1/31/2017. Généralités sur l infection: Plan de la séquence: Etude de cas: Introduction: Statistiques sur les maladies infectieuses :
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- Corinne Corriveau
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1 Plan de la séquence: Etude de cas Introduction Statistiques sur les maladies infectieuses Les deux catégories d agents infectieux Généralités sur l infection: Les compétences de l AS Définitions CIDC IFAS 2017 Promotion AS Etude de cas: Introduction: Mme P est hospitalisée suite à une chute à son domicile, elle présente une fracture du col de fémur. Elle vient d être hospitalisée dans le service d orthopédie pour la pose d une prothèse totale de hanche. Elle est installée dans une chambre double avec une autre patiente qui a été hospitalisée la veille pour le même type d opération. Comme tous les patients qui arrivent à l hôpital, Mme P arrive à l hôpital avec plusieurs millions de microbes présent micr au niveau de la peau, de l intestin, de ces cheveux. Les germes commensaux de Melle A ne sont pas pathogènes pour elle-même mais ils peuvent le devenir s ils contaminent sa voisine. Elle est opérée ce matin, pour cela l IDE et l AS applique et respecte scrupuleusement le protocole de service sur la préparation cutanée préopératoire en lui faisant prendre une douche avec un savon antiseptique pour limiter le risque infectieux, avant de l accompagner au bloc. Le chirurgien doit effectuer la mise en place de matériel stérile au niveau de la fracture. Les germes présents sur la peau pourraient provoquer une auto-infection. 72 h après l intervention Mme P, elle est très fatigué. Elle présente une hyperthermie à 38.8 c. Un écoulement purulent et une inflation de la plaie son présent. Des prélèvements bactériologiques sont fait par l infirmier. Mme P est porteuse d un staphylocoque aureus résistants à la méticilline. L hôpital est un lieu qui accueille des personnes saines ou malades, infectées ou non, porteuses asymptomatiques ou non, on y trouve une grande concentration de microbes qui constituent une flore nommées «flore microbienne hospitalière». Qui est constituée de bactéries, de virus, de champignons et de parasites qui se transmettent par divers facteurs (surfaces, matériels, linge ) ou directement d un soignant à un autre, d un patient à un autre ou inversement. Pour rompre cette chaîne infectante, le personnel soignant doit appliquer les règles d hygiène hospitalière strictes visant à éliminer les agents pathogène responsables. Un traitement ATB lui est prescrit et des soins locaux sont réalisés par l IDE. Statistiques sur les maladies infectieuses : Statistiques sur les maladies infectieuses : Maladie: Maladies respiratoires 3 millions Nombre de morts par an dans le monde Maladie: Pneumonies et grippe Nombre de morts par an en France: morts ( 30 pour hab) Sida ( 5.6 pour hab) Sida 3 millions (2011) Septicémies ( 3 pour hab) Maladies diarrhéiques 205 millions Cardiopathies rhumatismales 1200 ( 2 pour hab) Tuberculose Près de 2 millions Appendicites et péritonites ( 1.6 pour hab) Paludisme Plus d 1 million de décès Tuberculoses 700 (1.1 pour hab) Rougeole Infections intestinales Hépatite virale 600 (0.97 pour hab) 335 (0.5 pour hab) 1
2 En 2008, l'inserm a recensé la mort de personnes en France. Les causes en étaient : Les deux catégories d agent infectieux: pour 29,6 %, les tumeurs néoplasiques, (contre 28,1 % en 2000) cancer des poumons en tête (5,4 % en 2008) pour 21,4 %, les maladies cardiovasculaires (30,5 % en 2000) pour 6,1 %, les accidents vasculaires cérébraux (1ère cause de mortalité chez la femme) pour 4,6 %, les accidents (dont transport 0,78 % et chutes accidentelles) (5,4 % en 2000) pour 3,2 %, la maladie d'alzheimer (1,5 % en 2000) pour 2,5 %, les causes ne sont pas connues ou pas précisées pour 2,2 %, le diabète (2,1 % en 2000) pour 2,0 %, les pneumonies et grippes pour 1,9 %, le suicide (2,0 % en 2000) pour 1,8 %, les démences (1,9 % en 2000) pour 1,7 %, les maladies chroniques des voies respiratoires inférieures (1,8 % en 2000) pour 1,4 %, les maladies chroniques du foie (1,6 % en 2000) pour 1,3 %, les maladies du rein et de l'uretère pour 0,9 %, la maladie de Parkinson pour 19,3 %, autres causes Les agents transmissibles conventionnels (ATC): virus, parasites, champignon, levures et bactéries Les agents transmissibles non conventionnels: ou prions Les agents transmissibles conventionnels: a. Les bactéries: ce sont des micro-organismes unicellulaires qui se reproduisent par division et provoquent des infections bactériennes. Ils sont le plus souvent responsables d infections nosocomiales. La flore: on appelle «flore» le regroupement de populations bactériennes en fonction de leur mode de vie. La flore utile: utilisée par l homme (ex: des bactéries lactiques pour la fermentation du lait). -les bactéries -les virus -les champignons -les parasites La flore commensale: il existe une flore particulière au niveau des téguments, de nez, de la cavité buccale, du tube digestif, du vagin. Cette flore non pathogène joue un rôle de barrière contre les autres microbes, elle vit avec l homme sans lui nuire. La flore saprophyte: qui vit dans l environnements ou la surface de la peau, flore non pathogène. La flore pathogène: composée de microorganismes dangereux pour l homme. Elle est présente partout dans l environnement (autour du patients, sur les personnes, sur les mains ). a. Les bactéries: (suite) Classification et caractéristiques des bactéries: (suite) La flore: La flore transitoire: acquise lors des soins donc pathogène. Selon leur forme Selon leur besoin ou non en oxygène Selon leurs capacités La flore commensale: résiduelle qui est une flore non pathogène; Les bactéries peuvent devenir opportunistes, c est-à-dire pathogènes si la personne est Les coques (rondes type staphylocoque, streptocoque, entérocoque ), et les bacilles (bâtonnets) type bacille de Nicolaêr, responsable du tétanos. Les bactéries aérobies qui ont besoin d oxygène pour se développer. Elles se retrouvent à la surface des objets,aliments, peau, muqueuses Et les bactéries anaérobies qui se développent dans des milieux dépourvus d oxygène (ex: la terre). La coloration «GRAM» permet de colorer les bactéries. Cette coloration permet de définir la composition chimique de la paroi de la bactéries. Ce qui permet une pénétration plus ou moins facile des ATB. Leur résistance au milieu ambiant. fragilisée. 2
3 Classification et caractéristiques des bactéries: Multiplication des bactéries: Selon leur pouvoir pathogène Les bactéries se développent très vite, entre 20 et 30 min (ex: en 15h un Staphylocoque se divise en 1 milliard de bactéries), Les bactéries ont la capacité de s engluer autour d un corps étranger dans La bactérie pathogène spécifique est une bactérie identifiée d après ses caractères, son mode de transmission, son habitat. Elle provoque une maladie (pathos, en grec).par ex: le méningocoque pour la méningite. La bactérie opportuniste est une bactérie non pathogène à l occasion d un état de faiblesse (ex: les staphylocoques qui vivent à l état saprophyte dans l air et à l état commensal dans le nez, sur la peau. Les colibacilles de l intestin peuvent provoquer des infections intestinales ou urinaires (bactéries: escherichia coli). l organisme, d où les règles de nettoyages strictes à respecter. Les conditions idéales de reproduction sont: -un certain taux d humidité, -une température entre 10 et 60 C, -un milieu nutritif important et les milieux légèrement sucrés, que l on appelle le biofilm. Multiplication des bactéries: Les compétences de l AS a savoir: Les conditions défavorables sont: -une forte chaleur sup à 100 C (une température sup à 120 C tue toutes les bactéries), -un faible taux d humidité, -la présence d antibiotiques, d antiseptiques, de désinfectants. respect des règles strictes d hygiène chez tout les patients porteur de sonde, de drain, de cathéter nécessité d eau, nourrriture, t entre 10 et 65 C pour son développement, froid ne tue pas mais ralentit la multiplication, si un facteur manque, survit mais ne se divise plus, se réactive si facteur réapparait, certaines bactéries fabriquent des toxines (substances dangereuses se fixant sur différents organes et provoquant des troubles variés tels que des diarrhées, des intoxications, des problèmes neurologiques Les compétences de l AS ( SUITE): b. Les virus: Le diagnostic d infection bactérienne se fait par un prélèvement direct. Ex: plaie, sécrétion, sang, liquides biologiques. Traitement fait par ATB: -utilisation abusive des ATB a entraîné des résistances, -et appariiton de nouvelles bactéries BMR (bactéries multirésistances) beaucoup+ difficile à éliminer. Les BMR: Ne sont plus sensibles qu à un tout petit nombre d ATB habituellement actifs en thérapeutique. Véritable fléau dans les établissements de soins car en nette augmentation et de plus en plus difficile à traiter. Elles sont responsables d infection nosocomiales pouvant être graves. Les virus n ont pas de vie autonome comme les bactéries. Ils ne peuvent se développer qu en pénétrant dans une cellule dite «cellule hôte». Il existe des cellules cibles qu un seul type de virus spécifique peut infecter. Ex: le virus de l hépatite contamine seulement les cellules du foie. Beaucoup sont immunogène et se développent une immunité en entraînant une production d anticorps spécifique et protègent la cellule d une nouvelle infection par le même virus. Ex: la rougeole, la rubéole 3
4 b. Les virus (suite): c. Les champignons: Evolution et traitements: Le diagnostic est fait par un prélèvement direct (selles). Mais aussi par une sérologie (dosage des antigènes ou anticorps dans le sang : HIV, VHB, VHC). Moyens de TTT des infections virales chroniques restent encore insuffisants. La prévention reste le moyen de lutte la plus efficace (préservatif). Pour les viroses bénignes pas de TTT spécifique. Ils appartiennent au règne végétal microscopique. Il existe des champignons utiles, jouant un rôle dans les industries de fermentation (levure de bière, pain, fromage). Dans le domaine médical, l intérêt réside dans la fabrication d ATB (pénicillium pour la pénicilline). Certains champignons normalement présents sur la peau ou dans l organisme sans effet nocif. D autres pathogènes pour l homme provoquent des maladies appelées mycoses. c. Les champignons (suite): d. Les parasites: Il existe différents types de mycoses: -mycoses cutanéo-muqueuse (ex:candida albicans ou muguet buccal très contagieux), -mycoses profondes provoquant des atteintes pulmonaires, encéphaliques (ex: aspergillus dans l air). Evolution et traitements: Le diagnostic se fait par examen des lésions et cultures sur prélèvement. Le traitement est soit local (pommade) soit général (médicament antifongique). Ce sont des êtres vivants appartenant au règne animal qui se développent aux dépens de celui qui les héberge en se nourrissant des tissus ou du sang. Ils provoquent des parasitoses. Ex : -l amibe responsable de l amibiase (dysenterie), -le ténia ou les helminthes qui sont des vers intestinaux, -le sarcopte responsable de la gale, -les ectoparasites comme les poux responsables de pédiculose, -le plasmodium responsable du paludisme (piqûre de moustique). Les prions ou agents transmissibles non conventionnels (ATNC): Compétence de l aide soignant: L e prion est une forme anormale de protéine cellulaire infectieuse présente essentiellement dans le système nerveux. Il est responsable d atteintes graves. La maladie de Creutzfeld-Jacob en est un exemple. Cette maladie est indétectable tant que le sujet et vivant et le diagnostic se fait souvent après l autopsie. La transmission se fait par voie chirurgicale (ex : greffe de cornée, tympan, chirurgie neurologique), par le sang ou par la viande de bœuf contaminée). L aide soignant participe activement à la lutte contre la transmission des infections nosocomiales en respectant les règles d hygiène et en appliquant les protocoles d isolement mis en place selon chaque situation. Il va utiliser les produits détergents, désinfectant, les moyens de stérilisation qui sont destinés à élimine et tuer tous ces micro-organismes. 4
5 Définition des termes liés au processus infectieux : Définition des termes liés au processus infectieux (suite): L infection : c est l invasion de l organisme par des agents infectieux capables de s y multiplier. La contamination : c est l envahissement de l organisme par des micro-organismes. Si l organisme se prête à la multiplication microbienne, la contamination est suivie d infection. Le pouvoir pathogène : d un micro-organisme est la propriété qu il possède de rendre un individu malade. Il est variable d un sujet à un autre selon l espèce et le nombre. La virulence : c est la capacité d un microbe à se multiplier à l intérieur de notre organisme. Notons qu un état de santé affaibli, accroit la virulence du microbe (c est le cas des personnes âgées ou immunodéprimées). La contagion : c est la transmission d une maladie ou d une infection d un individu à un autre. Les modes de transmissions des micro-organismes sont : -direct, d une personne à une autre (voie aérienne), -indirect, par l intermédiaire des mains, du matériel et de l environnement. Le porteur sain ou asymptomatique : c est un sujet dont l organisme est résistant mais qui est porteur de micro-organismes pathogènes, donc contagieux (vecteurs d infection). Il y a ainsi des personnes qui sont porteuse, sans le savoir, de virus de l hépatite, du sida, de l herpès et peuvent transmettre ces maladies lors de rapports sexuels, par exemple. L immunité : état réfractaire d un individu contre un antigène déterminé. L immunité peut donc être : -naturelle : congénitale, à une lignée d individu, à une personne, -acquise : soit spontanée à la suite d une infection, soit provoquée par la vaccination. L antigène : sont les substances étrangère à l organisme (microbe, toxine) qui entraine une réaction de défense, une substance antagoniste, l anticorps capable de la détruire. L anticorps : sont les substances circulant dans le corps, fabriquées par les lymphocytes (globules blancs), capables de se fixer sur le microbe et d empêcher leur multiplication ou de les détruire. Certains sont présents dans l organisme : anticorps naturels. Ou n apparaissent qu après un premier contact avec la maladie ou après vaccination (anticorps immuns). Merci de votre attention 5
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