Comment revaloriser l enseignement qualifiant?
|
|
- Eric Guérard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Adam Patrick Charlot Celine Nava Diego Scaramozzino Pauline Comment revaloriser l enseignement qualifiant? Principes de politique et d organisation scolaire Titulaires : M. Demeuse, N. Friant 3 e Bachelier Faculté de Psychologie et des sciences de l éducation Année Académique
2 Sommaire Introduction : Qu est-ce que l enseignement qualifiant?... p.3 Comment se diriger dans l enseignement qualifiant?... p.3 Pourquoi se diriger vers enseignement qualifiant : interviews d élèves.. p. 3 Volet politique : Le contrat pour l éducation : difficultés, objectifs, priorités. p.3 Volet scientifique : Statistiques p.5 Volet «opinions réactions» : Les intervenants p.5 Qu est-il ressorti de la table ronde?... p.6 Bibliographie.. p.7 2
3 INTRODUCTION 1. Qu est-ce que l enseignement qualifiant? L enseignement qualifiant définit les enseignements dans les écoles secondaires dirigés vers l apprentissage d un métier, d une profession. 2. Comment se diriger dans l enseignement qualifiant? Comment un élève en vient-il à se diriger dans l enseignement qualifiant? Voici la question à laquelle nous tenterons de répondre. En premier lieu, il convient d observer l orientation de l élève dans l enseignement qualifiant. En effet, à partir du second degré, les passages sont possibles dans toutes les orientations. Ces orientations sont l enseignement général, technique de transition, technique de qualification, artistique de transition et de qualification ainsi que l enseignement professionnel. Des attestations sont délivrées à partir de la fin de la 2 e secondaire. Il existe trois attestations différentes : l attestation d orientation A (AOA), validant la réussite et le passage dans l année supérieure, l attestation d orientation B (AOB), validant la réussite et le passage d année supérieure avec restrictions, et l attestation d orientation C (AOC), n autorisant pas le passage dans l année supérieure. Lorsqu un élève reçoit une AOB, il est dirigé vers l enseignement qualifiant. Toutefois, il a été observé que cette réussite avec restrictions peut être assimilée à un échec par l élève. Suite à cette attestation B, l enseignement qualifiant hérite d une mauvaise réputation. Ces élèves sont relégués par la société, ils deviennent des exclus. L enseignement qualifiant peut être abordé d une toute autre façon. Celui-ci se définit comme un lieu d apprentissage professionnel. Dans les établissements proposant ce type d enseignement, l élève suit une formation afin de pouvoir exercer un métier. Il est donc judicieux ne pas mettre de côté le fait qu il y ait des élèves qui choisissent eux-mêmes de se diriger vers l enseignement qualifiant. 3. Pourquoi se diriger vers enseignement qualifiant : interviews d élèves : Nous avons pour ce travail, interrogé une dizaine de personnes étudiant ou ayant étudié dans l enseignement qualifiant. Nous leur avons demandé les raisons d une telle orientation scolaire. Dans la majeure partie des cas, les personnes se sont orientées dans l enseignement qualifiant après une série d échecs dans l enseignement général, ou par AOB, afin d éviter le redoublement. Un seul sujet a choisi cette orientation de son propre chef. Il est aussi intéressant de remarquer que la plupart des élèves finissant dans l enseignement qualifiant n ont que peu de motivation à terminer leurs études. L enseignement qualifiant souffre donc effectivement d une mauvaise image, car bien trop d élève s y retrouvent par obligation et n ont, par conséquent, que peu de motivation à suivre les cours et à les réussir. VOLET POLITIQUE 1. Le contrat pour l éducation : difficultés, objectifs, priorités : La Communauté française de Belgique a créé le Contrat pour l Ecole. Ce contrat a été créé en vue de pallier certains problèmes, sinon de les faire disparaitre, au moins de réduire leurs conséquences. Le Contrat pour l Ecole est un projet qui ne pourra se réaliser que si les efforts de tous 3
4 sont rassemblés. Il ne prétend pas pouvoir remédier à toutes les difficultés présentes actuellement, mais simplement d aider à améliorer la situation actuelle. Le Contrat pour l Ecole se base sur quatre difficultés, six objectifs et dix priorités. Parmi les quatre difficultés, une seule retient notre attention quant à la question principale : «Certaines filières et certaines options sont alimentées par un choix négatif, vécu par les élèves comme une forme d échec et, souvent, de relégation. Cet état de fait, notamment lié à la structure et aux usages du système éducatif, est totalement contre-productif». Cela démontre bien qu il y a un réel problème de réputation de l enseignement qualifiant, qui est clairement dévalorisé. Concernant les objectifs, nous n en retiendrons que trois d entre eux. Les objectifs 4, 5 et 6 touchent, ne serait-ce qu en partie, à notre question et peut contribuer à y répondre. L objectif 4 du Contrat pour l Ecole est : «Favoriser la mixité sociale dans chaque établissement scolaire et dans chaque filière». Cet objectif décrit la façon dont les étudiants sont repartis dans les écoles, voire dans les classes. Cette répartition s effectue toujours selon la classe sociale et le niveau culturel. Il est aussi noté que selon l établissement choisi, les performances scolaires peuvent varier fortement d un établissement à l autre. Selon certaines recherches, un bénéfice non négligeable est apporté par le fait de mêler les élèves de toutes les catégories. En effet, l efficacité est augmentée tant dans le système scolaire que pour chaque personne en bénéficiant. Le but de cet objectif est de découvrir les processus engendrant la ségrégation et de les annihiler. L objectif 4 propose alors des épreuves destinées à déterminer les différences présentes entre les performances et les écoles et à observer le niveau de ségrégation sociale. L objectif 5 cite : «Mettre sur un pied d égalité les différentes filières d enseignement afin que le choix de la filière soit un choix positif». Souvent, l étudiant passe de la section générale à une section qualifiante car l école lui a attribué une attestation d orientation B, qui autorise le passage dans l année supérieure au moyen de restrictions. Il arrive cependant que des jeunes se dirigent vers l enseignement qualifiant par choix murement réfléchi. D après cet objectif, toute filière dispose d objectifs spécifiques. Une hiérarchie s est également imposée involontairement. Le Contrat pour l Ecole a pour but d égaliser les différentes filières, égalité mesurée au moyen d indicateurs, tout en réduisant les arrivées involontaires dans l enseignement qualifiant ainsi que la relégation en découlant. Les efforts résultant de cet objectif 5 visent majoritairement à diminuer les attestions moyennant restriction, avec complémentairement une augmentation de choix d orientation purement volontaire et positif. Enfin, voici l objectif 6 : «Lutter contre tous les mécanismes de relégation qui existent au niveau des établissements d enseignement». Les filières constituent effectivement une raison de la relégation. Véritablement, des élèves considérés comme plus faibles que la moyenne sont généralement redirigés de leur école de départ vers une école plus faible, où les cours sont moins poussés par exemple. L objectif 6 cherche à supprimer cette tendance, de façon à faire augmenter l intégration, qui sera mesurée à l aide d indicateurs. Viennent ensuite les priorités. Seule la priorité 4 nous a semblé appropriée à la question : «Choisir et apprendre un métier à l école». L enseignement qualifiant, par définition, apprend à des étudiants un métier, ce qui est une très grande source de motivation, tout en donnant du sens à l enseignement secondaire. Dans ce cas, il importe que les conditions d enseignement et donc d apprentissage soient les meilleures. Il est donc essentiel que les moyens attribués à l enseignement soient adaptés et que les compétences soient très bien spécifiées. La priorité 4 se divise en cinq points : - Les équipements destinés aux élèves doivent correspondre au monde du travail, des investissements doivent être exécutés afin de répondre à cette exigence. Trois orientations sont prises : le renforcement des équipements de base des écoles, une utilisation accrues des équipements régionaux, la création de centre de technologie avancée. (Contrat pour l Ecole, ) 4
5 - Les stages étant sources de motivation et de réussite, leur organisation doit devenir automatique dans le 3 e degré de l enseignement technique et professionnel. (Contrat pour l Ecole, ) - Les compétences et la formation nécessaires pour exercer un métier sont spécifiées, afin de valoriser une approche métier. (Contrat pour l Ecole, ) - Inscrire l alternance dans l enseignement qualifiant, pour contribuer à l acquisition d un certificat de qualification. Les CEFA sont amenés à renforcer la formation générale. (Contrat pour l Ecole, ) - Organisation de l enseignement technique et professionnel en modules. (Contrat pour l Ecole) VOLET SCIENTIFIQUE 1. Statistiques : Les statistiques sont issues du site des indicateurs de l enseignement. Nous avons repris les statistiques concernant la répartition différenciée des effectifs scolaires entre les différents niveaux, types et formes d enseignement ordinaires en 2008 : Dans le secondaire en général, le taux de retard est de 30% en moyenne. La situation est différente dans toutes les autres formes du secondaire où, quelle que soit l année d études, les taux sont près de deux fois supérieurs à ceux du général. En effet, en 3e année, le taux de retard passe de 27 % pour le général à 55 % en technique de transition, 72 % en technique de qualification, 77 % en professionnelle et plus de 90 % dans les CÉFA. La proportion d élèves de nationalité étrangère augmente dans les sections de qualification pour atteindre un maximum en professionnelle, principalement au 4e degré, type d études complémentaires où la proportion d élèves de nationalité étrangère, principalement des étudiants français, atteint 56 % en 1re année. De façon très générale, les formes d enseignement et les années d études enregistrant le plus d élèves en retard scolaire sont aussi les formes et les années les plus masculines et celles enregistrant le plus de jeunes de nationalité étrangère. ( VOLET OPINIONS REACTIONS 1. Les intervenants : Pour cette table ronde, nous avons tout d abord sollicité Philippe Fontaine, pour son ancien poste en tant que président de la commission de l éducation de 1999 à Nous pensons que grâce à ce poste, il était intéressant de connaitre son point de vue concernant les politiques d éducations. De plus, il fut professeur de français de 1967 à Nous avons également contacté Nadine Joelants, Préfète des Etudes à l Athénée Provincial Jean d Avesnes, établissement reprenant des sections de transition ainsi que des sections qualifiantes. Enfin, nous avons fait appel à Monsieur Thierry Brenart, ancien enseignant dans un établissement professionnel, actuellement économe au nursing de La Louvière. 5
6 2. Qu est-il ressorti de la table ronde? Notre débat s étant principalement organisé autour de plusieurs questions, nous vous présenterons quelques questions ainsi que les idées qui nous ont paru importantes lors de la discussion. La première question porte sur l avis de nos intervenants à propos de l enseignement qualifiant. Il en ressort que l enseignement qualifiant est perçu comme un enseignement très utile, indispensable ; il est à la base du développement économique de la région. Beaucoup de chefs d entreprise sont issus de l enseignement qualifiant. Cependant, comme il a été remarqué par Philippe Fontaine, cet enseignement subit une mauvaise image depuis plus de 40 ans, car l opinion publique a beaucoup sous-estimé la qualité de ce type d enseignement. De plus, cet enseignement porte une étiquette d enseignement de relégation. Certains enseignants et parents évitent alors cet enseignement. La solution pour contrer cette dévalorisation serait donc d augmenter l information, de valoriser le métier manuel afin de redorer l image des enseignements technique et professionnel, et ce, dés le plus jeune age des enfants. La deuxième question se porte sur l image négative que doit supporter cet enseignement. Il existe plusieurs facteurs, le principal étant le facteur de relégation. Un individu qui échoue passera de l enseignement général à l enseignement technique, puis dans l enseignement professionnel. Les élèves perdent leur confiance. L argent représente un autre facteur de relégation. En effet, il est ancré dans beaucoup d esprit qu un métier intellectuel vaut mieux qu un métier manuel. La réussite personnelle et l épanouissement grâce à l enseignement qualifiant sont donc souvent oubliés. Il a aussi été souligné que les écoles font face a des problèmes de financement, et manquent alors de matériel indispensable. Le matériel présent dans les établissements est bien souvent vétuste et n est pas adapté pour le marché actuel de l emploi. De plus, les écoles étant parfois très proches géographiquement parlant, il faudrait rassembler tout les moyens, en rationalisant les enseignements. La législation est aussi un facteur de dévalorisation. Les lois sont souvent très complexes et sont incomprises par les parents. Vient alors la question sur les programmes des cours. Comme précisé par les intervenants, une formation manuelle s acquiert avec le temps, avec de l expérience, mais l idée d un socle commun a été mise en évidence. En effet, ce socle engendrerait une réduction des inégalités entre les élèves de l enseignement qualifiant et ceux de l enseignement général. L orientation est également un facteur important. En Belgique, c est bien souvent l école qui oriente l individu lors d échecs. Dans certains pays, c est un organisme extérieur qui oriente l individu dans ses études. De plus il a été souligné que l école instruit, mais éduque aussi. Il faut former le citoyen comme décrit dans le décret Mission. Nous visons l épanouissement du sujet, son développement, mais aussi son intégration dans la société. D après les intervenants, les programmes ne devraient pas être trop précis. En effet, il faut donner assez de possibilités, et donc former un élève polyvalent pouvant s intégrer dans plusieurs situations professionnelles. Actuellement, il existe des brevets qui font bien souvent concurrence à l école qualifiante. Mais dans ce genre de formation, on oublie la formation à la citoyenneté. Un autre élément important est la non-motivation des élèves. Cette non-motivation provient du sentiment d échec. L élève se retrouve obligé d étudier dans l enseignement qualifiant parce qu il a raté ; il subit donc l enseignement. Bien souvent, parents et enfants se font de faux espoirs à 6
7 propos de l enseignement qualifiant. Il y a bien souvent un désir de tremplin pour revenir vers l enseignement général, mais ce fait est très rare. L option est aussi un facteur de motivation, c'est-à-dire que la population est différente en fonction des options. Prenons un exemple : il y a l option horticulture, dans laquelle les élèves doivent intégrer de nombreuses connaissances, doivent parfois travailler dans des conditions inhumaines, et l option coiffure, où se trouvent beaucoup plus d élève qui sont la à la suite d échecs. L école devient alors, dans certaines situations, plus une garderie qu un instrument d éducation et d instruction. Ce climat peut influencer les élèves de bonne volonté qui sont là pour étudier et apprendre. Cela implique que le phénomène de relégation touche aussi les non relégués. L accompagnage est introduit lors de cette table ronde, comme une bonne solution. En effet, il serait très intéressant pour l élève d aller se former dans l entreprise qui possède les ressources techniques nécessaires pour cette formation. L élève apprendrait dans les vraies situations de travail. Un autre point important est la formation de l enseignant, celui-ci doit être compétent dans son métier et dans celui de l art d enseigner. Il serait aussi intéressant qu il puisse reprendre sa place au sein de l entreprise, ou recevoir des formations techniques. Pour conclure, plusieurs facteurs sont responsables de la dévalorisation de l enseignement qualifiant, facteurs tant scolaires que politiques ou sociétaux. Nous avons lors de cette table ronde évoqués plusieurs solutions à moyen et long terme. Nous pouvons résumer les solutions comme ceci : - Améliorer l information concernant cet enseignement. - Orienter et informer dés le plus jeune âge en fonction des désirs et des capacités du sujet. - Coordination entre les écoles et les entreprises. - Augmenter les ressources des écoles. - Privilégier l enseignement en alternance (école, entreprise). - Améliorer les conditions et les statuts des enseignants. BIBLIOGRAPHIE Les indicateurs de l enseignement Le Contrat pour l Ecole : les difficultés Le Contrat pour l Ecole : les objectifs Le Contrat pour l Ecole : les priorités L enseignement 7
REGLEMENT DES ETUDES
P a g e 1 REGLEMENT DES ETUDES INSTITUT DON BOSCO HUY Enseignement ordinaire de plein exercice rue des Cotillages 2-4500 HUY - Tél.: 085/27.07.50 - Fax: 085/23.55.29 E-Mail: direction@donboscohuy.be Site
Plus en détailL endettement chez les jeunes Rapport final
L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-
Plus en détailDocuments nécessaires pour l inscription
Documents nécessaires pour l inscription Annexe 2 Le dossier administratif et le dossier médical complets doivent être obligatoirement déposés au secrétariat de l école avant le 15 septembre 2013 (prendre
Plus en détailProjet d école 2014-2018. Guide méthodologique
Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE
Plus en détailGuide du programme Transition vers l'après-secondaire
Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens
Plus en détailTout dépend de ce qu on veut évaluer
Tout dépend de ce qu on veut évaluer François-Marie GERARD 1 Parent d élèves, je m interroge souvent lors de la remise d interrogations ou de bulletins. Mes enfants sont crédités d une «note» plus ou moins
Plus en détailBienvenue à l UCL, dans une
Bienvenue à l UCL, dans une des 9 universités de la Communauté française des 3300 universités de l Union européenne des 4000 universités européennes (4194 aux USA) des 17000 universités dans le monde Bologne
Plus en détailIntroduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles
Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle
Plus en détailLE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE
LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version
Plus en détailProjet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.
Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement
Plus en détailProfil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique
Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Page 1/6 1. Introduction L enseignement de la Haute Ecole Louvain en Hainaut donne la place centrale à l étudiant. Celui-ci trouvera
Plus en détailPROGRAMME DE MENTORAT
CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailGuide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention
Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions
Plus en détailTravail en groupe Apprendre la coopération
Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailMobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014
Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailLigne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école
Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under
Plus en détailINDUSTRIE ELECTRICIEN INSTALLATEUR MONTEUR ELECTRICIENNE INSTALLATRICE MONTEUSE SECTEUR : 2. Projet : Ecole Compétences -Entreprise
Projet : Ecole Compétences -Entreprise SECTEUR : 2 INDUSTRIE ORIENTATION D'ETUDES : ELECTRICIEN INSTALLATEUR MONTEUR ELECTRICIENNE INSTALLATRICE MONTEUSE Formation en cours de Carrière Avec l aide du Fonds
Plus en détailEcole erber. Dossier de Presse. Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole Kerber. Une école indépendante, laïque et gratuite
Dossier de Presse,,,, Une école indépendante, laïque et gratuite Le 20 octobre 2011 Inauguration l Ecole K Une nouvelle chance pour des enfants de pouvoir apprendre dans les meilleures conditions. Ecole
Plus en détailBourses de Mobilité internationale Fonds Jacques Lewin Inès Baron de Castro Fonds Xenophilia Fonds Bourses de Coopération de l ULB.
Bourses de Mobilité internationale Fonds Jacques Lewin Inès Baron de Castro Fonds Xenophilia Fonds Bourses de Coopération de l ULB Règlement 1. Objet des bourses Il s agit principalement de bourses de
Plus en détailRÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS
RÈGLEMENT NUMÉRO 10 SUR LES CONDITIONS D ADMISSION AUX PROGRAMMES ET D INSCRIPTION AUX COURS Adopté par le conseil d'administration lors de sa 224 e assemblée, le 11 décembre 2001 (résolution n o 1857)
Plus en détailReconnaître les besoins d apprentissage Check-list pour établir l état des lieux Planifier une formation Trouver l offre de formation adéquate
Reconnaître les besoins d apprentissage Check-list pour établir l état des lieux Planifier une formation Trouver l offre de formation adéquate Check-list pour la bonne formation continue Voies de formation
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détailComment améliorer la performance de la paie?
Comment améliorer la performance de la paie? La performance est aujourd hui un enjeu majeur des cabinets Le 67 e Congrès de l ordre des experts-comptables, qui s est tenu à Paris début octobre, a mis en
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailLe Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale,
Règlement de filière du Bachelor of Science HES-SO en International Business Management Version du 14 juillet 2015 Le Rectorat de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale, vu la convention intercantonale
Plus en détailLe 13 e RMT, première édition en Communauté française de Belgique. PHILIPPE SKILBECQ, Responsable de l organisation du RMT pour la SBPMef
RMT Tome 1, 5, 2004-2005 5 Le 13 e RMT, première édition en Communauté française de Belgique. PHILIPPE SKILBECQ, Responsable de l organisation du RMT pour la SBPMef Le Rallye Mathématique Transalpin est
Plus en détailLes principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012
Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.
Plus en détailOffrez un avenir international à vos enfants
E I B : UNE ECOLE INTERNATIONALE BILINGUE MATERNELLE PRIMAIRE u COLLÈGE Dans la lignée de l Ecole Internationale Bilingue d Angers, le Collège accueille vos enfants dès la 6ème dans un environnement sain
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détailEquité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir les élèves et les établissements défavorisés
Equity and Quality in Education. Supporting Disadvantaged Students and Schools Summary in French Accédez au texte intégral: 10.1787/9789264130852-en Equité et qualité dans l'éducation. Comment soutenir
Plus en détailPHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes
PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,
Plus en détailREGLEMENT DU PROGRAMME INTERNATIONAL DE LA SOLVAY BRUSSELS SCHOOL OF ECONOMICS & MANAGEMENT
REGLEMENT DU PROGRAMME INTERNATIONAL DE LA SOLVAY BRUSSELS SCHOOL OF ECONOMICS & MANAGEMENT Ce règlement s applique à tous les étudiants de 3e année du Bachelier et de 1ère et 2ème années de Master de
Plus en détailDossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème
Année scolaire 2014 2015 Dossier de suivi de stage d observation en entreprise en classe de 3 ème STAGE 3 ème Du 02/02/2015 au 06/02/2015 Nom et prénom de l élève : Classe de : Projet d orientation : Nom
Plus en détailRapport d évaluation de la licence
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence Informatique de l Université Paris 6 - Pierre et Marie Curie Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-201 Section des Formations
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailNOTICE POUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE
NOTICE POUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE Cerfa FA14 Avant de conclure un contrat d apprentissage, renseignez-vous sur les règles applicables au contrat ainsi que les dispositions particulières prévues dans
Plus en détailPolyvalente de la Forêt «À la Forêt, mes réussites sont ma fierté!»
Polyvalente de la Forêt «À la Forêt, mes réussites sont ma fierté!» Programme de prêts et bourses du Gouvernement du Québec 2010-2011 2011 www.afe.gouv.qc.ca 1. Qu est est-ce que le Programme de prêts
Plus en détailQuestions et réponses sur la cote de rendement au collégial
Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Mars 2013 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA COTE DE RENDEMENT AU COLLÉGIAL CREPUQ AVANT-PROPOS Ce document apporte des réponses aux principales questions
Plus en détailGuide Enseignant - Comment préparer une intervention d'un professionnel dans une classe de collège
Guide Enseignant - Comment préparer une intervention d'un professionnel dans une classe de collège Le professionnel qui va témoigner dans votre classe peut aussi bien être un chef d entreprise, un mécanicien,
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailCours d été 2015. Aux parents et élèves de 5 e secondaire
Cours d été 2015 Aux parents et élèves de 5 e secondaire Durant l été, la Commission scolaire offre à ses élèves de 5 e secondaire trois services : 1. Des cours en présentiel, dans les matières suivantes
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailINSCRIPTION DES ETUDIANTS NON- RESIDENTS EN BELGIQUE
ACTUEL NORD-PAS DE CALAIS Centre Régional Information Jeunesse Nord-Pas de Calais 2, rue Nicolas Leblanc - 59000 LILLE Tél. : 03.20.12.87.30 - Fax : 03.20.12.87.31 - www.crij-npdc.asso.fr Information Jeunesse
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailMinistère de l Éducation nationale, de l Enfance et de la Jeunesse, 2014 www.men.public.lu Rédaction: ES / EST Layout: Coordination Générale
Le Régime préparatoire de l enseignement secondaire technique Dossier d information Ministère de l Éducation nationale, de l Enfance et de la Jeunesse, 2014 www.men.public.lu Rédaction: ES / EST Layout:
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailOSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL
OSGOODE HALL LAW SCHOOL Université York MÉMOIRE PRIVILÉGIÉ ET CONFIDENTIEL À : &' 1$,'6 M. Richard Drouin, O.C., c.r. Président, Commission d examen sur la rémunération des juges 2CVTKEM,/QPCJCP DATE :
Plus en détailRÈGLEMENT GÉNÉRAL DES ETUDES 2009-2010
RÈGLEMENT GÉNÉRAL DES ETUDES 2009-2010 Avis préliminaire Le présent règlement a été établi pour l année académique 2009-2010. Il est susceptible d être modifié en cours d année. La version qui fait foi
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailSéminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité»
Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité» Organisé dans le cadre du IX Congrès International des Villes Educatrices Le Mercredi 13 septembre 2006 A l Ecole Normale
Plus en détailEn savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr
En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 LA Défense Cedex Délégation à la sécurité
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailSCIENCES DE L ÉDUCATION
UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire
PRÉSENTATION DU PROGRAMME Le cœur à l école PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire Le programme Le coeur à l école s adresse aux parents d enfants
Plus en détailFAQ. Admissions en Bachelor. A la Haute école de gestion Arc. Année académique 2015-2016. Dernière mise à jour : 12.5.15 / GCH
FAQ Admissions en Bachelor A la Haute école de gestion Arc Année académique Crédits photographiques : dreamstime.fr 2015-2016 Dernière mise à jour : 12.5.15 / GCH Introduction Cette FAQ est destinée aux
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailDonnées de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9
Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation
Plus en détailLe profil HES Dossier destiné aux HES. Contenu Sommaire I. Introduction II. Revendications III. Mesures à prendre par les HES IV. Prochaines Démarches
Le profil HES Dossier destiné aux HES Contenu Sommaire I. Introduction II. Revendications III. Mesures à prendre par les HES IV. Prochaines Démarches Plus de lecture - www.fhprofil.ch - INLINE, Page 8,
Plus en détailL'identité de l'entreprise
L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route
Plus en détailRÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1)
RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1) Loi sur la distribution de produits et services financiers (L.R.Q., c. D-9.2, a. 200, 1 er al., par. 1, 2, 3,
Plus en détailFORMATION À DISTANCE - GUIDE D ÉTUDES - FORMATION PROFESSIONNELLE Diplôme d études professionnelles SECRÉTARIAT (5212) COMPTABILITÉ (5231)
FORMATION À DISTANCE - GUIDE D ÉTUDES - FORMATION PROFESSIONNELLE Diplôme d études professionnelles SECRÉTARIAT (5212) COMPTABILITÉ (5231) Août 2014 La forme masculine est utilisée afin d alléger le texte.
Plus en détailStress et Management Droits et devoirs du manager. Inter- Entreprises
Management motivationnel Stress et Management Droits et devoirs du manager CATALOGUE Formations Inter- Entreprises Cabinet de Conseil et de Formation en Motivation et Développement de la Performance CRECI
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailUne École juste pour tous et exigeante pour chacun PROJET DE LOI POUR LA REFONDATION DE L ÉCOLE DOSSIER DE PRÉSENTATION
Une École juste pour tous et exigeante pour chacun PROJET DE LOI POUR LA REFONDATION DE L ÉCOLE DOSSIER DE PRÉSENTATION #RefondonslEcole education.gouv.fr photos : PictureTank - MEN Les 25 mesures clés
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE
POLITIQUE POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE Responsabilité Direction générale adjointe aux affaires administratives Direction
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailD après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I,
Introduction D après le décret n 93/086 du 29 janvier 1993 n 1 p ortant organisation administrative et académique de l Université de Yaoundé I, L Université de Yaoundé I a pour missions : - d élaborer
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailConvergence Grand public professionnelle
Note de synthèse Convergence Grand public professionnelle Cette note synthétise les réflexions d une des tables rondes des entretiens Télécom de Mars 2006, organisés par Finaki. A cette table étaient à
Plus en détailProjet d établissement
Projet d établissement Le Lycée Expérimental de Saint-Nazaire est un établissement public assurant une formation de second cycle de l enseignement secondaire. Il regroupe des enseignants volontaires qui
Plus en détailLIVRET DE STAGE. Etablissements Scolaires / Administrations SOMMAIRE
Nom et Prénom :... Classe :.. 2014-2015 LIVRET DE STAGE Etablissements Scolaires / Administrations SOMMAIRE Ce livret contient 8 feuillets. Il est à renseigner au fur et à mesure du déroulement de la séquence
Plus en détailETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL
ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres
Plus en détailMASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC
Adopté par le conseil d UFR le 10 juillet 2013 Voté au CA du 1 er octobre 2013 Adopté par la CFVU du 09 septembre 2013 MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Master année 1 Arrêté d habilitation
Plus en détailLa réforme «Marcourt»
La réforme «Marcourt» Le décret du 7 novembre 2013 définissant le paysage de l enseignement supérieur et l organisation académique des études (M.B. 18/12/2013) et autres mesures sociales Yves Roggeman
Plus en détailCADRE 1 : IDENTIFICATION DU PORTEUR DE PROJET N (RESERVE A EDENRED )
CADRE 1 : IDENTIFICATION DU PORTEUR DE PROJET N (RESERVE A EDENRED ) Prénom :. Nom :. Date de naissance :.. /.. /.... Nationalité :. Sexe : Féminin Masculin Rue :... N :.. Boîte :. Code postal :.. Localité
Plus en détailInscrire un nouvel élève
Système d éducation publique de la Nouvelle-Écosse Inscrire un nouvel élève Dernière révision : 1. Aide-mémoire EST-CE QUE VOUS AVEZ?...4 2. Documents qu il est possible qu on exige au moment de l inscription...5
Plus en détailSection 1. Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant?
Section 1 Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant? Dieudonné Leclercq et Philippe Parmentier Réussir la première année est un défi majeur pour tout étudiant qui entame des études supérieures
Plus en détailAssociation d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PHARMACIE EN FRANCE POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE ET POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME
Plus en détailLes services en ligne
X Les services en ligne (ressources partagées, cahier de texte numérique, messagerie, forum, blog ) Extrait de l étude «Le développement des usages des TICE dans l enseignement secondaire», 2005-2008 SDTICE
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailB Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?
B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du
Plus en détailPratiques Réussies Axées sur L'éducation des Élèves de la Communauté Noire
Pratiques Réussies Axées sur L'éducation des Élèves de la Communauté Noire Guide d'écoute Vous trouverez ci-dessous, des suggestions pour faciliter votre réflexion, vos discussions et vos plans d'action
Plus en détailCONTRAT DE FORMATION Cachet de l Établissement
CONTRAT DE FORMATION Cachet de l Établissement ENTRE L'ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT : exploité par Monsieur GENEVEY Patrick agrément n : 2403806800 obtenue le : 3/10/2001 renouvelé le 11/09/2007 assuré
Plus en détailLIMITATION D ACCES POUR LES NON-RESIDENTS AIDE JURIDIQUE AIDE JURIDIQUE
LIMITATION D ACCES POUR LES NON-RESIDENTS LIMITATION D ACCES POUR LES NON-RESIDENTS AIDE JURIDIQUE AIDE JURIDIQUE Fédération des Étudiants Francophones ASBL 20 rue de la Sablonnière,1000 Bruxelles - tél
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailFinancement et régulation des pensions
Faculté de droit et de criminologie Faculté des Sciences (Institut de Statistique, Biostatistique et Sciences Actuarielles -ISBA) CERTIFICAT D UNIVERSITÉ (12 CRÉDITS ECTS) Financement et régulation des
Plus en détailComment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53. Les jeudis de l hémicycle
Comment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53 Les jeudis de l hémicycle Parlement Francophone Bruxellois Le 29 novembre 2012 1 Deux
Plus en détailLes droits de succession et les droits de donation lorsqu il y a un élément d extranéité
Les droits de succession et les droits de donation lorsqu il y a un élément d extranéité par Emmanuel de Wilde d Estmael Avocat au barreau de Bruxelles Collaborateur scientifique au Centre de droit privé
Plus en détailCHARTE DES PROGRAMMES
CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR
Plus en détailArchivage électronique et valeur probatoire
Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc 2 Sommaire 1 Introduction 3 2 Archive et archivage 5 2.1 Qu est-ce qu une archive? 5 2.2
Plus en détail