République Centrafricaine

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "République Centrafricaine"

Transcription

1 République Centrafricaine EVALUATION RRM Village de Bowara, Sous-préfecture de Nana-Bakassa, Préfecture de l Ouham. RCA Maison brûlée dans le village de Bowara 07 Mai 2015 Rapport d évaluation complet MSA ACTION CONTRE LA FAIM Quartier Sissongo, SICA 1 Bangui, RCA

2 1. INTRODUCTION OBJECTIFS DE L EVALUATION DATES DE LA VISITE METHODOLOGIE COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DES ZONES D EVALUATION LIMITES DE L EVALUATION RÉSULTATS CONTEXTE LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE SANTE ET NUTRITION EDUCATION PROTECTION ANNEXE 1. MÉTHODOLOGIE D ÉVALUATION ANNEXE 2. DONNÉES POINTS D EAU ANNEXE 3. DONNÉES EDUCATION

3 RECOMMANDATIONS Abris/NFI Distribution de kits NFI allégés (bâches, nattes, moustiquaires, savons, seaux) aux ménages retournés du village de Bowara. Action planifiée : ACF Appui à la reconstruction des maisons détruites des ménages retournés. Action planifiée : CRS Sécurité Alimentaire Distribution de semences accompagnée par une ration alimentaire de 15 jours; Distribution d outils agricoles et promotion d AGR. Action planifiée : Aucune WASH : Eau, Assainissement et Hygiène (EAH) Réhabilitation de 02 forages de type India Mark II; Promotion / plaidoyer pour la construction de latrines familiales ; Activités de promotion à l hygiène dans le village. Action planifiée : Aucune. SANTE / NUTRITION : Mise en place d une clinique mobile dans le village de Bowara ; Dépistage à base communautaire de la malnutrition aiguë dans le village. Action planifiée : Aucune. EDUCATION Construction d un espace d apprentissage dans le village Bowara ; Dotation des élèves et les enseignants en kits scolaires. Action planifiée : Aucune. PROTECTION Monitoring protection ; Evaluation approfondie en VBG dans le village de Bowara. Action planifiée : Aucune. 1. INTRODUCTION 1.1. OBJECTIFS DE L EVALUATION Mener une évaluation multisectorielle RRM dans le village Bowara, commune de Nan- Bakassa, sous-préfecture de Nana-Bakassa, préfecture de l Ouham DATES DE LA VISITE Les activités relatives à l évaluation multisectorielle se sont déroulées le 04 Mai METHODOLOGIE L évaluation RRM s est basée sur la méthodologie standard d évaluation RRM en RCA. Elle est donc organisée autour de la collecte de données quantitatives et qualitatives. La collecte des données quantitatives a consisté à l administration d un questionnaire ménages auprès de 93 ménages retournés. Les données qualitatives ont été recueillies à travers des groupes de discussions, des entretiens avec les différents acteurs communautaires. 3

4 Les informations recueillies auprès des différentes sources ont été confirmées et validées par plusieurs acteurs communautaires de référence. (Voir annexe 1 pour plus d information sur la méthodologie) 1.4. COUVERTURE GEOGRAPHIQUE ET LOCALISATION DES ZONES D EVALUATION Cette évaluation RRM a couvert le village Bowara, sur l axe Kouki-Batangafo, dans la préfecture de l Ouham, sous-préfecture de Nana-Bakassa dont les coordonnées GPS de la localité sont : - Latitude : 07 10'11.14'' N - Longitude : 17 23'03.14''E Fig. 1. Carte de la couverture géographique de l évaluation RRM 1.5. LIMITES DE L EVALUATION L évaluation RRM est basée sur des outils multisectoriels standards. Les résultats de cette évaluation sont utilisés pour identifier des besoins humanitaires d urgence immédiats. Il est suggéré d effectuer des enquêtes plus approfondies afin de disposer d informations plus précises sur des secteurs particuliers tels que la santé, la nutrition et l état psychologique de ces populations. Avec l absence de structures de santé à Bowara, l équipe n a pas pu collecter des données sanitaires et nutritionnelles. 2. RÉSULTATS 2.1. CONTEXTE Le village de Bowara se situe à environ 9 Km de celui de Kouki et 100 Km de la ville de Batangafo. Le village ne dispose pas de centre de santé. Le centre de santé le plus proche est à Nana Bakassa à 31 Km de Bawara et la clinique mobil mis en place par MSF dans le 4

5 village de Kouki. La population retournée du village est estimé à environ ménages provenant Bossangoa, Nana Bakassa, Bangui et de la brousse environnante dans le village de Bowara. La fuite des ménages de Bowara était liée aux multiples attaques de groupes armés dans ladite localité couvrant la période de juillet 2013 à Avril En effet, il est situé sur l axe Kouki Batangafo qui est un axe privilégié pour atteindre Paoua et le Tchad. Bowara a subi les affres de la guerre, des maisons ont été pillées, détruites et incendiées. Le dernier choc remonte d avril En termes d infrastructures hydraulique, un seul forage sur les trois existants est fonctionnel. Ce qui entraine une forte pression sur cet ouvrages avec pour conséquences une longue file d attente à ce point d eau et l approvisionnement auprès d une rivière par certains ménages à environ 2 Km du village. De même l accès à l assainissement est précaire. Seulement 1% des ménages ont accès à des latrines et plus grave, elles ne sont pas hygiéniques 2. Le taux de diarrhée au cours des 2 dernières semaines précédant l évaluation RRM est de 32 %, certes inférieur au taux d urgence de 45 % mais supérieur à la tendance observé en 2010 qui est de 21,8 % dans l Ouham à travers le MICS. Aucune couverture réseau à Bowara de même qu aucun poste avancé de la gendarmerie, la MINUSCA et la Sangaris. Ce sont les milices d auto-défense de la zone qui y assurent la sécurité LE CHOC ET SES CONSEQUENCES EN TERMES DE DEPLACEMENT DE POPULATION Le village Bowara situé à 89 kilomètres de Bossangoa, sur l'axe Kouki-Batangafo, a été la cible de plusieurs attaques de groupes armées depuis juillet Ces multiples attaques ont entrainé la fuite des populations dans la brousse et en direction d'autres villes et villages environnants. Plus d'une année après, les stigmates de la violence de ces attaques restent toujours visibles dans le village à travers les maisons incendiées, partiellement ou totalement détruites. Réfugiés dans la brousse, à Bossangoa, à Bangui, à Nana-Bakassa et à Kouki lors de la crise, les ménages de Bowara ont entrepris, il y a quelque mois, de revenir dans le village. Ces mouvements de retour de la population s expliquent par le rétablissement progressif de la sécurité dans la zone. A cela s ajoute des multiples actions de réconciliation entre les éleveurs armés et les natifs/autochtones de la localité ABRIS ET BIENS NON-ALIMENTAIRES (NFI) ABRIS Les constats en matière d abris de la population de Bowara sont alarmants et nécessite une intervention d urgence afin d améliorer leurs conditions d habitation. Répartition des ménages selon l'état des abris 20,43% 44,09% 35,48% Non endommagé Dégats lourds Desctruction totale Ainsi, plus de la moitié de la population (65 %), les ménages enquêtés habitent dans des maisons en mauvais état (détruites ou semidétruites). Les maisons ont été soit détruites par les hommes en armes lors de l attaque du village ou par le feu de brousse après l abandon du village par les habitants lors des attaques répétés. Les retournés sont en plein reconstruction de leurs maisons. Mais cette dynamique de construction est freinée par un manque de certains matériaux locaux comme la paille nécessaire à la confection de toiture des maisons. 1 Source d information : Les notables de Bowara 2 Présences de mouches, odeurs, cafards, matière fécales au sol, etc. 5

6 A cela s ajoutent d autres analyses relatives aux abris. La proportion des ménages hébergeant au moins un autre ménage est de 9%, le nombre moyen de personnes hébergées qui est de 3,5 et la répartition de ménages par nombre de mètre carré par personne habitant un même abri est de 3,4 m 2 inférieur au seuil de 3,5. Norme recommandée par les standards SPHERE. Cet indicateur inférieur aux standards s explique par le fait que la population retournée, par manque de matériels locaux, construit des abris de dimensions réduites par rapport à leurs maisons avant le choc (Cf. : figure 2). Fig.2 : Maison abritant 11 personnes détruite et une autre de 7,5 m 2 construite après leur retour à Bowara Statut d'occupation de l'abri 3,2% 1,1% 0,0% 0,0% 0,0% 0,0% 10,8% 84,9% Propriétaires Locataires En maison privée de prêt Site Collectif Camp Cabanne hors site Famille d'accueil Pas d'abri Les résultats de l évaluation multisectorielle (MSA) de la localité de Bowara révèlent qu en termes de statut résidentiel, les indicateurs sont les suivants : 1% des ménages enquêtés sont hébergés par une famille d accueil, 3% habitent les cabanes hors site, 11% habitent dans des maisons privées de prêt et 86% résident dans leurs propres maisons. BIEN NON-ALIMENTAIRES (NFI) L étude de la vulnérabilité des déplacés dans le village de Bowara se base notamment sur l évaluation de la disponibilité de certains biens-non alimentaires via l utilisation du score NFI comme indicateur. En effet, suite aux multiples crises qu a connues la population de ladite localité, la situation des ménages retournés de Bowara en NFI (articles non-alimentaires) est déplorable avec un score de 4,4. Le scores des articles non-alimentaires tels que ; les Couvertures (4,8), les Moustiquaires (4,9), les éléments de couchage (3,6), les Casseroles (4,4), les Bidons (4,1), les Seaux (4,9) et les Habits des enfants (4,2) sont tous largement au-dessus du seuil d urgence qui est de 3,5. L accès difficile au marché et un manque de moyen financier expliquent pourquoi jusqu à aujourd hui les ménages n ont pas encore acquis d autres articles non-alimentaires en remplacement de ceux dont ils ont perdu lors des attaques. 6

7 Score NFI de la population de Bowara Habit enfant - complet 3,8 Couverture et Drap Moustiquaire 4,8 4,9 Couchage (natte, matelat) 3,6 Seau 4,9 Casserole Bidon Score Total 4,1 4,4 4,4 0,0 1,0 2,0 3,0 4,0 5,0 6,0 Score (5=plus inquietant) Les observations soulignées, relatives aux conditions d habitations, par l équipe d évaluation de RRM/ACF laissent voir un état de dénuement avancé avec très peu d articles de couchage (nattes ; couvertures, draps, moustiquaires ). Certains ménages dorment à même le sol ou sur des couchages fabriqués à base de feuille de la forêt. Cette situation expose les ménages et surtout les enfants aux diverses maladies telles que les Infections Respiratoires Aigües (IRA), le paludisme et autres EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIENE EAU % ménages par source Principale d eau potable Forage Rivière/fleuve/marigot/ruisseau 78% 22% Ils se posent un problème majeur d accès à l eau potable au village Bowara. D après les résultats de l enquête, seulement 22% des ménages ont accès à une source d eau à boire améliorée qui provient de l unique forage fonctionnel du village sur les trois existants. Sur les deux forages non opérationnels, l un est en pan depuis 1993 et il y a 3 mois. De plus, il y a que 17 % des ménages enquêtés qui déclarent avoir un accès facile en distance (<500m) et en temps (<15mn) à une source d eau protégée. Les longues files d attentes et la pression auprès du forage fonctionnel oblige la plus parts des ménages à s approvisionner en eau dans la rivière située à presque 2 kilomètres du village. 78 % des ménages enquêtés consomment l eau de la rivière «Nana». Le nombre moyen de litres d'eau potable utilisés par les ménages par jour s élève à 94,6 litres, ce qui représente 18,92 litres par personne et par jour. Ce score est largement supérieur à la norme sphère de 15 litres par personne par jour (version SPHERE 2011). 94, 6 7

8 ASSAINISSEMENT Les conditions au plan d assainissement est problématique dans le village Bowara. La défécation à l air libre est pratiquée par 99% des ménages de ladite zone. Seulement 1% des ménages ont l accès aux latrines et aucune des latrines n est hygiénique. On constate l absence des trous ou points à ordure dans le village. Par ailleurs la mission d évaluation note la présence de quelques latrines abandonnées dans la zone d évaluation. HYGIENE Le niveau de connaissance sur les pratiques d hygiène est quasi nul. Aucun des ménages enquêtés n a pu citer les trois moments clés de lavage des mains et pourtant la grande majorité déclare se laver les mains avant le repas. De même, aucun ménage n a déclaré se laver les mains avec les cendres ou du savon et pourtant 12% des ménages disposent du savon. Ces résultats mettent en évidence le manque de notions des bonnes pratiques d hygiène. L accès difficile au marché, la rareté des produits manufacturés et le faible moyen financier sont des facteurs déterminants qui expliquent la rareté du savon dans les ménages SANTE ET NUTRITION MORTALITE Le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est de 0,4% et le taux brut de mortalité est de 0,08%, tous en-dessous de seuil d alerte respectivement 2 et 1. Il a été signalé à l équipe d évaluation plusieurs cas de morts violente pendant les différents attaques, ceux-ci n ont pas eu lieu durant la période de rappel de cette évaluation, ces trois derniers mois. MORBIDITE Selon les ménages enquêtés, les pathologies les plus fréquentes à Bowara chez les enfants de moins de 5 ans dans les 15 jours précédant l enquête sont : la diarrhée (37%) dont 2% de diarrhée sanglante, le paludisme (46%), la toux ou les infections respiratoire aiguë (11%). Le village de Bowara ne dispose pas de structure de santé. La mission n a donc pas eu accès à des données de morbidité provenant d une structure sanitaire. Avec le début de la saison pluvieuse et les conditions précaires en termes d hygiène et assainissement, il risque d avoir une augmentation des pathologies d origine hydrique, fécale et du paludisme. 8

9 Proportion d'enfants malades et ceux pris en charge 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 28% 32% 22% 46% 11% 11% 0% 2% Diarrhées Paludisme Toux Diarrhées sanglantes Dont ceux pris en charge durant les 15 jours Pourcentage d'enfants malades durant les 15 jours NUTRITION Le village de Bowara ne dispose pas de structure de prise en charge nutritionnelle. Le centre de plus proche est l unité nutritionnelle de MSF à Kouki (9 km du village) qui reçoit chaque deux semaines des enfants pour la prise en charge des enfants malnutries modérés. Selon les habitants du village, il y aurait 20 enfants qui seraient pris en charge dans ladite structure. Cependant, sur les 43 enfants dépistés pour la malnutrition par la prise de périmètre brachiale et la recherche des œdèmes, aucun cas de la malnutrition aigüe n a été identifié. Avec l approche de la période de soudure dans la zone, la situation nutritionnelle nécessite une surveillance SECURITE ALIMENTAIRE ET MOYENS D EXISTENCES DISPONIBILITE ET ACCESSIBILITE ALIMENTAIRE 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Proportion (%) de ménages ayant des ressources (stock de vivres, champ de produits vivriers ou de l argent) pour assurer la nourriture du ménage pendant une période donnée 85% 1 semaine et moins 3% 4% 6% 1 semaine et moins 2 semaines 3 semaines 4 semaines Plus de 4 semaines 1% 2 semaines 3 semaines 4 semaines Plus de 4 semaines Après l analyse de la disponibilité alimentaire auprès des ménages, 85% ont déclaré avoir une réserve alimentaire que pour une semaine et moins. Par ailleurs, seulement 6% de ménages enquêtés déclarent avoir des stocks pour au moins un mois (4 semaines). DRC a réalisé une distribution de semence en Mai Malheureusement, les habitants ont déjà consommé une bonne partie de leurs semences. En effet, les attaques et les représailles répétées dans la zone provoquant des mouvements de population à impacter le calendrier agricole en termes de la productivité. 9

10 ACCES AUX MOYENS DE SUBSISTANCE Les résultats de cette évaluation multisectorielle RRM montrent que 39% des ménages enquêtés déclarent dépendre du marché pour se nourrir, 40% vivent de leur propre production, essentiellement du manioc produit dans les champs qui n ont pas été détruit par les troupeaux des éleveurs. Les habitants déplorent une chute de prix des produits agricoles dans les marchés locaux. Ainsi, la cuvette (ngawi) de manioc qui coutait 1000 FCFA avant la crise, est aujourd hui vendue à 400 FCFA, également 1 litre du miel de 500 FCA avant la crise est vendu à 150 FCFA aujourd hui. Cette baisse de prix des produits agricole est un facteur limitant d accès aux produits manufacturés de première nécessité. Ainsi, 73 % des ménages déclarent avoir comme principale source de revenu la vente des produits agricoles, 11 % dans des travaux journaliers et 5% font la pêche et la cueillette. En ce période de préparation des parcelles, 94% des ménages affirment avoir une terre cultivable. Cette dynamique de reprise d activité agricole dans la zone est freinée par l absences des outils agricole et semence de qualité. CONSOMMATION ALIMENTAIRE DES MENAGES Le score composite basé sur la diversité de la diète et la fréquence de consommation d'aliments montre que moins de la moitié de la population à un score de consommation alimentaire(sca) acceptable (36,6%). La désagrégation du score de consommation alimentaire, au niveau ménage, donne le tableau ci-dessous : Groupe de Consommation Alimentaire Proportions (%) Faible (0-24,5) 19,4 Limite (24,5-38,5) 43,0 Acceptable (> 38,5) 36,6 En cette période de soudure, on craint une dégradation du score de consommation des ménages, donc une augmentation de la proportion des ménages ayant un score alimentaire faible. La proportion des ménages prenant en moyen 1 repas par jour pour les adultes et enfants est respectivement de 94% et 86%. La variation moyenne du nombre de repas pris par les ménages avant et après le choc et de 1,7 pour les enfants et adulte. PERSPECTIVES AGRICOLES ET COMMERCIALES La campagne agricole s annonce biens pour les habitants du village Bowara à majorité agriculteur. Ils sont en pleine préparation de leurs parcelles pour le semis. Malheureusement l absence de semence et d outils agricoles pourraient jouer sur ladite campagne. La baisse de prix des produits agricoles dans le marché hebdomadaire de Kouki (9km) et Bowara a des conséquences négatives sur les moyens d existence des ménages. 10

11 Depuis le choc, on constate un faible taux d échange commercial avec les commerçants provenant de Bangui, Bossangoa et Nana Bakassa par crainte de l insécurité dans la localité EDUCATION Bien que l école de Bowara a été complétement détruite, les élevés étudient dans une Eglise avec l appui des maitres parents. Il y a des enseignants et des élèves bien motivés mais ils leurs manque des kits scolaires et les salles de classe. La proportion d enseignants qui encadrent plus de 55 élèves est de 67%. Les enseignants affectés en fonction par l état sont absent parce qu ils craignent pour leurs sécurité dans la zone PROTECTION Pas de cas de violence sexuelle rapportée à l'équipe d'évaluation. Par contre, il y a des soupçons de violence basée sur le genre (GBV). Selon les autorités locales et le représentant de DRC de Nana Bakassa, les cas de GBV sont courants dans la zone. Il a été confirmé par les chefs des villages, à l équipe d évaluation, la présence des enfants non accompagnée (ENA) dans les familles élargies et les sympathisantes suite à la crise. 11

12 ANNEXE 1. MÉTHODOLOGIE D ÉVALUATION L évaluation multisectorielle RRM est basée sur une étude des vulnérabilités des populations touchées par un choc. Différents modules permettent de collectées les données nécessaires la compréhension des dynamiques locales, à l identification des populations en situation de vulnérabilité aigüe et à la préparation à des réponses d urgence. Données de base : Des groupes de discussion et des entretiens individuels sont effectués avec les autorités administratives, sanitaires, éducatives et autre informateurs préférentiels. L équipe effectue un débriefing pour confirmer certaines assertions et approfondir l analyse globale du contexte de la zone. Structure de santé : Des données sont recueillies pour chaque aire de santé qui dessert la zone enquêtée à partir de la formation sanitaire de référence. Malheureusement aucune donnée n est disponible pendant le passage de l équipe d évaluation. Ecole : les écoles de la zone évaluées sont visitées et des entretiens individuels ont lieu avec des informateurs clés pour recueillir des données sur le nombre d enfants inscrits et sur les conditions d enseignements. EAH : Tous les points d eau de la zone évaluée sont répertoriés ainsi que les caractéristiques techniques de chacun. Enquête ménage : 93 questionnaires sont administrés auprès des ménages déplacés pour collecter des données quantitatives sur des indicateurs EAH, Abri et NFI et Sécurité alimentaire et moyens d existence. 12

13 ANNEXE 2. DONNÉES POINTS D EAU Tableau. Données EAH Localisation forage du Etat du point d eau Type point d eau de Pop. utilisant le forage Estimation débit (L/min) Coordonnées GPS Bowara / Gounvah Non fonctionnel Forage IM NA 07 10'13.12'' N '1.37''E Bowara / Bouansala Fonctionnel Forage IM ND 07 10'13.34'' N '8.87'' E Bowara / Boyimbo Non fonctionnel Forage IM NA 07 10'9.37'' N '19.28'' E Lat. Long. ANNEXE 3. DONNÉES EDUCATION Tableau. Données Education Localisation de la structure Nom de la structure Type de structure Nombre de salle de classe Nombre de salle de classe endommagée Structure occupée par des hommes en armes Bowara Ecole mixte de Bowara Public 1 3 NON 13

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE

PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE Mai 2013 INTRODUCTION Le projet cantine et promotion de l hygiène en milieu scolaire est la suite

Plus en détail

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION

REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET

Plus en détail

Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014

Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014 Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014 Introduction Sur recommandation du Comité Humanitaire du Pays, un monitoring des activités humanitaires

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010

MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 James Léon-Dufour, Physical Site Planner ERT/UNCHR Abraham Asondou, Field Program

Plus en détail

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) 1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre

Plus en détail

Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015

Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015 Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015 Ordre du jour : Revue de l ordre du jour et des points d action de la dernière réunion - dont Attaques contre les écoles (MENET, Cluster) Bref compte-rendu

Plus en détail

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR

Plus en détail

MISSION DE VERIFICATION D'INFORMATION ET PROTECTION DES CIVILES - AGUEL-HOC

MISSION DE VERIFICATION D'INFORMATION ET PROTECTION DES CIVILES - AGUEL-HOC 1 MISSION DE VERIFICATION D'INFORMATION ET PROTECTION DES CIVILES - AGUEL-HOC IEDA Relief 25 au 27 Juin 2014 Participants : Chef du bureau MINUSMA de Kidal ; Chef de mission IEDA-Relief ; Section Droits

Plus en détail

Règlement intérieur. I - Conditions générales. 1. Conditions d admission et de séjour

Règlement intérieur. I - Conditions générales. 1. Conditions d admission et de séjour MODÈLE TYPE DE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DES TERRAINS DE CAMPING OU DE CARAVANAGE AINSI QUE DES PARCS RÉSIDENTIELS DE LOISIRS I - Conditions générales 1. Conditions d admission et de séjour Règlement intérieur

Plus en détail

CHIFFRES CLES INDICATEURS SOCIO-ÉCONOMIQUES DÉMOGRAPHIE MORBIDITÉ*

CHIFFRES CLES INDICATEURS SOCIO-ÉCONOMIQUES DÉMOGRAPHIE MORBIDITÉ* Haïti avant le Contexte Haïti, première République noire, est devenu le premier Etat indépendant des Caraïbes lorsqu'elle a obtenu son indépendance de la France au début du XIXème siècle. Cependant, des

Plus en détail

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3

Plus en détail

Moyens de subsistance, Services Communautaires, Eau Hygiène & Assainissement

Moyens de subsistance, Services Communautaires, Eau Hygiène & Assainissement Moyens de subsistance, Services Communautaires, Eau Hygiène & Assainissement Enquête sur les Moyens de subsistances, les services communautaires et Eau, Hygiène & Assainissement réalisée auprès des ménages

Plus en détail

Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation

Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation Le programme ANO (Assainissement Nord Ouest) a été mis en œuvre par un consortium de trois associations : o Action contre la Faim (ACF),

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

VACANCES DE POSTES. I. Lieu d affectation : La préfecture de la KEMO avec des déplacements ponctuels dans la province (République centrafricaine).

VACANCES DE POSTES. I. Lieu d affectation : La préfecture de la KEMO avec des déplacements ponctuels dans la province (République centrafricaine). VACANCES DE POSTES Projet : Projet de Réhabilitation nutritionnelle d urgence au sein des populations (déplacés et autochtones) de l axe Dékoa-Sibut, préfecture sanitaire de KEMO, en RCA Postes vacants

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

LIVRET 3 (LDSS-4148C-FR)

LIVRET 3 (LDSS-4148C-FR) LDSS-4148C-FR (Rév.10/09) État de New York CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR EN CAS D URGENCE Questions et Réponses LIVRET 3 (LDSS-4148C-FR) Voir également LIVRET 1 (LDSS-4148A- FR) «CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR

Plus en détail

SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT

SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT (s appliquant aux projets d aide d urgence, de réhabilitation/ reconstruction et de prévention/ réduction des risques et de résilience) Le rapport final

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

MARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte

MARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire. Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le

Plus en détail

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 - SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale

Plus en détail

Kayes, le 09 Avril 2013

Kayes, le 09 Avril 2013 «Rapport de Dépistage de masse dans les structures de santé de la zone d intervention du projet CRM & CRF dans les districts sanitaires de Kayes et Yélimané» «Appui à la prévention et la prise en charge

Plus en détail

Étude sur les dépenses des étudiants universitaires

Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Rapport final Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Projet 13574-010 Décembre 2010 507, place d Armes, bureau 700 Montréal (Québec) H2Y 2W8 Téléphone : 514-982-2464 Télécopieur : 514-987-1960

Plus en détail

Bulletin humanitaire Haïti. La campagne de vaccination orale contre le choléra en Haïti atteint ses objectifs. Au sommaire FAITS SAILLANTS

Bulletin humanitaire Haïti. La campagne de vaccination orale contre le choléra en Haïti atteint ses objectifs. Au sommaire FAITS SAILLANTS Bulletin humanitaire Haïti Numéro 44 Septembre 2014 Au sommaire FAITS SAILLANTS Lutte contre l épidémie de choléra : près de 185,000 personnes ont reçu le vaccin contre le choléra dans trois départements

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Assurance de biens des particuliers

Assurance de biens des particuliers Assurance de biens des particuliers Chapitre 1 Introduction à l assurance de biens et responsabilité 29/04/2012 Chapitre 1 1 Assurance de biens des particuliers Évolution des produits d assurance Fonctionnement

Plus en détail

Rapport de la 1 ère visite du pays

Rapport de la 1 ère visite du pays Page 1 sur 11 Protection a l enfance en urgence Suivi de situation et de l intervention Rapport de la 1 ère visite du pays 25 Août 06 Septembre, 2014, Bangui, République Centrafricaine (RCA) Page 2 sur

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

COTE D IVOIRE. FICHE TECHNIQUE Ouest Côte d Ivoire. Monitoring d un projet cash : étapes, enjeux. Introduction. Les fondamentaux du monitoring

COTE D IVOIRE. FICHE TECHNIQUE Ouest Côte d Ivoire. Monitoring d un projet cash : étapes, enjeux. Introduction. Les fondamentaux du monitoring FICHE TECHNIQUE Ouest Côte d Ivoire Monitoring d un projet cash : étapes, enjeux Cadre de travail Avec le soutien d ECHO, ACF a publié au second semestre 2012 une série de fiches techniques pour aider

Plus en détail

CERTIFICATION CERTIPHYTO

CERTIFICATION CERTIPHYTO CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation

Plus en détail

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail : Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours

Plus en détail

Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP. Cahier des charges

Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP. Cahier des charges Marché public d assurances Passé selon la procédure adaptée Article 28 du CMP Cahier des charges 1. Assurance dommages aux biens 2. Assurance responsabilité civile 3. Assurance protection juridique 4.

Plus en détail

ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC)

ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC) Boîte à Outils : ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC) Photo: Erin Stearns Bénin Mars 2014 Table des Matières 1. Introduction... 1 2. Assainissement Total Piloté par La Communauté... 3 3.

Plus en détail

FACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES

FACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014

Plus en détail

DAKAR. arrivée à Dakar hébergement sorties culturelles (Julie-Mélissa Picard) KAOLACK repas (à vos frais) repos, hydratation, salle de bain, $

DAKAR. arrivée à Dakar hébergement sorties culturelles (Julie-Mélissa Picard) KAOLACK repas (à vos frais) repos, hydratation, salle de bain, $ AVANT LE DÉPART passeport billet d avion visa assurances liste des bagages personnels liste des bagages sac à dos valise de médicaments et matériel liste maitre pour médicaments à apporter gestion des

Plus en détail

Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)

Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent

Plus en détail

RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR

RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR OBJET Le restaurant scolaire est un service municipal dont le fonctionnement est assuré par des agents municipaux, sous la responsabilité du Maire. ACCES AU RESTAURANT

Plus en détail

Energies d'ici - Bd de Las Indis - 66150 Arles sur Tech

Energies d'ici - Bd de Las Indis - 66150 Arles sur Tech Téléphone fixe : 04-68-89-05-46 Téléphone ADSL : 09-66-85-74-51 Téléphone Mobile : 06-80-13-65-94 Courriel : energiesdici@orange.fr Energies d'ici - Bd de Las Indis - 66150 Arles sur Tech Questionnaire

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

La Loi sur l aide aux personnes et aux familles

La Loi sur l aide aux personnes et aux familles La Loi sur l aide aux personnes et aux familles (L.R.Q., chapitre A-13.1.1) Par : Olivia Dugré, étudiante en droit à l Université Laval Sous la supervision de Christian Loupret Avril 2012 TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

L organisation de chantier

L organisation de chantier L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC

Plus en détail

Manuel d utilisation. Système d alarme sans fil avec transmetteur téléphonique. Réf. : AL-800. En cas de problèmes

Manuel d utilisation. Système d alarme sans fil avec transmetteur téléphonique. Réf. : AL-800. En cas de problèmes En cas de problèmes PHENIX apporte tous les soins nécessaires à l élaboration de ses produits. Si toutefois vous rencontriez un problème avec ce modèle, ne le retournez pas au magasin où vous l avez acheté

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS. A la sortie 38 FREJUS, sur la D4 au 3775 rue des combattants d Afrique du Nord

FOIRE AUX QUESTIONS. A la sortie 38 FREJUS, sur la D4 au 3775 rue des combattants d Afrique du Nord FOIRE AUX QUESTIONS -SITUATION Comment se rendre à la Baume La Palmeraie? Par avion, vous arrivez à l aéroport de Nice, vous prenez soit un taxi (100 euros le trajet) ou la navette (20 euros par personne

Plus en détail

SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE

SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE Veuillez trouver ci-après la version sommaire des Standards Minimums pour la protection de l enfance dans l intervention

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes

Plus en détail

ACCÉLÉREZ VOTRE BOUTIQUE AVEC UN HÉBERGEMENT E-COMMERCE 100% PRESTASHOP & MAGENTO

ACCÉLÉREZ VOTRE BOUTIQUE AVEC UN HÉBERGEMENT E-COMMERCE 100% PRESTASHOP & MAGENTO ACCÉLÉREZ VOTRE BOUTIQUE AVEC UN HÉBERGEMENT E-COMMERCE 100% PRESTASHOP & MAGENTO Visioconférence 23/10/2013 Ecommerce Live Ca vous rappelle quelque chose? MON SITE EST LENT! JE NE COMPRENDS RIEN A LA

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par

Plus en détail

SITUATION GENERALE Description du phénomène

SITUATION GENERALE Description du phénomène BULLETIN N 007 REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Fitiavana Tanindrazana Fandrosoana ------------------- MINISTERE DE L INTERIEUR ------------------ BUREAU NATIONAL DE GESTION DES RISQUES ET DES CATASTROPHES -----------------

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail

Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de

Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

Le risque inondation : comment s en protéger?

Le risque inondation : comment s en protéger? Franck Boston PRÉVENTION ET SÉCURITÉ Le risque inondation : comment s en protéger? RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité Le principal risque naturel susceptible d affecter l Île-de-France est

Plus en détail

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de

Plus en détail

Compte rendu de la réunion de la cellule de crise Grêle intempéries

Compte rendu de la réunion de la cellule de crise Grêle intempéries Communiqué de Presse vendredi 9 août 2013 Compte rendu de la réunion de la cellule de crise Grêle intempéries L'ensemble des organisations professionnelles agricoles, le Conseil général et les services

Plus en détail

LA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT. Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages

LA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT. Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages LA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages L ÉCOLE : UN ÉQUIPEMENT PUBLIC DE PROXIMITÉ La ville de Paris, comme toutes

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES. SÉRIES ES et L. Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2013 SCIENCES SÉRIES ES et L Durée de l'épreuve : 1 h 30 coefficient : 2 Ce sujet comporte 8 pages numérotées de 1 à 8. L'usage de la calculatrice est autorisé. Le candidat

Plus en détail

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des

Plus en détail

Rapport 2, Juin 2015

Rapport 2, Juin 2015 Sondages Consolidation de la Paix et Reconstruction Est de la République Démocratique du Congo Rapport 2, Juin 2015 () Par Patrick Vinck, Phuong Pham, Tino Kreutzer Contenu : p3. Large support pour les

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES

LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES 1. Base Les prescriptions de protection

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014

Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014 Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014 Cluster Éducation Mali Agenda : réunion 14 janvier 2014 1. Présentation des participants et validation de l agenda 2. Suivi des points d action de la réunion

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail

QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS

QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS Numéro questionnaire : Région : District : Commune /quartier : Nom de l enquêteur : Date de l enquête : Signature : I. INTRODUCTION: Je vais vous poser

Plus en détail

CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS

CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

Charte de protection des mineurs

Charte de protection des mineurs «Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse

Plus en détail

Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad

Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris

Plus en détail

Conditions de réservation et Tarifs

Conditions de réservation et Tarifs LE DOMAINE DE LA FERME DE GRISIEN DESCRIPTION DES LIEUX Conditions de réservation et Tarifs Avec la réservation de la salle (le week-end) sont automatiquement compris dans la location : l office, le vestiaire,

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013 Le Mercredi 10 Juillet 2013 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 13 ème réunion de l année 2013 de Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée par Mme Anne

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Proposition de projet pour le soutien à l occasion des 100 ans d ecobeton water technologies

Proposition de projet pour le soutien à l occasion des 100 ans d ecobeton water technologies Proposition de projet pour le soutien à l occasion des 100 ans d ecobeton water technologies Accès à l eau potable et à l assainissement dans les Andes du Sud en Equateur Région de Saraguro-Oña ecobeton

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»

RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article

Plus en détail

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit

Plus en détail

Base de données sociales sur Paris

Base de données sociales sur Paris Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

Sécurité incendie dans les garages

Sécurité incendie dans les garages Sécurité incendie dans les garages Assuré et rassuré. Risques d incendie dans les garages Lorsque le feu prend dans des garages, il provoque souvent des dégâts importants, et dans les cas les plus graves,

Plus en détail