M2 RSN Contrat de professionnalisa4on «Méthodologie et pilotage du changement» D. Glaymann Chapitre 2

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1 Chapitre 2 Analyse et conduite du changement : les apports des sciences sociales. Analyse et conduite du changement : les apports des sciences sociales. 1. Les apports des théories et méthodes sociologiques 2. Le comportement des individus dans un contexte de changement 1. Les apports des théories et méthodes sociologiques

2 Les deux grandes approches sociologiques tradi=onnelles L approche holiste L approche individualiste Marx, Durkheim, Bourdieu Tocqueville, Weber, Boudon L approche holiste : pour saisir la façon dont les hommes agissent; on doit étudier les mécanismes et les déterminismes qui les enserrent dans leur cadre social. L individualisme méthodologique : il faut analyser les actes individuels et les interactions pour comprendre le fonctionnement de la société que ces acteurs produisent. Les faits sociaux sont : «des manières d agir, de penser et de sentir, extérieures à l individu, et qui sont douées d un pouvoir de coercition en vertu duquel ils s imposent à lui». «La société n est pas une simple somme d individus, mais le système formé par leur association représente une réalité qui a ses caractéristiques propres». É. Durkheim, Les Règles de la méthode sociologique, 1895

3 «Je ne suis pas naïf, j ai conscience que le poids de mon passé pèse encore sur moi et me donne peu de marge de manœuvre» «J aurais aimé être fils de prof, aller dans un lycée de bourges, fréquenter des salles de concert et les bars branchés, et voté socialiste ou Vert pour me donner bonne conscience.mais non, je suis fils d esclaves ayant grandi dans la merde, entourés de personnes sans espoir, ni volonté (ou plutôt possibilité) de réussir je terminerai par cette affirmation : RIEN n est fait pour nous» Y. Amrani, S. Beaud, Pays de malheur!, 2004 La sociologie «se doit d adopter des méthodes strictement individualistes». M. Weber, 1920

4 «Nous appelons sociologie une science qui se propose de comprendre par interprétation l activité sociale et par là d expliquer causalement son déroulement et ses effets.» «Nous entendons par activité un comportement humain, quand et pour autant que l agent ou les agents lui communiquent un sens subjectif. Et par activité sociale, l activité qui, d après son sens visé par l agent ou les agents, se rapporte au comportement d autrui, par rapport auquel s oriente son déroulement.» M. Weber, Économie et société, 1921 Comportement traditionnel Comportement affectuel Rationalité en valeur Rationalité en finalité Habitudes, coutumes Sentiments, émotions Convictions (éthiques, politiques, religieuses) Adaptation des moyens aux buts pour l efficacité + - I N T E N T I O N N A L I T É «Pour le sociologue, comprendre le comportement d un acteur c est donc le plus souvent en comprendre les raisons ou les bonnes raisons.» R. Boudon, Traité de sociologie, 1992

5 La rationalité instrumentale : l individu agit pour atteindre un objectif. La rationalité cognitive : l individu agit sur la base d un raisonnement. La rationalité axiologique : l individu agit en référence à des valeurs. Intentions (motifs, buts) Point de vue subjectif Réalités objectives Actes Résultats observés Conséquences attendues : les résultats coïncident avec les intentions. Conséquences inattendues : les résultats ne coïncident pas avec les intentions. «face à des actions apparemment incompréhensibles, c est probablement faire une excellente hypothèse que de poser qu elles semblaient être une bonne idée pour les gens qui les ont faites au moment où ils les ont faites. Le travail d analyse consiste alors à découvrir les circonstances qui ont poussé l agent à penser que c était une bonne idée.» H. Becker, Les Ficelles du métier, 2002

6 «Si les hommes définissent leurs situations comme réelles, elles sont réelles dans leurs conséquences.» I. Thomas «Les hommes réagissent non seulement aux caractères objectifs d une situation, mais aussi, et parfois surtout, à la signification qu ils donnent à cette situation. Et cette signification, une fois donnée, détermine le comportement qui en résulte avec ses conséquences. ( ) Les définitions collectives d une situation (prophéties et prévisions) font partie intégrante de la situation et affectent ainsi ses développements ultérieurs. Ce fait est particulier à l homme et ne se retrouve pas ailleurs dans la nature. Les prévisions sur le retour de la comète de Halley n influent pas sur son orbite. Mais la rumeur de l insolvabilité de la banque de Millingville eut une conséquence directe sur son sort. Prophétiser son effondrement suffisait à le provoquer. La prédiction créatrice débute par une définition fausse de la situation. Provoquant un comportement nouveau qui rend vraie la conception fausse à 1 origine. La spécieuse véracité de la prédiction créatrice engendre une suite d erreurs. Car le prophète arguera des événements pour montrer qu il avait raison.» R. Merton, Éléments de théorie et de méthode sociologique, 1997 «Nous sommes ( ) poussés à former des concepts absurdes comme celui d individu et de société, qui font apparaître l individu et la société comme deux choses différentes ( ) bien que l on soit à un autre niveau, parfaitement conscient du fait que les sociétés sont formées par des individus et que ceux-ci ne peuvent acquérir leur caractère spécifiquement humain ( ) qu en fonction de leur relation aux autres, donc en société» N. Élias, Qu est-ce que la sociologie?, 1991

7 «Un processus récursif est un processus où les produits et les effets sont en même temps causes et producteurs de ce qui les produit. On retrouve l exemple de l individu, de l espèce et de la reproduction. Nous, les individus, nous sommes les produits d un processus de reproduction qui est antérieur à nous. Mais une fois que nous sommes produits, nous devenons les producteurs du processus qui va continuer. Cette idée est valable aussi sociologiquement. La société est produite par les interactions entre individus, mais la société, une fois produite, rétroagit sur les individus et les produit.» / «Le tout est dans la partie qui est dans le tout.» E. Morin, Introduction à la pensée complexe, Le comportement des individus en contexte de changement Deux cas de changement Changement non planifié Changement planifié Changement spontané, involontaire, imprévu. Changement délibéré dans une situation jugée insatisfaisante ou inadaptée, mise en œuvre d actions liées à une analyse systématique de la situation de départ

8 Les quatre phases de pilotage d un changement planifié 1. Diagnostic de la situation insatisfaisante 2. Planification du changement 3. Exécution de l action 4. Évaluation de l action Les forces en présence en cas de changement Point d arrivée souhaité Forces centripètes à mobiliser Point de départ Points d arrivée non souhaités Forces centrifuges à démobiliser Les principes lewiniens du changement Rien n a une plus grande valeur, une plus grande légitimité que ce que l on a décidé de faire soi-même. Une fois que l on a adhéré volontairement à une idée, on a tendance à s y conformer. La prise de décision en groupe engage plus à l action qu une décision individuelle. Pour avancer efficacement, il faut identifier les facteurs de résistance.

9 Les principaux facteurs de résistance La peur de l inconnu Le manque de moyens La peur de perdre des acquis ou du pouvoir Un moment inopportun L inutilité perçue du changement Les trois étapes du changement selon Lewin Décristallisation Instauration du changement Recristallisation Différentes analyses du changement Situation A Situation B Analyse du processus permettant de passer de A à B. Analyse de B sous l angle des (différences avec A. Vision constructiviste du changement Vision classique du changement

10 Références bibliographiques du chapitre 2 Alter N. (2005). L innovation ordinaire. PUF. Amrani Y., Beaud S. (2004). Pays de malheur! Un jeune de cité écrit à un sociologue, La Découverte. Barbusse B., Glaymann (D.) (2015). La sociologie en fiches. Ellipses. Becker H. (2002). Les ficelles du métier. La Découverte. Boudon R. (2003). Raison, bonnes raisons. PUF. Corcuff P. (2011). Les nouvelles sociologies. Armand Colin. Durkheim É. (2004). Les règles de la méthode sociologique [1895]. PUF. Élias N. (2003). Qu est-ce que la sociologie? [1991]. Pocket. Morin E. (2005). Introduction à la pensée complexe. Seuil. Weber M. (1990). L éthique protestante et l esprit du capitalisme (1904). Pocket.

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