Rapport de l Atelier de Planification et Gestion axée sur les résultats (du 13 au 17 Juin 2011)

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1 Rapport de l Atelier de Planification et Gestion axée sur les résultats (du 13 au 17 Juin 2011) A.1. Contexte et Justification de l Atelier. Du 13 au 17 Juin 2011 s est déroulé dans les enceintes de Guest House de BANGA, un atelier de renforcement des capacités du personnel de la CEJP et des membres des CDJP en matière de planification et de gestion des projets axée sur les résultats. Financé par «Mensen een Missie» et appuyé techniquement par AGEH, cet atelier de renforcement des capacités des structures justice et paix de la Conférence Episcopale du Burundi est le premier d une série de deux ateliers de formation visant à mettre à la disposition de l équipe de la CEJP et des équipes des CDJP, des connaissances professionnelles indispensables pouvant aider à aboutir à des meilleures performances en matière de gestion de projet axée sur les résultats. 2. Objectifs de l atelier. Cet atelier a pour objectif principal de s assurer qu au moins deux responsables par structure (CEJP et CDJP) sont dotés des concepts et outils de planification et suivi et évaluation de projets axés sur les résultats et sont capables de les appliquer dans leur propre planification. A cet effet, cet atelier vise à : Revoir les fondamentaux de la gestion de projet Présenter des concepts et outils simples permettant de penser la gestion de projet axée sur les résultats en particulier la planification, le suivi et l évaluation. Faciliter l apprentissage par l action Créer / renforcer un forum d apprentissage mutuel et de coopération entre les structures prenantes. 3. Les participants à la formation. Cette formation a été donnée au personnel de la CEJP et à quelques membres des commissions diocésaines justice et paix en raison de 3 personnes par CDJP (le président et le secrétaire permanent ainsi qu une personne s occupant de la gestion d un projet). 4. La méthodologie de la formation. Cet atelier dispensé par M. Frédéric Kama Kama Tutu, directeur régional du Bureau Mondial du Scoutisme, bureau régional Afrique, a mis en avant une approche participative qui s appuie sur l expérience des participants. La formation a été axée sur des exercices concrets pour une meilleure application fondée sur le contexte de travail de chacun des participants en vue de traiter en profondeur les différentes thématiques de la gestion de projet axée sur les résultats. B. Le Déroulement de la Formation. 1. La Formation de la Première Journée. Cette journée a débuté à 9 heures, par une prière dirigée par Abbé Gaëtan RUCEKE, responsable de la CDJP GITEGA, suivi directement par un mot de bienvenu de Mme la coordinatrice de la CEJP. Cette dernière a ensuite présenté le chargé de la formation, M. Frédéric KAMA KAMA TUTU venu de Naïrobi au KENYA où il assure les responsabilités de Directeur régional du mouvement

2 SCOUT pour la région Afrique. Ce dernier a prononcé un mot de remerciement à l endroit du personnel de la CEJP pour avoir placé sa confiance en lui. Après sa brève présentation, les participants se sont ensuite présentés tour à tour, en donnant chacun son nom, sa provenance et son poste. Ils ont ensuite pris connaissance de l horaire de la journée qu ils ont ensuite aménagé. Le conférencier a ensuite présenté les objectifs de la formation ainsi que les résultats attendus. Les travaux proprement dits de la journée ont débuté par des réflexions en groupes. Les participants répartis en 4 groupes ont eu à travailler sur l approche de définition des concepts projet, et gestion de projets en veillant à énumérer les éléments qui reviennent dans les deux concepts. Dans les différents groupes constitués, les participants ont proposé les éléments indispensables devant y figurer. Cet exercice a été clôturé par les éléments donnés par le facilitateur lui même étant donné que les participants n avaient pas la même compréhension et une même vision des concepts précités. D après le facilitateur, «Nous définissons le projet comme un ensemble cohérent d objectifs à atteindre en un temps donné en mobilisant des ressources pour satisfaire des besoins stratégiques et non pour répondre simplement à des problèmes actuels». Les projets sont mis en place pour contribuer à un processus de changement d une situation considérée comme insatisfaisante ou problématique par un important groupe de parties prenantes en une situation satisfaisante. Un projet réussira plus aisément à assurer ce changement s il commence par des analyses de la situation problématique. Un projet se focalise sur une situation considérée comme problématique par une partie importante des parties prenantes. Ceci accroît les chances que le projet est pertinent et va produire un impact positif. Bien qu un projet ne résolve pas toute la problématique, il apporte une réponse claire à une partie des problèmes. C est le cas pour beaucoup de projets. Ce que le projet propose est réaliste et constitue une réponse adéquate, en tenant compte bien sûr des facteurs contextuels qui vont l influencer. Pour bien concevoir un projet, il faut bien décrire le besoin, c està-dire la situation de départ afin d envisager l objectif à atteindre dans la situation à venir. Cela est d autant plus important que, d après le facilitateur, une mauvaise identification du besoin à satisfaire peut conduire à de mauvais résultats. Il a également pu identifier la différence entre projet et programme qui est plus vaste qu un projet. La gestion d un projet étant une étape ultérieure à sa mise en place, elle respecte également un certain nombre de principes et normes, c est pour cela qu il y a des entités (facteurs de qualité ou de réussite) d un projet notamment les critères de qualité: Il s agit notamment de : La pertinence qui concerne la raison d être du projet, le lien entre celui-ci et son environnement (économique, social et politique, technologique, culturel...) dans son intégralité. Elle indique si le projet répond à un problème réellement existant et assez important. La faisabilité : Elle indique si les objectifs du projet proposé peuvent être réellement atteints en tenant compte du contexte, des moyens du projet ainsi que des objectifs prévus dans le plan du projet. La viabilité : Elle est définie comme la capacité d un projet de continuer à générer des profits une fois que l appui extérieur aura cessé. Si un projet est limité dans le temps, ses bénéfices doivent continuer une fois que le projet aura été achevé. L organisation : Il est impératif de vérifier, régulièrement, si l organisation chargée de l exécution du projet dispose des capacités et ressources nécessaires. Il est également recommandé de rendre compte si le mode d organisation et le style de management répondent aux exigences du moment et sont régulièrement réajustés (si nécessaire) en fonction des changements qui surviennent dans le contexte du projet.

3 L efficience : On mesure l efficience d un projet par la balance entre le coût des investissements et les profits obtenus. Ainsi, le management est dit efficient s il parvient à mener le maximum d activités avec le minimum de moyens. L efficacité : En bref, ce concept détermine la mesure dans laquelle un projet atteint ses objectifs, en qualité et en quantité. L impact : Il s'agit du changement, positif ou négatif, direct ou indirect, prévu ou imprévu, voulu ou pas voulu, produit par la réalisation d'une intervention. Il peut également être considéré comme un critère d'évaluation qui indique tous les effets d'une intervention dans différents domaines : financier, économique, social, culturel, institutionnel et environnemental. Dans la gestion d un projet, il a été entendu que les impacts ne sont pas toujours prévisibles. Le deuxième carrefour a été occupé par le choix des participants provenant de chaque organisation qui ont proposé soit un projet en cours d élaboration, soit un projet en prospectus pour servir de cas d étude. Chaque organisation a donné son projet, toutefois, le constat fait est que le choix du projet n était pas spontané. Ainsi, les organisations présentes ont donné les projets suivants : La CEJP : Contribution au renforcement de la gouvernance locale par la participation citoyenne (2 ème phase d un projet pilote). CDJP-Bubanza : «Formation et encadrement de la communauté «Batwa» du diocèse de BUBANZA au concept des droits humains (projet en prospectus). CDJP-Bujumbura : «Contribution à la promotion de la tolérance politique au sein de la population de Bujumbura» (projet en prospectus). CDJP Bururi : Projet pour le renforcement des capacités des commissions paroissiales Justice et Paix, des élus locaux et des notables traditionnels» (en cours avec le soutien de MMM) CDJP Muyinga : Promotion de la communication non violente dans les écoles secondaires de la province Muyinga (en préparation). CDJP Ngozi : Contribution à la consolidation d un Etat de droit à travers la culture de la gouvernance participative et le respect du bien commun (en cours) CDJP Rutana : Contribution à la réduction du phénomène de concubinage (en prospectus). Le troisième carrefour a été consacré à l identification de l outil d analyse des problèmes appelés autrement «Arbre à problèmes». Cet exercice qui était donné aux participants venant de chaque organisation consistait à identifier le problème central pour en faire finalement «un arbre à objectifs» avant de monter un projet. La difficulté qui en résulte se retrouve au niveau de la confusion entre les causes et les effets de cet arbre. En bref, plus l arbre à problème est bien établi, plus l arbre à objectif le sera mêmement. Il s est avéré que cet exercice ne s est pas bien terminé, d où le facilitateur a jugé opportun d y revenir le lendemain pour améliorer la façon de construire ledit arbre. L exemple proposé par la CDJP Rutana a été choisi comme modèle de similation pour apporter plus d éclaircissements aux participants. La journée a été clôturée par une évaluation des activités pour voir ce qui a marché et ce qui l a été le moins afin de proposer des recommandations pour le lendemain. La journée a été clôturée par une évaluation suivie d une prière qui a été dite par l abbé Gaëtan RUCEKE de la CDJP GITEGA. 1. La formation de la deuxième journée. La journée a été débutée par une Messe célébrée par l Abbé Liboire BARAMBARIZA. Les activités proprement dites ont continué par la présentation du fruit et du commentaire de l évaluation de la journée précédente. Comme la théorie de l arbre à problème n avait pas été bien assimilée la veille, le facilitateur, en accord avec les participants a décidé d approfondir la question avant d entamer la matière qui devait suivre. C est ainsi qu il a jugé opportun de revoir ensemble les notions vues la première journée. Des éclaircissements s en sont suivis. L arbre à problèmes constitue donc ce qu on appelle

4 l analyse de la situation problématique du projet, autrement dit, il s agit d une analyse du contexte et du cadre du projet. Cette analyse de la situation problématique doit faire apparaître : Une situation considérée comme problématique par une importante majorité des parties prenantes Apporter une réponse claire à une partie du problème Ce que le projet propose ou présente doit être réaliste. Cette situation nous amène à ce qu on appelle la formulation des problèmes. Lors de la rédaction des problèmes, le consultant a suggéré qu il est important d éviter la formulation de «manque de» qui a tendance à envisager directement la solution au problème en oubliant de le formuler. Par exemple, le consultant a proposé de remplacer «manque de formation» par «les gens ne sont pas compétents», «les formations ne sont pas adaptées», «les gens n ont pas accès aux formations proposées». En effet, accroître le nombre de formations disponibles, sans en vérifier la pertinence par rapport aux demandes ou sans en vérifier l accessibilité, risque de n apporter qu une demi-solution et de ne pas envisager des solutions alternatives originales. Parlant de l arbre à problèmes, le consultant a indiqué qu il s agit d un diagramme qui englobe tous les problèmes mentionnés par les parties impliquées. L exercice commence par un inventaire des problèmes. Cet inventaire va se baser sur les études des rapports, les travaux d experts, les interviews, etc. Plus il y a de gens avec différentes expériences, plus l arbre de problèmes sera riche. Dans une seconde phase, le diagramme est construit selon la logique cause - effet. Les problèmes qui sont les causes des autres sont mis en dessous et les effets au dessus. Le processus de définition de la hiérarchie entre les différents problèmes en considérant la relation cause - effet va faciliter la réflexion et la discussion entre les participants et peut conduire à des études ultérieures. Bien que l'arbre de problèmes soit la simplification de la réalité, c est un outil utile qui permet de visualiser des relations complexes entre les problèmes qui forment une partie de la situation problématique. En guise d illustration, les participants se sont convenus de traiter l arbre à problème du diocèse de Rutana (cf.schéma).

5 Après cet exercice, les participants sont répartis de nouveau en groupe pour revoir et affiner leurs arbres à problèmes. La restitution a amené les participants à mieux intégrer la notion d arbre à problèmes. Cette étape qui représente la situation insatisfaisante nous a amené à constituer l arbre à objectifs qui, en quelque sorte représente la situation satisfaisante. Cette situation a été traitée au niveau des travaux en groupes, la restitution étant prévue au matin de la journée du 15 juin Avant la prière de fin, les activités ont été clôturées par une évaluation de la deuxième journée. 2. La formation de la troisième journée. La Journée du 15 juin 2011 a débuté comme d habitude par une prière célébrée par Abbé Déo président de la CDJP MUYINGA. Après le compte rendu de la journée précédente, le formateur a dû aménager l horaire. Les activités de la journée se sont focalisées sur la formulation de l arbre à problèmes et l arbre à objectifs. Le conférencier a proposé aux participants de retravailler l exemple de l arbre à problèmes présenté par la CDJP Rutana. L exercice a consisté à passer de la situation problématique identifiée à une situation positive ou désirée, c est à-dire, transformer l arbre à problème en arbre à objectif. C est ainsi que les participants ont été encore une fois répartis en groupes. Au cours de la restitution des travaux en groupes, le formateur en a profité pour rappeler certains principes à prendre en compte lors de la formulation des objectifs : Il faut travailler plus sur les causes que sur les effets parce que les mêmes causes produisent les mêmes effets. il faut bien cibler la branche sur laquelle il faut travailler car le changement de l une des parties affecte tout le système la formulation ne doit pas reprendre les mêmes termes utilisés dans la formulation des problèmes identifiés il faut considérer les problèmes majeurs des parties prenantes entre autres les partenaires, les bénéficiaires etc. L objectif doit être un état, une situation désirée ou voulue Le problème doit être clairement défini c est-à-dire être précise pour la facilitation de la formulation de l objectif. Le carrefour suivant a été caractérisé par la poursuite de l exercice.

6 A partir de l analyse des objectif, le formateur a introduit la phase ultérieure à savoir la détermination des stratégies d intervention à partir des éléments constitutifs de l arbre à constitutif, cas de l arbre de RUTANA. Cette stratégie se base sur : Le mandat propre du responsable du projet les priorités et les moyens des parties prenantes Il faut noter qu au niveau de l arbre à problèmes, les effets deviennent les fins et les causes devenant à leur tour, les moyens pour atteindre l objectif. Les participants se sont ensuite retrouvés en groupes pour travailler sur l arbre à problème présenté par la CEJP afin d en déduire en arbre à objectifs et inventorier les stratégies possibles. Au cours de la présentation en plénière, des points communs ont été inventoriés. Signalons à toutes fins utiles que le travail ne s est pas terminé, faute de temps et de coupure du courant. C est le formateur lui même qui a dû finaliser l arbre à problème et celui à objectif pour le présenter le lendemain aux participants. Les activités de la troisième journée se sont terminées par une évaluation et une prière. 3. La formation de la 4 ème journée du 16 Juin Les activités ont démarré par le compte rendu de l évaluation de la journée précédente qui avait été précédé comme à l accoutumée par une prière. Le facilitateur a ensuite pris la parole et a directement présenté l arbre à problèmes qu il a retravaillé après la fin de la journée précédente. L Arbre à problèmes transformé en arbre à objectifs tel que enrichi par le Consultant. Il a ainsi guidé tout le groupe pour que l arbre à problème soit transformé en arbre à objectifs et cela jusqu à la pause de 10h30 après laquelle quelques photos de famille ont été prises. Les participants ont été ensuite invités à se concentrer sur les activités liées à la définition des stratégies sur base des objectifs auxquels ils pensent contribuer. 4 objectifs qui représentent 4 situations désirées sans faire référence à l objectif central, ont été proposés par le groupe : 1 La loi communale est respectée 2 Accès équitable aux services publics 3 La population agit dans le respect du bien commun 4 La liberté d expression est garantie. Les participants ont proposé que l on ajoute deux autres aspects qu ils considèrent aussi pertinents à savoir : Les règles et les valeurs démocratiques sont respectées et appliquées La population participe activement dans la gestion de la chose publique. Le facilitateur a montré que si l on a choisi tel ou tel autre objectif, on doit remonter aux autres situation comme préalables de changement. Il importe donc de se demander quels sont les préalables, quels sont les embranchements prioritaires, les uns par rapport aux autres. Exemple : Si nous donnons la priorité au cadre d expression de la population, la contrainte en est qu on ne peut pas arriver à ce cadre alors que les leaders ne collaborent ou n écoutent pas encore la population. De même, on ne peut pas avoir des leaders compétents et efficaces, si les critères de candidature basés sur les critères de compétences et d intégrités ne sont pas respectés. Ainsi, la classification et le

7 choix de l objectif doivent répondre aux faits réels. Le facilitateur a ainsi invité les participants aux travaux en groupes pour répondre à la question suivante : Tenant compte de ces 4 objectifs, quels sont les embranchements possibles qui constituent la séquence logique et cohérente qui amenerait à la réalisation de ces objectifs? Les quatre groupes se sont partagés les 4 objectifs. Ainsi, Le groupe I a travaillé sur «l accès équitable aux services publiques» Le groupe II a travaillé sur «la loi communale est respectée» Le groupe III a travaillé sur «la participation participe activement dans la chose publique» Le groupe IV a travaillé sur «la liberté d expression est garantie». Cette activité consistait uniquement à tracer une trajectoire qui suit la séquence des objectifs qui constituent un embranchement cohérent pour arriver aux succès de l objectif de départ. La restitution en plénière. Le 1 er groupe qui a travaillé sur «l accès équitable aux services publics» a présenté deux embranchements tout en précisant qu il aurait pu faire d autres embranchements si le temps l avait permis. Voici l embranchement qu ils ont présenté : Groupe I : Accès équitable aux services publics a).1.les règles et valeurs démocratiques sont vécues et appliquées 2. Les idéologies et programmes des partis politiques privilégient le Bien Commun 3. Les candidatures sont établies sur base de compétence et d intégrité 4. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 5. La loi communale est respectée par tous 6. Les élus locaux travaillent pour le Bien Commun b). 1. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formation 2. Les leaders locaux connaissent et remplissent consciencieusement leur mission 3. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 4. Les administratifs agissent selon la loi Le 2 ème groupe qui a travaillé sur : «la loi communale est respectée par tous» a présenté trois embranchements : Groupe II : La loi communale est respectée par tous a). 1. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 2. Les leaders locaux connaissent et remplissent consciencieusement leur mission 3. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formation b). 1. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 2. Les candidatures sont établies sur base de compétence et d intégrité 3. Les idéologies et programmes des partis politiques privilégient le Bien Commun 4. Les règles et valeurs démocratiques sont vécues et appliquées c). 1. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 2. La liberté d expression est garantie 3. La notion d autorité est désacralisée 4. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formations

8 Le 3 ème groupe qui a travaillé sur «la liberté d expression est garantie» a présenté un seul embranchement : Groupe III : La liberté d expression est garantie a). 1.Les cadres d expression prévus par la loi sont effectivement opérationnels 2. Les leaders affichent des attitudes d écoute et de collaboration avec la population 3. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 4. Les leaders locaux connaissent et remplissent consciencieusement leur mission 5. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formation Le 4 ème groupe a travaillé sur «la population travaille activement dans la gestion de la chose publique». Ce dernier groupe a proposé 5 embranchements que voici : Groupe IV : La population participe activement dans la gestion de la chose publique a). 1. Les cadres d expression prévus par la loi sont effectivement opérationnels 2. Les leaders affichent des attitudes d écoute et de collaboration avec la population 3. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 4. La liberté d expression est garantie 5. La notion d autorité est désacralisée 6. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formation mission b). 1. Les dirigeants sont effectivement redevables à la population 2. Les administratifs sont engagés dans l éducation citoyenne de la population 3. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 4. La population agit en âme et conscience c). 1. Les dirigeants sont effectivement redevables à la population 2. Les administratifs sont engagés dans l éducation citoyenne de la population 3. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 4. Les leaders locaux connaissent et remplissent consciencieusement leur 5. La majeure partie de la population a un niveau suffisant de formation d).1. Les dirigeants sont effectivement redevables à la population 2. Les administratifs agissent selon la loi 3. La loi communale est respectée par tous 4. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 5. Les candidatures sont établies sur base de compétence et d intégrité 6. Les idéologies et programmes des partis politiques privilégient le Bien Commun 7. Les règles et valeurs démocratiques sont vécues et appliquées e). 1. La population participe activement dans la prise des décisions 2. Les administratifs sont engagés dans l éducation citoyenne de la population 3. Les élus locaux travaillent pour le Bien Commun 4. La loi communale est respectée par tous

9 5. Les leaders locaux sont efficaces, compétents et responsables 6. Les candidatures sont établies sur base de compétence et d intégrité 7. Les idéologies et programmes des partis politiques privilégient le Bien Commun 8. Les règles et valeurs démocratiques sont vécues et appliquées. D après le facilitateur, il faut toujours vérifier et valider si l embranchement est logique. Après la pause, les activités se sont focalisées sur l analyse des objectifs vistant à dégager des stratégies. Cette activité s est réalisée également en travaux en groupes axés sur la question suivante : «Sur base des embranchements déjà proposés, dégager des stratégies prioritaires sur base des critères de faisabilité, de pertinence et de pérennité. La restitution des travaux en groupes a abouti aux résultats suivants : Les stratégies proposés par les différents groupes par rapport aux différents objectifs. 1. Objectif : Accès équitable aux services publics Comme Stratégies les différents groupes ont pris les stratégies suivantes : Groupe I : Stratégie B. Groupe II : Idem Groupe III : Stratégie A Groupe IV : Stratégie A 2. Objectif : La loi communale est respectée Groupe I : Stratégie C Groupe II : Stratégie A Groupe III : Stratégie B Groupe IV : Stratégie B. 3. Objectif : La liberté d expression est garantie Groupe I : Stratégie unique Groupe II : Idem Groupe III : Idem Groupe IV : Idem 4. Objectif : La population participe activement à la gestion de la chose publique Groupe I : Stratégie B. Groupe II : Stratégie C Groupe III : Stratégie E Groupe IV : Stratégie. Le facilitateur a en outre demandé aux différents groupes de montrer les motivations qui les ont guidé dans le choix des différentes stratégies comme prioritaires. Ils ont indiqué qu ils se sont référés sur certains critères comme ceux relatifs à la pertinence, à la faisabilité, à la viabilité à l efficience ainsi qu à la pérennité. Quelques clarifications ont été données par le conférencier notamment en ce qui concerne le choix des stratégies prioritaires par rapport aux autres. D après le facilitateur, l analyse des stratégies permet de : Décrire la situation future ; les objectifs envisageables de l intervention. L identification des branches cohérentes de moyens et fins ; les approches envisageables pour résoudre le problème et réaliser l objectif correspondant ; les approches alternatives ; le choix de l approche de l intervention ; les stratégies

10 prioritaires identifiés sur base des critères de pertinence, de faisabilité, de pérennité, etc. Après, l étape suivante a été celle de définir la logique d intervention qui se traduit de la manière suivante. Comment définir la logique d intervention? La logique d intervention doit répondre aux questions suivantes : 1. A long terme, à quoi voulons nous contribuer? Objectif global. L objectif global est un état à atteindre. Cet état ne dépend pas uniquement de la contribution du projet, mais de la contribution des autres acteurs. Exemple : Si je travaille seul avec la population et qu il n y a pas quelqu un qui travaille avec les dirigeants, le projet ne peut pas réussir. 2. Quels sont les changements importants attendus par le groupe cible? Objectif spécifique. Ils sont la raison même d être du projet. Ils sont le fruit des changements opérés sur terrain dans l intérêt des groupes cibles. 3. Quel service faut il mettre en place pour atteindre l objectif? Résultat. Les résultats sont des services à mettre en place pour arriver aux objectifs spécifiques. 4. Quelles actions faut il envisager pour atteindre les résultats souhaités? Activités Pour mieux définir un objectif spécifique, il faut savoir à quel changement le projet veut contribuer. Un objectif spécifique définit la raison d être d un projet. C est pourquoi, il faut qu il soit SMART : spécifique, mesurable, atteignable, réalisable et temporel. Exemple : 30% des BATWA seront formés sur les techniques de lobbying dans une période donnée. N.B : Beaucoup de projets sont rejetés car les objectifs spécifiques sont mal formulés. Plusieurs objectifs spécifiques nous conduisent à un programme et non pas à un seul projet. La Formulation des objectifs globaux, spécifiques, des résultats attendus et des activités prévues. Restitution des travaux en groupes. Groupe I : TRAVAUX EN GROUPES SUR L IDENTIFICATION DES OBJECTIFS, RESULTATS et ACTIVITES Objectif global : Groupe I Les règles et les valeurs démocratiques sont vécues et appliquées par la population Burundaise Objectif spécifique :

11 Après 3 ans, au moins 80% des élus locaux formés et appuyés dans les 10 communes cibles connaissent les valeurs démocratiques et remplissent leur mission conformément à leur cahier de charge. Résultats : a) X élus locaux formés dans les 10 communes cibles maîtrisent les règles et les principes démocratiques. b) X élus locaux formés dans les 10 communes cibles connaissent le contenu de la loi communale et maîtrisent leur cahier de charge. c) La population de X collines des 10 communes cibles bénéficie d un encadrement régulier de leurs élus, sur l application des valeurs et principes démocratiques. d) Les cadres d échange et d expression prévus par la loi communale sont effectivement fonctionnels dans les 10 communes cibles. e) Les leaders communautaires et les élus locaux appuyés dans les 10 communes cibles, collaborent dans la gestion de la commune. Activités : a) Former x élus locaux des 10 communes cibles, sur les règles et principes démocratiques, ainsi que la loi communale. b) Sensibiliser X élus locaux des 10 communes cibles sur l importance d encadrer la population pour la mise en application des principes et valeurs démocratiques. c) Appuyer X élus locaux des 10 communes cibles en mettant à leur disposition des outils de travail pour l encadrement de la population. Groupe II. a) Objectif global : Les élus locaux et la population de la province de MURAMVYA collaborent dans le strict respect de la loi communale. b) Objectif Spécifique : Dans 2 ans, 80% des élus locaux sont formés sur la loi communale dans la province MURAMVYA et la mettent effectivement en application c) Résultat 1 : les leaders locaux des communes de la province de MURAMVYA sont efficaces, compétents et responsables d) Activités : 1. Identifier les élus locaux à former dans la province de MURAMVYA 2. Elaborer un module de formation 3. Multiplier les modules 4. Recruter un formateur compétent en matière de la loi communale 5. Former les élus locaux identifiés 6. Assurer le suivi des élus formés e) Résultat 2 : Les candidatures sont établies sur base de compétence et d intégrité 1) Activité 1 : Préparer un document de plaidoyer sur la révision sur certaines dispositions du code électoral 2) Activité 2 : créer un cadre d échanges des responsables des partis politiques de la province de Muramvya f) Résultat 3 : Les idéologies et programmes des partis politiques privilégient le bien commun

12 1) Activité 1 : Sensibiliser les responsables des partis politiques, les élus locaux et les leaders communautaires sur le concept de la communauté politique au service du bien commun g) Résultat 4 : Les règles et valeurs démocratiques sont vécues et appliquées Activité 1 : Former les leaders communautaires et les élus locaux en matière des règles et valeurs démocratiques Activité 2 : Créer un cadre d échanges entre les élus locaux et la population sur l application des règles et valeurs démocratiques. Groupe III. Objectif global : La liberté d expression est garantie Objectif spécifique : Dans trois ans, les cas d intimidation pour cause d émission d opinion seront réduites de 60% en Mairie de Bujumbura en en province de Bujumbura Rural. Résultat : Mécanismes d écoute et les cadres de dialogue entre les dirigeants et la population sont crées et fonctionnels. Activités : - sensibilisations des dirigeants au dialogue constructif - sensibilisation de la population à la conscience citoyenne - Formation de la population à la conscience citoyenne. GROUPE IV : OBJECTIF GLOBAL : La population participe activement à la gestion de la chose publique OS1. Dans 3 ans, 60% des administratifs locaux sensibilisés sont effectivement redevables selon la loi communale a. R11 : les administratifs locaux appliquent la loi communale i. ACTIVITE : b. R12 : les administratifs rendent compte effectivement à la population i. ACTIVITE : OS2. Dans 3 ans 50% de la population sensibilisée mettent en pratique les dispositions de la loi communale et vivent les valeurs démocratiques a. R21 : les Leaders communautaires connaissent et appliquent la loi communale i. ACTIVITE : b. R22 : la population vit les valeurs démocratiques i. ACTIVITE :

13 OS3. Dans 3 ans, 60% des leaders des partis politiques sensibilisés mettent en avant les critères de compétence et d intégrité dans l agir politique a. R31 : Les leaders des p.p. vivent les règles et les valeurs démocratiques i. ACTIVITE : b. R32 : Les leaders des p.p. s inspirent des principes de gestion de la communauté politique au service du Bien commun i. ACTIVITE : Le Cadre logique. La formulation des indicateurs. Tout comme la formulation de l objectif, la formulation de l objectif doit être SMART. Spécifique à l objectif étudie, mesurable à un coût raisonnable, accessible en termes de données à récolter. Ils doivent être proportionnels à la dimension même du projet, proportionnel aux capacités même de ceux qui sont chargés de le faire. La formulation des hypothèses/ risques. les parties prenantes analysent les éventuels facteurs de risques, externes ou internes au projet et identifient les hypothèses auxquelles le projet est confronté. Ce qui est définir dans les projets, ce sont les suppositions ou risques externes. Restitution du travail en groupes sur l élaboration du cadre logique Groupe I. Titre du projet Objectif global Logique d intervention Les règles et valeurs démocratiques sont vécues et IOV Source de vérification Suppositions importantes

14 appliquées par la population Burundaise Objectif spécifique Après 3 ans, au moins 80% des élus locaux formés et appuyés dans les 10 communes cibles connaissent les valeurs démocratiques et remplissent leur mission conformément à leur cahier de charge. Résultats attendus 1.X élus locaux formés dans les 10 communes cibles maîtrisent les règles et principes démocratiques 2.X élus locaux formés dans les 10 communes cibles connaissent le contenu de la loi communale et maîtrisent leur cahier de X élus locaux des 10 communes cibles ont bénéficié de la formation sur les valeurs et Principes démocratiques. X élus locaux des 10 communes cibles ont participé à la formation et disposent des textes les Rapports des ateliers de formation Documents de formation Rapports d activités de la Commune Rapports de ateliers de formation Documents de formation

15 charge. 3.La population de X collines de des 10 communes cibles bénéficie d un encadrement régulier de leurs élus sur l application des valeurs et principes démocratiques. 4.Les cadres d échange et d expression prévus par la loi communale sont effectivement fonctionnels dans les 10 communes cibles. 5.Les leaders communautaires et les élus locaux appuyés dans les 10 communes cibles, collaborent dans la gestion de la commune. régissant. *Au moins 3 réunions et visites d encadrement de la population ont été effectués par les élus locaux des 10 communes cibles *Au moins 6 réunions ouvertes ont été animées par les conseils communaux des 10 communes cibles. *Au moins 36 réunions ouvertes ont été animées par les conseillers collinaires des à l endroit de la population *Au moins 2 cadres de rencontres permanents d échanges entre les élus locaux et les Rapports d activités de la Commune Rapports des réunions et visites d encadrement Rapports des descentes de suivi du Projet Témoignages de la population des 10 communes cibles Rapports annuels des réunions des conseils communaux des 10 communes cibles Rapports trimestriels des Conseils collinaires de X collines des 10 communes cibles Témoignages de la population

16 leaders communautaires ont été initiés dans les 10 communes cibles Rapports des réunions d échange Rapports d activités du conseil communal Témoignages de la population. Activités prévues A.1. Former x élus locaux des 10 communes cibles, sur les règles et principes démocratiques, ainsi que la loi communale. A.2. Sensibiliser X élus locaux des 10 communes cibles sur l importance d encadrer la population pour la mise en application des

17 principes et valeurs démocratiques. A.3. Appuyer X élus locaux des 10 communes cibles en mettant à leur disposition des outils de travail pour l encadrement de la population. Groupe II. Titre du projet Logique d intervention IOV Source de vérification Suppositions importantes Objectif global Les élus locaux et la population de la province de MURAMVYA collaborent dans le strict respect de la loi communale. - Nbre de réunions d échanges réguliers et fructueux - - Les PV Les témoignages des populations Volonté de collaboration Situation sécuritaire Objectif spécifique Dans 2 ans, 80% des élus locaux sont formés sur la loi communale dans la province MURAMVYA et la mettent effectivement en application Nombres de personnes consultées dans l élaboration des PCDC Nbre de réunions de restitution des actions des activités Rapports des activités du conseil communal Rapports des CDC Procès verbaux et rapports d activités du Engagement et volonté déterminée des leaders locaux

18 réalisées CCO Degré de réalisation des PCDC Infrastructures construites Résultats attendus les leaders locaux des communes de la province de MURAMVYA sont efficaces, compétents et responsables Nbre des services accordés Nbre de cas de litiges résolus à l amiable Témoignages de la population Rapports d activités des élus locaux Registres des actes de l état civil Volonté et engagement des élus locaux Disponibilité et stabilité des leaders locaux formés Activités prévues Identifier les élus locaux à former Former les élus locaux identifiés Assurer le suivi et l accompagnement des élus Nbre des élus locaux identifiés Nbre des élus locaux formés Nbre des visites effectuées Liste des élus locaux identifiés Liste des participants PV des réunions de formation et photos Sécurité assurée Financements disponibles Collaboration des parties prenantes Modules de formation Rapports de suivi Groupe III. Titre du projet Logique d intervention IOV Source de vérification Suppositions importantes Objectif global La liberté d expression est garantie Les médias s expriment librement sur des sujets politiques, économiques, Les journaux publiés, les émissions radio télévisées, Contexte politique favorable

19 bonne gouvernance, etc. les bulletins,etc. Objectif spécifique Les cas d intimidation pour cause d expression d opinion ont diminué Les cas d emprisonnement sont réduits de 60% Les rapports des cachots concernant les relaxations Les rapports des parquets ; les rapports des polices Les dirigeants sont ouverts au dialogue contradictoire La population s exprime La sécurité est garantie Résultats attendus Les cadres de dialogue entre les dirigeants et la population sont créés et fonctionnels Un cadre de dialogue est créé dans chaque commune Une réunion mensuelle a lieu Les PV de création des cadres de dialogue Les rapports des réunions mensuelles Les dirigeants et la population sont sensibilisés Les dirigeants s impliquent au dialogue Activités prévues Sensibilisation des dirigeants au dialogue constructif Un consultant formateur Un module de formation Matériel de formation X montant Y montant I montant Les administratifs sont favorables Le financement est disponible Moyen de transport T montant La sécurité est une réalité sur terrain

20 Groupe IV. LOGIQUE D INTERVENTION I O V SOURCES DE VERIFICATIO OBJECTIF GLOBAL La population participe activement à la gestion de la chose publique La population participe au niveau de la prise des décisions et de l exécution de ces décisions - Les PV - Les grilles de vérification - Les rapports d activités OBJECTIF SPECIFIQUE RESULTATS Dans 3 ans, 60% des administratifs sensibilisés de Gitega sont effectivement redevables selon la loi communale 1. Les administratifs locaux de Gitega appliquent la loi communale 2. Les leaders connaissent et appliquent la loi communale 1. 80% Des réunions des conseils communaux et collinaires sont tenues selon la loi communale 2. 60% des doléances de la population sont intégrées dans le PCDC 1. 80% des réunions du conseil communal et collinaire se tiennent selon la loi communale 1. 80% des leaders communautaires assistent aux réunions du conseil collinaire et communal 2. 60% des avis et doléances de la population sont intégrés dans les plans communaux de développement 3. Les leaders contrôlent l action des dirigeants et produisent des grilles mensuelles de contrôle - Les PV - Les PCDC - Les PV des réunions - Cahier des doléances de population - Plan communal de développement communautaire PCDC - Nombre de grille complétées et transmis ACTIVITES 1. Organiser 3 ateliers de formation de 150 administratifs locaux par commune des 11 communes sur la loi communale 2. Former 50 leaders communautaires par commune des 11 communes de la province de Gitega sur la loi communale et la fiche d évaluation du administratifs ont été formés dirigeant Les commentaires du conférencier : La logique de l intervention est une condition préalable. Les conditions prélables et hypothèses critiques leaders communautaires sont formés - Rapports de formation - Liste des présences

21 La structure du projet est décliné en objectif global, objectifs spécifiques, résultats et activités les indidicteurs objectivement vérifiables sont les objectifs immédiats exprimés en termes quantitatifs qualitatifs de temps de groupes cibles et de lieu les moyens de vérifiaction font référence aux sources d informations qui indiquent la progrssion du projet en fonction des objectifs Liste de contrôle du CADRE LOGIQUE. 1. Le projet a t-il été identifié correctement? 2. Le projet reconnaît il les différences entre les rôles et les besoins de toutes les parties prenantes 3. les activités sont elles développées en conséquence 4. les séquences activités résultats objectifs sont elles logiquement cohérentes et consistantes 5. La théorie du changement : Travaux en groupes sur la planification opérationnelle. Groupe I : Objectif : Former 500 élus locaux pour dix communes cibles sur les règles et principes démocratiques et la loi communale : Identifier les 500 personnes organiser la formation Disponibiliser les modules Préciser les TDR Recruter contacter le lieu de la formation rassembler le matériel de formation lancer des invitations aux participants contacter et informer les autorités administratives contacter le service traiteur achat du kit pour participants Résultat : 500 élus locaux des 10 communes sont formés sur les règles et principes démocratiques ainsi que sur la loi communale Activité : Identification des 500 élus locaux des 10 communes. Moyens et coûts : Moyens Coût Téléphoner les curés des paroisses 120 $

22 Téléphoner 8 présidents des CDJP Téléphoner 6 CPJP Lettre du projet aux CDJP Impression de 600 invitations (600 x 70) Expédition des invitations TOTAL 160 $ 120 $ 150 $ 50 $ 100$ 700$ GROUPE II : Activité : Sensibiliser 500 élus de 10 communes cibles sur l importance d encadrer la population pour la mise en application des principes et valeurs démocratiques. 1. Identification des élus locaux à sensibiliser pour 1500 $ 2. Elaboration du module.1000$ 3. Location salle 1500$ 4. Location véhicule 1800$ 5. Achat carburant $ 6. Matériel didactique.600 $ 7. Honoraire du formateur..4500$ 8. Frais de déplacement des participants.7500$ 9. Frais de restauration..7500$ 10. Frais de mission du chargé de projet.1800 $ 11. Multiplication du module..2500$ 12. Frais de communication 300$ Suivi : $ Personnel.10800$ Temps : 16 mois. Budget Global : $ Chronogramme : 1. 3 ème mois : production du module 2. Entre le 3 ème mois et le 6 ème : Formation 3. 9 ème mois : Suivi. Théorie de changement. Si 50 élus locaux des 10 communes cibles sont sensibilisés sur les valeurs et principes démocratiques et s ils s engagent à encadrer la population dans la mise en pratique de ces valeurs et principes, alors la population des collines ciblées dans la zone d intervention bénéficie d un encadrement régulier sur l application des valeurs et principes démocratiques. Groupe III :

23 Activité : Appuyer X élus locaux des 10 communes cibles en mettant à leur disposition des outils de travail pour l encadrement de la population. Résultat escompté : Pendant 12 mois, la population de X collines de 10 communes cibles bénéficie d un encadrement régulier de leurs élus locaux sur l application des valeurs et principes démocratiques. Opérationnalisation : Durée : une année (12 mois d encadrement). A. Moyens humains : 30 encadreurs (élus formés) B. Moyens matériels : copies de la loi communale copies du module de formation sur les valeurs et principes démocratiques blocs notes (pour 30 encadreurs + 60 bénéficiaires des collines, 2 blocs /an +imprévus) stylos (idem) rames de papier pour le rapport trimestriel enveloppes sacs pour l envoi du rapport 7. Frais de communication C. Moyens financiers 1. Communication : / mois x 30 x 12 = Fbu 2. Multiplication du module : 100 x 60 copies x 30 = Fbu 3. Blocs notes : 1000 x 200 = Multiplication loi communale : 100 x 60 copies x 30 = Fbu 5. Stylos : 8000 / Paquet de 50 x 4 = Enveloppes : 250 x 120 = Rame de papier : x 30 = Total : FBU Le Système de suivi évaluation axé sur les résultats : les dix étapes pour concevoir, mettre en place et maintenir un système de suivi et évaluation.

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