Broncho-pneumopathies chroniques obstructives
|
|
- Clementine Charbonneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Broncho-pneumopathies chroniques obstructives Définitions Définie comme «une obstruction chronique des voies aériennes, non complètement réversible, habituellement progressive, associée à une réaction inflammatoire anormale en réponse à des toxiques inhalés, qui a des conséquences systémiques et qui peut être prévenue et traitée». La BPCO est caractérisée par la présence d un trouble ventilatoire obstructif mesuré à la spirométrie : VEMS/CVF< 70% avec ou sans signe clinique. La BPCO peut être asymptomatique. La BPCO peut s accompagner ou non d emphysème et d insuffisance respiratoire chronique La BPCO évolue par poussées ou exacerbations. Une exacerbation est définie par une majoration des symptômes au-delà de 48H (augmentation de la toux, de la dyspnée, du volume de l expectoration ou purulence de celle-ci). Epidémiologie données cliniques La population atteinte : sujet de plus de 45 ans fumeur pour la plupart, 60% sont des hommes. Le tabac est responsable de plus de 80% des BPCO. La prévalence : 3,5 millions de personnes en France (4 à 10% selon les études) dont 1/3 sont symptomatique et avec insuffisance respiratoire chronique (oxygénothérapie). La mortalité augmente : actuellement 5 ème cause elle passera, à cause du tabac, à la 3 ème cause en Les principales causes de mortalité sont l insuffisance respiratoire, les maladies cardio-vasculaires et les cancers. Le poids médico-économique est majeur : 3,5 millards d euros par an de dépense de santé dont près de la moitié pour l hospitalisation des exacerbations. Maladie sous diagnostiquée ( 2/3 des malades ignorent leur pathologie) et insuffisamment traitée (1 malade sur 2 ne bénéficie pas d une prise en charge conforme aux recommandations). Gravité et comorbidités La sévérité de la BPCO est évaluée par la spirométrie. On décrit 4 stades le la BPCO dont le niveau de sévérité dépend de VEMS : Stade 1 dit léger : VEMS > 80% de la valeur prédite Stade 2 dit modéré : 50%< VEMS < 80% de la valeur prédite Stade 3 dit sévère : 30%< VEMS <50%de la valeur prédite
2 Stade 4 dit très sévère : VEMS< 30% de la valeur prédite ou VEMS <50% de la valeur prédite avec insuffisance respiratoire chronique grave. Les données cliniques (dyspnée, limitation d activité et exacerbations) ne sont pas prises en compte dans cette classification ; par contre elle guide les indications thérapeutiques. (2) Les patients atteints de BPCO ont fréquemment des comorbidités qui ont un impact sur les symptômes, la mortalité et le coût des traitements. : affections cardio-vasculaires (HTA, coronaropathies, insuffisance cardiaque), cancers (en particulier bronchiques), dysfonctionnement musculaire squelettique, dénutrition, ostéoporose, anémie, diabète, syndrome métabolique, dépression. Il existe une inflammation systémique de bas grade dans le BPCO qui aggraverait certaines autres affections. (1) Dépistage L amélioration du diagnostic, qui est uniquement spirographique, repose sur un meilleur dépistage. Cependant les modalités à appliquer à une population non ou peu symptomatique ne font pas consensus. EFR dans les populations à risque : fumeurs de plus de 40 ans avec un tabagisme de plus de 10 paquets-année et sujets exposés professionnellement (7) Utilisation en médecine générale ou autres structures non pneumologiques de minispiromètres mesurant le VEMS / VEMS6 (piko6). Mais nécessité d une formation initiale et d une expérience soutenue pour diminuer le nombre d erreurs (50 à 60% dans certaines séries). (7) Les moyens thérapeutiques Les principes thérapeutiques mis en œuvre visent à améliorer les symptômes, la qualité de vie et prévenir les complications. Seuls l arrêt du tabac et l oxygénothérapie (dans l insuffisance respiratoire) font diminuer la mortalité. L arrêt du tabac (2) C est la seule méthode susceptible d interrompre la progression de l obstruction bronchique et de retarder l apparition de l insuffisance respiratoire. Les stratégies ne diffèrent pas de celles employées pour la population générale. La substitution nicotinique est recommandée en première et seconde intention. Il est recommandé d arrêter de fumer dès le début du traitement. Les formes orales et transdermiques sont équivalentes. Il peut être accompagné d une prise en charge comportementale de type cognitivo-comportementale. La durée recommandée est de 3 mois.
3 La Varénicline : médicament de seconde intention. Durée de traitement recommandée de 12 semaines avec arrêt du tabagisme dans les 2 premières semaines. Le Bupropion : médicament de troisième intention. Il a de nombreuses interactions mais il peut être associé aux dérivés nicotiniques. La durée d utilisation est de 7 à 9 semaines. La moitié des fumeurs ayant arrêté de fumer pendant 3 mois rechutent dans les 9 mois qui suivent. Les thérapies cognitivo-comportementales sont proposées pour diminuer ce taux. Les médicaments (9) Les bronchodilatateurs inhalés : principal traitement symptomatique. Deux classes les anticholinergiques et les bêta2 mimétiques. Le choix de la classe dépend de la réponse individuelle sur les symptômes et de la tolérance. Si la réponse est insuffisante changement de classe ou association des deux. Nécessité d une éducation thérapeutique du patient. Les anticholinergiques inhalés : Ipratropium (ATROVENT) dès le stade1 ou Tiotropuim (SPIRIVA) dès le stade2 Les bêta 2 adrénergiques inhalés : Terbutaline (BRICANYL), Salbumol (VENTOLINE) dès le stade 1 Salmétérol(SEREVENT), Formoterol (FORADIL) dès le stade 2 Indacaterol( OMBREZ- OSLIF) dès le stade 2 Les associations fixes : Salbumol/Ipratropium (BRONCHODUAL) dès le stade 2 Bêta 2 adrénergique+corticostéroïde inhalé : indiqué seulement si exacerbations répétées (stade 3) Fluticasone/Salmétérol (SERETIDE) Budesinide/Formotérol (SYMBICORT) La Théophylline LP n est quasiment plus utilisée. La vaccination grippale et pneumococcique sont recommandées La réhabilitation respiratoire (1,6) Elle s adresse à tout patient qui malgré un traitement médicamenteux optimal présente une dyspnée ou une diminution des ses activités physiques quotidiennes. Outre l amélioration des ces paramètres elle vise l amélioration de la qualité de vie la diminution des hospitalisations et des consultations d urgence. Elle est dispensée par une équipe pluridisciplinaire et comprend :
4 Le réentrainement à l effort a pour objectif d améliorer la tolérance à l exercice et de diminuer la dyspnée donc d augmenter les activités quotidiennes. Ces exercices d endurance doivent s accompagner d exercices en résistance pour augmenter la force musculaire. La kinésithérapie est orientée vers le désencombrement bronchite par la méthode de l accélération des flux expiratoires. L éducation thérapeutique : c est l acquisition par le patient de compétences lui permettant une meilleure gestion de sa vie avec sa maladie. Les objectifs sont définis par le diagnostic éducatif. Il peut s agir de compétences techniques (technique de prise des traitements), personnelles (gestion de la dyspnée, de l angoisse), ou comportementales (sevrage tabagique, activité physique) Le sevrage tabagique La prise en charge psycho-sociale. 60% des patients sont déprimés et seuls 10% seraient traités. La dépression est un indice de mauvais résultat. La prise en charge nutritionnelle. Dans la BPCO la maigreur (IMC<21) est un facteur de mauvais pronostic. Les exacerbations aiguës Sont définies par une aggravation durable de l état des patients. Les hospitalisations augmentent fortement les coûts et sont corrélées à une augmentation de la mortalité. Leur origine est multifactorielle, est surtout d origine infectieuse, embolique ou défaillance cardiaque (mais possiblement iatrogène) Rechercher les critères d exclusion de prise en charge à domicile : (1) confusion ou trouble de conscience exacerbations ou hospitalisations fréquentes oxygénothérapie ou corticothérapie de longue durée SaO²<90%, natrémie <130, hématocrite <10g/dl, CRP>50mg/l Cyanose, tirage, fréquence respiratoire > 30mn, ou cardiaque>120/mn Comorbidités associées Conditions socio-économiques difficiles ou isolement La prise en charge à domicile (1) Le repos L oxygénothérapie, le bénéfice est indiscutable, elle doit être modulée pour obtenir une saturation entre 90 et 92% en évitant l hypercapnie. Les bêta-2-agonistes d action rapide et les anticholinergiques ont un effet similaire, ils doivent être associés. Les aérosols doseurs sont peu utilisables à ce stade et les nébulisations doivent être préférées. Les corticoïdes par voie orale en cure courte (5/10 jours) à la dose de 0,5mg/kg sont préconisés en dehors des exacerbations plus légères. L antibiothérapie est fonction de la dyspnée : (8)
5 pas de dyspnée pas d antibiothérapie, dyspnée d effort et expectoration franchement purulente (amoxicilline, céphalosporine de 2 ou 3 ème génération orale, macrolide, pristinamycine ou télithromycine), dyspnée au moindre effort ou de repos (amoxicilline-acide clavulanique, céphalosporine de 3 ème génération injectable ou fluoroquinolone antipneumococcique). La kinésithérapie en cas d encombrement. La prophylaxie thrombo-embolique par HBPN à dose curative est recommandée. L assistance respiratoire relève de l hospitalisation. Stade de l insuffisance respiratoire chronique Quand l appareil respiratoire est incapable d assurer l hématose. L Oxygénothérapie de longue durée est indiquée au stade 4 de la BPCO. Pour améliorer la survie elle est préconisée 15heures/24, livrée sous forme de concentrateurs ou de réservoirs d oxygène liquide et sous forme de portatifs s il existe une désaturation à l effort. Bibliographie 1. La BPCO, monographie de La Revue du Praticien, vol 61, juin 2011, p Actualisations pour la prise en charge de la BPCO, mise à jour 2009, SPLF, Elsevier Masson Tiré à part n 5, vol , p Bronchite chronique : prévalence et impact sur la vie quotidienne, INVS France BPCO définition, diagnostic, Power point 2008, ministère de la santé et des sports, Nicolas Roche 5. BPCO données épidémiologiques, Power Point, ministère de la santé et des sports, INVS, 21 décembre 2007,Claire Furhman 6. Réentrainement à l exercice sur machine d un patient atteint d une pathologie respiratoire chronique HAS avril La BPCO numéro thématique du BEH n du 3 juillet 2007, p Ansm : antibiothérapie dans les infections respiratoires basses de l adulte, mise au point 21/07/ Quelle place pour les bronchodilatateurs de longue durée d action dans le traitement de la BPCO, HAS mai 2009
6 10. Parcours de soins de la BPCO, HAS février 2012 Rédacteur : Jean Claude DOUGUET, coordonnateur des Groupes Qualité Bretons. Avril 2012 Relecteurs : Jean Pierre MAIRESSE, coordonnateur des Groupes Qualité Normands Yves LEQUEUX, coordonnateur des Groupes Qualité des Pays de Loire Annexe 1 : Objectif de la prise en charge atteints par les traitements principaux de le BPCO, avec le niveau de preuve correspondant (SPLF : prise en charge de la BPCO, mise à jour 2009). Annexe 2 : Schéma résumé du parcours de soins de la BPCO (HAS février 2012)
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailTraitement pharmacologique de la BPCO
Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, S19-S35 Traitement pharmacologique de la BPCO Les interventions pharmacologiques abordées dans ce chapitre sont : aides au sevrage tabagique ; bronchodilatateurs
Plus en détailPROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE
PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailRECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008
RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive
Plus en détaildmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès
dmt TD notes de congrès 160 Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Paris, 21 décembre 2007 Une journée «BPCO et travail» a eu lieu le 21 décembre 2007. Elle était organisée par la
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailRECOMMANDATIONS SUR LA MPOC MISE À JOUR DE 2007
RECOMMANDATIONS SUR LA MPOC MISE À JOUR DE 2007 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive chronique Mise à jour de 2007
Plus en détailTom Smiley, B.Sc. Phm., Pharm. D.
FC OBJECTIFS D APPRENTISSAGE Une leçon Gratuite de formation continue Au terme de ce module de formation continue, les pharmaciens pourront : décrire les causes et les facteurs de risque associés à la
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailProjet Fonds Assuétudes 2007
Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailMieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie!
Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête mieux dans sa vie! Pathophysiologie BPCO: Le cercle vicieux du déconditionnement VEMS Déconditionnement Dyspnée Immobilité Dépression Isolement social impairment
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailLe traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques
La bronchopneumopathie chronique obstructive Le traitement de la BPCO vers un accommodement raisonnable entre bienfaits et risques Richard Gauthier 3 Les patients atteints d une bronchopneumopathie chronique
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailhttp://www.inami.fgov.be/drug/fr/drugs/groups/asthma_bpco_copd/faq.htm
Page 1 sur 6 Vous êtes ici : Accueil > Médicaments et autres > Médicaments > Asthme et BPCO : prescription des médicaments selon les recommandations > FAQ - Asthme et BPCO Questions fréquemment posées
Plus en détailGUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca
GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailMise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick
Bulletin n 902 le 6 mars 2015 Mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick Cette mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick entre en
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailUNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailInformation professionnelle du Compendium Suisse des Médicaments. Aridol TRIMEDAL
Aridol TRIMEDAL OEMéd Composition Principe actif: Mannitol. Excipients Gélules de 5, 10, 20 et 40 mg: Colorant: dioxyde de titane E 171. Gélules de 10, 20 et 40 mg: Colorant: oxyde de fer E 172. Forme
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailRECOMMANDATION FINALE DU CCEM
RECOMMANDATION FINALE DU CCEM BROMURE D UMÉCLIDINIUM ET TRIFÉNATATE DE VILANTÉROL (Anoro Ellipta GlaxoSmithKline inc.) Indication : la maladie pulmonaire obstructive chronique Recommandation : Le Comité
Plus en détailMarseille 21 > 23. Novembre
Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailCARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1
CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1 SOMMAIRE ASSURES LE RESEAU CARTE BLANCHE... 5 LES PROFESSIONS DE SANTE... 5 CARTE BLANCHE, COMMENT ÇA MARCHE?... 6 LES OPTICIENS... 7 LES CHIRURGIENS-DENTISTES...
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailOxygénothérapie à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détail