Perception de l agro-écologie par les agriculteurs français 30 janvier 2015
|
|
- Jean-Michel Lavallée
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Perception de l agro-écologie par les agriculteurs français 30 janvier 2015 Florence GRAMOND Directrice du département Agriculture florence.gramond@bva.fr Tel :
2 Fiche technique de l étude 655 agriculteurs constituant un échantillon représentatif des agriculteurs professionnels français* Échantillon Echantillon de type raisonné : selon la méthode mixte 50% exploitation et 50% hectare avec un raisonnement du nombre d interviews par Activité pour permettre une lecture des résultats sur les activités spécialisées (viticulture, arboriculture/ maraichage, horticulture/ pépinières) Méthode des quotas : 8 régions et 6 activités d exploitation (classement INOSYS) -Source RGA 2010 Méthodologie Enquêtes réalisées par téléphone (système CATI) Questionnaire de 12 minutes environ Dates du sondage 18 décembre 2014 au 7 janvier *Source RGA : moyennes et grandes exploitations
3 Quelles démarches en lien avec l agro-écologie - les agriculteurs considèrent-ils avoir mis en place?
4 6 démarches en lien avec l agro-écologie ont été présentées aux agriculteurs «Pour chacune des démarches suivantes, dites-moi si votre exploitation s y est engagée par des choix de conduites ou d actions particulières?» % Oui, déclare réaliser Base : ensemble des agriculteurs (655) 76% 72% 62% 51% 41% 40% Limiter l utilisation d intrants Améliorer la qualité des sols, limiter l érosion Préserver les ressources en eau Favoriser le rôle de la faune auxiliaire Rechercher l autonomie en limitant les achats extérieurs Apporter plus de valeur ajoutée aux productions 4
5 Enseignements La quasi-totalité des agriculteurs français (93%) disent s être déjà engagés dans au moins une des 6 démarches présentées. Ils sont 72% à déclarer s être engagés dans au moins 3 de ces démarches.. et 10% à dire qu ils les ont toutes mises en oeuvre. La limitation des intrants et l amélioration de la qualité des sols : 2 démarches dans lesquelles plus de 7 agriculteurs sur 10 déclarent avoir engagé leur exploitation.. 5
6 72% des agriculteurs sont déjà engagés dans au moins trois démarches Parmi ceux ayant déclaré être engagés dans au moins 3 démarches, le recours à la faune auxiliaire concerne 76%. % Oui - Agriculteurs réalisant au moins 3 démarches (472) % Oui - Ensemble des agriculteurs (655) 92% 76% 72% 77% 62% 80% 51% 76% 54% 51% 41% 40% Limiter l utilisation d intrants Améliorer la qualité des sols, limiter l érosion Préserver les ressources en eau Favoriser le rôle de la faune auxiliaire Rechercher l autonomie en limitant les achats extérieurs Apporter plus de valeur ajoutée aux productions Q2. Pour chacune des démarches suivantes, dites-moi si votre exploitation s y est engagée par des choix de conduites ou d actions particulières? Réponse multiple; total > 100% 6
7 Y a-t-il des différences selon l activité principale de l exploitation? % Oui DEMARCHES DECLAREES ENGAGEES SELON LE TYPE D ACTIVITE Base : ensemble des agriculteurs (655) Grandes cultures Polyculture -élevage Elevage Viticulture Arbo / Maraichage Horti / Pépi n = 149 n = 156 n = 148 n = 79 n = 49 n = 74 Limiter l utilisation d intrants 76% 72% 77% 77% 82% 70% 69% Améliorer la qualité des sols, limiter l érosion Préserver les ressources en eau Favoriser le rôle de la faune auxiliaire 51% 62% 72% 73% 77% 64% 86% 71% 49% 62% 64% 56% 75% 72% 60% 52% 46% 43% 71% 82% 63% Rechercher l autonomie en limitant les achats extérieurs Apporter plus de valeur ajoutée aux productions 41% 40% 19% 53% 54% 28% 26% 29% 40% 30% 35% 62% 57% 65% 7 xx% xx% Significativement inférieur ou supérieur à la moyenne
8 Enseignements - La recherche de l autonomie est déclarée surtout en élevage. - Favoriser le rôle de la faune auxiliaire est une démarche davantage citée en Viticulture et en Arboriculture/Maraichage - Les viticulteurs d une manière générale se déclarent particulièrement impliqués dans les démarches présentées. 8
9 A quel(s) moyen(s) les agriculteurs ont-ils recours dans le cadre de ces démarches? 2 agriculteurs sur trois ont recours à des échanges d expériences et/ou des démarches collectives pour mettre en place ces démarches Base : ensemble des agriculteurs (655) Total >100% - Plusieurs réponses possibles Une ou des formations continues Aucun de ces moyens 33% 24% 67% Des échanges d expériences avec d autres agriculteurs et/ou à des démarches collectives: par exemple en suivant des réunions d informations, de démonstration, en participant à des projets innovants, etc Q3. Dans le cadre de ces démarches, avez-vous recours? 40% Des pratiques agricoles innovantes ou qui ne se font pas couramment : par exemple bio-contrôle, association de plusieurs cultures, maintien et plantation des haies, introduction de légumineuses, agroforesterie, etc Pas de différence suivant les démarches mises en place 9
10 Les agriculteurs souhaitent-ils s engager encore davantage dans ces démarches? 1 agriculteur sur 3 souhaite s engager encore davantage dans ces démarches liées à l agro-écologie Base : ensemble des agriculteurs (655) 7% ne sont pas engagés et ne le feront pas à l avenir 33% sont engagés dans des démarches et en feront davantage 1% ne sont pas engagés mais l envisagent Q2. Pour chacune des démarches suivantes, dites-moi si votre exploitation s y est engagée par des choix de conduites ou d actions particulières? Q4. Souhaiteriez-vous vous engager davantage ou non dans l une ou plusieurs démarches dont nous avons parlé? 61% sont engagés dans des démarches mais n en feront pas davantage 10
11 Sur quelles démarches souhaitent-ils s engager encore davantage? ENGAGEMENTS FUTURS DES AGRICULTEURS SUR LES DEMARCHES Base : ensemble des agriculteurs souhaitant s engager davantage (256) Total>100% Plusieurs réponses possibles Limiter l utilisation d intrants 39% Améliorer la qualité des sols, limiter l érosion 27% Rechercher davantage d'autonomie 19% Préserver les ressources en eau 18% Favoriser la faune auxiliaire 17% Apporter plus de valeur ajoutée aux productions Produire son énergie 6% 14% Q5. Dans quelle(s) démarche(s) en particulier souhaitez-vous vous engager (davantage) Réponse multiple; total > 100% Passer en culture BIO 5% Installer des pratiques agricoles innovantes 4% Protéger l'environnement, limiter la pollution 2% Autres 2% Ne sait pas 9% 11
12 Quels freins limitent le plus les agriculteurs à s engager davantage dans ces démarches? Investissements financiers, temps de travail supplémentaire et contraintes règlementaires : les plus cités dans les deux principaux freins Base : ensemble des agriculteurs (655) Cité parmi les deux plus importants Citations globales 10% citent d autres freins (ex : la complexité administrative, l arrivée en fin d activité, le désintérêt, ) 67% 67% 72% 64% 71% 67% 58% 48% 46% 31% 29% 27% 21% 20% 15% 11% 7% 7% 3% Investissements financiers trop importants Trop de temps de travail Contraintes réglemantaires Contraintes économiques de l'activité Soulève trop d'incertitudes sur le résultat économique Charges supplémentaires trop importantes Manque d'aides publicques incitatives Contraintes naturelles Avoir certaines connaissances Aucun frein + Viticulture : 82% 12
13 13 Les agriculteurs connaissent-ils l agroécologie?
14 Les agriculteurs ont-ils entendu parler de l agro-écologie et quel intérêt lui portent-il? Un agriculteur sur deux déclare avoir entendu parler de l agro-écologie, double ou triple performance. PAR QUELS MOYENS? Base : ensemble des agriculteurs qui connaissent (317) Base : ensemble des agriculteurs (655) Sous Total Presse 76% 50% ont déjà entendu parler d «agro-écologie» ou de «double ou triple performance» Presse spécialisée agricole Presse généraliste Réseau de conseil et développement agricole Collègues agriculteurs Internet Fournisseurs, distributeurs, coopératives Syndicats agricoles 17% 35% 30% 25% 22% 18% 71% Elus (maires, députés, ) Autres 8% 8% 14
15 Les agriculteurs ont-ils le sentiment d être engagés dans une démarche d agro-écologie? 45% des agriculteurs considèrent être déjà engagés dans une démarche d agro-écologie et 13% envisagent de le faire. Base : ensemble des agriculteurs (655) 45% se sentent déjà engagés dans une démarche agroécologie + Converti en agriculture bio : 82% 42% ne se sentent pas engagés dans une démarche agro-écologie et ne pense pas s y engager 4,1 démarches déjà engagées 2,6 démarches déjà engagées Q11. L agro écologie est une démarche de conduite de l exploitation combinant performance économique et environnementale, en mobilisant les pratiques citées. Diriez-vous que votre exploitation est déjà engagée dans une démarche agro-écologie? Si non, envisagez-vous de vous y engager d ici 5 ans? 13% envisagent de s engager dans une démarche agro-écologie + Moins de 35 ans : 31% 3,6 démarches déjà engagées 15
16 Les démarches d agro-écologie mises en place 93% des agriculteurs déclarent mettre en place au moins une démarche touchant à l agroécologie. Limiter les intrants (76%), améliorer la qualité des sols et limiter l érosion (71%) sont les démarches les plus citées comme mises en application. 2/3 des agriculteurs favorisent les échanges d expériences avec d autres agriculteurs et/ou la participation à des démarches collectives pour mettre en place telle ou telle démarche. La mise en œuvre de pratiques agricoles innovantes ou peu courantes arrive en deuxième position. Un tiers des agriculteurs souhaitent s engager encore davantage en particulier sur la limitation des intrants et l amélioration de la qualité des sols Les freins qui limitent l engagement portent avant tout sur les investissements financiers jugés trop importants (31% le citent en 1 er ), puis sur le temps de travail demandé (29%) et ensuite sur les contraintes règlementaires auxquelles ils doivent faire face (27%). L agro-écologie Un agriculteur sur deux affirme avoir entendu parler de l agro-écologie ou double ou triple performance. La presse a été pour 71% d entre eux le principal support d information. 45% des agriculteurs qui ont entendu parler de l agro écologie se disent intéressés par cette démarche. Soit au total 22% des agriculteurs français qui connaissent et sont intéressés. Une petite moitié (45%) a le sentiment d être déjà engagée dans ce type de démarche. 42% ont le sentiment contraire alors qu ils font déjà des choses mais sans pour autant associer leur démarche à l intitulé «agro-écologie». 13% envisagent de le faire dans les 5 prochaines années.les moins de 35 ans sont deux fois plus nombreux à avoir cette intention. 16
17 Département Agriculture Merci! 17
Barème simplifié des cotisations d'assurances sociales agricoles applicables à compter du 1er novembre 2012
Cultures spécialisées, producteurs de plantes médicinales 3,15% TOTAL des TAUX 22,96% 44,16% 5,63% TESA >> Ligne E 20,102% n'ayant pas atteint l'ancienneté requise pour bénéficier de la Complémentaire
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailLes Français et la nature
Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie
Plus en détailIndex alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation.
Index alphabétique Commission permanente du 09/09/2005 Index alphabétique Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Accompagnement
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailAnalyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique :
Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : des motivations à la réalisation des travaux Le contexte Suite au Grenelle de l Environnement, l Etat
Plus en détailLA COMPTABILITE PATRIMONIALE. des milieux naturels et culturels : des différences mais une logique de base
LA COMPTABILITE PATRIMONIALE des milieu naturels et culturels : des différences mais une logique de base Des travau s'engagent, depuis quelques années, pour élaborer des comptabilités patrimoniales et,
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailSondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise
Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Un sondage exclusif mené par l Ins6tut Think pour 29/01/13 - Sondage «Les Français & l esprit d entreprise» mené par l Institut Think pour l APCE
Plus en détailNotoriété et perception de l IAE
Sondage grand public Notoriété et perception de l IAE Avril 2009 Sondage AVISE réalisé par Opinionway pour le compte de la Caisse des dépôts, le CNAR IAE, le CNIAE et la DGEFP. Méthodologie L échantillon
Plus en détailService de l agriculture
Yves Brunelli (Y.B.) Service de l agriculture Département de l économie, de l énergie et du territoire Service de l agriculture Departement für Volkswirtschaft, Energie und Raumentwicklung Dienststelle
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailARRETE Arrêté du 9 juin 2009 portant habilitation à délivrer des masters dans les établissements habilités à délivrer le diplôme d ingénieur
Le 21 février 2011 ARRETE Arrêté du 9 juin 2009 portant habilitation à délivrer s masters dans les établissements habilités à délivrer le diplôme d ingénieur NOR: ESRS0831506A Version consolidée au 23
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailLes Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding
Sondage exclusif Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding Un sondage exclusif mené par l Institut Think pour Sondage «Les Français, leurs entrepreneurs et le crowdfunding» mené par l Institut
Plus en détail2014-2015 AUBE CCI CHAMPAGNE ARDENNE
2014-2015 CCI CHAMPAGNE ARDENNE TERRITOIRE ET POPULATION Aube Superficie totale : 6 004 km², soit 23,4 % de l espace régional Superficie agricole utilisée : 372 211 ha Superficie bois et forêts : 148 821
Plus en détailEnquête CTIP/CREDOC. 22 février 2008 L OPINION DES SALARIÉS ET DES EMPLOYEURS SUR LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET LES RÉFORMES DE L ASSURANCE MALADIE
Enquête CTIP/CREDOC L OPINION DES SALARIÉS ET DES EMPLOYEURS SUR LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ ET LES RÉFORMES DE L ASSURANCE MALADIE 22 février 2008 www.ctip.asso.fr Sondage auprès de 1000 salariés et 300 employeurs
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailRéforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014
Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailL image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures
L image de la presse professionnelle auprès des actifs de catégories moyennes et supérieures Sondage Ifop pour la Fédération nationale de la presse spécialisée Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailSanté des TPE face à la crise
Santé des TPE face à la crise Etude quantitative RAPPORT - Juin 2012 Version n 1 De: Nadia Auzanneau et Stéphanie Chardron A : Sylvie du Cray-Patouillet et Delphine Eriau OpinionWay, 15 place de la République,
Plus en détailDemande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS
411-CVDL-2015-07-01 Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS Type d Opération 4.1.1 du Programme de Développement Rural CENTRE - VAL
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailDes arbres en agriculture
La Société Botanique de France et l'association Française d'agroforesterie présentent Des arbres en agriculture L'agroforesterie au coeur des enjeux contemporains Photo : Afaf vendredi 20 mars 2015 samedi
Plus en détailProjet «Typologie des systèmes d exploitation agricole»
Projet «Typologie des systèmes d exploitation agricole» Le projet mutualisé "Références systèmes", conduit dans le cadre des chantiers "Terres d'avenir", a prévu d'amplifier la mutualisation dans le domaine
Plus en détailVEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale
VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale VEGEPOLYS, pour qui? 4000 entreprises en région appartenant à 8 filières et représentant 25 000 emplois 420 Chercheurs et techniciens 250 Adhérents 2500
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailFévrier 2013. Sondage sur les français et leur pharmacie. Date : 05 mars 2013 OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Tél : 01 78 94 90 00
Sondage sur les français et leur pharmacie Février 2013 Date : 05 mars 2013 OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Tél : 01 78 94 90 00 Toute publication totale ou partielle doit impérativement
Plus en détailBaromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises
dxhnfjkmdqsjkfgvw Baromètre Ciel de la Création et de l Informatisation des Petites Entreprises Paris, le 05 mai 2010 Pour la 3ème année consécutive, Ciel, N 1 français des logiciels de gestion pour petites
Plus en détailProjet. Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs
Projet Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs Brève présentation des partenaires des régimes de sécurité sociale pour la Conférence européenne
Plus en détailParc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme. Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon
Parc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon Sommaire 1. Retour sur le processus de création du programme 2. Présentation
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailRésultats de l enquête EPCI
Sondage Résultats de l enquête EPCI Intitulé du sondage : Les EPCI françaises et Internet Intranet, Extranet Référence : 02SD421 Destinataire(s) : Répondants à l enquête Version : 1.0 Date : Octobre 2002
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailN abandonnons pas notre héritage commun.
N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailModalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014
Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher
Plus en détailL influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier. réalisée par
L influence des medias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un partenaire financier Etude réalisée par Médias sociaux L influence des médias sociaux auprès des entreprises dans le choix d un
Plus en détailCréer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :
S informer et agir! Créer une AMAP Qu'est-ce que c'est? L'AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (marque déposée), dont l'objet principal est de "mettre en lien paysans et
Plus en détailÉtude réalisée auprès d un échantillon de 1009 personnes, représentatif de la population des internautes français âgés de 18 ans et plus.
Méthodologie Étude réalisée auprès d un échantillon de 1009 personnes, représentatif de la population des internautes français âgés de 18 ans et plus. L échantillon a été constitué selon la méthode des
Plus en détailCe qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise
Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailLe dispositif de portage foncier du Conseil Général d Ille-et-Vilaine faciliter l installation des «hors cadres familiaux»
S inspirer Le dispositif de portage foncier du Conseil Général d Ille-et-Vilaine faciliter l installation des «hors cadres familiaux» Les expériences Fiche 16 Dans ce département breton à dominante «polyculture-élevage»,
Plus en détailLes Français, le Made in France et le fait main
Les Français, le Made in France et le fait main Septembre 2011 Résultats A Méthodologie page 2 Méthodologie Étude réalisée auprès d un échantillon de 1028 personnes, représentatif de la population française
Plus en détailENTREPRISES FAMILIALES VITICOLES DE COGNAC (FRANCE, 1997-2005)
BNDES, Rio de Janeiro, 23 octobre 2009. Colloque Sécurité alimentaire et sécurité énergétique : stratégies d expansion de la production d aliments et d agrocarburants en Europe et au Brésil. SESSION n
Plus en détailRapport national d enquête Pays: France
RESPONS Responsible Skills Alliance for Sustainable Management of Small Hotels and Restaurants 539920-LLP-1-2013-1-BG-LEONARDO-LMP Rapport national d enquête Pays: France SOMMAIRE : Chapitre 1 : la base
Plus en détailLe contrat de prévention : plus de sécurité, plus de compétitivité
vous guider Le contrat de prévention : plus de sécurité, plus de compétitivité n Aide financière - Santé-Sécurité au Travail www.msa.fr Le contrat de prévention : une réponse à vos attentes Vous avez conscience
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailRéunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire.
Le lundi 28 octobre 2013 à 20h00, réunion du Conseil Municipal suivant convocation du 18 octobre 2013 remise ou envoyée aux conseillers municipaux et affichée ce même jour en mairie. Ordre du jour : -
Plus en détailETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL
ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015
DOSSIER DE CANDIDATURE FORMATION BPREA / Session 2014-2015 NOM : PRENOM :.. TELEPHONE FIXE :.. PORTABLE : PHOTO EMAIL : ADRESSE :.. CP : VILLE :. DATE DE NAISSANCE LIEU :.. Dpt :.. Personne à contacter
Plus en détailLes Français et le don d organes
Les Français et le don d organes Rapport Version n 2 Date : 8 Février 2011 De: Nadia AUZANNEAU et Stéphanie CHARDRON A: Jean-Pierre SCOTTI et Saran SIDIBE OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris.
Plus en détail1 ER COLLOQUE RÉGIONAL EN SUD LUBERON UNE AUTRE ÉCONOMIE S INVENTE ICI Développement des territoires et nouvelles formes d économie
Nos financeurs 1 ER COLLOQUE RÉGIONAL EN SUD LUBERON UNE AUTRE ÉCONOMIE S INVENTE ICI Développement des territoires et nouvelles formes d économie Ce colloque régional, organisé le 13 avril à Val Joanis
Plus en détailLe Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale
Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailCompte-rendu de la réunion de Duclair
Mai / Juin 2013 Cafés du SCoT Discussions autour du Document d Orientation et d Objectifs (DOO) Compte-rendu de la réunion de Duclair La Communauté de l Agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA) poursuit
Plus en détailLa Population des Exploitants agricoles en 2011
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailPour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie
Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?
Plus en détailLE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS
LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en
Plus en détailUn lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard)
Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) FICHES 01 Expériences Depuis quelques années, grâce à l engagement de la mairie, la cantine scolaire de Barjac compose ses
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailM 1412. Secrétariat du Grand Conseil
Secrétariat du Grand Conseil M 1412 Proposition présentée par les députés: M mes et MM. Nelly Guichard, Luc Barthassat, Claude Blanc, Hubert Dethurens, Henri Duvillard, Pierre Marti, Etienne Membrez, Michel
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailMieux comprendre vos cotisations sur salaires
vous informer Mieux comprendre vos cotisations sur salaires n à compter du 1 er janvier 2014 Employeurs de main-d'oeuvre 09 69 36 60 52 MSA Marne Ardennes Meuse www.msa085155.fr www.msa085155.fr ASSISTANCE
Plus en détailFERME ECOLE AGRO-ECOLOGIQUE KAYDARA
JARDINS D'AFRIQUE Villa 255 Zone résidentielle MBOUR SENEGAL BP 1846 Tél 957 03 52/ 634 76 04 Email : jardins.afrique@free.fr FERME ECOLE AGROECOLOGIQUE KAYDARA «Viens à l école de la vie» KER SAMBA DIA
Plus en détailpour filles indigènes et rurales au Guatemala Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés. Résultat social du projet
Système communautaire pour filles indigènes et rurales au Guatemala "Les femmes portent la moitié du ciel" "Une éducation pour la transformation sociale" Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés.
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailProtocole sur les principes de constructibilité en zone agricole
Protocole sur les principes de constructibilité en zone agricole PREFECTURE DE L EURE Avant propos pour la préservation du potentiel agricole eurois L agriculture est une composante majeure de l activité
Plus en détailObservatoire des politiques publiques :
Observatoire des politiques publiques : Les Français et l économie sociale et solidaire Sondage Ifop pour Acteurs Publics Contact Ifop : Damien Philippot Directeur des Etudes Politiques Département Opinion
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailI. PRÉSENTATION DE L E.S.A.T.
E.S.A.T. «les Ateliers du Val de Sournia» Hameau du Puigt 66730 sournia I. PRÉSENTATION DE L E.S.A.T. L E.S.A.T. «les Ateliers du Val de Sournia» est un Établissement et Services d Aide par le Travail,
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailAfin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :
D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.
Plus en détailL évaluation des biocides à l Anses
L évaluation des biocides à l Anses Catherine Gourlay-Francé Direction des produits réglementés 23 juin 2015 L Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Plus en détailBaromètre sur le financement et l accès au crédit des PME
Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014
N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande
Plus en détailFiche d évaluation des actions conduites par les partenaires
Fiche d évaluation des actions conduites par les partenaires Chaque partenaire relais d une agence de l eau est invité à compléter cette fiche d évaluation à l issue des manifestations (réunions, expositions,
Plus en détailSimul actif : débat au conseil pédagogique : «quelles évolutions de nos formations par rapport aux enjeux énergétiques et environnementaux actuels?
Simul actif : débat au conseil pédagogique : «quelles évolutions de nos formations par rapport aux enjeux énergétiques et environnementaux actuels?» Objectifs : 1) simuler un jeu d acteur possible sur
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détail