CHAPITRE 7 LIAISON COVALENTE : ORBITALES QUESTIONS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHAPITRE 7 LIAISON COVALENTE : ORBITALES QUESTIONS"

Transcription

1 APITRE 7 LIAIS VALETE : RBITALES QUESTIS 7. Dans la théorie des orbitales hybrides, les liaisons σ sont formées par le recouvrement axial d une orbitale hybride avec une orbitale appropriée de l atome lié. Les liaisons π se forment à partir d orbitales atomiques non hybridées. Les orbitales p effectuent un recouvrement latéral pour former la liaison π, sans laquelle les électrons π occupent l espace de part et d autre de l axe qui relie les deux atomes (l axe internucléaire). En supposant que l axe des z est l axe internucléaire, l orbitale atomique p z sera toujours hybridée, quelle que soit l hybridation, sp, sp 2, sp 3, sp 3 d ou sp 3 d 2. Dans le cas de l hybridation sp, les orbitales atomiques p x et p y ne sont pas hybridées ; elles sont utilisées pour former deux liaisons π avec les atomes liés. Dans le cas de l hybridation sp 2, l orbitale atomique p x ou l orbitale atomique p z est hybridée (en même temps que les orbitales s et p z ) ; l autre orbitale p est utilisée pour former une liaison π avec un atome lié. Pour l hybridation sp 3, les orbitales s et toutes les p sont hybridées ; aucune orbitale atomique p non hybridée n est présente, par conséquent aucune liaison π ne se forme avec l hybridation sp 3. Pour l hybridation sp 3 d et sp 3 d 2, on combine seulement une ou deux orbitales d dans le processus d hybridation. 8. La théorie des M est un modèle mathématique. Les niveaux d énergie permis (orbitales moléculaires) dans une molécule sont des solutions d une équation mathématique. Le carré de ces solutions indique la forme des orbitales moléculaires. Une liaison sigma est un niveau d énergie permis où la probabilité de présence la plus élevée de l électron est entre les noyaux qui forment la liaison. Les orbitales de valence s forment des liaisons sigma, et si l axe internucléaire est l axe des z, les orbitales de valence p z forment également des liaisons sigma. Pour une molécule comme, une M de liaison sigma résulte de la combinaison de l orbitale 1s de et de l orbitale atomique 2p z de. Dans le cas des liaisons π, la densité électronique se situe au-dessus et au-dessous de l axe internucléaire. Les liaisons π se forment quand des orbitales p x se combinent (recouvrement latéral) et quand des orbitales p y se combinent. 9. n utilise les orbitales d lorsque l atome central d une molécule s entoure de plus de huit électrons. Les éléments de la deuxième période ne s entourent jamais de plus de huit électrons et ils n hybrident donc jamais d orbitales d. Pour les éléments de la troisième période et les éléments plus lourds, il y a des orbitales 3d, 4d, 5d, etc., dont la valeur d énergie est proche de celle des orbitales de valence s et p. e sont les non-métaux de la troisième période et les non-métaux plus lourds qui hybrident les orbitales d, si nécessaire. Pour le soufre, les électrons de valence sont dans des orbitales 3s et 3p. Par conséquent, les orbitales 3d ont des énergies voisines et sont disponibles pour l hybridation. L arsenic hybride les orbitales 4d avec les orbitales 4s et 4p, tandis que l iode hybride les orbitales 5d, étant donné que les électrons de valence sont au niveau n = Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

2 176 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 10. Une rotation a lieu autour d une liaison tant que les orbitales qui forment cette liaison continent de se chevaucher lorsque les atomes effectuent cette rotation. Les liaisons sigma, qui forment un recouvrement axial, ne sont pas touchées par la rotation des atomes des liaisons. Les atomes liés ensemble par une liaison sigma seulement (liaison simple) présentent ce phénomène de rotation. Les liaisons π, quant à elles, ne peuvent pas effectuer de rotation. Les orbitales p doivent être parallèles les unes aux autres pour former la liaison π. Si l on essayait d effectuer une rotation des atomes autour d une liaison π, les orbitales p n auraient plus le bon alignement nécessaire au recouvrement. omme les liaisons π sont présentes dans les liaisons doubles et triples, (une liaison double consiste en une liaison σ et une liaison π et une liaison triple consiste toujours en une liaison σ et deux liaisons π), les atomes dans une liaison double ou une liaison triple ne peuvent pas effectuer de rotation (à moins que la liaison soit rompue). 11. Les orbitales liantes se forment quand des orbitales en phase se combinent pour donner une interférence constructive, ce qui entraîne une augmentation de la probabilité de présence des électrons entre les deux noyaux. Le résultat final est qu une M liante a un niveau d énergie inférieur à celui des orbitales atomiques qui la composent. Les orbitales antiliantes se forment lorsque des orbitales déphasées se combinent. es phases non appariées produisent une interférence destructive, ce qui mène à une zone nodale dans la probabilité de présence des électrons entre les noyaux. omme la distribution électronique est repoussée vers l extérieur, l énergie d une orbitale antiliante est supérieure à celle des orbitales atomiques qui la composent. 12. D après les preuves expérimentales, B 2 est paramagnétique. Si l M σ 2p était d énergie plus faible que les deux M π 2p dégénérées, tous les électrons dans la configuration électronique de B 2 seraient appariés. Les résultats expérimentaux nous indiquent qu il doit y avoir des électrons non appariés. Par conséquent, le diagramme des niveaux d énergie des M est modifié afin d avoir des orbitales π 2p dans un niveau d énergie plus faible que celui des orbitales σ 2p. ela donne deux électrons non appariés dans la configuration électronique de B 2 et explique les propriétés paramagnétiques de B 2. Le modèle admet le mélange des orbitales s et p, ce qui fait passer l énergie de l orbitale σ 2p au-dessus de celle des orbitales π 2p. 13. La théorie des électrons localisés ne décrit pas de façon efficace les molécules comportant des électrons célibataires. n peut écrire tous les diagrammes possibles pour avec son nombre impair d électrons de valence, mais ne pas avoir une bonne appréciation si la liaison dans est plus faible ou plus forte que la liaison dans. La théorie des M peut traiter les espèces ayant un nombre impair d électrons sans aucune modification. De plus, la théorie des orbitales hybrides ne prédit pas si est paramagnétique. La théorie des M fait cette prédiction correctement , 5 + 3(6) + 1 = 24 e 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

3 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 177 Quand on peut dessiner des structures de résonance, c est habituellement dû au fait qu une liaison multiple peut occuper différentes positions. est le cas dans 3. Les résultats expérimentaux nous indiquent que les trois liaisons sont équivalentes. Pour expliquer ce fait, on dit que les électrons π sont délocalisés dans la molécule. Dans le cas de 3, le système de liaisons π se compose d une orbitale atomique p non hybridée de chaque atome de 3. es orbitales p sont orientées de façon perpendiculaire au plan des atomes dans 3. Le système de liaisons π est constitué de toutes les orbitales perpendiculaires p qui effectuent un recouvrement pour former un nuage d électrons diffus au-dessus et audessous de toute la surface de l ion 3. Au lieu d avoir des électrons π situés au-dessus et au-dessous de deux noyaux spécifiques, on considère que les électrons π dans 3 se répartissent sur l ensemble de la molécule (d où le terme de délocalisation). Voir la figure 7.49 pour une illustration du système de liaisons π dans 3. EXERIES Théorie des électrons localisés et hybridation des orbitales a 2(1) + 6 = 8 électrons de valence Dans 2, les paires d électrons ont un arrangement tétraédrique autour de (hybridation sp 3 ). Deux orbitales hybrides sp 3 établissent la liaison avec les deux atomes d hydrogène ; les deux autres orbitales hybrides sp 3 retiennent les deux paires libres de l oxygène a 2(1) = 12 électrons de valence L atome de carbone central et l atome d oxygène ont tous deux une disposition triangulaire plane de leurs électrons, qui exige une hybridation sp 2. Les deux liaisons résultent du recouvrement d une orbitale hybride sp 2 du avec l orbitale 1s du. La liaison double = est formée d un lien π résultant du recouvrement des orbitales hybrides sp 2 de et, et d un lien β résultant du recouvrement d orbitales parallèles p non hybrides de ces mêmes atomes. 17. L éthane, 2 6, a 2(4) + 6(1) = 14 électrons de valence Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

4 178 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales Les atomes de carbone sont hybridés sp 3. Les six liaisons σ sont formées par le recouvrement des orbitales hybrides sp 3 du avec les orbitales 1s des atomes d hydrogène. La liaison sigma carbone-carbone est formée par le recouvrement d une orbitale hybride sp 3 sur chaque carbone. L éthanol, 2 6 a 2(4) + 6(1) + 6 = 20 e. Les deux atomes et l atome sont hybridés sp 3. Toutes les liaisons sont formées par le recouvrement avec des orbitales hybrides sp 3. Les liaisons sigma et sont formées par le recouvrement des orbitales hybrides sp 3 avec des orbitales atomiques 1s de l hydrogène. Les liaisons sigma et sont formées par le recouvrement des orbitales hybrides sp 3 de chaque atome. 18. Toutes ces molécules ou ions présentent une hybridation dsp 3. Voir l exercice 6.53 pour les diagrammes de Lewis. Toutes ces molécules ou ions possèdent un arrangement bipyramidal à base triangulaire des doublets d électrons autour de l atome central ; toutes les molécules ont un atome central hybridé dsp Voir l exercice 6.54 pour les diagrammes de Lewis. Toutes ces molécules possèdent un arrangement octaédrique des doublets d électrons autour de l atome central ; toutes les molécules ont un atome central hybridé d 2 sp La molécule et l ion à l exercise 6.66 possèdent un arrangement plan triangulaire des doublets d électrons autour de l atome central ; par conséquent, cette molécule et cet ion ont un atome central hybridé sp 2. Voir l exercice 6.66 pour les diagrammes de Lewis. 21. a) Tétraédrique, 109,5, sp 3, non polaire b) Pyramide triangulaire, 109,5, sp 3, polaire 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

5 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 179 c) En V, 109,5, sp 3, polaire d) Plane triangulaire, 120, sp 3, non polaire B e) Linéaire, 180, sp, non polaire f) Be g) a 120, à bascule, sp 3 d, polaire b 90 b As a a = 90, bipyramidale triangulaire, sp 3 d, non polaire b = 120 h) Kr Linéaire, 180, sp 3 d, non polaire 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

6 180 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales i) Kr 90 o Plane carrée, 90, sp 3 d 2, non polaire j) Se Plane carrée, 90, sp 3 d 2, non polaire k) Pyramide carrée, 90 ; sp 3 d 2, polaire l) En T, 90, sp 3 d, polaire m) Tétraédrique, 109,5, sp 3, non polaire 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

7 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales a) S En V, sp 2, 120º, non polaire Une seule forme de résonance est illustrée, car on peut prédire à partir de n importe quelle des formes de résonance. b) c) 2- S S S Triangulaire plane, 120º, sp 2 Tétraédrique, 109,5º, sp 3 d) 2- e) 2- S S S Géométrie tétraédrique autour de chaque S : hybridation sp 3 ; arrangement en V autour des du centre : hybridation sp 3. Pyramide a base triangulaire, 109,5º, sp 3 f) 2- g) S S Tétraédrique, 109,5 º, sp 3 En V, 109,5º, sp Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

8 182 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales h) i) 90 o 120 o S S À bascule, = 90º et = 120º, sp 3 d ctaédrique, 90º, sp 3 d 2 j) b a S c S a)= 109,5º b) = 90º c) = 120º À bascule autour du S de gauche (sp 3 d); En V autour du S de droite (sp 3 ) 23. Si les atomes n étaient pas tous dans le même plan, la liaison π ne pourrait se former, puisque les orbitales p des atomes de carbone ne seraient pas parallèles. 24. on, les plans 2 sont mutuellement perpendiculaires. L atome central hybridé sp est impliqué dans la formation de deux liaisons π. Ses orbitales p utilisées pour former ces deux liaisons π doivent être perpendiculaires l une par rapport à l autre, ce qui force les deux plans 2 à l être aussi Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

9 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales Biacétyle Tous les angles, 120. Les 6 atomes et ne sont pas coplanaire à cause de la rotation libre autour de la liaison simple centrale. Il y a 11 liens σ et 2 liens π dans la molécule. Acétoïne angle a = 120, angle b = 109,5, liaison 13σ et 1π. 26. Acrylonitrile : 3 3 a 3(4) + 3(1) + 5 = 20 électrons de valence a) 120 o b) 120 o c) 180 o Tous les atomes de cette molécule sont coplanaires. La liaison π de la liaison double oblige les atomes et à être coplanaires, et le lien triple oblige l atome à être aligné avec le plan des autres atomes. Le ( ) a 5(4) + 8(1) + 2(6) = 40 électrons de valence d) 120 o e) 120 o f) 109,5º 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

10 184 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 27. Pour compléter le diagramme de Lewis, ajouter des doublets d électrons libres aux atomes ayant moins de 8 électrons ; a) 6 ; b) 4 ; c) le central dans = = ; d) 33σ ; e) 5π ; f) 180 ; g) 109,5 ; h) sp a) Pour compléter le diagramme de Lewis, ajouter des doublets libres aux atomes ayant moins de 8 électrons. Remarque : par convention, il se trouve un atome de carbone à chaque angle des structures cycliques où la nature de l atome n est pas spécifiée Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

11 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 185 b) Pipérine : 0 sp, 11 sp 2 et 6 sp 3 ; capsaïcine : 0 sp, 9 sp 2 et 9 sp 3. c) sp 3 dans chaque molécule. d) a) 120 o e) 109,5 o i) 120 o b) 120 o f) 109,5 o j) 109,5 o c) 120 o g) 120 o k) 120º d) 120 o h) 109,5 o l) 109,5 o Théorie des orbitales moléculaires 29. a) + 2 : (σ 1s ) 1.L. = (1 0)/2 = 1/2, stable 2 : (σ 1s ) 2.L. = (2 0)/2 = 1, stable 2 : (σ 1s ) 2 (σ 1s *) 1.L. = (2 1)/2 = 1/2, stable 2 2 : (σ 1s ) 2 (σ 1s *) 2.L. = (2 2)/2 = 0, instable b) e 2+ 2 : (σ 1s ) 2.L. = (2 0)/2 = 1, stable e + 2 : (σ 1s ) 2 (σ 1s *) 1.L. = (2 1)/2 = 1/2, stable e 2 : (σ 1s ) 2 (σ 1s *) 2.L. = (2 2)/2 = 0, instable 30. a) 2 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2 (π 2p *) 2.L. = (8 4)/2 = 2, stable 2 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *).L. = (8 6)/2 = 1, stable 2 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) 4 (σ 2p *) 2.L. = (8 8)/2 = 0, instable b) Be 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2.L. = (2 2)/2 = 0, instable BB2: (σ 2s ) (σ2s*) (π2p).l. = (4 2)/2 = 1, stable e 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) 4 (σ 2p *) 2.L. = (8 8)/2 = 0, instable 31. a) (σ 1s ) 2 ;.L. = 1 ; diamagnétique ; b) (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 2 ;.L. = 1 ; paramagnétique ; c) (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p * ) 4 ;.L. = 1 ; diamagnétique. 32. Il y a 14 électrons de valence dans la configuration électronique de l M. En outre, la couche de valence est n = 3. Quelques éléments ou ions possibles appartenant à la période 3 et possédant 14 électrons de valence sont : l 2, Sl, S 2 2 et Ar : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p * ) 2 ;.L. = 2 ; 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2 ;.L. = 3. Dans 2, un électron antiliant est enlevé et l ordre de liaison augmente à 2,5 [= (8 3)/2] ; la liaison se renforce. Dans 2, un électron liant est enlevé ce qui diminue l ordre de liaison à 2,5 [= (7 2)/2] ; la liaison s affaiblit : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) 1 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

12 186 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 2 - : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) rdre de liaison 2,5 2 1,5 1 Électrons célibataires Énergie de liaison : 2 2- < 2 - < 2 < 2 + ; longueur de liaison : 2 + < 2 < 2 - < 2 2- L énergie de liaison est directement proportionnelle, et la longueur de liaison, inversement proportionnelle à l ordre de liaison. 35. Si on ne considère que les douze électrons de valence dans 2, les modèles d M seraient : σ 2p * 2 2- π 2p * π 2p σ 2p σ 2s * État fondamental de 2 diagramme de Lewis σ 2s L arrangement des e - est conforme au (liaison double et aucun électron célibataire). Il faut fournir de l énergie pour apparier des électrons dans la même orbitale. Par conséquent, le diagramme sans électrons célibataires est à un niveau d énergie plus élevé ; c est un état excité. 36. a) + : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) 4.L. = (6-2)/2 = 2, diamagnétique b) : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 1.L. = (7-2)/2 = 2,5, paramagnétique c) : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2.L. = 3, diamagnetique 37. a) + : (σ2s)2(σ2s*)2(π2p)4(σ2p)2 ;.L. = 3 ; diamagnétique ; b) : (σ2s)2(σ2s*)2(π2p)4(σ2p)2(π2p*)1 ;.L. = 2,5 ; paramagnétique ; c) - : (σ2s)2(σ2s*)2(π2p)4(σ2p)2(π2p*)2 ;.L. = 2 ; paramagnétique Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

13 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales : (σ 1s ) 2 B 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2 : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) 3 La force de la liaison diminue si l électron enlevé vient d une orbitale liante. Parmi les molécules énumérées, on s attend que la force de la liaison dans 2, B 2 et 2 2 diminue quand un électron est enlevé. Dans le cas de, l électron est enlevé d une orbitale antiliante, de sorte que la force de sa liaison augmente. 39. : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 1 ; : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2 (π 2p * ) 1 ; 2 + : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 ; 2 2+ : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 4. formera probablement -, étant donné que l ordre de liaison augmente (contrairement à - dans lequel l électron ajouté va dans une orbitale antiliante). Entre 2 2+ et 2 2+, 2 2+ se formera probablement étant donné que l ordre de liaison augmente (contrairement à 2 + comparé à 2 2+ ). 40. L orbitale moléculaire σ résulte du recouvrement axial de deux orbitales 2p. L orbitale moléculaire π résulte du recouvrement latéral de deux orbitales 2p. 41. es orbitales moléculaires sont de type σ puisque leur densité électronique est dans l axe internucléaire Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

14 188 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 42. a) la densité électronique est plus près de l atome parce qu il est plus électronégatif que l atome et que son orbitale 2p est d énergie plus basse que l orbitale 1s de. b) L orbitale moléculaire liante a un caractère 2p dominant puisqu elle est plus près du niveau d énergie de cette dernière. c) L orbitale moléculaire antiliante aurait un plus grand caractère 1s puisqu elle s en rapproche le plus au point de vue énergétique. 43. a) L M antiliante sera celle qui aura le plus de caractère 1s puisqu elle s en rapproche le plus au point de vue énergétique ; b) on, parce qu elle n a pas la bonne symétrie pour recouvrir une orbitale 1s. Les orbitales 2p x et 2p y de l oxygène sont des orbitales non liantes ; c) d) ordre de liaison = 2 0/2 = 1 ; note : les électrons 2s, 2p x et 2p y n ont aucun effet sur l ordre de liaison ; e) pour former +, on enlève un électron non liant, ce qui ne modifie pas le nombre des e liants et antiliants. L ordre de liaison demeure le même et 2 étant isoélectroniques, on n en écrira qu une pour fins de discussion. Les diagrammes de Lewis pour 3 sont : Pour chacune des formes de résonance, l oxygène central est hybridé sp 2 avec une orbitale non hybridée 2p. Les 2 orbitales sp 2 forment des liens σ avec les voisins. Selon la théorie des électrons localisés, l orbitale β en résonance entre 2 positions utilise l orbitale 2p non hybridée Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

15 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales Les diagrammes de Lewis pour 3 2- sont (24 e ) : Selon la théorie des É.L., l atome de carbone est hybridé sp 3 et les trois orbitales hybrides servent à former trois liaisons σ de la molécule. L atome a aussi une orbitale non hybride p se recouvrant avec une autre orbitale p d un des pour former le lien π dans chaque forme de résonance. ette liaison π se déplace (résonne) d une position à l autre. Selon la théorie des.m., les 4 atomes de 3 2- ont une orbitale p perpendiculaire au plan de l ion et se recouvrent en même temps pour former un système π délocalisé dans lequel les électrons π couvrent toute la surface de l ion, tout comme le système π de l ion 3 - montré à la figure 7.49 du texte de base. EXERIES SUPPLÉMETAIRES 46. l l 2 3 l l - 2 l - 2, 2(7) (6) + 1 = 34 e - 4 l -, 4(7) = 42 e - À bascule, sp 3 d Pyramide à base carrée, sp 3 d 2 3 l l + 3 l l 2 2 l +, 2(7) = 26 e - 2 l + 2, 2(7) (6) 1 = 32 e - Pyramide à base triangulaire, sp 3 Tétraédrique, sp Pour que les atomes de carbone, d azote et d oxygène puissent avoir des valeurs de charge formelle de zéro, chaque atome forme quatre liaisons avec les autres atomes et n a aucun doublet d électrons libres, chaque atome forme trois liaisons avec les autres atomes et a un doublet d électrons libres et chaque atome forme deux liaisons avec les autres atomes et a deux doublets d électrons libres. Si l on se conforme à ces exigences de liaisons, on obtient deux structures de résonance pour la vitamine B 6 : 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

16 190 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales a) 21 σ ; 4 π (les électrons dans les 3 liaisons π du cycle sont délocalisés) ; b) angles a, c et g : 109,5 ; angles b, d, e et f : 120 ; c) 6 carbones sp 2 ; les 5 atomes de carbone dans le cycle sont hybridés sp 2, tout comme le carbone qui forme une double liaison avec l oxygène ; d) 4 atomes sp 3 ; les 2 carbones qui ne sont pas hybridés sp 2 sont hybridés sp 3, et les oxygènes indiqués par les angles a et c sont hybridés sp 3 ; e) oui, les électrons π dans le cycle sont délocalisés. Les atomes du cycle sont tous hybridés sp 2. ela laisse une orbitale p perpendiculaire au plan du cycle pour chaque atome. Le recouvrement de toutes les six orbitales p donne un système d orbitales moléculaires π dans lequel les électrons sont délocalisés de part et d autre du plan du cycle (semblable au benzène montré à la figure 7.48 du texte de base). 48. ous avons effectué une rotation autour d une liaison simple de la structure donnée dans la question. En se conformant aux directives indiquées dans l exercice 7.47, on obtient le diagramme de Lewis suivant pour l aspartame : n pourrait obtenir une autre structure de résonance en déplaçant d une position les liaisons doubles dans l anneau de benzène. n suppose que les atomes ayant une géométrie plane triangulaire pour leurs doublets d électrons sont hybridés sp 2 et que les atomes ayant une géométrie tétraédrique pour leurs doublets d électrons sont hybridés sp 3. Tous les atomes ont une géométrie tétraédrique de 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

17 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales sorte qu ils sont tous hybridés sp 3 (pas d hybridation sp 2 ). Les atomes d oxygène liés par des liaisons doubles aux atomes de carbone sont hybridés sp 2 ; les deux autres atomes d oxygène ayant deux liaisons simples sont hybridés sp 3. Quant aux atomes de carbone, les six atomes dans l anneau de benzène sont hybridés sp 2 et les trois atomes liés par des liaisons doubles à un oxygène sont également hybridés sp 2 (géométrie tétraédrique). Les réponses aux questions sont donc : 9 atomes et hybridés sp 2 (9 et 0 ) 7 atomes et hybridés sp 3 (5 et 2 ) 39 liaisons σ et 6 liaisons π (en incluant les 3 liaisons π qui sont délocalisées dans l anneau de benzène) La rotation peut se faire librement autour d une liaison simple (σ) mais pas autour d une liaison double (π + σ). Pour que la rotation soit possible, il faut briser la liaison π et la reformer plus tard. = : 614 kj/mol, - : 347 kj/mol. Il faut fournir ( ) kj/mol = 267 kj/mol pour briser la liaison π. 50. a) l 2 a (7) = 24 électrons de valence b) 2 2 a 2(5) + 2(7) = 24 électrons de valence Autre structure possible : c) S a = 16 électrons de valence 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

18 192 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales d) Il 3 a 7 + 3(7) = 28 électrons de valence 51. a) ui ; structure tétraédrique ; b) hybridation sp 3 ; c) on doit utiliser une des orbitales d de P pour former la liaison π ; d) la deuxième parce que tous les atomes ont une charge formelle nulle. 52. a) Les diagrammes de Lewis sont : La structure est la bonne puisque serait non polaire. b) harges formelles : La troisième structure est la moins probable étant donné ses importantes charges formelles Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

19 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 193 c) Les orbitales hybrides sp du central se recouvrent avec des orbitales atomiques des atomes voisins pour former deux liaisons σ. Ses deux autres orbitales non hybrides p se recouvrent latéralement avec 2 orbitales p de l autre pour former deux liaisons π a 10 e - de valence. Le diagramme de Lewis prédit une hybridation sp pour chaque atome de carbone avec deux orbitales p non hybridées sur chaque carbone. M : (σ 2s ) 2 (σ 2s * ) 2 (π 2p ) 4 (σ 2p ) 2 ;.L. = 3 ; Les orbitales hybrides sp forment la liaison σ et les deux orbitales atomiques non hybridées de chaque carbone forment les deux liaisons π. Les deux théories donnent la même représentation, une liaison triple composée d une liaison σ et de deux liaisons π. Les deux prédisent que l ion sera paramagnétique. Les diagrammes de Lewis décrivent bien les espèces diamagnétiques (tous les électrons appariés). Le modèle selon Lewis ne peut pas vraiment prédire les propriétés magnétiques : (σ 2s ) 2 (σ 2s *) 2 (σ 2p ) 2 (π 2p ) 4 (π 2p *) 4 ; 2 doit avoir une énergie d ionisation inférieure à celle de. L électron enlevé à 2 est dans une M antiliante π 2p * qui est d énergie supérieure à celle des orbitales atomiques 2p dans laquelle un électron du fluor atomique a été enlevé. Étant donné que l électron enlevé à 2 est d énergie supérieure à celle de l électron enlevé à, il devrait être plus facile d enlever un électron à 2 qu à. 55. Molécule A : tétraèdre, hybridation sp 3 ; molécule B : 6 doublets d e autour de l atome central, hybridation sp 3 d 2 ; molécule : deux liaisons σ et deux liaisons π autour de l atome central, soit deux liaisons doubles autour de l atome central (comme 2 ), soit une liaison triple et une liaison simple (comme ). La molécule est conforme à un arrangement linéaire des doublets d électrons présentant une hybridation sp. Exemples de molécules possibles : molécule A : 4 molécule B : Xe 4 molécule : 2 ou 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

20 194 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales PRBLÈMES DÉIS 56. L acide benzoïque, a 7(4) + 6(1) + + 2(6) = 46 électrons de valence. Le cercle dans l anneau indique les électrons π délocalisés dans le cycle de benzène. Les deux structures de résonance comportent trois liaisons doubles en alternance dans le cycle (voir la figure 7.46). Les six atomes de carbone de l anneau et le carbone lié à l anneau sont hybridés sp 2. Les cinq liaisons sigma se forment par recouvrement des atomes de carbone hybridés sp 2 avec les orbitales atomiques 1s de l hydrogène. Les sept liaisons σ se forment par recouvrement axial des orbitales hybrides sp 2 de chaque carbone. La liaison simple se forme par recouvrement d une orbitale hybride sp 2 d un carbone avec une orbitale hybride sp 3 de l oxygène. La liaison σ dans la double liaison se forme par recouvrement d une orbitale hybride sp 2 du carbone avec une orbitale sp 2 de l oxygène. La liaison π dans la double liaison se forme par recouvrement d orbitales atomiques p parallèles non hybridées de et de. Le système de liaisons π délocalisées dans l anneau se forme par recouvrement de toutes les six orbitales atomiques p non hybridées des six atomes de carbone. Voir le système de liaisons π délocalisées dans l anneau de benzène à la figure a) on, certains atomes sont attachés différemment ; b) structure 1 : tous les = sp 3, tous les = sp 2 ; structure 2 : tous les et = sp 2 ; c) la structure 1 avec liaisons doubles carbone-oxygène est légèrement plus stable. Pour la reaction : 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

21 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales 195 Liaisons rompues : Liaisons formées : 3 = (745 kj/mol) 3 = (615 kj/mol) 3 (305 kj/mol) 3 (358 kj/mol) 3 (391 kj/mol) 3 (467 kj/mol) Δ = 3(745) + 3(305) + 3(391) - [3(615) + 3(358) + 3(467)] Δ = 4323 kj kj = 3 kj La première structure montre des liens un peu plus forts que ceux de la deuxième. ependant, le Δ est si faible qu on peut affirmer que l énergie de liaison est globalement équivalente pour les deux structures. 58. a) 2- a = 16 électrons de valence a 2(1) = 16 électrons de valence Préférable au point de vue des charges formelles ( 2 ) 2 a (5) + 4(1) = 32 électrons de valence Mélamine ( ) a 3(4) + 6(5) + 6(1) = 48 électrons de valence Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

22 196 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales b) 2- : est sp et les sont sp, sp 2 ou sp 3 selon la forme de résonance. Mélamine : les des groupes 2 sont sp 3. Les atomes du cycle sont tous sp 2. sp 3 sp sp sp sp 3 c) 2- : 2 σ et 2 π ; 2 : 4 σ et 2 π ; dicyandiamide : 9 σ et 3 π ; mélamine : 15 σ et 3 π. d) Le système π oblige le cycle à être planaire comme celui du benzène de la figure e) La structure : est la plus importante puisqu elle a trois liaisons différentes, donnant donc trois longueurs de liaison différentes. ette structure est aussi la plus favorable au point de vue de la charge formelle. 59. a) E = hc λ (6, J s)(2, m/s) -9 = = 7, J m 18 7,9 J 6, kj = 4800 kj/mol mol 1000 J ette valeur étant plus élevée que celles des réactions fournies, la radiation peut donc ioniser 2 et, de même que briser la liaison triple. En supposant un excès de 2, les espèces 2, 2 +, et + seront toutes présentes dans le ballon à la suite de l irradiation. b) Pour produire de l azote atomique sans produire d ions, l énergie de la radiation doit être > 941 kj/mol sans dépasser 1402 kj/mol. 941 kj mol 1000 J 23 mol 6, kj = 1, J/photon λ = hc E (6, J s)(2, m/s) -18 1,56 10 J = = 1, m = 127 nm 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

23 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales kj mol 1000 J 23 mol 6, kj = 2, J/photon λ = hc E (6, J s)(2, m/s) -18 2, J = = 8, m = 85,33 nm Toute radiation de 85,33 nm < 8 <127 nm produit des atomes sans produire d ions. 2,, 2 + et + seront tous présents. La lumière, de longueur d onde autour de 85,33 nm, à 127 nm produira, mais pas d ion. 60. Les liaisons π entre atomes S ou entre et S ne sont pas aussi fortes que celles dans ou 2 parce que les orbitales plus volumineuses de S ne se recouvrent pas aussi bien que les orbitales plus petites de et. 61..L. de dans l = 2, alors que dans,.l. = 2,5 (voir l exercice 37). Les deux réactions semblent n impliquer que la rupture de la liaison l. ependant, dans la réaction l + l, de l énergie est libérée lors de la formation de la liaison plus forte entre et, avec baisse de Δ. Donc, l énergie de liaison l apparente est artificiellement basse dans cette réaction. La première réaction n implique que la rupture de la liaison l. 62. Les orbitales moléculaires de Be 2 se forment à partir de deux orbitales 1s de l hydrogène et de l orbitale 2s et de l une des orbitales 2p du béryllium. Une des orbitales liantes sigma se forme par un recouvrement en phase des orbitales 1s de l hydrogène avec l orbitale 2s du béryllium. En supposant que l axe des z est l axe internucléaire dans la molécule linéaire Be 2, alors l orbitale 2p z du béryllium possède la symétrie appropriée pour un recouvrement avec les orbitales 1s de l hydrogène ; les orbitales 2p x et 2p y sont des orbitales non liantes étant donné qu elles ne possèdent pas la symétrie appropriée nécessaire au recouvrement avec les orbitales 1s. Le type de liaison formée à partir des orbitales 2p z et 1s est une liaison sigma étant donné que le recouvrement des orbitales est axial. Le diagramme des M pour Be 2 est : Be 2 σ* s σ* p 2p 2s 2px σ p 2p y 1s 1s σ s rdre de liaison = (4-0)/2 = 2 ; le diagramme des M prédit que Be 2 est une espèce stable et prédit également que Be 2 est diamagnétique. ote : l M σ s est un mélange de deux orbitales 1s de l hydrogène avec l orbitale 2s du béryllium et l M σ p est un mélange 2007 Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

24 198 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales de deux orbitales 1s de l hydrogène avec l orbitale 2p z du béryllium. Les M ne sont pas localisées entre deux atomes ; elles s étendent plutôt à l ensemble de la surface des trois atomes. 63. a) La liaison est polaire, l extrémité négative étant autour de l atome d oxygène qui est plus électronégatif. n s attend que les cations métalliques soient attirés par l oxygène de et s y lient en se basant sur l électronégativité ; b) (carbone) = 4 2 ½(6) = 1 (oxygène) = 6 2 ½(6) = +1 D après les charges formelles, les cations métalliques se lient au carbone (qui porte la charge formelle négative) ; c) Dans la théorie des.m., seules les orbitales possédant la symétrie appropriée se recouvrent pour former des orbitales liantes. Les métaux qui forment des liaisons avec sont généralement des métaux de transition qui ont tous des électrons de la couche externe dans des orbitales d. Les seules orbitales moléculaires de qui ont une symétrie appropriée pour effectuer un recouvrement avec les orbitales d sont les orbitales π 2p *, dont la forme est semblable à celle des orbitales d (voir la figure 7.34). Étant donné que les orbitales moléculaires antiliantes ont davantage le caractère du carbone (le carbone est moins électronégatif que l oxygène), on s attend à ce que la liaison se forme avec le carbone. PRBLÈMES D ITÉGRATI 64. a), = 8 e Sb 5, 5 + 5(7) = 40 e Linéaire, sp 3 (si est hybridé) Sb Bipyramide à base triangulaire, dsp Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

25 hapitre 7 Liaison covalente : orbitales , 2(1) = 8 e Sb 6, 5 + 6(7) + 1 = 48 e - + Sb En forme de V, sp 3 ctaédrique, d 2 sp 3 0,975 g 1 mol b) 2,93 ml ml g = 0,143 mol 3,10 g Sb5 1 mol Sb5 10,0 ml ml 216,8 g Sb 5 = 0,143 mol Sb 5 D après l équation équilibrée, il faut un rapport molaire de 2:1 entre et Sb 5. omme on a la même quantité (en moles) de réactifs, est limitant. + 1 mol [2] [Sb 6] 256,8 g 0,143 mol + 2mol mol [ ] [Sb ] _ 2 6 _ = 18,4 g [ 2 ] + [Sb 6 ] 65. L élément X a 36 protons ce qui correspond au Kr. L élément Y a un électron de moins que Y, de sorte que la configuration électronique de Y est 1s 2 2s 2 2p 5. est. Kr 3 +, 8 + 3(7) 1 = 28 e Molécule en forme de T, sp 3 d Les Éditions E inc. Toute reproduction interdite

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés

Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE 18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire

A. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.

Plus en détail

LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2

LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2 Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

EXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)

EXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts) Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL PHYSIQUE-CHIMIE

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL PHYSIQUE-CHIMIE BAALAURÉAT GÉNÉRAL SESSIN 2015 PYSIQUE-IMIE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 oefficient : 6 L usage de la calculatrice est autorisé e sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Le sujet

Plus en détail

Généralités. Chapitre 1

Généralités. Chapitre 1 Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci

Plus en détail

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:

Plus en détail

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie.

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie. Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

Exercices sur le thème II : Les savons

Exercices sur le thème II : Les savons Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

CHAPITRE 1. Suites arithmetiques et géometriques. Rappel 1. On appelle suite réelle une application de

CHAPITRE 1. Suites arithmetiques et géometriques. Rappel 1. On appelle suite réelle une application de HAPITRE 1 Suites arithmetiques et géometriques Rappel 1 On appelle suite réelle une application de dans, soit est-à-dire pour une valeur de la variable appartenant à la suite prend la valeur, ie : On notera

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique

Plus en détail

Marine PEUCHMAUR. Chapitre 4 : Isomérie. Chimie Chimie Organique

Marine PEUCHMAUR. Chapitre 4 : Isomérie. Chimie Chimie Organique himie himie Organique hapitre 4 : Isomérie Marine PEUMAUR Année universitaire 200/20 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. . Isomérie plane 2. Stéréoisomérie de configuration (chiralité)

Plus en détail

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +

Plus en détail

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE

Plus en détail

1 ère Partie : Concepts de Base

1 ère Partie : Concepts de Base 1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30 Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité

Plus en détail

PHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES

PHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES Table des matières 1 LE PTN 2 LES SLUTINS CLRÉES 3 AVANCEMENT D UNE RÉACTIN CIMIQUE 4 STRUCTURE DES MLÉCULES PYSIQUE 5 INTERACTINS FNDAMENTALES 6 RADIACTIVITÉ ET RÉACTINS NUCLÉAIRES 2 CIMIE 7 MATIÈRE ET

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Fiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN

Fiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités

Plus en détail

STÉRÉOISOMÉRIE CONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE COMPOSÉS OPTIQUEMENT ACTIFS À UN SEUL CARBONE ASYMÉTRIQUE

STÉRÉOISOMÉRIE CONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE COMPOSÉS OPTIQUEMENT ACTIFS À UN SEUL CARBONE ASYMÉTRIQUE Pr atem BEN ROMDANE Structures des Molécules Organiques Stéréoisomérie optique Faculté des Sciences de Tunis et Stéréochimie composés à * STÉRÉOISOMÉRIE ONFIGURATIONNELLE STÉRÉOISOMÉRIE OPTIQUE OMPOSÉS

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Stabilité et Réactivité Nucléaire

Stabilité et Réactivité Nucléaire Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

CHIMIE ET ENVIRONNEMENT : LA «CHIMIE VERTE»

CHIMIE ET ENVIRONNEMENT : LA «CHIMIE VERTE» CHIMIE ET EVIEMET : LA «CHIMIE VETE» A.1. Liaison chimique et structure du monoxyde d azote A.1.1. Donner la configuration électronique de l atome d azote et de l atome d oxygène dans leur état fondamental

Plus en détail

Des molécules hydrophobes dans l eau

Des molécules hydrophobes dans l eau Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail