Contexte historique du collage du coton au Soudan

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Contexte historique du collage du coton au Soudan"

Transcription

1 GOURLOT J.-P., FRYDRYCH R., éditeurs scientifiques, 200. Improvement of the Marketability of Cotton Produced in Zones Affected by Stickiness. Actes du séminaire, 4 7 juillet 200, Lille, France, CFC ICAC Cirad IFTH SCC - ARC. Montpellier, France, Cirad, CFC - Technical report. Contexte historique du collage du coton au Soudan PR. HASSAN KHALIFA Département de Botanique, Faculté de Sciences, Université de Khartoum, Soudan Résumé : Le collage du coton est l un des nombreux problèmes de qualité auxquels sont confrontés producteurs et utilisateurs. Le collage du coton au Soudan est principalement dû aux excrétions d hydrates de carbone de l aleurode (Bemesia tabaci Gennadius) connues sous le terme de miellat. Les exsudats de puceron (Aphis gossypii Glover) et de la plante sont de faible importance. Les autres facteurs responsables du collage du coton comprennent les matières étrangères de la fibre (trash), les fragments de coque, les fibres immatures et d autres impuretés. Un certain nombre de programmes de recherche ont été entrepris et les résultats indiquent que le miellat résulte des sécrétions de l aleurode. Des méthodes physiques et chimiques visant à évaluer le collage du coton ont été mises au point. Il a été établi qu il existait une corrélation positive entre le degré de collage du coton d une part et le rendement à l égrenage et la productivité à la filature d autre part. L utilisation d insecticides systémiques efficaces a été recommandée afin de lutter contre l aleurode. Certaines pratiques culturales, comme la défoliation du coton juste avant la récolte et la densité des cotonniers en culture, ont permis respectivement de maîtriser le collage du coton et de réduire l augmentation des populations d aleurodes. La variété de coton Sudac K, qui était résistante à l infestation d aleurodes, a été diffusée. Il a été mis en évidence que les caractères principaux conférant une résistance à l infestation d aleurodes étaient une feuille okra, un appareil végétatif glabre, une fleur sans nectaire et une teneur importante en gossypol. Des études ultérieures ont révélé que les variétés G. hirsutum étaient plus sensibles à l accroissement des aleurodes par comparaison avec les variétés G. barbadense. Le pic de l ouverture des capsules observé pour G. hirsutum coïncidait avec le pic de population des aleurodes, alors que les variétés G. barbadense échappaient au pic. Il a également été noté une variation importante du collage de la fibre à l intérieur d un même cotonnier, le coton récolté à la base de la plante étant plus collant. Les variations au sein d une même balle étaient évidentes. De plus, le degré de collage du coton était variable d un endroit à l autre et jusque dans un même champ. Introduction Le coton est l une des cultures marchandes les plus importantes au Soudan. Les trois types principaux de coton, le coton à longues soies et extra longues soies (Gossypium barbadense), le coton à moyennes soies et le coton à courtes soies (G. hirsutum), font l objet de culture en irrigué et en non irrigué. Au Soudan, le coton est cultivé dans différentes régions écologiques et selon des pratiques agricoles et agronomes diverses. Tout le coton-graine est récolté manuellement avec des récoltes successives. L égrenage du coton-graine du coton à longues soies et une partie du coton à moyennes soies s effectue exclusivement par égreneuse à rouleaux. Les cotons à courtes soies sont habituellement égrenés par égreneuse à scies. Un certain nombre d insectes ravageurs infestent le coton et les mesures principales de lutte sont le traitement par insecticides et l utilisation de quelques pratiques culturales. L aleurode (Bemesia tabaci Gennadius) est l un des ravageurs les plus graves du coton. Il est abrité par tout un éventail de planteshôtes, où il se reproduit puis d où il migre pour infester le coton. Il a un impact négatif en termes de rendement et de qualité. Il sécrète des substances sucrées connues sous le nom de miellat, responsable principal du collage du coton au Soudan. Le problème du collage du coton n est que l un des nombreux facteurs limitatifs affectant la production et la commercialisation du coton dans de nombreux pays. Mais c est le plus grave comparé 68 Séminaire de fin de projet Improvement of the marketability of cotton produced in zones affected by stickiness

2 avec d autres facteurs de qualité auxquels est confronté l industrie moderne du coton. Malheureusement, les producteurs continuent à utiliser les mêmes pratiques de récolte, de nettoyage, d égrenage et de mise en balle. Ils ne se sont pas adaptés à l évolution rapide intervenue dans l industrie moderne du textile. Programmes de recherche Le National Research Committee on Cotton Stickiness (Comité national de recherche sur le collage du coton) a lancé un certain nombre de programmes de recherche coordonnés entre eux dans le but de trouver une solution à ce problème. Ces programmes comprennent les objectifs suivants : Identification du type de sucres responsables du collage du coton et de leur origine. 2 Mise au point de méthodes fiables et rapides permettant de classer le collage du coton et de corréler le grade de collage à la productivité en filature. 3 Corrélation entre le degré de collage du coton, le rendement à l égrenage du coton-graine et la productivité à la filature. 4 Sélection et évaluation de différents insecticides destinés à lutter contre l aleurode ; mise au point d un système de lutte intégrée contre les ravageurs. 5 Effets des différentes pratiques de culture et du type de plante sur le cycle de l infestation des aleurodes. 6 Sélection de variétés de coton pour la tolérance à l infestation des aleurodes. Causes du collage du coton Des programmes de recherche ont été entrepris afin de définir les facteurs impliqués dans le collage du coton. Ces facteurs comprennent les miellats sécrétés par l aleurode et le puceron (Aphis gossypii Glover), les sucres physiologiques provenant du nectaire de la plante, les matières étrangères comme les impuretés de la fibre (trash), les fibres immatures et les fragments de coques. De nombreux facteurs ont été mis en cause comme responsables du collage du coton dans la littérature. Certains de ces facteurs sont les insectes comme l aleurode et le puceron, les microorganismes décomposant la cellulose, les substances sucrées provenant de la plante, les fragments de coque et les fibres immatures lors de l égrenage, et les conditions de culture. Tous ces facteurs peuvent affecter, directement ou indirectement, le grade et la productivité à la filature du coton. Le problème du collage du coton apparaît dès la récolte du coton-graine et est aggravé pendant les opérations d égrenage, de mise en balle et de filature. Au moment de la récolte, les vieilles feuilles sont habituellement polluées par le miellat, ce qui renforce la contamination du coton-graine. Les problèmes provoqués par un coton-graine collant comprennent les déchets importants à l égrenage, les arrêts pour nettoyage, le blocage des égreneuses à rouleaux, la tendance aux enroulements, les propriétés du ruban et du filé, le taux de casses, les agglomérats et enroulements au banc d étirage et le temps perdu. Le fil obtenu à partir de coton collant est habituellement de faible résistance, irrégulier, comporte un grand nombre de neps et son aspect est celui d un coton de mauvaise qualité. De tels fils sont responsables de problèmes ultérieurs lors du tissage. L analyse chimique des miellats d aleurode et de puceron et des exsudats de plante a révélé que le miellat de l aleurode et celui du puceron contenaient des sucres réducteurs comme des sucres non réducteurs, mais qu un sucre, de type non déterminé, était présent uniquement dans les sécrétions de l aleurode. Les exsudats de plante n ont aucun rôle important, étant inactifs lorsque la capsule arrive à maturité. Il a été observé que l aleurode était la cause principale du collage du coton. Ces insectes pourraient migrer à partir de plantes-hôtes et se reproduire rapidement sur le cotonnier pour atteindre un pic lorsque les capsules se développent et arrivent à maturité (figure ). La figure illustre également les différences entre G. barbadense et G. hirsutum en termes de maturité et de pic d aleurodes (Khalifa 980). Actes du séminaire, 4-7 juillet 200, Lille, France 69

3 La présence de moisissure, de graines immatures ou écrasées dans la fibre et de fibres immatures peut provoquer un collage du coton lors de la mise en presse. C est habituellement le cas des cotons de bas grade ou des cotons récoltés tardivement au cours de la campagne. Il a été signalé que de mauvaises conditions météorologiques lors de la maturation des capsules pouvaient se traduire par des fibres immatures et la persistance de sucres sur la fibre. Méthodes de classement du collage Il existe deux méthodes d évaluation du collage du coton : Méthode physique Des échantillons ont été prélevés de manière aléatoire à partir de différents cotons graines récoltés afin d évaluer le degré de collage à l aide de la méthode physique. Après mélange et égrenage, 40 gm de fibres ont été passés deux fois à la mini-carde. Les dépôts de matières et de fibres et d impuretés collantes, d impuretés dans le rouleau calendreur ont été recueillis et pesés. Le poids total des dépôts en mg/00gm de fibre a été obtenu et le classement du collage s est effectué selon 5 grades : 0,, 2, 3 et 4 correspondant respectivement à «aucun collage ou trace», «collage faible», «collage modéré», «collage important» ou «très important». Cette méthode est rapide et subjective. Méthode chimique Ali et Khalifa (980) ont mis au point une méthode chimique rapide permettant de déterminer le degré de collage dans des échantillons de fibre. Les sucres réducteurs et les sucres non réducteurs ont été évalués. Les sucres non réducteurs trouvés dans le miellat d aleurode provoquaient un collage plus important de la fibre de coton. Dix échantillons de 2 g chacun ont été utilisés dans l analyse. La quantité totale de sucres réducteurs et non réducteurs (gm/00 gm de fibre a été déterminée et classée selon 5 grades : 0,, 2, 3 et 4. Variation du collage du coton La distribution anormale de miellat polluant la fibre, que ce soit sur une même plante ou au sein d une balle, définit la contrainte majeure qui est d obtenir une estimation fiable du grade de collage de la fibre de coton. Des essais ont été réalisés afin de mettre en évidence la variation des pollutions de miellat dans une même plante, dans un même champ, entre les variétés de coton, les récoltes, les endroits et au sein d un même lot. Les résultats indiquent que la distribution des miellats dans une même plante est variable (tableau ). Le grade de collage du coton est plus élevé dans la fibre recueillie dans le bas et le milieu de la plante que dans la partie supérieure (Khalifa 982). Ce résultat était attendu car l aleurode préfère ordinairement l humidité, la chaleur et l ombre ainsi qu une protection du vent auquel est exposé la partie supérieure du couvert végétal des cotonniers plus tard au cours de la campagne (Gameel 982). Il est par conséquent recommandé de suivre la pratique des récoltes successives au lieu des récoltes chevauchantes, le coton-graine de chaque récolte étant regroupé séparément. En ce qui concerne la variation du collage du coton dans un même champ, il a été observé que la répartition de la population des aleurodes dans le même champ était variable. La partie sud du champ était la plus touchée du fait du vent du nord poussant les aleurodes vers la partie sud du champ. Les bords est et ouest du champ présentaient des concentrations de miellat relativement plus élevées que celles du centre du champ, le coefficient de variation était de 28 % et 26 % en cas de récoltes (tableau 2). De plus, un grade de collage plus élevé a été mis en évidence pour les cotons à moyennes soies (G. hirsutum) par rapport aux variétés (G. barbadense) (tableau 3). Ceci est essentiellement dû au fait que les variétés hirsutum sont poilues et touffues et donc plus prédisposées aux infestations d aleurodes. En outre, le moment où elles atteignent la maturité coïncide avec le pic de population des aleurodes (figure ), Khalifa (982). La variation due à l endroit était manifeste en comparant le coton de la région de Rahad et celui de la Gezirah, l infestation des aleurodes étant plus prononcée dans la région de Rahad. 70 Séminaire de fin de projet Improvement of the marketability of cotton produced in zones affected by stickiness

4 La mesure de la variation du miellat à l intérieur d une même balle demandait que soit définie une procédure d échantillonnage de manière à obtenir des estimations fiables. Khalifa (982) a établi que le nombre optimal de balles pour l échantillonnage était compris entre 25 et 30 par lot (figure 2). Les balles étaient sélectionnées à partir d un lot (300). Cinq (5) à 60 balles de 90,5 kg (420 lb) étaient sélectionnées de façon aléatoire. Des échantillons de fibres étaient ensuite prélevés à 6 endroits différents de la balle. Les résultats ont montré une forte hétérogénéité à l intérieur d une même balle, notamment pour les variétés à moyennes soies. Ceci était surtout dû au mélange de coton collant et de coton non collant (tableau 4). Corrélation entre le degré de collage du coton et les rendements à l égrenage et à la filature Lors de l égrenage, le coton-graine collant a causé des incidents en bloquant le rouleau et en nécessitant le nettoyage de l égreneuse. Les tests de filature des échantillons de coton collant ont permis d établir que l importance des incidents à la carde et au banc d étirage variait en fonction du degré de collage du coton. Sélection et évaluation des différents insecticides La mesure principale de lutte contre l aleurode résidait dans l emploi d insecticides. Cette pratique comporte de nombreux inconvénients. Un certain nombre d insecticides systémiques ont entraîné une pollution de l environnement et se sont avérés présenter des risques pour l homme et pour les animaux. De plus, cette pratique réduit les possibilités de lutte biologique, les populations de parasites et de prédateurs étant en grande partie diminuées. Il s agit enfin d une pratique coûteuse. Effets des pratiques agricoles Un essai sur la défoliation du coton a été réalisé. Les objectifs principaux étaient d éliminer les feuilles desséchées polluées et de réduire la surface foliaire. Cette pratique dans les conditions soudanaises s est révélée très efficace pendant la récolte et facilitera la récolte de coton-graine propre. Elle a en outre permis de faire l économie des deux derniers traitements. La densité des cotonniers en culture a été étudiée en relation avec l augmentation de la population des aleurodes. Il a été mis en évidence que la densité optimale des cotonniers était égale à plants/ha, la population d aleurodes étant inférieure à celle observée lorsque la densité était de plants/ha. Une corrélation positive significative a également été mise en évidence entre le couvert végétal et le nombre d aleurodes à tous les stades de développement. Les variétés dont la surface du couvert végétatif était ouverte étaient celles dont les populations d aleurodes étaient les plus faibles. Sélection de variétés de coton pour la tolérance à l aleurode Les objectifs principaux du programme de sélection étaient de manipuler les caractéristiques morphologiques et physiologiques du cotonnier de façon à créer des conditions défavorables à l accroissement de la population des aleurodes pour permettre une lutte biologique, un contrôle des insectes reposant sur des pratiques culturales ainsi qu une lutte efficace à l aide d insecticides. Les caractères du cotonnier, à savoir une feuille okra, un appareil végétatif glabre, une fleur sans nectaire et une teneur importante en gossypol étaient transférés soit isolément soit en association sur les variétés G. hirsutum à l aide de la méthode d amélioration par croisement en retour ou «backcross» (Khalifa 982). Les lignées créées ainsi que les variétés courantes utilisées comme témoins étaient testées pendant trois campagnes successives dans le centre de recherche de la Gezirah selon un plan de blocs complets randomisés afin de comparer les infestations d aleurodes et le degré de collage du coton. Les essais étaient réalisés en parcelles isolées sans utilisation d insecticide. Des comptages d aleurodes étaient effectués à intervalles hebdomadaires pendant environ 8 semaines et les données étaient transformées et soumis à une analyse statistique (Khalifa et Gameel 982). Les résultats obtenus indiquent que le Actes du séminaire, 4-7 juillet 200, Lille, France 7

5 cotonnier à feuille de type okra, à corps végétatif glabre, à fleur sans nectaire et à forte teneur en gossypol présente une population d aleurodes significativement inférieure à celle observée avec les autres témoins (figure 3). Ce résultat était étayé par un grade de collage plus faible. Cette lignée a par la suite été commercialisée sous le nom de variété Sudac K. Des tests supplémentaires ont montré qu il existait une corrélation positive entre la pilosité et le nombre réduit d aleurodes adultes par feuille, et de larves et de nymphes par unité de surface ; une pilosité faible joue un rôle majeur dans le mécanisme de tolérance à l aleurode et, associée à la feuille de type okra, se traduit par plus de 60 % de tolérance. Le parasitisme observé pour la variété Sudac K était de 30 % supérieur à celui de la variété Barac (67) B. L augmentation de la population d aleurodes de la variété Sudac K n a pas dépassé 200 à 300 adultes pour 00 feuilles alors que des pics de plus de 000 adultes pour 00 feuilles étaient observées dans les variétés courantes. Le parasitisme par les larves observé pour la variété Sudac K était de 30 % supérieur à celui de la variété Barac (67) B, la fouille de la plante-hôte et l attaque de l aleurode par les parasites étant supérieurs sur un feuillage glabre que sur un feuillage poilu. Sudac K a une surface de couvert végétale ouverte avec une surface foliaire totale moindre et une meilleure pénétration des rayons du soleil par comparaison avec Barac (67) B. Cette surface de couvert végétal ouverte a entraîné une humidité relative plus basse et une température plus élevée. Il est bien connu qu une chaleur sèche crée des conditions microclimatiques défavorables à la reproduction de l aleurode (Sippell, Bindra et Khalifa 983). L avantage de la surface de couvert végétal ouverte de Sudac K est qu elle permet une pénétration des insecticides bien meilleure et plus efficace, particulièrement au dernier stade de développement de la plante, alors que la surface de couvert végétal de Barac (67) B est presque fermée (figure 4). A fortes concentrations, le gossypol rend la sève désagréable, ce qui entraîne une résistance de type antibiose vis-à-vis des insectes piqueurs-suceurs, et par conséquent une sousalimentation et, dans certains cas, la mort de l aleurode juvénile ou adulte. Lors d un autre essai, l effet d un traitement sur l augmentation de la population d aleurodes et le degré de collage ont été étudiés sur Sudac K et Barac (67) B. La population des aleurodes était comptée avant et après le traitement. Le tableau 5 montre des différences importantes entre Barac (67) B et Sudac K, variété pour laquelle les décomptes étaient faibles aussi bien avant qu après le traitement. Ce résultat est reflété par les grades de collage faibles obtenus pour Sudac K. De plus, un nombre de seulement 4 traitements par campagne est apparu comme suffisant pour lutter contre l infestation d aleurodes. Pour Barac (67) B, 6 à 7 traitements ont été nécessaires pendant la période de végétation (figure 4). Le tableau 5 fait ressortir l efficacité d un traitement de Sudac K par comparaison avec Barac (67) B. L étude des caractères agronomiques de Sudac K montre clairement que le rendement du coton-graine n est pas statistiquement différent de celui de Barac (67) B, mais il est inférieur de 5 à 0 % à celui de Barac (67) B. Cette différence de rendement peut être compensée par le prix plus élevé d un coton non collant. La différence en termes de nombre de traitements (2 à 3 traitements de moins que pour Barac (67) B) constitue une autre compensation financière d un rendement plus bas. Le poids de la capsule et les caractéristiques de la fibre de Sudac K sont identiques à ceux de Barac (67) B. 72 Séminaire de fin de projet Improvement of the marketability of cotton produced in zones affected by stickiness

6 Références bibliographiques Ali. N. A and H. Khalifa. (980). Devolpment of methods to measure cotton stickiness. Cot. Fib. Trop. xxxv, Gameel. O. I. (982). Insect pests of cotton and measure of control in the Sudan. Symposium on cotton production and marketing. Khartoum. Sudan. PP.22. Khalifa. H. And Gameel. O. I. (982). Breeding cotton varieties resistant to whitefly (Bemesia tabaci "Genn"). Symposium on cotton production and marketing. Khartoum. Sudan. PP.9. Khalifa. H. (980). Cotton stickiness. Paper presented before the Constituents Assembly of The International Committee for Cotton Testing, Bremen- Germany. Khalifa. H. (982). Variation of cotton stickiness and methods of sampling. Proc. of International Committee for Cotton Testing Conference. Bremen- Germany. Khalifa. H. (982). The control of cotton stickiness through breeding resistant cotton varieties to whitefly (Bemesia tabaci "Genn). Proc. of workshop of Advisory Group Meeting on the use of Nuclear Techniques for the improvement of oil seeds and other industrial crops. Proc. IAEA/FAO P , Dakar-Senegal. Sippell. Bindra. O. and Khalifa, H (983). Resistance to whitefly (Bemesia tabaci "Genn") in cotton. Working paper on the FAO/UNEP project in IPM.Sudan. Tableau : Distribution du miellat dans la même plante. Variété de coton Barac (67)B. Position Sucres solubles totaux mg\00 gm fibre Haut 50 Milieu 587 Bas 62 Tableau 2 : Variation du collage du coton récoltes et lieux de prélèvement à l intérieur du même champ, variété de coton Barakat. Lieux de Collage du coton prélèvement Mg\00 gm fibre Grade Sud 602 Nord Est Ouest Centre/s Centre/n Erreur-type = Récolte I Récolte II Récolte III Erreur-type = + 26 Actes du séminaire, 4-7 juillet 200, Lille, France 73

7 Tableau 3 : Variation du collage du coton en fonction du cultivar et du lieu de provenance Cultivar Turabi Hag Abdalla Mg / 00 g fibre Grade Mg / 00 gm fibre Grade Longues soies : Barakat VSA Huda Maryould Moyennes soies : Barac (67) B Barac (69) 2 Moyenne Erreur-type Tableau 4 : Distribution intra-balle du miellat, Variétés de coton Barakat et Barac (67) B. Position Sucres solubles totaux (mg/00 gm fibre) Barakat Barac (67) B Haut Bas Droite Gauche Avant Arrière Tableau 5 : Réponse aux insecticides des variétés de coton Sudac K et Barac (67)B, 982/83 : Nombre moyen d aleurodes adultes sur 00 feuilles : Après transformation racine carrée des données (moyennes réelles indiquées entre parenthèses) Traitement Moyenne de 5 comptages avant démarrage du traitement Comptages avant traitement ; moyenne de 8 comptages (un comptage avant chacun des 2 ème au 4 ème traitements Comptage après traitement ; moyenne de 4 comptages (un comptage après chacun des er au 4 ème traitements) Rendement global au cours de la campagne (moyenne de 20 comptages du /09/982 au 9/0/983 Barac (67)B traité 3,76 (89,8) 22,27 (496,8),8 (40,8) 8,3 (333,8) Barac (67)B non traité 4,5 (209,5) 53,37 (285,0) 43,2 (87,3) 40,8 (668,7) Sudac K traité 8,00 (64,0) 5,35 (236,3) 6,6 (43,3),6 (36) Sudac K non traité 6,88 (48,5) 24,88 (620,5) 23,5 (522,0) 20,6 (426) Erreur-type + + 0,6635 0,828 0, Séminaire de fin de projet Improvement of the marketability of cotton produced in zones affected by stickiness

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie

TABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL

i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL voitures / desktop à technologie NCCO FR Modèle: WS908 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIERES Informations Importantes

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

Changement de campagne

Changement de campagne Sommaire Identification... 3 Saisie de vos identifiants de connexion... 3 Choix du service... 4 1) Créer son nouveau parcellaire... 4 2) Visualiser l ancienne campagne... 5 3) Regrouper des parcelles...

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, les premières larves sont visibles dans les tiges, l Héliothis est toujours présent. Betteraves sucrières

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LE COMMERCE DU MAÏS AU MALI

FICHE TECHNIQUE SUR LE COMMERCE DU MAÏS AU MALI Afrique Verte BP : E404 - Bamako - Mali. Rue : 232 Porte : 754 Tel : (223) 221 97 60/ 221 57 69/ 221 57 79 Fax : (223) 221 34 11 E-mail : afriqueverte@afribone.net.ml http://www.afriqueverte.org FICHE

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5 B. NOTICE 1/5 NOTICE COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de petite taille et chats COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de grande et moyenne taille 1. NOM ET ADRESSE DU TITULAIRE DE L AUTORISATION DE

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Bulletin d information

Bulletin d information Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont

Plus en détail

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15

Estimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15 17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Association nationale de la meunerie française

Association nationale de la meunerie française Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, mais les premières larves sont visibles dans les tiges, peu d Héliothis cette semaine. Betteraves sucrières

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée.

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée. /01 TABLE DES MATIÈRES 1.0 Introduction 1.1 But 1.2 Portée 1.3 Généralité 1.4 Matériel 2.0 Méthodes/Processus 2.1 Général 2.2 Systèmes de détection 2.3 Principes généraux du contrôle de la vermine 2.4

Plus en détail

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.

Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06. FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE

FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 METHODE DE POSE ET DE DEPOSE Film de Protection Solaire FILM AUTOMOBILE MATERIEL NECESSAIRE Un PULVITRE (pulvérisateur (11 litres) Une raclette MARJO

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Semis direct du maïs

Semis direct du maïs Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Contre les Insectes en Général

Contre les Insectes en Général les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour

Plus en détail

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques

Plus en détail

De Mes p@rcelles à Télépac

De Mes p@rcelles à Télépac En suivant étape par étape les indications de cette fiche technique vous pourrez transférer en quelques clics votre assolement de mes p@rcelles vers TéléPAC 2014. Ensuite, vous aurez simplement à remplir

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE

Plus en détail

Bibliothèque Royale Albert 1er

Bibliothèque Royale Albert 1er Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte?

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? En culture de maïs, le pourcentage de surfaces traitées avec un insecticide avoisinne actuellement les 3

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement. Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois

Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement. Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois Partie 3 Mise au point des solutions d aménagement Rapport du Groupe de travail sur la diversité forestière et l approvisionnement en bois La collecte de renseignements utiles aux prises de décisions au

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Évaluations aléatoires : Comment tirer au sort?

Évaluations aléatoires : Comment tirer au sort? Évaluations aléatoires : Comment tirer au sort? William Parienté Université Catholique de Louvain J-PAL Europe povertyactionlab.org Plan de la semaine 1. Pourquoi évaluer? 2. Comment mesurer l impact?

Plus en détail

ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES

ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES VOUS VOULEZ DIVERSIFIER VOS ACTIVITÉS? VOUS DÉSIREZ UN APPROVISIONNEMENT GARANTI POUR VOTRE ENTREPRISE? DÉVELOPPER DE PLUS GRANDS MARCHÉS ET DISCUSTER DIRECTEMENT AVEC LES CONSOMMATEURS?

Plus en détail

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot

Protocoles pour le suivi des pontes de tortues marines dans le cadre de Protomac. Professeur Marc Girondot Muséum National d'histoire Naturelle de Paris Département de Systématique et Evolution Laboratoire des Reptiles et Amphibiens 25 rue Cuvier 75005 Paris & Laboratoire Ecologie, Systématique et Evolution

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail