I. Introduction. 1) Encarta
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- Eléonore Pelletier
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1 I. Introduction. 1) Encarta Mémoire (psychologie) Faculté d'acquérir, de stocker et de reconstituer des informations dans le cerveau, qui a un rôle central dans l'apprentissage et la pensée. Les psychologues distinguent généralement quatre types de mémoire : le souvenir, le rappel, la reconnaissance et le réapprentissage. Le souvenir implique la reconstitution d'événements ou de faits à partir de signaux partiels qui y sont liés; le rappel est la recollection (ou remémoration) active et sans aide d'une information du passé; la reconnaissance renvoie à l'aptitude à identifier correctement des stimuli rencontrés précédemment; le réapprentissage met en évidence les effets de la mémoire. Il est souvent plus facile d'apprendre une seconde fois un matériel familier qu'une première fois un matériel étranger. Le processus de l'oubli à travers le temps a fait l'objet d'études approfondies de la part des psychologues. Dans la plupart des cas, on assiste d'abord à un oubli rapide qui tend à décroître par la suite. Il est possible d'augmenter la proportion du matériel retenu en pratiquant le rappel actif durant l'apprentissage, en repassant périodiquement le matériel et en le «sur-apprenant». La méthode mnémotechnique est une technique mécanique visant à améliorer la mémoire en utilisant associations et divers dispositifs pour réactiver des faits précis. Il existe quatre explications traditionnelles du phénomène de l'oubli. Une première théorie prétend que les traces mnésiques s'estompent naturellement avec le temps, en raison de la dégénérescence progressive du système nerveux, bien que peu de preuves existent à l'appui de cette thèse. Selon une deuxième théorie, les souvenirs se déforment systématiquement ou se modifient avec le temps. Une troisième théorie montre que les nouvelles informations interfèrent avec les informations anciennes ou les remplacent, phénomène appelé «inhibition rétroactive». Enfin, l'oubli peut aussi être motivé par les besoins et désirs de l'individu, comme dans le cas du refoulement ;La physiologie du stockage de la mémoire dans le cerveau est peu connue. Selon certains chercheurs, les souvenirs sont stockés dans des zones localisées de l'encéphale, selon d'autres, les souvenirs impliquent de vastes régions du cortex travaillant ensemble. En fait, ces deux conceptions pourraient être complémentaires. Les scientifiques ont également avancé l'hypothèse qu'il existe différents mécanismes de stockage selon qu'il s'agit de souvenirs à court terme ou à long terme; ils soutiennent également que si l'information contenue en mémoire à court terme n'est pas transférée en mémoire à long terme, elle est condamnée à disparaître. Les études faites sur les animaux indiquent que les structures du système limbique du cerveau ont différentes fonctions mnésiques. Ainsi, un circuit à travers l'hippocampe et le thalamus serait impliqué dans les souvenirs spatiaux, tandis qu'un autre, passant par les amygdales et le thalamus, serait responsable des souvenirs émotionnels. La recherche suggère aussi que les souvenirs «techniques» et les souvenirs intellectuels sont stockés différemment. D'une manière générale, les souvenirs sont moins clairs et moins détaillés que les perceptions, mais il arrive qu'une image dont on se souvient soit complète dans les moindres détails. Ce phénomène, dit «mémoire eidétique», est courant chez les enfants qui projettent l'image de façon si exhaustive qu'ils peuvent par exemple épeler une page entière écrite dans une langue inconnue qu'ils ont vue très brièvement. Mémoire : modèle simplifié Dans ce modèle de traitement des informations de la mémoire, les informations qui accèdent au cerveau sont enregistrées pendant un temps très bref dans la mémoire sensorielle. Si nous concentrons notre attention sur ces informations, elles peuvent alors faire partie de la mémoire à court terme où elles sont manipulées et utilisées. Des techniques d'«encodage», comme la répétition, permettent de transférer les informations dans la mémoire à long terme. Divers processus de récupération permettent de réactiver des informations à partir de la mémoire à long terme. 1
2 2) Définitions générales. On suppose que des informations sont stockées, la mémoire est un processus inobservable, c est à partir de phénomènes observables que les chercheurs ont inféré son existence. Première phase Deuxième phase Troisième phase Présentation du matériel : stimulus ou situation. Délais éventuel. Restitution du matériel. Phase d encodage (selon les théories du traitement de l information TTI) suivant l exemple du PC. Phase où il peut y avoir transformation ou déformation. La mémoire n est pas facile. Phase de stockage ou de rétention. Persistance. La mémoire : activité de conservation du stimulus, de l information. TTI, théorie dominante. 2
3 Mémoire : stockage d information, traitement d information passées se distingue de la perception, traitement d informations actuelles. Le problème soulevé par cette distinction est sa limite, quand est-on dans la perception ou dans la mémoire. Beaucoup de chercheurs considèrent que la perception fait partie de la mémoire. Ils réprouvent la tendance à assimiler tout ce qui n est pas sensoriel à de la mémoire. Il y a deux types de mémoire : - La MCT : mémoire à court terme. STM : short term memory, les informations sont stockés pendant un délai très bref (inférieur ou égal à 15 secondes. - La MLT : mémoire à long terme. Les informations sont conservées longtemps, voire toute la vie. Il y a aussi plusieurs types d oubli : - L amnésie : dysfonctionnement de la mémoire : oubli au fur et à mesure, amnésie de fixation (pas de fixation des souvenirs). Syndrome de Korsakov, en général due à l alcoolisme ou la malnutrition ou à la démence sénile (carence en vitamines B). - Amnésie due à des effets d interférences ou traumatismes crânien. Interférence rétroactive négative. - Amnésie due à des causes affectives. La signification des informations sont très importantes aussi. Mémoire sémantique au sens de la signification. Ebbinghaus a travaillé sur les syllabes, sur un matériel épuré de toute signification. Il a neutralisé la VC sens du matériel, au début des années 80 la sémantique a été réinsérée. Définition de la mémoire : on peut dire que la mémoire est un dispositif de traitement pouvant coder l information extraite de l expérience du sujet avec l environnement, pouvant la stocker dans un format approprié à ces possibilités de calcul (PC) puis pouvant la récupérer plus ou moins facilement et l utiliser dans les opérations qu il effectue ou les activités qu il mène sur le monde. La notion de format de calcul renvoi à l idée de limitation de la mémoire. II. Définition de la mémoire à court terme et sa distinction de la mémoire à long terme. Conservation dans un temps très bref. Le concept de MCTa été introduit par : la résolution mentale de problème (conservation de données à utiliser instantanément) exemple du numéro de téléphone, et par l utilisation en psychologie différentielle des épreuves d empan mnésique (mesure ). On considère que la capacité moyenne de rétention d informations est de 7 informations de quelques natures qu elles soient, 7 plus ou moins 2. Chunks : liaisons entre les mots. Expérience : 6 mots de 2 syllabes à un premier groupe, 6 mots de 3 syllabes à un autres, l empan mnésique étant de 7 informations de natures quelconques, on pourrait s attendre à avoir des résultats égaux pour les deux groupes, or on a des résultats pour le groupe 2 plus faible que pour le groupe 1. III. Caractéristiques de la mémoire à court terme. Elle a deux capacités principales : la limite et la durée très courte. IV. Son processus de maintien de l information : l'autorépétition. L auto répétition : Peterson et Peterson, auto répétition (révision mentale). Expérience princeps en 1959 : - Tâche typique empan mnésique : écouter une série de lettres tirées au hasard. - Groupe expérimental : libre, au repos, délai variable jusqu à 30 secondes. - Le groupe contrôle : pendant ce délai : répéter dire des chiffres à rebours de 3 en 3 à partir d un nombre donné. Empêcher l auto répétition par une tâche interférente. Vi : auto-répétition oui ou non. 3
4 - Résultats : Mge > Mgc : l information a disparu de la MCT à moins que le sujet ait pu pratiquer l autorépétition. Oubli au bout de 15 secondes. V. Le codage des informations en MCT. 1) Codage acoustique ; boucle articulatoire (phonologique). Forme de l autorépétition : codage acoustique ou phonologique (selon certains chercheurs seulement) : répétition des sons même mentale. Information essentiellement codée de cette manière, exemple de la lecture : lire à haute voix d abord. Expérience de codages auditifs et de codages visuels (formes des lettres). - 2 types de couples de lettres : Type I : les lettres ne se ressemblent pas du tout graphiquement mais le son est proche : P et T par exemple (confusion plus importante). - Type II : inverse P et R, proche graphiquement mais pas phonologiquement. VD : nombre d erreurs (confusion), erreurs phonétiques moins importantes que les confusions visuelles. Prononciation intérieure (pas motivée par l expérimentateur). On pourrait s attendre à une plus grande confusion graphique, il y a toujours un codage phonologiquement dans la mémoire à court terme, c est une forme de codage privilégiée. Zones d intégration cérébrale pas auditive peuvent poser des problèmes (dyslexie par exemple). Baddeley propose un modèle de la MTC : boucle articulatoire, mémoire active de l information sous une forme propre au langage. Prédominance d une mémoire active propre au langage. Alexie : privation de la lecture (perte d une capacité qui existait préalablement). 2) Codage visuel. Est-ce que le codage visuel demeure? Oui, expérience de Posner : expérience dans laquelle il présente une lettre avec la même graphie : AA comparer avec un couple où la graphie sera différente A a. Même son du point de vue phonologique. Jugement d identité (première phase : présentation, 2 ème phase : 2 secondes de délais, troisième phase : restitution). Résultat : temps de réaction, jugement d identité plus long pour Aa que pour AA. S il n y avait que la phonologie, on aurait des résultats égaux, la boucle articulatoire n est pas un modèle satisfaisant à 100 %. VI. Rôle dans la loi sérielle. (Effets de primauté et de récence). Loi de position sérielle : deux effets : primauté le début est mieux restitué que le milieu, le milieu est moins bien restitué que la fin (loi de recense). Interprétation : effets d interférence : transfert gênant, négatif, le début : pas de confusion puisque pas de mots précédents, pas d interférence proactive, ils peuvent par contre avoir un effet sur les mots suivants, interférence proactive. Le milieu : effets d interférence proactives et rétroactives. La fin : pas d effet sur des mots appris ensuite, effet d interférence rétroactive. On peut aussi expliquer l effet de recense par la MCT. Les derniers éléments d une liste apprise pourraient encore être dans la mémoire à court terme (première lecture surtout). Pas de transfert d apprentissage, la MCT n explique pas l effet de primauté, cette loi de position sérielle s applique aussi à tout type de matériel (apprentissage des déplacements). VII. Modèle pour la MCT par Atkinson et Shiffrin. 1) MCT = MDT (mémoire de travail) : système central exécutif + boucle phonologique et calepin visuo-spatial. TTI, premier modèle proposé pour la MCT : 3 registres : sensoriel (perceptif) conservation du caractère sensoriel de l information (une odeur est une odeur). Pourquoi PCT et MLT : l attention sélectionne certaines 4
5 informations, 2 ème registre : Certaines informations de la MCT passeront dans la MLT. Ces informations de la MCT sont codés phonologiquement, il y a un seul type de codage. Pour passer en MLT : autorépétition, boucle articulatoire (peut être involontaire). MCT : réservoir dans lequel la MCT vient puiser. Baddeley rajoute quelque chose : pas de troubles de la PCT et pourtant troubles de la MCT. Remise en cause : MCT : mémoire de travail, MCT : mémoire passive, informations peu transformés. Mémoire de travail : mémoire active, transformation des informations, maintien de l information pendant que des opérations cognitives de haut niveau sont effectués. Rappel de l information au moment nécessaire. MCT : empan mnésique pas de travail cognitif complexe, mémoire de travail : maintien long. A l âge de 6 ans la mémoire de travail est entièrement développer mais pas l intelligence. Baddeley : si l'information est auditive, le codage est la boucle articulatoire, avec le processus de l'autorépétition sub-verbale. Si l'information est visuelle, le codage est calepin visuo-spatial. Baddeley précise que pour que ces 2 systèmes fonctionnent il faut qu'il soit asservi par un coordinateur, ce qu'il appelle l'administrateur central. L'administrateur central sert à sélectionne les informations qui iront soit en MCT soit en MLT, il contrôle le codage et fait la coordination. 2) Problème de l'encodage sémantique en MDT. Mémoriser et restituer des noms de fruits sur 4 essais. Groupes Phase 1 Phase 2 Résultats. G1 4 ème essai : GC : Résultats en baisse : noms de fruits. confusion, effet d'interférence proactive. G2 4 ème essais : GE1 : Résultats en baisse : noms de légumes. confusion, effet d'interférence proactive. G3 4 ème essai : GE2 : Résultats noms de fleurs. relativement stable : éloignement catégoriel efficace. G4 4 ème essai GE3 : Résultats en hausse noms de : éloignement professions. catégoriel, effet de sens, pas d'interférence. La VI, organisation sémantique, fait varier la proximité catégorielle, cela suppose que la pensée est catégorielle. Dans la MDT, il y a bien intervention du sens, plus la distance sémantique est réduite, plus l'interférence proactive est intense, et réciproquement. Le changement de catégorie neutralise les effets d'interférence. Dans la MCT, il y a plusieurs codages possibles, le sens permet de fixer à moyen et long terme. 5
NB : J ai trouvé ce texte sur le net sans que son auteur soit indiqué. Je regrette donc de ne pouvoir lui rendre hommage pour ce travail.
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