L ACTIVITÉ FINANCIÈRE DE L ASSURANCE
|
|
- Germain Labrie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L assurance française en 43 L ACTIVITÉ FINANCIÈRE DE L ASSURANCE GRÂCE AUX PLACEMENTS qu elle effectue en contrepartie de ses engagements envers les assurés, l assurance joue un rôle primordial dans le financement de l économie. Des normes prudentielles et comptables encadrent l activité d assurance afin que les sociétés puissent toujours être en mesure de respecter ces engagements. Dans ce domaine, l année 2009 a été marquée par l adoption par le Parlement européen de la directive Solvabilité II qui modernise les normes de solvabilité de l assurance. DE L IMPORTANCE ÉCONOMIQUE DU SECTEUR DE L ASSURANCE Les placements de l ensemble des sociétés L évolution des placements Pour la première fois en plus de 10 ans, les placements des sociétés d assurances en valeur de marché ont diminué en ( 5,5 %) passant de milliards d euros à mil liards. Cette évolution résulte bien évidemment de la crise économique et financière, de la baisse des marchés boursiers et du recul de l activité du secteur, notamment en assurance vie. Le rôle stabilisateur de l assurance Les assureurs jouent un rôle essentiel dans le financement de l économie, participant ainsi au développement des entreprises et au financement des besoins publics. En ces temps de crise, cette contribution est d autant plus précieuse que les entre prises ont besoin d émettre des titres pour financer leur développement ou leurs plans d adaptation et que l État doit, quant à lui, financer les mesures de relance. 34 % des actifs des sociétés d assurances servent au financement des besoins d emprunt des États et plus de la moitié (52 %) sont investis dans les titres d entre prises, actions et obligations. Grâce au développement de l assurance vie et des contrats en unités de compte ces dernières années, 255 milliards d euros, sont ainsi directement ou indirectement investis en actions. Avec 31 % d obligations d entreprises dans leurs actifs, soit 437 milliards d euros, les assureurs financent également le développement des entreprises. La prise en compte de critères environnementaux et sociaux En décembre, la FFSA a intégré dans le Code de l investissement des sociétés d assurances adopté en, la prise en compte des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) dans leurs choix d investissements. Au-delà de leur rôle d investisseur de long terme et de financement de l économie, la quasi-totalité des assureurs, conscients des impacts sur l environnement que peuvent avoir les entreprises dans lesquelles ils investissent, conduisent d ores et déjà des actions de promotions de l investissement socialement responsable (ISR), tant dans leur gestion propre d actifs que vis-à-vis de leurs clients. L investissement constitue, en effet, une importante compo sante de la démarche de développement durable de la profession. Par la modification de ce Code d investissement, la FFSA invite donc les sociétés d assurances à poursuivre leurs actions en la matière. Les assureurs constituent d ailleurs les milliards d euros d actifs gérés dont 52 % investis dans des titres d entreprises (actions ou obligations)
2 44 Rapport annuel FFSA L ACTIVITÉ FINANCIÈRE DE L ASSURANCE Placements en valeur de marché (ensemble des sociétés) ,9 856,5 888,7 915, , , , , , ,4 Source : Autorité de contrôle des assurances 2 % des placements des sociétés d assurances investis dans des PME innovantes, soit 25,6 milliards d euros investisseurs responsables de premier plan en France avec 23 % des encours, soit 6,9 milliards d euros. (Source Novethic). Des investissements croissants dans les PME Les sommes destinées à l investissement dans les PME non cotées représentent une part de 2,01 % du total des placements des membres de la FFSA, soit 25,6 milliards d euros en valeur de marché, en progression de 17 milliards d euros par rapport à la fin décembre L engagement pris par les membres de la FFSA d augmenter la part de leurs placements dans le non coté de six milliards d euros en montant absolu entre fin 2003 et fin est donc largement dépassé. L évolution des sommes qu ils ont consacrées à ces investissements au cours de la période récente est significative à cet égard : 1,5 milliard d euros en, 3 milliards en, 3,7 milliards d euros en, 2,3 milliards d euros en et 3,3 milliards d euros en. Au total, les assureurs sont aujourd hui devenus des investisseurs de premier plan dans le non coté selon le bilan statistique réalisé par l Association française des investisseurs en capital (Afic). Près de 18 % des fonds levés en en France pour l investissement dans les PME ont été apportés par les assureurs. MODERNISATION DES NORMES PRUDENTIELLES ET COMPTABLES La solidité financière des entreprises d assurances est la garantie qu elles pourront tenir leurs engagements envers les assurés. Dans ce domaine, deux grandes réformes, fondées sur une approche économique de l activité d assurance, et notamment des risques assumés, sont en cours. Elles concernent les exigences de solvabilité (au niveau européen) et les normes comptables (au niveau international). La directive Solvabilité II adoptée Solvabilité II traduit la volonté commune de tous les intervenants de réformer une réglementation qui apparaît aujourd hui obsolète et d introduire des exigences de solvabilité prenant mieux en compte les risques réels auxquels sont confrontées les sociétés d assurances. Les objectifs poursuivis La Commission européenne a adopté le 10 juillet le projet de directive Solvabilité II conduisant à une révision générale du droit des assurances de l Union européenne. Cette réforme poursuit quatre objectifs : améliorer la protection des assurés, inciter les entreprises à calibrer leurs besoins en fonds propres, et à améliorer la connaissance et la gestion de leurs risques, moderniser la supervision, et assurer une application européenne harmonisée. Couplé à une recodification de l ensemble des directives communautaires relatives à l exercice de l activité d assurance, le projet de directive a fait l objet d un accord entre la Commission, le Parlement et le Conseil européen en mars Les mesures d exécution doivent être adoptées par la Commission européenne en Les mesures d impact Des travaux de simulation sont nécessaires pour élabo rer des futures règles. Des études quantitatives d impact (QIS) ont ainsi été prévues afin de mettre en évidence les répercussions du nouveau système auprès des acteurs du marché. Au cours de l année, les entreprises européennes d assurances ont participé
3 L assurance française en 45 Structure des placements à la fin. Source FFSA, Banque de France. Actifs d'entreprises 52 % Obligations d'états de l'ocde 34 % 31 % Obligations d'entreprises Actifs monétaires Autres actifs 8 % 6 % 3 % Immobilier d'entreprises 18 % Actions La parole à... activement à la 4 e étude (QIS4). Elles participeront en 2009 aux consultations lancées par le Comité européen des contrôleurs d assurance (CEIOPS) et, en 2010, à une nouvelle étude d impact QIS 5. L application généralisée de Solvabilité II est prévue pour octobre Le traitement des risques longs Les études d impact effectuées ont montré que les formules testées prenaient mal en compte le cas des assureurs couvrant des risques longs. En parti culier, les calculs étant effectués sur la base d un horizon annuel, les activités de versement de rentes et de retraites risquaient de voir leurs besoins de fonds propres calculés de façon disproportionnée, alors même que les assureurs qui pratiquent ces activités mettent en place une gestion actif passif de long terme adaptée. Ceci créerait une forte distorsion avec les fonds de pension, qui sont pour l instant exclus du champ de la directive, ce que regrette la FFSA. Pour remédier partiellement à cette situation, et au nom de l équité avec les fonds de pension, le texte prévoit dorénavant que les produits de retraite puissent se voir appliquer des règles plus adaptées. Il conviendra donc de veiller à ce que les mesures d application rendent ces dispositions spécifiques effectivement applicables et que le calibrage soit adapté. La directive prévoit également une révision des règles applicables à la retraite ainsi que des règles applicables aux fonds de pension. Atténuer la pro-cyclicité La crise financière a mis en exergue le risque de procy clicité des normes prudentielles et comptables si ces dernières s appuient sur des valeurs de marché instantanées. Aussi la directive prévoit la mise en place d une mesure d atténuation («dampener»), qui devrait permettre de réduire sensiblement le chargement en capital des investissements en actions lors de crises financières majeures et de l augmenter au contraire en période d expansion. Les normes comptables internationales : report du calendrier En 2002, le Conseil des ministres de l Union européenne a adopté un règlement qui impose à toutes les sociétés européennes faisant appel public à l épargne d élaborer leurs états financiers consolidés, conformément aux normes compta bles IFRS (International Financial Reporting Standards). Ce dispositif visait principalement à garantir une meilleure transparence comptable. Pour des normes adaptées aux spécificités de l assurance Ces normes se sont révélées peu adaptées aux spécificités de l assurance : mutua lisation, diversification des risques, durée des engagements, gestion actif-passif. Les assureurs souhaitent donc l adoption d une norme comptable adaptée qui reflète la réalité économique du secteur. Celle-ci est en cours d élabo ration par l International Accounting Standards Board (IASB) et est attendue pour 2013, et non pour cette année comme prévu initialement. En attendant, la classification et la comptabilisation des contrats d assurance ou d investissement sont effectuées selon les normes IFRS 4 Phase I et IAS 39. Ces normes sont incomplètes pour traduire les spécificités de la gestion des assureurs et créent d ores et déjà des décalages entre la comptabilisation en juste valeur de leurs actifs et celle de leurs passifs techniques. Solvabilité II traduit la volonté commune de tous les intervenants de réformer une réglementation aujourd hui obsolète. Antoine Lissowski, président de la Commission plénière économique et financière de la FFSA. L année a mis à l épreuve les bilans des sociétés d assurances mais elle a surtout mis en évidence la pertinence et la robustesse de leur politique de gestion des risques et d allocation de capital. Elle a également révélé l utilité de l assurance au plan macroéconomique : investisseurs de long terme, les assureurs ont continué à drainer l épargne des ménages vers le financement des entreprises et servi d amortisseurs dans le climat de forte aversion au risque et de fuite vers la liquidité. La FFSA a contribué aux travaux et débats sur la directive Solvabilité II et les normes IFRS avec le souci d accompagner la modernisation du cadre prudentiel et comptable de l assurance en préservant son modèle économique qui allie mutualisation des risques et investissements sur le long terme. Au-delà des débats nécessairement techniques il s agit d adapter et d améliorer l environnement réglementaire pour conforter le développement de l industrie de l assurance.
4 46 Rapport annuel FFSA L ACTIVITÉ FINANCIÈRE DE L ASSURANCE COMPTE TENU DE LA BAISSE DES MARCHÉS FINANCIERS et de celle de la collecte nette en assurance vie, les actifs, en valeur de marché, baissent de 5,5 %. En revanche, en valeur de bilan, ces mêmes actifs augmentent légèrement (0,7 %). La contribution de l assurance au financement de l économie reste considérable en. LES PLACEMENTS DES RÉSULTATS EN BAISSE En, les placements des sociétés d assurances augmentent légèrement en valeur de bilan et atteignent milliards d euros. Le flux net de placement diminue de 91 % par rapport à en raison de la forte baisse de la collecte nette en assurance vie. L ENCOURS DES PLACEMENTS Malgré un contexte économique et financier peu favorable, les résultats de l exercice atteignent 9,5 milliards d euros en, en baisse de 12,8 %. Avec un taux de 11,5 %, la rentabilité des fonds propres se maintient à un niveau élevé. En, les résultats financiers s élèvent à 49,5 milliards d euros, en recul de 11,1 %. Cette évolution est liée au fort retrait des profits de réalisation des placements qui passe en à 5,8 milliards d euros contre 11,8 milliards en. L encours des placements (valeur de bilan) détenus par les sociétés d assurances ne progresse que de 0,7 % en : 0,4 % en assurance vie et capitalisation et 3,7 % en assurance de dommages. Dans un contexte de fortes perturbations des marchés boursiers, le montant des plus values latentes a fortement baissé en. Elles passent de 97,1 milliards d euros en à 5,3 milliards en. Seuls les placements immobiliers sont en plus values latentes et compensent les portefeuilles obligataires et actions qui sont en moins values latentes de 14,9 milliards d euros.
5 L assurance française en 47 La répartition de l encours des placements des sociétés d assurances à la fin (1) En milliards d euros En % Actions d entreprises 255,1 18,1 Obligations d entreprises 436,9 31,0 Obligations émises ou garanties par l État 483,4 34,3 Actifs immobiliers 67,7 4,8 TCN et actifs monétaires 114,2 8,1 Autres 52,1 3,7 Total général 1 409,4 100 dont : - Sociétés vie et mixtes 1 242,6 88,2 - Sociétés dommages 166,8 11,8 1. Valeur de réalisation. Les titres détenus par les OPCVM ont été réaffectés «par transparence» aux différentes catégories. Source : FFSA, Banque de France. Évolution de l encours des placements des sociétés d assurances Valeur de bilan Plus-values latentes Évolution des revenus financiers et des plus-values réalisées Sociétés d assurances de dommages Évolution des revenus financiers et des plus-values réalisées Sociétés d assurances vie, de capitalisation et mixtes 5,3 6,1 5,9 7,6 7,6 35,4 39,1 42,6 48,1 43,6 Pour les sociétés d assurances de dommages, les résultats financiers s élèvent à 5,9 mil liards d euros, en diminution de 22,4 % par rapport à. Les revenus financiers nets atteignent 4,9 milliards et les profits de réalisation de placements 1,0 milliard. Au total, la gestion financière des sociétés d assurances vie dégage en des ressources d un montant de 43,6 milliards d euros, en baisse de 9,4 % par rapport à, dont 38,8 milliards de revenus financiers nets et 4,8 milliards de profits de réalisation de placements. Au moins 85 % de ces ressources sont attribués aux assurés par l intermédiaire des clauses bénéficiaires des contrats.
6 48 Rapport annuel FFSA L ACTIVITÉ FINANCIÈRE DE L ASSURANCE Résultat des sociétés vie, de capitalisation et mixtes 1,8 3,3 3,4 3,9 4,0 4,2 5,0 5,1 5,8 5,5 Résultat technique Résultat net comptable Le compte de résultat des sociétés vie de capitalisation et mixtes (1) en milliards d euros Variation en % Compte technique Cotisations acquises 132,9 122,4 7,9 Produits nets des placements (2) 47,6 43,2 9,2 Ajustement Acav 2,8 54,4 84,7 Autres produits techniques 1,2 1,4 16,7 Sous-total A 184,5 112,6 39,0 Charges des sinistres 83,5 93,1 11,5 Charges des provisions techniques 44,9 28,6 Participation aux résultats 38,3 34,0 11,2 Frais d acquisition et d administration 10,9 11,1 1,8 Autres charges techniques 1,1 1,2 9,1 Sous-total B 178,7 110,8 38,0 Résultat technique A B 5,8 1,8 69,0 Compte non technique Produits des placements alloués 0,6 0,4 Autres éléments du compte non technique 0,9 2,0 Résultat net comptable 5,5 4,2 23,6 1. Opérations nettes de réassurance. 2. Y compris les plus-values réalisées sur cessions d actifs (nettes de moins-values) moins les produits des placements transférés au compte non technique. Le résultat net comptable de l assurance vie baisse de 23,6 % et atteint 4,2 milliards d euros, contre 5,5 milliards en. La rentabilité s établit à 9,0 % des capitaux propres en. La dotation aux provisions mathématiques, destinées à couvrir les engagements futurs envers les assurés, d un montant de 28,6 milliards d euros, baisse fortement compte tenu de la diminution des cotisations et de la valorisation des contrats en unités de compte. Solvabilité des sociétés vie, de capitalisation et mixtes (fonds propres + plus-values latentes/provisions) 3,9 Source : FFSA. 8,6 11,3 13,1 11,2 La solvabilité : des ratios solides Pour les sociétés d assurances vie, de capitalisation et mixtes, l exigence réglementaire de marge de solvabilité est de 4 % des provisions mathématiques, ramenée à 1 % pour les contrats en unités de compte. Étant donné la répartition des contrats des sociétés, elle peut être évaluée à 3,4 % pour. Les fonds propres des sociétés d assurances représentent 3,9 % des provisions mathématiques en. En l absence de plus-values latentes, la marge de solvabilité représente 1,2 fois la marge réglementaire. Ce niveau reste un gage de sécurité pour les assurés.
7 L assurance française en 49 Le compte de résultat des sociétés dommages (1) en milliards d euros Variation en % Compte technique Cotisations acquises 48,8 50,7 3,9 Produits des placements alloués 5,3 4,3 18,9 Autres produits techniques 0,6 0,6 Sous-total A 54,7 55,6 1,6 Charges des sinistres (2) 36,3 36,3 Frais d acquisition et d administration 11,1 11,9 7,2 Autres charges techniques 1,8 2,4 33,3 Sous-total B 49,2 50,6 2,8 Résultat technique A B 5,5 5,0 9,1 Compte non technique Produits nets des placements (3) 2,3 1,6 30,4 Autres éléments du compte non technique 2,4 1,3 45,8 Résultat net comptable 5,4 5,3 1,9 1. Opérations nettes de réassurance. 2. Y compris les dotations aux provisions techniques. 3. Y compris les plus-values réalisées sur cessions d actifs (nettes de moins-values), moins les produits des placements transférés au compte non technique. Résultat des sociétés dommages 3,6 3,6 4,7 4,0 6,3 5,6 5,5 5,4 5,0 5,3 Résultat technique Résultat net comptable Malgré une stabilisation de la charge des sinistres, le résultat technique recule en compte tenu du retrait des produits financiers alloués. Le ratio moyen de chargement (les frais rapportés aux cotisations) s établit en à 23,5 %. Le ratio combiné, net de réassurance, qui rapporte au montant des cotisations les prestations versées et provisionnées, les coûts d acquisition et d administration et autres charges techniques, atteint 99,8 %, contre 100,8 % l année précédente. Le résultat net comptable s élève à 5,3 milliards d euros et représente 14,7 % des capitaux propres. Pour les sociétés d assurances de dommages, l exigence de marge est de 16 % des cotisations annuelles ou de 23 % du montant moyen des sinistres des trois derniers exercices si celui-ci est plus élevé. Les fonds propres s élèvent à 35,9 milliards d euros en, soit 57,2 % des cotisations. Plus-values latentes comprises, la marge de solvabilité atteint 87,3 %, soit 5,5 fois la marge réglementaire. Solvabilité des sociétés dommages (fonds propres + plus-values latentes/cotisations) 86,9 104,9 114,8 115,3 87,3 Source : FFSA.
L activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailDéfinitions LES ASSURANCES DE PERSONNES. Les contrats et les garanties LES ASSURANCES EN CAS DE VIE LES ASSURANCES EN CAS DE DÉCÈS, DE MALADIE
Définitions LES ASSURANCES DE PERSONNES Les contrats et les garanties LES ASSURANCES EN CAS DE VIE ET LES BONS DE CAPITALISATION Assurance en cas de vie Contrat d assurance, souscrit individuellement ou
Plus en détailLe produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne
Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter
Plus en détailSOLVABILITE II Glossaire et notions clés
SOLVABILITE II Glossaire et notions clés Version septembre 2013 A Actuaire Spécialiste qui applique la statistique et le calcul des probabilités pour la conduite d opérations financières et d assurance.
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailQuels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE
Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant
Plus en détailL assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010
L assurance, un secteur singulier : En quoi les assurances diffèrent-elles des banques? Synthèse Juin 2010 L impact de la crise financière récente sur le secteur financier et les économies a été extrêmement
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailrelatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,
Plus en détailRéglementation prudentielle. en assurance. Plan. - I - Les principes de la comptabilité générale et leur application à l assurance
Réglementation prudentielle en assurance Principes de comptabilité : comment lire les comptes des entreprises d assurance? Franck Le Vallois Commissaire-contrôleur des assurances Plan - I - Les principes
Plus en détailSolvabilité II. De Solvabilité I àsolvabilitéii. Les trois piliers. Le processus «Lamfalussy» Le calendrier. Le rôle de la FFSA aujourd hui
De Solvabilité I àsolvabilitéii Les trois piliers Le processus «Lamfalussy» Le calendrier Le rôle de la FFSA aujourd hui Les points de vigilance La France en Europe Réavie 15 octobre 2009 2 De Solvabilité
Plus en détaildes compagnies d assurance : évolutions récentes
Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l
Plus en détailDéfinitions. Les assurances de personnes. Les contrats et les garanties. Les assurances en cas de vie et les bons de capitalisation
FFSA Définitions Les assurances de personnes Les contrats et les garanties Les assurances en cas de vie et les bons de capitalisation Assurance en cas de vie Contrat d assurance, souscrit individuellement
Plus en détailCalcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model»
Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2 Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Luca De Dominicis formation Sepia 10 juin 2008 Sommaire 1.
Plus en détailCLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS
CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont
Plus en détailUN REGARD PRÉVOYANT SUR VOTRE AVENIR
UN REGARD PRÉVOYANT SUR VOTRE AVENIR RAPPORT AUX MEMBRES 2005 EXERCICE 2005 ACTIF DU BILAN Continuité a été le maître mot de 2005 pour la CPP, aussi bien pour son fonctionnement interne que pour son environnement:
Plus en détailLES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011
LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailCours de contrôle de gestion appliqué à l'assurance. Partie 2. Cours complet, exercices d'application et bibliographie sur www.cours-assurance.
Cours de contrôle de gestion appliqué à l'assurance Partie 2 Cours complet, exercices d'application et bibliographie sur www.cours-assurance.org Partie 2 : Le suivi de l activité d une compagnie d assurance
Plus en détailToutes les facettes de l assurance vie
Toutes les facettes de l assurance vie Les avantages de l assurance vie Que vous ayez ouvert votre contrat d assurance vie en vue d épargner pour un projet futur, de vous constituer un complément de revenu
Plus en détailEn 2013, 605 organismes pratiquent
j u i n Le marché de l assurance complémentaire santé : des excédents dégagés en 2013 En 2013, 33 milliards d euros de cotisations ont été collectés sur le marché de l assurance complémentaire santé en
Plus en détailLes placements des organismes d assurance à fin 2012
Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction
Plus en détailLE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier
Conférence ATEL - 11 décembre 2012 LE CONTRAT DE CAPITALISATION Une opportunité de placement financier Marc-Antoine DOLFI, associé 1 PLAN DE PRESENTATION Le contrat de capitalisation 1. Description 2.
Plus en détailpoint sur l assurance française
le point sur l assurance française conférence de presse de la FFSA maison de l assurance / jeudi 29 janvier le point sur l assurance française ce qu il faut pour 2 Loi ALUR Publication Omnibus 2 L année
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailLES CHIFFRES DU MARCHÉ FRANÇAIS DE LA BANQUE ET DE L ASSURANCE
LES CHIFFRES DU MARCHÉ FRANÇAIS DE LA BANQUE ET DE L ASSURANCE Assurances 1. Le secteur des organismes d assurance en 2012...58 2. Une rentabilité globalement maintenue...63 2.1. Un compte de résultat
Plus en détailEpargner à long terme et maîtriser les risques financiers
Epargner à long terme et maîtriser les risques financiers Olivier GARNIER David THESMAR 2 juin 2009 Le champ du rapport Point de vue des ménages-épargnants, plutôt que celui du financement de l économie
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailSolvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit
Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Colloque du CNAM 6 octobre 2011 Intervenants OPTIMIND Gildas Robert actuaire ERM, senior manager AGENDA Introduction Partie 1 Mesures de
Plus en détailSolvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens
Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures
Plus en détailAnalyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF
Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur
Plus en détailIFRS - Principes clés. Le 6 janvier 2005
IFRS - Principes clés Le 6 janvier 2005 Avertissement La présentation ci-après donne une vue d ensemble des normes IFRS en l état actuel des informations disponibles. Un certain degré d incertitude demeure
Plus en détailLa mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables
La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale
Plus en détailOddo & Cie. Premavenir. Novembre 2014
Oddo & Cie Premavenir Sommaire Sections 1 Cadre juridique et fiscal des contrats d épargne retraite «PERP» 3 2 Présentation du contrat Premavenir de AG2R La Mondiale 8 3 Frais 13 Annexe Solidité du groupe
Plus en détailNorme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière
IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers
Plus en détailLes comptes de la Banque de France
1 Le rapport sur la situation patrimoniale et les résultats Le Conseil général a arrêté les comptes de l exercice 2012 au cours de la séance du 28 mars 2013. Le résultat net s établit à 3 146 millions
Plus en détailCOMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007
COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailRelatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation Avis n 2003-07 du 24 juin 2003 Relatif aux règles comptables applicables au Fonds de réserve des retraites Sommaire 1 - Présentation du Fonds de
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détailRésultats intermédiaires
Résultats intermédiaires Rapport semestriel 2000 du groupe Zurich Financial Services y compris les rapports semestriels d Allied Zurich p.l.c. et de Zurich Allied AG Principaux chiffres en millions de
Plus en détailLes entreprises d assurances
Crédit photo : Richard Drury/The Image Bank Dans un cadre économique apaisé, les sociétés d assurances recueillent en 2004 le résultat des mesures qu elles avaient prises pour redresser leur rentabilité.
Plus en détailL assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux
L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux 2 3 SOMMAIRE 4 L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux 4 Une orientation résolument internationale 6 Une protection
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Argenta Bank- en Verzekeringsgroep SA Résultats exceptionnels d Argenta pour l année de crise 2011 La cinquième banque de Belgique n a pas désappris le métier du banquier de détail.
Plus en détailLes rachats de contrats d assurance-vie après 60 ans en 2012 FFSA
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 8 Document de travail, n engage pas le Conseil Les
Plus en détailCadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur
Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Préambule Fondation privée reconnue d utilité publique à but non lucratif, l Institut Pasteur dispose de différents types de ressources
Plus en détailActionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009
Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous
Plus en détaildes mutuelles FRAIS DE GESTION PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE
FRAIS DE GESTION des mutuelles PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Les Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent 3 milliards
Plus en détailInformation financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie
Plus en détailExcellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailPrésentation du métier d actuaire vie
06 Octobre 2010 Frédéric Daeffler 14/10/2010 Agenda Assurance vie : Produits concernés Actuaire produit : Tarification et conception d un produit Actuaire financier : Pilotage des résultats, Gestion actif-passif,
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES
Paris, le 25 février 215 COMMUNIQUÉ DE PRESSE BOUYGUES RÉSULTATS ANNUELS RÉSULTATS EN LIGNE AVEC LES ATTENTES BONNES PERFORMANCES COMMERCIALES RÉSULTAT OPÉRATIONNEL COURANT : 888 MILLIONS D EUROS RÉSULTAT
Plus en détailn 20 octobre 2013 La situation des mutuelles du code de la mutualité en 2012 n 23 novembre 2013 1
n 20 octobre 2013 La situation des mutuelles du code de la mutualité en 2012 n 23 novembre 2013 1 Sommaire 1. INTRODUCTION 5 1.1 Les mutuelles du code de la mutualité, des acteurs importants du secteur
Plus en détailL environnement juridique et fiscal
L assurance française en 2009 Rapport annuel 2009 65 L environnement juridique et fiscal Nombre de sujets de toute première importance, touchant à l organisation et à l environnement réglementaire du secteur
Plus en détailRéformes européennes et stabilité financière
Réformes européennes et stabilité financière 3/04/2012 Martin MERLIN Chef d'unité DG Marché intérieur et services Causes de la crise financière de 2007-2008 Déséquilibres macro-économiques Lacunes réglementaires
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailLes régimes de retraite de la branche 26
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 juin 2010-9 h 30 «L épargne retraite individuelle et collective» Document N 3 Document de travail, n engage pas le Conseil Les régimes de retraite
Plus en détail31.12.2012 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES. (Comptes non audités)
31.12.2012 ETATS FINANCIERS CONSOLIDES (Comptes non audités) Sommaire Etats financiers consolidés Bilan consolidé 1 Compte de résultat consolidé 3 Etat du résultat net et gains et pertes comptabilisés
Plus en détailCrédit Agricole Assurances. Données financières 2011
Crédit Agricole Assurances Données financières 2011 sommaire 1 ACTIVITE ET INFORMATIONS SUR LE GROUPE CREDIT AGRICOLE ASSURANCES Principes et méthodes applicables dans le groupe...4 Environnement économique
Plus en détailGROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013
GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailInternational Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005
International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailRapport annuel ACTYS 2. au 31 mars 2014. FORME JURIDIQUE DE L OPCVM FCPR de droit français CLASSIFICATION. Document public. labanquepostale-am.
Rapport annuel au 31 mars 2014 ACTYS 2 FORME JURIDIQUE DE L OPCVM FCPR de droit français CLASSIFICATION Document public La Banque Postale Asset Management 34, rue de la Fédération 75737 Paris Cedex 15
Plus en détailNorme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31
Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture
Plus en détailCOMPTES CONSOLIDÉS EN NORMES IAS/IFRS SAHAM Assurance Maroc au 31 décembre 2014
COMPTES CONSOLIDÉS EN NORMES IAS/IFRS SAHAM Assurance au 31 décembre 014 État de la Situation Financière IFRS au 31 décembre 014 et 013 État de résultat net et autres éléments du résultat golbal - IFRS
Plus en détailRoyaume du Maroc. Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation. L'épargne intérieure au Maroc
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation L'épargne intérieure au Maroc Décembre 2001 Constituant une sélection mensuelle des travaux menés par les cadres de la Direction
Plus en détailRÉSULTATS AU 30 JUIN 2014
RÉSULTATS AU 30 JUIN 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 31 juillet 2014 CHARGES EXCEPTIONNELLES RELATIVES A L ACCORD GLOBAL AVEC LES AUTORITÉS DES ÉTATS-UNIS 5 950 M AU 2T14 DONT : - PÉNALITÉS* : 5 750
Plus en détailCONTRAT D ASSURANCE VIE ASSURANCE
Ligne Beta Ligne Alpha CONTRAT D ASSURANCE VIE LOI ASSURANCE MADELIN VIE Version Arborescence Retraite Essentielle Madelin 1 unité 20 X X Notice Logotype La retraite est un sujet d actualité pour bon nombre
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailLe passage de l'embedded Value à l'economic Value
Le passage de l'embedded Value à l'economic Value Une meilleure prise en compte des options et des garanties Ferdia Byrne, Claire Lasvergnas 23 septembre 2003 Les principes L'application Le marché français
Plus en détailRésultats annuels 2005
Résultats annuels 2005 SOMMAIRE Chiffres clés Activité 2005 - Crédit-Bail Immobilier/Location Longue Durée - Location simple Résultats 2005 Structure financière LOCINDUS en bourse Perspectives pour 2006
Plus en détailrv de septembre - 09/09/2008 - XC
rv de septembre - 09/09/2008 - XC Rendez-vous de septembre 9 septembre 2008 - Monte Carlo LE TRANSFERT DE RISQUES DANS SOLVABILITÉ II Xavier Cognat Fédération Française des Sociétés d Assurances rv de
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailLA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES
LA MESURE DES PERFORMANCES DES COMPAGNIES D ASSURANCES Séminaire - Atelier La mesure des performances des compagnies d assurances 1 ère communication Généralités sur les processus d évaluation des activités
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer
Plus en détailPerformance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012
Performance des grands groupes bancaires français au 31 mars 2012 Mercredi 16 mai 2012 Sommaire : Introduction > Un premier trimestre 2012 impacté par des éléments exceptionnels > Une dynamique commerciale
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailFRAIS DE GESTION des mutuelles
FRAIS DE GESTION des mutuelles Juillet 2014 PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailFONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE
FONDATION COMMUNAUTAIRE D OTTAWA POLITIQUE POLITIQUE : PLACEMENT La Fondation communautaire d Ottawa (FCO) est une fondation publique établie dans le but de subventionner un vaste éventail d activités
Plus en détailNorme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29
Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Objectif de la norme 01 L activité d assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une
Plus en détailNORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE
NORME IAS 07 LE TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 12 : IMPÔTS SUR LE RÉSULTAT...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailDu résultat social au résultat consolidé Novembre 2011
Du résultat social au résultat consolidé Novembre 011 Du résultat social au résultat consolidé Préambule Les comptes consolidés ont pour but de présenter le patrimoine, la situation financière et les résultats
Plus en détailNote TDTE N 44. Philippe Foulquier, Directeur du pôle «Analyse Financière et Comptabilité» de l EDHEC.
Note TDTE N 44 La gestion de l épargneretraite à long-terme : Attention au cadre prudentiel réglementaire! Auteur Philippe Foulquier, Directeur du pôle «Analyse Financière et Comptabilité» de l EDHEC.
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailLa supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation
La supervision des banques et des assurances par l Autorité de contrôle prudentiel : Défis et opportunités dans un environnement en mutation Danièle NOUY, Secrétaire général de l Autorité de contrôle prudentiel
Plus en détailComptes consolidés résumés non audités
Comptes consolidés résumés non audités Au SOMMAIRE ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS... 3 Bilan consolidé... 3 Compte de résultat consolidé... 5 Autres éléments du résultat global consolidé... 6 Tableau de variation
Plus en détailFonds de placement en Suisse. Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT
Fonds de placement en Suisse Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT Table des matières Page Avant-propos 3 Définitions 4 Fonctionnement d un fonds de placement 6 Caractéristiques des fonds
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailSection II : Provisions techniques des opérations d'assurance sur la vie, d'assurance nuptialité-natalité et de capitalisation.
Page 1 sur 7 Chemin : Code des assurances Version consolidée au 7 juillet 2012 Partie réglementaire - Arrêtés Livre III : Les entreprises. Titre III : Régime financier. Chapitre Ier : Les engagements réglementés.
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détail