«Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale»

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1 «Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale» A) Introduction Né sur les ruines de la Deuxième guerre mondiale, le Conseil de l Europe a, depuis le Traité de Londres, défini ses objectifs fondamentaux en réaction aux idéologies totalitaires de la première moitié du XXème siècle ainsi qu à leurs corolaires d intolérance, de division, d exclusion, de haine et de discriminations et mentionné la «préservation de la société humaine et de la civilisation». Les valeurs défendues par le Conseil de l Europe : démocratie, respect des droits de l Homme et importance d un Etat de droit s inscrivent dans une perspective préventive post holocauste qui garantit la construction d une société européenne s'efforçant d'apprendre à vivre dans le respect de l'égale dignité de chacun grâce, entre autre, au dialogue interculturel. Depuis 1954, la Convention culturelle européenne a mis l accent sur l importance d enseigner l histoire de ces différents membres dans sa dimension européenne afin de favoriser la compréhension mutuelle. C est dans le cadre du projet «Histoire de l Europe au XXe siècle» que la thématique de l Holocauste a trouvé sa place en réponse au premier forum international sur la Shoah de Stockholm en En 2001, la Journée de la mémoire de l Holocauste et de prévention des crimes contre l humanité a été instaurée par le Conseil de l Europe (Recommandation CM 2001(15). L Holocauste est un événement sans précédent dans l Histoire de l Humanité. Pour cette raison, la prévention des crimes contre l humanité implique la connaissance de cet événement majeur du XXe siècle. Jusqu en 2010, le projet s est concentré sur le milieu scolaire, plus particulièrement le secondaire, en l abordant dans une perspective pluridisciplinaire. B) Du projet «Enseignement de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité» au programme transversal : une approche nouvelle a) au niveau institutionnel Le nouveau programme développera sa transversalité à travers l Organisation, en priorité dans les secteurs qui relèvent de la compétence de la Direction Générale IV : Education, Culture et Patrimoine, Jeunesse ;

2 b) au niveau thématique et didactique La transversalisation du programme facilitera la réflexion sur les thèmes suivants : Comment améliorer l enseignement sur et à partir de l Holocauste en dehors des murs de l école? Pourquoi consacrer une place si importante à la transmission de la mémoire de l Holocauste en dehors du milieu scolaire? Quelle information de base offrir à des publics cibles nombreux et variés pour assurer la transmission de la mémoire de l Holocauste? Comment utiliser l approche diachronique pour faire prendre conscience de l importance de la culture et du patrimoine humain, spirituel et matériel détruits par l Holocauste? Ainsi par exemple, l itinéraire culturel européen du patrimoine juif et l itinéraire de la culture et du patrimoine des Roms du Conseil de l Europe sont une entrée pour développer les connaissances positives sur un héritage culturel européen irrémédiablement mis en péril ; Comment utiliser l approche transversale pour aider à prévenir les crimes contre l humanité, ouvrir de nouvelles perspectives dans la compréhension de l Holocauste, et lutter contre sa banalisation ; Enrichir et diversifier les méthodes didactiques diverses et variées (utilisation des films de fiction, témoignages de survivants, visites de lieux authentiques de mémoire) en utilisant les arts (musique, littérature, théâtre) qui offrent des vecteurs attrayants de transfert de savoir et de savoir être au monde. c) les groupes cibles Jusqu en 2010, les groupes cibles étaient essentiellement les enseignants et formateurs européens et à travers eux leurs élèves. A partir de 2011, la transmission de la mémoire de l Holocauste sera élargie à d autres groupes cibles appartenant aux domaines de la culture, du patrimoine et de la jeunesse. Quelques exemples de nouveaux groupes cibles prioritaires : Education : enseignement primaire et supérieur ; Jeunesse : mouvements de jeunesse et association de jeunes ; Culture : acteurs et administrateurs culturels, réseau d intellectuels et d universitaires ; Patrimoine : guides touristiques et médiateurs culturels de musées et mémoriaux, en particulier dans le cadre des itinéraires culturel européen du patrimoine juif et de la culture et du patrimoine des Roms du Conseil de l Europe ; 2

3 C) Le nouveau programme «Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale» a) Au sein de la Direction Générale de l éducation, de la culture et du patrimoine, de la jeunesse et du sport Enseignement scolaire A partir de l expérience acquise dans le cadre de l enseignement secondaire, il s agira de développer des modules et du matériel pédagogique pour les enseignements du primaire qui pourra également servir à d autres utilisateurs. Les formations pour enseignants du secondaire seront poursuivies en 2011, en tenant compte de l offre des Etats et des possibilités financières pour les réaliser. En 2011, l'agence Européenne des Droits Fondamentaux (FRA) et le Conseil de l'europe organiseront un événement, réunissant enseignants et étudiants afin de recevoir des commentaires sur des résultats spécifiques résultant des projets du Conseil de l'europe et de la FRA en vue de renforcer le dialogue sur l'holocauste, la prévention des crimes contre l humanité et l éducation aux droits de l'homme. Enseignement para scolaire (visite des lieux de mémoire notamment) Les activités para scolaires dans l e domaine de l enseignement de l Holocauste sont en général surtout consacrées aux visites de mémoriaux, de lieux authentiques de mémoire, aux voyages scolaires, ou à la participation à des événements artistiques. L ouvrage du Conseil de l Europe «European Pack on Visiting Auschwitz Birkenau Memorial and Museum, guidelines for educators and teachers», (préparé en étroite coopération avec le Musée d Auschwitz, le Centre International pour l enseignement sur Auschwitz et l Holocauste, et le Ministère de l éducation de Pologne) constitue un excellent outil de travail et de réflexion utile non seulement aux enseignants mais aussi aux guides, aux médiateurs culturels des mémoriaux, aux leaders des mouvements de jeunesse. Des présentations publiques et des formations à partir de cet ouvrage seront planifiées au courant Des synergies seront recherchées en matière de promotion de matériel pédagogique avec, notamment, l Agence des Droits Fondamentaux. 3

4 Enseignement supérieur Au niveau international, une réflexion sera menée sur la situation actuelle de l enseignement de l Holocauste au niveau de l enseignement supérieur. Cette question est importante car si l enseignement de l Holocauste a été développé au niveau des curricula obligatoires et optionnels au niveau secondaire, en revanche les professeurs se sont souvent trouvés dans la situation de ne pas avoir été formés à l université avant de devoir enseigner ce sujet. C est encore plus le cas pour les enseignants les plus âgés qui n ont pas eu accès, dans leur propre cursus scolaire secondaire, à des cours sur l Holocauste. Un travail en réseau et en coopération avec un certain nombre d universités «pilotes» européennes (qui ne proposent pas d enseignement sur «l Holocauste et la prévention des crimes contre l Humanité») pourrait être mis en place pour réfléchir à une stratégie globale de développement de ce type d enseignement. Jeunesse La transmission de la mémoire de l Holocauste et la prévention des crimes contre l humanité va de pair avec le projet de promotion des valeurs fondamentales du Conseil de l Europe et de réflexion sur le vivre ensemble dans des sociétés plurielles, par la promotion du dialogue interculturel. Un événement devrait être organisé par le Conseil de l Europe permettant de rendre le premier hommage européen aux «Justes parmi les Nations» et d y associer la jeunesse européenne ; ainsi, la transmission des valeurs fondamentales de l Organisation, mais aussi la notion de refus de l indifférence, et les principes de solidarité seraient mis en exergue ; L éducation informelle par l intermédiaire des mouvements de jeunesse, des associations de jeunes et des ONG spécialisées sera encouragée par la promotion de cadres de ces nouveaux publics cibles sur la transmission de l Holocauste et la prévention des crimes contre l humanité, adaptées aux besoins spécifiques de ces nouveaux vecteurs ; Une attention particulière sera portée à la lutte contre le négationnisme et le révisionnisme de l Holocauste. Des formations Ad Hoc d éducateurs pourraient être mises en place pour répondre aux attitudes des adolescents fragiles qui sont à la recherche de leur identité et risquent d être influencés par des discours démagogiques d exclusion ou fascinés par l horreur de l Holocauste ; 4

5 Une réflexion devra être menée sur l utilisation des nouveaux moyens de communication à fort impact sur les dernières générations, en particulier pour le réseautage et la transmission par le vecteur des «multiplicateurs». Cela améliorera la visibilité des actions du Conseil de l Europe en direction de la jeunesse sur ce sujet. Culture Dans le cadre du programme transversal, la transmission de la mémoire de l Holocauste fera appel à des vecteurs artistiques déjà énoncés (musique, théâtre, peintures ) mais contribuera en particulier à faire revivre le patrimoine culturel matériel et immatériel, juif et Rom, détruit par l Holocauste. Ainsi, la vie des communautés juives et Roms avant le Nazisme constitue un sujet fondamental à faire connaître afin de ne pas limiter la transmission à l annihilation et aux persécutions mais de mettre en valeur l apport de ces communautés aux pays dans lesquels elles vivaient ; Il pourrait s agir d organiser, en coopération avec les Itinéraires Culturels Européens, des ateliers de formations pour les voyagistes culturels, les guides touristiques, les médiateurs culturels et les enseignants qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur le voyage comme vecteur de transmission de la mémoire de l Holocauste ; Un projet d itinéraire culturel européen des lieux de mémoire de l Holocauste et du génocide Rom (Samudaripen) pourra être envisagé dans le cadre de coopération avec les chercheurs et institutions ayant mis en place un réseau dans le cadre de la Task Force Internationale pour la mémoire de l Holocauste (ITF) ; Les Journées européennes du Patrimoine (avec le soutien de l Union Européenne) pourraient être intéressées par ce programme ; Dans la mesure du possible, le programme transversal explorera les possibilités de mettre en valeur le patrimoine culturel linguistique de la langue Romani et du Yiddish - qui a quasiment disparu pendant l Holocauste au travers d actions en lien avec la transmission de la mémoire de l Holocauste, par exemple en coopération avec le Centre Européen pour les langues vivantes de Graz ; Dans le cadre de la mise en place prévue d un réseau académique Rom européen (projet joint entre l Union Européenne et le Conseil de l Europe), des synergies concrètes pourront être mises en place afin de sensibiliser la communauté Rom à son histoire et à sa culture (dont le génocide Rom), et de valoriser l apport des Roms à la culture européenne, par le truchement de ses intellectuels et universitaires, en synergie avec l itinéraire culturel Rom et l enseignement supérieur. 5

6 b) Coopération internationale Sur un plan externe, outre le Mémorandum de coopération signé avec la Task Force Internationale pour la mémoire de l Holocauste (ITF), de nouveaux partenariats avec des acteurs institutionnels et non gouvernementaux des domaines de la culture, du patrimoine et de la jeunesse seront à mettre en place dans les années à venir ; Des actions conjointes seront mises en œuvre pour des projets spécifiques avec les autres organisations internationales qui développent également des programmes en la matière : Union Européenne : apporter le savoir-faire et l expertise du Conseil de l Europe et participer à certaines activités dans le cadre de la préservation et de la promotion de la mémoire (y compris dans le programme «Europe for Citizens») et plus particulièrement des «Town Twinnings» ; Agence des Droits Fondamentaux (FRA) : coopérer à une évaluation, prévue en 2012, des activités de la FRA et du Conseil de l'europe dans le domaine de l'holocauste et les droits de l homme, menées au cours des 4 années. L'évaluation est réalisée en vue de renforcer le réseau de multiplicateurs et de la création de nouveaux groupes impliqués dans l'holocauste et des droits de l'homme, avec un accent particulier sur les enseignants et les jeunes ; Unesco et Nations Unies : créer un lien internet réciproque pour faire connaître le programme «Mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité» et les publications ; OSCE/ODHIR : mettre à jour le site internet qui a été élaboré conjointement par le Conseil de l Europe et cette Organisation ; Des musées et mémoriaux ou organisations impliqués dans la transmission de la mémoire de l Holocauste seront entre autres partenaires du nouveau programme transversal : Yad Vashem, Auschwitz Birkenau Memorial and Museum, The International Center for Education about Auschwitz and the Holocaust, Topographie de la Terreur, Musée Mémorial des Combattants des Ghettos, Yad Layeled, Anne Franck House, Centre Culturel et de Documentation des Sinti et Roms, Musée d Histoire de la Culture Rom, Jasenovac Memorial 6

7 Annexe Programme de travail entre le Conseil de l Europe et le Mémorial de la Shoah 1 Dans le cadre du développement de la coopération existante entre le Mémorial de la Shoah et le Conseil de l Europe sur les thèmes de la transmission de la mémoire de l Holocauste et de la prévention des crimes contre l humanité, les orientations en vue d une transversalisation de ces activités au sein de plusieurs domaines de compétence du Conseil de l Europe sont ici présentées. Le Mémorial de la Shoah intervient comme consultant pour la mise en œuvre de certaines activités, mettant ses ressources et son expertise à la disposition du Conseil de l Europe. Le plan d action, correspondant à différents domaines d activités de la Direction Générale IV du Conseil de l Europe, s appuie sur trois axes principaux : A. FORMATIONS ET PROGRAMMES DE SENSIBILISATION Ils seront menés selon 3 principes distincts et adaptés à des publics, aux besoins et activités divers : a) Un séminaire annuel au Mémorial de la Shoah à Paris pour formateurs d enseignants et enseignants des Etats signataires de la Convention Culturelle Européenne, dans un objectif d acquisition des savoirs scientifiques, de mise en œuvre des pratiques pédagogiques et d échange des expériences européennes. Ces formations se dérouleront en français ou en anglais, le cas échéant dans d autres langues, selon les modalités décrites ci-après. Les formations comporteront des séances plénières avec pour thématiques, par exemple : les Juifs d Europe avant la Seconde Guerre mondiale ; la Shoah, entre histoire et mémoire ; de l antijudaïsme à l antisémitisme ; l idéologie nazie ; les étapes de la destruction des Juifs d Europe ; les victimes du nazisme : tentative de typologie des politiques de répression nazies ; les persécutions contre les Roms pendant la Seconde Guerre mondiale ; génocides et crimes contre l humanité ; analyses juridiques, histoire des génocides du XXème siècle ; approches comparées des génocides ; le négationnisme. 1 Suite à la réunion de travail tenue à Paris le 29 octobre

8 Dans les groupes de travail, où l aspect pédagogique sera privilégié, on abordera, entre autres : enseigner sur les lieux de mémoire «Le camp d Auschwitz : histoire et représentations» ; les photos, documents d archives et de témoignage comme outils pédagogiques ; la Shoah à travers le cinéma (complété le cas échéant par une séance au cours d une des soirées de l atelier) ; Littérature et Shoah ; la philosophie à l épreuve de la Shoah : propositions et mise en activité autour du thème de la violence extrême et de ses interprétations ; le crime nazi à l Est : histoire et traces. L exemple de Babi Yar ; les photos, les œuvres d art, documents d archives et de témoignage comme outils pédagogiques ; selon les cas, Enseigner la Shoah aux jeunes enfants ; le témoignage du rescapé en classe ; enjeux de l enseignement de la Shoah ; l enseignement de la Shoah dans les classes multiculturelles ; l enseignement de la Shoah pour des élèves attirés par les discours de violence néo-nazie ; le patrimoine matériel et immatériel juif de Paris, avant, pendant et après la Shoah. Les formations comprendront également : par exemple, une visite du Mémorial de la Shoah, et une présentation de ses ressources ; une visite de l exposition temporaire du Mémorial de la Shoah, une visite du Musée d Art et d Histoire du Judaïsme, une visite du Centre d Histoire et de Documentation de Drancy, une visite du Centre de Documentation FNASAT Gens du Voyage, et le témoignage d un survivant. Une session des ateliers sera à chaque fois consacrée aux persécutions contre les Roms. Les publications relatives à ces thématiques, en particulier celles du Mémorial de la Shoah et du Conseil de l Europe, seront présentées aux participants. b) 2 séminaires annuels (dans la mesure où les budgets seront disponibles) dans différents Etats membres, en priorité d Europe Centrale et Orientale, des Balkans, la Fédération de Russie, l Ukraine, l Arménie, la Géorgie, l Azerbaïdjan, la Turquie, pour les représentants de l éducation formelle et informelle, en ciblant associations et corps de métiers pour lesquels le thème revêt une importance sur le plan historique comme éthique, en particulier : - les représentants et membres d organisations de jeunesse, - les formateurs d écoles de journalisme et professionnels des média, - les guides touristiques et médiateurs culturels, etc. En coopération, le cas échéant, avec les responsables des bureaux du Conseil de l Europe dans les pays concernés. Les séminaires pourront se dérouler en deux temps : une partie dans le pays concerné, une autre dans les locaux du Mémorial de la Shoah. 8

9 B. EVENEMENTS SCIENTIFIQUES ET CULTURELS Participation à la mise en œuvre d un colloque annuel sur une thématique d actualité de la transmission de la mémoire de la Shoah, avec des participants de haut niveau des pays signataires de la Convention culturelle européenne ; Présentation de grandes expositions au Conseil de l Europe à l occasion du 27 janvier. Le Mémorial de la Shoah propose chaque année deux à trois nouvelles grandes expositions. Certaines de celles-ci pourront faire l objet d une présentation dans les locaux du Conseil de l Europe. Série de conférences annuelles (projections-débat, etc.) ou de vidéoconférences organisées en partenariat avec les bureaux d information du Conseil de l Europe. C. MATERIEL PEDAGOGIQUE ET PUBLICATIONS Participation à l élaboration de matériel pédagogique sur la Shoah, à destination des enseignants. Cette mallette, à visée européenne, contiendra des supports papier et multimédia et devrait contenir des parties adaptées aux pays récipiendaires. Participation à la création d un kit d information sur la Shoah à destination du monde associatif, modulable en fonction des différents publics (organisations de jeunesse, ONG antiracistes, etc.). Etablissement de liens réciproques sur les portails internet et du Mémorial de la Shoah et ceux du Conseil de l Europe et donnant accès aux divers produits pédagogiques. Diffusion et adaptation en plusieurs langues du guide d Auschwitz du Mémorial de la Shoah pour enseignants ainsi que du «European Pack on visiting Auschwitz-Birkenau Memorial and Museum : guidelines for teachers and educators» du Conseil de l Europe. Organisation de réunions de chercheurs et pédagogues sur des thèmes novateurs en matière d enseignement de la Shoah, de prévention des crimes contre l humanité et de lutte contre le racisme et l antisémitisme. 9

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