2. La Wallonie Résultats du traitement préliminaire : l analyse factorielle

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1 2. La Wallonie 2.1. Résultats du traitement préliminaire : l analyse factorielle L analyse factorielle réalisée à partir des indicateurs statistiques initiaux (cf. Méthodologie, point 3) a permis d extraire huit facteurs significatifs synthétisant plus de 75 % de l information de départ. Un certain nombre de facteurs présentent de fortes similitudes avec ceux observés au niveau de la Région flamande. L ordre d extraction de ces facteurs est toutefois différent. Ce qui implique que la hiérarchie des facteurs 29 qui différencient les communes n est pas comparable au sein des deux régions (cf. Considé rations finales). L interprétation des facteurs spécifiques aux commu nes wallonnes se fonde sur les relations (positives ou négatives) avec les variables de départ suivantes. Facteur 1 «Statutniveau de vie socioéconomique» (31,1 %) Les variables suivantes présentent les saturations les plus élevées avec ce premier facteur. % ménages équipés PC & Internet 0,95 Revenus moyens par déclaration 0,90 Prix moyen de vente des terrains et des habitations 0,87 % logements «grand confort» 0,87 % déclaration de revenus > EUR 0,87 % ménages avec 2 ou 3 voitures 0,85 % population scolaire de type enseignement supérieur 0,84 % logements >125 m2 0,84 % logements disposant d un «grand % population active occupée dans la Taux de croissance de la population jardin» (>300 m 2 ) 0,79 Revenu cadastral résidentiel (en EURhab.) 0,72 population totale 0,73 ( de plus de 60 ans) 0,66 % logements «sans ou petit confort» 0,76 Ce facteur regroupe donc de nombreux indicateurs relatifs aux niveaux de revenu (travail, foncier), confort et équipement des logements et au statut socioprofessionnel. Les scores les plus élevés se rencontrent dans les communes résidentielles du Brabant wallon (Lasne, Water loo, La Hulpe...) et, avec des valeurs moindres, dans la périphérie résidentielle de Liège (Neupré, Nandrin, Chaudfontaine), de Namur (La Bruyère, Assesse) et de Charleroi (HamsurHeure, Gerpin nes, MontignyleTilleul). Les scores les plus faibles s observent principalement dans le Hainaut (Bori nage, agglomération de Char le roi, Hainaut occidental), la périphérie industrielle de Liège et de Verviers et le sud de la province de Namur (Viroinval, Cou vin, Doische). À noter qu à l exception de la Ville de Namur, toutes les villes wallonnes de plus de habitants se caractérisent par des valeurs sensiblement négatives pour ce facteur (soit des niveaux de vie inférieurs à la moyenne régionale). Facteur 2 «Degré d urbanisation ()ruralité ()» (15,3 %) Ce second facteur oppose les communes présentant un degré d urbanisation prononcé aux communes rurales. Cette interprétation découle des coefficients de saturation suivants avec ce second facteur. Densité de population 0,93 % espace bâti 0,92 % superficie communale affectée aux maisons & appartements 0,87 Population totale 0,78 % population étrangère (hors CE) 0,76 Densité de circulation 0,74 Densité réseau routier 0,74 Effectif policier (par hab.) 0,73 Taux de croissance ( ) de la superficie bâtie 0,71 Nombre de bénéficiaires du revenu d intégration (pour hab.) 0,65 % logements sociaux 0,68 % maisons unifamiliales séparées 0,75 % logements occupés par le propriétaire 0,66 Les scores les plus élevés s observent logiquement dans les deux grandes métropoles wallonnes mais également dans les communes périphériques de ces deux agglomérations (SaintNicolas, Herstal, Châtelet, Farciennes...) ainsi que dans de nombreuses communes du Borinage (Quaregnon, Col fon taine...) et de la périphérie de l agglomération bruxelloise (Water loo, Rixensart...). Ceci explique pourquoi le coefficient de corrélation avec l importance de la population ne s élève qu à 0,78. Parmi les villes de plus de habitants, seule 29 Le % d explication associé à chaque facteur figure entre parenthèses en regard de la dénomination de chacun d eux. 27

2 Tour nai 30, qui inclut de nombreuses communes rurales depuis la fusion des communes, présente un score relativement faible pour ce facteur. A contrario, les scores les plus faibles s observent dans les communes forestières de l Eifel (sud de la Com munauté germanophone), du centre de la province de Luxembourg et de la botte du Hainaut ainsi que dans les communes condruziennes. Facteur 3 «Centralité Externalités» (9,8 %) Alors que le facteur précédent reflétait le degré d urbanisation d un point de vue morphologique (densité de la population, du bâti et du réseau routier), ce troisième facteur reflète le niveau d urbanisation davantage au sens fonctionnel (centralité, équipements). Ce facteur regroupe en effet les variables de départ qui reflètent une centralité que ce soit en ter mes d équipements (bâtiments commerciaux et administratifs, score d équipement de la K.U.Leuven ISEG) ou en termes de flux (centre d emploi, centre scolaire, fréquentation, déplacements de la population). Le lien avec la variable «% de revenu cadastral exonéré» s explique par la présence importante de bâtiments publics bénéficiant d une exonération du précompte immobilier dans les communes à fortes centralités. Les variables suivantes présentent les saturations les plus élevées avec ce troisième facteur. Centre d emploi (% population active au lieu de travail par rapport à la population active au lieu de résidence) 0,88 Centre scolaire (population scolaire au lieu d établissement par rapport à la population résidente en âge de scolarité) 0,81 % emplois dans le tertiaire public 0,79 Valeur ajoutée au coût des facteurs (par hab.) 0,77 % bâtiments commerciaux dans le parc total de bâtiments 0,76 Revenu cadastral «bureauxcommerces» (en EURhab.) 0,75 Taux de criminalité (pour hab.) 0,74 % superficie communale affectée aux «bureauxcommerces» 0,73 Score d équipement (K.U.LeuvenISEG) 0,70 % emplois dans les commerces 0,68 Densité de circulation (distance routière parcourue sur le territoire communal) 0,60 % revenu cadastral «exonéré» 0,55 Admissions dans les hôpitaux (par hab.) 0,55 Indice de centre non actif (part des travailleurs résidant dans la commune qui partent travailler à l extérieur de la commune) 0,81 Les scores les plus élevés s observent également logiquement dans les grands centres urbains de la région mais aussi dans des villes de taille moyenne telles que Huy, Arlon, Eupen ou Nivelles. À noter que de nombreuses plus petites entités (Ciney, Waremme, Neuf château, SaintVith...), cheflieu d arrondissement ou centre scolaire, obtiennent également un score positif pour ce facteur. Les communes dont le score est le plus faible s observent en Hesbaye et dans l est du Brabant wallon. Il ne s agit pas forcément des communes les plus rura les (facteur 2) mais de communes fortement «polarisées» par les grandes agglomérations urbaines. Facteur 4 «Évolution démographique (composante migratoire) Dynamique immobilière» (7,6 %) Taux de croissance ( ) de la population totale 0,93 Taux de croissance de la population en âge de travailler (2059 ans) 0,90 Solde migratoire ( ) 0,88 Taux de croissance ( ) des revenus cadastraux affectés aux logements 0,87 Superficie (m2 ) de nouveaux logements ( ) 0,83 Taux de croissance ( ) de la population active occupée 0,81 Taux de croissance de la population jeune (<20 ans) 0,79 Taux de croissance ( ) du nombre de logements résidentiels 0,79 % logements de construction récente (après 1996) par rapport au parc de logements total 0,77 Taux de croissance ( ) des revenus des ménages (total base imposable) 0,73 Nombre moyen ( ) de ventes de terrains (pour hab.) 0,71 Nouveaux permis de bâtir ( ) 0,71 Les scores les plus élevés correspondent donc à des communes ayant enregistré une expansion démographique importante au cours de ces 10 dernières années. Cette croissance est surtout imputable à l arrivée de nouveaux résidents (composante migratoire) et est associée à une forte dynamique immobilière (vente de terrain, permis de bâtir, construction de nouveaux logements...) ainsi qu à une croissance des bases imposables (revenus cadastraux, impôt des personnes physiques). 30 Tournai résulte de la fusion de 30 communes et est la commune la plus étendue de Belgique comptant plus de ha de terrains agricoles. 28

3 Ces communes sont généralement des communes rurales de petite taille, en extension du front périurbain, situées principalement en Hesbaye (Crisnée, Geer, Wasseiges), dans le Condroz (SommeLeuze, Gesves), l est du Brabant wallon (Incourt, Ramillies, Walhain) ainsi que les communes frontalières du grandduché de Luxembourg (Attert, Étalle). Les communes subissant une évolution inverse se rencontrent dans des zones très contrastées sur le plan socioéconomique (cf. facteur 1). Les commu nes en déclin démographique et connaissant un plafonnement des bases imposables se situent en effet à la fois dans le Borinage (Quaregnon, Col fon taine) et l agglomération de Charleroi (Far cien nes, Cour celles, Fontainel Évêque) mais aussi dans la banlieue résidentielle bruxelloise (Water loo, La Hulpe, Rixen sart, Lasne) ou de Charleroi (Montignyle Tilleul). Dans ces communes résidentielles, la pression foncière (niveau des prix etou disponibilités des terrains) explique vraisemblablement la faible capacité à attirer de nouveaux habitants. Facteur 5 «Évolution démographique (composante naturelle) () Vieillissement ()» (4,6 %) % population jeune (<20 ans) dans population totale 0,90 % population scolaire (lieu de résidence) par rapport à la population totale 0,90 Taux de natalité ( ) 0,85 % personnes célibataires 0,79 Nombre moyen d occupants par logement 0,75 % population très âgée (>80 ans) dans la population totale 0,67 % veufsveuves 0,70 Taux de dépendance de la population 0,76 % population âgée (60 ans et plus) dans la population totale 0,81 % population pensionnée dans la population totale 0,85 Taux de vieillissement de la population 0,91 Ce facteur oppose donc les communes avec une population jeune à celles confrontées à un vieillissement significatif de leur population. Les scores les plus élevés (soit les populations «jeu nes») se rencontrent dans le Brabant wallon (Otti gnieslouvainlaneuve, Chastre, MontSaint Guibert), dans le sud de la province de Luxembourg (Attert, VauxsurSûre, Étalle), la périphérie namuroise (Gesves, Ohey, Assesse) et la périphérie verviétoise (Jalhay, ThimisterClermont). Les scores les plus négatifs (soit les populations les plus âgées) s observent dans l ouest de la province de Luxembourg (Semois), le sud de la province de Namur (Gedinne, Viroinval) et les communes résidentielles de l agglomération de Charleroi (MontignyleTilleul, Gerpinnes) et de Liège (Chaudfontaine, Spa). La majorité des centres urbains présentent également des valeurs négatives pour ce facteur mais de moindre ampleur que les communes précitées. Facteur 6 «Degré d activités touristiques» (3,4 %) Ce facteur est essentiellement représentatif de l attractivité touristique. La capacité d hébergement touristique est associée à une forte représentation de la population active dans le secteur HôtelRestaurant Café (Horeca) et aux espaces boisés. Capacité d hébergements touristiques 0,76 % superficie boisée par rapport à la superficie communale 0,76 Espace de vie par habitant 0,76 Coefficient de dépendance de la population 0,72 Longueur réseau routier (par hab.) 0,60 % logements «meublés» par rapport au parc de logements total 0,54 % emploi dans le secteur Hôtel RestaurantCafé (Horeca) 0,55 Les scores les plus élevés pour ce facteur s observent logiquement dans les communes touristiques de la province de Luxembourg (La RocheenArdenne, Bouillon, Durbuy, Florenville), du sud de la province de Namur (VressesurSemois, Gedinne) et du sud de la province de Liège (notamment communes germanophones). Facteur 7 «Degré d activités économiques (industrie, agroalimentaire, carrières)» (3,2 %) % superficie du territoire communal affectée à l industrie 0,93 Revenu cadastral «industriel» par habitant 0,82 Revenu cadastral total par habitant 0,68 Volume d emplois industriels (sur le lieu de travail) 0,63 Valeur ajoutée au coût des facteurs par habitant 0,54 Taux de croissance ( ) du revenu cadastral total 0,50 Ce facteur rassemble les indicateurs relatifs à la concentration d activités économiques sur le territoire de la 29

4 commune. Par activités économiques, on entend principalement la présence d entreprises industrielles, extractives, du secteur agroalimentaire ou de l énergie. Les activités tertiaires (publiques ou privées) sont par contre associées au facteur 3 (centralité externalités) et, dans une moindre mesure, au facteur 6 (secteur Horeca dans les centres touristiques). Étant donné qu il s agit d indicateurs relatifs (pourcentage ou valeur en EURhab.), les scores les plus élevés apparaissent dans des commu nes parfois de taille limitée mais où de grandes entreprises occupent une place prédominante (en termes de superficie, d emplois ou de revenus cadastraux). Les communes présentant le degré d activités économiques le plus élevé sont ainsi Virton et Rouvroy (Burgo Ardennes), Seneffe (pétrochimie Total et BASF), Engis (groupe chimique Prayon), Huy (centrale nucléaire Electrabel) et JemeppesurSambre (Solvay). Ces communes sont caractérisées par des revenus cadastraux (exprimés en EUR par hab.) sensiblement plus élevés que la moyenne régionale. Facteur 8 «Phénomène frontalier» (2,9 %) % population étrangère (originaire de pays frontaliers) 0,62 % travailleurs frontaliers parmi la population active résidente 0,66 Taux de croissance ( ) des revenus moyens par hab. 0,86 Taux de croissance de la population de plus de 60 ans 0,60 % constructions récentes (>1990) 0,65 degré d équipement des logements (SDB, chauffage central...) 0,59 Taux de croissance ( ) du nombre de logements 0,47 Les scores les plus élevés s observent dans les commu nes frontalières avec l Allemagne (principalement les communes de la Communauté germanophone) et avec le grandduché de Luxembourg (principalement les communes de l arrondissement d Arlon). Il est à noter que la forte présence de travailleurs frontaliers etou de résidents de pays limitrophes s accompagnent pour ces communes d une croissance et d une modernisation du parc de logements ainsi que d une croissance du niveau de revenu moyen de la population. Tableau 10 : Synthèse des 14 catégories de communes wallonnes Communes résidentielles Cluster W3 Cluster W1 Cluster W14 Communes rurales Cluster W4 Cluster W6 Communes avec activités économiques Cluster W5 Cluster W11 Communes semiurbaines et d agglomération Cluster W8 Cluster W9 Communes «centres» Cluster W7 Cluster W2 Cluster W12 Cluster W13 Cluster W10 Revenus > moyenne régionale et faible centralité En zone rurale (rurbanisation) En zone périurbaine ou frontalière À niveau de revenus élevés Degré d urbanisation < moyenne régionale et faible centralité À dominante agricole et à faible activité touristique À dominante forestière avec activités touristiques Activités économiques > moyenne régionale En zone rurale ou semiurbaine En zone urbaine ou d agglomération Revenus < moyenne régionale et faible centralité Semiurbanisées Pôles urbains périphériques, conurbation Centralité > moyenne régionale Communes centres et centres touristiques Petites villes Villes centres en milieu rural Villes moyennes à revenus élevés Grandes villes et villes régionales 30

5 Carte 2 : Les 14 catégories de communes wallonnes W7 W2 W3 W12 W1 W4 W5 W8 W13 W14 W6 W11 W9 W10 Légende : cf. tableau Constitution et composition des catégories (clusters) Sur la base de l analyse en clusters appliquée aux sco res factoriels obtenus par les 262 communes wallon nes (y compris les 9 communes germanophones) pour les 8 facteurs précités (cf. partie 2.1), nous avons retenu 14 catégories de communes. Il en résulte que cha que cluster compte en moyenne une vingtaine de communes. Ce choix d un nombre raisonnable de catégories et donc d un degré relativement important de regroupement des communes implique de facto l existence d une certaine diversité au sein de chacune des catégories (disparité intraclasse). Très concrètement, si les communes constituant un cluster présentent de fortes convergences sur certains facteurs dominants (par ex., le niveau de vie socio économique, le degré d urbanisation...), il est pratiquement inévitable que les communes de ce même cluster conservent certaines disparités sur d autres facteurs (par ex., le niveau d activités économiques, l évolution démographique...). Sur la base de la composition des communes constituant les différents clusters et après avoir identifié les caractéristiques socioéconomiques (c estàdire la combinaison de scores factoriels) à l origine de leur regroupement, nous proposons le tableau de synthèse 10. Les différents clusters ont été regroupés en 5 sousgroupes en fonction de leurs caractéristiques dominantes (caractère résidentiel, degré d urbanisation, niveau de centralité, importance des activités économiques) et de leurs similitudes. Il s agit donc bien d un regroupement des clusters «expost», sur base de l analyse des résultats issus de l algorithme de clustering. Les différents clusters, regroupés par sousgroupes, font ciaprès l objet d une description succincte 31. Afin de faciliter la description du profil «socioéconomique» propre à chaque groupe de communes et mettre en évidence leurs spécificités, les différents tableaux cidessous fournissent pour chacune des catégories de commune (cluster) une tendance 31 Cf. annexe 3 pour la composition exhaustive des différents clusters. 31

6 Tableau 11 : Communes résidentielles Communes résidentielles En zone rurale (W3) En zone périurbaine et communes frontalières (W1) À niveau de revenus élevés (W14) Nombre de communes Population moyenne F1 : Niveau de vie () F2 : Urbanisation ()Ruralité () F3 : Centralité Équipements () F4 : Croissance démographique (migration) Évolution immobilier () F5 : Croissance démographique (natalité) () Vieillissement () F6 : Activités touristiques () F7 : Activités industrielles () F8 : Travailleurs «frontaliers» moyenne 32 des scores obtenus pour les différents facteurs retenus dans notre analyse. 1. Communes résidentielles Le sousgroupe des communes résidentielles est constitué de 3 clusters qui ont pour point commun d avoir des niveaux de revenus supérieurs à la moyenne régionale et un faible niveau de centralité (tableau 11). Les trois catégories se différencient essentiellement par le degré d urbanisation, la dynamique démographi que, la taille moyenne en termes de population et leur localisation par rapport aux grands centres urbains Communes en zone rurale (rurbanisation) (cluster W3) Ce cluster est constitué de petites communes (moins de habitants en moyenne) rurales, résidentiel les et dont la population bénéficie globalement d un statut socioéconomique plus élevé que la moyenne régionale. Ce cluster présente de fortes similitu des avec le cluster des communes résidentielles W1 (cf. cidessous). Elles s en différencient par un niveau de revenu plus faible, une taille plus réduite, un caractère rural plus prononcé et une expansion démographique plus soutenue au cours de ces dix dernières années. Il s agit clairement de communes soumises à ce que l on appelle la rurbanisation, néologisme désignant un processus d urbanisation progressive des zones rurales. Ces communes attirent de jeunes ménages grâce à la qualité de l environnement et au prix plus accessible de l immobilier et sont bien drainées par le réseau autoroutier. Elles sont principalement localisées en Hesbaye (Bur dinne, Wasseiges, Berloz...), dans le Condroz (Fer rières, Clavier, Modave, Gesves, Ohey...) la région de la Vesdre (ThimisterClermont, Olne...), l est du Brabant wallon (Incourt, Hélécine, OrpJauche...) et la zone frontalière avec le grandduché de Luxem bourg (Étalle, Attert). Géographiquement, ces communes sont encore un peu plus éloignées des grands centres urbains que les communes résidentielles W1 et W14, et constituent en quelque sorte une troisième couronne de communes périphériques 1.2. Communes en zone périurbaine et communes frontalières (cluster W1) Cette catégorie réunit des communes présentant un caractère résidentiel assez prononcé, de taille moyenne (entre et habitants) et qui connaissent une expansion démographique imputable tant à la composante migratoire qu à la composante naturelle (natalitémortalité). Il s agit de communes qui bénéficient de l exode urbain et qui accueillent une population d un statut socioéconomique sensiblement plus élevé que la moyenne régionale (FosseslaVille exceptée) attirée par un cadre de vie de qualité (espa ces verts notamment). Sans présenter un caractère rural très prononcé, ces communes sont peu urbani 32 En fonction du score moyen obtenu pour les différents facteurs pour le cluster considéré. 32

7 sées et présentent un faible niveau de centralité. Ces communes connaissent toutefois une certaine mutation socioéconomique avec un déclin de l activité agricole et un développement prononcé de la fonction résidentielle avec pour corolaire la création d activités de services (commerces, écoles, infrastructures sportives et culturelles...). Géographiquement, ces communes sont situées dans la banlieue résidentielle en zone périurbaine de Charle roi (Les Bons Villers, Walcourt), de Mons (Jur bise), de Liège (Juprelle, Awans), de Verviers (Theux, Jalhay), de Namur (Éghezée, Profondeville, La Bruyère, Yvoir) et de l agglomération bruxelloise (nombreuses communes du Sud et de l Est du Bra bant wallon telles que Perwez, Walhain, CourtSaintÉtienne, Rebecq et s étendant jusqu à Silly dans le Hainaut). Elles constituent une sorte de seconde «couronne» autour de communes résidentielles plus traditionnelles et au caractère plus prononcé (cf. cluster W14). Ce cluster compte également des communes résidentielles frontalières (Raeren, Lontzen, Messancy) comprenant de nombreux travailleurs frontaliers (scores élevés pour le facteur 8) Communes à niveau de revenus élevés (cluster W14) Cette troisième catégorie de type résidentiel rassemble les communes qui ont obtenu les scores les plus élevés pour le facteur relatif au «statut socioéconomique». Il s agit des communes composant la banlieue résidentielle traditionnelle («première couronne») des agglomérations bruxelloise (La Hulpe, Lasne, Rixensart, Waterloo...), liégeoise (Neupré, Chaud fontaine, Nandrin...) et carolorégienne (Ger pin nes, MontignyleTilleul...). Outre le niveau de vie, ces communes se caractérisent par une pression foncière élevée qui se reflète partiellement sur le facteur relatif au degré d urba nisation. Ce dernier varie toutefois assez sensiblement parmi les communes composant ce cluster. Il est particulièrement prononcé pour des communes telles que Waterloo, Rixensart et Chaudfontaine. Le niveau de centralité est par contre relativement faible (La Hulpe et Waterloo exceptées). Par rapport aux deux autres catégories de clusters regroupant des communes résidentielles (W1 et W3), ces communes sont majoritairement en déclin démographique (impact du vieillissement de la population sur la composante naturelle et de la pression foncière sur la composante migratoire). Les communes de Nandrin, ChaumontGistoux et Beauvechain se démarquent quelque peu de cette évolution démographique (présentant en ce sens certaines convergences avec le cluster précédent W1). 2. Communes rurales Le sousgroupe des communes rurales comprend 2 clusters caractérisés par un très faible degré d urbanisation tant au point de vue morphologique (facteur 2) que fonctionnelle (facteur 3) ainsi que par un niveau de revenus légèrement inférieur à la moyenne régionale (tableau 12). Tableau 12 : Communes rurales Communes rurales Nombre de communes À dominante agricole et à faibles activités touristiques (W4) 32 À dominante forestière avec activités touristiques (W6) 36 Population moyenne F1 : Niveau de vie () F2 : Urbanisation ()Ruralité () F3 : Centralité Équipements () F4 : Croissance démographique (migration) Évolution immobilier () F5 : Croissance démographique (natalité) () Vieillissement () F6 : Activités touristiques () F7 : Activités industrielles () F8 : Travailleurs «frontaliers»

8 Elles se distinguent entre elles par le caractère agricole ou forestier et surtout l attractivité touristique Communes à dominante agricole et à faibles activités touristiques (cluster W4) Cette catégorie regroupe des communes de taille moyenne ou petite présentant un caractère rural prononcé et un niveau de revenu de la population plus faible que la moyenne régionale. Contrairement aux communes de la catégorie W3 (résidentielles en zone rurale), ces communes subissent (vraisemblablement en raison de leur plus grand éloignement des grands centres d emplois) un léger déclin démographique et ne subissent pas, ou encore faiblement, le phénomène de rurbanisation. Le niveau de centralité et d activités économiques y sont assez faibles. De nombreuses communes sont situées dans des zones un peu excentrées telles que le Hainaut occidental (Flobecq, FrasneslezAnvaing...), la frontière française (Quévy, Rumes, Brunehaut, Hensies), la botte du Hainaut (SivryRance, Beaumont), le sud du Condroz liégeois (Ouffet, Hamoir), le sud de la province de Namur (Onhaye, Doische) et de Luxem bourg (MeixdevantVirton, Musson, Tintigny), la frontière néerlandaise (Bassenge) et la frontière allemande (Plombières) Communes à dominante forestière avec activités touristiques (cluster W6) Ce cluster regroupe des petites communes très rura les et très peu peuplées (entre et habitants en moyenne), à fortes activités agricoles etou forestières. Le niveau de revenus de la population est le plus souvent sensiblement inférieur à la moyenne régionale. Ces communes sont par contre en expansion démographique que ce soit via la composante migratoire (en particulier à SommeLeuze, à Hotton et à VauxsurSûre) ou via la composante naturelle. Si le niveau de centralité est relativement faible, ces communes présentent une certaine attractivité touristique. Ces communes sont principalement situées dans la région ardennaise (province de Luxembourg et sud des provinces de Liège et de Namur) et l Eiffel (communes du sud de la Communauté germanophone). 3. Communes avec concentration d activités économiques Ce sousgroupe rassemble 2 clusters qui se caractérisent essentiellement pas une présence importante d activités économiques, de type industriel principalement (tableau 13). Ils se différencient essentiellement par le degré d urbanisation, le niveau de centralité et la population moyenne des communes Communes en zone rurale ou semiurbaine (cluster W5) Communes principalement de taille petite à moyenne ( hab.), peu urbanisées voire très rura les mais qui se distinguent par contre par une pré sence significative d activités économiques (carrière, secteur agroalimentaire ou industrie). De dynami que démographique relativement contrastée, elles Tableau 13 : Communes avec concentration d activités économiques Communes avec activités économiques Nombre de communes En zone rurale ou semiurbaine (W5) 22 En zone urbaine ou d agglomération (W11) 17 Population moyenne F1 : Niveau de vie () F2 : Urbanisation ()Ruralité () F3 : Centralité Équipements () F4 : Croissance démographique (migration) Évolution immobilier () F5 : Croissance démographique (natalité) () Vieillissement () F6 : Activités touristiques () F7 : Activités industrielles () F8 : Travailleurs «frontaliers»

9 présentent un faible niveau de centralité (à l exception de LeuzeenHainaut et d Aubel) et une faible attractivité touristique (à l exception de Momignies et de Rouvroy). Ce cluster regroupe surtout les communes dont les revenus cadastraux liés à l industrie sont, en part relative, les plus élevés de Wallonie. Il s agit dans ce cas de «petites» communes où sont localisées des carrières (Engis, Antoing) ou accueillant des entreprises du secteur agroalimentaire (Geer, Oreye, Wanze, Aubel, Floreffe), en bordure de l aéroport de Liège (VillersleBouillet, SaintGeorges), ou accueillant une ou plusieurs grandes entreprises (Écaus sinnes, Ittre, Seneffe, Rouvroy). À noter que la commune d Ittre (Forges de Clabecq) se démarque des autres communes composant ce cluster par un niveau de revenus nettement supérieur. Elle présente à cet égard des similitudes avec le cluster W Communes en zone urbaine ou d agglomération (cluster W11) Ce cluster rassemble des communes de taille moyenne assez élevée ( hab.), fortement urbanisées et présentant pour la majorité d entre elles un certain niveau de centralité (centre scolaire, administration, équipements). Les niveaux de revenus sont inférieurs à la moyenne régionale tandis que l évolution démographique est en déclin. Ce cluster présente certaines similitudes avec le cluster W9 (pôles urbains périphériques, conurbation). Il s en différencie toutefois par des niveaux de revenus plus élevés (tout en étant inférieurs à la moyenne régionale) et surtout par des scores élevés pour le facteur relatif aux activités économiques (industrie, zoning, carrières, transport). Ces communes sont principalement localisées dans la périphérie liégeoise (Herstal, Flémalle, Ans, Visé...), dans l agglomération entre Charleroi et Namur (Fleu rus, AiseauPresles, Sambreville, Jemeppesur Sambre). Ce cluster comprend également des communes proches des zones frontalières, telles que CominesWarneton, La Calamine (Kelmis), Visé ou Aubange. 4. Communes semiurbaines et d agglomération Ce sousgroupe réunit 2 clusters qui ont pour point commun d être de type urbain ou semiurbain mais avec un faible niveau de centralité et d activités économiques, des niveaux de revenus sensiblement inférieurs à la moyenne régionale et d être en déclin démographique (tableau 14) Communes semiurbanisées (cluster W8) Ce cluster regroupe des communes de plus ou moins habitants (à l exception de Quiévrain) et sont situées majoritairement dans le Hainaut (ChapellelezHerlaimont, Dour, Anderlues...) et dans la vallée mosane (Amay, Andenne). Elles ne présentent pas un caractère urbain et un niveau de centralité très affirmé. Le faible niveau moyen d urbanisation s explique notamment parce qu il s agit souvent d entités fusionnées relativement grandes et assez hétérogènes dans Tableau 14 : Communes semiurbaines et d agglomération Communes semiurbaines et d agglomération Nombre de communes Semiurbanisées (W8) 11 Pôles urbains périphériques, conurbation (W9) 14 Population moyenne F1 : Niveau de vie () F2 : Urbanisation ()Ruralité () F3 : Centralité Équipements () F4 : Croissance démographique (migration) Évolution immobilier () F5 : Croissance démographique (natalité) () Vieillissement () F6 : Activités touristiques () F7 : Activités industrielles () F8 : Travailleurs «frontaliers»

10 leur constitution (composées à la fois de noyaux urbains où l activité industrielle est le plus souvent en déclin et d entités rurales). Elles se caractérisent, par contre, par un niveau de revenus sensiblement inférieur à la moyenne régionale (à l exception de PontàCelles) et subissent un important déclin démographique. À noter que les 2 communes de la vallée mosane (Amay et Andenne) présentent un niveau de revenus plus élevé (mais toujours inférieur à la moyenne régionale) et enregistrent un déclin démographique moins prononcé que les communes hennuyères de ce cluster Pôles urbains périphériques, conurbation (cluster W9) Par rapport au cluster précédent (W8), les commu nes de ce cluster sont de taille moyenne plus importante (± habitants) et présentent un niveau d urbanisation nettement plus prononcé ainsi qu un certain niveau de centralité. Le niveau de revenus de la population y est parmi le plus faible de la Région wallonne et l évolution démographique est en déclin assez prononcé. Ces communes se situent principalement sur des territoires fortement conurbanisés tels que le Borinage (Boussu, Colfontaine, Quaregnon...) et dans la région du Centre (Binche, Morlanwelz), ainsi que dans les agglomérations de Charleroi (Courcelles, Farciennes, Fontainel'Évêque...), de Liège (SaintNicolas) et de Verviers (Dison). À noter également la présence des communes de BeyneHeusay et de Fléron, deux communes périphériques de l agglomération liégeoise qui se démarquent des autres communes de ce cluster par des niveaux de revenus plus élevés (tout en étant inférieurs à la moyenne régionale). 5. Communes «centres» Ce sousgroupe réunit les 5 clusters qui se démarquent par des niveaux d attractivitécentralité significatifs (tableau 15). Ces clusters se différencient essentiellement par le niveau de centralité, la taille en termes de population, le niveau de revenus de la population et la dynamique démographique Communes centres et centres touristiques (cluster W7) Cette catégorie regroupe de nombreuses communescentres des provinces de Luxembourg (Neufchâteau, Durbuy, La RocheenArdenne, Bouillon...), du sud de la province de Namur (Rochefort, Philippeville, Couvin...), et du sud de la province de Liège (Stavelot, Aywaille) dont l activité dominante reste le secteur primaire (agriculture et forêt) et le tourisme. Ces communes présentent une certaine similitude avec celles du cluster W6 (ruralité, faible niveau de revenus) mais elles s en différencient par une taille sensiblement plus élevée ( hab.) et une expansion démographique moins soutenue, voire en Tableau 15 : Communes «centres» Communes «centres» Communes centres et centres touristiques (W7) Petites villes (W2) Villes centres en milieu rural (W12) Villes moyennes à revenus élevés (W13) Grandes villes et villes régionales (W10) Nombre de communes Population moyenne F1 : Niveau de vie () F2 : Urbanisation ()Ruralité () F3 : Centralité Équipements () F4 : Croissance démographique (migration) Évolution immobilier () F5 : Croissance démographique (natalité) () Vieillissement () F6 : Activités touristiques () F7 : Activités industrielles () F8 : Travailleurs «frontaliers» 36

11 déclin. Elles sont surtout caractérisées par un niveau significatif de centralité et d attractivité touristique (à l exception de Florennes) qui se traduit par un bon niveau d équipement tertiaire tant public (administration, écoles, hôpitaux) que privé (commerces, hôtels, restaurants...) Petites villes (cluster W2) Cette catégorie rassemble des communescentres et des petites villes (de à hab.), en croissance démographique, caractérisées par un niveau de vie légèrement supérieur à la moyenne régionale et qui combinent un certain niveau de centralité (centre scolaire et commercial, cheflieu d arrondissement notamment) avec un faible niveau d urbanisation. Ce dernier résulte le plus souvent de la coexistence sur le territoire communal d un centre urbain et de zones rurales (correspondant généralement à d anciennes communes fusionnées). Géographiquement, ces petites villes sont localisées principalement dans le Hainaut (Soignies, Ath, Thuin, Enghien, BraineleComte), la Hesbaye (Jodoigne, Hannut, Waremme, Gembloux) et l arrondissement de Verviers (Herve, Welkenraedt) Villes centres en milieu rural (cluster W12) Ce cluster regroupe des petites villes ( à hab.) situées dans des régions assez rurales etou touristiques. En dépit d une taille (en termes de population) et d un degré d urbanisation très faible, ces communes se caractérisent par un niveau important de centralité (écoles, hôpitaux, cheflieu d arrondissement) combiné à une certaine attractivité touristique (commerces, Horeca). Le niveau de revenus de la population ainsi que l évolution démographique se situent dans la moyenne régionale. Ces communes se situent dans le sud de la province de Liège (Malmedy, Spa, SaintVith) dans les provin ces de Luxembourg (Virton, MarcheenFamenne, Bastogne, Libramont) et de Namur (Ciney, Dinant) Villes moyennes à revenus élevés (cluster W13) Ce cluster regroupe des villes moyennes ( hab.) présentant des scores élevés relatifs au niveau de centralité (lié à leur rôle de centre administratif, d emploi et de scolarité). Elles se distinguent des autres catégories de villes (W10 et W12, en particulier) par des niveaux de revenus (des ménages et fonciers) supérieurs à la moyenne régionale et par une évolution démographique soutenue. Mis à part Brainel Alleud, ce cluster comprend une majorité de villes assurant une fonction de cheflieu (Nivelles, Wavre, Eupen, Arlon, Huy) ainsi qu un centre universitaire (OttigniesLouvainlaNeuve). Les villes de Huy, Eupen, Arlon et Nivelles se caractérisent par ailleurs par un niveau plus important d activités économiques liés à la présence importante de zoning industriel ou d une centrale nucléaire (Huy) Grandes villes et villes régionales (cluster W10) Ce cluster regroupe toutes les villes de plus de habitants de la Région wallonne. Ces villes combinent des scores très élevés pour le niveau d urbanisation (Tournai exceptée) et pour le niveau de centralité. Elles présentent également des niveaux de revenus de la population inférieurs à la moyenne régionale (Namur exceptée) et des scores négatifs pour les facteurs démographiques (composante migratoire et naturelle). Audelà de ces points communs qui les différencient des autres communes wallonnes, ces 9 villes présentent également des disparités entre elles. Schématiquement, on peut distinguer un premier sousgroupe (composé de Liège, Namur, Mons, Ver viers et Tournai) qui présente un niveau de centralité (activités tertiaires) plus prononcé et un second sousgroupe (composé de Charleroi, La Louvière, Mouscron et Seraing) caractérisé par des niveaux de revenus plus faibles mais par un niveau d activités de nature industrielle plus important. 37

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