LA RELAT A ION D AIDE Chevalier Sébastien,Bouchonnet David, IFSI de Lens, le 10/02/2009
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- Sophie Labranche
- il y a 6 ans
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1 LA RELATION D AIDE avi
2 PLAN Définition Les objectifs Les critères Communication, observation, Écoute Rôle infirmier et relation d aide dans les psychoses
3 DEFINITION Rapport privilégié entre le soignant et le soigné. A pour but de maintenir, d améliorer la santé ou d accompagner Permet de faire un ajustement personnel face à une situation Permet à l individu de trouver en lui ses propres réponses
4 La relation d aide et centrée sur l autre Elle peut-être circonstancielle, thérapeutique ou se vivre dans la durée à l intérieur d un processus d accompagnement, d assistance Son rôle est de créer un climat, d apporter des informations, d offrir les conditions nécessaires à l évolution de la personne et à la résolution de problème Pour cela, il faut fixer des objectifs
5 LES OBJECTIFS Comprendre ce qui se passe pour le demandeur Découvrir la manière dont il éprouve la situation Clarifier progressivement son vécu Rechercher des moyens ou ressources pour développer sa capacité à faire un choix Mais il est également nécessaire de tenir compte de certains critères
6 LES CRITERES Accepter l autre tel qu il est Rester neutre vis-à-vis de la personne aidée Respecter l aidé Percevoir l autre comme unique et capable d évoluer Pour cela il est nécessaire de bien observer et communiquer
7 COMMUNICATION, OBSERVATION, ECOUTE La communication est le lien essentiel avec l autre Il y a la communication verbale mais d autres existent aussi Pour communiquer, il faut être attentif à la souffrance de l autre La communication implique de la compréhension: importance de la reformulation La communication regroupe l écoute, l observation, ce qui est entendu.
8 L OBSERVATION Capter les sens, le message de tel ou tel phénomène relationnel Ne pas anticiper les réactions Il faut être conscient que l on ne perçoit pas tous les aspects psychologiques de la personne
9 L ECOUTE L écoute n est pas quelque chose de facile Il faut se décentrer de soi pour se focaliser sur l autre Il faut être capable de recevoir/recueillir Il faut être attentif à l autre L écoute doit être compréhensive: reformuler, résumé Il faut lâcher ses défenses, renoncer à ses croyances, ne pas opposer de résistances et ne pas juger
10 Écouter s est savoir se taire, stimuler si nécessaire, personnaliser le témoignage, amplifier et relier pour vérifier la bonne compréhension, être sensible aux émotions, clarifier et réactualiser
11 LES OBSACLES A L ECOUTE La résonance La déception L incertitude sur moi ou sur autrui Le désir sur l autre Le désir de contrôler ce qui est dit Le «pseudo respect»
12 L OBSERVATION La subjectivité La déformation professionnelle La signification intellectuelle de ce qui est dit L égocentrisme
13 ROLE INFIRMIER ET RELATION D AIDE DANS LES PSYCHOSES Les différentes psychoses La bouffée délirante La schizophrénie Les délires chroniques non schizophréniques Les troubles bipolaires mélancolie
14 LA BOUFFEE DELIRANTE Les bouffées délirantes regroupent un certains nombres d états psychotiques aigus Touchent souvent des sujets jeunes, fragiles et immatures Facteurs déclenchants sont manifestes (traumatisme affectif, transplantation, )
15 PRINCIPAUX SIGNES Elle éclate «comme un coup de tonnerre dans un ciel serein» (MAGNAN) Délires Idées de persécution Idées de grandeur Transformation corporelle Hallucinations Auditives Visuelles olfactives
16 Troubles thymiques Angoisse Troubles de la conscience
17 ROLE INFIRMIER DANS LES BOUFFEES DELIRANTES Nécessité de prendre un infirmier référent Explication des soins au patient Abord centré sur le corps au début (paramètres, alimentation, hygiène corporelle): effet apaisant Pour les convictions délirantes, il est inutile de contredire. La «distance» thérapeutique a son importance (expérience professionnelle) Qualité de la relation est importante surtout pour le suivi après la sortie
18 LA SCHIZOPHRENIE Plus fréquente des maladies mentales de l adulte jeune Plusieurs formes de schizophrénie Hébéphrénie (autisme prédomine) Hébéphrénie-catatonie (prédominance des troubles moteurs) Schizophrénie paranoïde (associe syndrome dissociatif, délire et autisme)
19 Schizophrénie simple (symptomatologie pauvre) Schizophrénie dysthymique (accès aigu de manie ou de dépressions atypiques) Forme pseudo-psychopathique ou héboidophrénie (troubles psychopathiques)
20 ROLE INFIRMIER DANS LA SCHIZOPHRENIE Le patient schizophrène est très sensible aux attitudes de l entourage et réagi le plus souvent par des troubles du comportement et des actes immotivés L infirmier doit prendre la juste mesure de l autisme Reconnaître l angoisse sans la partager Répondre à l ambivalence en offrant une image stable Contact avec la famille est important
21 DELIRES CHRONIQUES NON SCHIZOPHRENIQUES Ensemble des délires chroniques non schizophréniques correspondant aux psychoses d évolution prolongée, non dissociatives, plus ou moins sensibles aux neuroleptiques, dans lesquelles les convictions délirantes sont durables ou permanentes
22 3 mécanismes: Les psychoses délirantes systématisées ou paranoïa (interprétation) La psychose hallucinatoire chronique (hallucination) La psychose fantastique ou paraphrénie (imagination)
23 ROLE INFIRMIER DANS LES DELIRES CHRONIQUES Ne pas mésestimer l anxiété: éviter des attitudes de rejet, d inquiétude, de fausse indifférence. Surtout pas de contre agressivité: aménager une distance relationnelle Pas de proximité par des attitudes familières: risque de perte de vigilance sur les attitudes, les mots, les comportements que le patient va interpréter rapidement
24 Amener le patient à parler de son délire sans mettre en danger sa relation avec son interlocuteur Ne pas chercher à prolonger une conversation que le patient a décidé d arrêter Ne pas réactiver le délire, s il n est plus exprimer, par des questions
25 LES TROUBLES BIPOLAIRES Psychose maniaco-dépressive est l affectation pour laquelle le déterminisme hérédo-génétique semble le plus évident Survenue cyclique des accès
26 ROLE INFIRMIER DANS LES TROUBLES BIPOLAIRES Savoir que la jovialité du maniaque peut rapidement laisser place à la colère ou l agitation agressive Trouver la juste distance: trop proche, c est une entrave au soin, trop distant, peut être vécu comme un comportement agressif Tolérance de l hyper activité Éducation quant à la prise du traitement Protéger les intérêts du patient
27 LA MELANCOLIE C est un état dépressif sévère au cours duquel le risque de passage à l acte est majeur Est caractérisé par: Une douleur morale Des idées mélancoliques Auto accusations et culpabilité Indignité Incurabilité Idée de ruine, de misère, persécution
28 Dans ces idées mélancoliques le châtiment est attendu, c est souvent la mort Inhibition psychomotrice Désir de mort Troubles somatiques associés (insomnie, anoréxie, constipation
29 ROLE INFIRMIER ET MELANCOLIE Information sur les effets secondaires éventuels du traitement. Écoute quant aux idées de suicide exprimées et transmissions au médecin Ne surtout pas banaliser les troubles qui transparaissent à travers certaines réponses inadaptées. Eviter des réponses du type: «il ne faut pas dire cela, n y pensez plus..»
30 CONCLUSION
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