L8 ANALYSER LES STRATÉGIES D ACTEURS : LA MÉTHODE MACTOR T2 Chapitre 6
|
|
- Amaury Bernard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L8 ANALYSER LES STRATÉGIES D ACTEURS : LA MÉTHODE MACTOR T2 Chapitre 6 1. Origines et étapes de la méthode Mactor 2. Construire le tableau : «stratégie des acteurs» 3. influences entre acteurs, rapports de force, matrice MIDI 4 Identifier les enjeux stratégiques et les objectifs associés et Positionner chaque acteur sur les différents objectifs :la matrice MAO 5 Repérer les convergences et divergences (simples, valuées et pondérées par les rapports de force) 6 Formuler les recommandations stratégiques cohérentes et poser les questions clés pour l avenir 7 Jeux d acteurs et sécurité alimentaire L9 illustrations T2 Chapitre
2 Formuler les enjeux, identifier les champs de bataille: analyse du jeu des acteurs par la méthode MACTOR La nécessitn cessité Importance du jeu des acteurs { État présent Tendances lourdes La volonté Jeu des acteurs { Objectifs, projets des acteurs { État futur { L aléa Événements contingents + Phénomènes chaotiques Hypothèses de ruptures 9 2
3 Analyse du jeu des acteurs : Mactor Une base formée de trois listes : Identifier les acteurs Repérer les enjeux majeurs, champs de bataille Identifier les objectifs poursuivis par les acteurs pour défendre leurs intérêts sur ces champs de bataille Trois temps dans l analyse Une matrice acteurs/acteurs : influences directes entre acteurs Une matrice acteurs/objectifs : position de chaque acteur sur chaque objectif Interprétation des résultats Influence/dépendance Rapports de force Convergences divergences d intérêts «Proximités» acteurs/objectifs 10 3
4 Analyse des jeux d acteurs Pertinence de la méthode: Pour l analyse de domaines où les enjeux se situent très largement dans la confrontation d intérêts d essences différentes (public v. privé, producteurs v. consommateurs, régulateurs v. régulés, ), Pour des domaines soumis à des perspectives de changement importantes d ordre réglementaire, technologique, dans lesquels des transformations créent de fortes incertitudes et tensions sur la réalisation des projets des acteurs, leur rôle des acteurs et leur marge de manœuvre. 2 types d approche: exploratoire / normative Se doter d une représentation collective du jeu : une base d analyse: Des acteurs Des enjeux et des objectifs 2 matrices : acteurs x acteurs et acteurs x objectifs 11 4
5 Typologie des approches Participation Mactor Mactor exploratoire stratégique confidentiel confidentiel CIG CIG «avenir des des EDF EDF «avenir des des institutions combustibles européennes» irradiés» Mactor exploratoire Mactor participatif stratégique BASF Agro Agro et et sa sa participatif filière «avenir de de la la IGN IGN «avenir de de sécurité l information alimentaire» géographique» Impact stratégique 12 5
6 Se doter d une représentation collective du jeu: base d analyse du jeu des acteurs Les acteurs Les enjeux et les objectifs trouver un compromis réaliste (représentativité de la problématique étudiée) et opérationnel (temps disponible) pour se doter d une représentation commune du système La représentation du système (acteurs, enjeux, objectifs) est très largement déterminée par la perception que les acteurs (groupe de travail et personnes auditionnées) se font, aujourd hui, de la réalité du jeu. Contingence au contexte La matrice acteurs x acteurs La matrice acteurs x objectifs 13 6
7 Se doter d une représentation collective du jeu : les acteurs Définition: Un acteur a une identité, un projet et des moyens d action propres (aussi faibles soient-ils), organisés dans une stratégie pour atteindre les buts et les objectifs qu il s est fixés pour les faire aboutir. Combien d acteurs prendre en compte? retenir les acteurs qui jouent aujourd hui un rôle majeur dans le jeu. difficulté: appréhender des acteurs «polymorphes» (ex: l Etat) (dont les acteurs composants peuvent différer dans leurs objectifs, leur comportement et leurs critères de décision) et d acteurs assurant plusieurs rôles fonctionnels dans le (S) consolider la liste des acteurs en itérant avec la construction de la liste des enjeux et objectifs à retenir. En effet, les acteurs doivent être différenciés selon leur position contrastée, au travers des objectifs qu ils poursuivent, par rapport aux enjeux actuels et futurs. Retour d expérience : un nombre d acteurs compris entre 10 et
8 Exemple: liste du jeu acteurs sur le transport aérien et l aménagement du territoire en IDF Aéroports : ADP Aérodromes d Ile-de-France/proche région hors ADP Administrations compétentes en matière de TA: Gouvernement Ministère des Transports et DGAC Ministère des finances Direction de la navigation aérienne Les compagnies aériennes : Compagnie nationale Nouvelles compagnies Compagnies charters Compagnies régionales 15 8
9 Exemple: liste du jeu acteurs sur le transport aérien et l aménagement du territoire en IDF Opérateurs fer : SNCF Opérateurs du transport aérien: Transitaires, Groupeurs de fret Passagers Tours opérateurs, agences de voyages Acteurs de l aménagement du territoire : Décideurs d aménagement (Conseil régional ) Bénéficiaires d aménagement (Entreprises, CCI ) Collectivités locales d Ile-de-France 16 9
10 Fiche variable Acteur (rappel) Intitulé Définition Buts : Motivations Objectifs poursuivis Problèmes rencontrés Moyens d action (y compris alliances, coopérations, partenariats) Repérage des évolutions futures Facteurs qui peuvent affecter les relations entre les acteurs : Emergence et disparition d acteurs, changement de rôle d un acteur dans le système Règles du jeu possibles dans le futur Références / experts interrogés 17 10
11 FICHE ACTEUR Intitulé Définition Buts Motivations Objectifs poursuivis Problèmes rencontrés Moyens d action Références / experts interrogés 18 11
12 Tableau des stratégies des acteurs Acteur 1 Acteur 2 Acteur 3 Acteur 1 Stratégie Acteur 1 Moyens d influence de l Acteur 1 sur l Acteur 2 Moyens d influence de l Acteur 1 sur l Acteur 3 Acteur 2 Moyens d influence de l Acteur 2 sur l Acteur 3 Stratégie Acteur 2 Moyens d influence de l Acteur 2 sur l Acteur 3 Acteur 3 Moyens d influence de l Acteur 3 sur l Acteur 1 Moyens d influence de l Acteur 3 sur l Acteur 2 Stratégie Acteur
13 LE TABLEAU «STRATÉGIE DES ACTEURS» Action de sur Constructeurs Compagnies Etat Constructeurs But : Vivre et éviter la crise. Problèmes : Nouveaux projets d'avions plus performants par rapport aux normes de bruit et de consommation spécifiques. Moyens : Association entre constructeurs. Commandes militaires. Diversification des activités. Pression sur les compagnies pour l'achat d'avions neufs. Diversification des besoins et des avions. Offrir toute la gamme par des progrès technologiques importants. Font du chantage à l'emploi. Réclament le financement de nouveaux projets. Compagnies Réclament des avions plus conformes à leurs besoins. Critère essentiel : le coût du passager au kilomètre ou tonne effectivement transporté. Réticence à l'emploi de gros avions. Buts : Maintenir leur part de marché. Problèmes : Finances, investissements et salaires. Maintenir une fréquence et un remplissage élevés. Moyens : Cooperation entre compagnies (ATLAS). Filialisation des activités. Homogénéisation et souplesse d'utilisation de la flotte. Développement du fret. Concentration de 3e niveau. Cherchent à être protégées de la concurrence par le biais des droits de trafic sur le long courrier. Etat Sauvegarder l'industrie aéronautique nationale. Commande militaire et civiles. Financement de nouveaux projets. Crédit à l'exportation. Démarchage auprès des gouvernements étrangers. Appel au financement privé. Protectionnisme. Pressions sur les compagnies nationales pour l'achat de Mercure, Airbus,... assorties d'aides financières. L'Etat protège les compagnies à condition qu'elles se développent et améliorent leur gestion. Buts : Prestige et présence française dans le monde. Problèmes : Chômage Inflation Moyens : Croissance soutenue 20 13
14 Construire le tableau des relations d influence entre les acteurs Pour chaque acteur, on identifie et on évalue ses influences sur les autres acteurs selon l él échelle suivante : 4, lorsque l acteur l Ai peut remettre en cause ou conforte l existence l de l acteur Aj 3, lorsque l acteur l Ai peut remettre en cause ou conforte les missions de l acteur l Aj 2, lorsque l acteur l Ai peut remettre en cause ou conforte les projets de l acteur l Aj 1, lorsque l acteur l Ai peut remettre en cause ou conforte les processus opératoires de l acteur l Aj 0, lorsque l acteur l Ai n a n a aucune influence sur l acteur l Aj 21 14
15 La matrice acteurs x acteurs La matrice MID est un tableau (Acteurs x Acteurs) où l influence directe actuelle d un acteur sur un autre est notée sur une échelle allant de 0 à 4, qui traduit l intensité et la nature de cette influence Influence directe de acteur 1 acteur j acteur 5 influence Convention de remplissage 4: l acteur «i» peut remettre en cause l acteur «j» dans son existence / est indispensable à son existence acteur 1 3: l acteur «i» peut remettre en cause l accomplissement des missions de l acteur «j»/ est indispensable acteur i n 2: l acteur «i» peut remettre en cause la réussite des projets de l acteur «j»»/ est indispensable 1: l acteur «i» peut remettre en cause de façon limitée dans le acteur 5 temps et dans l espace les processus opératoires de gestion dépendance de l acteur «j»»/ est indispensable 0: l acteur «i» a peu d influence sur l acteur «j» 22 15
16 Matrice des influences directes entre acteurs (MID) A1 A2 A3 A4 A5 A6 Inf. A1 Constructeurs A2 Cies régulières A3 Cies charters A4 Etat A5 Aéroport de Paris A6 Asso. de riverains Dépendance Existence d une influence directe OUI Intensité Missions (3) 23 16
17 Analyse de la matrice acteurs/acteurs Compréhension de la place des acteurs dans le système: Acteurs dominants ou dominés, acteurs relais ou hors-jeu, acteurs autonomes au sein du système étudié Analyse du poids relatif de chaque acteur dans le système: Rapports de force (forces/faiblesses) 24 17
18 MIDI : Matrice des influentes directes et indirectes A1 A2 A3 A4 A5 A6 I i A1- Constructeurs A2- Compagnies r égulièr es A3- Compagnies char ter s A4- Etat A5- Aér opor t de Par is A6- Associations de riverains Di
19 L interprétation du plan des influences / dépendances directes et indirectes entre acteurs: principe de lecture Acteurs dominants Acteurs relais influence Axe du contrôle Axe de l implication Acteurs hors-jeu dépendance Acteurs dominés 26 19
20 Plan influence-dépendance directes et indirectes des acteurs Etat Influence Acteurs dominants Acteurs relais Constructeurs Associations de riverains Cies régulières AdP Acteurs autonomes Acteurs dominés Cies charters Dépendance 27 20
21 Plan influence et dépendance des acteurs Influen Acteurs dom inants Etat Acteurs re la is C o nstructe urs Asso. de riverains Cies régulières A éroport de Paris Acteurs autonom es Acteurs dom inés Cies charters Dépendance 28 21
22 Balance nette des influences entre acteurs A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1 Constructeurs A2 Compagnies régulières A3 Compagnies chartères A4 Etat A5 Aéroports de Paris A6 Associations de riverains
23 Rapports de force entre acteurs Michel Godet
24 32 24 Michel Godet
25 Se doter d une représentation collective du jeu : les enjeux et les objectifs Définition: Les enjeux : des point saillants, de zones d incertitude qui correspondent à des nœuds du futur, de carrefour ou de bifurcation du système. Ils recèlent un pouvoir d interpellation critique, dont les acteurs doivent se saisir: points de passage obligé pour les acteurs, aux issues incertaines et multiples. Il y a donc possibilité de perte ou de gain pour chaque acteur impliqué d où le nom d enjeu («ce qui est en jeu»). Les objectifs, ou buts poursuivis par les acteurs autour d un champ de bataille sont exprimés à l aide d un verbe d action Quels enjeux et objectifs retenir pour décrire le jeu? Se concentrer sur des enjeux et objectifs structurants pour la problématique étudiée et dont on estime qu ils vont donner lieu à des confrontations d intérêts mettant en jeu un grand nombre d acteurs Choisir des objectifs dont on pense qu ils sont déterminants de grandes alternatives dans l évolution du système Formuler de manière suffisamment précise et explicite les objectifs. Ce travail de formulation des objectifs est fondamental car il oriente de manière très sensible, voire détermine, les positions des acteurs (favorables, défavorables ou indifférentes à la réalisation de l objectif) Nota: les enjeux constituent une étape de travail intermédiaire vers la constitution de la liste des objectifs. Ils servent à structurer la réflexion, à «encadrer» la recherche d objectifs pertinents et faciliter les arbitrages finaux sur le choix des objectifs 33 25
26 Quels enjeux & objectifs retenir pour décrire le jeu? On peut rédiger plusieurs objectifs autour d un même sujet complémentaires ou alternatifs de façon à couvrir plus précisément la problématique dans sa variété : Exemple simplifié sur l enjeu: répartition du trafic aérien pour l IDF, les aéroports d accès O1. Réaliser un 3 e aéroport pour la desserte de l IDF O2. Développer au maximum Roissy CDG O3. Déplacer certains trafics (fret,..) sur les aéroports de proximité O4. Utiliser des aérodromes plus éloignés comme terrains de desserrement pour les vols commerciaux Entre 15 et 20 objectifs rédigés de manière tranchée afin de de révéler les positions des acteurs Nota: la formulation des objectifs retenue est déjà révélatrice des préférences des acteurs, c està-dire de leur souhait individuel ou collectif soit de mettre en avant leurs différences, soit au contraire d exprimer leur volonté de les dépasser 34 26
27 Exemple: le transport aérien et l aménagement du territoire en IDF Enjeux E1. Définition des avions E2. Marché des avions E3. Partager les droits de trafic E4. Bruits et nuisances autour des aéroports Objectifs O1. Imposer les caractéristiques des avions O2. Défendre et améliorer les parts de marché des constructeurs nationaux O3. Développer les vols organisés O4. Réglementer et renforcer les normes sur le bruit 35 27
28 Enjeux et objectifs du transport aérien ENJEUX OBJECTIFS E1 - Définition des avions O1 - Imposer les caractéristiques des avions E2 - Marché des avions O2 - Défendre et améliorer les parts de marché des constructeurs nationaux E3 - Partage des droits de trafic O3 - Maintenir le partage des droits de trafic E4 - Marché des vols organisés O4 - Développer les vols organisés E5 - Bruits et nuisances autour des aéroports O5 - Réglementer et renforcer les normes sur le bruit 36 28
29 Matrice Acteurs / Objectifs : principes de lecture Attitude (Matrice 1MAO) Cies régulières Cies Constructeurs charters Attitude et intensité (Matrice 2 MAO) Cies régulières Cies Constructeurs charters «Réglementer et renforcer les normes sur le bruit» "Réglementer et renforcer les normes sur le bruit État Asso de AdP riverains État AdP Asso de riverains Echelle : 4 : Existence 3 : Missions 2 : Projets 1 : Gestion 37 29
30 Matrice Acteurs / Objectifs (2MAO) Objectif 1 Objectif I Objectif 5 Attitude de l acteur: Acteur 1 Acteur k Acteur 5 n (+) : l acteur «i» est favorable à l objectif «j» (accord) (-) : l acteur «i» est défavorable à l objectif «j» (désaccord) (0) :l acteur «i» est indifférent à l objectif «j» (attention à notion de «neutralité») Intensité: Objectif 1 Objectif I Objectif 5 4: l objectif «j» a des conséquences sur l existence même l acteur Acteur 1 3: l objectif «j» a des conséquences sur l accomplissement des missions de l acteur «i» Acteur k Acteur 5 n 2: l objectif «i» a des conséquences sur la réussite des projets de l acteur «i» 1: l objectif «j» a des conséquences limitées dans le temps et dans l espace sur les processus opératoires de gestion de l acteur «i» 38 30
31 Matrice des postions simples ActeursX Objectifs MAO O1 O2 O3 O4 O5 A1 Constructeurs A2 Compagnies régulières A3 Compagnies chartères A4 Etat A5 Aéroports de Paris A6 Associations de riverains Nombre d'accords ( +) Nombre de désaccords ( -) Nombre de positions O1: Imposer les caractéristiques des avions. O2: Défendre et améliorer les parts de marché des constructeurs nationaux. O3: Maintenir le partage des droits de trafic. O4: Développer les vols organisés. O5: Réglementer et renforcer les normes sur le bruit
32 Convergences et divergences 1CAA : Matrice des convergences «Acteurs x Acteurs» A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constructeurs A2- Compagni es r égul i èr es A3- Compagni es char ter s A4- Etat A5- Aéroport de Paris A6- Associations de riverains Nombre de convergences (1Ci)
33 Convergences et divergences 1DAA : Matrice des divergences «Acteurs x Acteurs» A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constructeurs A2- Compagni es r égul i èr es A3- Compagni es char ter s A4- Etat A5- Aér opor t de Par i s A6- Associ at i ons de r i ver ai ns Nombr e de di ver gences ( 1Di )
34 Premier graphe complet des convergences Constructeurs A Compagnies régulières A2 +2 Compagnie charters A3 +1 A4 +2 A6 +1 Associations de riverains Etat A5 +4 Aéroport de Paris 42 34
35 Premier graphe complet des divergences -2 Compagnies régulières -2 A2-2 Constructeurs A A3 Compagnies charters Associations de riverains A A5-2 A4-2 Aéroport de Paris -1 Etat 43 35
36 Matrice Acteurs / Objectifs : principes de lecture (2MAO) O1 O2 O3 O4 O5 Imp. A1 Constructeurs A2 Cies régulières A3 Cies charters A4 Etat A5 Aéroport de Paris A6 Asso. de riverains Implication Σ des valeurs absolues Renforcer les normes sur le bruit Objectif le plus impliquant Acteurs les plus impliqués ENJEUX OBJECTIFS E1 - Définition des avions O1 - Imposer les caractéristiques des avions Accords Σ des (+) Désaccords Σ des (-) % 0% 100% 20% 71% E2 - Marché des avions E3 - Partage des droits de trafic E4 - Marché des vols organisés E5 - Bruits et nuisances autour des aéroports O2 - Défendre et améliorer les parts de marché des constructeurs nationaux O3 - Maintenir le partage des droits de trafic O4 - Développer les vols organisés 44 O5 - Réglementer et renforcer les normes sur le bruit 36
37 45 37 Michel Godet
38 Convergences et divergences : Acteurs x Acteurs 2CAA : Matrice valuées des convergences A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constr ucteur s 0 0 4,0 0 2,0 A2- Compagnies r égulièr es 0 4,0 2,5 4,0 0 A3- Compagnies char ter s 0 4,0 0 8,0 0 A4- Etat 4,0 2, ,0 A5- Aér opor t de Par is 0 4,0 8,0 0 0 A6- Associ ati ons de r i ver ai ns 2, ,0 0 Nombr e de conver gences ( 2Ci) 6,0 10,5 12,0 8,5 12,0 4,
39 2DAA : Matrice valuées des divergences Acteurs x Acteurs A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constructeurs 4,0 3,0 0 3,0 0 A2- Compagnies régulières 4,0 5,0 2,0 4,0 3,0 A3- Compagnies charters 3,0 5,0 4,0 0 2,5 A4- Etat 0 2,0 4,0 3,5 0 A5- Aéroport de Paris 3,0 4,0 0 3,5 2,5 A6- Associations de riverains 0 3,0 2,5 0 2,5 Nombre de divergences (2Di)10,0 18,0 14,5 9,5 13,0 8,
40 3MAO : Matrice des positions valuées et pondérées par les rapports de force «Acteurs x Objectifs O1 O2 O3 O4 O5? A1- Constructeurs +2,5 +3, ,3 7,6 A2 - Compagni es r égul i èr es - 1, , 8-0, 9-2, 8 8, 4 A3 - Compagni es char t er s - 0, 4 0-1, 3 + 1, 3-0, 9 4, 0 A4- Etat 0 +4,1 +2,8 0 +1,4 8,3 A5 - Aér opor t de Par i s - 0, 8 0-1, 7 + 1, 7-1, 7 5, 9 A6- Associ ati ons de r i ver ai ns ,4 3,4?+ +2,5 +7,9 +5,6 +3,0 +6,0?- - 3,2 0,0-3,0-0,9-5,4 Degr é de mobi l i sat i on 5, 7 7, 9 8, 6 4, 0 1 1,
41 50 41 Michel Godet
42 3CAA : Matrice des convergences valuées et pondérées par les rapports de force «Acteurs x Acteurs» A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constr ucteur s 0,0 0,0 5,3 0,0 2,3 A2- Compagni es r égul i èr es 0,0 3,0 2,8 3,6 0,0 A3- Compagni es char ter s 0,0 3,0 0,0 5,0 0,0 A4- Etat 5,3 2,8 0,0 0,0 2,4 A5- Aér opor t de Par i s 0,0 3,6 5,0 0,0 0,0 A6- Associations de riverains 2,3 0,0 0,0 2,4 0,0 Nombre de convergences (3Ci) 7,6 9,4 8,0 10,4 8,6 4,
43 3DAA : Matrice des divergences valuées et pondérées par les rapports de force «Acteurs x Acteurs» A1 A2 A3 A4 A5 A6 A1- Constructeurs 4,2 2,6 0,0 3,2 0,0 A2- Compagnies régulières 4,2 3,2 2,1 3,6 3,1 A3- Compagnies charters 2,6 3,2 3,2 0,0 2,1 A4- Etat 0,0 2,1 3,2 3,8 0,0 A5- Aéroport de Paris 3,2 3,6 0,0 3,8 2,5 A6- Associations de riverains 0,0 3,1 2,1 0,0 2,5 Nombre de divergences (3Di)10,0 16,2 11,1 9,0 13,0 7,
44 Troisième graphe complet des convergences Constructeurs 2,3 A1 A6 5,3 2,4 Associations de riverains A4 Etat 2,8 Compagnies régulières 3,6 A2 A5 3,0 A3 Compagnie charters 5,0 Aéroport de Paris 53 44
45 Troisième graphe complet des divergences -2,6 Compagnies régulières -4,2 A2-3,2 Constructeurs A1-3,1-3,6-2,1 A3 Compagnies charters Associations de riverains A6-3,2-2,5 A5-3,8 A4-3,2 Aéroport de Paris -2,1 Etat 54 45
46 Rapports de force et implication des acteurs Rapport de force faible fort Et at Constr ucteur s Ri ver ai ns AdP Ci es r égul i èr es Ci es char t er s faible for te Implication (somme des positions valuées) 55 46
47 Plan des distances nettes entre objectifs O2-Parts de Marché O3-Droits de trafic O4-Marché des vols organisés O5-Bruits O1-Caractéristiques des avions 56 47
48 Plan Acteurs-Objectifs TA A5-ADP O4 - Vol s or ganisés A3- Cies char ter s A2-Cies régulières O3-Droits de t r af ic O2 - Par t s de Mar ché A4-Etat O1- Définition des av ions A 1- Const r uct eur s A 6- Riv er ains Br uit s- O
49 L ambivalence des acteurs Un acteur peut être à la fois en convergence avec un acteur sur certains objectifs et en divergence avec ce même acteur sur d autres objectifs. L indicateur d ambivalence peut varier, par construction, de 0 (position non ambivalente) à 1 (acteur très ambivalent)
50 Formulation des questions-clés pour la dynamique du jeu des acteurs et l avenir du système S interroger sur la dynamique d évolution du jeu des acteurs pour repérer les règles du jeu possibles dans le futur: Émergence et/ou disparition d un acteur dans le système Changements de rôle d un acteur dans le système Détection des germes de changement des rapports de force entre acteurs Formuler des hypothèses sur le processus d évolution du système possible: Repérage des facteurs qui peuvent affecter et transformer radicalement les relations entre acteurs Influence de variables non contrôlées sur l apparition des conflits 59 50
51 LA MÉTHODE MACTOR Variables clés de l'analyse structurelle et acteurs impliqués Tableau stratégies des acteurs Enjeux stratégiques et objectifs associés Matrice des positions d'acteurs/objectifs 1 MAO Matrices des influences directes MID Matrices des convergences et divergences d'objectifs 1CAA et 1DAA Matrice des positions valuées en fonction de la hiérarchie des objectifs 2 MAO Matrices des influences directes et indirectes MIDI Coefficients des rapports de forces (Ri*) Matrices des convergences et divergences d'objectifs 2CAA et 2DAA Matrices des convergences et divergences d'objectifs 3CAA et 3DAA Matrice des positions valuées pondérées par les rapports de force 3 MAO Recommandations stratégiques pour chaque acteur et questions clés de l'avenir 60 51
52 Prospective de la Distribution automobile d ici à 2008 Le résultat de deux journées d ateliers de prospective avec une vingtaine de concessionnaires en Novembre 2000 A l initiative de Gérard Mennétrier Responsable du Club de prospective du GCR Résultats présentés ici avec son aimable autorisation pour faire réfléchir la profession 61 52
53 5 Enjeux, 4 scénarios, 17 acteurs, 11 objectifs LES cinq enjeux : - La réglementation(exemption 95, Pièces d origine) - impact des TIC sur vente et après-vente - nouveaux acteurs dans l aval - information et fidélisation des clients - relations avec les constructeurs 62 53
54 Repérer les positions des acteurs Pour chaque acteur, on identifie et on évalue sa position vis-vis des objectifs selon l él échelle suivante : 4, lorsque l objectif l remet en cause ou conforte l existence de l acteur l 3, lorsque l objectif l remet en cause ou conforte les missions de l acteur l 2, lorsque l objectif l remet en cause ou conforte les projets de l acteur l 1, lorsque l objectif l remet en cause ou conforte les processus opératoires de l acteurl 63 54
55 METHODE II BASF France MATRICE ACTEURS/ACTEURS Décrire les interactions entre acteurs : influence de l'acteur "i" sur l'acteur "j" acteurs acteurs Acteur 1... Acteur j... Acteur 18 Acteur 1.. Acteur i Acteur 18 Prospective Sûreté alimentaire et Environnement échelle de 0 à 4 64 Octobre
56 METHODE II BASF France MATRICE ACTEURS/OBJECTIFS Positionner les acteurs sur les objectifs : position de l'acteur "k" sur l'objectif "l" objectifs acteurs Objectif 1... Objectif l... Objectif 21 Acteur 1.. Acteur k Acteur 18 Prospective Sûreté alimentaire et Environnement échelle de - 4 à Octobre
57 ACTEURS DOMINANTS, ACTEURS RELAIS, ACTEURS DOMINES BASF France Influence Acteurs dominants Acteurs relais Acteurs autonomes Acteurs dominés Prospective Sûreté alimentaire et Environnement Dépendance 66 Octobre
58 Plan influence dépendance des acteurs de la distribution automobile 67 58
59 Les rapports de force entre les acteurs Michel Godet
60 La mobilisation des acteurs sur les objectifs Michel Godet
61 Ambivalence des Acteurs Michel Godet
62 LES OBJECTIFS CONFLICTUELS " Appliquer le general block exemption en tenant compte des spécificités de l automobile " Favorable Défavorable 13 14,4 Les Les acteurs opposés (loueurs, flottes, grande distribution, spécialistes, consommateurs et et GCR) GCR) l emportent sur sur les les constructeurs automobiles, la la Commission Européenne et et les les grossistes
63 LES OBJECTIFS CONFLICTUELS " Concentrer le réseau de distribution " Favorable 15,5 Défavorable 10,7 Les Les acteurs favorables (amont de de la la filière filière automobile, sociétés de de financement captives du du constructeur et et indépendantes et et dans dans une une moindre mesure les les réseaux eux-mêmes) l emportent sur sur les les acteurs opposés (loueurs, grande distribution, spécialistes, Bruxelles, consommateurs, grossistes et et garagistes) 72 63
64 LES OBJECTIFS CONFLICTUELS " Innover par la qualité et les services pour fidéliser le client " Favorable Défavorable 12,4 11 D un D un côté côtéles les consommateurs, les les pouvoirs publics, les les réseaux, les les équipementiers, les les bancassureurs et et les les grossistes (acteurs favorables), de de l autre l autre les les constructeurs et et leurs leurs sociétés de de financement, la la grande distribution, les les spécialistes et et les les mandataires
65 LES OBJECTIFS CONFLICTUELS " Maîtriser la rentabilité des réseaux " Favorable 12,4 Défavorable 8,6 Les Les acteurs favorables (l amont de de la la filière filière automobile :: les les constructeurs et et leurs leurs sociétés de de financement, les les équipementiers) l emportent sur sur les les opposants (Commission Européenne, consommateurs, les les réseaux et et les les bancassureurs) 74 65
66 Conclusions stratégiques Suppression de l exemption, une bonne nouvelle si clause du client le plus favorisé Devenir adulte vis-à-vis des constructeurs partenariats avec les Organismes de Crédit Services de Location LD sur VO Initiatives sur la pièce de rechange, le VO récent 75 66
67 Conclusions stratégiques Developper le multimarquisme Réfléchir à l avenir en commun avec les autres distributeurs Pour en savoir plus : contacter Gérard Mennétrier 76 67
68 Cercle prospective des filières agricoles et alimentaires animé par le CNAM et BASF Basf Agro France et la filière agricole et agroalimentaire L avenir en commun 77 68
69 Les objectifs de départ (1995) Une demande latente dans l amont de la filière agricole : ne pas répéter l absence d anticipation des ruptures et évolutions majeures du début des années 90 : - la réforme de la PAC (1992) - les règles du GATT de Marrakech (1994) - la montée des exigences sanitaires et environnementales Un double objectif pour BASF Agro France - anticiper les évolutions du futur - nouer avec ses clients des relations différentes, autour de la construction de visions partagées de l environnement de la filière Une réponse progressive à la demande répétée des clients 78 69
70 Une méthode de travail éprouvée Un Cercle qui s est développé à partir d une réflexion partagée entre BASF et ses clients (coopératives et négoces agricoles) Un élargissement régulier du Cercle aux agriculteurs, aux IAA, à la grande distribution, aux associations de consommateurs Une ouverture à l extérieur de la filière vers les pouvoirs publics et les autres acteurs Une large diffusion des résultats : publications, assemblées générales de coopératives, colloques, séminaires,... Une conférence de presse en 2003 pour alimenter le débat sur la réforme de la PAC 79 70
71 Les principes directeurs de la démarche Choisir de répondre précisément aux questions des clients, professionnels de la filière Faire faire la prospective par ceux qui vont en utiliser les résultats : les acteurs de la filière Employer des méthodes adaptées aux délais et aux moyens disponibles Choisir des outils simples, concrets et appropriables, porteurs de l'expertise collective Associer des experts et autres acteurs pour élargir la réflexion, valider et compléter les résultats Utiliser les résultats pour poser les bonnes questions et orienter les travaux à venir 80 71
72 Une «démarche type» annuelle Un processus sur 9 à 10 mois Une journée de lancement Trois à cinq réunions de travail (1/2 à 1 journée) Une méthode choisie selon la question posée Un travail en «back office» (recherche documentaire, rédaction, animation) Des apports extérieurs (conférences, entretiens ) Un séminaire de synthèse élargi à d autres acteurs 81 72
Analyse du jeu des acteurs
Analyse du jeu des acteurs Pr Lotfi Bouzaïane Pr Rim Mouelhi Projet de M2PA Université Virtuelle de Tunis 2008 Analyse du jeu des acteurs Objectifs de la séquence : Initier les étudiants à l'utilisation
Plus en détailprofessionnelle des jeunes adultes. Analyser les stratégies d'acteurs La méthode Mactor
Dominique Espanol 110, rue de Charenton / 75012 Paris 0144755129 j 9. n auditeur: 1154526 L'insertion professionnelle des jeunes adultes. Analyser les stratégies d'acteurs La méthode Mactor Cours de prospective
Plus en détailForum Agropur Coopératives agricoles : Renforcer la compétitivité et saisir les nouvelles opportunités
www.pwc.com Forum Agropur Coopératives agricoles : Renforcer la compétitivité et saisir les nouvelles opportunités Un modèle fortement développé en Europe Nombre de coopératives du Top 50 par région 38
Plus en détailMobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Plus en détailFORMATION RESPONSABLE COMMERCIAL EN AGROBUSINESS TITRE DE NIVEAU II contenu des modules de formation
Niveau Code Module Intitulé Unité d Enseignement Objectifs B B AF 2 Agro-fourniture Agro-ressources Acquérir une connaissance approfondie du marché des céréales alimentaires et non alimentaires dans un
Plus en détailLa gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises
La gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises Les plates-formes aéroportuaires fournissent l exemple de réseaux d entreprises concentrées sur un site avec
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détail«L avenir ne se prévoit pas, il se prépare. pare» Maurice Blondel Philosophe. Prospective stratégique et conduite du changement
Prospective stratégique et conduite du changement Il n y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va! ( Sénèque) «L avenir ne se prévoit pas, il se prépare pare» Maurice Blondel Philosophe
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailThème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise
Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailRENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE. Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements
RENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements Introduction: objectifs et cadre général (1/2) ATELIERS REGIONAUX THEMATIQUES Objectifs
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailTaaS. Cahier des charges application mobile Master MDSI. Transport as a Service. Business Process Reengineering
Business Process Reengineering Cahier des charges application mobile Master MDSI TaaS Transport as a Service Peter Hartlieb François-Xavier Verriest Table des matières Business Model... 4 Cible... 4 Partenaires...
Plus en détailMONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE
MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE 2015 Résumé Le niveau et la dynamique de développement du transport aérien suisse sont analysés et évalués dans le cadre d un vaste monitoring
Plus en détailNOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE
NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE Révision : 16/04/07 Impression : 16/04/07 NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE 2 JUSTIFICATION DU PROJET Le Sénégal a connu depuis la dévaluation de 1994
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailLA LOGISTIQUE GLOBALE ET LE SUPPLY CHAIN MANAGEMENT Enjeux principes exemples. Philippe-Pierre Dornier Michel Fender. Deuxième édition 2007
Philippe-Pierre Dornier Michel Fender LA LOGISTIQUE GLOBALE ET LE SUPPLY CHAIN MANAGEMENT Enjeux principes exemples Deuxième édition 2007, 2007 ISBN : 978-2-7081-3384-6 Sommaire Remerciements... V Préface...
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailIntroduction commune. Une présentation dynamique des programmes
Programme de l enseignement de sciences de gestion en classe de première et programmes des enseignements spécifiques des spécialités de la classe terminale de la série sciences et technologies du management
Plus en détailDonnées des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion
Données des SIM Bases de données produits Identification, caractéristiques techniques, caractéristiques commerciales (prix, unités de vente, fournisseurs), état des stocks, ventes réalisées Bases de données
Plus en détailF.A.Q. Ce taux est supérieur d environ 50% à la moyenne nationale des entreprises créées. Démarrer en pépinière permet de prendre le bon départ!
F.A.Q. Qu est ce qu une pépinière d entreprise? «Une pépinière d'entreprises est un organisme de développement économique local généralement soutenue par un organisme public (communes, communautés d agglomération,
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détailBILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.
- 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour
Plus en détailManagement Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques
L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les
Plus en détailLe marché de l isolation thermique des murs et des toitures
Le marché de l isolation thermique des murs et des toitures Les études Les chiffres clés du marché» - Edition Juillet 2014 - Un marché morose Impacté par les tensions sur les indicateurs économiques et
Plus en détailLa fonction achats fonction achats internes extérieur
L objectif de la fonction achats est de mettre à la disposition des utilisateurs internes de l entreprise des biens et/ou des services acquis à l extérieur dans les meilleures conditions de prix, de délais,
Plus en détailI) Le diagnostic externe
Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailLe capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur
Clubs Mines-Energie et Mines-Finance - Le capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur Franck Rabut - NovaWatt Président
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailAssurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances
Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Une analyse de fond des forces en présence et des impacts en matière de développement pour les compagnies d assurances Un écosystème
Plus en détailQuel contrôle de gestion pour les ONG 1?
Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans
Plus en détailUn Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!
Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une
Plus en détailSystèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes
Systèmes de Management Intégré (SMI) Instrumentation, Contrôle et Management des Systèmes QUALITE SECURITE ENVIRONNEMENT OUTIL DE PILOTAGE MIS A LA DISPOSITION DES ORGANISMES Système : ensemble d éléments
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détailL éthique dans la société contemporaine
L éthique dans les entreprises en contexte de gestion de crise dans le secteur agroalimentaire Horizon Marketing agroalimentaire 2009 Jeudi15 octobre 2009 M e Manon Beaumier, DSG-UQTR L éthique dans la
Plus en détailv060613 LES FONDAMENTAUX DE LA PERFORMANCE COMMERCIALE EN ETT
v060613 LES FONDAMENTAUX DE LA PERFORMANCE COMMERCIALE EN ETT OBJECTIF FINAL Acquérir les fondamentaux de la performance commerciale en ETT OBJECTIFS PEDAGOGIQUES A l issue de la formation les stagiaires
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailLes outils classiques de diagnostic stratégique
Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailL'ouverture à la concurrence
[Extrait] CONSOMMATION ET CONCURRENCE RÉGLEMENTATION Services en réseaux L'ouverture à la concurrence Article du bureau Économie des réseaux, de la direction de la Prévision et de l analyse économique.
Plus en détailCHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS,
CHAPiTRE 2 LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANCAIS, ( Le système ÉLECTRIQUE français Le nouveau groupe de production qui serait implanté à Flamanville s inscrit dans l ensemble du système électrique français dont
Plus en détailRÉFÉRENTIEL BTS TRANSPORT ET PRESTATIONS LOGISTIQUES
RÉFÉRENTIEL BTS TRANSPORT ET PRESTATIONS LOGISTIQUES INSTITUT NEMO 36/38 avenue Pierre Brossolette 92240 MALAKOFF Tel : 01 79 41 13 40 Fax : 01 49 85 00 04 n VERT : 0800 80 40 22 Nouveau référentiel applicable
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailAnnexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes.
Annexe III : Intervention professionnelle en service sociale : Intervention sociale d'aide à la personne (ISAP) et intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC) - définitions et exemples - Dans le cadre
Plus en détailGuide manager pour l entretien professionnel
- 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités
Plus en détailLe SAV 2.0. Atelier Adetem. 19 mars 2014. Emmanuel MIGNOT. www.teletech-int.com
Le SAV 2.0 Atelier Adetem 19 mars 2014 Emmanuel MIGNOT 1. Adopter un point de vue global sur la rentabilité du support client et non plus focalisé sur la réduction des coûts de ce service. 2. Quelques
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailGestion Administration
Gestion Administration SCÉNARIO PÉDAGOGIQUE DU LYCÉE CLARET TOULON 1 ère étape Création d une activité commerciale Objets de décoration 1 ère réunion informelle de travail Problématique associée au lancement
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailAgriculture et Finances
Agriculture et Finances Quelles régulations pour une allocation optimale des capitaux? Cahier n 12 Présentation générale du Cahier Dans les systèmes d économie de marché des pays développés comme des pays
Plus en détailJOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION
JOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION Dans le cadre du contrat de filière de l industrie agroalimentaire coordonné par la Région Nord-Pas de Calais et la DRAAF, le pôle d excellence
Plus en détailCONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME
CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME La Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) est une organisation
Plus en détailLes risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier?
Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Alger, le 23-24 Novembre 2009 Présentée par: Mlle Amina NADJI Doctorante en 3ème année sciences économiques (CRIISEA, Centre
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailMaster "Generating Eco Innovation"
International chair in "Generating Eco-innovation" Master "Generating Eco Innovation" Programme pédagogique 2009-2010 UE 1 : Prospective et compétitivité internationale (88 heures) UE 11 : Nature de l
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailLa Commission européenne
La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailAccompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE
O Reilly Consultants est un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, formation et coaching qui vise à réconcilier l épanouissement individuel : Accompagner les individus dans la réappropriation
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailCIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser
CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser 2 PLAN : 1 ère Partie : L information : un outil de gestion stratégique
Plus en détailAvis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique
Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté
Plus en détailPROGRAMME DETAILLE DU «STAGE MASTER DE REPRISE D ENTREPRISE»
PROGRAMME DETAILLE DU «STAGE MASTER DE REPRISE D ENTREPRISE» I - CADRER SON PROJET A - Mon profil particulier de repreneur : caractéristiques et points forts B - Mes facteurs clés de réussite et mes points
Plus en détailUne stratégie Bas Carbone
Colloque UFE - Mardi 17 juin 2014 Une stratégie Bas Carbone au service de la Transition énergétique Comment réussir la Transition énergétique à moindre coût? 1 12 Contexte A la veille de la présentation
Plus en détailIUT Info-Com 2 ème année LE MARKETING DIRECT. Sandrine Michel. Formation 2012. sandrine.michel@gmail.com
Sandrine Michel 1 LE MARKETING DIRECT Formation 2012 sandrine.michel@gmail.com Objectifs : Comprendre ce qu est le marketing direct Comprendre comment il s inscrit dans le secteur de la communication Connaître
Plus en détailAssociation pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration
Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation
Plus en détailRENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES
LA GARANTIE DE L AUTOMOBILE LA COMPAGNIE AUTOMOBILE D ASSURANCE ET DE REASSURANCE ASSOCIÉES est une société de souscription et de gestion en assurance et en réassurance qui RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR
Plus en détailMéthodes de comptabilisation des coûts à des fins de régulation
Méthodes de comptabilisation des coûts à des fins de régulation Sylvain Géron Directeur Associé Polyconseil 22/05/2008 Polyconseil - sylvain.geron@polyconseil.fr Polyconseil Directeur associé : - ARCEP,
Plus en détailMarketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique
Marketing stratégique : Du diagnostic au plan marketing stratégique Dossier 2 : Approches et modèles d analyse stratégique Ce dossier présente, en particulier sur un plan méthodologique, des approches
Plus en détailBaromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive
Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive La perception des salariés sur l épargne salariale Toute diffusion de résultats tirés de cette étude doit être accompagnée de la mention
Plus en détailPÉRENNISER LA PERFORMANCE
PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013
La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document
Plus en détail20 propositions visant à assurer la mise en application du principe de développement durable au transport aérien
20 propositions visant à assurer la mise en application du principe de développement durable au transport aérien Concevoir un système aéroportuaire francilien équilibré Il s agit de penser le «système
Plus en détailFiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export
Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases
Plus en détail