PRESIDENCE REPUBIQUE FRANCAISE N /PPS. Nouméa, le 24 décembre Le Président,

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1 REPUBIQUE FRANCAISE PRESIDENCE N /PPS PROVINCE SUD NOUVELLE-CALEDONIE Nouméa, le 24 décembre 2008 Le Président, à Monsieur le Président de la Chambre Territoriale des Comptes de Nouvelle-Calédonie Monsieur le Président, Par lettre en date du 25 novembre 2008, vous avez bien voulu me faire parvenir le rapport d'observations définitives de la Chambre établi à la suite de l'examen de la gestion de la politique de développement touristique de la Province Sud. Conformément à l'article L du code des juridictions financières, je vous prie de bien vouloir trouver ci-jointe une réponse écrite à ce rapport d'observations. Nos remarques tendent à mettre en évidence les efforts considérables entrepris par la collectivité pour inscrire durablement notre destination dans une dynamique concertée de développement touristique. Car ce secteur est essentiel à la vie économique du pays (4 % du PIB, 4900 salariés, 22 milliards de recettes d'exportations) et joue un rôle moteur dans l'aménagement du territoire par la création d'emplois dans les communes de l'intérieur et des iles. On peut noter à ce sujet l'augmentation significative du nombre d'emplois touristiques ces 3 dernières années : de 4004 en 2005 à 4773 en 2007, soit une augmentation de 19,2 %. L'élaboration du Plan de Développement Touristique Concerte de Nouvelle-Calédonie (PDTC-NC) a permis à la Nouvelle-Calédonie de se doter, pour la première fois, d'une véritable stratégie en matière de politique touristique, commune aux professionnels et aux provinces. Depuis son adoption, le PDTC-NC est devenu un cadre de référence pour l'ensemble des services de l'etat et de la Nouvelle-Calédonie pour l'instruction des dossiers touristiques éligibles aux dispositifs de défiscalisation locale et métropolitaine. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

2 Les moyens humains et financiers conséquents investis dans la promotion internationale de notre destination - multiplié par 3 depuis ont incontestablement contribué à stabiliser les flux touristiques ( en en 2007) dans une conjoncture internationale défavorable marquée notamment par une dévaluation du yen, alors même que les principales destinations concurrentes de la zone Pacifique Sud enregistrent une chute de leur fréquentation touristique (-20 % en Polynésie française entre 2004 et 2008, baisse significative de la fréquentation japonaise en Australie et en Nouvelle Zélande depuis 2005). Nous considérons que, sans l'effort considérable entrepris en matière de promotion internationale de notre destination depuis 4 ans, la Nouvelle-Calédonie aurait subi une baisse de fréquentation touristique équivalente à celle de la Polynésie. Par ailleurs, exception faite du Japon, il convient de souligner que, le nombre de touristes en provenance des autres pays est en hausse : + 5 % entre 2005 et 2007 pour le marché métropolitain, + 10,7 % pour l'australie entre 2006 et 2007, et + 57 % pour la Nouvelle-Zélande entre 2003 et Ces résultats sont directement liés à la politique renforcée de promotion internationale de notre destination. En outre, le taux global d'occupation des hôtels a progressé de 1,2 points entre 2003 (59,7 %) et 2007 (60,9 %). Au niveau des transports, la Province Sud a contribué activement à l'ouverture supplémentaire de nouvelles lignes aériennes internationales aux côtés des autorités compétentes (2 fréquences hebdomadaires Nouméa-Paris via Séoul depuis juin 2008, 2 fréquences hebdomadaires nouvelles Nouméa-Paris via La Réunion et Sydney grâce à Air Austral à partir d'avril 2009). En matière d'hébergements, un nombre important de rénovation-extension conforme aux exigences du PDTC-NC a été réalisé : Le Surf (amélioration du confort des chambres), le Kou Bugny (rénovation de l'existant et création d'un nouveau bâtiment de 26 chambres 3*), le Résidhôtel le Stanley (59 chambres rénovées et 30 unités d'hébergement supplémentaires), le Lagon (rénovation complète et construction, d'un nouveau bâtiment pour un total de 62 unités d'hébergement 3*), l'hôtel Kanua de Port Boisé (rénovation des 4 bungalows et construction de 14 nouveaux bungalows catégorie 3*), le relais de Kodjeu de l'ile des pins (rénovation de 21 bungalows) etc... De nouvelles unités devraient également voir le jour très prochainement, notamment sur Gouaro Deva avec la construction de 4 unités hôtelières pour un total de 370 clés dont 2 hôtels 3*, 1 hôtel 4* (220 clés) et 1 resort 5* (50 clés), dont la lere pierre devrait être posée dans les prochains mois. Enfin, outre une politique d'hébergement dynamique, la Province Sud s'est attelée à une meilleure organisation de l'accueil et de l'information, amélioré la qualité dans les hôtels, soutenu et structuré les filières d'activités touristiques, préparé des formations qualifiantes, créé des infrastructures d'accueil, des outils de promotion des hôtels,...autant d'actions fondatrices et structurantes qui commencent à porter leur fruit. Ces efforts devront être maintenus pour faire de la Nouvelle-Calédonie une destination connue et reconnue. En vous remerciant, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma haute considération. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

3 j \ RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PRESIDENCE N -2008/PPS PROVINCE SUD NOUVELLE-CALEDONIE Nouméa, le Réponse aux observations définitives de la Chambre Territoriale des Comptes 1. Le secteur du tourisme en Province Sud : Les flux plivsiques Observations de la Chambre : «La forte croissance du nombre de croisiéristes contraste avec la stagnation du nombre (le touristes de séjour. Il est à souligner l'effet pervers de l'augmentation des croisiéristes sur le tourisme de séjour. Un nombre certainement significatif de touristes qui auraient pu découvrir la Calédonie par un séjour touristique l'ont réalisé seulement via une croisière, avec une contribution très faible à l'économie touristique locale.» Réponse : La Province Sud relève que la Chambre persiste à affirmer que l'augmentation du nombre de croisiéristes a un effet pervers sur le tourisme de séjour sans apporter la preuve d'une telle corrélation. Au contraire, la Province a déjà transmis à votre juridiction à l'appui de sa démonstration l'enquête de satisfaction réalisée auprès des croisiéristes sur les périodes et Cette enquête a révélé que trois quarts des croisiéristes déclarent qu'ils souhaiteraient revenir en Nouvelle-Calédonie pour un séjour de plus longue durée, tandis que 9 croisiéristes sur 10 indiquent qu'ils prescriront la destination à leur entourage. L'augmentation du nombre de croisiéristes est donc un complément utile au tourisme de séjour et peut constituer une étape pour amorcer le développement d'un tourisme de séjour. Observations de la Chambre : La Chambre continue de poser comme postulat que la croisière apporte rune contribution très faible à l'économie touristique locale sans fournir les statistiques idoines. La Province Sud a déjà tranmis à votre juridiction le résultat d'une étude sur l'impact économique (le la croisière en NC mené par le cabinet TNS en Juillet Elle entend rappeler ici les principales conclusions de cette étude: Réponse : Les retombées économiques de la croisière en Nouvelle-Calédonie sont loin d'être négligeables :? Un impact direct de 230 millions de F.CFP générés par les 120 entreprises liées directement aux croisières? Un impact indirect de 731 millions de F.CFP générés par plus de visiteurs? Un impact induit de 1,8 milliards de F.CFP injectés dans l'économie du territoire. En outre, la Chambre persiste à négliger l'impact certain et conséquent du marché des croisières sur l'essor économique des zones excentrées de la Nouvelle-Calédonie, notamment des communes de l'intérieur, telles que Poum, Hienghène, ou l'ile des Pins. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

4 Observations de la Chambre «Il est à noter un recul important des taux d'occupation pour les hôtels de trois étoiles et plus qui perdent presque 5% en Au niveau global, ceci est masqué par l'augmentation des taux (le l'hôtellerie classée deux étoiles. Un tel chiffre n'est pas véritablement en phase avec l'orientation (le la Province (le développer l'hôtellerie haut (le gamine.» Réponse : S'agissant de la stagnation du taux d'occupation des hôtels 3*, l'auteur maintient qu'elle est due à une baisse de fréquentation. La Province tient à rappeler que cette stagnation du taux est due uniquement à l'effet arithmétique d'une augmentation du nombre de chambres disponibles. A cet égard, le nombre de chambres occupées ne varie pas entre 2003 et Enfin, le rapport définitif de la Chambre occulte totalement le taux global d'occupation satisfaisant obtenu en 2007 (60,9 %), qui progresse de 1,2 points par rapport à 2003 (59,7). Observations de la Chambre Sur les moyens investis dans le tourisme. Réponse :La Province Sud relève avec satisfaction que la Chambre a nuancé à juste titre son jugement sur les moyens investis dans le tourisme qui ont permis d'éviter un recul important du nombre de touristes dans une conjoncture mondiale peu favorable. La Province ajoute qu'à fortiori ces moyens sont insuffisants eu regard au poids de ce secteur dans l'économie calédonienne : 4 % du PIB, 20.7 milliards de valeur ajoutée, plus de salariés soit plus de 7,4 % des salariés en Nouvelle-Calédonie (source IEOM: «la Nouvelle-Calédonie en 2007»). Observations de la Chambre «L'argument consistant à imputer le recul du marché japonais au cours du Yen n'est pas déterminant car les chiffres des années 1997 et 1998 ont été bien meilleurs avec rte parité similaire.» Réponse :La Chambre minimise les conséquences de la dévaluation du yen sur le tourisme japonais. Certes, si le cours du yen n'est pas le seul argument de nature à expliquer le recul du marché japonais, à contrario, la Province note qu'à une forte hausse de la parité du yen en 1986 et 1995 correspond un accroissement important du flux de touristes japonais vers l'étranger. Il existe donc une forte corrélation entre la demande touristique et les fluctuations monétaires. En outre, on constate que les japonais visitent de moins en moins les pays de la zone Pacifique. Le phénomène affecte également les pays de la zone Europe en raison de la dépréciation du yen de près de 25% sur les 2 dernières années. Sur ce point, la Chambre ne souligne pas suffisamment la bonne tenue de la Nouvelle-Calédonie à l'égard du marché japonais, par rapport aux autres destinations du Pacifique. La Province tient à rappeler que la clientèle japonaise traditionnelle - les «office ladies» - se situe dans une catégorie socioprofessionnelle moyenne. Son pouvoir d'achat lors de voyages à l'étranger se trouve donc particulièrement pénalisé par la dépréciation de la monnaie japonaise. On ne peut en aucun cas comparer les années 1996/1997 aux années 2006/2007, la conjoncture du marché japonais n'étant pas du tout la même. En effet, la parité du yen est bien inférieure en 2007 puisqu'elle s'établit à 0,74 pour 0,87 en Par ailleurs, on constate une baisse de la fréquentation japonaise sur l'ensemble des destinations resort de 15 à 20% ; la Nouvelle-Calédonie étant impactée qu'après toutes les autres destinations (dés 2005 pour l'australie et la Polynésie française par exemple). Aujourd'hui, il convient de constater que le cycle du marché japonais est entré dans sa phase de maturité et son taux de croissance n'est plus celui des années En effet, du fait du vieillissement de sa population et de la diminution du nombre des mariages, on constate depuis 2006 une stagnation du nombre de voyages effectués à l'étranger. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

5 Arrivées des touristes ianonais années variation 2006/2003 Australie ,0% Polynésie Française ,0% Nouvelle-Calédonie ,7% Nouvelle-Zélande ,5% (statistiques Japan Association of Travel Agents) Dans son rapport définitif la Chambre ne semble pas avoir pris en considération la stratégie offensive de diversification développée par la Province dans un contexte international défavorable. La Province entend rappeler que le GIE Nouvelle-Calédonie Tourisme Point Sud a élargi sa cible notamment aux seniors et aux marchés de niche que sont les pratiquants d'activités sportives comme la plongée ou le trekking. Le marché des séjours «incentive» bénéficie également de toute notre attention et enregistre une progression significative depuis 2006, et ce alors même que ce segment est particulièrement concurrentiel, notamment du fait des pays de la zone dollar. Un partenariat a été signé avec une agence japonaise spécialisée dans l'organisation de voyages événementiels et le GIE Nouvelle-Calédonie Tourisme Point Sud travaille à l'élaboration d'un produit touristique spécifique pour capter la clientèle «famille» qui nous échappe actuellement. Dans la même optique, le budget affecté à la promotion de la destination Nouvelle-Calédonie au Japon a sensiblement augmenté ces dernières années, permettant de soutenir les actions à destination de l'ensemble de ces cibles. Un employé supplémentaire a été engagé et quatre nouveaux bureaux ouverts dans les communes de Nagoya, Sendaï, Fukuoka et Sapporo. Des accords passés avec certains tours opérateurs permettent de proposer des séjours packagés au départ de ces villes. Et de manière plus générale, les actions à destination de tours opérateurs ont été intensifiées Une juste analyse des retombées économiques du tourisme nécessite de pouvoir distinguer le tourisme international du tourisme domestique Observations de la Chambre : La Chambre constate que «les véritables touristes internationaux (hors affinitaires)» ne représentent respectivement que 10 et 35% des clients de l'hôtellerie 2 et 3* et plus de la Province Sud. Réponse : la Province rappelle que les actions de promotion internationale mises en oeuvre par le GIE NCTPS ont été réorientées et amplifiées à compter de l'année L'impact de ces opérations ne peut se mesurer sur le court terme, mais à l'expiration d'une durée minimale de trois ans. Il est donc prévu que la fréquentation de ces établissements augmentera dès que l'effort de promotion aura produit son plein effet sur la clientèle des touristes internationaux. La Province a noté que la suggestion formulée par la Chambre dans son rapport provisoire d'estimer le nombre d'emplois touristiques créés à partir des dépenses des touristes internationaux est intéressante. Elle permettrait ainsi de déterminer la contribution des dépenses touristiques internationales dans la création de l'emploi local. Toutefois, la Chambre n'a pas répondu à la requête de la Province Sud de lui fournir les expériences, pratiques ou les modèles économétriques dont elle a pu éventuellement s'inspirer pour formuler cette proposition. Observations ale la Chambre : La Chambre maintient son analyse qui consiste à exclu r e les touristes affinitaires de la catégorie ales touristes internationaux. En effet, si les métropolitains ne consomment pas d'hébergement sur Nouméa, ils visitent la Grande Terre, l'île des Pins et les îles Loyautés. Elle estime que si les touristes étrangers et affnitaires concourent tous deux de la même façon aux recettes d'exportation, les premiers justifient les moyens investis en marketing international, alors que ce point est sans effet sur une grande partie des seconds qui viennent retrouver de la famille on des amis. Réponse : Remarquons que le budget promotionnel du GIE NCTPS à destination de la métropole pour l'année 2007 s'élève à 182 MFCFP (y compris certaines opérations ponctuelles), ce qui en fait le deuxième poste après le Japon dans ce domaine. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

6 Selon les recommandations du Plan de développement touristique concerté de Nouvelle-Calédonie, le GIE développe une stratégie de marque fondée sur l'image de la Nouvelle-Calédonie en tant que «Grande Terre» et «île paradisiaque». Cet effort de promotion, qui vise notamment à inciter la clientèle métropolitaine à visiter l'intérieur et les îles, constitue un levier de développement économique important pour ces régions. La contribution des touristes non résidents se mesure :? à leur part dans le chiffre d'affaires des entreprises touristiques calédoniennes ; elle représente la l è`e activité exportatrice en termes de services à hauteur de 17 milliards et elle a progressé de 20% entre 2000 et 2007 ;? dans son soutien au maintien de plus de emplois, qui contribuent au dynamisme de l'économie calédonienne. Observations de la Chambre : La juridiction maintient son analyse sur les dépenses des touristes non résidents. Elle considère notamment que : La contribution ales croisiéristes à l'économie touristique est très minime (cf tableau 1) ; Les touristes ont une contribution à l'économie en progression sensible mais qui ne représente que 35 % des 48 milliards F.CFP du chiffre d'affaires des entreprises touristiques calédoniennes (cf tableau 2) ; Ce sont les touristes venant de France qui ont le plus fort niveau (le dépenses par séjour (...)» Réponse : La Province a déjà répondu supra sur la contribution des croisiéristes. Pour déterminer le niveau de dépenses par séjour, votre rapport définitif se fonde sur le montant global de cette dépense selon l'origine du touriste non résident. La Province considère encore une fois que cette analyse manque de rigueur dès lors que l'on rapporte cette dépense globale à la durée moyenne du séjour. Le calcul fait ainsi apparaître que la dépense quotidienne des touristes japonais ( F) et australiens ( F) est bien supérieure à celle des métropolitains (5.430 F). France Japon Australie Dép enses moyennes par F F séjour.929 F DMS 33,9 jours 5,9 jours 11,3 jours Dépenses moyennes par jour F / jour F /, jour F /, jour 2. Les acteurs p provinciaux et publics de la politique du tourisme me dans le Sud Observations de la Chambre : La Chambre continue (le considérer que «la mise en oeuvre d'une démarche partenariale et concertée n'a sur de nombreux sujets (agence interprovinciale, classification des hôtels,...) pas pu aboutir jusqu'à présent.» Réponse : La Province entend encore une fois démontrer par les exemples qui suivent que ce partenariat débouche sur des résultats concrets. Ainsi, le GIE NCTPS réalise des actions de promotion internationale ciblant les trois Provinces. Au plan de la formation, celles-ci ont participé conjointement avec la Nouvelle-Calédonie à la définition du contrat d'objectifs du secteur du tourisme qui va être prochainement signé. La création de certifications locales pour les métiers du tourisme (agent de tourisme, guide de randonnées équestres) est achevée et la certification pour les randonnées pédestres est en bonne voie. De même, les offices du tourisme des trois Provinces ont mis en commun leurs moyens en signant une convention de partenariat pour diffuser l'information aux touristes en un lieu unique à Nouméa. Enfin, des groupes de travail réunissant les trois Provinces ont travaillé en 2008 pour établir un classement harmonisé des différents hébergements touristiques (hôtels, gîtes, campings) qui sera adopté en B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

7 21.3.2: 12O millions d'a kles au tihe des mesures d'an jience ara ente epiises tornisliques en difficulté Observations de la Chambre : La Chambre maintient sa conception restrictive de ce dispositif. Elle persiste dans son analyse selon laquelle «le choix d'une aide de retour à l'équilibre plutôt qu'une aide à l'emploi entraîne des différences importantes du ratio de ces aides au nombre d'emplois protégés.» Réponse : La Province confirme que le maintien de l'emploi est en effet l'objectif recherché par le plan d'urgence de soutien aux ent r eprises touristiques en difficulté. La collectivité adapte son aide aux difficultés propres à chaque entreprise en privilégiant une approche globale de la situation de celle-ci et en s'intéressant à l'ensemble des causes qui peuvent provoquer un déséquilibre financier. Une approche partielle liant étroitement son soutien au nombre d'emplois effectivement en cause feraient perdre à la mesure toute son efficacité Lesprntenanes dutourismeenprovince Sud Observations de la Chambre : La juridiction n'a pas repris toutes les actions menées par la Province en matière de professionnalisation des filières. Elle continue d'affirmer que «la structuration des syndicats et des associations des professionnels reste encore à opérer.» Réponse : Pourtant, la Province, par l'intermédiaire de l'organisation de la conférence annuelle du tourisme, ne s'efforce pas seulement de créer une dynamique et une synergie entre ces syndicats pour progresser dans la réalisation des objectifs du PDTC-NC. Elle les associe également activement aux actions engagées. Elle a ainsi encouragé la création du syndicat calédonien des cordistes professionnels, qui regroupe notamment les opérateurs touristiques proposant des activités de canyoning, d'escalade, dans le but de créer un diplôme local de guide d'escalade. La Province rappelle qu'elle soutient le syndicat des activités et des transports nautiques touristiques en finançant la mise à niveau obligatoire des skippers professionnels au regard de la réglementation internationale (Capitaine 200). Une réflexion est d'ailleurs actuellement engagée pour créer au sein de ce syndicat des collèges pour que chaque profession soit mieux représentée (collège des centres de plongée, collèges des charters,...). Depuis 2004, la Province Sud favorise le développement de la filière «plongée sous-marine» en finançant l'association sécurité Plongée chargée d'assurer la maintenance et le fonctionnement du caisson hyperbare. Des chantiers sont également en cours dans la structuration de la filière chasse et des pourparlers ont lieu avec les fédérations de chasseurs pour coordonner et améliorer les services des prestataires existants. 3. Les études antérieures à la période contrôlée 3.1. Lerappoif awv pose le bilan dès 1993 et la plupmt desobjedifs Observations de la Chambre La juridiction n'a pas pris en compte les remarques de la Province. Elle affirme qu'«une grande partie des préconisations opérationnelles et du cadre de développement du rapport CLARY sont restées «lett r es mortes». Malheureusement peu de réalisations, en dehors des hôtels «Méridien», et peu de résultats globaux ont été enregistrées depuis lors. De tels rapports n'ont d'utilité que s'ils sont suivis d'une mise en oeuvre suivant la méthodologie qu'ils ont adoptée.» Peut-être convenait il de mettre en oeuvre sans attendre certaines préconisations du rapport CLARY avant ou parallèlement au PDTC.N-C Réponse : Si la province approuve le fait que ces rapports avaient diagnostiqué l'essentiel des problématiques touristiques dès 1993, elle relève cependant que la situation de l'offre d'hébergement (fermeture du Club Med, ouverture du Méridien...), la situation des professionnels du secteur notamment des compagnies aériennes ainsi que la conjoncture internationale ont profondément évolué. Reprendre un diagnostic après le rapport Ezzano (approuvé en 2000), à l'expiration d'une période de 5 ou 6 ans est impératif à l'instar de la métropole où les schémas de développement touristique départementaux et régionaux sont réactualisés tous les 5 ans. Comme le remarque à juste titre l'auteur du rapport, le PDTC-NC élaboré par les provinces permet désormais de disposer d'un cadre susceptible d'éclairer les services de l'etat pour l'analyse des dossiers de défiscalisation. Il semble donc que les deux documents évoqués ci-dessus n'étaient pas de nature à apporter à l'etat une lisibilité suffisante sur la politique du tourisme en Nouvelle-Calédonie. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

8 Le PDTC-NC Engajementdel'éh deet fo,medurappo t Observations (le la Chambre «La chambre note que même si le projet n'a pas été onéreux par le coût rapporté aux moyens (coût horaire de consultants ayant unie réelle expertise), il l'a été par le coût rapporté aux résultats, surtout si l'on considère que la pleine efficacité du PDTC-NC, qui demeure un document (le programmation stratégique, ne porterait ses fruits qu'à la mise en place (le l'organisme en charge (le sa mise en oeuvre opérationnelle (l'aidt), ce qui ne s'est pas opéré à ce jour.» Réponse : La Chambre considère que l'espace de concertation pour la programmation stratégique ouvert par les journées de conférence de 2007 et de 2008 ne peut être satisfaisant comparé à un organisme doté d'un budget et d'objectifs opérationnels en la matière. Elle ne prend pas en considération le rôle du Bureau du tourisme (service du développement économique - Direction de l'économie, de la formation et de l'emploi de la Province Sud) qui a pris le relais dans la mise en oeuvre et le suivi des objectifs, à savoir :? Hébergements : bilan des projets terminés, en cours de réalisation et en cours de définition, pilotage de la définition du classement des hébergements touristiques.? Produits : participation au lancement d'un plan «Plages» suivi par la direction du patrimoine et des moyens de la Province Sud dans le cadre du schéma de développement durable du littoral, développement des filières d'activités nautiques, de la pêche, de la chasse, incitation à destination des prestataires pour se mettre aux normes (mise aux normes sanitaires des cuisines des petits établissements de l'intérieur, formation en hygiène, en sécurité-incendie, en anglais).? Organisation des acteurs : amélioration du fonctionnement des bureaux d'information touristique (points i) existants, maillage du territoire par la création de 2 nouveaux points i (Thio et Bourail), participation à la définition d'un charte de bonne conduite pour l'observation des cétacés à destination des prestataires nautiques touristiques,...? Marketing et promotion internationale : soutien de la Province au GIE NCTPS en vue de renforcer la présence de la Nouvelle-Calédonie sur les marchés émetteurs classiques (Japon, Australie, Nouvelle-Zélande et Métropole) et de pénétrer de nouveaux marchés (Corée du Sud, Chine, Europe).? Formation : participation de la Province à la formation test d'accompagnateur de randonnée équestre, à la formation du personnel du Relais de Port Boisé et de l'hôtel Le Lagon actuellement en travaux pour rénovation-extension, à la formation itinérante en faveur des petits prestataires de l'intérieur (amélioration de l'accueil et de l'aménagement, gestion), aide au montage et accompagnement des projets touristiques par l'intermédiaire des ateliers de la création (Chambre des métiers et de l'artisanat) et du parcours du créateur (CCI) Lamisee l concunwnceetlescoîds: rnmeétudeonéreusequi n'apis,espedéles, lesde,,,keen concrnrence Observations de la Chambre «Une convention de partenariat a été signée, en 2005, par les 3 présidents (le province pour confier au GIE un «mandat ale gestion afin d'assurer le suivi administratorganisationnel et financier du PDTCNC». Ce mandat (le gestion, pour une somme de plus (le 75 millions (le F. CFP pour assurer la maîtrise d'ouvrage d'une étude pour le compte (les 3 provinces, imposait le lancement d'un appel d'offres dès lors que la prestation (le service était effectuée pour un montant correspondant à près de 8 fois le seuil rendant obligatoire le recours à un marché public pour les provinces. Ceci n'a pas été le cas et a conduit à soustraire irrégulièrement cette étude à la procédure (les marchés publics. Un tel contournement ne correspond pas à mie gestion régulière des deniers publics.» Réponse : La Province conteste le fait que la procédure des marchés publics ait fait l'objet d'un contournement à l'occasion du mandat de gestion confié au GIE NCTPS. S'agissant d'une action interprovinciale, la procédure d'appel d'offres ne pouvait être engagée unilatéralement par une seule Province. Le GIE étant un espace de collaboration interprovinciale au plan de la promotion internationale, il lui revenait de porter cette opération, et non à la Province Sud. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

9 4.1.2 Lesobjedi`s faésprn r lepdtg-ncnesont p(6suivis Observations de la Chambre «Il est à souligner que les objecte de lancement d'actions, et chiffrés (tableaux de bord) dans tous les sous-domaines du PDTC-NC, ne donnent pas lieu à un pointage et une analyse systématique, ôtant par là l'intérêt de la «sophistication (le l'étude initiale». la Chambre ajoute même dans son rapport définitif que «la province semble avoir considéré que ces tableaux très précis et détaillé constituaient cul simple rappel et noir un outil opérationnel de suivi destiné à être complété au fur et à mesure de l'exécution du PDTC-N--C. Ce faisant la province s'est privée d'un outil précieux de pilotage. Réponse : La province tient à rappeler que ces tableaux de synthèse constituent essentiellement un document résumant l'ensemble des axes stratégiques concernant chaque phase. Les objectifs et les actions sont déclinés à travers ses propres outils de pilotage et de suivi des objectifs annuels construit par un cabinet spécialisé en management (Cabinet Algoe). Des masters plans (outil de programmation annuelle) et des tableaux de bord (outil de réalisation de la programmation) permettent de suivre les objectifs du PDTC-NC. Les recommandations et phases du PDTC-NC sont comprises dans ces outils La sensibilisation des calédoniens : notamment inteivenlion en milieu swlaire Observations de la Chambre «Force est de constater que l'ensemble de ces actions a été abandonné en 2004, sans véritable évaluation ou bilan.» Réponse : La Chambre n'a pas pris en compte toute la politique de sensibilisation des populations au développement touristique. Ainsi, des campagnes de promotions ont été menées localement en collaboration avec l'office du Tourisme et les professionnels. Par ailleurs, les médiateurs ont contribué à la mobilisation des habitants des tribus, des représentants locaux des activités économiques et de la société civile pour la constitution des comités de gestion participative associés au maintien de l'intégrité des sites du lagon inscrits au patrimoine mondial de l'unesco. La Province Sud s'attache également à susciter dans les tribus l'émergence de projets touristiques (gîtes, campings, tables d'hôtes) pour faciliter l'intégration de ces populations dans le tissu économique local. Dans la commune de Yaté, le dispositif économique prévu par le plan de reclassement des salariés démobilisés à la fin de la construction de l'usine du Sud (PREGO) soutient les projets touristiques des habitants de la commune Le pmtage des interventions entre le sedan. public d pizvé Observations (le la Chambre. La Chambre continue de relever que les modalités de partage dans la réalisation d'objectifs opérationnels du PDTC-NC entre le secteur public et le secteur privé n'ont pas toujours été clairement définies, notamment en matière d'hébergement ou (le desserte maritime. De ce fait, le plan arrêté manque d'une complète transparence quant aux choix à effectuer.» Réponse : La province maintient à cet égard, qu'un partage «organisé» entre les interventions du secteur public et privé ne saurait être réaliste, dès lors que la Province n'est en mesure de s'engager que sur ses propres projets. De surcroit, les opérateurs privés, essentiellement guidés par des impératifs de rentabilité, ne sauraient se sentir liés par des orientations définies par le PDTC-NC dans ce domaine. La Province peut cependant orienter les choix des opérateurs privés par les mesures incitatives, soit au titre des avis émis pour les agréments fiscaux locaux et métropolitains, soit au titre des aides du code provincial des aides financières à l'investissement U neaudœ prix Observations de la Chambre : «Les enquêtes de satisfaction ont montré que jusqu'à 45 % des personnes interrogées sont mécontentes du prix (les excursions. Le handicap lié air niveau (les prix semble sous-évalué dans les différentes études. Il n'est pas non plus réalisé de suivi du rapport qualité -prix (les produits touristiques» Réponse : Le niveau des prix est de toute évidence un handicap pour la destination, mais ce handicap peut être compensé par l'amélioration du rapport qualité-prix. La Chambre déplore qu'il ne soit pas réalisé de suivi du rapport qualité-prix des produits touristiques. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

10 Ce suivi est assuré par l'office du Tourisme par le biais du système de traitement des plaintes. A terme, une centrale de réservation sera créée, qui mettra en relation les agences de tourisme agissant pour le compte des tours opérateurs étrangers et les prestataires locaux. Elle mettra en concurrence les prestataires locaux et ne référencera plus les prestataires défaillants. Ce qui permettra de garantir aux touristes un bon rapport qualité-prix. Les efforts ont également porté sur la création des packages en mettant en réseau les acteurs de l'hébergement et ceux de l'animation et du transport Lasaisonnaldé de la fiéquentation d l'insu t ancedel'o e induite Observations de la Chambre «La chambre persiste à considérer que rien n'a vraiment été entrepris pour traiter l'insuffisance de l'offre de transport en haute saison.» Réponse : La province relève au contraire que :? l'ouverture d'une nouvelle ligne aérienne Nouméa-Sydney par Air Austral à partir d'août 2009 va augmenter l'offre sur l'australie ainsi que sur la métropole ; la création d'une nouvelle fréquence sur Osaka en fin 2004 a facilité la desserte du Japon et désengorger le tronçon Tokyo-Paris ;? l'ouverture d'une nouvelle ligne aérienne Nouméa-Séoul ( 2 fréquences hebdomadaires) va faciliter la prospection de nouveaux marchés asiatiques en contribuant à l'amélioration de la desserte sur la métropole. Contrairement à ce que suggère la Chambre, l'adaptation du calendrier scolaire n'est pas la panacée, puisque la Polynésie française, bien qu'ayant procédé à cette adaptation, connaît cependant une chute de sa fréquentation touristique passant de touristes à entre 2000 et 2007 avec une baisse de 1.5 % sur les deux dernières années. 5. Le PDTC-NC : premier bilan Les deux projets «en cocus» depuis bientôt 10 ans Observations (le la Chambre «La chambre constate que le projet (le la baie (le Sainte Marie, qui figure toujours au PDTC- NC, malgré des engagements juridiques et des investissements financiers importants, est au point mort depuis Aucun bilan ou étude n'a été engagé par la province pour identifier les raisons qui bloquent sa réalisation.» Réponse : Les motifs concourant au report du projet de la baie de Ste-Marie ne nécessitent aucune étude et sont bien connus. Le juge en identifie d'ailleurs certains (suspension des régimes de défiscalisation métropolitain et calédonien). De plus, la Direction Générale des Impôts a reporté l'instruction des dossiers en attendant l'adoption du PDTC-NC. Monsieur O'HALLORAN de la SARL SOCARESORT a sollicité très récemment l'avis de la Province sur l'opportunité de relancer le projet de construction d'un complexe hôtelier sous l'enseigne Sheraton, sur l'îlot Sainte- Marie, avant de redéposer des demandes d'agrément aux dispositifs de défiscalisation métropolitaine et locale. Il lui a été adressé un courrier de soutien de la Province pour la concrétisation de ce projet. Contrairement à ce qu'indique le juge, il a repris contact avec l'adecal au mois de février Le projet est maintenant en bonne voie puisque le promoteur a effectué un séjour en Nouvelle-Calédonie et entamé des démarches auprès des institutions pour le relancer. Le rapporteur spécule sur les perspectives de réalisation du projet de la baie Maa tout en admettant qu'il petit être réalisé même s'il ne le sera pas dans les conditions initiales. Par conséquent, faute d'informations précises, la Province Sud considère qu'il n'y a pas lieu de se substituer à d'éventuels promoteurs dans leur décision en retirant le projet des prévisions. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

11 LaréactunlisNion du plan prévisionnel du volet hébergement dupdt CNC Observations de la Chambre «Le PDTC-NC prévoyait des objectifs (le livraison ale chambres d'hôtel à hauteur de 1060 «clés» à la fin de la phase 2 e n 2011). Le PDTC-NC prévoyait des objectifs de livraison de chambres d'hôtel à hauteur de 2400 «clés» à la fin de la phase 3 e n 2016). Les perspectives de réalisation à la fin de la phase 2 s'élèvent à 36 % d'objectifs prévisionnels, soit 387 «clés». Les perspectives de réalisation à la fin de la phase 3 s'élèvent à 28 % d'objectifs prévisionnels, soit 692 «clés». Réponse : La Chambre maintient toujours que les perspectives de la phase 2 s'élèvent à 36% d'objectifs prévisionnels.. La province veut rappeler encore une fois que ce constat est totalement prématu r é dans la mesure où la phase 2 s'échelonne jusqu'à la fin 2011, soit dans 3 ans et que le ralentissement du programme de construction a été soumis à des aléas purement conjoncturels :? Le gel du dispositif de défiscalisation métropolitaine pendant presque une année, le temps de l'adoption du PDTC, conformément aux instructions du ministre Dominique BUSSEREAU.? L'absence de régime d'incitation fiscale à l'investissement en Nouvelle-Calédonie pendant plus de six mois entre la fin du mois de juin 2007 et le début de l'année L'instruction des nouveaux dossiers a été suspendue le temps de l'adoption de la nouvelle loi du pays. Cette nouvelle loi de Pays devrait aujourd'hui permettre de rattraper le retard dans les investissements et de favoriser l'émergence de projets d'envergure, notamment la réalisation des grands resorts préconisés par le PDTC dans la mesure où l'assiette éligible n'est plus plafonnée à 3 milliards comme par le passé. Contrairement à ce qu'indique la Chambre, le vote d'un nouveau dispositif fiscal a permis de relancer la dynamique d'investissement en matière d'hébergements touristiques : rénovation du Château Royal, extension du Méridien Ile des Pins, reprise du projet de complexe hôtelier sur l'îlot Ste-Marie, mise en oeuvre de trois nouveaux projets de 3*, 4*- et 5* sur le site de Gouaro Deva. Enfin, en complément de l'initiative privée, les Provinces, par le biais de leur SEM (Promosud, Sofinor et Sodil), mènent une politique «Hébergements» dynamique L'Agence interprovinciale mi a. le développement du tourisme (AIDT) avait été posée comme un outil essentiel au sein de la arise en ceu ne diupdt C Nouvelle-Gdédonie Observations (le la Chambre «L'iin des axes forts du plan ale développement concerté résidait dans lai mise en place d'un pilotage interproviricial. Or, près de trois ans après le projet (le sa création, non seulement la structure ne fonctionne pas, niais de nouveaux obstacles paraissent en ralentir la mise en oeuvre, ce qui laisse à penser que la situation ale 1'interprovincialité s'est dégradée depuis le lancement du PDTC-NC de la province Sud. Le PDTC-NC n'est formellement que l'esquisse de l'élan donné par les assises dii tourisme. L'agence interprovinciale devait leur apporter toute son efficacité par l'élaboration ale plans opérationnels permettant (le rapprocher les coûts, les calendriers et les priorités des différents plans d'actions pour chaque «volet» du plier concerté. L'absence de fonctionnnement ale l'aidt pourrait, ale ce fait, être considérée comme un échec du PDTC-NC dans son ensemble.» Réponse : La Province rappelle que l'interprovincialité a déjà connu des difficultés avant le PDTC-NC, lorsque l'unique GIE existant pour assurer la promotion internationale du territoire a été remplacé par trois GIE distincts au sein de chaque Province. Le PDTC-Nouvelle-Calédonie, qui est une initiative commune, constitue maintenant un élément fédérateur aux trois Provinces et son existence a permis de lancer de nombreux chantiers interprovinciaux, même si le fonctionnement du GIE ne peut qu'être amélioré. De ce fait, la conclusion selon laquelle l'absence de fonctionnement de l'agence interprovinciale de développement touristique constitue purement et simplement «un échec du PDTCNC dans son ensemble» est totalement arbitraire. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687) lo

12 La Province Sud rappelle une fois de plus que les trois Provinces ne captent et ne ciblent pas les mêmes clientèles touristiques, mais que leurs offres différentes sont plutôt complémentaires. Les trois entités géotouristiques que constituent les trois Provinces ont chacune des atouts à valoriser qui permettent de facto de répondre aux attentes de clientèles variées. Pour exemple, les Japonais sont très friands des îles Loyauté, les métropolitains de la Province Nord. Par contre, il est inexact de dire que les Coréens ne sont pas attirés par ce que peut offrir la Province Nord. Ils recherchent également la montagne et la randonnée pédestre. Les atouts de la Province Nord et de la Province Sud peuvent donc tout à fait répondre à leurs attentes. Concernant les classifications des structures hôtelières différentes, un chantier interprovincial a débuté en début d'année 2008 pour établir une définition homogène et interprovinciale d'un classement pour l'ensemble des hébergements touristiques. Si les stratégies retenues par chaque Province ne sont pas identiques, cela résulte du fait que chaque territoire géotouristique présente un caractère identitaire spécifique. Il n'en demeure pas moins, par exemple, que les objectifs du plan de la Province Nord sont tout à fait compatibles avec ceux du PDTCNC. Les deux documents se recoupent largement dans leurs orientations et on peut même dire que le plan de la Province Nord s'apparente à une déclinaison du PDTCNC au plan territorial. Il est donc tout à fait possible de mener une gestion interprovinciale des politiques du tourisme. C'est d'ailleurs le cas pour toutes les régions en métropole. Les comités régionaux du tourisme (CRT) fédèrent les comités départementaux du tourisme (CDT) qui ont pour chacun opté pour des stratégies différentes. Et il s'agit bien de gestion inter-département Des chai es etmr recrutement onéreux Observations de la Chambre «La chambre constate l'engagement particulièrement peu économe de dépenses en salaires, locaux et aménagements entraînant une dépense globale de plus (le 40 millions de F CFP, alors que l'agence interprovinciale reste sans aucune activité.» Réponse : Dès la constitution de l'agence, la Province Sud a voulu la doter des moyens nécessaires pour lui permettre de démarrer ses travaux. Son intention était de lui donner à l'origine une impulsion suffisante pour impliquer par la suite les deux autres Provinces dans son fonctionnement. La Province Sud ne peut être tenue pour responsable des dysfonctionnements qui marquent le démarrage de cette structure Lereporl(lepmst5ansaetamise en place trial observatoire dutotarsme Observations de la Chambre : la Chambre insiste sur l'opportunité de créer sui generis un organisme en charge de réaliser un suivi spécifique des paramètres économiques et sociaux du tourisme, malgré l'identification depuis 15 ans de la nécessité de sa mise en oeuvre. Réponse : La province affirme que depuis 2007, soit depuis l'adoption du PDTC-NC, l'isee a mis en place, sur les préconisations du dit plan, des comptes satellites du tourisme et c'est cet institut qui est chargé de suivre les paramètres économiques et sociaux du tourisme. De surcroît, il paraît superfétatoire de constituer un organisme à vocation provinciale pour collecter et analyser des données statistiques qui concernent l'ensemble du territoire de la Nouvelle-Calédonie La centralisation et letraitement_problèmes de satisfaction destoiazstes Observations (le la Chambre «Le traitement en amont directement auprès (le ces touristes mécontents permettrait (l'éviter une dégradation (le l'image (le l'accueil en Calédonie.» Réponse : Le rapport définitif indique qu'il n'existe pas un service de la Province qui aurait en charge la centralisation et le traitement des litiges. L'Office du Tourisme dispose des moyens les mieux adaptés pour effectuer cette mission. Chargé de coordonner le réseau des points d'information touristique, il constitue l'échelon le plus adéquat pour établir des relations entre les professionnels et les usagers. Il est mieux qualifié pour régler les conflits entre ces deux catégories, à la différence d'un observatoire qui a un rôle de veille économique. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

13 .a Le choix d'un service provincial pour la centralisation et le traitement des litiges ne serait pas pertinent. En effet, la Province, actionnaire d'hébergements touristiques par l'intermédiaire de sa SEM PROMOSUD, risquerait d'être juge et partie dans ce domaine La nraîhise nécessaire des dépenses de pivniotion inteisndionale e! sa dispe,sion : une conhibudion de la province à son GIE de promotion interrndionalenmltipliéepar zen 10 ans Observations de 1a Chambre «La chambre souligne le coût relatif très important de la promotion internationale de la Calédonie par rapport à ses concurrents et souligne le faible résultat de cet investissement. La chambre souligne que la multiplication par 7 en 10 ans du budget du GIE doit entraîner un surcroît d'encadrement juridique, financier et stratégique de celui-ci.» Réponse : La Province est soucieuse de l'emploi des dotations qu'elle verse au G1E. Il est prévu un accroissement de l'encadrement du G1E par le biais du contrôle de gestion. Cette action sera réalisée au moyen d'une amélioration des documents de synthèse comptables. L'évaluation de l'utilisation des fonds affectés à la promotion sera améliorée par la mise en place d'outils d'évaluation, plus particulièrement destinés à mesurer les effets des nouvelles actions sur les marchés prescripteurs L'absence de cohérence dans l'engagement du PDTC-NC au sujet de la desserte aérienne Observations de la Chambre «La chambre relève que le PDTC-NC a indu pour roue part importante de son analyse stratégique la desserte aérienne, hors de sa compétence, mais dès lors qu'il est question (le considérer l'impact de la situation monopolistique d'aircalin et du niveau du prix des billets, cette question de compétence est soulevée. Ceci n'a pas empêché dans le cadre du PDTC-NC, financé et très largement piloté par la province Sud, de développer des plans d'actions très précis, à court, moyen et long terme pour la desserte aérienne.» Réponse : La Chambre souligne à juste titre que le transport aérien ne relève pas de la compétence provinciale. Les autorisations sont délivrées par le gouvernement de Nouvelle-Calédonie. Toutefois, comme le relève la Chambre, la desserte aérienne constitue un axe important pour le développement touristique de la Nouvelle- Calédonie. Le PDTCNC dégage ainsi une série d'orientations et de préconisations pour améliorer cette desserte. Son objectif est de proposer des solutions dont pourront s'inspirer les acteurs du transport aérien. Si la Province ne peut faire valoir que son influence dans ce domaine, elle n'en adopte pas moins une approche dynamique et active. Ainsi, les relations qu'elle a su tisser avec la collectivité de la Réunion ont pu avoir un rôle dans l'arrivée de la compagnie Air Austral, dont les appareils vont relier la Métropole, la Réunion et l'australie à la Nouvelle- Calédonie L ' onianisationdesproduitsetfilièresdumente Observations de la Chambre La chambre persiste à minimiser les actions menées par la Province pour la création de nouvelles structures de services en plus de l'hébergement. Réponse : La Province rappelle qu'elle est tout aussi présente dans le développement des produits et filières que dans les constructions et rénovations hôtelières. Elle consent un effort financier important en faveur de la filière des produits et des activités touristiques (plongée sous-marine, base de loisirs nautiques et terrestres, transport nautique et terrestre, centres équestres,...) en accordant des aides financières à l'investissement aux entreprises du secteur. L'étude sur les attentes des résidents en matière de consommation touristique en Nouvelle-Calédonie, commandée par la DEFE et réalisée par le cabinet MBA-TNS en 2006, a fait apparaître que les concepts produits les plus intéressants pour les résidents sont ceux qui permettent d'avoir des réductions tarifaires. La principale demande enregistrée concerne l'aménagement de tarifs préférentiels ou de forfaits (21 %) et la réduction du coût du tourisme en général (21 %). B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

14 Fort de ce constat, il a donc été décidé d'axer la campagne annuelle de communication «Vacances en Province Sud» dans la conception de séjours «tout compris» vendus à un prix global. Si cette campagne a rencontré un grand succès auprès du public, par contre les agences de tourisme ont manifesté une certaine réticence pour assurer la commercialisation de ces packages. Trois agences de tourisme (Arc-en-Ciel, Nouméa Discoveiy et Nautilus Tours), l'ot et la Direction des Affaires économiques de la Nouvelle-Calédonie ont donc été consultés afin de définir des mesures incitatives pour organiser et commercialiser des forfaits touristiques. Les principaux éléments évoqués sont la nécessaire professionnalisation des petits prestataires et le besoin de sécuriser leurs réservations pour éviter les «no-shows» ou les annulations de dernière minute. Pour atteindre ces objectifs, les professionnels ont émis l'idée de créer une centrale de réservation, servant d'intermédiaire entre les opérateurs touristiques et les agences de tourisme, non accessible au public. Cette centrale serait une succursale commune aux agences de tourisme, chargée de gérer le planning des prestataires, les réservations,... Concernant l'organisation des produits et filières du tourisme, les exemples qui suivent démontrent que la seule activité de la Province ne se réduit pas aux domaines de la réglementation et la création de diplômes. Le bureau du tourisme participe à l'élaboration d'un plan d'aménagement du Grand Sud comprenant la structuration des filières de développement durable (activités d'écotourisme) et la création d'une destination touristique «Grand Sud». Cinq zones géographiques ont été identifiées dans ce secteur, et notamment le lac de Yaté pour y développer différentes activités touristiques. Le plan d'aménagement de la réserve du Cap N'Doua est une des premières phases opérationnelles de ce plan d'aménagement. Pour les activités nautiques, la Province a financé la mise à niveau obligatoire des skippers professionnels au regard de la nouvelle réglementation internationale en vigueur, en vue d'obtenir le capitaine 200. Pour les activités terrestres, la Province a réalisé le tracé et le balisage d'un sentier de grande randonnée labellisé par la Fédération Française de Randonnée Pédestre (FFRP) et géo-référencé dans les guides nationaux. Elle a également créé un parc à vocation touristique, le Parc des Grandes Fougères, proposant des sentiers de randonnées pédestres et VTT situés dans une réserve naturelle. Depuis 2004, la Province finance la remise en état et le fonctionnement du caisson hyperbare, outil indispensable pour développer la plongée sous-marine touristique. La Province a commandé une étude de faisabilité pour la création d'une base de loisirs à l'ile des Pins. Enfin, sans être exhaustif, le bureau du tourisme a amorcé la structuration de la filière «chasse» avec la Fédération de la chasse et la direction du développement rural de la Province Sud, participe au projet de musée de la seconde guerre mondiale, travaille à l'organisation d'événementiels de grande envergure (salon de la gastronomie, régate people), à la création d'une centrale de réservation, La formation professionnelle Observations (le la Chambre «La chambre constate le caractère t r ès incomplet du PDTC NC drues son analyse et dans ses propositions sur la formation aux métiers du tourisme, ce qui a nécessité d'engager deux nouvelles études en sus du plan concerté. Ces études n'ont toujours pas abouti à des contrats d'objectifs opérationnels.» Réponse : En matière de formation professionnelle, les compétences de la Nouvelle-Calédonie et des Provinces sont dans une certaine mesure concurrentes. C'est la raison pour laquelle ces institutions se sont engagées avec les professionnels dans l'élaboration d'un contrat d"objectifs du secteu r, qui est sur le point d'être finalisé et signé. Celui-ci définit sept axes de préconisation pour le système de formation professionnelle en Nouvelle-Calédonie : 1. Structurer et adapter l'offre de formation professionnelle et de l'apprentissage; 2. Créer tin référentiel de qualification ; 3. Poursuivre l'effort sur la formation professionnelle des demandeurs d'emploi ; 4. Offrir un parcours de formation de niveau II et III en Nouvelle-Calédonie et à l'extérieur ; 5. Promouvoir les spécificités locales ; B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

15 h 6. Développer l'offre de formations pour les salariés en lien avec les besoins des professionnels du secteur ; 7. Développer l'apprentissage des langues étrangères pour les salariés et les demandeurs d'emploi. Un comité technique sectoriel du tourisme est chargé de la mise en oeuvre de ce contrat. Il est composé de la Nouvelle-Calédonie, des trois Provinces, des partenaires sociaux, de l'idcnc et du Vice-Rectorat. Des actions ont été déclinées pour chaque axe, avec un calendrier d'exécution et la désignation d'un référent par axe. Les structures de formation existantes (Ecotel, ETFPA, Lycée professionnel) sont surtout adaptées au formations de niveau IV et V dans le secteur de la restauration et de l'hébergement pour les établissements haut de gamme (3 étoiles et supérieur). Toutefois, les capacités d'accueil demeurent insuffisantes pour remplir les objectifs prévus en matière d'hébergement par le PDTCNC. La Province entend rappeler son rôle d'impulsion et de proposition dans la création d'un Institut de formation au tourisme de pays qui permettrait également de combler les lacunes dans les domaines de formation suivants : Secteur de la petite hôtellerie : gites, camping, hôtel 1 ou 2 étoiles.? Plateforme découverte du secteur de l'hôtellerie? Activités touristiques? Secteur de l'hôtellerie de luxe (4 et 5 étoiles). Par conséquent, la création du nouvel Institut s'articule avec les plateaux techniques existants et s'inscrit parfaitement dans le cadre du premier axe énoncé par le contrat d'objectifs, qui vise à structurer et adapter l'offre de formation professionnelle. La Nouvelle-Calédonie a ainsi prévu de proposer à l'union Européenne de participer au financement de cette structure dans le cadre du Xème Fonds européen de développement. B.P Nouméa cedex TEL : (687) FAX : (687)

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