sur l'évaluation
Plus en détailL EVALUATION PROFESSIONNELLE
INFODROIT- 22 mars 2011 L EVALUATION PROFESSIONNELLE Dossier préparé et présenté par Lamiel TURLOT, juriste à l UD CFDT Paris SOMMAIRE L évaluation professionnelle, une obligation pour l employeur?...3
Plus en détailLe Comité d Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail : 1 er niveau
Marseille, le 05 juillet 2013 - Aux Syndicats Bonjour, L AFETE lance un stage sur le thème : Le Comité d Hygiène, Sécurité et Conditions de Travail : 1 er niveau en direction des membres nouvellement élus
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailLe Document Unique : une obligation légale des entreprises
Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit
Plus en détailGuide à l attention des représentants du personnel au CHSCT
Guide à l attention des représentants du personnel au CHSCT 1 «Identifier et prévenir les risques psychosociaux» - Guide SECAFI à l attention du CHSCT 2 Préface Comme représentants du personnel au CHSCT,
Plus en détailCrise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations
11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic
Plus en détailLES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL
LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner
Plus en détailComment détecter les risques psychosociaux en entreprise?
Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme
Plus en détailSARL CONCEPT & STRATEGIE
LETTRE DE MISSION Analyse bilan Mr et Mme SARL CONCEPT & STRATEGIE Siège social: 29 boulevard de la Ferrage Résidence Cannes 2000 06400 CANNES SARL Cap. 10 000 - Siret 504 714 122 00034 - Code APE 6622
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détailVIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris
VIE PROFESSIONNELLE ET RESPECT DE LA VIE PRIVEE Par Béatrice CASTELLANE, Avocate au Barreau de Paris La question à traiter concerne le respect de la vie privée dans le monde du travail. Jusqu à quel point
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailI. L élu employeur, qui est il?
Colmar, le 14 octobre 2014 Kingersheim, le 23 octobre 2014 I. L élu employeur, qui est il? L autorité territoriale, le représentant légal de la collectivité M. Emmanuel BERNT, Directeur du CDG 68 La directive
Plus en détailMISE EN PLACE D UNE DEMARCHE CQP / CQPI AU SEIN D UNE BRANCHE
MISE EN PLACE D UNE DEMARCHE CQP / CQPI AU SEIN D UNE BRANCHE Guide méthodologique à usage des CPNE Guide validé par le CPNFP du 16 mars 2012 1 PLAN De quoi parle-t-on? Synthèse du processus d élaboration
Plus en détailCharte de Prévention des Harcèlements au travail
Charte de Prévention des Harcèlements au travail CHARTE DE PRÉVENTION DES HARCÈLEMENTS AU TRAVAIL Sommaire 01 02 03 04 05 06 Annexe Préambule p.03 Principes de prévention p.04 Champ d application p.04
Plus en détailPôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2)
Pôle de compétitivité Aerospace Valley Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Cahier des charges pour une offre d accompagnement pour une démarche «Agir ensemble pour la filière aéronautique».
Plus en détailMISE EN SERVICE DE L ALARME BOSCH EASY SERIES
ACTIVITE de FORMATION ACTIVITE : MISE EN SERVICE DE L ALARME BOSCH EASY SERIES CONDITIONS D EXERCICE - Moyens et Ressources @ TAXONOMIE 1 2 3 4 Internet Logiciel Doc. PC Outillages Matériels ON DEMANDE
Plus en détailinaptitude quelles sont les obligations?
inaptitude quelles sont les obligations? L inaptitude d un salarié est lourde de conséquences, et impose à l employeur d être très vigilant, qu elle soit ou non d origine professionnelle. La procédure
Plus en détailEuropean Assistant Assistant de Manager
European Assistant Assistant de Manager REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication n'engage que son auteur et la Commission
Plus en détailCommunication : de quels droits disposez - vous?
FORMATION ASSISTANCE EXPERTISE CONSEIL Communication : de quels droits disposez - vous? Siège social : 20, rue Martin Bernard 75647 Paris Cedex 13 Tel : 01 55 56 62 18 Fax : 01 55 56 62 11 Introduction
Plus en détailTitre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL
Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables
Plus en détailPlan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand
Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,
Plus en détailMISE EN SERVICE DE L ALARME BOSCH EASY SERIES
ACTIVITE de FORMATION ACTIVITE : MISE EN SERVICE DE L ALARME BOSCH EASY SERIES CONDITIONS D EXERCICE - Moyens et Ressources @ TAXONOMIE 1 2 3 4 Internet Logiciel Doc. PC Outillages Matériels ON DEMANDE
Plus en détailCONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES
CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailSiège national. L'UNSA et internet. Les délégués du personnel. UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99
Siège national UNSA 21, rue Jules Ferry 93177 Bagnolet Cedex Tél : 01 48 18 88 00 Fax : 01 48 18 88 99 L'UNSA et internet Le site web www.unsa.org Le courriel unsa@unsa.org page 2 les délégués du personnel
Plus en détailLes commissions antistress sont-elles légales?
Les commissions antistress sont-elles légales? Face aux risques psychosociaux, le Ministère du travail préconise une démarche concertée pour concevoir un plan de prévention adapté mais surtout accepté.
Plus en détailRéponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres
Réponses aux questions de la page 2 du questionnaire RESPONS sur la responsabilité sociale des cadres Question 1 : «En France, la rédaction d un rapport sur la responsabilité sociale et environnementale
Plus en détailDroit du travail - Jurisprudence. Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral
Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral Cour de cassation - chambre sociale Audience publique du 14 septembre 2010 N de pourvoi: 09-66762 Cassation partielle sans renvoi Dans un arrêt
Plus en détailEditorial Elus de CE, délégués du personnel, membres
Sommaire Le droit à formation 1 - Droit à la formation 2 des représentants du personnel Des élus titulaires du CE................................ 2 Des membres du CHSCT............................... 2
Plus en détailEXPERT FINANCIER POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE. Poste de rattachement hiérarchique : Chef de service Conseil et Expertise Financière
Direction Finances EXPERT FINANCIER J CHARGE DU CONTRÔLE INTERNE DU FONDS SOCIAL EUROPEEN (FSE) ET DE CONSEIL EN GESTION POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction Finances Poste de
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailBANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailréservé aux établissements sanitaires et sociaux privés. Pour protéger vos salariés consultez les experts.
réservé aux établissements sanitaires et sociaux privés. Pour protéger vos salariés consultez les experts. une expertise issue de l union des deux leaders de la protection des professionnels de la santé
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailLE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC
LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE AU TRAVAIL AU QUÉBEC Par: Jean-Pierre Brun, professeur Éric Plante, Professionnel de recherche Sondage par: Léger Marketing Mars 2004 DÉFINITION DU HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailQUESTIONS/REPONSES : L ASSOCIATION ET SON FONCTIONNEMENT
QUESTIONS/REPONSES : L ASSOCIATION ET SON FONCTIONNEMENT Bureau 1. Une association peut-elle ne comporter qu un seul organe dirigeant, par exemple un conseil d administration et pas un bureau? 2. L ancien
Plus en détailLA QUALITE DU LOGICIEL
LA QUALITE DU LOGICIEL I INTRODUCTION L'information est aujourd'hui une ressource stratégique pour la plupart des entreprises, dans lesquelles de très nombreuses activités reposent sur l'exploitation d'applications
Plus en détailExtrait n 2 du guide «Les relations CE/Employeurs»
Extrait n 2 du guide «Les relations CE/Employeurs» L absence des élus à une réunion peut-elle mettre fin à la consultation en cours? Voir la réponse Faire face aux situations difficiles Boycotter les réunions
Plus en détailAU CŒUR DU SYSTÈME DE SANTÉ FRANÇAIS
AU CŒUR DU SYSTÈME DE SANTÉ FRANÇAIS DES VALEURS défendues et partagées Les mutuelles poursuivent avant tout l objectif de permettre la prise en charge en matière de santé et la qualité des soins pour
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailDécouvrez les valeurs de notre entreprise
Découvrez les valeurs de notre entreprise Qu est qu une Entreprise? Structure régie par la Loi de Février 2005 : évolution de l Atelier Protégé vers le monde de l entreprise ordinaire. 80% de personnes
Plus en détailL IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE
L IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE La Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi a été publiée au Journal officiel
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailF I C H E P R A T I Q U E N 4 L E C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E D U S E C T E U R P U B L I C
F I C H E P R A T I Q U E N 4 L E C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E D U S E C T E U R P U B L I C Avant les démarches administratives - pour tout contrat, qu il soit du secteur privé ou du secteur
Plus en détailQUELQUES DEFINITIONS UTILES Inventaire des Ressources Personnelles (IRP) - Inventaire des Charges du Poste (ICP)
QUELQUES DEFINITIONS UTILES Inventaire des Ressources Personnelles (IRP) - Inventaire des Charges du Poste (ICP) Projet FAME - Formation Adaptation Maintien Employabilité dans le domaine du handicap Programme
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailDISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE
A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS
Plus en détailFORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga
FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise
Plus en détailPROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans
PROGRAMME BACHELOR BANQUE / FINANCE / ASSURANCE en 3 ans DESCRIPTION Faire le choix d un cursus en 3 ans c est opter pour une formation qui permet à l étudiant de découvrir le monde de l entreprise afin
Plus en détailIntroduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel
Introduction Jean-Philippe Thierry, Vice-président de l Autorité de contrôle prudentiel 2 Sommaire 1. Le dispositif préventif LCB-FT : l insertion au sein du dispositif de contrôle interne (Henry de Ganay,
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailLIVRe BLANC. www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN!
LIVRe BLANC www.menages-prevoyants.fr LA MUTUELLE QUI VA BIEN! MUTUELLE LMP LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE, UN ENJEU MAJEUR DÈS MAINTENANT. CONTRAT COLLECTIF ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 11
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailUn nouvel acteur dans l entreprise
Mai 2014 Un nouvel acteur dans l entreprise Le salarié compétent en santé-sécurité au travail A quoi sert-il? Quels liens avec les autres acteurs de l entreprise? Quelles compétences? Quels moyens? Chargé
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailAccompagnement RH des projets de transformation des organisations
Accompagnement RH des projets de transformation des organisations La conduite d un projet de réorganisation : Un exercice complexe ET délicat! Confrontée à une dégradation continue de sa compétitivité,
Plus en détailLa responsabilité des présidents d A.C.C.A.
La responsabilité des présidents d A.C.C.A. Bernard MERAUD : Avocat au Barreau de Bourgoin-Jallieu (Assemblée générale FDCI du 26 avril 2014) ---------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailA LA UNE. L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois
NEWSLETTER SOCIALE M A I 2 0 1 5 A LA UNE L indemnisation due en cas de licenciement nul pour violation du statut protecteur est plafonnée à trente mois La loi du 2 août 2005 a porté la durée des mandats
Plus en détailL évaluation des risques au travail
L évaluation des risques au travail Un outil au service de vos politiques de prévention pour la santé et les RPS Connection creates value Le contexte Au cours des dernières années, la prise en compte des
Plus en détailContinuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités
Continuité d activité Enjeux juridiques et responsabilités Introduction Pourquoi le droit? - Contrainte - Outil de gestion Droit et management de la continuité d activité : 3 niveaux d intervention Dans
Plus en détailBaromètre : Le bien être psychologique au travail
Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague
Plus en détailL EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue
L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailLa clé de votre réussite, notre engagement!
La clé de votre réussite, notre engagement! Quelques mots sur la société Ofineo Conseil est une société d organisation en système d information et d ingénierie en technologies innovantes créée en mai 2011.
Plus en détailObligations des entreprises en matière de risques profesionnels
Obligations des entreprises en matière de risques profesionnels Origine de l obligation Contenu de l obligation Taille entreprise Pénalités Directive européenne 12 juin 1989 concernant la mise en œuvre
Plus en détailGUIDE HARCELEMENT MORAL AU TRAVAIL
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DIRECTION DE LA FONCTION MILITAIRE ET DU PERSONNEL CIVIL GUIDE HARCELEMENT MORAL AU TRAVAIL INFORMATION, PREVENTION PREVENTION ET TRAITEMENT DES SITUATIONS ET janvier 2005 Avertissement
Plus en détailNotre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel
Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son
Plus en détailREGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL
REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière
Plus en détailCHARTE R.S.E. Responsabilité Sociétale d'entreprise
CHARTE R.S.E. Responsabilité Sociétale d'entreprise ENVIRONNEMENT SOCIAL ETHIQUE des AFFAIRES ACHATS RESPONSABLES SERMA GROUP est historiquement sensibilisé par tout ce qui touche l environnement, la sphère
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailService Interentreprises de Santé au Travail Drôme Provençale Ardèche Sud - 26200 MONTELIMAR
Retour d expérience d une entreprise La coopération de l hypermarché Carrefour Montélimar et du SIST 26/07 sur le thème de la santé mentale Matinée d information sur les risques psychosociaux du 3 juillet
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailQUELLE DÉCLARATION POUR QUEL FICHIER?
QUELLE POUR QUEL FICHIER? Tableau récapitulatif des régimes de formalités de CNIL applicables aux fichiers mis en œuvre par les employeurs Edition Novembre 2009 FINALITÉ DU FICHIER Paie Déclarations fiscales
Plus en détailRECOMMANDATIONS ET ACCOMPAGNEMENT DU COMITE 21 PENDANT LES DIFFERENTES ETAPES DE L'AGENDA 21
BOITE A OUTILS POUR L'ELABORATION DE L'AGENDA 21 RECOMMANDATIONS ET ACCOMPAGNEMENT DU COMITE 21 PENDANT LES DIFFERENTES ETAPES DE L'AGENDA 21 Etapes Recommandations du Comité 21 Outils et accompagnement
Plus en détailétude réalisée par l agence Campus Communication en partenariat avec l Association française de communication interne
étude réalisée par l agence Campus Communication en partenariat avec l Association française de communication interne sommaire Le projet Notre agence Notre partenaire Méthodologie Lire l étude Enseignements
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailSéminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007
BTS technico- Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Présentation des nouvelles épreuves : E3 Environnement économique et juridique E4 Négociation technico-e
Plus en détailautonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.
INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailQUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL ET SANTÉ
QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL ET SANTÉ Jean-François Paulin Maître de conférences en droit privé, IUT GEA, Lyon 1 Directeur de l Institut de Formation Syndicale de Lyon, Lyon 2 jeanfrancoispaulin@gmail.com
Plus en détailSÉCURISATION DE L EMPLOI
Accompagner les dirigeants de l ess dans la gestion des ressources humaines DOSSIER JURIDIQUE SÉCURISATION DE L EMPLOI Réalisé par : La Loi sur la sécurisation de l emploi La loi de sécurisation de l emploi
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailRéférentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique
Référentiel d'activités professionnelles et référentiel de certification Diplôme d'état de professeur de musique I Contexte du métier 1. Définition Les professeurs de musique diplômés d'état sont chargés
Plus en détailDélibération n 2010-207 du 27 septembre 2010
Délibération n 2010-207 du 27 septembre 2010 Âge Accès aux crédits à la consommation Recommandations L établissement de crédit X, filiale de F, a refusé d attribuer une carte de paiement adossée à une
Plus en détailCe document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE
MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d
Plus en détailCONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION. «société d assurance indépendante» (Convention complète)
CONVENTION INDIVIDUELLE D HABILITATION «société d assurance indépendante» (Convention complète) Les parties à la convention - Le Ministre de l intérieur représenté par le Préfet de - Raison sociale : numéro
Plus en détailRèglement de la Consultation
MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Centre Intercommunal d Action Sociale du Carcassonnais 1 rue Pierre Germain 11890 CARCASSONNE Cédex 9 CONTROLES PERIODIQUES, ENTRETIEN ET MAINTENANCE
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailCustomer feedback management Management de la satisfaction client
Customer feedback management Management de la satisfaction client La meilleure des publicités est un client satisfait. Vos clients les plus mécontents sont votre plus grande source d'enseignement. Bill
Plus en détailplus simple Rendre la commande publique de l État et plus attractive pour les TPE et les PME comité régional des professionnels du bâtiment
Direction Régionale des Finances Publiques des Pays de la Loire Préfet de la Région Pays de la Loire Rendre la commande publique de l État plus simple et plus attractive pour les TPE et les PME comité
Plus en détailLibre de disposer de votre épargne
Libre de disposer de votre épargne Patrimoine Liberté, Libre de disposer de votre Epargne Une offre originale, optionnelle et exclusive En ouvrant un compte bancaire Patrimoine Liberté vous disposez d'une
Plus en détail