«Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale»
|
|
- Corentin Brosseau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale» A) Introduction Né sur les ruines de la Deuxième guerre mondiale, le Conseil de l Europe a, depuis le Traité de Londres, défini ses objectifs fondamentaux en réaction aux idéologies totalitaires de la première moitié du XXème siècle ainsi qu à leurs corolaires d intolérance, de division, d exclusion, de haine et de discriminations et mentionné la «préservation de la société humaine et de la civilisation». Les valeurs défendues par le Conseil de l Europe : démocratie, respect des droits de l Homme et importance d un Etat de droit s inscrivent dans une perspective préventive post holocauste qui garantit la construction d une société européenne s'efforçant d'apprendre à vivre dans le respect de l'égale dignité de chacun grâce, entre autre, au dialogue interculturel. Depuis 1954, la Convention culturelle européenne a mis l accent sur l importance d enseigner l histoire de ces différents membres dans sa dimension européenne afin de favoriser la compréhension mutuelle. C est dans le cadre du projet «Histoire de l Europe au XXe siècle» que la thématique de l Holocauste a trouvé sa place en réponse au premier forum international sur la Shoah de Stockholm en En 2001, la Journée de la mémoire de l Holocauste et de prévention des crimes contre l humanité a été instaurée par le Conseil de l Europe (Recommandation CM 2001(15). L Holocauste est un événement sans précédent dans l Histoire de l Humanité. Pour cette raison, la prévention des crimes contre l humanité implique la connaissance de cet événement majeur du XXe siècle. Jusqu en 2010, le projet s est concentré sur le milieu scolaire, plus particulièrement le secondaire, en l abordant dans une perspective pluridisciplinaire. B) Du projet «Enseignement de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité» au programme transversal : une approche nouvelle a) au niveau institutionnel Le nouveau programme développera sa transversalité à travers l Organisation, en priorité dans les secteurs qui relèvent de la compétence de la Direction Générale IV : Education, Culture et Patrimoine, Jeunesse ;
2 b) au niveau thématique et didactique La transversalisation du programme facilitera la réflexion sur les thèmes suivants : Comment améliorer l enseignement sur et à partir de l Holocauste en dehors des murs de l école? Pourquoi consacrer une place si importante à la transmission de la mémoire de l Holocauste en dehors du milieu scolaire? Quelle information de base offrir à des publics cibles nombreux et variés pour assurer la transmission de la mémoire de l Holocauste? Comment utiliser l approche diachronique pour faire prendre conscience de l importance de la culture et du patrimoine humain, spirituel et matériel détruits par l Holocauste? Ainsi par exemple, l itinéraire culturel européen du patrimoine juif et l itinéraire de la culture et du patrimoine des Roms du Conseil de l Europe sont une entrée pour développer les connaissances positives sur un héritage culturel européen irrémédiablement mis en péril ; Comment utiliser l approche transversale pour aider à prévenir les crimes contre l humanité, ouvrir de nouvelles perspectives dans la compréhension de l Holocauste, et lutter contre sa banalisation ; Enrichir et diversifier les méthodes didactiques diverses et variées (utilisation des films de fiction, témoignages de survivants, visites de lieux authentiques de mémoire) en utilisant les arts (musique, littérature, théâtre) qui offrent des vecteurs attrayants de transfert de savoir et de savoir être au monde. c) les groupes cibles Jusqu en 2010, les groupes cibles étaient essentiellement les enseignants et formateurs européens et à travers eux leurs élèves. A partir de 2011, la transmission de la mémoire de l Holocauste sera élargie à d autres groupes cibles appartenant aux domaines de la culture, du patrimoine et de la jeunesse. Quelques exemples de nouveaux groupes cibles prioritaires : Education : enseignement primaire et supérieur ; Jeunesse : mouvements de jeunesse et association de jeunes ; Culture : acteurs et administrateurs culturels, réseau d intellectuels et d universitaires ; Patrimoine : guides touristiques et médiateurs culturels de musées et mémoriaux, en particulier dans le cadre des itinéraires culturel européen du patrimoine juif et de la culture et du patrimoine des Roms du Conseil de l Europe ; 2
3 C) Le nouveau programme «Transmission de la mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité : une approche transversale» a) Au sein de la Direction Générale de l éducation, de la culture et du patrimoine, de la jeunesse et du sport Enseignement scolaire A partir de l expérience acquise dans le cadre de l enseignement secondaire, il s agira de développer des modules et du matériel pédagogique pour les enseignements du primaire qui pourra également servir à d autres utilisateurs. Les formations pour enseignants du secondaire seront poursuivies en 2011, en tenant compte de l offre des Etats et des possibilités financières pour les réaliser. En 2011, l'agence Européenne des Droits Fondamentaux (FRA) et le Conseil de l'europe organiseront un événement, réunissant enseignants et étudiants afin de recevoir des commentaires sur des résultats spécifiques résultant des projets du Conseil de l'europe et de la FRA en vue de renforcer le dialogue sur l'holocauste, la prévention des crimes contre l humanité et l éducation aux droits de l'homme. Enseignement para scolaire (visite des lieux de mémoire notamment) Les activités para scolaires dans l e domaine de l enseignement de l Holocauste sont en général surtout consacrées aux visites de mémoriaux, de lieux authentiques de mémoire, aux voyages scolaires, ou à la participation à des événements artistiques. L ouvrage du Conseil de l Europe «European Pack on Visiting Auschwitz Birkenau Memorial and Museum, guidelines for educators and teachers», (préparé en étroite coopération avec le Musée d Auschwitz, le Centre International pour l enseignement sur Auschwitz et l Holocauste, et le Ministère de l éducation de Pologne) constitue un excellent outil de travail et de réflexion utile non seulement aux enseignants mais aussi aux guides, aux médiateurs culturels des mémoriaux, aux leaders des mouvements de jeunesse. Des présentations publiques et des formations à partir de cet ouvrage seront planifiées au courant Des synergies seront recherchées en matière de promotion de matériel pédagogique avec, notamment, l Agence des Droits Fondamentaux. 3
4 Enseignement supérieur Au niveau international, une réflexion sera menée sur la situation actuelle de l enseignement de l Holocauste au niveau de l enseignement supérieur. Cette question est importante car si l enseignement de l Holocauste a été développé au niveau des curricula obligatoires et optionnels au niveau secondaire, en revanche les professeurs se sont souvent trouvés dans la situation de ne pas avoir été formés à l université avant de devoir enseigner ce sujet. C est encore plus le cas pour les enseignants les plus âgés qui n ont pas eu accès, dans leur propre cursus scolaire secondaire, à des cours sur l Holocauste. Un travail en réseau et en coopération avec un certain nombre d universités «pilotes» européennes (qui ne proposent pas d enseignement sur «l Holocauste et la prévention des crimes contre l Humanité») pourrait être mis en place pour réfléchir à une stratégie globale de développement de ce type d enseignement. Jeunesse La transmission de la mémoire de l Holocauste et la prévention des crimes contre l humanité va de pair avec le projet de promotion des valeurs fondamentales du Conseil de l Europe et de réflexion sur le vivre ensemble dans des sociétés plurielles, par la promotion du dialogue interculturel. Un événement devrait être organisé par le Conseil de l Europe permettant de rendre le premier hommage européen aux «Justes parmi les Nations» et d y associer la jeunesse européenne ; ainsi, la transmission des valeurs fondamentales de l Organisation, mais aussi la notion de refus de l indifférence, et les principes de solidarité seraient mis en exergue ; L éducation informelle par l intermédiaire des mouvements de jeunesse, des associations de jeunes et des ONG spécialisées sera encouragée par la promotion de cadres de ces nouveaux publics cibles sur la transmission de l Holocauste et la prévention des crimes contre l humanité, adaptées aux besoins spécifiques de ces nouveaux vecteurs ; Une attention particulière sera portée à la lutte contre le négationnisme et le révisionnisme de l Holocauste. Des formations Ad Hoc d éducateurs pourraient être mises en place pour répondre aux attitudes des adolescents fragiles qui sont à la recherche de leur identité et risquent d être influencés par des discours démagogiques d exclusion ou fascinés par l horreur de l Holocauste ; 4
5 Une réflexion devra être menée sur l utilisation des nouveaux moyens de communication à fort impact sur les dernières générations, en particulier pour le réseautage et la transmission par le vecteur des «multiplicateurs». Cela améliorera la visibilité des actions du Conseil de l Europe en direction de la jeunesse sur ce sujet. Culture Dans le cadre du programme transversal, la transmission de la mémoire de l Holocauste fera appel à des vecteurs artistiques déjà énoncés (musique, théâtre, peintures ) mais contribuera en particulier à faire revivre le patrimoine culturel matériel et immatériel, juif et Rom, détruit par l Holocauste. Ainsi, la vie des communautés juives et Roms avant le Nazisme constitue un sujet fondamental à faire connaître afin de ne pas limiter la transmission à l annihilation et aux persécutions mais de mettre en valeur l apport de ces communautés aux pays dans lesquels elles vivaient ; Il pourrait s agir d organiser, en coopération avec les Itinéraires Culturels Européens, des ateliers de formations pour les voyagistes culturels, les guides touristiques, les médiateurs culturels et les enseignants qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur le voyage comme vecteur de transmission de la mémoire de l Holocauste ; Un projet d itinéraire culturel européen des lieux de mémoire de l Holocauste et du génocide Rom (Samudaripen) pourra être envisagé dans le cadre de coopération avec les chercheurs et institutions ayant mis en place un réseau dans le cadre de la Task Force Internationale pour la mémoire de l Holocauste (ITF) ; Les Journées européennes du Patrimoine (avec le soutien de l Union Européenne) pourraient être intéressées par ce programme ; Dans la mesure du possible, le programme transversal explorera les possibilités de mettre en valeur le patrimoine culturel linguistique de la langue Romani et du Yiddish - qui a quasiment disparu pendant l Holocauste au travers d actions en lien avec la transmission de la mémoire de l Holocauste, par exemple en coopération avec le Centre Européen pour les langues vivantes de Graz ; Dans le cadre de la mise en place prévue d un réseau académique Rom européen (projet joint entre l Union Européenne et le Conseil de l Europe), des synergies concrètes pourront être mises en place afin de sensibiliser la communauté Rom à son histoire et à sa culture (dont le génocide Rom), et de valoriser l apport des Roms à la culture européenne, par le truchement de ses intellectuels et universitaires, en synergie avec l itinéraire culturel Rom et l enseignement supérieur. 5
6 b) Coopération internationale Sur un plan externe, outre le Mémorandum de coopération signé avec la Task Force Internationale pour la mémoire de l Holocauste (ITF), de nouveaux partenariats avec des acteurs institutionnels et non gouvernementaux des domaines de la culture, du patrimoine et de la jeunesse seront à mettre en place dans les années à venir ; Des actions conjointes seront mises en œuvre pour des projets spécifiques avec les autres organisations internationales qui développent également des programmes en la matière : Union Européenne : apporter le savoir-faire et l expertise du Conseil de l Europe et participer à certaines activités dans le cadre de la préservation et de la promotion de la mémoire (y compris dans le programme «Europe for Citizens») et plus particulièrement des «Town Twinnings» ; Agence des Droits Fondamentaux (FRA) : coopérer à une évaluation, prévue en 2012, des activités de la FRA et du Conseil de l'europe dans le domaine de l'holocauste et les droits de l homme, menées au cours des 4 années. L'évaluation est réalisée en vue de renforcer le réseau de multiplicateurs et de la création de nouveaux groupes impliqués dans l'holocauste et des droits de l'homme, avec un accent particulier sur les enseignants et les jeunes ; Unesco et Nations Unies : créer un lien internet réciproque pour faire connaître le programme «Mémoire de l Holocauste et prévention des crimes contre l humanité» et les publications ; OSCE/ODHIR : mettre à jour le site internet qui a été élaboré conjointement par le Conseil de l Europe et cette Organisation ; Des musées et mémoriaux ou organisations impliqués dans la transmission de la mémoire de l Holocauste seront entre autres partenaires du nouveau programme transversal : Yad Vashem, Auschwitz Birkenau Memorial and Museum, The International Center for Education about Auschwitz and the Holocaust, Topographie de la Terreur, Musée Mémorial des Combattants des Ghettos, Yad Layeled, Anne Franck House, Centre Culturel et de Documentation des Sinti et Roms, Musée d Histoire de la Culture Rom, Jasenovac Memorial 6
7 Annexe Programme de travail entre le Conseil de l Europe et le Mémorial de la Shoah 1 Dans le cadre du développement de la coopération existante entre le Mémorial de la Shoah et le Conseil de l Europe sur les thèmes de la transmission de la mémoire de l Holocauste et de la prévention des crimes contre l humanité, les orientations en vue d une transversalisation de ces activités au sein de plusieurs domaines de compétence du Conseil de l Europe sont ici présentées. Le Mémorial de la Shoah intervient comme consultant pour la mise en œuvre de certaines activités, mettant ses ressources et son expertise à la disposition du Conseil de l Europe. Le plan d action, correspondant à différents domaines d activités de la Direction Générale IV du Conseil de l Europe, s appuie sur trois axes principaux : A. FORMATIONS ET PROGRAMMES DE SENSIBILISATION Ils seront menés selon 3 principes distincts et adaptés à des publics, aux besoins et activités divers : a) Un séminaire annuel au Mémorial de la Shoah à Paris pour formateurs d enseignants et enseignants des Etats signataires de la Convention Culturelle Européenne, dans un objectif d acquisition des savoirs scientifiques, de mise en œuvre des pratiques pédagogiques et d échange des expériences européennes. Ces formations se dérouleront en français ou en anglais, le cas échéant dans d autres langues, selon les modalités décrites ci-après. Les formations comporteront des séances plénières avec pour thématiques, par exemple : les Juifs d Europe avant la Seconde Guerre mondiale ; la Shoah, entre histoire et mémoire ; de l antijudaïsme à l antisémitisme ; l idéologie nazie ; les étapes de la destruction des Juifs d Europe ; les victimes du nazisme : tentative de typologie des politiques de répression nazies ; les persécutions contre les Roms pendant la Seconde Guerre mondiale ; génocides et crimes contre l humanité ; analyses juridiques, histoire des génocides du XXème siècle ; approches comparées des génocides ; le négationnisme. 1 Suite à la réunion de travail tenue à Paris le 29 octobre
8 Dans les groupes de travail, où l aspect pédagogique sera privilégié, on abordera, entre autres : enseigner sur les lieux de mémoire «Le camp d Auschwitz : histoire et représentations» ; les photos, documents d archives et de témoignage comme outils pédagogiques ; la Shoah à travers le cinéma (complété le cas échéant par une séance au cours d une des soirées de l atelier) ; Littérature et Shoah ; la philosophie à l épreuve de la Shoah : propositions et mise en activité autour du thème de la violence extrême et de ses interprétations ; le crime nazi à l Est : histoire et traces. L exemple de Babi Yar ; les photos, les œuvres d art, documents d archives et de témoignage comme outils pédagogiques ; selon les cas, Enseigner la Shoah aux jeunes enfants ; le témoignage du rescapé en classe ; enjeux de l enseignement de la Shoah ; l enseignement de la Shoah dans les classes multiculturelles ; l enseignement de la Shoah pour des élèves attirés par les discours de violence néo-nazie ; le patrimoine matériel et immatériel juif de Paris, avant, pendant et après la Shoah. Les formations comprendront également : par exemple, une visite du Mémorial de la Shoah, et une présentation de ses ressources ; une visite de l exposition temporaire du Mémorial de la Shoah, une visite du Musée d Art et d Histoire du Judaïsme, une visite du Centre d Histoire et de Documentation de Drancy, une visite du Centre de Documentation FNASAT Gens du Voyage, et le témoignage d un survivant. Une session des ateliers sera à chaque fois consacrée aux persécutions contre les Roms. Les publications relatives à ces thématiques, en particulier celles du Mémorial de la Shoah et du Conseil de l Europe, seront présentées aux participants. b) 2 séminaires annuels (dans la mesure où les budgets seront disponibles) dans différents Etats membres, en priorité d Europe Centrale et Orientale, des Balkans, la Fédération de Russie, l Ukraine, l Arménie, la Géorgie, l Azerbaïdjan, la Turquie, pour les représentants de l éducation formelle et informelle, en ciblant associations et corps de métiers pour lesquels le thème revêt une importance sur le plan historique comme éthique, en particulier : - les représentants et membres d organisations de jeunesse, - les formateurs d écoles de journalisme et professionnels des média, - les guides touristiques et médiateurs culturels, etc. En coopération, le cas échéant, avec les responsables des bureaux du Conseil de l Europe dans les pays concernés. Les séminaires pourront se dérouler en deux temps : une partie dans le pays concerné, une autre dans les locaux du Mémorial de la Shoah. 8
9 B. EVENEMENTS SCIENTIFIQUES ET CULTURELS Participation à la mise en œuvre d un colloque annuel sur une thématique d actualité de la transmission de la mémoire de la Shoah, avec des participants de haut niveau des pays signataires de la Convention culturelle européenne ; Présentation de grandes expositions au Conseil de l Europe à l occasion du 27 janvier. Le Mémorial de la Shoah propose chaque année deux à trois nouvelles grandes expositions. Certaines de celles-ci pourront faire l objet d une présentation dans les locaux du Conseil de l Europe. Série de conférences annuelles (projections-débat, etc.) ou de vidéoconférences organisées en partenariat avec les bureaux d information du Conseil de l Europe. C. MATERIEL PEDAGOGIQUE ET PUBLICATIONS Participation à l élaboration de matériel pédagogique sur la Shoah, à destination des enseignants. Cette mallette, à visée européenne, contiendra des supports papier et multimédia et devrait contenir des parties adaptées aux pays récipiendaires. Participation à la création d un kit d information sur la Shoah à destination du monde associatif, modulable en fonction des différents publics (organisations de jeunesse, ONG antiracistes, etc.). Etablissement de liens réciproques sur les portails internet et du Mémorial de la Shoah et ceux du Conseil de l Europe et donnant accès aux divers produits pédagogiques. Diffusion et adaptation en plusieurs langues du guide d Auschwitz du Mémorial de la Shoah pour enseignants ainsi que du «European Pack on visiting Auschwitz-Birkenau Memorial and Museum : guidelines for teachers and educators» du Conseil de l Europe. Organisation de réunions de chercheurs et pédagogues sur des thèmes novateurs en matière d enseignement de la Shoah, de prévention des crimes contre l humanité et de lutte contre le racisme et l antisémitisme. 9
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détail27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste
27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste "Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l'oubli" (Elie Wiesel) Quand ils ont arrêté les communistes,
Plus en détailCommuniqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc
Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Les Voies de la Liberté Du 15 septembre 2015 au 28 mai 2016 Communiqué de presse Mémorial de la Shoah, CDLV82017 Le Mémorial En 2009,
Plus en détailAncienne gare de déportation de Bobigny. Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012
Ancienne gare de déportation de Bobigny Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012 Sommaire : 1. Bobigny, une gare entre Drancy et Auschwitz 2. Après la guerre,
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI
Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI enseigner l Holocauste? Publié en 2013 par l Organisation des Nations unies pour l éducation, la science et la culture
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailDISCOURS MADAME SIMONE VEIL. Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH
DISCOURS DE MADAME SIMONE VEIL Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH Athènes, le 30 janvier 2006 Journée nationale à la mémoire des héros et des martyrs de l Holocauste en Grèce Monsieur
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailLes jeunes contre l oubli
Ici, il y a des gens qui : Fabriquent de faux-papiers, Tout en restant discrets ; Aident des enfants, Même pas pour un franc. Ils sont cachés dans les maisons, Au lieu d être dans les camps de concentration.
Plus en détailCIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives
CIRCULAIRE CONJOINTE Ministère de l éducation nationale Ministère de la défense Ministère de l éducation nationale Direction de l enseignement scolaire Ministère de la défense Direction de la mémoire,
Plus en détailPhilosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés
Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches
Plus en détailBureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)
Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........
Plus en détailwith the support of EFMET cooperation partners:
Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET
Plus en détailENSEIGNEMENTS ET SÉMINAIRES
CHAIRE ESSEC-AVENTIS ÉTHIQUE & BIOTECHNOLOGIES Dans un marché comme celui du médicament où les clients sont d abord des patients, les biotechnologies sont appelées à répondre à un double défi, à la fois
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détailThème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détail3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Plus en détailRECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI
CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication
Plus en détailConclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable
COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détailL émergence progressive d une politique internationale de la mémoire : l exemple des actions publiques de partage de la mémoire
L émergence progressive d une politique internationale de la mémoire : l exemple des actions publiques de partage de la mémoire Sarah Gensburger To cite this version: Sarah Gensburger. L émergence progressive
Plus en détailRéférente : Nadia Inoubli, Bureau des «Echanges scolaires et extrascolaires
Compte rendu du groupe de travail n 5 «Les projets artistiques et culturels dans le cadre des jumelages de villes» Date : 18.10.2014 Durée : 11h 12h30 Lieu : Kolping-Akademie Würzburg Evénement : réunion
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT
PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailProjet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.
Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement
Plus en détailPrésentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques
Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailDans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de)
Dans nos classes La Résistance et la Déportation dans les manuels Classe de troisième Les leçons : Belin, avril 2003. Eric Chaudron, Remy Knafou. Leçons La 2 guerre mondiale. * Les grandes phases de la
Plus en détail«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT»
«LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT À L ÉCOLE ET CONTRE LE CYBER-HARCÈLEMENT» Ministère de l Éducation Nationale Protection Judiciaire de la Jeunesse Théâtre Liberté Contact : Betty Le Mellay, Responsable de
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailCORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème
CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème LE NAZISME (1933-1945) DU TRAITE DE VERSAILLES A L ARRIVEE D HITLER AU POUVOIR PAGES 4-5 Comment Mussolini, nouveau dirigeant de l Italie est-il mis en valeur
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailFORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre
DU PERSONNEL Année Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre 1. LE PLAN DE. L élaboration du plan de formation. La direction des ressources humaines est chargée
Plus en détailBilan de la concertation 2011-2015
Bilan de la concertation 2011-2015 Dès sa création en 2011, l association de préfiguration a mis en place une méthode destinée à impliquer au maximum les acteurs locaux dans l écriture de charte (méthode
Plus en détailSCIENCES DE L ÉDUCATION
UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance
Plus en détailChap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailPrésentation renouveau école Georges Pamart
MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailAPPEL À CANDIDATURES CONCOURS. PRIX NATIONAL «Ethique et Sport scolaire»
APPEL À CANDIDATURES CONCOURS PRIX NATIONAL «Ethique et Sport scolaire» Edito Le sport permet la diffusion de valeurs telles que le respect de l autre, la responsabilité ou encore la solidarité et contribue
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailL'Holocauste. Table des matières. L Holocauste : aperçu
L'Holocauste Table des matières The Holocaust: Theme Overview 1 Objets personnels Helena Zaleska 2 Auschwitz-Birkenau, 1944 3 Étoile de David 4 Gobelet de métal 5 Chaussure d enfant 6 L Holocauste : aperçu
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailVérification des qualifications et des diplômes chinois d études postsecondaires. CAPLA Octobre 2006
Vérification des qualifications et des diplômes chinois d études postsecondaires CAPLA Octobre 2006 Principaux objectifs VETASSESS et nos activités d évaluation Les études postsecondaires et les diplômes
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailExposition A CONTRE COURANT, organisée par l association. mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2
Exposition A CONTRE COURANT, organisée par l association mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2 http://lesamisdemagda.fr/ Contact : bertrandbernicot@hotmail.fr Des élèves de 8 lycées
Plus en détailSection des Formations et des diplômes
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence Arts du spectacle - Cinéma de l Université Paris 8 - Vincennes Saint-Denis Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section
Plus en détailDEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO
DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter
Plus en détailCampus et hygiène de vie
SEMINAIRE DE SENSIBILISATION Compte-rendu d atelier Campus et hygiène de vie Publié le 15/06/2015 Page 2 6 Introduction Qu est-ce que l hygiène de vie? Comment faire un retour d expérience utile? Comment
Plus en détail1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS
1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases
Plus en détail4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012
4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailCONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence
Strasbourg, 19 février 2007 T- FLOR (2007) 12 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE Convention de Florence CONFERENCE DU CONSEIL DE L EUROPE SUR «LA CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE» Conseil de l Europe Palais
Plus en détailMUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine
MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir
Plus en détailPrésentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020
Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020 2007-2013 Education formelle et professionnelle : Erasmus, Comenius, Grundtvig, Léonardo Education non formelle : Jeunesse en Action Actions
Plus en détailCONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO
CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO ET L UICN, UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE ET DE SES RESSOURCES EN PRESENCE DE L INSTITUT OCEANOGRAPHIQUE,
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailVision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement
Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,
Plus en détailGhana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.
Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur
Plus en détailEUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie
Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des
Plus en détailPROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT. de l engagement bénévole. en loisir et en sport
PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT de l engagement bénévole en loisir et en sport Plan de présentation 1. La description du programme o Les acteurs et partenaires ciblés et les objectifs o La logistique
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailEnsemble vers de saines habitudes de vie!
Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec
Plus en détailCharte d'hébergement des sites Web sur le serveur de la Mission TICE de l'académie de Besançon
Charte d'hébergement des sites Web sur le serveur de la Mission TICE de l'académie de Besançon La présente charte a pour but : de définir les termes relatifs à la diffusion d informations sur l internet
Plus en détailPRESENTATION DE L ASSOCIATION LETTRES ET IMAGES (ALI)
PRESENTATION DE L ASSOCIATION LETTRES ET IMAGES (ALI) Association d intérêt public à but non lucratif, fondée en 1998 à l occasion des manifestations «150 ans de l Etat fédéral -150 ans de patrimoine industriel»
Plus en détailGlossaire 3 : 3 Ressources :
Le vocabulaire concernant l extermination des Juifs d Europe par les nazis Le régime nazi a, de 1941 à 1945, mis en œuvre sa décision planifiée de destruction des populations juives d Europe. L objectif
Plus en détailLundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants
Plus en détailPour en savoir plus sur l histoire des Juifs de Vire, sur Lublin, Majdanek, Belzec, l Aktion Reinhard rdv sur www.memoire-viretuelle.fr.
La «Shoah» qu est-ce que c est? Un génocide. Presque six millions de morts. Difficile de réaliser. Personne peut-être ne parvient à le faire Contre toute attente, la Shoah s est aussi passée à Vire. Vingt
Plus en détailinter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen
inter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen Qu est-ce qu inter +? Présenté et sélectionné comme projet de partenariat stratégique scolaire dans le cadre de l appel
Plus en détailBanque d outils d aide à l évaluation diagnostique
Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Url : http://www.banqoutils.education.gouv.fr/index.php Niveau : GS au Lycée Conditions d'utilisation : Pas d'inscription nécessaire. Format des ressources
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détail«Management et Direction de Projets»
Centrale Paris & Cegos Vos partenaires pour un nouvel élan dans votre carrière MASTERE SPECIALISE «Management et Direction de Projets» Bienvenue! René PALACIN Responsable pédagogique MS Management et Direction
Plus en détailEchange scolaire et correspondance avec une école, un collège, un lycée en France Quelques pistes
Service de la coopération pour le français Echange scolaire et correspondance avec une école, un collège, un lycée en France Quelques pistes Institutions, liens Internet, adresses, programmes éducatifs,
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailOrganisme indépendant dont la mission consiste à mieux sensibiliser la population à l'histoire et à la citoyenneté canadiennes. Chaque année, plus de
Organisme indépendant dont la mission consiste à mieux sensibiliser la population à l'histoire et à la citoyenneté canadiennes. Chaque année, plus de huit millions de Canadiens accèdent à nos programmes,
Plus en détailGuide de formation à l assurance qualité (QualiTraining)
Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Description de projet Mise à jour le 18 mai 2006 Coordinatrice: Equipe de projet: Laura Muresan, EAQUALS / PROSPER-ASE, Roumanie Frank Heyworth,
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détail*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de
*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de qualité et d excellence Par le Ministère de l Éducation
Plus en détailEMLYON Business School Préparer des entrepreneurs pour le monde
EMLYON Business School Préparer des entrepreneurs pour le monde Mission EMLYON est une institution européenne dans la tradition des «Grandes Écoles Françaises» dédiée à l apprentissage du management entrepreneurial
Plus en détailComment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?
Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant
Plus en détailDémarche & ses étapes (information) III. Présentation des orientations et des actions du schéma de développement culturel d Alsace Bossue 2014-2016
SCHÉMA DE DÉVELOPPEMENT CULTUREL D ALSACE BOSSUE 2014-2016 RESTITUTION AUX ACTEURS MARDI 26 NOVEMBRE 2013 à LORENTZEN DÉROULÉ DE LA SOIRÉE I. Introduction II. Démarche & ses étapes (information) III. Présentation
Plus en détailII. La mise en place d un régime totalitaire, fasciste et raciste. 1. Comment Hitler met en place un État totalitaire et raciste?
II. La mise en place d un régime totalitaire, fasciste et raciste 1. Comment Hitler met en place un État totalitaire et raciste? Extrait du film de propagande réalisé par Leni Riefenstahl, Le Triomphe
Plus en détailTHEME : LUTTE CONTRE LA PAUVRETE DES JEUNES.
PROJET DE COMMUNICATION DE MONSIEUR Kodjo AKUTSE DIRECTEUR EXECUTIF DE L ONG JEUNES DU MONDE VIVONS ENSEMBLE "JMVE" (TOGO) AU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIETE DE L INFORMATION QUI SE DEROULERA A GENEVE EN
Plus en détailPOLITIQUE D INTÉGRATION SCOLAIRE ET D ÉDUCATION INTERCULTURELLE
RÈGLEMENTS POLITIQUES PROCÉDURES POLITIQUE D INTÉGRATION SCOLAIRE ET D ÉDUCATION INTERCULTURELLE PRÉAMBULE Adoptée par le conseil d'administration le 19 juin 2013 Depuis plus de quarante ans, le Québec,
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailEn Île-de-France, les jeunes ont de l avenir
En Île-de-France, les jeunes ont de l avenir www.iledefrance.fr En Île-de-France, les jeunes ont de l avenir 600 000 étudiants, 480 000 lycéens et plus de 100 000 apprentis : les jeunes ont de l avenir
Plus en détailpartenaire(s) 20-21-22 Novembre 2013
Activité Session de formation en «techniques de communication et de dialogue au sein de la famille : prévention de la violence/éducation sexuelle» Lancement de l opération de formation des adhérentes à
Plus en détailLa RSE (responsabilité sociale ou sociétale des entreprises) peut être réalisée en investissant dans l éducation
WS31 Entreprises Session 1 La vision chinoise La Chine est confrontée à 3 problèmes principaux : la pénurie de compétence et de fréquents changements de personnel, le défi de la gestion du territoire,
Plus en détailCahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels)
Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieu culturels) Page 1 sur 19 TABLE DES MATIERES Cahier de charge application cartographie... 1 (base de données des acteurs
Plus en détail