DEFINITON ET EVALUATION DE LA POLITIQUE DEPARTEMENTALE D INSERTION

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1 DEFINITON ET EVALUATION DE LA POLITIQUE DEPARTEMENTALE D INSERTION GRILLE DE RESTITUTION DES RÉSULTATS ET ENSEIGNEMENTS DES ATELIERS TERRITORIAUX THEMATIQUE EMPLOI, FORMATION, INSERTION PROFESSIONNELLE Territoire : _ UTAS 8 _ Date de réunion : 5 /5/10 1. Note d'ambiance et de contexte général sur l'atelier (nombre de participants, thèmes les plus mobilisateurs, observations générales ) : Ambiance : Très bonne Bonne Moyenne Tendue Les participants : - Nombre de participants invités : 75 - Nombre de participants présents :33 - Nombre de participants excusés Contacts : Direction de l Insertion du Département, Cabinet ANSA 1

2 2. Principaux résultats (en référence aux deux groupes de travail et aux questions clefs indiqués dans le diaporama) : Quels sont les points forts et les points faibles du territoire concernant l emploi, la formation et l insertion professionnelle? Points forts LE PARTENARIAT : - Volontarisme des partenaires, des institutions - Partenariat consolidé - Réseau partenarial - Nombreux diapositifs qu ils conviendraient de mutualiser afin de toucher un maximum de public - Partenariat vivant - Bon partenariat avec les référent - Échange, réunion avec les autre structures d insertion positives -Le maillage en terme de structure et d intervenant - La connaissance du secteur géographique, de ses besoins, de son public - Les résultats obtenus des actions - Le relationnel avec pôle Emploi - Présence accrue des associations d insertion et organisme d aide à l emploi - Motivation des bénéficières assez important - Communication transversale positives - Le travail des communauté de commune CERTAINS ASPECTS DU TERRITOIRE - Qualité de vie du milieu rural Points Faibles N 1 PROBLEME DE MOBILITE «Mobilité réduite, transports inadaptés, dispersion géographique des acteurs, Problème de mobilité qui limite l autonomie des personnes, manque de mobilité dans la tête, appréhension à bouger, L éloignement des service publics (administration, CAF, CPAM ), des organismes de formation» Le problème de mobilité est double : il est à la fois géographique et intellectuel. Le permis B constitue un élément essentiel pour être embauché sur certains secteurs d activité (bâtiment, agriculture, et espaces verts où le permis EB est également nécessaire). Le transport à 2 n est pas applicable sur certaine lignes de bus SNCF (Ex. Neufchâtel Dieppe à plus de 6 ) et les interconnexions des lignes sont très compliquées. Le transport à la demande (TAD) ne solutionne qu en partie le problème : des ajustement restent encore à faire comme par exemple prévoir les transports des cantons de Saint Saens et d Aumale vers Neufchâtel qui reste le point d attraction le plus fort de l UTAS et permettre un plus grande flexibilité des horaires pour amener les usagers aux modules MCC qui commencent à 8H30 ou un RDV Pôle Emploi qui serait fixé à 9H. De plus le dispositif TAD n est pas conçu pour aider le s personnes à se rendre sur leur lieu de travail. Les BRSA ne connaissent pas assez les outils mis à leur disposition pour favoriser la mobilité. Quand ils doivent se déplacer, ils font davantage appel au système d entraide. Il apparaît difficile de faire bouger les mentalités : Travailler un projet de déménagement est d autant plus difficile que l emploi Contacts : Direction de l Insertion du Département, Cabinet ANSA 2

3 - Tissu des petites entreprises sur le territoire - Attractivité du pays reste précaire et que les personnes ne déménagent que dans la mesure où il existe pour elles un avenir et une stabilité. Elles ne déménagent pas pour un CDD ou un emploi en intérim. Le territoire est très rural Les personnes sont particulièrement attachées à leur territoire et il est difficile de les en faire sortir, elles sont «enracinées» La maison, l environnement familial constituent des zones de confort qui peuvent parfois paraitre plus important que l emploi. Ce constat est spécifique au milieu rural. N 2 PROBLEME DE FORMATION / QUALIFIATION Manque de personnes qualifiés faible niveau de qualification; pas assez d organisme de formation ; manque de formation qualifiante pour les niveau V, manque de formation dans certains domaines; qualification insuffisante ou inadaptée Sur le territoire les qualifications sont de très bas niveau or le travail a évolué et exige de plus en plus de qualification En effet dans le contexte de mondialisation, les entreprises ont un niveau d exigence de plus en plus important et parfois même disproportionné. Non seulement la qualification devient incontournable mais en plus elle doit s adapter rapidement aux évolutions et à la demande de l entreprise. L UTAS 8 souffre d un manque d offre de formation (Il y a bien des préparations à la qualification mais très peu de qualifiants) et paradoxalement le fait de mettre des actions de formation au cœur du territoire ne saurait suffire à résoudre le problème de qualification. Autre paradoxe constaté : le territoire souffre d un faible niveau de «qualification» mais compte pourtant de véritable compétences et savoir faire ( cf savoir faire traditionnel de la Vallée de la Bresle). Il y a un problème de mobilisation des publics vers la formation. Par exemple, les modules Maitriser les Compétences Clés ne se remplissent pas alors même que les besoins en remise à niveau sont importants sur ce territoire ( beaucoup 3

4 de niveau V et VI). Des formations se sont ensuite organisées en direction des jeunes mais elles ne fonctionnent pas faute de candidats. Trois types de public sont repérés comme étant en difficulté à amener vers la formation : - les jeunes sortis du système scolaire qui ne veulent pas connaître un nouvel échec, - les moins jeunes proches de l emploi qui ont déjà réalisé plusieurs fois des formations et qui se bloquent pensant que leurs efforts sont vains, - et enfin les personnes qui ont fait leur vie dans l entreprise et qui ne sont pas prêtes à se former pour leur reconversion. Il faut aussi rappeler que les bénéficiaires du RSA représentent un public qui est en recherche de solutions depuis des années et qu il peut avoir tendance à ne plus y croire. Par rapport aux jeunes, on remarque une importante désaffection et beaucoup d abandon pour les filières en apprentissage. Le problème des jeunes est qu ils se font de fausses idées sur le monde du travail. En somme, soit il existe un public motivé à se former qui est pénalisé par l éloignement des centres de formation (Ex : une personne de Forges les Eaux qui doit sur rendre sur Saint Etienne du Rouvray pour une formation doit compter une heure et demi de trajet), soit l offre existe parce que le besoin a été ressenti à un moment donné par les institutionnels mais le public ne se mobilise pas. Des actions se sont dernièrement mises en place pour remédier au manque d organisme de formation. - Par exemple l AFPA propose des actions de formation territorialisées quand elles ne nécessitent pas trop de moyens lourds (cf plateau technique) et pour les formations qui ne peuvent pas être décentralisées, l AFPA essaie de 4

5 proposer des solutions à la mobilité.. - Actuellement, Le Pôle Emploi du Tréport travaille un projet de formation CACES à organiser sur le territoire même avec l appui d un entreprise qui mettrait à disposition la logistique. - Les Pôles Emploi tentent de développer au maximum le dispositif CAF (Contrat d accompagnement à la formation), - la DIRECTE évoque l existence d un logiciel qui est conçu pour donner de l appétence à la formation Le problème reste que ces types d outils, de dispositifs sont très couteux et ne peuvent concerner qu un tout petit nombre de candidats. UN TERRITOIRE OFFRANT PEU DE CHANCE D INSERTION «Faible densité de population, pas assez de grandes entreprises, offre d emploi trop restrictive, une industrie en déclin, peu de croissance économique, choix professionnel restreint des demandeurs d emploi, faiblesse du tissu industriel et commercial» Sur le Pays de Bray et encore plus sur la Vallée de la Bresle, l industrie est en déclin. Des industries (ateliers de confection par exemple) ont disparu ou continuent de disparaître (secteur verrier de la vallée de la Bresle) et elles ne sont pas remplacées. Or dans l état d esprit des familles rien n a bougé. Les jeunes, comme les anciens pensent pouvoir travailler près de chez eux et faire carrière dans une seule et même entreprise. Sur ce territoire le travail en entreprise s est transmis de père en fils pendant des générations, les familles ont fait bâtir autour de l usine et n avaient pas besoin de transport. La culture rurale et l enracinement au territoire constituent les principaux freins à la mobilité professionnelle. Quelques entreprises sont toujours sur le territoire et on est dans une logique où tout le monde attend (encore aujourd hui de s jeunes n ont pas fini leur scolarité pensant pouvoir travailler à l usine d à côté; beaucoup de chômeurs se disent en attente de rentrer sur des usines connues traditionnellement comme Danone, Autoliv; Saint Gobin, le Courval..). Bref, les personnes sont «accrochées culturellement au territoire» 5

6 PARTENARIAIT AVEC LES ACTEURS ECONOMIQUES Manque de mobilisation des acteurs socioéconomiques, difficile mise en relation avec les entreprises. Ce phénomène s explique sans doute parce que le territoire compte un grand nombre de très petites entreprises. MANQUE DE PORTAGE POLITIQUE Faiblesse, voire absence de portage politique des problématiques du territoire Les acteurs ont tous la volonté d avancer mais il n existe pas sur le territoire un lieu institutionnalisé (donc une volonté politique) de mettre autour de la table l ensemble des acteurs. C est à l occasion d une réunion comme les Ateliers d Insertion que cela pourrait se faire. MANQUE D OUTILS IAE Pas assez de SIAE plus particulièrement d un chantier d insertion sur Gournay, d ETTI, arence de dispositif d insertion sur certaine zone du territoire (ACI) 6

7 Quels sont les axes à faire évoluer et ceux à développer? MOBILITE Axes à faire évoluer et à développer Objectifs ( l animateur devra au fil de son animation faire ressortir ces objectifs) MOBILITE Les institutions doivent financer des projets qui tiennent compte tant du problème structurel que du problème intellectuel de la mobilité (ex nouveau financement FIPJ, révision du cahier des charges des actions Autonomie et Mobilité en milieu rural» financé par le Département ) Soutenir davantage l accompagnement à la mobilité : - il s agit véritablement de pousser, porter les gens Le travailleur social ne doit pas se limiter à un accompagnement moral et se cantonner à un discours. Il peut aussi se déplacer physiquement avec les personnes, prendre le temps de faire les trajets avec elles. L action parrainage menée par la mission locale constitue un bon exemple : elle nécessite de prendre du temps, une disponibilité à des moments clefs. Les résultats de ce dispositif sont très encourageants puisque 60% des jeunes parrainés ont décroché un emploi. - Ne pas imposer la mobilité comme une nécessité (à savoir se rendre mobile pour le travail), mais plutôt comme un plaisir. Il faut éviter de faire culpabiliser les personnes et leur mettre une pression économique mais plutôt leur donner envie. - Face au phénomène d enracinement, il convient de ne pas dissocier les divers accompagnements ( social, medico social, socio professionnel et vers l emploi) du projet de vie. investir autant sur la mobilité structurelle que intellectuelle Faire de la mobilité un objectif transversal à tous les acteurs de l insertion pour faire bouger les mentalités spécifiques au milieu rural mettre en place un dispositif de parrainage pour renforcer le soutien à ceux qui sont le plus en difficulté par rapport à la mobilité. creuser le pourquoi de l enracinement, appuyer l accompagnement sur le projet de vie Contacts : Direction de l Insertion du Département, Cabinet ANSA 7

8 Continuer les démarches engagées par le Service public de l emploi local (SPEL) qui s est réuni dernièrement sur le thème de la mobilité et que s est fixé comme objectif de mutualiser les différents outils des partenaires sur le mobilité et plus précisément de mutualiser des sessions de sensibilisation à la mobilité animées par l ensemble des institutionnels de part et d autres. mutualiser les actions de sensibilisation à la mobilité menées sur le territoire tantôt par le Département, les Pôles Emploi, les missions locales, les structures SIAE FORMATION Il s agit de motiver les bénéficiaires pour les envoyer vers la formation, de mettre en œuvre un véritable travail de redynamisation des publics. Implanter sur l UTAS 8 une plateforme multi filière. Sur les jeunes plus spécifiquement : créer le maillage entre la formation de base et la qualification. Créer plus particulièrement des connexions entre l éducation nationale et le marche du travail, pour que les jeunes comprennent les réalités du marché du travail et bougent leur mentalité. Bien recenser les besoins des entreprises locales en matière de formation. Étant donné la faible densité du territoire, beaucoup d énergie des partenaires va être sollicité pour mettre en place des micro projets de formation qui ne toucheront qu un faible nombre de candidats ( ex de la formation CACES menée par la Pôle Emploi du Tréport ou encore le projet Danone mené par le FORMATION redynamiser les publics en les accompagnant. Quid des outils (travail à partir de logiciel? ) Faire remonter le besoin auprès de la Région Développer le partenariat avec l éducation nationale Tenir un discours cohérent entre les différents partenaires pour faire bouger les mentalités et faire comprendre la réalité du marché du travail, Profiter de la mise en place des Contrats d Accompagnement à la Formation pour élever le niveau de qualification des jeunes se rapprocher du tissu économique local pour recenser les besoins en formation et échanger sur les constats dans le cadre du SPEL par exemple. 8

9 Pole Emploi du Forges les Eaux ) mais les partenaires sont convaincus du bénéfice que cela peut apporter et il faut aller dans ce sens. Rebondir sur les projets économiques en cours ( Exemple : le projet d EPR à Penly qui concernera le secteur de la vallée de la Bresle) pour anticiper sur les futurs besoins en formation et se laisser le temps de sensibiliser la population aux futurs besoins en main d œuvre et à la nécessité de se qualifier. Être en veille par rapport aux différents projets économiques dont pourrait bénéficier le territoire. PARTENARIAT Concernant l insertion professionnelle, le Service Public de l Emploi Local (SPEL) représente déjà un lieu institutionnel où les acteurs peuvent se réunir et échanger autour d objectifs communs, de diagnostics, et de projets à mettre en place localement. Concrètement il permet une coordination des acteurs État (Sous préfecture Pole Emploi ), Région, Département, AFPA, Cap Emploi. il faudrait juste y associer en plus des représentants du monde économique. Les partenaires s interrogent en revanche sur le portage politique du territoire. Associer les entreprises locales à nos objectifs d insertion professionnelle. Le but serait de pouvoir interpeller une entreprise sur un secteur d activités pour un accueillir un bénéficiaire afin de tester un savoir faire (professionnel) ou un savoir être (social) Les entreprises de parrainage répondent en partie à cela. s appuyer sur le SPEL pour renforcer le partenariat autour des objectifs d insertion professionnelle. proposer d y associer des acteurs économiques. Fédérer au maximum les partenaires «techniciens» ( «être en bloc et solidaire») pour relayer le plus clairement possible nos projets auprès des élus. faire travailler ensemble les conseillers Pole Emploi, les référents insertion, le conseiller emploi CG 76 et les associations d insertion SIAE pour la création d un réseau, un fichier d entreprises sensibilisées aux objectifs d insertion. 9

10 Il s agit de mutualiser les moyens entre les différents partenaires, de démystifier le mot social TERRITOIRE La qualité de vie en milieu rural devrait être prétexte à un nouveau projet de territoire (tourisme?) où la réponse économique et industrielle ne peut plus être suffisante. Être force de proposition? 3. La gouvernance du PDI et du PTI Nouvelles propositions L Équipe pluridisciplinaire ne doit pas être le seul lieu de gouvernance locale. Son objet est trop spécifique ( réexamen des situations en vue soit d une réorientation, soit d une suspension) et sa composition trop restreinte (UTAS, Pole Emploi, représentant des CCAS et des bénéficiaires du RSA). Les Commissions Locales d Insertion pourraient donc apporter une complémentarité, sans pour autant avoir le même rôle qu auparavant (par exemple, elles n auraient plus à donner d avis sur l offre d insertion à développer et à conventionner) ni la même fréquence ( qui était mensuelle) Les acteurs défendent en tout cas le positionnement d élus dans la gouvernance locale. Le territoire et le Programme Local d insertion DOIVENT ÊTRE PORTER POLITIQUEMENT. Il faut des lieux de coordination entre acteurs institutionnels pour mettre en commun des diagnostics, objectifs et projets (le SPEL par exemple pour ce qui concerne l insertion professionnelle) mais il faut aussi un instance qui permette des relais d information vers les élus (rapporter notamment les propositions et les actions qui pourraient être mis en place Pôle Emploi trouve intéressant le fait de réunir le partenariat directement autour de situations individuelles. Le but serait 10

11 alors de décloisonner le partenariat puisque chacun a tendance à rester dans sa thématique bien particulière, son champ d action. Il faut le faire dans une logique endo formative : échanger sur des situations doit être un prétexte pour connaitre les pratiques professionnelles de chaque partenaire, savoir «qui fait quoi?» et à terme mutualiser le plus possible les moyens d intervention. Cette expérience a déjà été menée sur le territoire autour du public jeune ( cf projet «inserjeune» de l UTAS 8). La mise en place du Rsa a malheureusement remis en cause le projet en excluant les jeunes ayants droits du dispositif insertion mais l initiative mérite d être réactivée pour le public RSA dans son ensemble. il faut juste éviter d échanger sur des dossiers dits «bloqués» puisqu il s est révélé que nous manquions de réactivité dans ce cas. IL EXISTE UN INTERET DE RETROUVER UNE INSTANCE DE CONCERTATION DE L INSERTION SUR LE TERITOIRE., à l instar des Commission Locale d Insertion, tout en revoyant leur rôle, leur composition et leur rythme. Les coordinations des acteurs doit se dérouler à deux niveaux : - un niveau local technique associant les professionnels par thématique - un niveau d instance plus large associant les élus où sont rapportées les actions et propositions. 11

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