Les marais salés (document complémentaire)

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1 RESSOURCES PEDAGOGIQUES & DOCUMENTAIRES Maison de la baie relais de Vains L ESPACE TERRESTRE Document 17 Les marais salés (document complémentaire) Les marais salés sont plus communément appelés prés-salés ou herbus par les utilisateurs ou encore schorre par les scientifiques. Tous ces termes désignent de vastes prairies occupant la zone supérieure de balancement des marées. Avec près de 4000 hectares répartis en plusieurs unités, le baie du Mont-Saint- Michel détient la plus importante superficie de prés-salés des côtes françaises. Le comblement naturel de la baie et la formation des marais salés Depuis que la baie est submergée par la mer, cela fait 8000 ans, les sédiments s accumulent naturellement autour du Mont-Saint-Michel. Ces sables fins apportés par le flux ne sont pas tous repris par le reflux. Sans cesse remaniée par le jeu des marées, des courants et par les dépôts consécutifs d impressionnantes masses de sédiments, la baie du Mont-Saint-Michel a subi depuis des siècles, l influence des activités de l homme. En effet, depuis le Moyen-âge, le trait de côte de la baie évolue en fonction des interventions humaines : endigages successifs qui ont permis la mise en place progressive des marais de Dol ( ha) et des polders récents (2 800 ha), aménagements divers tels que : canalisation du Couesnon, construction de la digue route, édification du barrage de la Caserne. Ces travaux ont fortement modifié l équilibre dynamique de la baie, accélérant son colmatage par des sédiments que ne peuvent plus enlever ni les fleuves ni les marées. Actuellement les dépôts sédimentaires continuent au rythme de m3/an et l extension des marais salés se poursuit au rythme moyen de 25 à 30 nouveaux ha/an. La progression la plus spectaculaire des marais salés se situe autour du Mont-Saint-Michel, menacé d être enclavé au milieu des terres. Cette situation a provoqué une réaction : tenter d enrayer ce problème d atterrissement autour du Mont. Le projet de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, qui a débuté en 2006, vise essentiellement à stopper l avancement des prés-salés autour du Mont-Saint-Michel, avec un barrage chasse d eau sur le Couesnon, la partition du Couesnon en deux bras de part et d autre du Mont-Saint-Michel et la suppression partielle de la digue route afin de maintenir la circulation d eau autour du Mont. Organisation et constitution des marais salés Les plantes qui constituent le marais salé sont adaptées à la présence de l eau salée. Elles sont dites «halophiles» (qui tolèrent le sel) présentant ainsi des adaptations remarquables pour vivre dans ces conditions difficiles qui se rapprochent de celles des algues (la spartine, véritable plante à fleurs, peut supporter jusqu à 9 heures de submersion). 1 /8

2 En fonction de leur tolérance à la fréquence des inondations et à la salinité, les plantes s organisent dans l espace, se relaient de la mer vers la terre, en créant une zonation. Cette organisation peut être représentée schématiquement ainsi : Les plantes pionnières, celles qui sont capables de coloniser le sédiment nu, sont peu nombreuses. Seules, la spartine, la soude et la salicorne annuelle sont capables de s installer, contribuant ainsi à stabiliser, voire à favoriser le dépôt des sédiments. Toutefois, il est important de préciser que la végétation n est pas à l origine du colmatage de la baie ; elle participe secondairement à la sédimentation et à sa stabilisation. La spartine anglaise, espèce vivace, se développe rapidement à partir de quelques touffes pionnières et forment de véritables petites buttes surélevées par piégeage des sédiments. Espèce hybride, elle n est apparue en France qu au début du XXème siècle et vers 1930 en baie du Mont-Saint-Michel, où elle a rapidement progressé au détriment de l espèce indigène, la spartine maritime, maintenant disparue. Les buttes à spartine se diversifiant vont permettre à d autres espèces de venir s installer : d abord la puccinellie qui formera un tapis herbacé continu puis l obione qui remplacera à terme la puccinellie. En remontant côté terre, la diversité des espèces végétales s accroît. La microtopographie, la nature du substrat (tangue, cordon sableux, cordons coquilliers) et les arrivées d eau douce sont autant de facteurs qui contribuent à diversifier la flore. Un inventaire de la flore et des groupements végétaux des marais salés de la baie du Mont-Saint-Michel a été réalisé en 1979 par J.M. GEHU. 67 espèces végétales ont été recensées (liste des espèces indiquées ci-contre). Parmi les plus communes : la spartine, les salicornes (plusieurs espèces), la puccinellie, l obione, la soude, l aster, la fétuque rouge, le chiendent maritime, le jonc de Gérard Plusieurs espèces rares sont présentes également comme l obione pédonculée (espèce figurant sur la liste nationale des espèces protégées). L intérêt botannique des prés-salés de la baie du Mont-Saint-Michel s avère exceptionnel. 2 /8

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4 Le rôle des marais salés dans la richesse biologique de la baie La baie du Mont-Saint-Michel est une baie vivante caractérisée par des richesses naturelles exceptionnelles reconnues par plusieurs inventaires scientifiques et faisant l objet d un panel de protections réglementaires (sites classés et inscrits Ramsar, UNESCO, Natura 2000, loi littoral, réserve de chasse ) : - elle est une nurserie de premier plan pour de nombreuses espèces de poissons : soles, plies, raies, bars, mulets - elle est une zone de production de cultures marines conséquente au niveau nationale avec tonnes de moules de bouchots et 6000 tonnes d huîtres produites par an. - elle est une zone d hivernage et de nidification pour de nombreux anatidés (canards et oies) et limicoles. - elle représente le plus vaste gisement de récifs d hermelles de toutes les côtes européennes. - les rivières Sée et Sélune ont une réputation nationale pour la pêche au saumon. Une telle richesse biologique, pose alors la question suivante : quelle est la source de matière organique produite, nécessaire à tous ces organismes vivants, qu ils soient sauvages ou bien issus d élevage? Comment est-elle produite? Il s avère que les marais salés sont des producteurs de matière organique. La matière organique est exportée vers la mer principalement sous forme dissoute et secondairement sous forme de particules. Il se produit également une exportation de nutriments (1 ha de marais salés est capable d exporter 50 kg de nitrate par an) L essentiel de ces transferts vient enrichir les vasières de la baie sur lesquelles à marée basse, grâce aux nutriments et à la matière organique dissoute, se développe une microflore abondante, à base de microalgues benthiques, les diatomées. Ces dernières sont la nourriture de base des huîtres, moules, coques et de nombreux invertébrés sauvages, ces derniers servant à leur tour de proies aux poissons qui fréquentent la baie et aux milliers d oiseaux qui hivernent. Dés lors le paradoxe des projets successifs de désensablement devient évident : pour préserver le caractère maritime du Mont, on a voulu pendant des années se débarrasser de vastes étendues de marais salés alors que ces écosystèmes jouent un rôle important dans le fonctionnement de la baie. 4 /8

5 Utilisation des marais salés : activités et usages L usage agricole Le pâturage Le pacage des marais salés est une pratique ancestrale, dès le XIème siècle les moines faisaient pâturer des moutons en baie. Cette tradition s est maintenue au fil des siècles. Si la race «grévine» a été largement croisée avec d autres races (Suffolk, vendéen, Roussin ) pour améliorer la qualité bouchère, il n en reste pas moins que la qualité gustative des moutons produits est telle, qu une Appellation d Origine Contrôlée (AOC) vient de voir le jour. Les 4/5 des prés-salés sont pâturés par moutons en hiver et moutons en été en comptant les agneaux. Le pâturage n est pas le seul fait des moutons, puisque côté normand, bovins, équins, mais aussi oies, sont engraissés sur les herbus. Des oiseaux vont utiliser également les marais salés, c est le cas des bernaches cravants, qui de novembre à mars, vont pâturer pour se nourrir de puccinellie. Il est difficile de définir précisément la pression du pâturage sur l herbu. En effet la fréquentation y est variable dans le temps et en chaque secteur, du fait des déplacements journaliers des troupeaux et des variations saisonnières ou liées au coefficient de marée. Du fait de ces disparités d une commune à l autre, il existe des divergences de vue quant à l application d un barème de pacage pour les activités agricoles. Les conditions d usage pour les éleveurs peuvent être différentes selon la commune concernée mais dans la plupart des cas il s agit d une autorisation d occupation temporaire - AOT - délivrée par l Etat et d une redevance afférente. Le fauchage Il s exerce sur plusieurs herbus : à Genêts, sur le grand herbu de Vains, sur l aérodrome au Val-Saint-Père, à la Maraîcherie, prés de la pointe de la Roche Torin et enfin, sur le grand herbu ouest (dans la réserve de chasse maritime). Les coupes de fourrage ont été évaluées en 1986 à environ 200 tonnes sur l herbu à l ouest du Couesnon. Ces fauchages sont l objet d interventions privées et ne font l objet d aucune autorisation. Ces fauchages contribuent à l entretien de l herbu et à sa diversification. Les extractions de tangue Les extractions de tangue sont l objet d un régime particulier qui a été formalisé dans un cahier des charges. Sont concernées par le cahier des charges des extractions de type artisanal ou agricole, avec un seuil de prélèvement de m3. Au-delà de ce volume, tout projet d extraction fera l objet d une étude d impact spécifique. 5/8

6 Pour l année 1993, quatre pétitionnaires ont été autorisés à extraire des tangues sur les zones d extraction suivantes : Flaget à Céaux, Argennes et Mirey au Val- Saint-Père et la Vacquerie à Vains. La chasse maritime La chasse à la passée se pratique surtout le soir sur les herbus, au moment où les canards rejoignent leur zones de gagnage. L activité de chasse au gabion apparaît plus intense au moment des passages migratoires et lors des vagues de froid. Le prélèvement annuel des 37 gabions pour l année a été de l ordre de canards. Les principales espèces du tableau de chasse sont : la sarcelle d hiver et le canard siffleur, ainsi que le canard colvert, souchet, pilet, chipeau, les oies grises, les sarcelles d été. La chasse sur le DPM (Domaine Public Maritime) est exploitée par voie de location amiable consentie par l Etat à deux associations : - l Association de Chasse Maritime (ACM) de la baie du Mont-Saint-Michel, dont le siège est à Avranches, loue un lot de chasse compris entre le phare du Roc et la limite départementale Manche/Ile et Vilaine. La location a pour objet l exercice de la chasse à tir, à la botte et à la passée du gibier d eau. La chasse à l affût est autorisée pour 19 gabions. - L Association des Chasseurs de Gibier d Eau d Ile et Vilaine (ACGEIV), dont le siège social est à Rennes. La chasse à l affût est autorisée pour 18 gabions. La création d une réserve de chasse maritime en 1979 a limité le nombre de gabion puisque 29 gabions étaient autorisés avant la création de la réserve. La réserve de chasse maritime a un intérêt majeur pour les oiseaux d eau (limitation des prélèvements, suivi des populations ).Malgré le statut de protection dont il bénéficie, l herbu de la réserve de chasse maritime présente une capacité d accueil limité pour les oiseaux d eau en raison de ses faibles ressources trophiques liées à une modification de la végétation, consécutive à une diminution du pâturage ovin et à une tendance à l exhaussement. C est la raison pour laquelle un aménagement à titre expérimental d un secteur de 50 ha a été réalisé en vue d augmenter la fréquentation de la Réserve par les oiseaux d eau, particulièrement les canards et les oies. Il est localisé à cheval sur les deux départements de la Manche et de l Ile et Vilaine. Des travaux lourds ont été engagés dès 1996 : création de plans d eau, extension de cuvettes existantes, travaux d entretien chaque année par broyage de la végétation haute, entretien de la zone assurée par un pâturage ovin plus ou moins régulier tout au long de l année. L ensemble des résultats du suivi ornithologique et botanique de cet aménagement témoigne de la bonne gestion actuelle du site et conforte le bien fondé de ces travaux de restauration d un milieu en dégradation croissante depuis quelques années à l ouest du Mont-Saint-Michel. Le suivi de l avifaune prouve notamment que ce type d aménagement des herbus, bien que limité dans l espace, est bénéfique non seulement aux anatidés hivernants mais aussi aux limicoles nicheurs. 6/8

7 Les activités de loisirs Ces activités sont localisées par secteur d herbu correspondant à une ou plusieurs communes. Il va s agir de fêtes locales, de pique-nique et balades familiales, des départs de randonnées, et des pêcheurs à pied. (Chapelle Ste Anne, Roz sur Couesonon, Val St Père, ) D autres activités s y pratiquent comme les activités hippiques, avec des pistes d entraînement, des hippodromes comme à Marcey les Grèves, Vains et Genêts. Ces structures hippiques disposent d une autorisation d occupation temporaire. Ces activités sont plus ou moins, selon le lieu, source de nuisance visuelle ou auditive, et certains herbus subissent parfois lors de manifestations (également stationnement sur l herbu) un fort piétinement. Impact de l utilisation des marais salés sur la richesse biologique de la baie La zonation des marais peut être influencée par des activités agricoles telles que la fauche ou le pâturage. En baie, quelques dizaines de hauts marais sont fauchés tardivement (agropyron, fétuque rouge), ce qui favorise la reproduction d un oiseau en forte régression, la caille des blés. En baie, le pâturage par les moutons est sans doute le facteur qui entraine le plus de perturbations. On peut différencier 2 types de marais salés en baie du Mont Saint-Michel Les marais salés non pâturés, dont la composante floristique principale est l obione, sont favorables à la présence des poissons à l image des mulets, des gobies et des tous jeunes bars qui viennent s y nourrir. Ces derniers viennent chasser un petit crustacé, Orchestia, qui, par ailleurs, joue un rôle dans la décomposition de l obione, la plante la plus productive des marais salés. Ce régime presque exclusif des bars la première année suffit à expliquer à lui seul jusqu à 90% de leur croissance. Ces marais non pâturés sont, par ailleurs, plus exportateurs d éléments dissous parmi lesquels se trouvent aussi des osmoprotecteurs. Ce faisant, ils contribuent à la production marine de la baie. L une de ces productions phare est l élevage des moules sur bouchots qui a obtenu dernièrement un label AOC. 7 /8

8 Les marais salés pâturés, nettement majoritaires, sont le support d une production agricole de moutons de prés-salés très réputée justifiant sa demande d obtention d un label AOC. Les 4/5 des marais salés de la baie sont pâturés avec un cheptel évalué à brebis. Le pâturage par les moutons favorise le développement de la puccinellie (herbe à mouton) au détriment de l obione qui résiste mal au piétinement des moutons. Le pâturage de ces marais salés favorise l accueil des canards siffleurs et des bernaches cravants dont l alimentation est basée sur la puccinellie. Une demande d obtention d une AOC a été mise en place pour favoriser le maintien de cet élevage dont l intérêt est à la fois économique mais également écologique puisque, grâce à lui, la baie constitue une zone privilégiée pour l accueil de certains oiseaux d eau. Un équilibre doit être trouvé entre l utilisation agricole des marais salés et le maintien de marais naturels, puisque pour les chasseurs et les protecteurs de la nature, maintenir l élevage du mouton est une nécessité pour avoir des oiseaux présents sur le marais salés ; ce qui ne fait pas l affaire des pêcheurs, intéressés par la production de poisson, qui préfèrent donc que le pâturage cesse pour que le marais à obione retrouvent sa place. La forte contribution des marais salés au fonctionnement global de la baie pose la question de leur évolution future. Un nouveau problème apparaît alors : il s agit de l extension très rapide d une plante caractéristique des hauts marais, Elytrigia ou chiendent, qui envahit les formations de moyen marais. Ainsi, sur certains secteurs de la baie le chiendent a triplé sa zone d emprise en 10 ans. Le risque de cette invasion pourrait conduire à un bouleversement du fonctionnement des échanges évoqués précédemment, de même qu une remise en cause des possibilités d accueil des canards et bernaches en hivernage. Direction des Sites et Musées Départementaux Conseil général de la Manche 8 /8

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