Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download ""

Transcription

1 VARIETES TISSULAIRES DES PIECES OSSEUSES On distingue deux types d os Os I aire : non lamellaire, fibreux et temporaire. C est le premier os élaboré. Os II aire : lamellaire et définitif. Il constitue le squelette chez l adulte. Il est composé de T O périostique, de T O haversien dense et de T O haversien aréolaire. PÉRIOSTE Il est situé à la périphérie de toutes pièces osseuses sauf au niveau des cartilages hyalin articulaires. Il est constitué de : -couche tendiniforme vascularisée externe. -couche ostéogène d ollier interne. 1

2 C mésenchymateuse Fibroblaste Fibres collagènes Vaisseau Sanguin Ostéoblaste Fibre de scharpey Ostésocyte Matrice osseuse Structure du périoste 1 - couche externe tendiniforme vascularisée 3 - PERIOSTE 2 - couche interne ostéogène d ollier. 4 - tissu osseux periostique 2

3 Rôles : Il assure les rôles de nutrition grâce à la couche tendiniforme et de croissance appositionnelle par différenciation des cellules mésenchymateuses en ostéoblastes qui génèrent par la suite des,ostéocytes du S F Externe, du tissu osseux périostique, des tables interne et externe. ENDOSTE Il tapisse la cavité médullaire. Il a la même structure que le périoste. Il assure les mêmes rôles que le périoste. Sa couche ostéogène réalise le S F Interne. 3

4 PÉRIOSTIQUE Il constitue le S F Externe à la périphérie de la diaphyse et le S F Interne autour de la cavité médullaire de l os long. T O P S F I (T O P) S F E (T O P) Il constitue les tables externe et interne des os plats. table externe (T O P) Il constitue T O périostique des os courts. table interne (T O P) 4

5 TISSU OSSEUX HAVERSIEN DENSE canal de havers V S T O H D périoste Lamelles O S F E ostéocytes Système havers canaux de wolkman endoste S F I S intermédiaire canal de havers nerfs Structure d un système de havers C de wolkman Bloc diagramme de la diaphyse d un os long 5

6 Le T O H D est spécifique à la diaphyse. Il est situé entre le S F Externe, le S F Interne. Il est constitué par - des systèmes de havers (ostéones), ces derniers sont formés de lamelles concentriques. les systèmes de havers présentant un canal de havers central ou circulent, des capillaires et des nerfs. Ils parcourent l axe longitudinal de la diaphyse. Les systèmes de Havers sont parallèles entre eux. - des systèmes intermédiaires. - des canaux wolkman qui sont perpendiculaires aux systèmes de Havers. les canaux wolkman font communiquer le périoste et la cavité médullaire ou se trouve la moelle osseuse. 6

7 canal de havers Système intermédiaire Système de havers Coupe transversale au niveau du T O H Dense 7

8 ostéocytes Système de Havers en CT S F E périoste lamelles S S F I de H en CL Cavité M endoste C de wolkman nerfs Capillaire S C de havers T O H D Coupe transversale au niveau de la diaphyse 8

9 T OSSEUX HAVERSIEN ARÉOLAIRE Il est localisé au niveau des épiphyses des os longs, des os courts, des os plats. Il est constitué par des systèmes de havers regroupés en lames osseuses, multidirectionnelles. Entre les lames osseuses se trouvent des aréoles contenant de la moelle osseuse. C T au niveau de l epiphyse Aréole (moelle osseuse) systèmes de havers lames osseuses : TOHA 9

10 OSSIFICATION ET REMANIEMENT DU T O L ossification est un processus de construction, de résorption, de croissance et de remaniement du tissu osseux. L ossification se déroule en deux étapes successives; l ossification I aire et l ossification II aire. l ossification I aire se déroule en deux étapes successives; l ossification endoconjonctive et l ossification endochondrale. Par ailleurs l ossification se déroule selon un processus fondamental qui se répète durant toute la croissance. 10

11 PROCESSUS FONDAMENTAL DE L OSSIFICATION synthèse calcification matrice preosseuse et matrice osseuse matrice osseuse ostéoblastes différentiation matrice preosseuse ostéoclasie cellules mésenchymateuses ostéoclaste Processus fondamental de l ossification 11

12 OSSIFICATION D UN OS LONG Elle débute au sein de la diaphyse et se poursuit au niveau des épiphyses. AU NIVEAU DE LA DIAPHYSE OSSIFICATION PRIMAIRE Le modèle est une maquette de cartilage hyalin entouré de périchondre. périchondre cartilage hyalin maquette cartilagineuse 12

13 OSSIFICATION ENDOCONJONCTIVE Elle se déroule en plusieurs étapes : 1 - le périchondre se transforme en périoste de la diaphyse aux épiphyses. 2 - le périoste élabore un manchon d os périostique (os I aire) autour du cartilage hyalin. 3 - des cellules mésenchymateuses du périoste fusionnent en ostéoclastes. 4 - les ostéoclastes creusent des canaux dans le manchon d os périostique. 5 - les chondroclastes creusent une petite cavité dans le cartilage hyalin. 6 - les B.C.V (vaisseaux sanguins et T conjonctif du périoste) pénètrent à travers ces canaux dans la cavité. 13

14 7 - les chondrocytes du cartilage hyalin s hypertrophient (cartilage hypertrophié). 8 - la matrice cartilagineuse se calcifie (cartilage hypertrophié calcifié). 9 - Les chondrocytes (privés d éléments nutritifs) s atrophient et meurent laissant de cavités vides Ostéoclasie du plancher cartilagineux des cavités formation de couloirs (dans l axe longitudinal de la diaphyse) dans lesquels pénètrent les B.C.V Déclenchement du processus fondamental de l ossification par différentiation de cellules mésenchymateuses en ostéoblastes puis synthèse de la matrice pré osseuse puis calcification et de la matrice preosseuse en matrice osseuse, formation des ostéocytes et enfin ostéoclasie. 14

15 Ce phénomène se poursuit jusqu à atteindre les jonctions diaphyso-épiphysaires supérieure et inferieure; zone ou vont se former les cartilages de conjugaison. A la fin de l ossification endoconjonctive, il se forme une cavité médullaire primaire au sein de laquelle s engagent des B.C.V qui constituent le centre d ossification primaire. 15

16 . Manchon d os périostique. B C V centre d ossification primaire point de pénétration du B C V cartilage hypertrophié calcifié Chondrocyte hypertrophié cartilage hyalin Périoste Démarrage de l ossification I aire endoconjonctive. Cartilage hypertrophié calcifié chondrocyte hypertrophié ligne d érosion ostéoblaste B C V os enchondral ou cartilage calcifié travées directrices Ossification I aire endoconjonctive et endochodrale 16

17 OSSIFICATION ENDOCHONDRALE Elle a lieu au niveau des jonctions diaphyso-épiphysaires inferieure et supérieure. Ces régions correspondent aux cartilage de conjugaison. Les chondrocytes proches des B.C.V reçoivent directement les éléments nutritifs : Nutrition des chondrocytes. L ossification endochondrale se déroule en plusieurs étapes : 1- formation de groupes isogèniques axiaux : cartilage série. 2- hypertrophie chondrocytaire : cartilage hypertrophié. 3 - calcification de la matrice cartilagineuse : cartilage hypertrophié calcifié. 17

18 4 - atrophie chondrocytaire : cartilage atrophié calcifié. 5 - mort des chondrocytes et formation de cavités vides. 6 - ostéoclasie du plancher cartilagineux de chaque cavité selon une ligne d érosion. 7- formation de couloirs ou s engagent les B.V.C. 8 - Déclenchement du processus fondamental de l ossification par différentiation de cellules mésenchymateuses en ostéoblastes puis synthèse de la matrice pré osseuse puis calcification et de la matrice preosseuse en matrice osseuse, formation des ostéocytes et enfin ostéoclasie. Ce phénomène se répète durant toute la croissance. parallèlement à l apparition et la disparition de l os enchondral, le périoste continue d apposer le manchon d os périostique rendant plus épais la diaphyse. 18

19 Mécanisme de l ossification I aire endochondrale cartilage hyalin de conjugaison cartilage sérié cartilage hypertrophié cartilage hypertrophié calcifié cartilage atrophié calcifié lacunes vides Matrice cartilagineuse calcifié ligne d érosion ostéoblastes B C V os enchondral ostéoclaste 19

20 Modèle cartilagineux Manchon d os périostique centre d ossification II aire de l épiphyse supérieur os fibreux I aire non lamellaire. formation du périoste centre d ossification primaire Ossification primaire d un os long centres d ossification II aire de l épiphyse inferieur 20

21 CONCLUSIONS Le T.O I aire (manchon d os périostique) formé est fibreux, non lamellaire, temporaire. A la fin de l ossification I aire : - le modèle s allonge - le modèle se creuse d une cavité qui s agrandit. T O enchondral Manchon d os périostique Cavité 21

22 OSSIFICATION SECONDAIRE C est le remplacement de l os I aire par un os II aire. Les principales étapes de l ossification II aire sont : 1. ostéoclasie de l os I aire (manchon d os périostique). 2. formation de l os II aire temporaire. 3. les ostéoclastes, venant de la CM et du périoste, creusent des lacunes de howship dans l os II aire temporaire : -perpendiculaires à l axe longitudinal de la diaphyse (canaux de wolkman.) En même temps les B.C.V pénètrent dans les canaux de wolkman. - parallèlement à l axe longitudinal de la diaphyse (lacune de Howship future S de Havers). En même temps les B.C.V pénètrent dans la lacune de Howship. Par la suite grâce au processus fondamental de l ossification se mettent en place les systèmes de havers : T O H D. 22

23 Os I aire ostéoblaste capillaire sanguin ostéoclaste Structure de l os I aire Structure de la lacune de Howship Os I aire Cavité médullaire Périoste C T au niveau de la diaphyse à la fin de l ossification primaire 23

24 périoste os II aire temporaire endoste Os I aire cavité médullaire Str de l os I aire et de l os II aire temporaire en C T de la diaphyse périoste os II aire temporaire endoste cavité médullaire Structure de l os II aire temporaire en C T de la diaphyse. 24

25 périoste S F E lacune de Howship ostéoblaste S F I endoste 1 Lamelle élaborée T O H Dense système de Havers Structure de l os II aire définitif en C T de la diaphyse 25

26 AU NIVEAU DES EPIPHYSES A la naissance : Formation du centre d ossification IIaire qui s installe dans l épiphyse supérieure. Deux ans après la naissance : Le centre d ossification II aire apparaît au niveau de l épiphyse inférieure. L ossification primaire, se déroule de la même manière qu au niveau de la diaphyse cependant les B.C.V sont orientés de façon radiaire. 26

27 CROISSANCE DU TISSU OSSEUX La croissance en longueur se fait grâce à l'activité des cartilages de conjugaison. La croissance en largeur a lieu grâce à l'activité du périoste. 27

28 28

sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière

sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station

Plus en détail

Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES

Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION

Plus en détail

Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte

Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Yann Macé 1 La consolidation osseuse est un processus qui aboutit à la réparation du tissu osseux après une fracture, une

Plus en détail

Sommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18

Sommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18 Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La

Plus en détail

... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7

... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7 BIOLOGIE --1 LE SYSTÈME SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE CHEZ L HUMAIN BIO 5066-1 Novembre 2004 Table des matières Page INTRODUCTION... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6 Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les

Plus en détail

Consolidation Osseuse principes généraux g applications en MPR

Consolidation Osseuse principes généraux g applications en MPR Consolidation Osseuse principes généraux g et applications en MPR François Genêt, Médecine Physique et de Réadaptation, R Praticien hospitalier dans le service du Pr Azouvi, CHU Raymond Poincaré,, 104

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

L exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal

L exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières

Plus en détail

Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête

Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête L E S T R A U M A T I S M E S D U M E M B R E I N F É R I E U R Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête 5 par Marie-Andrée Cantin Maxime, 11 ans, s est fait bousculer en jouant au soccer

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal

Plus en détail

L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées

L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées Mohamed Ahmed Samir Kassem Chef de clinique assistant Hôpitaux Universitaires d Alexandrie, Egypte INTRODUCTION La

Plus en détail

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie

Plus en détail

Sommaire. Caractéristiques du TCH. Implantation animale. Recul clinique. Généralités sur les céramiques phosphocalciques poreuses

Sommaire. Caractéristiques du TCH. Implantation animale. Recul clinique. Généralités sur les céramiques phosphocalciques poreuses Sommaire Caractéristiques du TCH composition chimique résistance en compression sécurité biologique biocompatibilité contamination Références bibliographiques Implantation animale Protocole Résultats ostéoconduction

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Tendinopathie de la coiffe des rotateurs...164 L épaule gelée ou la capsulite rétractile...172 L'Arthroscopie...174 L'omarthrose primitive...

Tendinopathie de la coiffe des rotateurs...164 L épaule gelée ou la capsulite rétractile...172 L'Arthroscopie...174 L'omarthrose primitive... 1 Table des matières Table des matières...1 Introduction et généralités...4 Structures de l appareil locomoteur...5 La consultation et l examen clinique...12 Moyens thérapeutiques...14 Les matériaux en

Plus en détail

Articulations du coude et de l avant-bras

Articulations du coude et de l avant-bras Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,

Plus en détail

INSUFFISANCE HÉPATIQUE

INSUFFISANCE HÉPATIQUE INSUFFISANCE HÉPATIQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE HÉPATIQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance hépatique ne soit approuvé

Plus en détail

Activité physique et santé osseuse

Activité physique et santé osseuse L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux. 40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation

Plus en détail

Sciences de la vie et de la Terre

Sciences de la vie et de la Terre Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de

Plus en détail

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

C est un ensemble qui comprend les os unis entre eux par des articulations et mis en mouvement par des muscles.

C est un ensemble qui comprend les os unis entre eux par des articulations et mis en mouvement par des muscles. C est un ensemble qui comprend les os unis entre eux par des articulations et mis en mouvement par des muscles. Généralités : Les os s articulent entre eux pour fixer le squelette sur lequel s insèrent

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes

Plus en détail

ACTIV ANKLE FIBULA DISTALE ET DIAPHYSAIRE INNOVATION MEANS MOTION

ACTIV ANKLE FIBULA DISTALE ET DIAPHYSAIRE INNOVATION MEANS MOTION ACTIV ANKLE FIBULA DISTALE ET DIAPHYSAIRE FIXATION POLYAXIALE VERROUILLÉE DUALTEC SYSTEM II Implants préformés Vis préorientées et débattement polyaxial de 20 2 approches chirurgicales : latérale et postéro-latérale

Plus en détail

Consolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques

Consolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques Consolidation des fractures ostéoporotiques oporotiques Jean-Marc Féron Service de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique Hôpital Saint Antoine Hôpitaux Universitaire Est Parisien UPMC-Sorbonne Universités,

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...

Plus en détail

Généralités sur fractures, luxation et entorses

Généralités sur fractures, luxation et entorses Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques

Plus en détail

Quel athlète ce squelette!

Quel athlète ce squelette! Quel athlète ce squelette! Situation d apprentissage sur le squelette humain Durée : 4 à 8 périodes Deuxième cycle du primaire 68 - Deuxième cycle du primaire Quel athlète ce squelette! Liens avec le Programme

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

COT & COGC de Paris Saint-Lazare

COT & COGC de Paris Saint-Lazare Organisme d accueil COT & COGC de Paris Saint-Lazare Interview du 13 Février 2013 avec Richard Goult Mail : richard.goult@sncf.fr Tel : 01 53 42 09 21 Présentation Le Centre Opérationnel Transilien (COT)

Plus en détail

FCT. Robinet à tournant sphérique FCT - type HPA - 150# à 1500# Instructions d installation et de maintenance. Pour les robinets à axe nu :

FCT. Robinet à tournant sphérique FCT - type HPA - 150# à 1500# Instructions d installation et de maintenance. Pour les robinets à axe nu : FCT Robinets à tournant sphérique pour toutes applications avec axe anti-éjection, conception sécurité feu et cavité de corps à décompression automatique. 1. Généralités Nous vous recommandons de respecter

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

La reprise de la vie active

La reprise de la vie active Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.

Plus en détail

Cavité buccale et système dentaire

Cavité buccale et système dentaire Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

MONTREAL NOTICE DE MONTAGE. Réf. 47370. Carport une place à toit plat 298 x 500 cm. Charge tolérée (neige) : 100 kg/m2 Hauteur utile : 235 cm

MONTREAL NOTICE DE MONTAGE. Réf. 47370. Carport une place à toit plat 298 x 500 cm. Charge tolérée (neige) : 100 kg/m2 Hauteur utile : 235 cm MONTREAL Carport une place à toit plat 298 x 500 cm NOTICE DE MONTAGE Réf. 47370 Universo Bois S.A.S. Siège et Plate-Forme Logistique ZI Grand Bois - BP 40006-8, rue Frédéric Niemann 57211 SARREGUEMINES

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

description du système

description du système description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module

Plus en détail

REPUBLIQUE DU BENIN 1

REPUBLIQUE DU BENIN 1 1 REPUBLIQUE DU BENIN 2 Les axes de développement du système éducatif énoncés depuis les états généraux de l Education former des adultes performants dotés d'esprit d'initiative, ayant le goût de la recherche,

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr

http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr http://portaildoc.univ-lyon1.fr Creative commons : Paternité - Pas d Utilisation Commerciale - Pas de Modification 2.0 France http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr UNIVERSITE CLAUDE BERNARD-LYON

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT

ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Osigraft 3,3 mg poudre pour suspension implantable 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque flacon contient 3,3

Plus en détail

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte

Plus en détail

Comment Ne Plus Souffrir. Du Mal Au Dos

Comment Ne Plus Souffrir. Du Mal Au Dos Guide pratique pour apprendre comment soigner ses maux de dos Comment Ne Plus Souffrir Du Mal Au Dos Daniela Vannuchi Experte en Biokinétiques (C.S.C.S) Je ne veux Plus Souffrir! Table des matières MAL

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle

Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle Renforcement bâtiment bureaux par voiles extérieurs et précontrainte additionnelle A B C D 12,00 D1 C1 D2 34,76 C2 34,76 12,00 N 34,76 A2 34,76 12,00 A1 B1 12,00 B2 Corbeau + appui néoprène Parking D C

Plus en détail

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux. Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider

Plus en détail

Intop360. Une méthodologie originale pour identifier les compétences, lacunes et potentiels des cadres. Fiable. Valide. Cohérent. Crédible.

Intop360. Une méthodologie originale pour identifier les compétences, lacunes et potentiels des cadres. Fiable. Valide. Cohérent. Crédible. Intop360 Fiable Valide Cohérent Crédible Rapide Simple Une méthodologie originale pour identifier les compétences, lacunes et potentiels des cadres Faire évaluer vos cadres par leur entourage professionnel

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par Programme interreg Eco Fab Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011 Compte rendu réalisé par Contexte : Le projet ECO FAB vise à créer un groupe de réflexion transmanche destiné à la création de réseaux thématiques

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Les PETITS ATELIERS Du DOS» avec Totor

Les PETITS ATELIERS Du DOS» avec Totor Les PETITS ATELIERS Du DOS» avec Totor Un programme pour apprendre à connaitre et protéger son dos * Programme «les petits ateliers du dos» * Introduction * Présentation 1. Finalités 2. Public cible 3.

Plus en détail

Programmation des séances (Trêve de Noël 2013) Détail des séances. * gainage abdo-lombaire (voir planches D) * gainage abdo-lombaire (voir planches D)

Programmation des séances (Trêve de Noël 2013) Détail des séances. * gainage abdo-lombaire (voir planches D) * gainage abdo-lombaire (voir planches D) Détail des séances Séance numéro 1: 1- Course PMA 1 : I- 10 minutes de jogging facile + stretching des jambes II- 3 blocs de 6 minutes en 30 course/30 repos sur 154m Prendre 1 30 de récupération entre

Plus en détail

dos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n

dos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013

INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013 INSTRUCTIONS POSE ET FINITION DES PANNEAUX DE GYPSE GA-216-2013 Ce document est susceptible d être révisé ou retiré de la circulation en tout temps. L état du document devra être vérifié par l utilisateur

Plus en détail

Organisation Gestion du temps. Participation Notes et résumés Etudes et examens

Organisation Gestion du temps. Participation Notes et résumés Etudes et examens Organisation Gestion du temps Participation Notes et résumés Etudes et examens Le SIEP de Mons organise des ateliers dynamiques pour t aider à découvrir ta Avec des conseils pratiques, des trucs et astuces!

Plus en détail

XXXX F16D ACCOUPLEMENTS POUR LA TRANSMISSION DES MOUVEMENTS DE ROTATION; EMBRAYAGES; FREINS [2]

XXXX F16D ACCOUPLEMENTS POUR LA TRANSMISSION DES MOUVEMENTS DE ROTATION; EMBRAYAGES; FREINS [2] XXXX F16D F16D F16 ÉLÉMENTS OU ENSEMBLES DE TECHNOLOGIE; MESURES GÉNÉRALES POUR ASSURER LE BON FONCTIONNEMENT DES MACHINES OU INSTALLATIONS; ISOLATION THERMIQUE EN GÉNÉRAL F16D XXXX F16D ACCOUPLEMENTS

Plus en détail

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale

Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Contrôle Non Destructif C.N.D.

Contrôle Non Destructif C.N.D. Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres

Plus en détail

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

7. Annexes. 7.1 Les différents constituants de la colonne vertébrale et leurs rôles

7. Annexes. 7.1 Les différents constituants de la colonne vertébrale et leurs rôles 7. Annexes Certaines notions abordées dans les chapitres précédents sont expliquées en détail dans les annexes suivantes. Segment vertébral de profil Segment vertébral de profil: les ligaments (F), les

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les

Plus en détail

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE

Plus en détail

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de

Plus en détail

Manuel de l ergonomie au bureau

Manuel de l ergonomie au bureau Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres

Plus en détail

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS

1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait

Plus en détail

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts

2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts 2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts DESCRIPTION ET PLAN L église paroissiale de Cernay- La- Ville inscrite à l inventaire des Monuments

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

LES MENUISERIES INTÉRIEURES

LES MENUISERIES INTÉRIEURES Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,

Plus en détail