COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 2 e COMITE DE PILOTAGE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 2 e COMITE DE PILOTAGE"

Transcription

1 RÉPUBLIQUE TOGOLAISE MINISTÈRE DE LA PLANIFICATION DU DEVELOPPEMENT ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE UNION EUROPÉENNE FONDS EUROPÉEN DE DÉVELOPPEMENT PROJET D APPUI A LA SOCIETE CIVILE ET A LA RECONCILIATION NATIONALE COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 2 e COMITE DE PILOTAGE Date de réunion : 18 février 2014 Rédacteurs : Josiane CHAHOUNKA, Sinaï AHOKOTI Relu par : les participants Présents Djossou SEMONDJI Nicolas BERLANGA Stéphane MEERT Wim VANDERNBROUCKE Georgios TSOPANAKIS Atama DJAMENA Yaovi SAVI Léon AMOUZOU Atoum TCHAKPELE Kondoh KOTA Paul KANFITINE Aristide DJENDA Claire QUENUM Confort KABISSA LAMBONI Ayéfoumi OLOU-ADARA Claudine KPONZO AHIANYO Christophe COURTIN Armel KASSIGNIN Sinaï AHOKOTI Josiane CHAHOUNKA Roberta CAIN Destinataires : participants Organisme Lieu : CASEF Réf : CR/104/2014 Ministère chargé de la planification, du développement et de l aménagement du territoire (MPDAT), Ministre, Ordonnateur National du Fond Européen de Développement Délégation de l UE au Togo, Ambassadeur Délégation de l UE au Togo, Chef de section gouvernance/ économie Délégation de l UE au Togo, Chef Finance/contrats Délégation de l UE au Togo, Chargé de programme CAON/ MPDAT, Chargé de programme Economie CAON/ MPDAT, Chargée de programme Gouvernance CAON/ MPDAT, chargé informatique et communication Ministère du développement à la base(mdbajes) PDLP-ONG/ MPDAT, Chef de Division pi CDD, FNRR, société civile UONGTO, société civile WILDAF Togo, Société civile REFED, Société civile CTOP, CPC, société civile WANEP Togo, société civile PASCRENA, Chef de projet PASCRENA, Responsable Administratif et Financier PASCRENA, Expert suivi évaluation et communication PASCRENA, Expert société civile PASCRENA, Stagiaire Organisme Annexes : 1. Power point bilan DP1 2. Power point DP2 3. Note conceptuelle sur le film. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

2 En introduction à la réunion, le Ministre auprès du Président de la République, chargé de la Planification, du Développement et de l Aménagement du Territoire(MPDAT), Ordonnateur National(ON) du FED a adressé ses mots de bienvenue à tous les participants en adressant ses souhaits de bon déroulement de la réunion. Ensuite il a présenté l ordre du jour. Le Chef de projet a apporté des précisions concernant les points à aborder dans la rubrique «Divers». L ordre du jour adopté est le suivant : 1. Bilan du DP1 2. Point sur l Appel à propositions 3. Présentation du DP2 4. Divers (Film sur l histoire du Togo ; Elections 2015) Les points à l ordre du jour ont ensuite été abordés. 1/ Bilan du DP1 : Par Christophe Courtin et Armel Kassignin Suivi technique par Christophe COURTIN : Mr Courtin présente les résultats et les activités un a un Il précise que ces informations sont contenues dans le rapport d activité au 31 décembre 2013 qui a été remis à chaque participant avant la réunion. L on note que la plupart des activités a été engagé et est terminée. Quelques activités n ont pu être réalisées sur le DP1. D une manière générale, la mise en œuvre du DP a bien avancé et le taux de réalisation est de près de 90 %. (Voir Powerpoint joint). Suivi financier par Armel KASSIGNIN : (Voir Powerpoint joint) Globalement, la Convention de financement est engagée à 88 % (après avenant de réaffectation des fonds). Echanges suite à ces présentations : L Ambassadeur de l UE souligne la qualité de la présentation avant d aborder quelques éléments importants : - On note depuis quelques temps une montée de la présence médiatique du PASCRENA notamment du Chef de projet. Cette visibilité accrue est positive mais mériterait d être réorientée au travers des bénéficiaires du PASCRENA afin de montrer dans l espace public l appropriation du programme par la société civile. - Concernant les élections de 2015, la DUE a mené des réflexions sur le sujet et le PASCRENA interviendra en tant que facilitateur auprès des acteurs de la société civile. Compte tenu des enjeux, le PASCRENA devra bien veiller à préserver son rôle d opérateur technique. - Concernant les Etats généraux de la société civile, et les cinq thématiques retenues, la question foncière apparait comme primordiale car cette question transversale est au cœur d autres initiatives et débats en cours et il faudrait trouver la complémentarité entre les diverses initiatives. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

3 - Sur l Appel à propositions, il s avère important de réfléchir à un dispositif qui permette d avoir une lisibilité et une visibilité des actions au moment de la signature des contrats et à la fin du processus. - Pour une plus grande visibilité des actions de l UE et du PASCRENA, des initiatives seront prises dans le cadre du DP2 pour une plus grande présence dans les Universités car les étudiants et le public de ces universités sont les futurs leaders du pays. - Une place de l Europe sera aménagée dans le périmètre du siège de la DUE. Cette place sera une vitrine des activités de l UE. Le PASCRENA sera bien évidemment invitée à apporter sa contribution. - Enfin, il s avère nécessaire d envisager une future réunion plus conceptuelle CAON/DUE/PASCRENA pour approfondir certains points du DP2. L Ambassadeur de l UE ayant d autres obligations s est excusé. Il n y a pas eu d autres commentaires suite à la présentation du bilan du DP1. L ordonnateur National adresse ses félicitations à l équipe de l UGP et aux différents acteurs et en appelle à la consolidation des résultats et à une vraie appropriation du programme par les acteurs de la société civile. 2/Point sur l Appel à propositions 255 propositions ont été reçues. Le Comité de sélection en a présélectionnées 55 pour la 2eme phase. Les réponses sont attendues le 27 mars. Les auditeurs et formateurs de proximité joueront un rôle de suivi dans le cadre de cet appel. Ce choix permet d utiliser les fonds de renforcement des capacités (Axe 2) pour le suivi des projets issus de l appel à proposition. Ainsi les fonds prévus pour l appel à proposition n ont pas été entamés par le système de contrôle. En octobre dernier l appel à proposition de projets a été présenté dans chacune des 35 préfectures du pays. Il est intéressant de constater que la recommandation 28, celle sur le foncier est la première citée. Elle représente 25% des propositions. Viennent ensuite la recommandation 27 sur le fonctionnement des chefferies et la 33 sur la participation citoyenne. La réforme des institutions vient en dernière position. Ces chiffres sont consultables sur le site. Les sujets de plaidoyers portés par les 55 sélectionnés présentent les mêmes proportions que les 255 propositions : le foncier, puis la réforme des chefferies et enfin la participation citoyenne. Une trentaine de contrats de subvention seront signés en avril et les bénéficiaires auront 12 mois pour mener à terme, comme ils le souhaitent leur projet de plaidoyer dans l espace public. Par ailleurs ces projets de plaidoyer seront portés pendant la campagne pour le scrutin 2015, il faudra veiller à ce qu ils ne contribuent pas à la polarisation du débat public. 3/ Présentation du DP2 : Par Christophe Courtin et Armel Kassignin Le Chef de projet estime que le DP2 ne sera pas présenté de façon linéaire comme d habitude. La présentation s est faite en rappelant les activités autour de 3 dimensions : (Cf power point) - Les activités qui prolongent le DP1 - Les activités qui développent le DP1 - Les activités nouvelles Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

4 Concernant le budget, Mr Kassignin le présente et souligne la nécessité de demander un avenant en cours de réalisation du DP2 en vue de compléter les montants de certaines lignes. A la suite des présentations de Mr Courtin et de Mr Kassignin, l Ordonnateur national passe la parole aux participants pour des questions/ commentaires. Echanges suite à la présentation du DP2 Mme Kabissa demande si une OSC bénéficiaire d une subvention dans le cadre de l Appel à propositions peut aussi bénéficier d une subvention «attribution directe»? Si oui doit-elle reprendre la procédure? Mme Ahianyo, souhaite que Mr Courtin explique partenaires» ce qu il entend par «injonction des Mr Olou-Adara s interroge à propos de l activité «participation des OSC aux évènements internationaux» Mr Meert explique que «injonction des partenaires» veut certainement dire «interpellation». Il demande à l UGP d expliquer ce que sera le rôle de l Observatoire de l Appel à propositions prévu dans le DP2. Mr Djaména souhaite avoir des précisions concernant le film Mr Djenda demande si le DP, qui a déjà été signé, est susceptible de modifications. De même il souligne qu une ligne «accompagnement des OSC suite aux audits» aurait dû être prévue. Il ne comprend en outre pas pourquoi la réalisation d un film est intégrée dans l Axe 2 : «renforcement des capacités». Enfin, il souhaite savoir ce que recouvre le thème «rôle de coalition des OSC». Mr Kanfitine s étonne de ne pas noter la prise en compte de la préoccupation de l Ambassadeur de l UE concernant la présence de l UE dans les Universités au sein du DP2. Mr Courtin prend la parole pour répondre aux diverses interrogations : Il indique que le thème «interpellation «des PTF est mieux approprié que «injonction» et explique que cette préoccupation est contenue dans la stratégie de plaidoyer de certaines faîtières et qu il s agit d interpeller les PTF concernant leurs propres engagements. Pour les «évènements internationaux», Mr Courtin explique que l idée c est la participation de la société civile togolaise aux dynamiques de la société civile au niveau africain et international, car les problèmes rencontrés par les citoyens et la société civile dépassent de plus en plus les frontières d un Etat. L objectif est de favoriser l arrimage de la société civile du Togo aux autres acteurs internationaux. Dans la pratique il s agit d assurer une prise en charge des acteurs qui participent à des réunions collectives internationales. Cette prise en charge est subordonnée à une préparation de l OSC avant son départ, un mandat clair à défendre à la réunion, et une restitution au retour. Sur le DP1 quelques subventions ont eu lieu sur cette ligne : Sommet sur les droits de l homme, restitution du Forum social africain, restitution des rapports de la CEDEF etc Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

5 S agissant de l Observatoire de l Appel à propositions, c est dans une logique de capitalisation que cela a été prévu. Comme cela avait été fait pour le «genre», il s agira de faire le point, d analyser le dispositif et les résultats de l Appel à propositions, en vue de produire de la documentation pour le futur voire le prochain programme société civile. C est une logique d observation, de capitalisation et de mémoire. Concernant la présence et la visibilité de l UE dans les lieux de savoir comme les universités, Mr Courtin précise que 2 lignes du DP2 concernent la visibilité même si la précision n a pas été apportée concernant la manière de les mettre en œuvre. Il rappelle que cette activité est possible s il y a une initiative des associations d étudiants, car selon lui, le PASCRENA ne pourra pas, compte tenu de son mandat, répondre favorablement à des demandes institutionnelles, c est-à-dire venant des Universités. Il confirme que le DP2 n est plus modifiable. Compte tenu des contraintes de calendrier et informatiques, il a dû être signé avant la tenue du CoPil. De même, les appuis aux faîtières suite aux audits sont bien prévus dans le DP2. Mme Kabissa regrette à nouveau le fait que le CoPil se tienne juste pour entériner un document déjà validé. Mr Tsopanakis comprend cette difficulté mais fait le constat que par ses méthodes de travail l UGP a veillé à ce que le DP soit bien le résultat d échanges permanents avec les acteurs, même s il n a pas été validé formellement par le CoPil. Il souligne qu il y a encore beaucoup de marges de manœuvre et la flexibilité dans la mise en œuvre des activités du programme. L Ordonnateur National reprend ce point de vue et souligne la participation des OSC à tous les niveaux dans le programme. Même si le CoPil n a pas validé formellement le document, il est tout à fait possible dans la mise en œuvre de faire des aménagements et de faire preuve de flexibilité. Mr Courtin met l accent sur l importance des échanges permanents entre le programme et la société civile. Il regrette effectivement que la signature du DP2 ait eu lieu avant la tenue du CoPil, mais nous avons dû faire face à une réelle contrainte informatique au niveau de Bruxelles en fin d année. Le plus important c est le dialogue et les échanges permanents entre le programme et les acteurs et la capitalisation de tout ce qui est fait. La question de l appropriation soulignée par l Ambassadeur de l UE est primordiale et mérite d être travaillée. Mr Djenda, aussi regrette ce point. Il ajoute concernant les élections que le budget d une centaine de millions prévu parait dérisoire par rapport à la tâche à accomplir dans le cadre de élections. Il souhaite savoir le mode d accès à ce financement concernant les élections. Mr Tsopanakis rappelle que le PASCRENA ne s occupait originellement pas de questions électorales. Pour lui, cette prévision a été faite compte tenu de l importance de cette question pour le Togo. Le montant n est peut-être pas très élevé, mais l UE appuie aussi directement l Etat togolais pour l organisation des élections. Enfin, il souligne que d autres partenaires en dehors du PASCRENA et donc de l UE travaillent sur cette question avec les OSC du Togo. Il n y a plus d autres commentaires concernant la présentation du DP2, l Ordonnateur National passe la parole à Mr Courtin pour les Divers. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

6 4/Divers 1/ Le Film En vue de présenter l idée du Film et de répondre à la question de Mr Djenda concernant ce point, Mr Courtin souhaite rappeler le processus qui a amené le PASCRENA à prévoir ce film dans le DP2. La note conceptuelle a été donnée aux participants. En effet, c est au cours d échanges avec l ancien Ministre de la Culture concernant les questions de réconciliation, que l idée d un film autour de l histoire du Togo et du processus de réconciliation a émergé. Il s agit de favoriser à travers ce film l appropriation du processus par les citoyens togolais dans les régions. L esprit est d amener les faîtières géographiques régionales à jouer leur rôle de mutualisation, de communication et d animation collective, en portant ces questions sur la base du film. Il faudra donc renforcer les capacités des faîtières régionales pour animer au niveau des préfectures la présentation d un tel film. Des discussions sont en cours avec le Ministère de la culture concernant le contenu du film. Pour rappel l Organisation Internationale de la Francophonie vient de publier un Guide des processus de réconciliation. Dans ce guide, la spécificité du processus dans certains pays dont le Togo est expliquée, notamment sur le plan de la mémoire. C est pourquoi il s avère important que le film reste dans cet esprit de mémoire et de documentation des faits. Cependant cela pourrait être délicat dans un environnement comme le Togo. C est pourquoi il faudrait montrer dans ce film comment les choses se font et avancent en terme de réconciliation avec ses difficultés et ses contradictions. Il s agira de témoigner comment la mémoire se libère. Après la production du film, les faîtières régionales seront formées à l animation des échanges et débats devant suivre chaque projection du film. Pour ce faire et pour entamer les démarches, l UGP a envoyé une note conceptuelle à la DUE et à la CAON, à Mgr Barrigah et à l Ambassade de France qui s intéresse aussi à ce sujet, au mois de décembre. Il s agit maintenant pour avancer de mettre sur pied un Comité technique du Film composé d un représentant du Ministère de la Culture, d Universitaires, d un Représentant du Mgr Barrigah, d un Représentant du CoPil membre de la société civile. Ce comité aura pour rôle de réfléchir concrètement au synopsis et au contenu du film. Il appartiendra ensuite aux faîtières géographiques dans les régions d assurer la diffusion et l animation du film dans les préfectures. Une concertation sera faite entre les acteurs de la société civile présents au CoPil pour désigner une personne qui fera partie du Comité. Mr Meert rappelle qu il avait été question de demander une dérogation pour le film auprès de la DUE qui a donné son avis concernant ce point. Mr Courtin répond que si les arguments techniques ne sont pas suffisants pour obtenir une dérogation selon la procédure, l UGP procèdera avec un avis de marché. Mr Meert et Mr Vandernbroucke soulignent que la durée de la dérogation va correspondre à la durée pour effectuer un avis de marché ; de plus la DUE pourrait accorder dans ce dernier cas le raccourcissement des délais. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

7 2/ L appui du PASCRENA pour le suivi des élections de 2015 : (Propositions d activités pour la SC dans le cadre des élections 2015) Mr Courtin reprend la parole pour partager quelques préalables proposés par l UGP et qui sont des activités inhérentes au suivi d une élection. Il rappelle que l UGP a consulté divers acteurs qui travaillent sur ces questions et utilisé une large documentation. Ces points seront en outre précisés à nouveau dans une Note conceptuelle qui servira de base de discussions avec la DUE et la CAON. Il s agit de : - Etude préalable sur la question des listes électorales ; - Etude de cartographie électorale ; - Mise en place d un observatoire des médias ; - Formation de la SC au droit électoral ; - Réunions de sensibilisation à la citoyenneté dans les régions ; - Observatoire de la campagne ; - Observation électorale ; - Travaux de capitalisation à l issue du scrutin. Il souligne en outre qu il est souhaitable que le travail soit fait directement par les acteurs de la société civile. Pour le mode de contractualisation, certaines activités qui s inscrivent dans les demandes de la société civile seront mises en œuvre par des subventions et d autres, qui partent d une demande de l UGP seront mise en œuvre par des contrats de service. Mr Meert souligne que la proposition doit être étudiée dans son ensemble quand la note à produire par l UGP sera prête. Il ajoute que la DUE avait exprimé le souhait qu il y ait des activités de sensibilisation et d éducation au vote, qui sont primordiales au regard du nombre de bulletins nuls obtenus lors des dernières élections législatives au Togo. Mr Djamena souhaite savoir de quels «Travaux de capitalisation à l issue du scrutin» il s agit et qui en sera le destinataire. Mr Courtin explique qu il s agit parlant de travaux de capitalisation des rapports, d un travail documenté qui rappelle les faits. Ce travail de capitalisation va plus loin qu un rapport puisqu il vise à documenter la mémoire. Il sera accessible à tous les acteurs et à toutes personnes qui s intéressent aux questions électorales. L Ordonnateur National indique qu au stade actuel de cette activité, il s agit de préalables et d idées qui seront inscrites dans une Note qui servira de base de discussion à la CAON et à la DUE. Il souhaite qu ensuite il y ait une priorisation des activités, il rappelle les points soulignés par l Ambassadeur de l UE, notamment la visibilité et l appropriation réelle du programme par les acteurs. Enfin il invite le PASCRENA à faire preuve de prudence et de neutralité pour ce qui concerne les questions électorales. Mr Djenda prend la parole pour adresser ses félicitations à l équipe de l UGP pour la qualité du travail et l invite à continuer dans ce sens notamment pour une amélioration du taux de consommation du budget du programme. L ordonnateur National adresse ses remerciements à tous les participants et lève la réunion vers 13 heures. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

8 Annexes : 1. Power point bilan DP1 2. Power point DP2 3. Note conceptuelle sur le film. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

9 Annexe 1 : Etat d avancement du DP1 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

10 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

11 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

12 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

13 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

14 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

15 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

16 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

17 Annexe 2 : Présentation du DP2 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

18 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

19 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

20 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

21 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

22 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

23 Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

24 Annexe 3 : Note conceptuelle pour la réalisation d un film à propos de l histoire du Togo Rédacteur : Christophe Courtin Date : 13 décembre ) Objet de la note A partir de discussions menées avec le ministère de la culture du Togo, le 2 e devis programme du PASCRENA (mars 2014, janvier 2016) a prévu dans son axe 2 (renforcement des capacités de la SC) de travailler avec les faîtières associatives géographiques 1 (qui défendent les intérêts généraux de leurs mandants) pour asseoir leur légitimité associative sur la base de leur capacité à mutualiser des activités communes pour leurs membres. Parmi celles-ci la diffusion et l animation d informations d intérêt général. Pour mettre en œuvre cette capacité le PASCRENA propose de les faire travailler sur la présentation d un film documentaire sur l histoire du Togo. L objet de cette note est de faire des propositions pour la réalisation de ce film. La formation à l animation des faîtières se fera dans un second temps quelques semaines avant la livraison du film. 2) Un film sur l histoire du Togo depuis l indépendance? Le rapport de la CVJR montre très clairement que l interprétation de l histoire contemporaine du Togo fait l objet d enjeux politiques importants. Le rapport insiste également sur le fait que la réconciliation nationale ne pourra se faire que sur la vérité de l histoire. Le discours de réception du rapport de la CVJR par le président de la République montre que cette préoccupation existe au sommet de l Etat. Au Togo, comme ailleurs le contenu de cette vérité est en débat. Le colloque international de philosophie autour de la pensée de Paul Ricoeur 2 qui s est tenu à Lomé du 4 au 6 décembre 2013 a montré que c est l ouverture du débat sur la vérité de l histoire dans l espace public qui ouvre les espaces de controverse et qui renforce par-là les valeurs de citoyenneté et de civisme. Dans ce contexte, la possibilité de réaliser un film définitif sur l histoire du Togo n aurait pas de sens. En revanche les travaux autour de la CVJR montrent que cette dernière a réussi à ouvrir le débat sur la vérité de l histoire. Des faits fondateurs de l histoire du Togo (assassinat du premier président, accident de Sarakawa, Fréaux Jardin, lagune de Bé etc.) font maintenant l objet de convergences d interprétation et la parole se libère. Autour de quelques évènements historiques (4 ou 5) l objet du film serait de montrer comment l histoire s écrit au Togo. A partir d images d archives et d interviews (mêmes contradictoires) d acteurs et de témoins le fil rouge du scénario serait d illustrer les débats autour de la vérité de l histoire en s appuyant sur les travaux de la CVJR. Un film qui éclaire le débat plutôt qu il ne l obscurcisse. Ni hagiographie, ni film militant. 1 FONGTO, UONGTO, FODES, RESOKA, RESODERC, COADEP. Le cas du CONGREMA est en suspend tant que leur AG constitutive n a pas été tenue. 2 Paul Ricoeur ( ) est un philosophe français qui a travaillé sur la mémoire, l histoire, l oubli et le pardon et qui a influencé la pensée sur les notions et les outils de la justice transitionnelle. Il est cité dans le rapport de la CVJR au Togo. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

25 3) Pistes de travail pour la réalisation du film. L objectif est la réalisation d un film format 52 minutes de qualité BBC ou ARTE. Le choix du réalisateur est central. Il doit avoir une expérience forte dans la réalisation de films qui traitent de l histoire africaine contemporaine et il doit être en cheville avec les milieux professionnels cinématographique et historiens qui travaillent à partir de la documentation historique. La complexité du sujet (comme tout travail d histoire) demande un réalisateur qui aura une réelle intelligence de la situation. Les liens avec les structures d archives (INA en France et TVT au Togo) seraient bien sûr un atout. Le ministère de la culture au Togo a déjà fait part de son intérêt en proposant d affecter 8 millions de FCFA à partir de son fonds d action culturel. Le budget du PASCRENA pour cette activité serait de l ordre de 60 millions de FCFA. Les contacts pris montrent que ce budget prévisionnel est réaliste. L institut français au Togo s est également montré intéressé par le projet. 4) Comment avancer? Les délais sont courts pour aboutir à un produit fini qui pourra être diffusé par les faîtières dans le cadre des activités du PASCRENA. Un comité technique chargé de préparer dès janvier les termes de référence pour la société de réalisation doit être mis sur pied. Une fois ce choix fait il sera l interface avec le réalisateur (contenus, contacts, délais). Compte tenu des procédures d attribution de marché applicables aux projets financés par le fonds européen de développement et compte tenu des délais, une procédure de marché ouvert ne semble pas réaliste. Comme le prévoient le guide des procédures dans certains cas précis, des dérogations pour offre unique devront être demandées. Ce comité technique doit être fonctionnel. Il serait composé de : - Le chef de projet du PASCRENA ; - un représentant du ministère de la culture ; - un représentant de l institut Français - un représentant SC du comité de pilotage du PASCRENA - un historien de l université de Lomé. - Un représentant du président de la CVJR. Le chef de projet maître d ouvrage délégué des fonds du PASCRENA assurerait le secrétariat technique du comité. Destinataires de la note : MPDAT, Ministère de la culture, DUE, Ambassade de France et Institut Français. Compte rendu du 2 e comité de pilotage du 18 février

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt

Plus en détail

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte

Plus en détail

Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV)

Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV) Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV) I. But et composition de l Association Article 1 : Nom Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts

Plus en détail

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités PASOC Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités L offre de renforcement des capacités du PASOC consiste d une part à mettre à la disposition des organisations qui en expriment

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC

8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC 8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC Compte rendu Par Julie GAGOE Date : Jeudi 05-04-12 Lieu : Bureau du SE COMIFAC Agenda 1. Evaluation de la feuille de route 2011 2. Défis et priorités

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE

INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE INDIVIDUAL CONSULTANT PROCUREMENT NOTICE Date: 10 Novembre 2014 Pays: TUNISIE Description de la consultation: RECRUTEMENT D UN CONSULTANT NATIONAL EXPERT SOCIETE CIVILE Nom du projet: JUSTICE TRANSITIONNELLE

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation

Plus en détail

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.

Cependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional. Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,

Plus en détail

Appel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information

Appel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Appel à candidatures Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Version 0.6 20 mars 2015 Statut Validé 1 Introduction 1.1 Présentation de l Agence universitaire

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents

Plus en détail

Pédagogie : A Lyon 1 : DESS en informatique documentaire (avec Enssib), DEUST doc, IUP DIST, DEA SIC puis à Lyon 3

Pédagogie : A Lyon 1 : DESS en informatique documentaire (avec Enssib), DEUST doc, IUP DIST, DEA SIC puis à Lyon 3 Présentation des offres de formation de professionnels de l IST Adaptation de l offre aux mutations technologiques et structurelles L intervenante Sylvie Lainé-Cruzel, PR à Lyon 3, actuellement responsable

Plus en détail

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes

Plus en détail

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé

Plus en détail

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III

Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

Rapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo

Rapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo Avril 2013 Rapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo Brazzaville, 27 mars 2013 Table des matières I - INTRODUCTION... 3 II - TRAVAUX DE LA TABLE RONDE... 4 II.1. La session

Plus en détail

Définition. Caractéristiques

Définition. Caractéristiques REPENSER LA PRESENTATION DU BUDGET : UNE NOMENCLATURE STRATEGIQUE Le budget des collectivités de plus de 3 500 habitants peut être présenté par nature et par fonction. La nomenclature fonctionnelle permet

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

Forum du Conseil de l Europe pour l avenir de la démocratie. «Systèmes électoraux» Document d information à l attention des ONG intéressées

Forum du Conseil de l Europe pour l avenir de la démocratie. «Systèmes électoraux» Document d information à l attention des ONG intéressées Forum du Conseil de l Europe pour l avenir de la démocratie «Systèmes électoraux» Kiev, Ukraine, 21-23 octobre 2009 Document d information à l attention des ONG intéressées Le Forum pour l avenir de la

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne

Plus en détail

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

PRÉSENTATION GÉNÉRALE PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,

Plus en détail

Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud

Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud Septembre 2011 Domaine du Ciran - 45240 Ménestreau-en-Villette Tél: 02.38.49.19.49 - Fax : 02.38.49.19.59 - sologne.val.sud@wanadoo.fr

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des demandeurs

Lignes directrices à l intention des demandeurs RÉPUBLIQUE TOGOLAISE UNION EUROPÉENNE MINISTÈRE AUPRES DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHARGE DE LA PLANIFICATION DU DEVELOPPEMENT ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE FONDS EUROPÉEN DE DÉVELOPPEMENT PROJET

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

PLATEFORME CITOYENNE JUSTICE & VERITE

PLATEFORME CITOYENNE JUSTICE & VERITE PLATEFORME CITOYENNE JUSTICE & VERITE PROJET DE PARTICIPATION AU PROCESSUS DE RECONCILIATION NATIONALE RAPPORT NARRATIF Email : justiceverite.tg@gmail.com 1 REMERCIEMENT La Plateforme Citoyenne Justice

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011 Collège d autorisation et de contrôle Avis n 02/2011 Première évaluation de la Recommandation du 24 juin 2010 relative à la mise en valeur des œuvres européennes et de la Communauté française dans les

Plus en détail

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à

Plus en détail

Le comité d entreprise

Le comité d entreprise Le comité d entreprise En bref Dans les entreprises de 50 salariés et plus, le chef d entreprise est tenu d organiser la mise en place d un comité d entreprise (CE) composé de représentants élus du personnel

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons

Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Projet d action d animation visant à développer des pratiques collectives d écoute et de participation

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : PRMX1427006D Intitulé du texte : Décret relatif aux modalités d organisation des délibérations à distance des instances administratives à caractère collégial

Plus en détail

Fédération nationale de l estampe

Fédération nationale de l estampe Fédération nationale de l estampe Compte rendu de la réunion du Conseil d administration de Manifestampe du vendredi 7 février 2014 La réunion s est tenue à la Maison des Associations du 17 e arrondissement

Plus en détail

Assemblée des États Parties

Assemblée des États Parties Cour pénale internationale Assemblée des États Parties ICC-ASP/6/INF.3 Distr.: générale 4 décembre 2007 FRANÇAIS Original: Anglais Sixième session New York 30 novembre - 14 décembre 2007 Conférence de

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

TRANSTEC MISSION D EVALUATION EX POST DU PROGRAMME D APPUI AUX ONG ET A LA SOCIETE CIVILE (PAOSC) AU TOGO. (Projet n 7 ACP TO 89/9 ACP TO 5)

TRANSTEC MISSION D EVALUATION EX POST DU PROGRAMME D APPUI AUX ONG ET A LA SOCIETE CIVILE (PAOSC) AU TOGO. (Projet n 7 ACP TO 89/9 ACP TO 5) TRANSTEC MISSION D EVALUATION EX POST DU PROGRAMME D APPUI AUX ONG ET A LA SOCIETE CIVILE (PAOSC) AU TOGO (Projet n 7 ACP TO 89/9 ACP TO 5) RAPPORT FINAL D EVALUATION Par Sylvie Duchesne et Daniel Amegninou

Plus en détail

GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE

GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution

Plus en détail

Relevé de concertation - Réunion du 03/12/2013

Relevé de concertation - Réunion du 03/12/2013 BERCY 3 10, RUE DU CENTRE 93464 NOISY-LE-GRAND CEDEX Standard : (+33) 1 57 33 99 00 PROJET DE LOI D HABILITATION RELATIF A LA SIMPLIFICATION DE LA VIE DES ENTREPRISES DEMATERIALISATION DES FACTURES TRANSMISES

Plus en détail

Statuts FSEA. FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009

Statuts FSEA. FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009 Statuts FSEA FSEA Fédération suisse pour la formation continue Version du 28 avril 2009 La FSEA en bref La FSEA est l organisation faîtière de la formation continue en Suisse. Ses membres sont des organisations

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions?

La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? La gestion des seniors dans l entreprise : Quels enjeux? Quelles actions? Mireille HUGUET Chargée de Mission RH Seniors Présentation Mireille HUGUET Consultante RH et Bilan de compétences Chargée de Mission

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

I - Synthèse des travaux des 2 groupes

I - Synthèse des travaux des 2 groupes 1 Rencontre des délégués du territoire de Menton Vallée de la Roya -Nice La ligue de l enseignement - 11 décembre 2012 I - Synthèse des travaux des 2 groupes 1. Eléments de contenu pour la fiche de présentation

Plus en détail

CONSEIL DES MINISTRES

CONSEIL DES MINISTRES CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA

Plus en détail

CONSEIL DES MINISTRES

CONSEIL DES MINISTRES CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine

Plus en détail

1 Informations générales

1 Informations générales PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale

Plus en détail

Statuts : Etoile Saint Amandoise.

Statuts : Etoile Saint Amandoise. Statuts : Etoile Saint Amandoise. Sommaire : Présentation But et composition Affiliation Ressources Administration et fonctionnement o Comité de direction o Le bureau o Assemblée générale Ordinaire o Assemblée

Plus en détail

MODULES D IN{FORMATION} ACCESSIBILITÉ DES ERP Culturels VOS BÂTIMENTS/LES HANDICAPS/LA LÉGISLATION

MODULES D IN{FORMATION} ACCESSIBILITÉ DES ERP Culturels VOS BÂTIMENTS/LES HANDICAPS/LA LÉGISLATION MODULES D IN{FORMATION} ACCESSIBILITÉ DES ERP Culturels VOS BÂTIMENTS/LES HANDICAPS/LA LÉGISLATION FOIRE AUX QUESTIONS Temps d échange conduits par Sophie Papin, chargée de mission tourisme et handicap

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie

Plus en détail

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction

Plus en détail

Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg.

Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg. Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg. 1. PREAMBULE L association, Trait d union Association fribourgeoise pour la

Plus en détail

CHARTE DES PROGRAMMES

CHARTE DES PROGRAMMES CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032

Plus en détail

Juillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1

Juillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1 Contribution de la Mutuelle Générale de l Education Nationale - MGEN (France) et de la Mutualité Socialiste - MS (Belgique) au livre vert sur «Le cadre de gouvernance d entreprise dans l UE» Juillet 2011

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré

Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation

Plus en détail

LE PROJECT MANAGEMENT OFFICE. Olivier CALDIER

LE PROJECT MANAGEMENT OFFICE. Olivier CALDIER LE PROJECT MANAGEMENT OFFICE Olivier CALDIER PLAN GENERAL 1 CALENDRIER DES SESSIONS 2 LE PROJECT MANAGEMENT OFFICE 2 ième Soirée 3 PREMIER BILAN P /2 Le calendrier des sessions P /3 CALENDRIER 14 Février

Plus en détail

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014 A Paris, le 17 juillet 2014 Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS Mardi 8 juillet 2014 I / INTRODUCTION Monsieur DAUBIGNY, Préfet de la région d Ile-de-France, Préfet de Paris, Président de la mission

Plus en détail

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION CLUB OHADA BORDEAUX

STATUTS DE L ASSOCIATION CLUB OHADA BORDEAUX Association Loi de 1901 Information Diffusions Conférences Débats Echanges Droit Comparé STATUTS DE L ASSOCIATION CLUB OHADA BORDEAUX Mise à jour en Mars 2015 ARTICLE 1 : HISTORIQUE, CONSTITUTION, DENOMINATION

Plus en détail

Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies?

Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? gil.delille@forum-des-competences.org Agenda Les enjeux liés aux systèmes d information

Plus en détail

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux

Plus en détail

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école

Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions

Plus en détail

CONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE

CONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE CONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE OBSERVATION CITOYENNE DU PROCESSUS DE REVISION DU FICHIER ELECTORAL CAS DE LA GUINEE Présentation: Dr Dansa KOUROUMA/Directeur Lansana MANSANDOUNO/

Plus en détail

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des

Plus en détail

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

3. Un crédit à la consommation responsable

3. Un crédit à la consommation responsable 3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Rapport du comité d'experts

Rapport du comité d'experts Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre du droit de l entreprise, EA 3397 de l'université Strasbourg 3 avril 2008 Section des Unités de recherche Rapport

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Chargé de valorisation des ressources documentaires de l Université Lille 3 Sciences humaines et sociales Charles

Plus en détail

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Texte allemand : EQM/Misereor, janvier 2012 Traduction : Service des langues de MISEROR, mars 2012 Ce document

Plus en détail