Indications et contre-indications de la BR

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Indications et contre-indications de la BR"

Transcription

1 ASPECTS ANATOMO-CLINIQUES en TRANSPLANTATION RÉNALE CLASSIFICATION DE BANFF Marion RABANT AHU Service d Anatomopathologie Hôpital NECKER CUEN-Décembre 2010 Indications et contre-indications de la BR INDICATIONS : Multiples Reprise retardée de fonction du greffon, Fonction suboptimale du transplant, Dysfonction aiguë du greffon, Protéinurie et/ou hématurie, Suspicion de récidive de la néphropathie initiale, Recherche d un rejet infraclinique Biopsies systématiques de dépistage CONTRE-INDICATIONS ABSOLUES Hypertension artérielle sévère et non contrôlée Anomalies de l hémostase Pyélonéphrite du greffon Absence de consentement du patient RELATIVES Rejet suraigu avec greffon inflammatoire (augmentation importante de la taille du greffon) Greffon intra-péritonéal Présence de fistules artérioveineuses iatrogènes. 1

2 Causes des dysfonctions du transplant évaluées par la biopsie rénale Rejet humoral-cellulaire Aigu et chronique Nécrose tubulaire post-opératoire Conséquences de la réanimation et de la conservation Toxicité médicamenteuse Ciclosporine FK 506 Sirolimus Récidive de la maladie initiale Glomérulonéphrite de novo Infections virales Maladie lympho-proliférative Technique En Hôpital de jour ou Hospitalisation conventionnelle Au lit du malade, dans des conditions d aseptie Par un radiologue en cas de difficultés techniques Obésité Interposition d anses digestives Positionnement particulier du greffon Anesthésie locale à la Xylocaïne Aiguille de ponction à usage unique 16 G 2 fragments si possible (MO et IF) Alitement strict pendant 4 heures Surveillance initiale PA et FC/30 minutes En cas d hématurie macroscopique NFS/échographie/lavages vésicaux 2

3 Techniques d étude Fixation du fragment pour la microscopie optique Formol fixateur universel Liquide de Bouin, remplacé par l AFA (association formol, alcool, acide acétique) Congélation du fragment pour l immunofluorescence Colorations : trichrome de Masson, vert lumière Argentation Hématoxyline-Eosine-Safran (HES) Periodic Acid Schiff (PAS) Orcéine, rouge congo (amylose), von Kossa (dépôts calciques) Immunofluorescence : C4d +/- IF complète (IgG, IgA, IgM, C3, C1q, Albumine, κ,λ) Immunohistochimie : sur prélèvement fixé C4d, SV 40 pour BK virus Microscopie électronique Sur fragment fixé dans l acide glutaraldéhyde Classification de Banff Historique Classification des rejets d allogreffe rénale la plus utilisée Élaborée initialement en 1991 par un comité d experts internationaux réunis dans la ville de Banff au Canada Définit et quantifie les lésions de rejet afin de faciliter le diagnostic Permet d harmoniser les données histologiques dans le cadre d essais cliniques. Conférence internationale biennale depuis 1993, en tenant compte des nouvelles données de la recherche anatomo-clinique. 3

4 Classification de Banff Historique 10 conférences de 1991 à ère publication en 1993 (Solez K. Kidney int,1993) Définition des lésions élémentaires, premières graduations, rejet aigu/chronique Classification de référence en 1997 (Racusen L. Kidney int, 1999) Apport diagnostique du C4d et définition du rejet humoral aigu en 2001 (Racusen L. Am J Transplant, 2003) Définition du rejet humoral chronique et disparition du terme «CAN» non spécifique, en 2005 (Solez K. Am J Transplant, 2007) = Alloimmunisation chronique + Nombreux processus non immunologiques Concept de C4d «isolé» en 2007 (Solez K. Am J Transplant,2008) Groupes de travail en 2009 (FI/AT, glomérulopathie d allogreffe, néphropathie à BK virus, future place diagnostique de la biologie moléculaire) (Sis B, Am J Transplant 2010) REJET HUMORAL-C4D 2005 A new marker: the C4d. Feucht HE, Clin Exp Immunol

5 C4D ET REJET HUMORAL 2005 C4d detected in 54% of cases with acute dysfunction Feucht HE et al, Kidney Int 1993 Lederer SR et al, Kidney Int 2001 Classification de Banff Historique 10 conférences de 1991 à ère publication en 1993 (Solez K. Kidney int,1993) Définition des lésions élémentaires, premières graduations, rejet aigu/chronique Classification de référence en 1997 (Racusen L. Kidney int, 1999) Apport diagnostique du C4d et définition du rejet humoral aigu en 2001 (Racusen L. Am J Transplant, 2003) Définition du rejet humoral chronique et disparition du terme «CAN» non spécifique, en 2005 (Solez K. Am J Transplant, 2007) pour celui de FI/AT = Alloimmunisation chronique + Nombreux processus non immunologiques Concept de C4d «isolé» en 2007 (Solez K. Am J Transplant,2008) Groupes de travail en 2009 (FI/AT, glomérulopathie d allogreffe, néphropathie à BK virus, future place diagnostique de la biologie moléculaire) (Sis B, Am J Transplant 2010) 5

6 Classification de Banff THE BANFF 97 WORKING : CLASSIFICATION OF RENAL ALLOGRAFT PATHOLOGY Racusen L, Kidney Int 55: , 1999 CRITERES QUANTITATIFS glomérules, tubes, interstitium et vaisseaux Un minimum de structures tissulaires est requis pour une analyse fiable : Biopsie «adéquate» : 10 glomérules et 2 artères de moyen calibre Biopsie «limite» : entre 7 et 9 glomérules et/ou 1 artère de moyen calibre Biopsie «insuffisante» : <7 glomérules et/ou pas d artère de moyen calibre 6

7 CRITERES QUANTITATIFS glomérules, tubes, interstitium et vaisseaux Lésions aiguës Lésions chroniques Glomérules Tubules Interstitium Vaisseaux Glomérulite Tubulite Infiltrat Artérite Capillarite péritubulaire Doubles contours/ hypertrophie mésangiale Atrophie tubulaire Fibrose interstitielle Endartérite fibreuse Hyalinose artériolaire Critères semi-quantitatifs de 0 à 3 CRITERES QUANTITATIFS Lésions aiguës GLOMERULES g0 Pas de glomérulite Glomérulite g1 Glomérulite dans <25% des glomérules g2 g3 Glomérulite dans 25 à 75% des glomérules Glomérulite dans >75% des glomérules TUBES t0 Peu ou pas d infiltrat interstitiel (<10% du parenchyme non fibrosé) Tubulite t1 Plusieurs foyers de tubes présentant de 1 à 4 lymphocytes/section t2 t3 Plusieurs foyers de tubes présentant de 5 à 10 lymphocytes/section Plusieurs foyers de tubes présentant + de 10 lymphocytes /section ou au moins 2 foyers de destruction de la basale tubulaire avec i2/i3et t2 INTERSTITIUM i0 Peu ou pas d infiltrat interstitiel (<10% du parenchyme non fibrosé) Infiltrat i1 10 à 25% de parenchyme inflammatoire i2 i3 26 à 50% de parenchyme inflammatoire > 50% de parenchyme inflammatoire 7

8 CRITERES QUANTITATIFS Lésions aiguës VAISSEAUX ARTERES v0 Pas d artérite Artérite intimale v1 v2 v3 Artérite intimale légère à modérée au moins une section artérielle Artérite intimale sévère avec obstruction >25% de la lumière vasculaire Artérite transmurale et/ou nécrose fibrinoïde de la média CAPILLAIRES cpt0 < 3 cellules par section capillaire ou <10% de capillaires avec plus de 3 éléments Capillarite péritubulaire cpt1 cpt2 3 à 4 cellules par section capillaire 5 à 10 cellules par section capillaire cpt3 >10 cellules par section capillaire CRITERES QUANTITATIFS Lésions chroniques GLOMERULES Doubles contours cg0 cg1 cg2 <10% des anses capillaires < 25% des anses capillaires du glomérule le plus atteint < 26% à 50% des anses capillaires du glomérule le plus atteint Hypertrophie mésangiale cg3 mm0 mm1 mm2 mm3 > 50% des anses capillaires du glomérule le plus atteint Pas d hyperplasie mésangiale Hyperplasie mésangiale (au moins modérée) dans moins de 25% des glomérules Hyperplasie mésangiale (au moins modérée) dans 26 à 50% des glomérules Hyperplasie mésangiale (au moins modérée) dans >50% des glomérules 8

9 CRITERES QUANTITATIFS Lésions chroniques TUBES ct0 Pas de tube atrophique Atrophie tubulaire ct1 <25% de tubes atrophiques ct2 De 26 à 50% de tubes atrophiques ct3 >50% de tubes atrophiques INTERSTITIUM ci0 Fibrose interstitielle <5% de la surface corticale Fibrose interstitielle ci1 6 à 25% de la surface corticale ct2 26 à 50% de la surface corticale ct3 >50% de la surface VAISSEAUX Endartérite fibreuse cv0 Pas d endartérite fibreuse cv1 Endartérite réduisant de <25% la lumière vasculaire cv2 Endartérite réduisant de 26 à 50% cv3 Endartérite réduisant de plus de 50% la lumière Hyalinose artériolaire ah0 pas de hyalinose artériolaire ah1 Hyalinose légère à modérée d au moins une artériole ah2 Hyalinose modérée à sévère d au moins une artériole ah3 Hyalinose sévère de nombreuses artérioles Classification de Banff Rein normal 2. Anomalies à médiation humorale Forme aiguë-c4d (+)/DSA (+) I Nécrose tubulaire aiguë-inflammation minime II Cellules inflammatoires dans capillaires péritubulaires-thromboses, MAT III Lésions vasculaires sévères (v3) Forme chronique-active-c4d (+)/DSA(+) Glomérules avec doubles contours et/ou Multilamellation de la MB des capillaires péritubulaires et/ou Endartérite fibroproliférative et/ou FI/AT 1. Dépôts de C4d isolés avec DSA Score de positivité de l immunomarquage anti-c4d (en % de tissu marqué) C4d0 ou négatif 0% C4d2 ou focal 10 à 50% C4d1 ou minime < 10% C4d3 ou diffus >50% 9

10 Classification de Banff Rejet Borderline: suspicion de rejet aigu cellulaire (<i1 ou <t1) t1, t2 ou t3 avec i0 ou 1 i2 ou i3 avec t1 4. Rejet médié par les lymphocytes T Rejet aigu à médiation cellulaire IA : infiltration cellulaire significative (i2/i3) et tubulite modérée multifocale (>4 lymphocytes/section tubulaire) IB : infiltration cellulaire significative (i2/i3) et tubulite sévère (>10 lymphocytes/section tub) IIA : infiltration cellulaire significative (i2/i3) - artérite intimale (v1) IIB : artérite intimale sévère (>25% de la lumière vasculaire; v2) III : Artérite transmurale ou nécrose fibrinoïde de la paroi musculaire (v3) Rejet chronique actif à médiation cellulaire: vasculopathie chronique du transplant avec endartérite fibroproliférante Classification de Banff Fibrose interstitielle et Atrophie tubulaire, sans élément d orientation Grade I Fibrose interstitielle discrète et atrophie tubulaire (<25% du cortex) Grade II Fibrose interstitielle modérée et atrophie tubulaire (25-50% du cortex) Grade III Fibrose interstitielle sévère et atrophie tubulaire (>50% du cortex) 10

11 CAUSES DE FI/AT EN DEHORS DU «REJET» Etiologie Hypertension artérielle Toxicité des anticalcineurines Obstruction chronique Pyélonéphrite Virus GN de récidive ou de novo Morphologie Epaississement intimal avec prolifération de la limitante élastique interne-dépôts hyalins artérioles Hyalinose artériolaire Nodules hyalins périphériques Vacuolisations isovolumétriques Dilatation tubulaire- Cylindres de proteine de Tam Horsfal avec extravasation dans interstitium Polynucléaires dans tubes Inclusions virales (IF-ME) Microscopie optique-if-me Classification de Banff Autres lésions Récidive de la maladie initiale Glomérulonéphrite «de novo» Infections virales Reflux, pyélonéphrite Nécrose tubulaire aigue Toxicité aiguë/chronique des immunosuppresseurs Lymphoprolifération post-transplantation... 11

12 Protéinurie Produits de contraste = néphrose osmotique Toxicité tubulaire des anticalcineurines Immunoglobulines intraveineuses Récidive des glomérulonéphrites sur le transplant (COLVIN, 1995) RÉCIDIVE % récidive % perte Nbre cas Habituelle greffon o GN à dépôts denses 90% 15% 75 Fréquente o GN à dépôts d IgA 38% 3% 74 o HSF 34% 10% 198 o SHU 27% 16% 44 o GNMP Type1 27% 9% 153 o GEM 17% 3% 35 o GN extracapillaire 15% 8% 48 Rare o Anti MBG 5% 5% 22 o Wegener 7% 0% 14 o LED 5% 2% 42 o Diabète <1% 0% >

13 Scores en cours d évaluation (Sis B, AJT 2010) Score de l infiltrat inflammatoire total fibreux ou non: ti o ti0: peu ou pas d infiltrat interstitiel o ti1: 10 à 25% o ti2: 26 à 50% o ti3: >50% Score alternatif de la hyalinose artériolaire (aah) o aah1: hyalinose artériolaire médiale non circonférentielle d une artériole o aah2: non circonférentielle/plusieurs artérioles o aah3:circonférentielle/plusieurs artérioles CAS ANATOMO-CLINIQUES 13

14 o Anthony Lej né le o Maladie initiale = Syndrome de Shimke osyndrome néphrotique cortico-résistant odysplasie spondylo-épiphysaire odeficit immunitaire avec Lymphocytes T et B omaladie à transmission autosomique récessive o TR le 18/12/05 o Suites simples jusqu en Oct IS faible (déficit immunitaire) o Le 1/10/06: OAP, Hypertension artérielle, MAT o Biopsie rénale le 18/10/06 14

15 Rejet humoral? Rejet cellulaire? Toxicité des anticalcineurines? Homme de 48 ans Antécédents Séminome du testicule droit et choriocarcinome du rein droit, néphrectomisé Insuffisance rénale sur rein unique, secondaire à la néphrotoxicité de la chimiothérapie (sels de platine), hémodialysé depuis 11 ans 1ère transplantation : Donneur : femme de 52 ans décédée d une anévrysme Transplantation rénale orthotopique / DSA négatifs / Ischémie 30 heures Traitement immunosuppresseur par trithérapie avec induction Evolution post-transplantation : Reprise retardée de diurèse et de fonction rénale Nadir à 98 µmol/l à J20 Cryptosporidiose digestive A J50 : Insuffisance rénale aiguë, créatinine 260 µmol/l dans un contexte d ablation de la JJ et de diarrhée avec arrêt transitoire du MMF Montée de JJ en urgence devant dilatation modérée des CPC Biopsie devant absence d amélioration 15

16 Quel est votre diagnostic histologique? 1- Rejet aigu cellulaire 2- Rejet aigu humoral 3- Pyélonéphrite aiguë 4- Néphropathie à BK virus 16

17 Homme 50 ans DNID Néphropathie diabétique En hémodialyse depuis 1 an 1ère transplantation rénale Donneur cadavérique âgé de 40 ans, décédé d hémorragie méningée Immunosuppression: trithérapie avec induction Biopsie de déclampage : Lésions de néphrose osmotique Nécrose tubulaire aigue Evolution post-transplantation Reprise immédiate de diurèse et de fonction rénale Nadir à 148 µmol/l à J9. Découverte a postériori d un DSA anti DQ7 (MFI 670) Réascension de la créatinine à partir de J16. Biopsie rénale à J23 17

18 Quel est votre diagnostic histologique? 1- Rejet humoral aigu 2- micorangiopathie thrombotique 3- Nécrose tubulaire aigue 4- Rejet aigu cellulaire Quel est votre diagnostic histologique? 1- Fibrose interstitielle et atrophie tubulaire 2- Tubulopathie (néphrose osmotique) 3- Maladie de surcharge 4- Rejet aigu cellulaire 18

19 Femme de 45 ans Antécédents GEM idiopathique diagnostiquée en 1988 avec IRC évoluant depuis 1991 Hépatite A à l âge de 6 ans Hypothyroïdie de type Hashimoto Péritonite appendiculaire 1ère transplantation rénale le 11 septembre 2008 Donneur vivant HLA identique frère âgé de 46 ans Protocole d immunosuppression par trithérapie avec induction Reprise immédiate de diurèse et de fonction Insuffisance rénale aigue à J7 Echodoppler du greffon : Normal Analyse du liquide du redon : formule lymphatique T0 de Prograf: 6.2 Pas de stigmates biologiques d hémolyse Pas de protéinurie 19

20 Quel est votre diagnostic histologique? 1- Microangiopathie thrombotique 2- Récidive de glomérulonéphrite extramembraneuse 3- Glomérulonéphrite extra-capillaire 4- Rejet aigu humoral 20

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT

Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Information transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé

Information transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale

Transplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE

NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Conférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure

Conférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses

Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients

Plus en détail

Pas anodine, la créatinine!

Pas anodine, la créatinine! Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009

Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Dermatologie buccale

Dermatologie buccale Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Hématome rétro-placentaire ( HRP )

Hématome rétro-placentaire ( HRP ) Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

E03 - Héparines non fractionnées (HNF)

E03 - Héparines non fractionnées (HNF) E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

Guide à l intention des patients et des familles. Le don d un rein. www.nshealth.ca

Guide à l intention des patients et des familles. Le don d un rein. www.nshealth.ca Guide à l intention des patients et des familles 2015 Le don d un rein www.nshealth.ca Le don d un rein Programme de transplantation rénale avec donneur vivant Il n y a jamais assez de dons de reins pour

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs

B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication

Plus en détail

MEMBRANE BASALE GLOMÉRULAIRE MINCE, UNE LÉSION COURANTE

MEMBRANE BASALE GLOMÉRULAIRE MINCE, UNE LÉSION COURANTE M. C. GUBLER ET L. HEI- DET MEMBRANE BASALE GLOMÉRULAIRE MINCE, UNE LÉSION COURANTE par MEM- BRANE BASALE GLOMÉ- RULAIR E MINCE M. C. GUBLER ET L. HEIDET* La membrane basale glomérulaire (MBG) mince, observée

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail

Information au patient TRANSPLANTATION RÉNALE. Coordination de transplantation 02 477 60 99

Information au patient TRANSPLANTATION RÉNALE. Coordination de transplantation 02 477 60 99 Information au patient TRANSPLANTATION RÉNALE Coordination de transplantation 02 477 60 99 Transplantation Rénale 1. Introduction Pour le patient qui présente un stade avancé d insuffisance rénale, la

Plus en détail