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1 rapport D activité 2014 ARHM - Activité escalade au CAJ L Oasis.

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3 L année 2014 a été marquée par des projets forts portés par l association, grâce à l engagement de tous, les administrateurs et le personnel, en étroite collaboration avec nos partenaires. Qu ils en soient ici remerciés.

4 SOMMAIRE r a p p o r t d a c t i v i t é I Édito , une année marquante tant sur le plan opérationnel qu institutionnel présentation générale 09 Regroupés en pôle d activité, les établissements et services de l ARHM œuvrent chaque jour dans le champ de la maladie mentale, du handicap psychique, mental et/ou physique ainsi que dans celui des addictions II présentation Des pôles D activité 13 Le Centre hospitalier Saint Jean de Dieu 14 Assurer les missions de service public de psychiatrie 1. La mission générale L organisation La population prise en charge et l activité Le bilan et les perspectives 24 Les Ateliers Denis Cordonnier 30 Favoriser l accès à la citoyenneté par le travail 1. La mission générale L organisation L activité Le bilan 37 Le pôle accompagnement et hébergement Pléiade 38 Rechercher l autonomie et l insertion 1. La mission générale L organisation Les perspectives 43 Le pôle accompagnement et habitat Moulin Carron 44 Répondre à la demande d hébergement et d accompagnement 1. La mission générale L organisation Le bilan et les perspectives 51 Le pôle accompagnement, handicap et dépendance L Escale 52 Accompagner les personnes dépendantes 1. La mission générale L organisation 52 Le pôle santé mentale et addictions Lyade 60 Soigner et prévenir les addictions 1. La mission générale L organisation L activité Les perspectives 67

5 III gestion De L association 69 La gouvernance associative 70 Gouverner un secteur privé non lucratif Les instances statutaires 70 Les instances de management 71 Les dossiers stratégiques Les organes de direction et les ressources 72 Optimiser les ressources Les ressources humaines 73 Les ressources financières 77 Les achats et l hôtellerie 79 Le patrimoine et la sécurité 80 Le système d information 82 La démarche qualité et gestion des risques 84 La communication interne et externe 86 IV BiLan et perspectives 89 Répondre aux besoins des personnes et anticiper l avenir 90 V annexes 91 Le bilan financier ARHM L actif 92 Le passif 94 Le compte de résultat 96 Lexique 98

6 é d i t o 2014 : une année marquante tant sur le plan opérationnel qu institutionnel L année 2014 a été marquée par des projets forts portés par l association, grâce à l engagement de tous, les administrateurs et le personnel, en étroite collaboration avec nos partenaires. Si tous les projets n ont pas abouti, ceux qui se sont concrétisés témoignent de la dynamique dans laquelle l association s est engagée au travers de son projet associatif. La richesse et la diversité de la vie institutionnelle n est possible que grâce à l implication de chacun, quelle que soit sa fonction au sein de l association, au service des personnes malades, en situation de handicap ou de dépendance. Cette mission nous rassemble et guide notre action, dans une recherche permanente de progrès, d innovation et d optimisation de nos ressources. Sur le plan de la gouvernance, les administrateurs ont été particulièrement engagés sur des dossiers stratégiques. Au-delà de leur participation régulière aux instances associatives (bureau, conseil d administration), ils ont été présents dans les instances de représentation des usagers au sein des établissements. Ils représentent également l association dans différents conseils d administration ou manifestations de portée départementale, régionale voire nationale. Leur implication a été majeure dans les projets de rapprochement ou les appels à projet. Ces dossiers stratégiques pour le développement de l association sont menés au regard des enjeux du secteur d activité et du territoire. Ils nécessitent à la fois une bonne connaissance des acteurs et une approche prospective, et se travaillent en étroite collaboration avec la direction générale et l encadrement supérieur de l association. Sur le plan stratégique, plusieurs projets majeurs ont pu ainsi être menés à bien en D abord, les rapprochements avec l association «les amis de Médialogue» gestionnaire du Foyer de vie pour adultes handicapés psychiques La Chevanière à Charnay-Lès-Mâcon et l association Centre Jean Bergeret. Par ces deux rapprochements, l ARHM a acquis une dimension régionale. Ensuite, l ARHM s est associée à l ALGED et à la Fondation Richard, dans un appel à projet pour la création d un service d accompagnement médico-social pour adultes handicapés qui ouvrira en 2015 et sera géré par l ALGED. En revanche, d autres projets n ont pas abouti et doivent nous permettre d en tirer expérience, sans renoncer aux objectifs de l association d assurer sa pérennité et son développement dans un contexte économique de plus en plus contraint et des enjeux territoriaux en pleine évolution. Enfin, le dossier relatif à la Fondation ARHM a été réactualisé en décembre 2014 pour une instruction par le ministère de l Intérieur en 2015.

7 Dans les services et établissements médico-sociaux, l accord partenarial conclu avec le Conseil général, a permis de conserver et de redéployer des moyens pour créer, au sein du pôle Moulin Carron, un service d accompagnement à la vie sociale (SAVS) de 20 places à Dardilly et, au sein du pôle Pléiade, un accueil de jour pour personnes souffrant de troubles psychiques en extension du service d accompagnement médico-social pour adultes handicapés (SAMSAH) a vu aussi le démarrage du chantier de restructuration du site de Dardilly, qui concerne aussi bien l ESAT Ateliers Denis Cordonnier que le pôle Moulin Carron. Le conseil d administration a également approuvé le projet d amélioration du confort hôtelier et d extension des bâtiments de la maison d accueil spécialisée (MAS) et du foyer d accueil médicalisé (FAM) de Feyzin qui permettra d offrir à chaque résidant un confort et des espaces de vie mieux adaptés. Par ailleurs, un nouveau projet pour les Habitats-Plus devrait pouvoir également voir le jour. Enfin, les établissements et services qui y étaient tenus en 2014 ont mené à bien leurs évaluations externes. Le centre hospitalier Saint Jean de Dieu a connu en 2014 des temps institutionnels importants, notamment l élection du président de la CME et la fin de la commission de gestion de l hôpital. Mais l année a été particulièrement marquée en 2014 par la sur-occupation des lits et la mise en œuvre d un plan d actions pour une meilleure utilisation de l hospitalisation : sensibilisation de tous les nouveaux professionnels à l occasion de journées d intégration interprofessionnelles, création du groupe de suivi des hospitalisations au long cours, création du poste de chef de service du Travail social, travail sur le logement, déploiement de deux équipes mobiles de secteur, réflexion sur l aide aux aidants La réussite du plan d actions permettra d améliorer la qualité de l accueil et des soins et les conditions de travail. Il s agit de revenir à l objectif initial du secteur psychiatrique : soigner le patient dans son lieu de vie. La réactualisation du projet d établissement, engagée au dernier trimestre 2014, permettra de prendre en compte les mesures contenues dans le plan d actions, ainsi que les enjeux de demain (loi de Santé, réforme territoriale etc.). Enfin, le CPOM, contrat pluriannuel d objectifs et de moyens, finalisé en fin d année, couvrira la période L année 2014 fut par conséquent dense. L implication de tous doit se poursuivre pour être au rendez-vous des grands enjeux des années à venir, affirmer notre identité d acteur privé à but non lucratif et accomplir notre mission au service des personnes. 07 Antoine Martinez, président Jacques Marescaux, directeur général

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9 I présentation générale 09 Anny Dulac La fête de la musique au Centre hospitalier Saint Jean de Dieu.

10 I présentation générale présentation générale L ARHM gère des établissements et services sanitaires et médico-sociaux dans le champ de la psychiatrie, du handicap psychique, mental et/ou physique, et des addictions. Ces établissements et services sont regroupés en pôle d activité. Le Centre hospitalier Saint Jean de Dieu est un établissement spécialisé en psychiatrie. Etablissement de santé privé d intérêt collectif (ESPIC), il accueille, dans différents lieux de soins, la population (enfants, adolescents, adultes et personnes âgées) résidant sur le territoire du département du Rhône qui lui est rattaché. Il a ainsi la responsabilité de la lutte contre les maladies mentales dans cinq secteurs psychiatriques du sud du département du Rhône ( habitants). Au-delà de l organisation en secteurs, il dispose également de dispositifs intersectoriels assurant des prises en charge spécialisées : un pôle de gérontopsychiatrie, un pôle de réhabilitation pour les pathologies à longue évolution, une unité de soins spécialisée dans la prise en charge des adolescents, un dispositif de soin des troubles envahissants du développement chez l enfant. Lecentre hospitalier Saint Jean de Dieu a une capacité d accueil de 545 lits et places [Site hospitalier : Lyon 8 e ]. Le pôle Ateliers Denis Cordonnier est un établissement et service d aide par le travail (ESAT). Il accueille 330 travailleurs porteurs de handicap mental. L ESAT intervient dans des domaines d activités variés : conditionnement, confection textile, encadrement et sous-verres, numérisation, espaces verts, nettoyage de véhicules [Dardilly]. Le pôle Pléiade est composé de six structures d accompagnement de personnes ayant des troubles du comportement, dans leur recherche d autonomie ou d insertion ou de réinsertion et d hébergement. la maison d accueil spécialisée (MAS) Le Bosphore : 40 places pour adultes autistes avec troubles du comportement [Lyon 8 e ]. le centre d action médico-sociale précoce (CAMSP) troubles relationnels précoces : 30 places pour des demandes pour les 0 à 3 ans [Lyon 7 e ]. le service d accompagnement et de transition La Traboule : 30 places pour des jeunes adultes (20 à 30 ans) autistes ou porteurs de troubles envahissants du développement résidant dans le département du Rhône [Lyon 3 e ]. le service tutélaire, à destination des personnes faisant l objet d une mesure de protection ordonnée par le Juge des Tutelles dépendant principalement des tribunaux de Lyon et de Villeurbanne [Lyon 8 e ]. le centre médico-psychopédagogique (CMPP) Rockefeller, pour enfants et adolescents de 4 à 20 ans, présentant une souffrance psychique ou des troubles d origine psychologique [Lyon 8 e ]. le service d accompagnement médico-social pour adultes handicapés (SAMSAH) : 50 places [Saint Fons].

11 présentation générale présentation générale prés Le pôle Escale est composé de cinq établissements d accompagnement des personnes handicapés et dépendantes. la maison d accueil spécialisée (MAS) de Révolat est un établissement médico-social. Elle prend en charge des personnes adultes n ayant pu acquérir un minimum d autonomie souffrant d un handicap mental et/ ou physique : 55 places [Feyzin]. le foyer d accueil médicalisé (FAM) du Parc de l Europe propose un accompagnement éducatif personnalisé pour personnes adultes souffrant d autisme et/ou de troubles envahissants du développement : 22 places [Feyzin]. les Habitats-Plus comportent trois établissements accueillant des personnes âgées avec des troubles psychiques : 27 places [Vénissieux - Lyon 7 e - Saint Priest]. Le pôle Moulin Carron est composé de quatre établissements qui accompagnent et hébergent les travailleurs handicapés et les personnes déclarées inaptes au travail. le foyer d hébergement de Lérine - La Poste (64 places) comprend le Hameau de Lérine et la Résidence de la Poste [Dardilly]. le service d accompagnement à la vie sociale (SAVS) Moulin Carron : 20 places, [Dardilly]. Ouverture au 01/01/2014. le centre d activité de jour L Oasis pour adultes (20 à 60 ans) souffrant d un handicap intellectuel ou psychique : 15 places [Dardilly]. le foyer de vie Pierre d Arcy qui héberge et accompagne 36 résidants âgés de 40 à plus de 70 ans [Dardilly]. Le foyer de vie La Chevanière, accueille des personnes adultes souffrant de troubles psychiques. Il a une capacité de 32 lits + 2 lits de dépannage ou d urgence [Chanay-lès-Mâcon]. Le Pôle Lyade (Lyon Addictions Dépendances) gère des activités de soins, d accompagnement et de prévention en addictologie organisées en différents services : un centre de soins d accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) ambulatoire sur trois territoires [Lyade Ainay, Lyade Garibaldi et Lyade Vénissieux]. un CSAPA résidentiel, Lyade Fucharnière [Saint-Didier au Mont-d Or]. quatre points accueil écoute jeunes (PAEJ), qui assurent la prévention des conduites à risque pour les ans. [Vénissieux, Rillieux-la-Pape, Saint-Priest, Lyon]. les espaces écoute Saint-Fons, dispositif d écoute et d accompagnement psychologique pour les habitants de Saint-Fons. 11 L institut régional Jean Bergeret regroupe l offre de formation, la documentation, les activités d appui, de réseau et d intervention ainsi que la recherche. Chiffres clés Plus de personnes malades ou handicapées prises en charge, professionnels travaillant à temps plein ou à temps partiel, 115 millions d euros de budget en 2014.

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13 II présentation Des pôles D activité ARHM 13 La construction des nouveaux bâtiments aux Ateliers Denis Cordonnier.

14 II présentation Des pôles D activité présentation 1. LA MIssIon générale Le centre hospitalier Saint Jean de Dieu, affilié à la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d Aide à la Personne à but non lucratif (FEHAP), est un établissement privé assurant les missions de service public de psychiatrie de secteur. Il est ainsi chargé des missions de la sectorisation psychiatrique dans le sud du département du Rhône et dans le 7 e arrondissement de Lyon à savoir depuis 1 er septembre 2010, date à laquelle, l établissement a achevé sa réorganisation sectorielle par la mise en place des secteurs élargis : 3 secteurs de psychiatrie générale (69 G25, 69 G26, 69 G27), 2 secteurs de psychiatrie infanto-juvénile (69 I 11, 69 I 12). Le territoire géographique référé au centre hospitalier Saint Jean de Dieu couvre le sud du département et représente un tiers du département du Rhône tant au niveau du territoire que de la population. Plus précisément, la superficie couverte est de km², la population référée au centre hospitalier est de habitants [source INSEE, population municipale en vigueur à compter de janvier 2014] dont enfants de moins de 16 ans (0 à 15 ans inclus). Les secteurs de l hôpital appartiennent à des communes en forte expansion démographique. Les communes au sud de Lyon concentrent des populations précaires et trois des quatre communes de la métropole lyonnaise qui cumulent toutes les formes de précarité (fragilités familiales, précarité liée à l emploi et précarité monétaire) sont référées au territoire du centre hospitalier Saint Jean de Dieu : Saint-Fons, Vénissieux et Givors 2. Un seul arrondissement de Lyon, le 7 e, est rattaché au centre hospitalier Saint Jean de Dieu. Il comprend une population extrêmement variée dont un fort contingent d étudiants. 1) La population municipale comprend les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune, dans un logement ou une communauté, les personnes détenues dans les établissements pénitentiaires de la commune, les personnes sans abri. 2) Source Insee Analyses Rhône-Alpes, n 22,, Février 2015, Précarité dans le Grand Lyon : vers une réduction mais plus de concentration. Au regard de leur superficie : le secteur de psychiatrie adulte 69G26 a un territoire supérieur à 600 km², le secteur infanto-juvénile 69 I 11 a un territoire encore plus étendu (706 km²). Cartes des secteurs de psychiatrie adulte et de psychiatrie infanto-juvénile référés au Centre hospitalier saint Jean de Dieu St-Laurent de Chamousset St-Symphorien sur coise Secteur 69 G25 Dr Jean-Maurice TARISSAN Secteur 69 G26 Dr Raphaële PANAYE Secteur 69 G27 Dr Lionel REINHEIMER St-Laurent de Chamousset SECTEUR OUEST 69 i011 St-Symphorien sur coise Mornant Secteur Ouest 69 i011 Dr Nadine ROUX Secteur Sud-Est 69 i012 Dr Marc ZiMMERMANN Psychiatrie Adulte Tassin-la demi-lune SECTEUR Lyon 7ème 69 G25 Ste-Foy-lès-Lyon Vaugneray Oullins St-Priest Yzeron Brindas Vénissieux St-Genis Messimy Laval St-Fons Thurins SECTEUR 69 G26 Mornant Givors Psychiatrie Infanto-Juvenile 2. L organisation Craponne Tassin-la demi-lune Ste-Foy-lès-Lyon Lyon 7 ème Pierre-Bénite Lyon 8 ème Vaugneray Oullins St-Priest Vénissieux St-Genis Laval St-Fons Mions Irigny Feyzin Givors Irigny SECTEUR 69 G27 St-Symphorien d'ozon Condrieu SECTEUR SUD-EST 69 i012 St-Symphorien d'ozon Condrieu 2.1 L organisation institutionnelle du centre hospitalier Le centre hospitalier Saint Jean de Dieu est placé sous la responsabilité de M. Jacques Marescaux, directeur et de M. Daniel Padwo, directeur adjoint. L organisation institutionnelle est la suivante : un conseil d administration de l ARHM Président : M. Antoine Martinez.

15 Des pôles D activité présentation Des pôles D activ une conférence médicale d établissement (CME) composée selon un nouveau règlement intérieur voté à l unanimité en mai Président : Dr Lionel Reinheimer. un comité d établissement composé dans les formes légales. Président : M. Jacques Marescaux, chef d établissement, Secrétaire : Mme Odile Lepetit - SUD un comité d hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) chargé de prévenir les risques, de garantir l hygiène et la sécurité et d améliorer les conditions de travail, composé dans les formes légales. Président : M. Jacques Marescaux, chef d établissement, Secrétaire : M. Georges Zaragoza - CGT. un comité de lutte contre les infections nosocomiales (CLIN) chargé de la prévention des infections et de l hygiène hospitalière. Président : Dr Jean-Pierre Lassaigne, médecin chef du département de médecine polyvalente (DMP). une commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRUQPEC), composée dans les formes légales. Président : M. Daniel Padwo, par délégation du chef d établissement. La commission de gestion qui jouait un rôle de commission de surveillance pour la bonne mise en œuvre des missions du service public de la sectorisation psychiatrique confiées à l ARHM a tenu sa dernière réunion le 15 octobre Du fait du transfert de compétences du Conseil général à la Métropole, cette instance n a plus lieu d être. ARHM Dernière réunion de la commission de gestion au CH Saint Jean de Dieu. 2.2 L organigramme des structures d activité Le dispositif de soins en 2014 Les secteurs de psychiatrie générale et infanto juvénile Ces secteurs, constitués chacun en pôle sectoriel et placés sous l autorité d un médecin-chef, assurent les missions de la psychiatrie de secteur au profit des populations qui leur sont confiées. Les pôles sectoriels disposent d unités d hospitalisation à temps complet ou à temps partiel et de structures de secteur dans la cité pour des soins ambulatoires ou des accueils thérapeutiques à temps partiel. Les dispositifs intersectoriels de psychiatrie : Ils sont de plusieurs ordres : - des pôles intersectoriels : Deux pôles intersectoriels assurent, pour la population des secteurs, soit la mise en œuvre d un soin particulier, soit la prise en charge d une population particulière. Ces pôles sont placés sous la responsabilité d un médecin chef de pôle. Il s agit : - du pôle intersectoriel de soin et de réhabilitation (PISR), - du pôle de gérontopsychiatrie. - des dispositifs intersectoriels dédiés à la prise en charge spécifique d une population référée au territoire de Saint Jean de Dieu : - 2 unités d hospitalisation de courte durée (UHCD), - le dispositif des troubles envahissants du développement (TED), - l équipe de liaison et de soins en addictologie (ELSA). - des unités spécifiques non sectorisées dont la mission dépasse le cadre de l établissement : - l unité de psychiatrie d urgence et de liaison (UPUL), - l unité d hospitalisation pour adolescents Ulysse, - l équipe mobile Interface SDF, - l Institut régional d interventions systémiques (IRIS), - le centre ATIS (prévention du suicide), - le centre régional d évaluation et de traitement de la douleur en psychiatrie. Les services médicaux communs Ils assurent des prestations médicales non psychiatriques et des prestations médico-techniques pour le compte des secteurs ou des services intersectoriels. La direction des soins infirmiers et de rééducation Sous la direction de Mme Annick Bechet, directrice des soins, ce service comprend l ensemble des personnels infirmiers, aides soignants et agents des services hospitaliers ainsi que les éducateurs et les rééducateurs. Le service travail social et logement Sous la responsabilité hiérarchique de Mme Fabienne Hirtz, chef de service travail social et logement, ce service regroupe depuis septembre 2014 l ensemble des travailleurs sociaux de l établissement. 15

16 II présentation Des pôles D activité présentation Le dispositif de fonctions supports aux soins Le département d information médicale (DIM) coordonne la gestion du traitement de l activité médicale et soignante. Il organise également le recueil, l exploitation et la diffusion de l information médicale, en particulier l activité de soins. La gestion documentaire (CDH-BM) est assurée par le centre de documentation, centre de ressources documentaires pour l ensemble de l établissement. Les cinq directions ressources sont composées de l ensemble des services administratifs et logistiques. Elles sont placées sous la responsabilité hiérarchique de M. Daniel Padwo, directeur général adjoint : - direction des ressources humaines, - direction des affaires financières, - direction patrimoine et sécurité, - direction des achats et del hôtellerie, - direction du système d information. Le centre hospitalier Saint Jean de Dieu est également le siège du Groupement d Intérêt Public ASCODOCPSY qui fédère 95 établissements psychiatriques français disposant d un centre de documentation. - Président du Conseil d administration : Dr Marie-Noëlle Petit (CH Montfavet) - Directeur : M. Jacques Marescaux - Coordinatrice : M me Nathalie Berriau. File active Ecart par rapport à 2013 (en %) File active globale Nombre de patients ,5 File active - psychiatrie adulte Nombre de patients ,9 File active - psychiatrie infanto-juvénile Nombre de patients ,6 Taux de recours au soin % 2,17 2,19 Taux de nouveaux patients % 35,2 34,9 Activité globale Hospitalisation temps complet Nombre de séjours ,5 Nombre de journées ,2 dont hospitalisation adultes 97,9% 97,5% Nombre de patients ,9 dont nombre de patients adultes 95,0% 94,2% Nombre de passages en CSI (1) ,0 Entrée (source SDH) ,5 Hospitalisation temps partiel Nombre de séjours ,5 Nombre de journées (2) , ,5 3,7 dont hospitalisation à temps partiel adulte 63,5% 64,9% Nombre de patients ,0 dont nombre de patients adultes 67% 67,4% Nombre de venues (3) ,9 Activité ambulatoire Nombre d'actes ,5 dont actes ambulatoires adultes 62,9% 64,2% Nombre de patients ,2 dont nombre de patients adultes 68,8% 70,2% Hospitalisation temps plein, en psychiatrie adulte Taux d'occupation (source SDH) 100,9 100,4 Nouvelles mesures sous contrainte, sur l'année (source SDH) ,8 Durée moyenne d'hospitalisation par malade (DMHM) 72,9 72,8 (1) Nombre de passages en chambre de soins intensifs pour une durée > 2 heures (2) Journées calculées selon la règle PMSI : présences en journées + (présences en demi-journées/2) (3) Une venue est une présence en hôpital de jour, qu elle soit sur une journée ou une demi-journée

17 Des pôles D activité présentation Des pôles D activ Les chiffres clés En 2014, l hôpital comptait 1 114,87 etp (effectifs permanents) et son budget d exploitation (dépenses) s est élevé à patients ont été pris en charge. La capacité d accueil est de 545 lits et places dont 369 lits à temps complet et 176 places d hôpitaux de jour réparties en 13 lieux journées d hospitalisation à temps complet ont été réalisées avec un taux d occupation de 100,4 % en psychiatrie adulte actes ambulatoires ont été réalisés. Répartition des files actives par mode de prise en charge Global établissement Adulte Infanto-juvénile Nature de prise en charge File active 2013 File active 2014 Ecart par rapport à 2013 (en %) Toute PEC confondue ,52 % Activité ambulatoire ,23 % Hospitalisation à temps complet ,92 % Hospitalisation à temps partiel ,30 % Toute PEC confondue ,93 % Activité ambulatoire ,20 % Hospitalisation à temps complet ,60 % Hospitalisation à temps partiel ,95 % Toute PEC confondue ,56 % Activité ambulatoire ,82 % Hospitalisation à temps complet ,69 % Hospitalisation à temps partiel ,44 % 3. LA PoPULAtIon PRIse en CHARge et L ACtIVIte 3.1 La population prise en charge Une file active globale relativement stable au niveau de l établissement patients ont eu recours aux soins de l établissement au moins une fois dans l année. Les patients vus dans plusieurs secteurs ne sont comptés qu une fois. De ce fait, la file active globale de l hôpital est inférieure à la somme des files actives des secteurs de psychiatrie adulte et de psychiatrie infanto-juvénile (soit patients). 115 patients ont été pris en charge à la fois en psychiatrie adulte et en psychiatrie infanto-juvénile en évolution des files actives de 2012 à Psychiatrie Infanto-juvénile Psychiatrie Adulte Total 17

18 II présentation Des pôles D activité présentation On note une tendance opposée entre la file active de la psychiatrie adulte qui augmente de 1,9 % et la file active de la psychiatrie infanto-juvénile qui baisse de 3,6 %. De manière globale, on observe une augmentation de 1,2 % de la file active pour les prises en charge en ambulatoire et de 1,3 % pour les hospitalisations à temps partiel. La file active pour les hospitalisations à temps complet est en baisse de 1,9%. La file active ambulatoire en psychiatrie adulte augmente de 3,2 % en 2014 alors qu elle était en baisse de 1,8 % en En psychiatrie infanto-juvénile, la prise en charge en ambulatoire voit une baisse de sa file active de 3,8 % alors que la file active augmente pour les hospitalisations à temps complet et à temps partiel. 95,9 % des patients pris en charge par l établissement ont bénéficié d une prise en charge ambulatoire. 11,6 % ont été hospitalisés à temps complet et 4,5 % ont été hospitalisés à temps partiel. 12,1 % ont bénéficié de plusieurs types de prise en charge, soit une proportion équivalente à celle de ,4 % des patients hospitalisés à temps complet ont bénéficié exclusivement de ce type de prise en charge. 7 % des patients hospitalisés à temps partiel ont bénéficié exclusivement de ce type de prise en charge. 94,6 % des patients pris en charge en ambulatoire ont bénéficié exclusivement de ce type de prise en charge. Répartition de la file active 2014 par ancienneté de prise en charge Année de prise en charge Année d entrée du patient 2014 au centre hospitalier Saint Jean de Dieu Psychiatrie adulte Infanto-juvénile File active % File active % antérieure à , , , , , , , , , , , ,1 Total , En psychiatrie adulte, 53,6 % des patients sont pris en charge à Saint Jean de Dieu au moins depuis 2012 alors qu ils sont 45,7 % en psychiatrie infanto-juvénile. 30% des patients sont pris en charge dans les dispositifs intersectoriels Les dispositifs intersectoriels comprennent les pôles et dispositifs intersectoriels et les unités spécifiques non sectorisées. 30 % des patients de la file active globale ont été pris en charge par l un des dispositifs intersectoriels. Ce chiffre est stable par rapport à Cette proportion est encore plus importante pour la psychiatrie adulte : 39,9 % des patients en 2014 versus 40,3 % en La file active globale des dispositifs intersectoriels connait une hausse de 1,3 % entre 2013 et 2014 (+1,5 %) au dépend de la file active globale des secteurs (-0,7 %). 7,8% des patients de la file active globale ont été pris en charge à la fois en psychiatrie de secteur et en psychiatrie intersectorielle (versus 8,4 % en 2013). Les nouveaux patients : un renouvellement important de la file active. En 2014, les nouveaux patients représentent 34,9 % de la file active globale. Ils représentent 34,7 % de la file active de psychiatrie adulte et 35,1% de celle de psychiatrie infantojuvénile. Ces chiffres sont stables par rapport à ,6 % des nouveaux patients entrent dans le soin à l hôpital de Saint Jean de Dieu par une prise en charge ambulatoire. 40,7 % des nouveaux patients entrent dans le soin à l hôpital de Saint Jean de Dieu par une unité intersectorielle, toute nature de prise en charge confondue. Logiquement, 53,3 % des nouveaux patients dont la première prise en charge est une hospitalisation, entrent dans le soin par une unité d hospitalisation de courte durée (UHCD). De manière

19 Des pôles D activité présentation Des pôles D activ plus globale, 80,1 % des nouveaux patients dont la première prise en charge est une hospitalisation, entrent dans le soin par une unité intersectorielle. En ambulatoire, l unité de psychiatrie d urgence et de liaison (UPUL), située aux urgences du centre hospitalier Saint Joseph- Saint Luc est la porte d entrée de 25,7 % des nouveaux patients. Le taux de recours au soin : 2,19 % Ce taux se calcule en rapportant la file active à la population référée. - Le taux de recours des patients originaires des secteurs de l hôpital Saint Jean de Dieu est de 2,19 % en 2014, contre 2,17 % en En psychiatrie infanto-juvénile, ce taux est de 3,24 % (versus 3,39 % en 2013). Chez les patients de 16 ans et plus il est de 1,91 % (1,85 en 2013). - Les taux de recours au soin des secteurs adultes varient de 1,79 % pour le secteur 69 G25, 1,81 % pour le 69 G26 à 2,17 % pour le 69 G27. On observait les mêmes rapports en Les taux de recours au soin des secteurs infanto-juvénile sont de 3,09 % pour le secteur 69 i011 et 3,36 % pour 69 i012. La part de patients résidant dans le 69 G25 et pris en charge par les deux autres secteurs s élève à 4,7 % contre 6,7 % pour les patients du 69 G26 et 4,8 % pour ceux du 69 G27. Par rapport à 2013, cette part a baissé pour le 69 G26 et le 69 G27. Les patients vus une seule fois : 16,3 % de la file active en 2014 La part de patients de la file active globale vus une seule fois est en baisse en 2014 par rapport à 2013 (16,3 % contre 17,3 %). La baisse est plus marquée en psychiatrie adulte (16,8 % contre 18,2 %) alors qu il y a une très légère augmentation en psychiatrie infanto-juvénile (14,8% contre 14,6 %). Comme en 2013, 99,5 % de patients vus une seule fois sont pris en charge en ambulatoire. L UPUL, du fait de son activité d accueil aux urgences, reste cette année encore et toutes prises en charge confondues, la structure qui a la plus grande part de patients vus une seule fois, soit 47,6 % de sa file active (versus 57 % en 2013). Cela correspond à 22,5 % des patients vus une seule fois sur l ensemble de l établissement. Origine sectorielle : un patient sur six hors secteur Les patients domiciliés en dehors des secteurs de rattachement du centre hospitalier Saint Jean de Dieu représentent 16,7 % de la file active. En psychiatrie adulte, ils représentent 21,7 % de la file active et en psychiatrie infanto-juvénile 4,5 %. La part des résidents du secteur dans la file active des secteurs adulte oscille entre 85 % et 89 % selon les secteurs, toutes natures de prise en charge confondues. Cette part est plus faible parmi la file active des patients adultes hospitalisés à temps plein : elle oscille entre 61 % et 77 % selon les secteurs. 50,9 % d hommes (7 832 patients) 49,1 % de femmes (7 550 patientes) Ventilation de la file active par sexe et par tranche d âge 85 ans et plus de 65 à 84 ans de 45 à 64 ans de 25 à 44 ans de 15 à 24 ans de 0-14 ans Homme Femme La distribution de la file active en fonction du sexe varie selon : - le champ de la psychiatrie : en psychiatrie adulte, 55,1% des patients sont des femmes alors qu en psychiatrie infantojuvénile le taux de femmes est de 34,6%, - la nature de prise en charge : 44,4% des patients en hospitalisation temps plein adulte sont des femmes alors que celles-ci représentent 56% des patients adultes pris en charge en ambulatoire. Il y avait déjà cette répartition en 2013, - la durée du séjour : parmi les patients hospitalisés au long cours, 38% seulement sont des femmes, - les services : on voit des disparités de distribution surtout au niveau des dispositifs intersectoriels. % femmes Centre ATIS (prévention du suicide) 69 % Pôle de gérontopsychiatrie 64 % Centre régional d évaluation et de traitement de la douleur en psychiatrie 62 % Pôle intersectoriel de soins et de réhabilitation pour les pathologies à longue évolution 31 % Groupe de recherche, d étude et de traitement des troubles de l identité sexuelle (GRETTIS) 25 % Dispositif des troubles envahissants du développement (TED) 14 % Psychiatrie adulte Plus de sept patients sur dix pris en charge par le centre hospitalier La psychiatrie adulte recouvre : - les services sectorisés (G25, G26 et G27), 19

20 II présentation Des pôles D activité présentation - les dispositifs intersectoriels : pôle de gérontopsychiatrie, pôle intersectoriel de soins et de réhabilitation (PISR), - les unités d hospitalisation de courte durée (UHCD), - l équipe de liaison et de soins en addictologie (ELSA), - l institut régional d interventions systémiques (IRIS), - l équipe Interface SDF, - le centre d action thérapeutique contre l isolement et le suicide (ATIS), - les dispositifs de psychiatrie de liaison : unité de psychiatrie d urgence et de liaison (UPUL) située au CH Saint Joseph / Saint Luc et unité de psychiatrie de liaison (UPL) située au CH de Givors, - le centre régional de traitement et d évaluation de la douleur en psychiatrie. La file active 2014 augmente de 1,3 % par rapport à celle de Son évolution est différente selon la nature de prise en charge : l activité ambulatoire et l hospitalisation à temps partiel voient leur file active augmenter respectivement de 3,2 % et 1,5 % alors que la file active en hospitalisation à temps complet diminue de 2,6 %. Répartition de la file active selon la nature de prise en charge Temps complet exclusif 4,91% Temps partiel exclusif 0,24 % Plusieurs natures de prise en charge 12,30 % Ambulatoire exclusif 82,54 % La part des patients ayant bénéficié de plusieurs formes d activité en ambulatoire est en augmentation en 2014 (15,3 % contre 11,8 en 2014). 8,2 % des patients ont été pris en charge en hospitalisation à temps complet et en ambulatoire. Répartition de la file active exclusivement ambulatoire selon la forme d activité Ambulatoire hors CMP-CATTP exclusif 27,17 % CATTP exclusif 1,07 % Plusieurs formes d activité 15,35 % CMP exclusif 56,41 % 56,4 % des adultes suivis exclusivement en ambulatoire le sont en CMP uniquement. L activité ambulatoire hors CMP-CATTP représente l activité de l équipe de liaision et de soins en addictologie (ELSA), des équipes mobiles, des consultations réalisées à l hôpital (au niveau des chefferies), de l unité de psychiatrie de liaison (UPL), de l unité de psychiatrie d urgence et de liaison (UPUL), du centre ATIS, du centre régional d évaluation et de traitement de la douleur, du GRETTIS, de l équipe Interface SDF, de l Institut régional d interventions systémiques (IRIS), ainsi que l activité ambulatoire réalisée par certains hôpitaux de jour et unités intra-hospitalières. 87,7 % de la file active a bénéficié d un seul type de prise en charge et près de 82,5 % des adultes ont bénéficié d une prise en charge ambulatoire exclusive. La répartition de la psychiatrie adulte par nature de prise en charge était quasiment identique en ,4 % des patients de psychiatrie adulte ont été hospitalisés à temps complet en 2014 (il y en avait 16,1 % en 2013). On note toutefois une petite diminution de la part d adultes pris en charge exclusivement en hospitalisation à temps complet en 2014 (4,9 % contre 5,9 % en 2013). 4,3 % des patients ont été hospitalisés à temps partiel en 2014 et 0,2 % n ont bénéficié que de ce mode de prise en charge. Ces chiffres sont identiques à ceux de ,5 % des patients ont été pris en charge en ambulatoire en 2014 (92% en 2013) et 82,5 % n ont bénéficié que de ce mode de prise en charge (81,9 % en 2013). nombre de patients par nature de prise en charge Temps complet (H. PT, Post cure) Temps partiel (H. jour, H. nuit) Ambulatoire (dont CATTP) La durée moyenne d hospitalisation par malade (DMHM) correspond au rapport du nombre de journées d hospitalisation temps plein sur la file active sans double compte des patients hospitalisés à temps plein. En 2014, la DMHM en psychiatrie adulte est de 72,8 journées (72,9 journées en 2013).

21 Des pôles D activité présentation Des pôles D activ Les hospitalisations au long cours Nombre de patients Part de la file active adulte temps plein (%) 6,8 7,2 Nombre de journées Age moyen % de patients de sexe masculin H. au long cours = patients pris en charge en H. temps plein en psychiatrie adulte, ayant réalisés au moins 292 journées de présence Sont considérés comme patients au long cours les patients pris en charge en hospitalisation temps plein au moins 292 jours sur l année considérée. La DMHM de ces patients est de 348,3 jours en ,5 % ont un début de prise en charge à l hôpital Saint Jean de Dieu antérieur à Poulation des 65 ans et plus Près d un patient sur cinq pris en charge en psychiatrie adulte Cette classe d âge (moyenne de 77 ans) représente 18,9 % des patients pris en charge en psychiatrie adulte (18,2 % en 2013). Elle représente 20,8 % des patients pris en charge en hospitalisation à temps complet en psychiatrie adulte, 13,4 % de ceux pris en charge en hospitalisation à temps partiel et 19 % de ceux pris en charge en ambulatoire. 31,7 % des patients de 65 ans et plus ont été pris en charge par le pôle de gérontopsychiatrie, toutes natures de prise en charge confondues. Par contre, 72 % de patients de 65 ans hospitalisés à temps complet l ont été au sein du pôle de gérontopsychiatrie. Les patients de 65 ans et plus représentent 15,7 % de la file active des patients hospitalisés sous contrainte. Psychiatrie infanto-juvénile Cette activité de soin a été réalisée par les secteurs 69 i0i11, 69 i012, le dispositif TED et l unité pour adolescents Ulysse. La file active 2014 est en baisse de 3,6 % par rapport à celle de Cette baisse ne se retrouve qu au niveau de la prise en charge ambulatoire. Les files actives des hospitalisations à temps complet et à temps partiel sont respectivement en augmentation de 4,7 % et 0,4 %. La proportion d enfants hospitalisés à temps complet est relativement stable (2,9 % en 2014 contre 2,7 % en 2013), Il en est de même de la proportion des enfants hospitalisés à temps partiel (5 % en 2014 contre 4,8 % en 2013), 98,6 % des enfants ont été pris en charge en ambulatoire et 93,3 % exclusivement sur ce mode. Ces chiffres sont stables par rapport à Répartition de la file active selon la nature de prise en charge Temps partiel exclusif 0,51 % Temps complet exclusif 0,79% Plusieurs natures de prise en charge 5,41 % Ambulatoire exclusif 93,30% 94,6 % de la file active a bénéficié d un seul type de prise en charge et 93,3 % des enfants ont bénéficié d une prise en charge ambulatoire exclusive. Répartition de la file active exclusivement ambulatoire selon la forme d activité Ambulatoire hors CMP-CATTP exclusif 3,67 % CATTP exclusif 1,91 % Plusieurs formes d activité 16,96 % CMP exclusif 77,46 % 77,5 % des enfants suivis exclusivement en ambulatoire le sont en CMP uniquement. nombre de patients par nature de prise en charge Temps complet (H. PT, Séjours thérapeuthiques) Temps partiel (H. jour) Ambulatoire (dont CATTP) L unité pour adolescents Ulysse a pris en charge 146 patients en Parmi eux, 74,7 % sont de nouveaux patients pour la structure et 39,7 % de nouveaux de l établissement, ces patients 21

22 II présentation Des pôles D activité présentation ayant été pris en charge par d autres dispositifs de soins pédopsychiatriques auparavant. L activité temps plein de cette unité représente 91 % des journées temps plein de la psychiatrie infanto-juvénile (2815 vs 2551 en 2012*) et 87,8 % de la file active infanto-juvénile dans ce type de prise en charge. La durée moyenne d hospitalisation par patient (DMHM) à l unité Ulysse est de 28 jours (24,5 jours en 2012). *NB : pour cette unité, les chiffres 2014 sont comparés à ceux de 2012 car elle est ouverte 12 mois/12 les années paires et 11 mois/12 les années impaires. Le dispositif TED a pris en charge 127 patients en 2014, soit une augmentation de 5 % par rapport à Parmi eux, 44,9 % sont de nouveaux patients pour la structure et 20,5 % sont nouveaux de l établissement. 84,2 % ont été pris en charge en ambulatoire (versus 98 % en 2013) et 55,9 % exclusivement en ambulatoire. 40,2 % des patients pris en charge en ambulatoire l ont été au CATTP et sont à l origine de 66,9 % des actes produits en ambulatoire (versus en 2013 : 47,1 % des patients pour 68% des actes). La file active de patients pris en charge en hospitalisation de jour en 2014 est la même qu en 2013, soit 56 patients. 44,1 % des patients pris en charge ont moins de 6 ans alors cette tranche d âge représente 19,6 % de la file active globale de psychiatrie infanto-juvénile. 3.1 L activité L activité ambulatoire progresse de 4,5 % au niveau global actes ont été réalisés en 2014 au CH Saint Jean de Dieu, soit une augmentation de 4,5 % par rapport à 2013 : - 58,7 % de ces actes ont été réalisés en CMP, - 24,4 % en CATTP, - 16,8 % dans d autres unités (unités ambulatoires intrahospitalières, équipes mobiles ). L activité ambulatoire est orientée à la hausse en psychiatrie adulte ( actes soit une augmentation de 7,1 % entre 2013 et 2014). Elle est stable en psychiatrie infanto-juvénile avec actes réalisés au cours de l année. Au niveau de la forme d activité, une baisse de 1,4 % du nombre d actes en CMP est enregistrée alors que les actes augmentent de 6,4 % en CATTP et de 28,2 %.dans les autres unités ambulatoires (hors CMP et CATTP). La répartition des actes par forme d activité est différente entre la psychiatrie adulte et la psychiatrie infanto-juvénile : en psychiatrie adulte la moitié des actes sont réalisés en CMP alors qu en psychiatrie infanto-juvénile ce sont près de trois quarts des actes. 12,1 % des actes sont réalisés en 2014 par les dispositifs intersectoriels. Ils représentaient 11,1 % des actes en En psychiatrie adulte comme en psychiatrie infanto-juvénile, les entretiens sont les actes les plus réalisés et dans une proportion équivalente (environ 64 % des actes). On réalise plus d activités de groupe en psychiatrie adulte qu en psychiatrie infanto-juvénile (27,3 % contre 19,1 %). La répartition des actes par nature est très similaire en 2014 et 2013 : près de deux tiers des actes en psychiatrie adulte et en psychiatrie infanto-juvénile sont des entretiens. Les activités groupales représentent plus d un quart des actes en psychiatrie adulte et un cinquième en psychiatrie infanto-juvénile. En 2014, on enregistre une moyenne de 12 actes par patient (contre 11,6 en 2013). Elle est en discrète augmentation aussi bien en psychiatrie adulte qu en psychiatrie infanto-juvénile. En 2014 comme en 2013, le nombre d actes reste plus important en psychiatrie infanto-juvénile qu en psychiatrie adulte (11 actes/ patient en psychiatrie adulte contre 14,1 actes/patient en psychiatrie infanto-juvénile) La répartition des actes par intervenant est différente entre la psychiatrie adulte et la psychiatrie infanto-juvénile : - psychiatrie adulte : 41,4 % des actes sont réalisés par un infirmier, 22,8 % par un médecin et 13,9 % par un psychologue, - psychiatrie infanto-juvénile : 27,7 % des actes sont réalisés par un psychologue, 16,6 % par un rééducateur et 15,9 par un médecin. L intervention d un médecin, qu elle soit seule ou en association, est moins fréquente en psychiatrie infanto-juvénile qu en psychiatrie adulte. 33,8 % des actes sont ainsi réalisés avec au moins un médecin en psychiatrie adulte contre 24,7 % en psychiatrie infantojuvénile. La répartition des actes par intervenant de 2014 est superposable à celle de 2013 : plus de 40 % des actes en psychiatrie adulte sont produits par des infirmiers et plus de 20 % par des médecins. L activité hospitalière temps complet (hospitalisation temps plein, séjours thérapeutiques et post-cure) Le nombre de journées d hospitalisation à temps complet a diminué entre 2014 et Il y a eu journées d hospitalisation en 2014 contre en 2013, soit une baisse de 3,2 %. Cette baisse du nombre de journées d hospitalisation à temps complet se retrouve en psychiatrie adulte où ont été réalisées journées, soit une baisse de 3,5 % par rapport à Par contre, les journées d hospitalisation à temps complet en psychiatrie infanto-juvénile connaissent une hausse de 12,7 % avec journées réalisées en Il en est de même pour la file active mais l augmentation est moindre (+4,7 %). Par conséquent, la DMHM en psychiatrie infanto-juvénile a augmenté en 2014 (23,7 jours contre 22 jours en 2013).

23 Des pôles D activité présentation Des pôles D activ 40,7 % de l ensemble des journées d hospitalisation à temps complet sur l établissement ont été produites par les dispositifs intersectoriels. Le taux d occupation en hospitalisation plein temps est à 100,4 % (versus 100,9 % en 2013). La DMHM en psychiatrie adulte temps plein reste stable entre 2014 et 2013 (72,8 jours versus 72,9 jours). Cette DMHM est de 51,5 jours sans les patients au long cours. 43,7 % des patients sont hospitalisés moins de 30 jours dans l année. Les patients au long cours effectuent 34,4 % des journées d hospitalisation temps plein adulte alors qu ils ne représentent que 7,2 % de la file active. Parmi eux, 42,5 % ont bénéficié de leur première hospitalisation à temps plein à Saint Jean de Dieu avant En psychiatrie adulte temps plein, 929 patients ont été soumis à une prise en charge sous contrainte, soit 55,6 % de la file active de cette forme d activité. En 2013 la proportion était de 56,2 %. Le nombre de journées d hospitalisation sans consentement en psychiatrie adulte temps plein a diminué de 5,7 % en 2014 par rapport à Cette baisse est plus importante que la baisse constatée sur le nombre total de journée d hospitalisation en psychiatrie adulte temps plein (- 3,1 %) Les journées d hospitalisation sans consentement en psychiatrie adulte temps plein représentent près de 42,3 % des journées d hospitalisation temps plein produites versus 43,4 % en Malgré leur diminution, les journées en soins psychiatriques à la demande d un tiers (SPDT) restent les plus nombreuses journées d hospitalisation sans consentement en psychiatrie adulte temps plein en 2014 (49,7% versus 59,1% en 2013). On comptabilise passages de plus de 2 heures en chambre d isolement, soit une hausse de 13% par rapport à Par contre, on constate en 2014 une diminution de 9,8 % du nombre de patients ayant effectué un passage en chambre d isolement par rapport à Les passages en chambre d isolement pour un même patient sont donc plus fréquents. 4 décès en cours de séjour ont été enregistrés en de 64,2 journées. Cette DMHM est stable par rapport à 2013 et elle reste plus courte que celle des adultes de moins de 65 ans (76,1 journées). 14 % des journées d hospitalisation à temps complet réalisées sous contrainte en psychiatrie adulte sont des journées réalisées par les patients de 65 ans et plus. L activité hospitalière temps partiel La file active globale des patients hospitalisés en hôpital de jour a légèrement augmenté en 2014 par rapport à 2013 (+1 %) et on note également une hausse du nombre de journées (24 864,5 journées soit +3,7 % par rapport à 2013). L augmentation de l activité à temps partiel est sensible en psychiatrie adulte avec journées (+5,9 % par rapport à 2013) mais reste stable en psychiatrie infanto-juvénile. 21,8 % de ces journées sont produites par les dispositifs intersectoriels. Comme en 2013, l hospitalisation de nuit reste une forme d activité rarement mise en œuvre dans l établissement : 3 patients ont bénéficié de ce type d hospitalisation en 2014 et ils ont effectué 207 nuitées. 23 Poulation des 65 ans et plus 18,1 % des journées d hospitalisation à temps complet en psychiatrie adulte Ces patients sont à l origine de 5,8 % des journées en hospitalisation temps partiel et 9,3 % des actes ambulatoires. On remarque donc que ces patients bénéficient moins de la prise en charge en hospitalisation à temps partiel. La DMHM 2014 temps complet pour cette classe d âge est L atelier Chanter en chœur avec l Opéra de Lyon. Une expérience tout public au Centre hospitalier Saint Jean de Dieu. ARHM

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