Les mécanismes de défense des soignants. Face à la maladie grave,un diagnostic grave,une annonce de handicap

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1 Les mécanismes de défense des soignants Face à la maladie grave,un diagnostic grave,une annonce de handicap

2 Ces mécanismes de défense, fréquents, automatiques et inconscients, ont pour but de réduire les tensions et l angoisse dans les situations de crise et d appréhension extrême Martine Ruszniewski

3 Mécanismes de défense Le mensonge La banalisation L esquive La fausse réassurance La rationalisation L évitement La dérision La fuite en avant L identification projective

4 Le mensonge Il s agit du mécanisme le plus radical et le plus dommageable. Le problème est que cette réaction coupe tout dialogue autour de la maladie et rompt la relation de confiance. Risque d effets pervers : choc de la découverte de la réalité plus tard, parfois par hasard et sans préparation Conséquences : Mentir, c est entraver le mécanisme psychique d angoisse qui est un mécanisme nécessaire de protection pour le parent.

5 La banalisation Il consiste en une forme de détournement de la vérité tout en occultant la souffrance psychique du patient. Il permet ainsi une prise de distance Conséquences : Le parent ne se sent pas reconnu.

6 L esquive Sans banaliser ni mentir, on peut parfois rester «hors sujet» pour éluder l angoisse contenue dans les perches tendues par les parents. Conséquences : Sentiment de solitude pour le parent.

7 La fausse réassurance Ce mécanisme consiste à optimiser les résultats et entretenir chez les parents un espoir artificiel alors qu ils n y croient pas Conséquences :Maintien le décalage entre la réalité médicale et la progression de la maturité psychique du parent en suspendant l accès à une certitude inéluctable.

8 La rationalisation Ce mécanisme permet ainsi de donner toute la vérité, toutes les informations mais dans la langue du médecin Ceci lui permet souvent d éviter ainsi de s engager sur le versant émotionnel. Mais il ne permet pas au parent de comprendre, ni d intégrer les informations reçues. Ceci peut provoquer de l angoisse sans donner les outils de mieux l affronter. Conséquences :Engendre une rupture de communication créant un vide source d angoisse.

9 L évitement C est la fuite des parents (ne plus entrer dans la chambre) ou de la conversation avec eux (entrer, regarder le dossier, parler aux collègues ) C est la fuite de la dimension relationnelle Conséquences : la présence du parent est niée. La relation est privée de tout affect que le soignant estime n être pas de son ressort.

10 La dérision Ce mécanisme consiste à minimiser, à prendre de la distance aux dépens du parent sur un mode ironique. Le rire est très évocateur Ce mécanisme est souvent lié aux situations de lassitude, à une banalisation de la souffrance quotidienne à laquelle est confrontée le soignant voire à une protection. Conséquences : Confine le parent dans l angoisse, le silence et la solitude.

11 La fuite en avant La fuite en avant consiste à se délivrer de l angoisse liée à la vérité en s en déchargeant sur le parent sans préparation. Exemple : la délivrance d une vérité crue ou d une information excessive sur les traitements difficiles, les rechutes, les statistiques létales. Ce mécanisme est d une grande violence pour le parent et peut avoir pour effet d annihiler l espoir. Conséquences : Provoque une sidération du parent qui majore son angoisse et l enferme dans une impuissance vis à vis de la maladie

12 L identification projective C est l opposé de la banalisation. C est la tentative du soignant de dissoudre la distance par une prise en charge active et globale. Mais en réalité, le soignant attribue à l autre certains traits de luimême, se substitue aux parents, leur prête ses sentiments, ses pensées, ses émotions. C est projeter nos propres souhaits chez l autre. Conséquences :Enferme le parent dans l illusoire partage de sa souffrance qui le cantonne dans un non dit d incompréhension.

13 Vous devez avoir une réflexivité de votre pratique a posteriori des situations cliniques pour analyser et éviter ces mécanismes de défense parfois inconscients, ou tout du moins en avoir conscience.

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