POLITIQUE DE RESPECT DE LA PERSONNE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "POLITIQUE DE RESPECT DE LA PERSONNE"

Transcription

1 Service du capital humain et des communications 2012 POLITIQUE DE RESPECT DE LA PERSONNE RAPPORT D ACTIVITÉS

2 Sommaire Contexte... 3 Portrait global des dossiers en Nature du dossier... 4 Provenance de l incivilité ou du harcèlement... 4 Traitement des dossiers et résultat des enquêtes... 5 Approche préventive... 5 Étude de recevabilité... 5 Enquête... 5 Portrait global des plaignants par accréditation et par groupe visé... 6 Portrait global des mis en cause par accréditation et par groupe visé... 6 Réalisations Perspectives Conclusion... 9 ANNEXE Bilan comparatif «Année 2012 et période de 5 ans » Bilan comparatif «Année 2012 et période de 3 ans » POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 2 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

3 Contexte LE 1 er AOÛT 2012, LA VILLE DE MONTRÉAL ENTÉRINAIT LA RÉVISION DE LA POLITIQUE DE RESPECT DE LA PERSONNE ET CONFIRMAIT AINSI SON ENGAGEMENT À PRENDRE LES MESURES NÉCESSAIRES POUR ASSURER UN CLIMAT DE TRAVAIL HARMONIEUX OÙ LA SANTÉ, LE MIEUX-ÊTRE, LE RESPECT ET LA CIVILITÉ SONT AU CŒUR DES PRATIQUES DE GESTION. L orientation de la Politique de respect de la personne, adoptée en 2012, vise la bienveillance dans la gestion des employés de la Ville et la promotion de la civilité en milieu de travail, une approche préventive en amont des problématiques. La promotion, la sensibilisation et la formation à cette orientation se poursuivront au cours des prochaines années afin que les valeurs de respect, de civilité, de collaboration et d ouverture aux autres soient à la base des comportements des employés à la Ville de Montréal. Il convient de souligner la précieuse collaboration des quelque 80 responsables de la politique dans les unités administratives, lesquels veillent tout au long de l année à son application et nous fournissent leurs données sur les interventions de l année, servant à produire le présent rapport annuel. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 3 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

4 Portrait global des dossiers en 2012 Les statistiques présentées ci-après regroupent les dossiers traités par les responsables d unité de la politique des 19 arrondissements, des 11 services corporatifs, de Stationnement de Montréal, de la Commission des services électriques et du Bureau du vérificateur général, ainsi que par la responsable corporative de la politique au Service du capital humain et des communications. En août 2012, le comité exécutif de la Ville de Montréal entérinait une nouvelle version de la Politique de respect de la personne dans laquelle la notion de civilité fut officiellement intégrée. La nature des dossiers traités en 2012 est donc répartie de la façon suivante : incivilité, harcèlement psychologique et harcèlement discriminatoire. 140 dossiers ont été traités en 2012, ce qui représente une augmentation de 11 % comparativement à l année 2011, mais se situe en-dessous de la moyenne annuelle des 5 dernières années (-9 %). Nature du dossier 59 % HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE 35 % INCIVILITÉ 6 % HARCÈLEMENT DISCRIMINATOIRE Provenance de l incivilité ou du harcèlement 42 % 47 % D UN COLLÈGUE DU SUPÉRIEUR HIÉRARCHIQUE 9 % D UN SUBORDONNÉ 2 % D UN TIERS N AYANT AUCUN LIEN D EMPLOI AVEC LA VILLE POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 4 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

5 Traitement des dossiers et résultat des enquêtes Approche préventive Avant de procéder à l étude de recevabilité d une plainte et de faire enquête, la Ville de Montréal privilégie une approche préventive : rôle-conseil, mise à contribution de la direction, gestion de conflit, résolution de problème, médiation. De plus, toute situation où l incivilité est invoquée fait aussi l objet d une intervention en application de la politique. Dans nombre de cas, cette approche est concluante et permet de résoudre la situation. Par contre, il est parfois nécessaire de poursuivre par une étude de recevabilité de la plainte ou par une enquête. EN 2012, 74 % DES 140 DOSSIERS ONT FAIT L OBJET D ACTIONS PRÉVENTIVES. Étude de recevabilité Une étude de recevabilité est une analyse formelle des allégations contenues à la plainte afin d évaluer si les faits rapportés à l appui de cette dernière sont du domaine du harcèlement. Si la plainte est jugée recevable, nous pouvons poursuivre par une enquête. EN 2012, PLUS DE LA MOITIÉ DES 140 DOSSIERS ONT FAIT L OBJET D UNE ÉTUDE DE RECEVABILITÉ. Enquête L enquête permet d établir s il y a eu ou non harcèlement envers un employé. La conclusion d une enquête tient compte des facteurs suivants : les faits allégués, la définition du harcèlement, la notion de personne raisonnable et les témoignages recueillis. EN 2012, 25 % DES 140 DOSSIERS ONT FAIT L OBJET D UNE ENQUÊTE. DE CES 140 DOSSIERS, 9 % ONT CONCLU AU HARCÈLEMENT. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 5 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

6 Portrait global des plaignants en 2012 Par accréditation Portrait global des mis en cause en 2012 Par accréditation 41 % Employés manuels et de métier (cols bleus) 43 % Employés cadres et contremaîtres 24 % Employés de bureau, soutien administratif et technique (cols blancs) 29 % Employés manuels et de métier (cols bleus) 20 % Employés cadres et contremaîtres 9 % Employés professionnels 6 % Autres 15 % Employés de bureau, soutien administratif et technique (cols blancs) 6 % Employés professionnels 3 % Tiers n ayant aucun lien d emploi avec la Ville 2 % Groupe d employés (mobbing) 2 % Autres Par groupe visé ( Selon la Loi sur l accès à l égalité en emploi dans des organismes publics ) Par groupe visé ( Selon la Loi sur l accès à l égalité en emploi dans des organismes publics ) 48 % Femmes 59 % Mis en cause n appartenant à aucun groupe visé 37 % Plaignants n appartenant à aucun groupe visé 34 % Femmes 15 % Communautés d origines diverses** ** Cette catégorie regroupe les membres des minorités visibles et ethniques. 6 % Communautés d origines diverses** 1 % Autres ** Cette catégorie regroupe les membres des minorités visibles et ethniques. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 6 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

7 Réalisations Révision de la Politique de respect de la personne La démarche ayant mené à la révision de la politique a débuté par la mise sur pied d un comité consultatif, l examen de politiques comparables chez d autres employeurs et la consultation d experts dans le domaine. Le comité consultatif, piloté par la responsable corporative, était composé de responsables d unité de la politique, d un avocat du Service des affaires juridiques et de l évaluation foncière ainsi que d un représentant des relations de travail du Service du capital humain et des communications. Les principes directeurs de la politique ont été maintenus et certains ont été clarifiés, entre autres ceux traitant de représailles à la suite du dépôt d une plainte faite de bonne foi, ceux relatifs à la discrétion exigée des personnes impliquées et les principes liés à l autorité de gestion. L obligation de civilité en milieu de travail a été ajoutée afin de prioriser la prévention de toute forme de harcèlement et ainsi contribuer à établir un climat de travail serein. La définition de civilité est basée sur la communication, le commerce, le dialogue et la coopération entre employés. Les rôles et responsabilités de tout un chacun ont été précisés, tant pour la direction des unités, les gestionnaires, les employés, les responsables de la politique que pour le Service du capital humain et des communications. Le 1 er août 2012, le comité exécutif de la Ville entérinait la nouvelle politique. 2. Campagne de diffusion et de sensibilisation avec nouveau visuel Une campagne de promotion a été élaborée et diffusée, incluant un nouveau visuel et une nouvelle devise, basée sur les deux principes de respect et de civilité. Les nouveaux véhicules de promotion de la politique ont été distribués à l ensemble des unités administratives. En complément, une nouvelle section santé et mieuxêtre a été créée dans l intranet où l on trouve tous les renseignements relatifs à la politique. 3. Offre de formation continue Formation des responsables Le Service du capital humain et des communications a maintenu, en 2012, l offre de formation continue aux 80 responsables d unité de la politique dans les arrondissements et les services corporatifs. Formation sur l obligation de civilité en milieu de travail La nouvelle formation sur l obligation de civilité débutée en 2011 s est poursuivie en 2012 auprès des gestionnaires et employés dans les unités administratives suivantes : Direction du greffe, Service des technologies de l information, Service de l eau, Service du capital humain et des communications et dans les arrondissements Rivière-des-Prairies Pointeaux-Trembles, Ahuntsic Cartierville, Île Bizard Sainte-Geneviève, Pierrefonds-Roxboro, Côte-des-Neiges Notre-Dame-de-Grâce. Formation et information sur la Politique de respect de la personne À l initiative des responsables de la politique, plusieurs formations et sessions d information ont été diffusées aux gestionnaires et aux employés des arrondissements et des services corporatifs. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 7 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

8 Les formations aux gestionnaires ont pour objectif de leur permettre de s approprier les meilleures pratiques de prévention du harcèlement, en intégrant l importance d agir en amont de situations de harcèlement et d établir les attentes relatives aux comportements de respect et de civilité de tout un chacun. Les sessions d information sensibilisent les employés à l importance de la contribution de chacun à la qualité du climat de travail, en adoptant un comportement de civilité et de respect dans le but de prévenir les conflits et les situations de harcèlement. Ces formations et sessions d information ont été diffusées aux arrondissements d Anjou et de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles ainsi qu à deux unités du Service des technologies de l information. Enfin, soulignons que dans le cadre de l activité «Intégration des officiers» au Service de sécurité incendie de Montréal (SIM), une formation sur la gestion des conflits a été présentée à quelque 659 officiers du SIM. Cette formation comprend un volet sur la civilité et le harcèlement psychologique. Perspectives 2013 La révision de la Politique de respect de la personne réalisée en 2012 intégrant les valeurs de civilité, de mieux-être et de bienveillance à celle du respect guidera toutes les interventions de prévention des responsables de la politique. La priorité sera d axer les interventions sur la nécessité d agir en amont des conflits et du harcèlement. Une offre de service sera présentée à la direction de chaque arrondissement et service corporatif relative au volet formation et accompagnement des gestionnaires, information aux divers groupes d employés et approche préventive de résolution des dossiers de plaintes par la résolution de conflit, la médiation et le rôle-conseil. La formation continue des responsables de la politique, des gestionnaires et des employés se poursuivra activement en L offre de formation vise à toujours intégrer les développements jurisprudentiels sur le sujet et les meilleures pratiques recommandées par les experts dans le domaine. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 8 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

9 Conclusion En 2012, les élus de la Ville de Montréal ont renouvelé leur engagement à l égard de la Politique de respect, laquelle vise avant tout l amélioration du climat de travail et du mieux-être de tous les employés. La Ville de Montréal reconnaît ainsi sa responsabilité sociale et légale relativement au respect de la personne. Cet engagement est présent à tous les niveaux hiérarchiques et dans tous les milieux de travail, comme le démontrent les statistiques du présent rapport d activités. Continuons à agir collectivement, employés, gestionnaires, conseillers en ressources humaines, partenaires syndicaux et responsables de la Politique de respect de la personne afin de promouvoir un climat de travail empreint de civilité et de respect et de travailler à résoudre de façon diligente les différends qui émergent dans le cours de la vie au travail. Un milieu de travail qui permet à chacun de se développer et de s épanouir en toute confiance - voilà ce que la Ville de Montréal souhaite offrir à tous ses employés. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 9 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

10 Annexe BILAN COMPARATIF Année 2012 et période de 5 ans (de 2007 à 2011) NOMBRE TOTAL DE DOSSIERS TRAITÉS 140 dossiers Augmentation de 11 % par rapport à l année 2011 Baisse de 9 % de la moyenne Distinctions notables en 2012 : - Baisse des plaignants cols blancs - Hausse des mis en cause femmes - Augmentation des plaignants et mis en cause cols bleus - Baisse du nombre de cadres et contremaîtres comme mis en cause 2007 : 128 dossiers 2008 : 143 dossiers 2009 : 187 dossiers 2010 : 167 dossiers 2011 : 126 dossiers NOMBRE MOYEN ANNUEL : 150 DOSSIERS HARCÈLEMENT DISCRIMINATOIRE 6 % des dossiers 2007 : 6 % 2008 : 10 % 2009 : 4 % 2010 : 10 % 2011 : 7 % POURCENTAGE MOYEN ANNUEL : 7 % HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE 59 % des dossiers 2007 : 94 % 2008 : 90 % 2009 : 96 % 2010 : 90 % 2011 : 93 % POURCENTAGE MOYEN ANNUEL : 93 % INCIVILITÉ 35 % des dossiers Note : La nouvelle catégorie «incivilité» a un impact sur les statistiques de dossiers de harcèlement en 2012 AUCUNE DONNÉE POUR LES ANNÉES ANTÉRIEURES. APPROCHE PRÉVENTIVE 75 % des dossiers 2007 : 52 % 2008 : 50 % 2009 : 49 % 2010 : 79 % 2011 : 76 % POURCENTAGE MOYEN ANNUEL : 61 % POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 10 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

11 Annexe BILAN COMPARATIF Année 2012 et période de 3 ans (de 2009 à 2011) PRINCIPAUX MOTIFS DE PLAINTE 44 % Comportements vexatoires 6 % Mise en échec 9 % Atteinte aux conditions de travail 9 % Intimidation 5 % Autre 27 % Manque de civilité 61 % Comportements vexatoires 17 % Mise en échec 10 % Atteinte aux conditions de travail 5 % Intimidation 6 % Autre 1 % Isolement CARACTÉRISTIQUES PRÉDOMINANTES DES DOSSIERS AVEC CONCLUSION DE HARCÈLEMENT 75 % Harcèlement psychologique 67 % Plaignant et intimé syndiqués 17 % Plaignant d aucun groupe visé du programme d accès à l égalité en emploi 67 % Harcèlement horizontal (entre collègues) 50 % Approche préventive en plus de l enquête 42 % Comportements vexatoires en cause Baisse des dossiers avec mesure préventive et enquête Baisse des cas de harcèlement psychologique horizontal Baisse du type de dossier harcèlement psychologique Par rapport à 2011 : Baisse significative des plaignants d aucun groupe visé Baisse de la catégorie : comportements vexatoires APPARTENANCE DU PLAIGNANT À UN GROUPE VISÉ DU PROGRAMME D ACCÈS À L ÉGALITÉ EN EMPLOI 63 % réparti de la façon suivante : 48 % Femmes 15 % Communautés d origines diverses 59 % réparti de la façon suivante : 48 % Femmes 11 % Communautés d origines diverses Pour consulter les statistiques des années antérieures, reférez-vous au site intranet de la politique. POLITIQUE DU RESPECT DE LA PERSONNE 11 RAPPORT D ACTIVITÉS 2012

12 Coordonnées de la responsable corporative de la Politique de respect de la personne : Suzanne Reid Direction de la santé et du mieux-être Service du capital humain et des communications 3711, rue Saint-Antoine Ouest Montréal (Québec) H4C 0C1 Téléphone : Télécopieur : sreid@ville.montreal.qc.ca Ce rapport annuel est réalisé par le Service du capital humain et des communications Ville de Montréal - Juillet 2013 Studio de design graphique : Ville de Montréal (08-13)

Le harcèlement psychologique au travail

Le harcèlement psychologique au travail COMMISSION DES NORMES DU TRAVAIL Le harcèlement psychologique au travail COMPRENDRE PRÉVENIR COMPRENDRE Au Québec, chaque salarié a droit à un milieu de travail où il n y a pas de harcèlement psychologique.

Plus en détail

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime. Vue d ensemble. Martin Shain, S.J.D.

Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime. Vue d ensemble. Martin Shain, S.J.D. Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime Vue d ensemble Martin Shain, S.J.D. Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime : Exigences liées à l obligation récente

Plus en détail

Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR

Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Dignité de la personne au travail BEI - 12/03 - FR Politique en matière de respect de la dignité de la personne au travail La BEI vise à offrir un environnement de travail favorable, qui aide et encourage

Plus en détail

Bilan de la situation des caisses de retraite au Québec

Bilan de la situation des caisses de retraite au Québec SYNDICAT DES FONCTIONNAIRES MUNICIPAUX DE MONTRÉAL (SCFP) Bilan de la situation des caisses de retraite au Québec 25 février 2014 1 Contexte et évolution 22 JUIN 2011 Conférence de presse des maires Gérald

Plus en détail

Plan d action à l égard des personnes handicapées 2014-2017

Plan d action à l égard des personnes handicapées 2014-2017 Plan d action à l égard des 2014-2017 Décembre 2014 Régie de l énergie - Plan d action 2014-2017 à l égard des Table des matières Mise en contexte. 1 Mission. 1 Personnel. 1 Engagement... 1 Coordonnateur.

Plus en détail

Le mardi 25 mai à 19 heures Présentation de la problématique, actions mises en place, ce que vous pouvez faire et période de questions.

Le mardi 25 mai à 19 heures Présentation de la problématique, actions mises en place, ce que vous pouvez faire et période de questions. Merci de vous inscrire pour vos questions dans le registre à l entrée de la salle Le mardi 25 mai à 19 heures Présentation de la problématique, actions mises en place, ce que vous pouvez faire et période

Plus en détail

Le régime d assurances collectives prosanté

Le régime d assurances collectives prosanté signature privilège distinction prestige Le régime d assurances collectives prosanté LES AVANTAGES SIGNATURE Un régime, trois séries d avantages L une des préoccupations majeures des entreprises québécoises

Plus en détail

COMITÉ DE DISCIPLINE

COMITÉ DE DISCIPLINE CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COMITÉ DE DISCIPLINE Ordre des technologues professionnels du Québec N : 39-04-00003 DATE : 29 novembre 2005 LE COMITÉ : Me Jean-Jacques Gagnon Président M. Léopold Théroux, t.p.

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

PLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015

PLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 Vice-présidence principale aux ressources humaines et à l administration TABLE DES MATIÈRES MISE EN CONTEXTE... 4 DÉFINITION... 4 PORTRAIT DE

Plus en détail

POUR LES SERVICES DE TELECOMM U NICA TIONS ENTRE TELUS COMMUNICATIONS FIDUCIE ALBERT

POUR LES SERVICES DE TELECOMM U NICA TIONS ENTRE TELUS COMMUNICATIONS FIDUCIE ALBERT CONVENTION DE LOCATION POUR LES SERVICES DE TELECOMM U NICA TIONS ENTRE TELUS COMMUNICATIONS COMPANY ET FIDUCIE ALBERT Redige Ie 10 octobre 2009 4~ ET: CONVENTION DE LOCATION DE SERVICES DE TELECOMMUNICATIONS

Plus en détail

DRT 3805g. L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC. Le standard de qualité. Le standard de haute qualité

DRT 3805g. L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC. Le standard de qualité. Le standard de haute qualité DRT 3805g Le standard de haute qualité L usage du standard de «haute qualité» par le CRTC Examen d un outil et processus de régulation en radiodiffusion Le standard de qualité Art. 1, al. 4, loi française

Plus en détail

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la

Plus en détail

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise?

Thème 1. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise? S O M M A I R E Thème. Quelles sont les relations entre le droit et l entreprise? CHAPITRE Qu est-ce que l «entreprise» pour le droit aujourd hui? 9 Le principe d unité des règles de droit... 0 Le statut

Plus en détail

éq studio srl Gestion des informations pour un choix- consommation raisonnée - GUIDE EXPLICATIVE

éq studio srl Gestion des informations pour un choix- consommation raisonnée - GUIDE EXPLICATIVE Résumé PREFACE 2 INTRODUCTION 2 1. BUT ET CHAMP D APPLICATION 2 2. REFERENCES DOCUMENTAIRES ET NORMES 3 3. TERMES ET DEFINITIONS 3 4. POLITIQUE POUR UNE CONSOMMATION RAISONNEE (PCC) 3 5. RESPONSABILITE

Plus en détail

MIGS14 EXPO ZONE CONTRAT PALAIS DES CONGRES DE MONTRÉAL 10 & 11 NOVEMBRE 2014

MIGS14 EXPO ZONE CONTRAT PALAIS DES CONGRES DE MONTRÉAL 10 & 11 NOVEMBRE 2014 MIGS14 EXPO ZONE CONTRAT PALAIS DES CONGRES DE MONTRÉAL 10 & 11 NOVEMBRE 2014 MIGS14 : LE PLUS GRAND ÉVÉNEMENT DÉDIÉ À L INDUSTRIE DU JEU VIDÉO AU CANADA ET SUR LA CÔTE EST AMÉRICAINE CREE EN 2004 PAR

Plus en détail

Questionnaire du projet Innocence

Questionnaire du projet Innocence 1 Questionnaire du projet Innocence Directives : Répondez de façon aussi détaillée que possible à chacune des questions suivantes ayant trait à votre dossier. Des réponses complètes et précises nous permettront

Plus en détail

ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE

ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE ENTENTE ASSURANCE COLLECTIVE www.fc-csn.ca BV5087F (2014-09) La force du nombre Depuis 1988, la Fédération du commerce (CSN) et son partenaire, SSQ Groupe financier, allient leurs forces et leur expertise

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. PARTIE 1 Des agissements destructeurs de la dignité humaine... 21. 1 Le droit et la psychologie à la rescousse de la victime...

TABLE DES MATIÈRES. PARTIE 1 Des agissements destructeurs de la dignité humaine... 21. 1 Le droit et la psychologie à la rescousse de la victime... TABLE DES MATIÈRES Préface.............................................................. V Remerciements.................................................... 3 Abréviations et explications......................................

Plus en détail

Notre priorité, votre sécurité!

Notre priorité, votre sécurité! Le règlement sur les alarmes-incendies non fondées : un pas de plus vers la sécurité! Présentation de la nouvelle réglementation aux représentants de l Association des propriétaires et administrateurs

Plus en détail

CODE DE BONNE CONDUITE

CODE DE BONNE CONDUITE HAUT CONSEIL DE LA COMMUNICATION HCC CODE DE BONNE CONDUITE POUR LES ACTEURS POLITIQUES, SOCIAUX ET LES MEDIAS A L OCCASION DES ELECTIONS PRESIDENTIELLE ET LEGISLATIVES DE 2011 -*-*-*-*-*-*- Bangui, décembre

Plus en détail

Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5

Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5 Code pénal social Application sur la Loi et le Code du Bien-être au travail Dispositions pénales de la Loi du Bien-être de 1996 Les articles

Plus en détail

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL Les relations de travail sont révélatrices de l atmosphère qui règne au sein de votre entreprise. Le gestionnaire désirant obtenir de saines relations de travail se doit d être proactif dans ses actions.

Plus en détail

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470 RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit

Plus en détail

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information

Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information 1. LES MENACES EXTERIEURES VIA L INTERNET ET INFORMATIQUE LES PROGRAMMES MALVEILLANTS : VIRUS / MALWARES LES SPYWARES (LOGICIELS-ESPIONS) : LOGICIEL

Plus en détail

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS

Code de franc-jeu. du joueur LE FRANC-JEU, C EST L AFFAIRE DE TOUS du joueur 1) Je jouerai au hockey de mon plein gré et non pour obéir à mon entourage ou à mes entraîneurs. 2) Je respecterai les règles et l esprit du jeu. 3) Je maîtriserai mon tempérament les bagarres

Plus en détail

FICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Opérateur du son Version 1 «Assistant son» APPELLATION(S) DU METIER Assistant son DEFINITION DU METIER L assistant son aide l ingénieur du son ou le chef opérateur du son, responsable des enregistrements

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi Citation : F. D. A. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 1 Appel n o : GE-13-192 ENTRE : F. D. A. et Appelant Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION DU TRIBUNAL

Plus en détail

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable!

LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable! Volume 2, numéro 3 Mai 2012 LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable! Par Caroline Soulas, chef marketing, Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. Le ministère

Plus en détail

Présentation d ENvironnement JEUnesse

Présentation d ENvironnement JEUnesse Une ville pour tous! Mémoire déposé dans le cadre des consultations de l Office de consultation publique de Montréal sur le Plan de développement durable de Montréal Août 2013 Ce mémoire a été préparé

Plus en détail

Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis

Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis Pour contrer le problème du vandalisme par tags et graffitis, la Ville de Gatineau a mis sur pied un Programme de prévention

Plus en détail

9 Septembre 2010. Déclaration de soutien au Pacte Mondial

9 Septembre 2010. Déclaration de soutien au Pacte Mondial 9 Septembre 2010 Déclaration de soutien au Pacte Mondial Les événements de ces dernières années nous apportent la démonstration de la sensibilité de tout modèle de développement, particulièrement dans

Plus en détail

Rapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014.

Rapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014. Rapport du vice-président responsable de la prévention, de la réparation, du régime de retraite et des assurances pour l année 2014. Présenté à l assemblée générale 2015-01. L année 2014 en a été une d

Plus en détail

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques En 2013, le Conseil des arts du Canada a publié le Document d'information : Révision des programmes de subventions de fonctionnement

Plus en détail

Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès

Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Les relations entre les Cours constitutionnelles et les autres juridictions nationales, y compris l interférence, en cette matière, de

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL Avertissement : LE PRÉSENT DOCUMENT CONSTITUE UN CONDENSÉ DU RAPPORT ANNUEL DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL. VOUS ÊTES INVITÉ À CONSULTER LA VERSION INTÉGRALE

Plus en détail

bonnes raisons pour ne pas se syndiquer

bonnes raisons pour ne pas se syndiquer 10 bonnes raisons pour ne pas se syndiquer 1 LES SYNDICATS, C EST RINGARD! Si vous pensez que les syndicats ne sont pas adaptés aux problèmes de notre époque, alors il ne tient qu à vous pour que ça change.

Plus en détail

Curriculum Vitae. Martino Gagliardi

Curriculum Vitae. Martino Gagliardi Curriculum Vitae Martino Gagliardi COORDONNÉES PERSONNELLES Martino Gagliardi 194 Jacques-Cousteau Repentigny (Québec) J5Y 4B3 514.512.2599 martino@mg-media.ca www.integrateurweb.com Période : Projet :

Plus en détail

DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR. SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be

DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR. SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be CENTRE BELGE D ARBITRAGE ET DE MEDIATION DÉCISION DU TIERS DÉCIDEUR SPRL LES COMPTABLES ET FISCALISTES ASSOCIES / SPRL EKITAS CONSULTING Affaire N 44286 : cfabelgium.be 1. Les parties 1.1. Le Plaignant

Plus en détail

RÈGLES RELATIVES À L ACCRÉDITATION DE MÉDIA

RÈGLES RELATIVES À L ACCRÉDITATION DE MÉDIA RÈGLES RELATIVES À L ACCRÉDITATION DE MÉDIA Du 3 au 5 juillet 2015 RÈGLES RELATIVES À L ACCRÉDITATION DE MÉDIA CUEILLETTE DES LAISSEZ-PASSER ET DE LA TROUSSE MÉDIA À votre arrivée au Palais des congrès,

Plus en détail

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137» LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL DÉFINITIONS ET CHAMP D'APPLICATION La législation québécoise en matière de santé et de sécurité du travail est constituée

Plus en détail

La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires

La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires La récente décision judiciaire en Alberta sur la limitation des dommages non pécuniaires Présenté par Marco Royer Assurance automobile en Alberta : les réformes de 2004 Bill 53 Introduction d une limitation

Plus en détail

Résultats de l enquête «Bien être au travail»

Résultats de l enquête «Bien être au travail» Résultats de l enquête «Bien être au travail» Enquête réalisée par travailler-zen.com Septembre 2014 1 Introduction Nous avons réalisé une enquête en ligne (sur Internet) portantsurle«bienêtreautravail»entrele16juilletet

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

FICHE DE FONCTION - 04

FICHE DE FONCTION - 04 FICHE DE FONCTION - 04 ANIMATEUR/EDUCATEUR de classe 1 INTITULE DE LA FONCTION : animateur/éducateur RELATIONS HIERARCHIQUES L animateur/éducateur de classe 1 exerce ses fonctions sous la responsabilité

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.

Plus en détail

Le marché locatif de la RMR de Montréal

Le marché locatif de la RMR de Montréal Le marché locatif de la RMR de Montréal DAVID L HEUREUX Analyste principal de marché, SCHL Votre clientèle locative Au programme L état du marché locatif Texte Votre clientèle locative Tendances et perspectives

Plus en détail

APRHQ Rapport annuel de la présidence Année 2010-2011 Montréal, Québec 19 octobre 2011

APRHQ Rapport annuel de la présidence Année 2010-2011 Montréal, Québec 19 octobre 2011 APRHQ Rapport annuel de la présidence Année 2010-2011 Montréal, Québec 19 octobre 2011 C est avec plaisir que je vous présente le rapport d activités de l APRHQ pour l année qui s est terminée le 31 août

Plus en détail

Association des cadres municipaux de Montréal. Rapport annuel 2009...

Association des cadres municipaux de Montréal. Rapport annuel 2009... . Association des cadres municipaux de Montréal Rapport annuel 2009.......... SOMMAIRE Sommaire... 2 Mot du président... 3 Présentation de l Association des cadres municipaux de Montréal... 4 Nos forces

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

Politique Utilisation des actifs informationnels

Politique Utilisation des actifs informationnels Politique Utilisation des actifs informationnels Direction des technologies de l information Adopté le 15 octobre 2007 Révisé le 2 juillet 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. OBJECTIFS... 3 2. DÉFINITIONS... 3

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE» IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL

RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Séance publique RÉGIME DE RETRAITE DES EMPLOYÉS DE LA VILLE DE LAVAL Loi 3 - Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal 19

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE ET IMMOBILIER D HABITATION

IMMOBILIER D ENTREPRISE ET IMMOBILIER D HABITATION MANUEL 2010 IMMOBILIER D ENTREPRISE ET IMMOBILIER D HABITATION ACTUALITE VEILLE JURIDIQUE CONFERENCES FORMATIONS EN INTER FORMATIONS EN INTRA Former, c est rendre vos opérateurs plus efficaces en leur

Plus en détail

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers

Plus en détail

L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public

L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public 5R000-040048/001/CY Présenté à : L Agence de la consommation en matière financière du Canada 24 mars 2005 Table

Plus en détail

Responsabilité de l'expert-comptable

Responsabilité de l'expert-comptable Litec Libraire de la Cnnr He rassation - 27. olace Dauohine - 75001 Paris Anne-Claire Maddoli-Restoux avocat á la Cour d'appel de París Responsabilité de l'expert-comptable Risques judiciaires et préventions

Plus en détail

A V I S N 1.851 ----------------------- Séance du mardi 28 mai 2013 ----------------------------------------

A V I S N 1.851 ----------------------- Séance du mardi 28 mai 2013 ---------------------------------------- A V I S N 1.851 ----------------------- Séance du mardi 28 mai 2013 ---------------------------------------- Prévention de la charge psychosociale (dont le harcèlement moral ou sexuel au travail) Suivi

Plus en détail

Commentaire. Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012. M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise)

Commentaire. Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012. M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise) Commentaire Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012 M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise) La Cour de cassation a renvoyé au Conseil constitutionnel le 18 novembre

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES

CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,

Plus en détail

Depuis dans leurs. La BCU. publics. les ouvrages nécessaires à. l'étude. non de. et assurerr. 1 art. 15 446.11)

Depuis dans leurs. La BCU. publics. les ouvrages nécessaires à. l'étude. non de. et assurerr. 1 art. 15 446.11) Lausanne, le 14..11.013 Politique de formation pour le public universitaire 1. Préambule Depuis plus d une dizaine d années,, la BCUL a développé des formations principalement destinées aux étudiants afin

Plus en détail

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS.

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS. Commission d accès à l information du Québec Dossier : 05 10 23 Date : 31 juillet 2006 Commissaire : M e Hélène Grenier X X Demandeurs c. MELOCHE MONNEX INC. (SÉCURITÉ NATIONALE CIE D ASSURANCE) Entreprise

Plus en détail

AVIS SUR L ACCÈS DES ENFANTS AYANT DES LIMITATIONS FONCTIONNELLES AUX SERVICES DE GARDE À L ENFANCE

AVIS SUR L ACCÈS DES ENFANTS AYANT DES LIMITATIONS FONCTIONNELLES AUX SERVICES DE GARDE À L ENFANCE Cat. 2.120-12.48 AVIS SUR L ACCÈS DES ENFANTS AYANT DES LIMITATIONS FONCTIONNELLES AUX SERVICES DE GARDE À L ENFANCE M e Claire Bernard, conseillère juridique Direction de la recherche et de la planification

Plus en détail

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication:

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication: OUTIL 9. LISTE NON-EXHAUSTIVE D EXEMPLES D ACTIONS DIVERSITÉ PAR DOMAINE RH [ OUTILS ] Ce document propose des pistes d action ainsi que des points d attention pour favoriser l égalité des chances au sein

Plus en détail

NTRODUCTION. Guide de gestion des ressources humaines

NTRODUCTION. Guide de gestion des ressources humaines NTRODUCTION Dans le contexte actuel où la main-d œuvre qualifiée se fait plus rare, où les employés connaissent leur valeur et sont mobiles, le modèle de gestion autoritaire n est plus approprié. De nos

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

DROIT AU DEREFERENCEMENT

DROIT AU DEREFERENCEMENT DROIT AU DEREFERENCEMENT Les critères communs utilisés pour l examen des plaintes Commission Nationale Informatique et Libertés - 8 rue Vivienne CS 30223-75083 Paris Cedex 02 Tél. : 01 53 73 22 22 - Fax

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3078 Conventions collectives nationales CABINETS D AVOCATS IDCC : 1000. Personnel

Plus en détail

Les médias sociaux en milieu de travail

Les médias sociaux en milieu de travail Les médias sociaux en milieu de travail M e Mélanie Morin, associée M e Josée Gervais, avocate Médias sociaux 2 Médias sociaux Travail Perte de temps Diffamation Vie privée Mesures displinaires Droits

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 2 Présentation et état d avancement du

Plus en détail

Plan stratégique 2013 2016

Plan stratégique 2013 2016 Plan stratégique 2013 2016 Siège social : 50, rue Sainte-Catherine Ouest, bureau 340, Montréal (Québec) H2X 3V4 www.equiterre.org Tél. 514 522-2000 sans frais 1 888 272-6656 téléc. 514 522-1227 info@equiterre.org

Plus en détail

RElATIONS publiques ENGAGÉES ATÉGIE OR STR NEST

RElATIONS publiques ENGAGÉES ATÉGIE OR STR NEST RelATIONS publiques engagées NESTOR STRATÉGIE NESTOR STRATÉGIE offre une gamme de services de relations publiques, inspirés par une vision moderne et dépoussiérée. Nos principaux clients sont les organisations

Plus en détail

Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut

Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut FÉVRIER 2014 Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut Le calendrier électronique vise à informer les entreprises des MRC des Laurentides et des Pays-d en- Haut sur les différentes

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89

Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Paris, le 12 janvier 2012 Décision du Défenseur des droits n MLD-2011-89 Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011 relative au Défenseur des

Plus en détail

LE TELEPHONE PORTABLE : LES MESSAGES SMS ou MMS Envoyez des messages ciblés à votre entourage afin d appeler à voter. LES AFFICHES Affichez-les sans tarder dans vos locaux syndicaux ou vos permanences

Plus en détail

Déléguée ou délégué : une fonction officielle

Déléguée ou délégué : une fonction officielle Déléguée ou délégué : une fonction officielle OCTOBRE 2007 Fédération des professionnelles et professionnels de l éducation du Québec (CSQ) site web: www.fppe.qc.ca ES-ND-0708-04 (6.3.2) La clause ou l

Plus en détail

Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction., président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS

Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction., président REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Le : 22/11/2011 Cour de cassation chambre criminelle Audience publique du 10 avril 1997 N de pourvoi: 96-83152 Publié au bulletin Rejet Président : M. Blin, conseiller le plus ancien faisant fonction.,

Plus en détail

Contact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires,

Contact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires, Édition du printemps 2012 Bulletin d information pour les partenaires de La Personnelle Chers partenaires, Comme annoncé en novembre dernier, notre équipe de la commercialisation a travaillé, au cours

Plus en détail

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Documentaliste radio «Documentaliste» APPELLATION(S) DU METIER Documentaliste en radiodiffusion DEFINITION DU METIER Le documentaliste radio exerce trois missions principales : > Il gère le fonds documentaire

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi [TRADUCTION] Citation : A. D. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 5 ENTRE : A. D. N o d appel : GE-13-1152 Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION

Plus en détail

Veille sociale au 12 septembre 2014

Veille sociale au 12 septembre 2014 ( Veille sociale au 12 septembre 2014 La veille sociale présentée dans cette revue actualise la veille présentée le mois dernier. Les sujets qui n ont pas évolué ne sont pas repris. ( I ) Projets sociaux

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.

Plus en détail

Protection des données et transparence dans le canton de Genève

Protection des données et transparence dans le canton de Genève Protection des données et transparence dans le canton de Genève MBA - MAS en Management de la sécurits curité des Systèmes d'information Haute Ecole de Gestion de Genève 7 juin 2011 Par Anne Catherine

Plus en détail

HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS

HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS HISTORIQUE DE LA POSITION FNEEQ SUR LES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS TABLE DES MATIÈRES PORTRAIT DU REGROUPEMENT DES ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS... 3 Situation de l emploi dans le regroupement privé... 3 La position

Plus en détail

FICHE OBLIGATIONS LEGALES

FICHE OBLIGATIONS LEGALES FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins

Plus en détail

Traçabilité et sécurité juridique Me Raphaël PEUCHOT, avocat, Ribeyre & Associés

Traçabilité et sécurité juridique Me Raphaël PEUCHOT, avocat, Ribeyre & Associés Traçabilité et sécurité juridique Me Raphaël PEUCHOT, avocat, Ribeyre & Associés 1. Définition et implications de la traçabilité en droit 2. La protection des données personnelles 3. La responsabilité

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

Type d'action REQUÊTE pour ordonnance spéciale fondée sur l'article 158 de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité. REJETÉE.

Type d'action REQUÊTE pour ordonnance spéciale fondée sur l'article 158 de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité. REJETÉE. EYB 2014-239422 Résumé Cour supérieure Villégiature du Lac Carling inc. (Proposition de) 500-11-041210-119 (approx. 8 page(s)) 3 juillet 2014 Décideur(s) Roy, Claudine Type d'action REQUÊTE pour ordonnance

Plus en détail

DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES

DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES AFFAIRE INTÉRESSANT : LES RÈGLES POUR LES COURTIERS MEMBRES DE L ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES

Plus en détail

Conditions d utilisation du service www.upcontact.com

Conditions d utilisation du service www.upcontact.com Conditions d utilisation du service www.upcontact.com Les présentes conditions d utilisation sont conclues entre les parties suivantes: - EXECUTIVE PARTNERS SOFTWARE, SARL au capital de 8 000 dont le siège

Plus en détail