5 es ASSISES RÉGIONALES DU DÉVELOPPEMENT DURABLE 5 décembre Caen

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1 5 es ASSISES RÉGIONALES DU DÉVELOPPEMENT DURABLE 5 décembre Caen ACTES

2 SOMMAIRE Ateliers...pages 3-19 > Atelier 1 Egalité femmes/hommes : comment peut-on agir au travers des politiques publiques?... pages 3-5 > Atelier 2 Construire un projet de territoire solidaire et durable : une articulation possible entre Agenda 21 et politique de la ville.... pages 6-7 > Atelier 3 Entreprenons et travaillons autrement : les coopératives et la démarche RSE, quelle(s) différence(s) pour le salarié?... pages 8-10 > Atelier 4 Filières vertes et insertion professionnelle : une rencontre, des actions!... pages > Atelier 5 Structures d éducation et de formation professionnelle : s engager, se mobiliser dans une démarche de DD. Ils l ont fait, vous le pouvez aussi!... pages >Atelier 6 Accès à la mobilité durable pour tous : quelles solutions concrètes pour trouver un équilibre entre les territoires bas-normands?... pages >Atelier 7 Agenda 21 régional 4 ans après : faisons le point!... pages Conférence table-ronde...page 20 5es Assises régionales du développement durable Présentation, bilan et préconisations 2

3 Atelier 1 Égalité femmes/hommes : comment peuton agir au travers des politiques publiques? Avec : Noémie Royer, CAFOC Caen (Centre Académique de FOrmation Continue), Sylvie Lubliner, enefa (Normandie formation avenirs), Florence Dubois, Ville de Cherbourg, Christine Le Naour, Apec de Rouen. Débat animé par Olga de Saint-Jore, association L ETAPE. Rapporteur : Hélène EUSTACHE, Direction de l Emploi et de la Formation Professionnelle, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 25 Quelques chiffres Pauvreté 70% des 1,3 milliards d êtres humains en grande pauvreté sont des femmes. Dans le monde, 2 enfants non scolarisés sur 3 sont des filles. En France, le taux de pauvreté est de 14,1% pour les femmes contre12% pour les hommes. Représentation politique en France Les femmes représentent 14% des conseillers généraux, 48% des conseillers régionaux, 38% des conseillers municipaux et 27% des députés. Marché du travail Sur le marché du travail, 37% des femmes sont à temps partiel, 6% des hommes. 19% d écart de rémunération, 43% d écart de retraite. Les idées fortes de l'atelier Sortir du déni, de l idée fausse que l égalité est atteinte : il faut réaliser une analyse factuelle et objective, identifier des indicateurs permettant d identifier les sujets prioritaires à traiter et les leviers les plus efficaces. Régression constatée à l école sur les stéréotypes et les relations garçons-filles : urgence d une réaction à mettre en place dès le primaire et le collège, avant que les préjugés culturels ne se consolident. Problème des temps partiels et des horaires décalés : organisation du travail à mettre en place pour des temps de travail contigus et des horaires en journée, et éviter la paupérisation de cette catégorie de travailleurs qui s aggravera à plus long terme à leur retraite. 3 rôles des collectivités : 1. créer un environnement favorable avec transport, système de garde d enfants et activités périscolaires facilitant l emploi des femmes, notamment le mercredi 2. commanditaire de services pour veiller au respect de l égalité et aux conditions de travail chez ses prestataires 3. exemplarité. Les points les plus difficiles à faire évoluer : réduire les écarts de salaire, obtenir des effets durables dans le temps. Concrétisation de l intégration de l égalité hommes-femmes dans le développement durable : systématiser les indicateurs sexués, veiller à la participation des femmes dans la ATELIER 1 3

4 prise de décisions. Points mis en débat par la salle Exemplarité des administrations publiques : pour donner des leçons ou des amendes aux entreprises, les administrations devraient être exemplaires. Or : heures imposées aux agents d entretien, recours au temps partiel, présence des femmes qui diminuent dans les catégories et postes les plus élevés et les mieux rémunérés. Echanges sur le respect filles-garçons à l école, avec partage de ressenti d une régression et d une urgence à agir à ce niveau. Une remarque sur le cumul des discriminations : les femmes dans les groupes minoritaires sont victimes des discriminations liées à la minorité + 1, celle liée au sexe. Plusieurs interrogations autour de la capacité à aller au-delà du constat ou du discours : comment passer du déclaratif (vrai ou faux) à la réalisation d actions concrètes, produisant des effets? Remarque d une difficulté rencontrée par les représentants du personnel sur les négociations de rattrapage des inégalités de salaires : souvent mal compris par les salariés car il peut se traduire par un frein à la rémunération des hommes. Besoin d outiller les représentants du personnel et de sensibiliser non seulement les décideurs, mais aussi les salariés. Points de consensus Pour sortir du déni et passer du discours aux actes, les individus et les organisations ont besoin d être appuyés, conseillés, outillés, incités. Dans le monde du travail, l obligation donnée par la loi fournit à l entreprise qui s en saisit, une opportunité pour agir, et «rentabiliser» le temps consacré en réfléchissant sur son organisation, sa gestion des âges, des profils et des compétences. Pour les administrations, la loi ne s applique pas, mais il y a une responsabilité morale par rapport à son environnement socio-économique et dans ses relations avec les entreprises. Importance de donner à l égalité une dimension transversale et intégrée à tous les aspects de la vie privée, de l évolution sociale, de l éducation, de la vie économique. Quelques faits et exemples illustratifs Expérience de la ville de Rennes visant à réduire le temps partiel des femmes en aménageant les horaires de travail pour une répartition d un temps plein libérant le mercredi. Anecdote des jurys à l ENA : «autant de femmes que d hommes réussissent l écrit, 1/3 des candidats reçus à l issue de l oral sont des femmes.» Anecdote des inégalités cachées : fort investissement de la Mairie de Caen en faveur de la mixité mais constat récent d une analyse des besoins de formation discriminante : les femmes de ménage n étaient pas positionnées sur des besoins de formation, les jardiniers si. Interprétation : «l entretien des jardins est reconnu comme une compétence professionnelle, l entretien des intérieurs non et les femmes sont supposées en avoir la maîtrise même sans ATELIER 1 4

5 formation spécifique». En savoir plus sur les intervenants Olga de Saint-Jore, formatrice à l Etape (Vire), organisme de formation ayant le label Egalité : présentation de la prise en compte de l égalité femmes-hommes dans l Agenda 21, avec un chapitre dédié (chapitre 24) dans la version du sommet de Rio, et transformé 10 ans plus tard en une action transversale. La discrimination à l égard des femmes est la plus répandue dans le monde, femmes qui sont aussi particulièrement touchées par la pauvreté, d où la nécessité de les associer à la prise de décision et favoriser leur accès à l éducation. Noémie Royer, chargée de mission Animation régionale égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (région Basse-Normandie) : mission régionale d informer, de communiquer et d accompagner les entreprises et les acteurs de l orientation et de la formation sur la prise en charge de l égalité professionnelle. Christine Le Naour, chef de projet égalité à l APEC (national) : enquête réalisée auprès des entreprises (avec comparaison grandes entreprises-pme) sur les pratiques et les évolutions. Sylvie Lubliner, responsable de l organisme de formation ENEFA (Hérouville-Saint-Clair) : intégration de la mixité en formation professionnelle qualifiante bâtiment et organisation d un ELAN ( sur la lutte contre les stéréotypes sexués sur les métiers, démarche engagée pour le label Egalité Florence Dubois, chargée de mission solidarité à la Mairie de Cherbourg-Octeville, en charge en particulier du festival Femmes dans la Ville : festival d insertion et de lien social et non un festival culturel, volonté forte d intégrer les femmes des quartiers dans la vie sociale par organisation participative d actions d animation ( ATELIER 1 5

6 Atelier 2 Construire un projet de territoire solidaire et durable : une articulation possible entre Agenda 21 et politique de la ville. avec : Céline Braillon, Ministère en charge du développement durable, Béatrice Prieur, Brest métropole océane, Alexandra Beldjoudi, association Solicoo. Débat animé par Sylvain Foucher, RDSL (Réseau du Développement Social Local de Basse-Normandie) Rapporteur : Isabelle ROBERGE, Direction de l Aménagement et du Développement Durables, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 87 Les idées fortes de l'atelier Les CUCS (contrats urbains de cohésion sociale) constituent le socle des projets urbains de cohésion sociale des quartiers prioritaires ; ils sont territorialisés. Les CUCS sont élaborés, comme les Agendas 21, sur la base d un diagnostic, duquel découlent des enjeux, des objectifs et un programme d action. L objectif des CUCS est de coordonner l action publique des quartiers prioritaires. L Agenda 21 s appuie sur les trois piliers du développement durable. Il n y a pas de développement durable si on ne prend pas en compte les quartiers fragiles. Le volet social est souvent le parent pauvre de l Agenda 21. L objectif de l Agenda 21 est également la coordination de l action publique. Les CUCS initialement prévus jusqu en 2012 ont été prolongés d un an ; une réforme globale de la politique de la ville est en cours avec un impact fort sur la géographie prioritaire. Au travers d un atelier national des agendas 21 locaux, Céline Braillon s est interrogée sur les interactions entre processus participatifs et projets territoriaux de développement durable. A quelles conditions la participation de tous les acteurs permet-elle de transformer les modes de vie, l économie territoriale, les façons de penser, les politiques locales pour une société plus durable? Au terme de cette réflexion, la participation a été désignée comme un enjeu de construction commune du projet politique local et de l intérêt général. L important c est l interrogation de la question sociale dans le développement durable et la déprise de certains territoires. L enjeu de l atelier national a été de créer un dialogue entre les différentes cultures professionnelles, remettre au centre du projet la transversalité. La responsabilité sociétale des territoires c est avant tout la mobilisation des outils de politique publique. L objectif étant de construire un projet de développement durable qui nous ressemble, qui permette d aller vers une autre économie et de renforcer les territoires dans leur capacité à produire du bien collectif (ex : cantine scolaire / circuits courts) la solution est liée au territoire. Il s agit en plus d évaluer autrement les projets, en mettant en place de nouveaux indicateurs de richesse, des indicateurs de bien être. Forte d une expérience de 20 ans dans la politique de la Ville, Béatrice Prieur a mené une action au sein de sa collectivité pour réinterroger les outils d action publique que sont ATELIER 2 6

7 l Agenda 21 et le CUCS / quel positionnement de la politique de la ville dans le développement durable? On a eu tendance à réduire la Politique de la Ville aux territoires des quartiers prioritaires. La fin annoncée des CUCS et la réduction du nombre de quartiers prioritaires pourraient être l occasion de renforcer le pilier de cohésion de l Agenda 21 et de mener une action à l échelle de territoire plus large, sur des thèmes tels que la pauvreté ou le vivre ensemble. La question sociale n est pas prioritaire pour l Agenda 21, le pilier environnement étant «trop» prédominant. Il s agirait donc de repositionner le pilier de la cohésion sociale. B Prieur a mené une réflexion avec les élus de sa collectivité, sa première démarche a été de bien définir la cohésion sociale. La définition retenue a été celle du Conseil de l Europe qui définit la cohésion sociale comme la capacité d une société à assurer le bien-être de tous ses membres en réduisant les disparités et en évitant la marginalisation, à gérer les différences et les divisions, et à se donner les moyens d assurer la protection sociale de l ensemble de ses membres. La cohésion sociale est un processus dynamique et une condition indispensable à la justice sociale, à la sécurité démocratique et au développement durable. A la suite de cette définition, une stratégie locale a été menée avec comme enjeu d améliorer la qualité de vie, le capital social. A Brest Métropole, on considère désormais que la ville est un ensemble plus complexe qui ne se limite pas à ses quartiers prioritaires avec une population diverse. On n a donc pas forcément à orienter les actions publiques vers ces classes défavorisées. C est le fonctionnement global d une ville qui est en jeu. Quelques faits et exemples illustratifs Expérience de Solicoo : L expérience a consisté à mettre en place une microexpérimentation à la Pierre-Heuzé. Des habitants et des partenaires se sont portés volontaires. Des bornes d'apports volontaires ont été installées et des personnes viennent y déposer leurs bio-déchets. Ceux-ci sont collectés par Solicoo au moyen d'un vélo remorque électrique et transportés à la plateforme du Londel. Trois contrats ont été créés, dont 2 d insertion. Sur ce projet, c est le territoire qui a construit sa propre réponse, en prenant en compte la richesse des citoyens, le capital social du local. En savoir plus sur les intervenants Céline Braillon, Ministère en charge du développement durable Au sein du bureau des territoires au ministère de l'ecologie, du Développement durable et de l Energie, Céline Braillon est en charge des questions de gouvernance et débat public des projets territoriaux de développement durable, les Agendas 21. Actuellement, 400 Agendas 21 ont été élaborés. Alexandra Beljoudi, Entreprise Solicoo Solicoo, créée en mars 2012, est spécialisée dans la gestion des déchets organiques des petits producteurs. Il s'agit de développer le compostage et plus spécifiquement le compostage collectif de quartier par la mise en place d'une plateforme de compostage au sein des quartiers. Béatrice Prieur, Brest Métropole Océane Chef de projet CUCS 7

8 Atelier 3 Entreprenons et travaillons autrement : les coopératives et la démarche RSE, quelle(s) différence(s) pour le salarié? avec : Brigitte Charles-Pauvers, Université de Nantes, Brigitte Delord, Legallais, Jean- Michel Floro, SCOP Floro TP Associés. Débat animé par François Salatko, AQM (Association Qualité et Management). Rapporteur : Julia LOUIS-CHARPENTIER, Direction de l Innovation, de la Recherche, de l Economie et du Tourisme, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 36 Les idées fortes de l'atelier On peut concilier morale et efficacité. Les entreprises responsables ou coopératives sont des entreprises qui font des bénéfices et qui sont compétitives. On se réapproprie les valeurs humaines/ le respect de l autre. Le statut de l entreprise ne suffit pas. Les valeurs de l ESS peuvent être appliquées à tous types d entreprises. Les différences majeures sont le facteur temps, la vision de l entreprise sur le long terme. Les entreprises responsables sont des entreprises qui œuvrent pour pérenniser l activité. C est la recherche du profit pour maintenir l entreprise et non pour le profit personnel. Principales problématiques ou faits soulevés Attention au «SOCIAL WASHING», LEGALLAIS ne communique que sur des résultats vérifiables. Il y a des actions et des résultats. Ce n est pas qu un beau discours. Comment mobiliser les acteurs? Il faut arriver à faire comprendre aux jeunes qu ils doivent être parties prenantes des entreprises. L entreprise, dans le cas des SCOP, appartient aux salariés sociétaires ; ils sont salariés mais aussi patrons. Points mis en débat par la salle Quelle redistribution pour les salariés des SCOP? Quelle différence entre les hauts salaires et les bas salaires? Comment sont valorisés les apprentis? Comment devient-on sociétaire dans une SCOP? Est-ce que dans le recrutement de nouveaux collaborateurs, l envie d intégrer une SCOP est un critère de choix? Y a-t-il une sensibilisation auprès des salariés (nouveaux) sur le fonctionnement de la SCOP? Ne doit-on pas plutôt parler de collaborateurs dans ce type de structure au lieu de salariés? Points de consensus Une SCOP est une entreprise. Comme toute entreprise elle doit faire du profit pour pouvoir pérenniser son activité. Il faut donner du sens à l action de l entreprise. ATELIER 3 8

9 Il faut être transparent et donner de la confiance à l ensemble des parties prenantes. Quelques faits et exemples illustratifs «Quand on travaille dans une SCOP, l intérêt de sa journée de travail est différent. Quand il y a un problème c est le problème de tous les salariés». «Ambiance de travail plus collective.» «Les salaires des SCOP sont 10% plus élevés en moyenne que la valeur du marché.» «Les salariés sont motivés et s impliquent dans la vie de l entreprise : 87% de participation à la soirée de fin d année organisée pour l ensemble des salariés et participation bénévole à la braderie annuelle au profit d une œuvre caritative portée par la fondation de l entreprise» Brigitte Delord, Legallais L entreprise FLORO a investi dans une nouvelle machine performante afin de rester compétitive face aux grands groupes mais surtout pour améliorer les conditions de travail des salariés sur les chantiers. Cela valorise également les travailleurs par une augmentation de la technicité de leur poste (formation). La formation représente 4% de la masse salariale pour la SCOP FLORO (entre 3 et 4% pour l entreprise LEGALLAIS). Pour l entreprise LEGALLAIS, les bénéfices de l implication RSE de l entreprise se traduisent sur les 3 piliers : - Economique : actionnariat fidèle et impliqué, une maîtrise des dépenses et un CA en progression depuis 25 ans ; - Social : absentéisme faible (- de 2%), des salariés fidèles (turn-over autour de - 8% alors que les entreprises concurrentes sont plutôt autour de 25%), un meilleur climat social et une entreprise attractive (+ de 1000 candidatures reçues/an) ; - Environnement : anticipation des évolutions réglementaires, maîtrise des risques et diminution des impacts environnementaux de l activité. En savoir plus sur les intervenants François Salatko, AQM : «La RSE est la façon dont les entreprises reprennent leur place au cœur de la société. Elle est leur contribution au développement durable, au regard de la nature de leur activité et de leur périmètre de responsabilité.» Brigitte Charles-Pauvers, enseignante et chercheur à l Université de Nantes : «Une entreprise doit avoir un projet productif qui soit crédible économiquement et dégager du profit. Le pouvoir managérial est le médiateur entre la finalité financière, l entreprise réelle et les acteurs qui la font vivre. L entreprise doit avoir un projet productif et collectif. Elle doit donner du sens à son action. Elle doit faire vivre son projet (développer l innovation/conception) pour rester compétitive. L entreprise repose sur des compétences individuelles, collectives et managériales.» «Véritable chantier d innovation sociale.» «4 défis pour lier : enjeux individuels et collectifs, implication des membres dans l exercice du pouvoir managérial, différenciation des parcours individuels, réponse aux nouveaux enjeux de l activité.» Michel Floro, dirigeant de la SCOP FLORO TP Associés : «La SCOP FLORO a débuté en 2006 autour de 7 associés et des fonds propres s élevant à En 2012 l entreprise compte 37 salariés, dont 19 salariés sociétaires, pour un CA de 6 9

10 millions. Le salaire le plus élevé de l entreprise représente 3 fois le salaire le plus bas.» «Il n y a pas de capitaux extérieurs. On devient sociétaire si on le souhaite après 1 an d ancienneté et le vote de l adhésion en AG. La contribution du salarié équivaut à 1 salaire brut.» Brigitte Delord, responsable qualité et développement durable chez LEGALLAIS : «L humain est au cœur de la démarche RSE. LEGALLAIS, c est une entreprise de 700 salariés dont près de la moitié sont actionnaires.» «L entreprise doit avoir des valeurs économiques mais aussi de la valeur sociale : respect des personnes (management construit avec une relation de proximité dans l entreprise), accompagnement des personnes (formation), recherche de la satisfaction des parties prenantes, lutte contre les discriminations, recherche permanente de l amélioration, solidarité, politique d achat responsable, relation commerciale transparente, engagement des managers à travers une charte qui reprend les valeurs de l entreprise.» «L entreprise est ouverte, elle partage son expérience à travers son implication dans les évènements régionaux. Participations à l AQM/ Club NEDD». 10

11 Atelier 4 Filières vertes et insertion professionnelle : une rencontre, des actions! avec : Stéphane Morin, Cobanor-Tritex, Matthieu Giovannone, Relais Enfant, Pascal Glémain, Université d Angers, Serge Saint et Jérémy Chevalier, Syndicat Mixte du Bassin versant de la Touques. Débat animé par Genièvre François, CRESS Basse- Normandie. Rapporteurs : Séverine VILLABESSAIS, Direction de l Aménagement et du Développement Durables et Peggy MESSIER, Direction des Affaires Européennes et des Relations Internationales, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 74 Les idées fortes de l'atelier L entreprise d insertion n est pas une entreprise classique. Le profit n est pas une finalité. L IAE (Insertion par l Activité Economique) est un outil au service du territoire et de la citoyenneté. Les partenaires publics ont un rôle essentiel à jouer en appliquant la clause d insertion. Plusieurs organismes bas-normands disposent d'un "animateur clause sociale" disponible gratuitement. Principales problématiques ou faits soulevés Taux de réinsertion. Marchés et clauses sociales. Points mis en débat par la salle Partenariat avec le caritatif. Ne pas véhiculer l'image de petites structures non professionnelles et peu équipées pour l IAE. Qu'est ce qu'une entreprise d'insertion par rapport à une entreprise classique? Quelle application de la dimension durable auprès des salariés? Quel devenir des salariés après les emplois aidés? Points de consensus L article 14 fait de la clause sociale une condition d exécution du marché. L acheteur public impose aux entreprises de réserver une partie des heures de travail générées par le marché à une action d insertion. L article 30 fait de l insertion l objet du marché, dont la prestation sera le support. Le but du marché est alors l insertion professionnelle. Ce sont donc les structures d insertion qui répondent aux marchés. Une loi-cadre sur l'economie sociale et solidaire sera adoptée en 2013, celle-ci devrait mettre en place un label «entreprise sociale» qui apporterait une reconnaissance des ATELIER 4 11

12 acteurs du secteur de l IAE et ESS. Quelques faits et exemples illustratifs L insertion par l activité économique (IAE) a pour objet «de permettre à des personnes sans emploi, rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières, de bénéficier de contrats de travail en vue de faciliter leur insertion professionnelle». Ces personnes bénéficient également d un accompagnement social et professionnel. Sur le territoire bas-normand, 114 structures sont recensées. Dans le secteur de la filière verte, deux grandes thématiques sont mises en avant, la gestion du cadre de vie et des milieux et la gestion des ressources. Début des années 90, les Pays de la Loire ont créé un réseau d ECOCYCLERIE (recyclage - tri/valorisation - revente à faible prix dans les boutiques solidaires éducation à l environnement) regroupant une cinquantaine d associations, débouchant sur la création d un nouveau métier : gardien-valoriste. Ces structures ne sont pas dépendantes des aides publiques mais répondent aux appels d offres des collectivités, pour 1 d aide d Etat la structure génère 8 par l activité. La mise en œuvre du principe de la Responsabilité Elargie des Producteurs (REP) a ouvert un nouveau débouché pour l IAE. Ainsi la plateforme de Cobanor Tritex est la 6ème plateforme en France. Elle emploie en 2010, 10 salariés en insertion et génère 1.5 million de chiffre d affaires. La plateforme récupère les 85 % de textile non gardés par les associations de tri puis : - 75 % de ces textiles sont exportés après un nouveau tri, - 25 % sont recyclés (10 % en chiffons, 13 % effilochage, 1 % dans les friperies et 1 % de déchets ultimes). En savoir intervenants plus sur les Stéphane Morin, gérant de Cobanor-Tritex, COllectif BAs NORmand du TRI TEXtile. Ce collectif est composé d'associations Normandes issues du champ de l'insertion par l'activité économique, de l'humanitaire et du caritatif. A ce jour, plus de 40 associations se sont fédérées autour du projet. Matthieu Giovannone, coordinateur du Relais Enfant, Pascal Glémain, Université d Angers, Economiste. Docteur-HDR en Economie, ses travaux portent sur l'économie des territoires, l'économie des finances solidaires dont la microfinance, l'économie du vieillissement. Actuellement responsable d'essca CeRESS, et coresponsable d'un master 2 en économie sociale & solidaire IPSA UCO-ESSCA, en convention avec l'université de Nantes. Serge Saint et Jérémy Chevalier, Président et technicien de rivières, Syndicat Mixte du Bassin versant de la Touques «Il faut penser le changement et non changer le pansement» P. GLEMAIN 12

13 Atelier 5 Structures d éducation et de formation professionnelle : s engager, se mobiliser dans une démarche de DD. Ils l ont fait, vous le pouvez aussi! Avec : Evelyne RAMON, CPIE Collines Normandes, Frédérique GIFFAUT/ élève éco délégué, Réseau DD des lycées agricoles publics de Basse-Normandie, Hervé LEHUGEUR, proviseur, Julie PERRAUD, CPE, Rodolphe MAUGER, parent d élève, Elvire MAUGER, élève et Déborah GUILLOREAU, élève, Lycée des Andaines, David Bredel, GRETA Sud Normandie, Guillaume Richard, Groupe FIM. Débat animé par Anne Planchot-Kermovant, GRAINE Basse-Normandie. Rapporteurs : Marie GREGORI et Stéphane PENT, Direction de l Emploi et de la Formation Professionnelle, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 61 Les idées fortes de l'atelier Culture commune à développer, Temps d échanges en Réseau, La multiplicité des parties prenantes est un atout, Importance de partager les résultats et de communiquer dessus pour éviter l essoufflement, Valorisation et mise en cohérence de ce qui a été fait, aide à la remobilisation, Importance de l accompagnement, du regard extérieur et du portage hiérarchique et de l implication de l ensemble, Démarche intégrée au fonctionnement global pour éviter l évènementiel et l effet «green washing», Continuité de la démarche du collège au lycée : sensibilisation dans la durée des jeunes (implication en tant qu éco-délégué au lycée) d où l importance de permettre aux jeunes de s impliquer et de pouvoir émettre un avis pris en compte (participation aux instances décisionnelles). Principales problématiques ou faits soulevés Passer d un catalogue d actions de développement durable à un projet cohérent et global, Définition des indicateurs au moment des objectifs, des résultats, de l évaluation, Difficulté d effectuer et de mutualiser des achats «développement durable», Difficulté liée au turn-over dans les structures, d où l intérêt d une implication large pour garantir la continuité, Essoufflement : comment remobiliser et impulser une nouvelle dynamique? Problématique de la culture commune. Points mis en débat par la salle Comment éviter le «Green washing»? Intégration de la démarche de développement durable dans les démarches internes, ATELIER 5 13

14 Importance de l ancrage territorial, Intégrer l écocitoyenneté dans la démarche Qualité, Intérêt de prendre du recul pour mesurer ce qui a déjà été fait, ce qui a été atteint ou pas, Comment mettre le développement durable au cœur des préoccupations des jeunes? Comment rendre les jeunes acteurs du développement durable? Points de consensus Démarche d amélioration continue et permanente. Importance du regard extérieur, du partage et de la mutualisation. Importance de l accompagnement, de la notion de transversalité, de la nécessité de prendre du temps, de partager. Nécessité absolue d évaluer pour s inscrire dans une démarche qualité. Importance du maillage et de mutualisation en réseau. Il faut mener des projets jusqu au bout. Quelques faits et exemples illustratifs GRETA Sud Normandie : Actions concomitantes entre 2007 et 2012 : diagnostic (enjeux et parties prenantes), plan de développement en lien avec la démarche d écocitoyenneté en formation professionnelle, démarche Qualité (Label interne en 2007 et un label externe «GRETA PLUS» en 2011), Charte d Engagement entre la Région et les Greta. Transparence : compte rendu de toutes les réunions disponibles pour tout le monde sur Intranet, Implication tout au long de la chaîne et de l ensemble du personnel : réunions thématiques avec des propositions et un pilotage de la Direction, Objectifs principaux : développer des projets de formation éco-citoyens et inclure cette dimension dans la formation. GROUPE FIM : Axe de mobilisation ISO-9001 ; avoir un logo interne perçu comme mobilisateur ; dynamique lancée dans le cadre de la démarche écocitoyenneté en formation professionnelle. 2ème plan stratégique en 2012 après diagnostic (2010) : beaucoup de parties prenantes, guide de la certification ISO 9001, appellation Agenda 21 (structurant) Difficultés : «Eparpillement des sites et communication vers l extérieur, d où l importance pour la structure d obtenir une reconnaissance de la démarche de développement durable.» Lycée Flora Tristan : «Démarche de développement durable depuis 4 ans qui a commencé plus par une vision économique et sociale qu environnementale.» Lycée agricole : Mener un projet jusqu au bout : «Projet compost.» En savoir plus sur les intervenants Guillaume RICHARD, GROUPE FIM : Evelyne RAMON, CPIE Collines Normandes : L accompagnement est différent selon la spécificité de la structure. «Il est illusoire d espérer mobiliser toute la 14

15 collectivité (comportements personnels ) mais il est important d avoir un groupe représentatif, un noyau dur pouvant assurer la continuité, le turn-over». «Importance de l envie, du plaisir et du faire ensemble. La communication formelle et informelle est un vecteur de mobilisation.» «Avoir une ou des actions-phare.» Lycée des Andaines Lycée agricole de St Hilaire du Harcouët : «Choix du label Éco lycée parce que plus léger.» «Ne pas se donner des objectifs trop élevés, ne pas être trop prétentieux.» «L accompagnement extérieur constitue un cadre et permet à chacun de s insérer à son rythme dans la démarche.» «Faire émerger l envie de participer aux projets : créer du lien en interne et en externe (remise du label par la Mairie), valoriser le travail des agents. La notion de partage et de plaisir est importante. L implication avec les différents agents (techniques, administratifs, élèves ) permet la responsabilisation et la prise de conscience.» «Il existe une demande de reconnaissance des compétences acquises par les éco-délégués impliqués.» David BREDEL, GRETA Sud Normandie : 15

16 Atelier 6 Accès à la mobilité durable pour tous : quelles solutions concrètes pour trouver un équilibre entre les territoires basnormands? Avec : Jean-Yves Patry et Clémentine Libois, association L'Etape, Sandrine Depeau, Université de Rennes II, Yves Lamy, maire de Coutances, François Buthon et Franck Danet, Fondation de la Miséricorde. Débat animé par Bénédicte Feuger, CREAN (Carrefour Rural Européen des Acteurs Normands) Rapporteur : Jacqueline BAURY, Direction de l Aménagement et du Développement Durables et Franck FANGET, Direction des Tranports, de la Mer et du littoral, Région Basse-Normandie Contexte de l atelier Nombre de participants : 51 Les idées fortes de l'atelier - Intervention de Sandrine Depeau : le cas de la mobilité des enfants (pédibus ou bus pédestre) ; mobilité comme forme d habitat. - Intervention de Jean Yves Patry et Clémentine Libois de l Etape : présentation et historique de la structure l Etape (centrale de mobilité à caractère social). - Intervention du Maire de Coutances, M. Lamy, démarches engagées par la ville pour la mobilité durable. - Intervention de François Buthon et Franck Danet de la clinique de la Miséricorde : présentation de la démarche engagée par l entreprise pour un plan de mobilité entreprise. - mise en avant des valeurs d apprentissage, éducative, sanitaire mais question de la pérennité des démarches, - des actions qui doivent combiner l aspect social/économique/environnemental. Principales problématiques ou faits soulevés - pédibus : remise en cause des rapports à l espace pour les enfants et les parents, faible potentiel éducatif, dispositif marqué socialement, voir les différents avantages de ce dispositif (santé ). - nécessité d adaptation des offres aux contraintes sociales. - démarche progressive pour mettre en place un plan de mobilité entreprise. Points mis en débat par la salle - alors que de nombreuses réflexions et actions éclosent pour développer la mobilité durable (pédibus, vélobus ), la question du portage reste posée (à l initiative de qui?, rôle des collectivités locales, des parents, démarche ascendante ou descendante, limiter les démarches simplement utilisatrices de ces services ). ATELIER 6 16

17 Quelques faits et exemples illustratifs - Enquête sur la mobilité des enfants avec les pédibus (impact d une démarche ascendante ou non, influence du milieu social, quelle valeur éducative, impact des contraintes, lien avec les formes d habitat, ). - Plan de mobilité d une entreprise située en centre ville (rationaliser les déplacements, respecter l environnement et améliorer le management du personnel). - Soutien à la mobilité en fonction des contraintes sociales (précarité sociale, personnes âgées, milieu rural ). En savoir plus sur les intervenants Jean-Yves Patry et Clémentine Libois, association L'Etape. Basée à Vire, travaille à l'accompagnement vers et pendant l'emploi, et dans ce cadre elle développe des solutions aux problèmes de mobilité. Parmi ses objectifs, elle propose de développer le covoiturage domicile- travail et domicile-études. Sandrine Depeau, Université de Rennes II, Chargée de recherches en psychologie sociale et environnementale Yves Lamy, maire de Coutances, François Buthon et Franck Danet, Fondation de la Miséricorde ; La fondation a mis en place un plan de mobilité d entreprise Bénédicte Feuger, CREAN (Carrefour Rural Européen des Acteurs Normands) Le centre de ressources des territoires bas-normands a pour objet principal d'accompagner les territoires bas-normands à la mise en œuvre de leur stratégie de développement. Il s'agit d'aider les espaces ruraux à s'organiser et à s'adapter aux évolutions qu'ils connaissent pour leur permettre d'y faire face, notamment en mutualisant les compétences des territoires et en favorisant les travaux construits dans la concertation entre différents acteurs. 17

18 Atelier 7 Agenda 21 régional 4 ans après : faisons le point! Débat animé par Emmanuel Renard et Héléne Calandot, ETHEIS Conseil Rapporteur : Olivier LEMAITRE, Direction de l Aménagement et du Développement Durables, Région Basse-Normandie. Contexte de l atelier Nombre de participants : 52 Les idées fortes de l'atelier Reprendre les propositions émises par les groupes Amélioration 21 de 2010 qui restent d actualité, Apporter une «vision» du développement durable pour la Basse-Normandie et en informer les élus locaux (guide, «caution», encouragement pour s engager à l échelle locale), Accompagner les réseaux qui permettent les rencontres entre les acteurs (élus et techniciens), Contribuer à la construction (participative) d un «portail Internet du DD en Basse-Normandie» qui permette de mutualiser la veille, de capitaliser et valoriser les acteurs et leurs actions Dans le cadre de la révision de l Agenda 21 régional, consulter sur le niveau stratégique les acteurs, et en particulier les collectivités, pour favoriser l articulation entre les Agendas 21. Principales problématiques ou faits soulevés Problématique de la Région dont l Agenda 21 peut acter des grandes orientations, mais se retrouver confrontée au fait que cela ne relève pas de ses compétences. Différentes manières d agir pour la Région : - au travers de ses compétences, - au travers de ses aides (directement ou par «éco-conditionnalité»), - en favorisant la synergie entre son action et celles des autres acteurs, - en soutenant l animation des acteurs. Points mis en débat par la salle Enjeu majeur de faire le lien et mettre en cohérence les Agendas 21 des différentes ATELIER 7 18

19 échelles (mais qui? Comment? Où?) Points de consensus Capitaliser et diffuser les exemples de démarches participatives réussies : - Méthode «en ruche», - Notion de maîtrise d usage, - Résidence d artistes ou d architectes, - Démarches amenant les participants à «changer de posture, de point de vue» (exercices de prospective territoriale, approches paysagères ). Rappeler l importance d informer clairement les participants de toute démarche participative, du niveau de participation prévu (consultation, concertation, codécision ) et de la manière dont il sera rendu compte de l usage fait de leur parole/contribution. Développer, dès l école, une «éducation à la participation publique» pour qu ensuite les citoyens soient plus à l aise pour prendre la parole dans le cadre des démarches de concertation. Quelques faits et exemples illustratifs Démarche de développement durable d un collège à l origine de l organisation de l événement éco-citoyen Mange ta Soupe! 19

20 Conférence table-ronde Lutter contre les inégalités, un enjeu de développement durable pour les territoires Avec : Philippe Frémeaux, éditorialiste de la revue Alternatives Economiques, administrateur de la société coopérative éditrice éponyme et chroniqueur sur les ondes de Radio France ; Céline Braillon, en charge de la gouvernance et de la cohésion sociale au Ministère du développement durable ; Bertrand Lapostolet, responsable du programme Toits d Abord, Fondation Abbé Pierre ; Christine Le Naour, cheffe du projet égalité professionnelle entre les femmes et les hommes à l Apec ; Jean-Karl Deschamps, 1 er Vice-président de la Région Basse-Normandie, en charge de l Aménagement du territoire et du Développement durable. Débat animé par Philippe Legueltel. Les inégalités sont multiples et peuvent aussi se cumuler et donc se renforcer mutuellement, et doivent être envisagées au niveau spatial et temporel. L objectif du développement durable est de réduire ces inégalités mais aussi passer par un nouveau modèle économique (productivité, profits..) en réfléchissant à un nouvel indicateur mesurant les richesses car le PIB ne semble plus être le meilleur indicateur pour mesurer le bien être d un territoire. Aujourd hui, les inégalités sont nombreuses et c est pour cela qu elles doivent s inscrire dans les Agendas 21 afin de les réduire, voire de les effacer : égalité homme/femme (salaires, postes à responsabilité ), accessibilité à un logement sain (10 millions de personnes pas ou mal logés), dépenses contraintes, etc. La rédaction des Agendas 21 est partie d une préoccupation environnementale mais aujourd hui, le social, l Homme doivent devenir le cœur de cet outil de planification. Les collectivités ont de plus en plus de mal à répondre aux besoins de leurs administrés malgré une redistribution des richesses de l Etat à hauteur de 50%, largement consacrée à la formation, la santé, les personnes âgées On dénote une réelle mobilisation de la charité publique. Mais comment répondre aux besoins d une sobriété heureuse? Dans notre société, on recherche la compétitivité, la productivité ce qui provoque la plupart du temps la mise sur le carreau de nombreuses personnes (gaspillage du savoir-faire des hommes) et c est grâce aux richesses de l Etat redistribuées que l on peut les aider. Il est primordial de resituer la place de l Homme dans la société et ne pas oublier que le travail reste et restera un élément structurant pour ce dernier. Pour cela, il faut agir collectivement et résister à la pensée que les richesses ne peuvent être que financières. Clôture Jean-Karl Deschamps Patrick Amoussou-Adeble Secrétaire général pour les affaires régionales, représentant Michel Lalande, Préfet de la région et Préfet du Calvados. Pour en savoir plus, découvrez la synthèse vidéo de l événement : 20

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