PRÉFET DE L ORNE CONFERENCE DE PRESSE BILAN Jeudi 24 janvier 2013

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1 PRÉFET DE L ORNE CONFERENCE DE PRESSE ORDRE PUBLIC BILAN 212 Jeudi 24 janvier 213 Ainsi que l a souligné le ministre de l intérieur lors de sa conférence de presse vendredi dernier, les statistiques sont avant tout un outil au service de l efficacité de l action des policiers et des gendarmes. Regarder la délinquance en face est le seul moyen de la combattre efficacement. L analyse de certaines rubriques doit permettre de mettre en évidence des tendances. 1

2 A BILAN 212 Le bilan 212 de la délinquance dans l Orne est globalement satisfaisant mais, il présente des situations contrastées et donne les lignes d actions pour Atteintes volontaires à l intégrité physique (AVIP) a Faits constatés Nombre total de faits constatés (comparatif 211/212) Ces faits ont progressé de + 1,83 % par rapport à 211 (+ 6,29 % en zone police et + 15,27 % en zone gendarmerie), avec faits contre 1 32 ; ce qui place le département de l orne au 55 ème rang des départements français (59 ème rang en 211). «C est cette catégorie qui connaît en zone gendarmerie des variations atypiques. Il est, dès lors, difficile de distinguer ce qui relève d une véritable progression des violences de qui est imputable à un effet technique.» Les quatre sous catégories composant les AVIP ont toutes progressé : Menaces de violences Répartition des AVIP par catégorie (comparatif 211/212) sexuelles Physiques Physiques non violences physiques non (près de 6 % des AVIP) : l évolution est modeste (+ 2,6 %) et la commission des faits, la plupart du temps, n a pas lieu sur la voie publique. 2

3 Une analyse plus poussée fait apparaître une évolution contrastée au sein de cette souscatégorie : les «violences à dépositaires de l autorité» enregistrent une augmentation de + 33,73 % (111 faits contre 83 en 212), a contrario des autres rubriques stables ou en diminution. Cette progression est observée à l échelon national également. Les mineurs sont responsables de la plus forte progression du nombre de faits de «violences à dépositaire de l autorité» avec 31 faits contre 12 en 211, (soit + 158,33 %) Part des mineurs dans les différentes catégories d'avip (comparatif 211/212) ,27 18,48 2,11 18,42 Physiques non Physiques 25,26 4, sexuelles 9,87 22,22 Menaces de violences Les violences physiques connaissent l augmentation la plus forte (+ 34,44 %) bien qu elles ne représentent que 8,27 % des AVIP : l évolution est stable pour l ensemble des rubriques hormis pour celui de «vols violents sans arme contre d autres victimes» qui a presque doublé avec 67 faits contre 36 en 211 (+ 86,11 %). C est dans cette catégorie que se trouvent, mais pour une part inconnue, les déclarations douteuses de vol de téléphones portables. violences sexuelles : l augmentation constatée (+ 9,45 %, soit + 13 faits) concerne presque exclusivement des faits commis envers des mineurs (+ 28 faits). Dans la majorité des cas, il s agit de cas d infractions révélées à la suite de signalements. Il faut également souligner que les victimes hésitent moins à porter plainte ; c est le but du renforcement des dispositifs d accueil et de prise en charge des victimes dans les commissariats de police et les brigades de gendarmerie. Les mineurs représentent une part importante de l augmentation du nombre de faits constatés dans l Orne. Ils se sont rendus responsables de 26 «harcèlements sexuels et autres agressions sexuelles contre des mineurs» contre 11 en 211, soit une progression de + 136,36 %. En fait, la proportion de cette délinquance excède très largement la part des mineurs dans la population ornaise. menaces de violences : Les forces de l ordre sont intervenues à 673 reprises pour des différends familiaux contre 621 en 211, et la plupart du temps sur fond d alcool. L analyse de cette catégorie dans sa globalité fait apparaître une part plus importante de mineurs (15,72 % contre 13,25 % en 211) parmi les auteurs «d atteintes volontaires à l intégrité physique». 3

4 b Orientations - Actions actions d information en partenariat avec les établissements scolaires actions avec les partenaires sociaux et institutionnels (travailleurs sociaux, médiateurs, services du conseil général, ASE ) importance de l accueil et prise en charge des victimes (sous un angle social et pénal) traitement systématique par les forces de l ordre de tout renseignement et signalement relatif à des mineurs «en danger» 2 Atteintes aux biens (AAB) a Faits constatés Nombre total de faits constatés (comparatif 211/212) Cette catégorie qui recouvre principalement les cambriolages a progressé modérément avec faits contre en 211 (+ 1,44 %). L évolution est également contrastée au sein de cette catégorie. Certaines rubriques connaissent une forte progression : Répartition des AAB par catégorie (comparatif 211/212) 4

5 autres vols avec violence sans arme à feu : ces faits passent de 78 à 115 (+ 47,44 %), mais représentent moins de 2 % des AAB. vols liés à l automobile et aux deux roues à moteur (vols d accessoires, vols à la roulotte) : ces vols représentent 21,5 % des AAB et ont progressé de + 9,31 %. L absence de vigilance de la part des victimes aide parfois les délinquants à commettre ces vols. destructions et dégradations de biens : ces faits représentent 23,5 % des AAB et ont augmenté de + 8,16 %. A contrario, des rubriques comme les cambriolages (- 4,75 %) ou les «autres vols simples au préjudice des particuliers» (- 5,25 %) ont vu leur nombre diminuer : Cambriolages d'autres lieux Répartition des cambriolages par type (comparatif 211/212) Cambriolages de locaux industriels, commerciaux ou financiers Cambriolages de résidences secondaires Cambriolages de locaux d'habitations cambriolages : s agissant des résidences principales qui représentent la part la plus importante des cambriolages (38,7 %), la baisse (-1,78 %), consécutive aux actions «coups de poing» et aux actions de prévention menées par les forces de l ordre au cours du dernier trimestre, demeure fragile. Alors que les cambriolages de résidences principales avaient progressé de + 13,2 % sur la période octobre 212/septembre211 par rapport à octobre 211/septembre 21, cette tendance s est effectivement inversée, mais la vigilance reste de mise. Il en est ainsi des «cambriolages de locaux industriels et commerciaux» dont le nombre avait fortement diminué (264 faits contre 346, soit - 23,7 %) sur cette même période glissante de 12 mois (octobre-septembre) mais qui enregistre une augmentation de + 2,2 % en année pleine 212, principalement à la suite de «raids» ciblés sur des commerces et locaux industriels souvent opérés par des extérieurs au département. autres vols au préjudice des particuliers : ces faits qui représentent 22,9 % des AAB, ont régressé de 5,28 %, passant de 1 41 faits à A l intérieur de cet item, on déplore, cependant, une forte progression des vols à la tire (+ 43,6 %) mais qui doit être nuancée quant à la réalité des faits (problématique des portables cf ci-dessus). b Orientations actions Ces tendances observées doivent aider les pouvoirs publics à définir une politique de lutte contre les atteintes aux biens : recours systématique aux moyens de la police technique et scientifique (les prélèvements de traces sur les scènes d effraction sont une des clefs de l élucidation) 5

6 poursuite du travail coordonné au sein de la cellule anti-cambriolages, seul moyen de lutter efficacement contre la délinquance itinérante (filières souvent étrangères spécialisées dans la délinquance sérielle et itinérante) appel à la vigilance des propriétaires et des commerçants (règles de prudence élémentaires) par les référents sûreté PN/GN dans le cadre de dispositifs partenariaux avec les chambres consulaires. poursuite opération «tranquillité vacances» et promotion opération «vigilance voisins»pour les habitations principales et secondaires inoccupées. 3 Escroqueries et infractions économiques et financières (EIEF) a Faits constatés Les faits ont diminué passant de à (- 8,35 %) Nombre total de faits constatés (comparatif 211/212) Au sein de cet indicateur, les escroqueries, faux et contrefaçons représentent toujours la majeure partie des faits avec 1 38 faits en 212 contre 1 97 en 211. Les falsifications et usages de chèques volés ont augmenté passant de 325 à 397 ( + 22,15 %) alors que les falsifications et usages de cartes de crédits ont diminué passant de 67 à 46 (- 31,34 %) ainsi que les escroqueries et abus de confiance passant de 667 à 551 (- 17,39 %). La délinquance économique et financière et les infractions à la législation sur les chèques (sauf usage de chèques volés) ont également diminué respectivement de 7,79 % et 39,25 % Infractions à la législation sur les chèques Répartition des escroqueries et infractions économiques et financières par type (comparatif 211/212) Délinquance économique et financière Escroqueries, faux et contrefaçons 6

7 b Orientations - actions - action de prévention et de communication à l égard des phénomènes de criminalités utilisant les réseaux (faux adressages, paiements détournés ). - actions de prévention à l égard des mineurs relatives à l usage des divers réseaux sociaux. 4 Activité des services - IRAS a - Taux d élucidation - Atteintes volontaires à l intégrité physique Le taux d élucidation reste très élevé (74,44 %) malgré une légère érosion. Le nombre de personnes mises en cause est en augmentation (+ 2,85 % avec 111 personnes contre 983 en 211). Les violences physiques non enregistrent un taux d élucidation de 82,16 %. S agissant des violences physiques, le taux d élucidation est en régression. Ce constat est, notamment, à mettre en relation avec le phénomène des plaintes au titre de «vols» déclarés de téléphones portables. Taux d'élucidation par catégorie d'avip (année 212) - Atteintes aux biens 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % 82,16% physiques non 2,66% Violence physiques 72,85% 74,53% sexuelles Menances de violence Le taux d élucidation des AAB passe sous la barre des 2 % avec 19,7 %, contre 23,7 % en 211. Les délinquants prennent de plus en plus de précautions (gants, véhicules volés ) pour commettre leurs méfaits, ce qui réclame un très lourd travail de police judiciaire assistée de techniques de la PTS. Constat également à mettre en relation avec le phénomène des déclarations douteuses de vols de téléphones portables. 1% 8% 6% 4% 2% % 1% Vols à main armée 43,71% 16,52% 12,5% 12,35% 12,86% 16,58% 22,42% Autres vols avec violence sans armes à feu Vols avec entrée par ruse Cambriolages Vols liés à l'automobile et aux deuxroues à moteur Autres vols simples au préjudice de particuliers Taux d'élucidation par catégorie d'aab (année 212) Autres vols simples Destructions et dégradations de biens 7

8 b - Infractions révélées par l activité des services Nombres de faits constatés (comparatif 211/212) L analyse au sein de la catégorie des IRAS est très disparate. L activité des forces de l ordre, s agissant des trafics et revente de stupéfiants est en baisse avec 73 faits contre 93 en 211. En revanche, les faits révélés par l activité des forces de l ordre concernant les usages de stupéfiants (représentent 85 % des ILS) ont progressé de 4,64 %. Les atteintes à l environnement révélées par l activité des services diminuent de 25,81 % (23 faits contre 31 en 211). L activité concernant les faux documents (permis de conduire, autres documents administratifs) est en augmentation (+ 7,41 %). La part des mineurs parmi les auteurs de faits d usage et de revente de stupéfiants est de plus en plus importante (32 % contre 9,9 % en 211) ; 27 mineurs (sur 85 personnes mises en cause) contre 9 (sur 85) en 211. B PRESENTATION DU NOUVEL OUTIL DE RECUEIL STATISTIQUE Ce nouvel outil reposera sur deux piliers : - présentation renouvelée des statistiques - refonte complète des indicateurs La présentation actuelle repose sur des indicateurs trop globaux, trop imprécis et trop hétérogènes. La réforme de l outil statistique s impose également car il ne rend pas compte de plusieurs phénomènes tels que les délits routiers, les violences intra-familiales ou encore la cybercriminalité. Enfin, dernier élément qui justifie la réforme des statistiques : seuls les faits poursuivis pénalement sont présentés dans ce bilan ; ce qui ne reflète pas l intégralité de l activité des forces de police et de gendarmerie (missions de présence et de régulation de différends, notamment au sein des cellules familiales). 8

9 1 présentation renouvelée des statistiques La nouvelle présentation sera composée de 14 agrégats (certains comprendront, en plus du nombre d infractions constatées, le nombre d interventions effectuées par les services. La continuité statistique n est pas interrompue car on retrouve des indicateurs historiques. Création de quelques indicateurs : violences intra-familiales : mesurer la violence qui se cache dans l intimité des foyers grande criminalité cybercriminalité : quantifier la délinquance qui sévit sur Internet et sur les réseaux sociaux délinquance routière comportements portant atteinte à la tranquillité publique : incivilités ou infractions pas forcément graves mais qui nuisent au quotidien des habitants et qui «pourrissent» leur vie. Utilisation des techniques policières : mesurer l apport de la PTS dans la résolution des affaires. 2 refonte complète des indicateurs Mise en place d un tableau de bord : mesurer la capacité des services à élucider les infractions, telles que les cambriolages avoir une vision complète des actions menées contre certains fléaux, tels les trafics de drogue C ORIENTATIONS 213 occupation systématique du terrain par les forces de l ordre : présence plus visible, dissuasive coordination entre tous les services, tous les savoir-faire (y compris avec la police municipale) restauration des liens entre forces de l ordre et population se doter de nouveaux outils de prévention qui facilitent en outre le traitement pénal (vidéoprotection) 9

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