LES ARCHIVES D ENTREPRISES ET LA RUSSIE J.-L. Moreau

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1 LES ARCHIVES D ENTREPRISES ET LA RUSSIE J.-L. Moreau Parmi les masses d archives sauvegardées ces dernières années par l Association pour la Valorisation des Archives d Entreprises, plusieurs fonds se rapportent à des entreprises actives naguère en Russie. La valeur de ces archives est inégale. Il s agit bien entendu de fonds amputés au fil du temps. Les documents susceptibles de faire valoir les droits des actionnaires belges ont bien entendu été conservés soigneusement. Ces documents permettent d appréhender l expansion des Belges en Russie sous de nombreux angles : social, économique, politique. I. FONDS D ARCHIVES TRAITÉS PAR L A.V.A.E ET CONTENANT DES RENSEIGNEMENTS SUR DES ENTREPRISES BELGES ACTIVES EN RUSSIE 1. LES ARCHIVES DES GROUPES ELECTROBEL ET TRACTION ET ELECTRICITE, On y relève les papiers de plusieurs compagnies de tramways et/ou d électricité : Tramways d Odessa, Société d Électricité d Odessa, Tramways et Électricité de Simféropol, Tramways de Kazan, Tramways de Kiev, Tramways de Koursk, Tramways d Orel et Tramways de Saratov. On sait que 29 sociétés belges de tramways ont été créées en Russie entre 1880 et 1914 (dont 17 pour la seule période ). Elles étaient contrôlées par sept groupes financiers: le groupe Empain, le groupe Thys, la Société Générale Belge d'entreprises Electriques, la Cie Mutuelle des Tramways, l'union des Tramways, la Société Générale de Tramways et d'application d'electricité et le groupe Fraiteur. De nombreux liens existaient entre ces groupes : participations croisées, participations de plusieurs d'entre eux au capital de filiales communes... Les archives d Electrobel et de Traction et Electricité recèlent de surcroît des renseignements sur d autres sociétés belgo-russes, comme «Éclairage Électrique de Saint-Pétersbourg» et «Compagnie Générale Auxiliaire d Entreprises Électriques».

2 Outre les archives de ces sociétés exploitantes, on a pu sauver celles de certains holdings spécialisés dans les services publics (tramways, électricité et gaz), dont une large partie des activités avant 1917 était concentrée dans l empire russe (en ce compris la Pologne russe ou les États baltes). C est le cas par exemple du holding «Tramways et Electricité en Russie». Constitué le 21 juin 1911, ce holding possédait un intérêt majoritaire dans les sociétés russes «Tramways de Riga» et «Société des Téléphones d'odessa», la totalité des titres des sociétés russes «Électricité de Bialystok», «Electricité de Radom», «Force et Lumière à Czenstochowa», un important intérêt dans la société belge «Société d'électricité d'odessa» et dans le «Consortium Gaz d'odessa», enfin la presque totalité des titres des «Tramways et Éclairage Électriques de Simféropol». Un autre holding, la Compagnie Centrale pour l'industrie Électrique, fondé par Armand Fraiteur, a été absorbé en 1967 par la société Electrobel 2. LES ARCHIVES DE LA SOFINA Elles ne recèlent que quelques pièces éparses sur des affaires russes de tramways et d électricité, comme Tramways et Éclairage Électriques de Vladicaucase ; des notes sur un projet de société d'électricité à créer à Moscou: en collaboration avec la Société Centrale Belge pour l'industrie Électrique s.a. et la Société Centrale pour l'industrie Électrique s.a. (Paris) (1911) ; des renseignements sur une prise de participation de la Sofina dans Moscow Metropolitan Syndicate en1912 ; quelques pièces concernant la société des Tramways de Reval. 3. LES ARCHIVES DE LA SOCIETE GENERALE DE BELGIQUE (S.G.B.) Parmi les archives de la S.G.B. versées aux Archives Générales du Royaume, on peut retrouver les archives, non exploitées à ce jour, de la Société Métallurgique Russo-Belge, l une des principales entreprises sidérurgiques fondées par des capitalistes belges en Russie. Elle exploitait dans le Donetz un immense complexe industriel, bâti au centre d un domaine de hectares, comprenant de riches gisements de charbons et racheté au Prince Dolgorovski, Grand-Maître des cérémonies de la Cour Impériale. Les Belges obtinrent ainsi la concession de minières de fer situées dans le bassin de Krivoirog. Au sein des archives de la S.G.B. versées aux Archives Générales du Royaume, on trouve également un fonds d environ cinq mètres linéaires particulièrement intéressant. Il rassemble ce qui reste des travaux du Comité de Défense des Intérêts Belges en Russie, créé en mars 1918 sous l'égide du gouvernement réfugié au Havre. Celui-ci fut particulièrement actif de 1918 à 1922, durant lesquelles il procéda au relevé systématique des avoirs de Belges spoliés par l avènement du communisme en Russie. Son secrétaire général est Eugène Witmeur, bras droit du gouverneur Jean Jadot et ingénieur-conseil de la S.G.B. Nous reparlerons plus en détail de ce fonds d archives plus bas. 4. LES ARCHIVES DE LA BANQUE D OUTREMER Parmi les archives de cet «investment trust» créé en 1899, quelques dossiers concernent des participations dans des affaires russes., comme Tramways et Electricité en Russie s.a. ou l Imatra (Société Anonyme pour la Production et la Distribution d'energie Electrique) s.a. Signalons en particulier un dossier sur la situation de la société des Charbonnages de Bielaïa s.a., en Russie, pendant la Première Guerre mondiale.

3 II. ASPECTS DES RELATIONS BELGO-RUSSES QUI PEUVENT ETRE PLUS SPECIALEMENT ANALYSES AU TRAVERS DE CES ARCHIVES 1. HISTOIRE TECHNIQUE Je songe par exemple aux archives qui, dans le fonds de la Russo-Belge, concernent l exploitation des charbonnages de la société. Des contacts avaient été noués avec le chef de la division des charbonnages de la Société Générale, J. Kersten, qui effectuait des visites périodiques des installations. Le fonds comprend également de nombreux plans des mines et des installations métallurgiques. 2. HISTOIRE SOCIALE ET CULTURELLE De nombreux documents racontent le climat dans lequel l expansionnisme d un petit pays s est heurté sur place à un nationalisme russe de plus en plus virulent. Ils tendent à démontrer que la nationalisation dont les entreprises belges ont été l objet en 1917 est en partie une réaction à un sentiment de «colonisation» ressenti par les Russes. Un exemple? L'intervention sans cesse accrue des Belges dans la Russo-Belge froissa à plus d'une reprise la fibre nationaliste de leurs partenaires russes. Extrait d'une note remise au directeur de la Générale Edouard Despret en 1898, à propos de l'attitude d'un ingénieur russe attaché à la Russo-Belge nommé Fénine : «Depuis que je suis en relation avec lui, j'ai toujours tout fait pour conserver des relations amicales, malgré les idées quelquefois désobligeantes qu'il émettait sur le compte des étrangers. Souvenez-vous, entre autres, de la proposition qu'il a faite à l'association des ingénieurs de Karkov, relativement à l'expulsion des étrangers qui ne pourraient justifier de la connaissance de la langue russe. Avec moi d'ailleurs, il se gênait moins qu'avec vous, il ne cachait pas ses sentiments de chauvinisme [...]. Mr Fénine jouit [pourtant] d'un privilège dont il ne comprend pas l'importance: en effet, les rapports qui sont écrits sur son charbonnage lui sont tous communiqués. Quel est celui de nos fonctionnaires qui pourrait en dire autant?». Dans les archives de sociétés d électricité et de transport, on retrouve trace de nombreuses tentatives de rachat de l'exploitation par les Municipalités. Ces tentatives expriment souvent un fort nationalisme et la volonté d assurer entre Russes le développement de la Russie. En ce qui concerne l histoire sociale, les archives sont assez riches en allusion aux progrès du syndicalisme au sein des exploitations belges. Plusieurs fonds, dont ceux des Tramways d Odessa, donnent un bon aperçu de l impact des grandes grèves de 1905 ou de la constitution des soviets d usines, aux Tramways de Koursk ou à la Métallurgique Russo-Belge.. Par ailleurs, les archives de l Association pour la Défense des Intérêts Belges en Russie, cumulées avec celles d autres sources, pourraient être à la base d un fichier qu on pourrait dresser des Belges qui ont participé au développement des relations économiques belgo-russes, qu il s agisse de capitaines d industrie ou de petits ouvriers. Deux témoignages parmi des centaines : Florent Degotte 122 rue des Bas-Sart, Val Saint Lambert lez Liège «Je vous dirais que je me trouve dans une situation tout à fait précaire. Etant employé à la Société Russo-Belge depuis 12 ans en qualité de surveillant de chaudières, je plaçais mes petites économies à la Société en compte courant, ce qui fait que tout mon avoir s y trouve et que je n ai pas de disponibilités en Belgique. Quittant la Russie en avril 1918 avec ma femme et ma fille, j ai dû subvenir aux frais de notre voyage sans aucun subside ni de l Etat ni de la société. J ai dû changer des roubles à des prix dérisoires en cours de voyage et notamment en Angleterre où j ai dû séjourner à peu près 9 mois avant de rentrer en Belgique. Rentré au pays j y ai retrouvé mes deux fils qui ne sont pas en âge de travailler et pour lesquels je suis redevable de la somme de 6500 francs pour leur entretien durant la guerre. Etant déjà d un âge très avancé (58 ans) et de plus très maladif il m est matériellement impossible de reprendre du travail. Je suis donc à la tête d une famille de 5 personnes, dont un fils

4 doit aller militaire ; vous comprendrez, Messieurs, avec les conditions actuelles de la vie, qu il m est bien pénible de satisfaire à leur besoin. Je serais donc très disposé à vous mettre en garantie de l avance que vous voudrez bien m accorder à vos conditions, la totalité des roubles en ma possession, ainsi que mon carnet de compte courant si cela est nécessaire je pourrais alors dans la suite me libérer de vos avances.» Hermina de Doncker, institutrice, 72 ans, 25 mai 1929 A cause de ma maladie je n ai pu donner suite aux informations reçues par votre lettre du 9 juin 1927 et vous soumet aujourd hui une liste détaillée des pertes subies en Russie 1 Valeur du mobilier de mon appartement particulier dans l hôtel privé de Mr Gankin, grand industriel en naphte et ciment et actionnaire considérable des chemins de fer en Russie, hôtel situé à Moscou (meubles en acajou, tapis, bronzes, tableaux) r 2 Bijoux : bague avec brillants, broche brillants saphir, collier saphir brillant : 2600 r 3 Fourrures : Paletot en Astrakhan Paletot petit gris Boa en Zibeline 1200 r 650 r 800 r 4 En espèces, roubles or, déposées à la Banque «Industrie et Commerce» à Moscou située Illinka : r 5 En espèces, roubles or, déposées à la National City Bank of New York (filiale à Moscou) 6 Argent liquide réquisitionné par les Bolchéviks où ils ont pris possession de l Hôtel Gankin TOTAL 1000 r 2000 r roubles S il fallait des témoins, il m est possible d indiquer plusieurs personnes qui peuvent confirmer mes réclamations et habitant heureusement hors de Russie à Paris et Berlin. Veuillez agréer P.S. Cette somme que je réclame représente les économies faites sur mon travail en qualité d institutrice et les divers cadeaux reçus pendant les 32 ans que j ai passés en Russie et dont la Révolution m a dépouillée, me laissant aujourd hui, à un âge avancé, sans la moindre ressource, sans parents et sans famille. Ce genre de témoignages, on s en rend compte, est une mine inépuisable de renseignements sur ceux qui avaient choisi l expatriation et qui revinrent de Russie comme on part en exil. Il pourrait servir aussi à dresser une nomenclature des Belges de Russie. 3. L HISTOIRE ECONOMIQUE I. ENTENTES ET CARTELS Les Belges n ont pas seulement exporté leur capitaux, ils ont exporté en Russie le modèle d organisation économique qui prévalait chez nous. Les archives conservées permettent de se renseigner sur les nombreux trusts et cartels organisés par les groupes étrangers pour réguler la production dans le bassin du Donetz. Celles de la Société Métallurgique Russo-Belge permettent de retracer l histoire du syndicat Prodameta (Société pour la Vente des Produits des Usines Métallurgiques Russes), dit aussi Syndicat du Fer Russe, et fournissent des renseignements sur la Société pour le Commerce des Combustibles des Bassins du Donetz. Mais l exemple le plus connu de projet d organisation économique dans la Russie pré-révolutionnaire est sans conteste celui du projet de trust sidérurgique, élaboré dans les premières années du 20 e siècle.

5 En 1902, plusieurs entreprises sidérurgiques du Donetz songèrent à rationaliser la production en créant un "trust" d'entreprises. La Générale joua un rôle important dans ce projet, évoqué pour la première fois au début de l'année 1901 par son directeur Edouard Despret. Il rencontra à ce propos des responsables de la Société Générale de France, laquelle contrôlait la société Métallurgique de Briansk, de la Dniéprovienne, de la Société Métallurgique de Taganrog, des Hauts-Fourneaux, Forges et Aciéries de Makiévka, de la Société des Usines de Briansk.. «Il n'y a au plus que 17 usines à grouper en Russie, produisant plus de 50% de toute la production métallurgique du pays alors que la région de l'oural n'en produit pas plus de 20%». Cependant, des divergences de vues apparurent entre entreprises, sur le point de savoir jusqu'où devait aller la collaboration entre producteurs : une entente basée sur la spécialisation et un traité de non-concurrence, ou une collaboration basée sur un comptoir de vente commun. Gustave Trasenster voulait aller beaucoup plus loin et imaginait un trust sidérurgique intégré, similaire à celui récemment constitué aux Etats-Unis, "organisme tellement puissant qu'il menace de sa concurrence effrayante tous les marchés de l'industrie européenne». Mais les négociations s'enlisèrent lorsqu'on envisagea la répartition de la production entre les différentes usines. Elles reprirent en mai Il apparut très vite que le principal obstacle à la création était le défaut d'entente entre la direction de la Dnieprovienne et celle de la Russo-Belge. L'évaluation de la valeur relative de chacune des deux entreprises était évidemment extrêmement compliquée. D autre part, une campagne de presse se déchaîna en Russie contre le trust, à l'instigation notamment du parti politique dit «du 17 octobre», qui déposait à la Douma une interpellation à ce propos. Ces adversaires du trust craignaient que "les entreprises séparées qui n'auront pas eu la chance d'entrer dans l'union des sociétés plus importantes feront banqueroute. [Elles] ne bénéficieront pas de l'attention du client le plus important, le Gouvernement" 73. De plus, la fermeture des usines qui n'étaient pas concernées par le trust provoqueraient un drame social. En septembre 1908, Jean Jadot, qui s'était fait le plus ardent promoteur de la concentration de l'industrie lourde russe, décida d'abandonner définitivement les négociations.

6 II. UN CAPITALISME COSMOPOLITE De très nombreuses sociétés anonymes de nationalité belge et actives en Russie sont en fait des affaires très cosmopolites et le point de convergence de capitaux allemands, russe, français et belge. Dans le secteur électrique, en particulier, de nombreuses affaires sont montées à l intervention des trusts électriques allemands. La Société d Electricité d Odessa, par exemple, était le fruit de la collaboration de la société allemande Gesfürel avec les groupes belges S.G.B.E.E. s.a., Chemins de Fer Economiques s.a., Cie Mutuelle de Tramways s.a. Certaines banques d affaires, comme les maisons Allard, Cassel, Philippson, jouèrent le rôle de courroie de transmission entre les capitaux allemands et belges. Les contrats de fourniture avec des constructeurs allemands (A.E.G. pour les groupes turbo-alternateurs, Siemens-Schukert pour le matériel d éclairage et de trnasmission comme les lampes à arc) témoignent de cette participation du capitalisme rhénan à l essor d entreprises de statut belge. Par ailleurs, la bannière belge affichée par ces sociétés de transport et d électricité permettait quelquefois à des capitaux français de s allier ô horreur à des capitaux allemands. Le groupe Paribas, par exemple, avait de petites participations dans des sociétés Electricité d Odessa De son côté, la Générale travailla en Russie avec l appui de capitaux français essentiellement. Dans les années , elle collabora à un «syndicat des affaires russes» emmené par sa filiale française, la Banque de l'union Parisienne, et auquel participaient également les maisons de banque Thalmann & Co, J. Gunzburg & Co. ou L. Hirsch & Co. de Londres. Les procès-verbaux de réunion de ce syndicat des affaires russes montrent combien, dans l empire des tsars, la diplomatie n est jamais très loin du monde des affaires et vice-versa. III. PME OU GROSSES ENTREPRISES? Dans l évaluation globale des pertes subies par les Belges au moment de la nationalisation, il y a encore un travail important à accomplir, travail que faciliterait sans aucun doute le dépouillement des archives du Comité de Défense des Intérêts Belges en Russie. Devant l ampleur de la tâche, les travaux de ce Comité furent répartis entre plusieurs sections. Les deux plus importantes étaient celles des «entreprises industrielles» et des entreprises concessionnaires de services publics. La première fut d abord présidée par G. Chaudoir, remplacé à sa mort par E. Delloye-Orban, puis par G. Trasenster. La deuxième fut présidée par le baron Edouard Empain. Trois autres sections défendaient les intérêts financiers, les intérêts commerciaux et les intérêts divers. Chaque section procéda séparément à l inventaire systématique des personnes physiques et morales spoliées en Russie. Pour les entreprises, le Comité, soucieux d arriver à des données comparables, procédait à l évaluation des pertes en se basant sur les bilans d avant-guerre, et suivant une formule identique pour tous. Ce fonds ne présente pas seulement un intérêt du point de vue de l histoire quantitative. Il est également intéressant pour dresser un profil nuancé de la présence belge en Russie. Il ne s y trouvait pas seulement de grosses entreprises, mais aussi de très nombreuses PME non cotées en bourse ou n ayant même pas le statut de société anonyme, ce qui rend très difficile la recherche d informations les concernant.

7 HISTOIRE FINANCIERE Dans les archives des sociétés Tramways de Koursk et Tramways de Saratov, plusieurs documents concernent la confection, l impression et le timbrage des titres, avec croquis préparatoires, épreuves, spécimens des titres émis. 4. HISTOIRE DIPLOMATIQUE ET POLITIQUE Le fonds des archives du Comité de Défense des Intérêts Belges en Russie est aussi une mine pour l histoire des relations politiques et belgo-russes. La guerre des années , tout d abord, peut être illustrée au travers de centaines de lettres qui relatent le départ précipité des Belges de Russie, dans des conditions dramatiques. Les archives ultérieures à 1920 sont particulièrement intéressantes du point de vue de l histoire des relations diplomatiques entre Belgique et Russie. Elles complètent les archives conservées au Ministère des Affaires étrangères. La Belgique fit adopter à tous les Gouvernements présents à la Conférence internationale de La Haye (septembre 1922) une résolution condamnant ceux de leurs nationaux qui acquerraient, sans l'assentiment des véritables propriétaires, des biens confisqués en Russie. Dans les années 1920, les industriels occidentaux espérèrent un revirement favorable à leurs revendications lors du lancement de la NEP (nouvelle politique économique) qui édulcorait quelque peu les principes draconiens du "communisme de guerre". Ces espoirs furent également déçus. L'Angleterre reconnut le Gouvernement soviétique en février 1924, aussitôt imitée de l'italie, de la Norvège, de l'autriche... La France résista jusqu'en octobre... D'autres pays se montrèrent plus difficiles: les Etats-Unis n'établirent de relations diplomatiques avec l'urss qu'en 1933 et la Belgique... en 1935! Ces reconnaissances, octroyées sans préjudice des puissances occidentales pour les intérêts de leurs ressortissants en URSS, mettaient néanmoins cette dernière en position de force. Dans les archives du gouverneur de la Société Générale, Jean Jadot, on retrouve un rapport passionnant sur les visées des industriels allemands sur le bassin du Donetz et la nationalisation de l'entreprise métallurgique en En 1922, la Compagnie Electricité et Traction se renseigna sur la maison allemande Lahmeyer, qui tentait de reprendre l exploitation des Tramways de Kiew. Dans les archives de la Société d Electricité d Odessa, enfin, il est question d un projet de récupération de l exploitation durant la Seconde Guerre mondiale.

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