Dr DJELLALIL, Dr SAADA, Dr LEURENT, Dr LUIGI, Dr HAMON Centre Hospitalier de Martigues Service d Accueil des Urgences-SMUR

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2 L OMS définit la violence sexuelle comme «tout acte sexuel, tentative pour obtenir un acte sexuel, commentaire ou avance de nature sexuelle, ou acte visant à un trafic ou autrement dirigé contre la sexualité d une personne utilisant la coercition, commis par une personne indépendamment de sa relation avec la victime dans tout contexte, y compris, mais s en s y limiter le foyer et le travail». (OMS, 2002)

3 Au niveau juridique, le viol est défini par l article du Code Pénal (CP) : «tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu il soit, commis sur la personne d autrui par violence, contrainte, menace ou surprise». (4) C est le non-consentement qui caractérise l agression et la pénétration sexuelle permet de distinguer le viol des autres formes d agressions sexuelles

4 En 2004 et en 2010,un questionnaire a été envoyé à 34 services de Médecine Légale. La comparaison des résultats ont été regroupées selon les items suivants: condition d examen (mode d adressage de la victime, qualification du médecin réalisant l examen initial, présence d une tierce personne), déroulement de l examen (utilisation du colposcope, de la sonde de Foley, de colorants gynécologiques, de méthodes de détection du sperme, réalisation de photographies), les dépistages et préventions proposés (grossesse, Hépatite B, HIV).

5 les analyses toxicologiques réalisées, la prise en charge psychologique réalisée, les analyses de Biologie moléculaire, l ITT l agresseur. Ces deux études ont permis de connaitre les modalités de prise en charge des victimes de violences sexuelles et leurs évolutions dans les centres de référence. Nous avons secondairement comparé les pratiques au sein des services de Médecine Légale avec la PEC dont bénéficie ces victimes au Centre Hospitalier de Martigues.

6 Les 2 études ont permis de montrer que la prise en charge tend à s uniformiser. Les victimes sont accueillies principalement sur réquisition. Cette dernière peut être effectuée secondairement. L examen est préférablement réalisé en présence d une tierce personne. La prise en charge tend a être de plus en plus multidisciplinaire. Le médecin légiste ayant alors un rôle d expert.

7 Elle fait intervenir dans un premier temps les gynécologues, les médecins urgentistes, les pédiatres en fonction de l âge de la victime, les psychiatres. Les infectiologues ou internistes et les médecins généralistes peuvent également être sollicités pur le suivi. Le gynécologue réalise l examen de la sphère génitale et peut s aider d une sonde de Foley, et de façon de moins en moins fréquente d un colposcope. (les examens intrusifs ou/et traumatisants tendent à être limités).

8 La recherches de grossesse et la prévention des MST est débutée souvent par les médecins urgentistes, le suivi est réalisé par les médecins généralistes ou des spécialistes. Ces études ont mis en évidence la plus grande implication des médecins urgentistes dans la prise en charge initiale des victimes de violences sexuelles. Les prélèvements a visée biomoléculaire et toxicologiques sont réalisés sur réquisition. Enfin, une prise en charge psychologique est proposée.

9 La prise en charge des victimes est multidisciplinaire. Les intervenants sont variables en fonction de l âge de la victime. Si la victime a moins de 16 ans, elle est orientée vers le service de pédiatrie. Les pédiatres superviseront et coordonneront la prise en charge et rédigeront le certificat médical. La victime bénéficiera d un examen gynécologique, d un examen corporel complet, d une prise en charge psychologique.

10 La prise en charge des victimes de plus de 16 ans est confiée au médecin urgentiste qui coordonnera les examens des différents intervenants et rédigera le certificat médical initial. L examen gynécologique et les prélèvements locaux sont réalisés par les médecins gynécologiques. L examen corporel à la recherche d autres lésions, les prélèvements autres que gynécologiques sont réalisés par les urgentistes. Un avis est demandé si besoin au psychiatre.

11 En fonction de l âge, ce sont les pédiatres ou les médecins urgentiste qui s occuperont dans un premier du dépistage des MST et de leur prévention. Le dépistage d une grossesse et sa prévention sera effectuée par les gynécologues. Les modalités de l examen gynécologique est dépendant des moyens disponibles (pas de coloration, pas de détection rapide du sperme).

12 Les prélèvements a visée toxicologique et pour la recherche d ADN (ongles, cheveux, sang, prélèvements) sont réalisés sur réquisition et confiés aux autorités requérantes. Le suivi des victimes est réalisé soit par des internistes et les gynécologues (si besoin) si la victimes a plus de 16 ans, par les pédiatres et les gynécologues (si besoin) si la victime a moins de 16ans. Des photographies sont réalisées uniquement en cas de besoin.

13 La prise en charge proposée aux victimes de violences sexuelles au Centre Hospitalier de Martigues tend à se rapprocher de celle réalisée dans les services de Médecine Légale. L élément le plus important est la prise en charge multidisciplinaire. Les modalités d examen varient d une structure à l autre en fonctions des moyens techniques disponibles (détection rapide du sperme, colorant )

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