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1 II. 2. EMPLOIS A. EVOLUTION GENERALE Les emplois ont augmenté, en termes réels, à un rythme plus rapide que celui de l année précédente, soit 5,8 p.c. contre une baisse de 3,2 p.c. TABLEAU 13 : RESSOURCES ET EMPLOIS (e) A. Milliards de francs (à prix courants) 1. Produit intérieur brut (aux prix du marché) 748,5 862,4 934, , ,1 2. Importations (biens et services non facteurs) 198,0 312,6 442,5 346,1 477,8 3. Ressources = Emplois 946, , , , ,9 4. Dépenses intérieures 886, , , , ,9 - Consommation 802,0 964, , , ,0. privée 638,5 759,9 880,4 861, ,3. publique 163,5 204,9 309,3 310,6 360,7 - Formation brute de capital fixe 84,1 133,8 127,2 129,6 284,9 - Variation des stocks 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 5. Exportations (biens et services non facteurs) 60,2 76,1 60,4 57,3 67,0 B. Variations en p.c. (à prix constants) 1. Produit intérieur brut 4,4 0,9 5,5 3,2 4,3 (aux prix du marché) 2. Importations 15,4-5,7 117,7-25,1 12,6 (biens et services non facteurs) 3. Ressources = Emplois 5,7 0,1 19,5-3,2 5,8 4. Dépenses intérieures 5,0-0,9 23,4-3,4 7,5 - Consommation 3,9-1,3 22,1-2,7 2,7. privée 2,8 2,0 9,8-3,4 4,8. publique 8,6-14,4 79,5-0,8-3,0 - Formation brute de capital fixe 19,1 4,0 37,0-10,2 57,7 - Variation des stocks( en p.c. du PIB) 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 5. Exportations 14,5-0,9-10,0 5,2-24,2 (biens et services non facteurs) (e) : estimations. S agissant des emplois intérieurs, la consommation finale a enregistré une reprise (2,7 contre -2,7 p.c.) de même que les dépenses de formation brute de capital fixe (57,7 contre -10,2 p.c.).

2 GRAPHIQUE 4 : EVOLUTION DES EMPLOIS DU PIB (en Mds de BIF aux prix courants) En revanche, les exportations de biens et services non facteurs qui avaient progressé de 5,2 p.c. en 2007, ont reculé de 24,2 p.c. sous l effet notamment du ralentissement de l usinage du café. B. EVOLUTION DES EMPLOIS INTERIEURS En termes réels, les emplois de l économie, qui avaient baissé de 3,4 p.c. en 2007, se sont accrus de 7,5 p.c. en rapport avec l accroissement des dépenses de consommation (2,7 contre -2,7 p.c.) qui constituent la principale composante. Les dépenses de consommation privée se sont redressées (4,8 contre -3,4 p.c.) en rapport avec l accroissement du revenu intérieur tandis que la consommation publique a davantage reculé (-3,0 contre -0,8 pc). Pour leur part, les dépenses de formation brute de capital fixe ont été caractérisées par une nette reprise (57,7 contre -10,2 p.c.) liée à d importants travaux d aménagement d infrastructures socio-économiques.

3 C. ECART ENTRE LES RESSOURCES ET LES EMPLOIS INTERIEURS Les ressources intérieures de l économie ont été, une fois de plus, inférieures aux emplois. L écart s est élargi davantage passant de 28,5 à 31,3 p.c. du PIB. Il a été comblé par une détérioration de la balance commerciale, la part des importations des biens et services non facteurs ayant augmenté (36,4 contre 34,2) alors que celle des exportations s est amenuisée (5,1 contre 5,7 p.c.). ABLEAU 14 : ECART ENTRE LES RESSOURCES ET LES EMPLOIS INTERIEURS ( (prix courants, en p.c. du P.I.B.) 1. Emplois intérieurs 118,4 127,4 140,9 128,5 131,3 2. Ressources intérieures = Produit intérieur brut 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 3. Ecart : (1-2) = (4-5) 18,4 27,4 40,9 28,5 31,3 4. Importations de biens et services non facteurs 26,4 36,2 47,3 34,2 36,4 5. Exportations de biens et services non facteurs 8,0 8,8 6,5 5,7 5,1 (e) : estimations. D. REVENUS, DEPENSES ET BESOIN DE FINANCEMENT L accroissement du revenu intérieur (301,2 Mds de BIF) ayant dépassé celui des dépenses de consommation (267,9 Mds de BIF), il en a résulté une amélioration, quoi que négative, de l épargne intérieure (-125,9 contre -159,2 Mds de BIF).

4 TABLEAU 15 : REVENUS, DEPENSES ET BESOIN DE FINANCEMENT (e) ( en Mds de BIF) 1. Produit intérieur brut (aux prix du marché) 748,5 862,4 934, ,9 1314,1 2. Consommation privée et publique 802,0 964, , ,1 1440,0 3. Epargne intérieure brute (1-2) -53,5-102,4-255,0-159,2-125,9 4. Solde des services facteurs et des transferts unilatéraux 149,1 239,8 226,5 254,6 215,7 5. Epargne nationale brute (3+4) 95,6 137,4-28,5 95,4 89,8 6. Investissements bruts ,8 127,2 117,8 284,9 7. Besoin net de financement (5-6) 11,2 3,6-155,7-22,4-195,1 ou capacité de financement (e) : Estimations. L épargne nationale brute a plutôt fléchi (89,8 contre 95,4 Mds de BIF), le solde des services facteurs et des transferts unilatéraux ayant été moins important que l exercice précédent (215,7 contre 254,6 Mds de BIF). Les investissements bruts ayant augmenté (284,9 contre 117,8 Mds de BIF), le besoin net de financement s est intensifié passant de 22,4 à 195,1 Mds de BIF. * * * Le secteur primaire, principale composante du Produit Intérieur Brut, reste confronté aux contraintes structurelles notamment la dégradation de la fertilité des sols, les pratiques agricoles inadaptées, la détérioration et l insuffisance des semences ainsi que l exiguïté des terres cultivables due à la forte densité de la population.

5 Toutefois, la croissance du secteur est possible si les actions visant l intensification des techniques agricoles, la production des semences de qualité, la lutte contre les maladies phytosanitaires, l intégration agro-sylvo-pastorale, le développement des techniques d irrigation, la diversification des cultures et l octroi des microcrédits aux agriculteurs sont mises en œuvre. En plus, la diversification des cultures d exportation, le renforcement de l encadrement, le renouvellement des plantations caféicoles, l application d engrais, l adaptation de l outil de transformation et l amélioration du système de commercialisation sont également d autres actions prévues pour développer ce secteur. La part du secteur secondaire dans le PIB reste faible. L industrie manufacturière qui est déjà peu diversifiée connaît un désinvestissement. Pour accroître la production du secteur, il faudra améliorer l environnement des affaires pour attirer de nouveaux investissements et redynamiser le secteur artisanal par l encadrement et l octroi des micro-crédits. Par ailleurs la production d énergie électrique est contrariée par la saturation des centres hydroélectriques. Pour satisfaire la demande, l investissement dans le secteur viserait l extension du réseau électrique existant et la diversification des sources d énergie. L amélioration du commerce, du transport et de la communication dans le cadre de l intégration régionale dans la Communauté Est Africaine pourrait relancer le secteur tertiaire. De même, le développement des systèmes de communication par téléphonie à moindres coûts pour les populations rurales servirait à désenclaver le pays. Par ailleurs, le Burundi bénéficie de potentialités pour le développement du tourisme. L aménagement des nouveaux parcs touristiques de faune et de flore ainsi que la rénovation des sites existants contribueraient à accroître la part du secteur tertiaire par la rentrée des recettes touristiques.

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