Dénutrition du sujet âgé

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1 Dénutrition du sujet âgé Formation IFSI IFAS Année universitaire Dr TRINH Olivier - DESC de Gériatrie Service de Médecine Gériatrique

2 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

3 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

4 Concept et besoin Besoin physiologique ou Apport Nutritionnels Conseillés (ANC): Quantité nécessaire pour maintenir des fonctions physiologiques et un état de santé normaux et faire face à certaines périodes de la vie: croissance, gestation, lactation. Infections = besoin en aliment (nutriments) nécessaire pour couvrir la dépense énergétique

5 Concept et besoin Dépense énergétique (DE) totale: DE de repos 60% de la DE totale métabolisme de base = dépense énergétique "incompressible" Nécessaire au maintien de la vie DE liée à l'effet thermique des aliments 10% de la DE totale DE liée à l exercice physique Part variable

6 DEPENSE ENERGETIQUE TOTALE Concept et besoin DE lié à l exercice physique 10% DE lié à l effet thermique des aliments 60% DE de repos: métabolisme basal

7 Concept et besoin Avec l âge Que se passe-t-il?

8 DEPENSE ENERGETIQUE TOTALE Concept et besoin DE lié à l exercice physique: des exercices physiques, Mais pour une même intensité DE 10% DE lié à l effet thermique des aliments 60% DE de repos: métabolisme basal: métabolisme basal par masse maigre Mais rapporté au proportion pas de variation

9 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

10 Vrai ou Faux? Avec l âge, l appétit diminue car les besoins énergétiques sont moindre VRAI ou FAUX

11 Vrai ou Faux? FAUX

12 Vrai ou Faux? DEPENDE ENERGETIQUE TOTALE pour des activités physiques faibles AGE ADULTE Homme: 2200 kcal/j Femme: 1800 kcal/j SUJET AGE 30 kcal/kg/j = 1,35 x DE de base 1800 kcal/j

13 Vrai ou Faux? DEPENDE ENERGETIQUE TOTALE pour des activités physiques faibles AGE ADULTE Homme: 2200 kcal/j Femme: 1800 kcal/j SUJET AGE 30 kcal/kg/j = 1,35 x DE de base 1800 kcal/j

14 Vrai ou faux? Recommandations des ANC: 30 à 35 kcal/kg/jour Soit 2000 Kcal/jour Minimum d apport = 1500 Kcal/jour

15 Vrai ou Faux? Un obèse peut être dénutri? VRAI ou FAUX

16 Vrai ou Faux Un obèse peut être dénutri VRAI ou FAUX

17 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

18 Physiologie de la nutrition ALIMENT ORGANISME Mise en réserve = STOCKAGE Dépense Energétique Totale

19 Quantité stockée Physiologie de la nutrition LE STOCKAGE = âge adulte

20 Physiologie de la nutrition STOCKAGE = participation à la DE Quand les apports > DE totale LIPIDES ET SUCRES GRAISSES «la petite bedaine, la culotte de cheval» Stockage pratique, facile, faible coût énergétique PROTEINES MUSCLES Stockage faible car coût énergétique important

21 Quantité puisée dans le stock Physiologie de la nutrition Si DE totale > Apport: des réserves MAIS: Energie mobilisable en cas d agression: infection - PROTEINES +++, l organisme puise dans les réserves nobles - faible mobilisation des graisses

22 Physiologie de la nutrition AGRESSION = DE totale mobilisation des réserves les plus facilement accessible = PROTEINES CONSEQUENCES: réserve protéique: DENUTRITION PROTEINO- ENERGETIQUE Stabilisation des réserves lipidiques: OBESE DENUTRI

23 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

24 Définition Dénutrition = DESEQUILIBRE entre apports et dépense Origine ENDOGENE: des besoins Cas des maladies Origine EXOGENE: des apports

25 Clinique Multitudes de signes cliniques: Signes généraux: asthénie, anorexie +++ Troubles phanériens: Sécheresse cutanée, cheveux et ongles cassants Escarres Le point essentiel: LE POIDS! 1 fois / semaine à l hôpital 1 fois / mois en SSR ou EHPAD 1 fois / an au domicile

26 Clinique Diagnostic sur le poids parfois difficile: Différence de balance Bien interroger les patients: Evaluation rapide de la quantité des apports: «Si vous aviez le même plateau repas à la maison, vous mangeriez l ensemble?» Interrogatoire patient, famille: Perte de poids récente Vêtement trop grand +++

27 Diagnostic Recommandations de la HAS: Clinique: Quantifié la perte de poids Calcul de l IMC Biologie: Albumine, pré-albumine

28 Diagnostic Recommandations de la HAS

29 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

30 Epidémiologie

31 Epidémiologie Avant 75 ans 6 à 12% des hommes 25 à 30% des femmes Mangent moins de 1500 Kcal/j Après 75 ans la prévalence de malnutrition augmente de 1% par an

32 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

33 Facteurs de risque, étiologies Facteurs de risque indépendants de l âge = MALADIES CHRONIQUES: Cancers, Défaillances d organe chroniques et sévères, Pathologies à l origine de maldigestion et/ou de malabsorption, Alcoolisme chronique, Pathologies infectieuses ou inflammatoires chroniques Phénomènes lents, trompeurs, et SILENCIEUX

34 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

35 Facteurs EXTRINSEQUES PSYCHO-SOCIO-ENVIRONNEMENTAL Isolement social Deuil Difficultés financières Maltraitance Hospitalisation Chgt des habitudes de vie : entrée en institution TRAITEMENTS AU LONG COURS Polymédication Médicaments entraînant une sécheresse de la bouche, une dysgueusie, des troubles digestifs, une anorexie, une somnolence, etc. Corticoïdes au long cours REGIMES RESTRICTIFS Sans sel Amaigrissant Diabétique Hypocholestérolémiant Sans résidu au long cours DEPENDANCE Dépendance pour l alimentation Dépendance pour la mobilité

36 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

37 Facteurs INTRINSEQUES TROUBLES BUCCO-DENTAIRES Trouble de la mastication Mauvais état dentaire Appareillage mal adapté Sécheresse de la bouche Candidose oro-pharyngée Dysgueusie d DEMENTIEL, PSY, NEUROLOGIQUE Maladie d Alzheimer Autres démences Syndrome confusionnel Troubles de la vigilance Syndrome parkinsonien Syndromes dépressifs Troubles du comportement TROUBLES DE LA DEGLUTITION Pathologie ORL Pathologie neurologique dégénérative ou vasculaire PATHOLOGIE AIGÛE OU DECOMPENSATION DE PATHOLOGIE CHRONIQUE Douleur Pathologie infectieuse Fracture entraînant une impotence fonctionnelle Intervention chirurgicale Constipation sévère Escarres

38 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

39 Conséquences Carence spirale de dénutrition engageant le pronostic vital

40 Conséquences Risque d aggravation: D un état de fragilité vers un état pathologique Des maladies chroniques

41 Conséquences Dénutrition = retentissement sur l ensemble de l organisme d où hospitalisation et durée d hospitalisation pathologies infectieuses mais synthèse d Anticorps consommation médicamenteuse Spirale infernale: entrée en institution risque de chute et de fracture

42 Dénutrition du sujet âgé CONCEPT ET BESOIN: Besoin physiologique Questions pratiques: VRAI ou FAUX? Physiologie de la nutrition DENUTRITION PROTEINO-ENERGETIQUE: Définition, Clinique, Diagnostic Epidémiologie Facteurs de risque et étiologies: Extrinsèque Intrinsèque Conséquences LUTTER CONTRE LA DENUTRITION: un travail d équipe

43 Lutter contre la dénutrition Contact, Présence, Dialogue favorisent le plaisir au moment du repas NE PAS PARLER PENDANT LA MASTICATION: FAUSSES ROUTES Manger régulièrement, même peu, stimule l appétit Respecter le rythme alimentaire Prendre en compte les goûts

44 Lutter contre la dénutrition La répartition des besoins Petit déjeuner copieux = 20 à 30% Déjeuner correct = 30 à 40% Gouter léger = 10 à 15% Diner suffisant = 20 à 25% Les apports doivent être régulier: Avec des horaires fixes Horaires espacés de 3 heures entre 2 repas Pas plus de 12 heures de jeun nocturne Repas de durée suffisante au moins une heure

45 Lutter contre la dénutrition 2 points clés dans l aide au repas: Surveillance indifférence Donner à manger béquée L AIDE AU REPAS EST UN SOIN

46 Lutter contre la dénutrition Surveillance: Veiller à une alimentation variée tout en tenant compte des goûts Attention à la présentation Attention à la texture: NE PAS TOUT MELANGER Informer le patient du menu Ne pas forcer, ne pas gaver Bânir les comportements infantilisants

47 Lutter contre la dénutrition Donner à manger = SOINS Bon positionnement Endroit approprié Texture adaptée Adapter le rythme à la déglutition du patient

48 Lutter contre la dénutrition Bon positionnement Au fauteuil: éviter le lit Antéflexion de la tête Fesse au fond du fauteuil Pied bien à plat Recoucher après 30

49 Lutter contre la dénutrition Endroit adapté: Atmosphère calme et rassurante En favorisant la convivialité Donner le repas: Parler entre les bouchées mais pas pendant Attendre que la bouche soit vide pour redonner Face à face et encourager

50 Lutter contre la dénutrition En cas de troubles de la déglutition Texture adapté et température adaptée Avis médical Eviter les plats tièdes: très chaud ou très froid Boisson: pensée aux boissons gazeuse Matériel adapté Pas de verre canard Pas de grand verre VERRE TRONQUE REMPLI +++

51 Lutter contre la dénutrition Dénutrition: IL FAUT RENUTRIR ENRICHISSEMENT FRACTIONNEMENT Augmenter le nombre de repas dans la journée petit appétit, donc temps de repas: GOUTER, COLLATION COMPLEMENT NUTRITIF ORAL

52 Lutter contre la dénutrition ENRICHIR Les besoins physiologiques en protéine: 1à 1,2 g/kg/jour Les besoins en situation de stress 1,5 à 2g/kg/jour apport en protéine à volume égal Poudre de lait Jaunes d œufs Beurre, crème fraîche Fromage fondu INVERSE DU SUJET JEUNE: Le soignant ne doit pas comparer les apports d un adulte à ceux d un sujet âgé dénutri VIGNETTE PRATIQUE 10 g de protéines sont apportés : 50 g de viande ¼ de lait 35 g d emmenthal 2 yaourts 100 g de fromage blanc

53 Lutter contre la dénutrition Complément nutritif oraux: Facile: quantification possible Mais attention à la lassitude, aux goûts, à la texture: Boisson, crème Biscuits NE DOIT PAS ETRE LE SEUL SUPPORT A DISTANCE DES REPAS (2h)

54 Lutter contre la dénutrition Avoir une alimentation équilibrée tout au long de la vie

55 Conclusion Dénutrition = enjeu majeur de santé publique autant que l obésité chez l adolescent Complications = coûts pour la société Les mots d ordre Les apports ne diminuent pas avec l âge Pas de régime restrictif chez le vieux Favoriser les apports en protéines

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