CONTRIBUTION DE LA COMPTABILITÉ FINANCIÈRE À L ACCROISSEMENT DE LA PERFORMANCE DES PME

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1 CONTRIBUTION DE LA COMPTABILITÉ FINANCIÈRE À L ACCROISSEMENT DE LA PERFORMANCE DES PME ET À LA RÉDUCTION DE LEUR VULNÉRABILITÉ : REVUE DE LA DOCUMENTATION Benoit LAVIGNE Laboratoire de recherche sur l information comptable et fiscale pour les PME (LaRICFPME) Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) (Canada) Josée ST-PIERRE Laboratoire de recherche sur l information comptable et fiscale pour les PME (LaRICFPME) Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) (Canada) Josée ST-PIERRE Laboratoire de recherche sur l information comptable et fiscale pour les PME (LaRICFPME) Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) (Canada) RÉSUMÉ La présente revue de la documentation a pour objet la présentation d un modèle de recherche, situant la contribution de la comptabilité financière à l accroissement de la performance des PME et à la réduction de leur vulnérabilité. Ce modèle comporte deux parties principales. La première, en amont, tente d identifier les déterminants potentiels des caractéristiques du système d information comptable financière (SICF) des PME. En aval, la deuxième partie vise à vérifier si un SICF dont les caractéristiques répondent aux besoins des PME et de leurs dirigeants est associé, principalement par le biais d une meilleure prise de décisions, à une performance accrue et à une vulnérabilité moindre. En conclusion, des avenues de recherches visant à tester ce modèle sont brièvement exposées. MOTS-CLÉS Comptabilité financière, PME, prise de décisions, performance, vulnérabilité. 1279

2 1. INTRODUCTION Les PME ont longtemps été perçues comme de simples modèles réduits des organisations de grande taille. Partageant souvent cette perception, les chercheurs en comptabilité s'intéressent assez peu aux sociétés fermées, qui sont la plupart du temps de petite taille. Pourtant, les PME jouent un rôle important dans l'économie de très nombreux pays, où elles représentent plus de 95% des entreprises actives (Julien, 2005). Ce manque d'intérêt provient peut-être partiellement du préjugé selon lequel ces entreprises, notamment les plus petites, ne produisent que les données comptables nécessaires pour rendre compte aux autorités fiscales. Pourtant, des études empiriques (Holmes et Nicholls, 1988; Lavigne, 1996) ont permis de réfuter ce préjugé. Nous sommes alors en droit de nous demander pourquoi les PME produisent des données comptables et si leur utilisation contribue à l accroissement de leur performance ou à la réduction de leur vulnérabilité. Un tel questionnement apparaît d autant plus important qu avec la complexification du monde des affaires, les dirigeants des PME doivent de plus en plus coupler à leur intuition, une analyse davantage formelle avec différents outils d aide à la prise de décisions (Chapellier, 1994). Certaines disciplines en science de la gestion ont démontré l hétérogénéité des PME et il apparaît vraisemblable qu il en soit de même pour la comptabilité. Appuyé principalement par un cadre conceptuel développé en système d information (Raymond, 1984), nous proposons donc une première partie en amont de notre modèle de recherche, pour préciser les réponses déjà proposées à la question explicative suivante : quels sont les facteurs qui engendrent la diversité des caractéristiques du SICF des PME? L étude de la contribution des données comptables financières à l accroissement de la performance et à la réduction de la vulnérabilité pose aussi plusieurs défis. Premièrement, la définition et la mesure de ces concepts ne font pas l objet d un consensus. Deuxièmement, l utilisation d outils informationnels n a vraisemblablement pas tant un effet direct qu un indirect sur ces derniers, par le biais d une bonification du processus de prise de décisions de gestion en général. Finalement, certaines études suggèrent qu il faut également tenir compte de la congruence entre les choix organisationnels et l environnement des entreprises pour mettre en évidence un lien potentiel entre l utilisation de certaines informations comptables et la performance ou la vulnérabilité des PME (Raymond et al. 1998; Beal et Yasai-Ardekani, 2000; Milles et al., 2000; Orser et al., 2000). Dans le courant de ces dernières recherches, nous proposons donc une deuxième partie en aval de notre modèle, pour fournir des pistes de réponses à la question suivante de nature exploratoire : un SICF dont les caractéristiques répondent aux besoins des PME et de leurs dirigeants est-il associé, principalement par le biais d une bonification du processus de prise de décisions de gestion en général, à un accroissement de la performance et à une moindre vulnérabilité? La présente revue de la documentation sera donc divisée en deux parties, soit une pour chacune des portions du modèle de recherche proposé. En conclusion, des avenues de recherche visant à tester ce modèle seront brièvement exposées. 1280

3 Figure 1 Modèle de recherche 2. PARTIE AMONT DU MODÈLE DE RECHERCHE 2.1 CARACTÉRISTIQUES DU SICF DES PME L étude de Chapellier (1994) est une des seules ayant tenté de caractériser globalement les pratiques comptables des PME, définies simultanément en termes de production et d utilisation des données par le dirigeant, relativement aux quatre champs suivants de la comptabilité : générale (financière), contrôle de gestion, analyse financière et tableau de bord. Lavigne et St-Pierre (2002) de leur côté, afin de compter sur une variable synthétique caractérisant le SIC des PME, ont composé un indice d importance sur une échelle de 0 à 6 constituée également par deux caractéristiques des trois dimensions suivantes: 1) états financiers annuels (type de conventions comptables, audit), 2) diffusion de l information (centralisation au niveau de la direction générale, décentralisation jusqu au niveau des employés), 3) autres outils comptables (budget de caisse, prix de revient informatisé). D autres études, notamment celles de Lacombe-Saboly (1994) et de Lavigne (1999), se sont concentrées sur le champ particulier de la comptabilité financière. Lavigne (1999) considère explicitement les objectifs déclarés des états financiers annuels et intermédiaires des PME à l intérieur de son cadre conceptuel. Cette originalité permet une distinction, parmi les facteurs 1281

4 informationnels, entre les objectifs des états financiers et d autres choix comptables moins subjectifs. Parmi ces derniers, Lavigne (1999) distingue ceux relatifs à l organisation comptable de ceux ayant rapport aux caractéristiques des états financiers. Dans le même sens, en s appuyant sur une analogie avec la fabrication d un produit industriel, Lacombe-Saboly (1994) explicite des relations d une part, entre les objectifs des dirigeants et l organisation comptable et, d autre part, entre ces éléments et la qualité des produits comptables externes ORGANISATION DU SICF DES PME Lavigne (1999) caractérise l organisation de la préparation des états financiers annuels et intermédiaires des PME à l aide du niveau d externalisation et d informatisation. Cette première caractéristique de l organisation comptable est particulièrement importante en contexte de PME (Lacombe-Saboly, 1994), car elle est parfois intégrale. La deuxième caractéristique retenue de l organisation comptable, soit l informatisation, est aussi importante en contexte de PME (Lacombe-Saboly, 1994). Pour mesurer avec précision le degré d informatisation, Lavigne (1999) a eu recours aux trois indicateurs suivants : 1) l intensité de l informatisation; 2) l informatisation ou non de la tenue des comptes et de la préparation des états financiers; et 3) le degré d informatisation de la gestion. En regroupant ces applications, Lavigne (1999), tout comme Chapellier (1994), a retenu trois niveaux d informatisation: nul, administratif et gestion CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS COMPTABLES Les états financiers annuels et intermédiaires constituent les principaux produits de la comptabilité financière, qui vise prioritairement à satisfaire les besoins informationnels des parties prenantes à l extérieur des entreprises. La plupart des études, surtout normatives, reconnaissent l importance de bien distinguer les offres d information et de crédibilité. Les règles à appliquer pour la préparation des états financiers constituent une des caractéristiques principales de l offre d information comptable par le biais de ces documents. Quant à la nature de la mission de l expert-comptable, seul garant de l intégrité (Colasse, 1993) des états financiers au Canada et aux États-Unis, elle représente plutôt une des caractéristiques de ce que Lavigne (1999) qualifie d offre de crédibilité de l information comptable. Outre ces documents historiques, la comptabilité financière permet la production d information prospective, que ce soit des prévisions ou des projections financières (ICCA, 1989, chapitre 4250), qui comportent leurs propres caractéristiques. Les prévisions se distinguent notamment des projections par le fait qu elles doivent reposer sur des hypothèses complètes et raisonnables, qui peuvent difficilement porter sur une période excédant l exercice financier subséquent. Quant aux projections, comme elles peuvent reposer sur des hypothèses spéculatives, qui doivent tout de même représenter une situation plausible, elles peuvent couvrir une période plus longue, notamment entre trois et cinq ans. Autant les prévisions que les projections possèdent une deuxième caractéristique distinctive, soit leur vocation générale ou particulière, selon 1282

5 qu elles sont préparées ou non à l intention d utilisateurs externes avec qui l entité publiante négocie ou traite directement (ICCA, 1989, chapitre 4250). 2.2 DÉTERMINANTS DES CARACTÉRISTIQUES DU SICF DES PME Les déterminants des choix comptables financiers par les sociétés ouvertes ont fait l'objet d'une attention prépondérante à travers les études s'inscrivant dans le courant de la théorie comptable positive (Watts et Zimmerman, 1978). On ne peut certainement pas en dire autant au sujet des PME. Tout de même, certaines recherches (Chapellier, 1994; Lacombe-Saboly, 1994; Lavigne, 1999; Lavigne et St-Pierre, 2002), en s inscrivant dans le courant de la théorie de la contingence, autant objective (structurelle) que subjective (comportementale), ont démontré l hétérogénéité du SIC des PME et ont aussi identifié certains de ses déterminants. Dans le même sens, le cadre conceptuel développé en système d information par Ives, Hamilton et Davis (1980), tel que raffiné par Raymond (1984), comporte les quatre types de variables suivantes : des facteurs organisationnels (contingence structurelle), des facteurs individuels (contingence comportementale), des facteurs informationnels et des facteurs de succès (performance) d un système d information organisationnel FACTEURS DE CONTINGENCE STRUCTURELLE En adoptant une approche de contingente structurelle, Gordon et Narayanan (1984) ont démontré l existence de relations entre certaines caractéristiques organisationnelles et celles de leur système de données comptables (SDC). «La notion de caractéristique organisationnelle s entend au sens large. Il s agit donc non seulement de facteurs de structure organisationnelle au sens strict mais également de facteurs de contingence structurelle» (Chapellier, 1994, p.64) à savoir l âge, la taille, le système technique, l environnement et le pouvoir. Ajoutons également que les facteurs comme la taille, l endettement et la structure de propriété sont des facteurs de contingence structurelle pouvant être liés au système de données comptables. Les chercheurs dans le domaine se sont toutefois concentrés davantage à l étude de ces relations dans les grandes organisations plutôt que dans les PME (Kuo, 1993). Selon Chapellier (1994), de façon synthétique en contexte de PME, ces facteurs peuvent être réduits à quelques caractéristiques fondamentales qui renvoient aux concepts plus généraux de complexité et d incertitude. Dans son étude, ce chercheur retient la taille et l âge de l entreprise, le degré d informatisation et la nature de l activité. Pour Lavigne (1999), d autres caractéristiques, notamment la croissance, la structure de propriété, le degré d autonomie, l endettement, l intérêt pour l exportation, la localisation du siège social, l organisation des salariés, certains attributs de l environnement interne et externe méritent aussi d être considérés en contexte de PME et plus particulièrement en regard des objectifs des états financiers. En effet, l enquête par questionnaire de Lavigne (1999) montre que la taille des PME, la structure de la propriété (familiale ou pas) et l endettement constituent des déterminants des pratiques de comptabilité générale, avec une prépondérance du premier facteur. Dans le même sens, Lavigne et St-Pierre (2002) montrent que les PME dont l indice d importance du 1283

6 SIC est fort : 1) sont de taille moyenne supérieure, 2) ont une propriété plus dispersée et 3) montrent un endettement bancaire en moyenne supérieure. D autres études identifient une association entre la croissance des PME et d une part, l utilisation d un système comptable informatisé (Gorton, 1999) et d autre part, la préparation d un plan d affaires (Gorton, 1999; Orser et al., 2000). D un autre côté cependant, McMahon et Davis (1994) ne montrent pas de lien entre la croissance des PME et leur offre d information comptable FACTEURS DE CONTINGENCE COMPORTEMENTALE Chapellier (1994) considère trois acteurs comptables : le dirigeant, le comptable salarié et le comptable externe. Par ailleurs, les banquiers étant considérés par plusieurs auteurs (ICCA, 1999; Lavigne, 1999; ICAEW, 2000; Lavigne et St- Pierre, 2002) comme les principaux utilisateurs externes des états financiers des PME et pouvant influencer certaines décisions à leur égard, notamment la nature de la mission du comptable externe, il semble pertinent de les prendre également en considération. a) Le dirigeant principal En matière de comptabilité financière, le dirigeant occupe un rôle unique, car il est le seul à avoir à la fois une fonction de producteur et d utilisateur (Lacombe- Saboly, 1994); il est donc susceptible d influencer les caractéristiques du SICF. Toutefois, tout comme les entreprises au sein desquelles ils jouent un rôle central, les dirigeants de PME constituent un groupe très hétérogène suggérant le recours à certaines typologies pour les étudier. Il existe bon nombre de typologies mais en définitive, la plupart d entre elles semblent s accorder sur une nette séparation entre deux types de profils : 1) artisan, 2) manager (Chapellier, 1994). À l instar de ces typologies, Chapellier (1994) retient à la fois des caractéristiques subjectives et objectives. Plus spécifiquement, il considère d une part, les buts du dirigeant et ses préférences en matière d information et d autre part, sa formation, son expérience et son âge. Pour sa part, Lacombe-Saboly (1994) montre l influence de la propriété détenue par le dirigeant sur la production d information comptable : «Le dirigeant (producteur comptable) pourra utiliser les indicateurs comptables de manière à favoriser ses propres intérêts et à se signaler comme un bon dirigeant» (p. 194). b) Le comptable interne Dans le cas d une majorité de PME, le comptable interne contribue au moins partiellement à la préparation des états financiers, ne serait-ce que par la tenue des comptes. Jouant ainsi un rôle d acteur comptable, ses caractéristiques influencent potentiellement celles du SICF. L hétérogénéité du groupe de comptables internes demande également de faire appel à une typologie pour saisir avec plus de précision leur influence. Chapellier (1994) présente les deux principaux profils suivants de comptables internes : 1) technique, 2) gestionnaire. Pour sa part, Lavigne (1999) a plutôt identifié les trois profils suivants, surtout caractérisés par la formation : 1) «faible», 2) «moyenne», 3) «forte». À l instar de sa typologie, Chapellier (1994) considère la mission du comptable interne et des caractéristiques liées à sa formation. Tout comme pour 1284

7 le dirigeant, l expérience et la participation au capital apparaissent pour Lavigne (1999) des caractéristiques qui méritent aussi examen. Le principal déterminant direct de l organisation comptable et financière des PME ayant participé à l enquête par questionnaire de Lavigne (1999) est la mission du comptable interne. Il est vraisemblable qu une PME, ayant confié une mission de type «gestion» plutôt que «comptable», ait une organisation comptable et financière plus internalisée et informatisée. Ce facteur de contingence comportementale est aussi associé à l offre d information comptable par les PME (Lavigne, 1999). Dans le même sens, Lavigne et St-Pierre (2002) montrent que les PME dont l indice d importance du SIC est fort emploient des comptables internes qui possèdent un niveau universitaire de formation dans une plus grande proportion. c) Le comptable externe Dans le cas d une majorité de PME, le comptable externe (expert-comptable) contribue au moins partiellement à la préparation des états financiers, notamment par la présentation des comptes. Jouant ainsi un rôle d acteur comptable, ses caractéristiques influencent potentiellement les objectifs des états financiers des PME. Outre son niveau d implication dans la gestion de la PME considéré par Chapellier (1994), l appartenance ou non à un des grands cabinets internationaux est souvent retenue dans la littérature. Selon Lavigne (1999), d autres caractéristiques méritent certainement d être considérées, notamment l ancienneté de la relation d affaires, la localisation et, dans le contexte canadien, le titre comptable professionnel. d) Le principal créancier externe La prise en considération du principal créancier externe comme acteur ayant potentiellement une influence sur les pratiques comptables des PME constitue un des éléments originaux de l étude de Lavigne (1999). Parmi les caractéristiques des principaux créanciers externes, il retient les cinq suivantes qui s apparentent à celles considérées pour les comptables externes : 1) exigences relatives aux états financiers, 2) exigences de garanties, 3) type de créancier externe, 4) ancienneté de la relation d affaires, 5) localisation. D autres caractéristiques pourraient également s avérer pertinentes, comme: l exigence d états financiers vérifiés, les cautions exigées, l implication institutionnelle, l implication du responsable du dossier et les relations de confiance (Lavigne et St-Pierre, 2002). 3. PARTIE AVAL DU MODÈLE DE RECHERCHE 3.1 LES CONCEPTS DE PERFORMANCE ET DE VULNÉRABILITÉ DÉFINITION ET MESURE DE LA PERFORMANCE L évaluation et le suivi de la performance des entreprises sont des activités qui ont pris beaucoup d ampleur dans les dernières années (Medori et Steeple, 2000), et sont devenues nécessaires étant donné la marge de manœuvre significativement réduite que possèdent les dirigeants. Toutefois, on notera d un examen attentif de la littérature que la performance est un concept ne faisant pas l unanimité. Ainsi, sont utilisés de façon interchangeable les termes de succès, 1285

8 de résultats, de réussite et de performance, sans précision supplémentaire (Otley, 1999). Alors que plusieurs études se sont restreintes à sa dimension exclusivement financière, le niveau plus global de performance organisationnelle des entreprises suscite de plus en plus d intérêt. Dans un survol historique des mesures de performance, Ampuero et al. (1998) mettent en évidence une partie de la littérature plus quantitative qui appréhende la performance à partir presque exclusivement de données comptables et financières, jusqu au milieu des années 1990, où on voit apparaître des modèles plus globaux de mesure et de gestion de la performance, tels que l EVA (Stern, Stewart et Chew, 1998) et le tableau de bord équilibré (Kaplan et Norton, 1996). Par conséquent, dans les prochaines sous-sections, après avoir explicité les limites des indicateurs financiers, nous présenterons les apports des indicateurs non financiers et la relation de ces derniers avec les premiers. a) Limites des indicateurs financiers Au début des années 1980, un certain nombre d auteurs ont critiqué les modèles comptables pour mesurer la performance des organisations, dans un environnement d affaires turbulent et hautement compétitif (Gomes et al., 2004; Kennerley et Neely, 2003). Cumby et Conrod (2001) ajoutent que ces limites sont encore plus importantes pour des compagnies innovantes, dont la valeur est fortement liée à des actifs intangibles et à du capital intellectuel. On reproche ainsi aux mesures issues des états financiers le fait qu elles sont historiques et offrent peu d indication sur la performance future, ne prennent pas en compte les éléments intangibles de la valeur d une entreprise et ne sont pas liées à la stratégie poursuivie par les dirigeants (Kennerley et Neely, 2003; Ittner et al., 2003; Kaplan et Norton, 2001). b) Apports des indicateurs non financiers Eccles (1999) souligne que certains facteurs qualitatifs comme la qualité, la satisfaction des clients, l innovation, sont des dimensions non reflétées dans les bénéfices des entreprises, mais d importants indicateurs de ses perspectives de croissance. Aussi, Cumby et Conrod (2001) rappellent que la performance financière «soutenable» à long terme est attribuable à des facteurs non financiers comme la loyauté des clients, la satisfaction des employés, les processus internes et le degré d innovation de l entreprise. Pour leur part, Banker et al. (2000) ajoutent que la principale raison pour utiliser des mesures non financières de la performance est que le pouvoir prédictif de la performance future de celles-ci est meilleur. C est une relation causale fondée sur l hypothèse implicite voulant que les actions managériales produisent des résultats comme la qualité, l innovation ou la satisfaction des clients, qui, en bout de ligne conduisent à la performance financière. c) Relations entre les indicateurs financiers et non financiers Ainsi, les indicateurs financiers traditionnels devraient être considérés comme des indicateurs globaux (ou finaux) de performance qui sont déterminés ou liés à 1286

9 des indicateurs plus «opérationnels» qui mesurent directement l efficacité dans l utilisation des ressources spécifiques. Par ailleurs, selon Said et al. (2003) et Cumby et Conrod (2001), le lien entre les mesures financières et les mesures non financières dépendrait des actifs de l entreprise et plus particulièrement, de la présence d actifs immatériels (innovation, capital intellectuel, etc.). On peut donc anticiper que les indicateurs financiers sont de bons indicateurs de performance pour au moins les secteurs traditionnels, qui nécessitent moins d investissement incorporel. On notera de cette documentation, que malgré que les mesures financières ou comptables soient souvent jugées imparfaites et incomplètes, on ne trouve pas beaucoup d études qui permettent de cerner les dimensions de complémentarité et/ou de substitution entre les indicateurs de performance financière et non financière, ce qu ont tenté de vérifier St-Pierre, Lavigne et Bergeron (2005). Ces auteurs ont pu apprécier les difficultés à établir des relations causales et statistiques fortes sur un échantillon de PME, celles-ci, par définition, adoptant des comportements très variés et difficiles à cerner. Globalement, les résultats de leur étude empirique exploratoire ne permettent de confirmer que partiellement les deux hypothèses énoncées relativement à l association entre les indicateurs de performance financière et non financière DÉFINITION ET MESURE DE LA VULNÉRABILITÉ La vulnérabilité est un concept qui se veut plus large que le construit du risque, à l instar du concept de la performance qui englobe le construit du rendement. Le construit du risque est ainsi entendu comme toute situation qui pourrait compromettre le succès d un projet, la survie d une entreprise ou l atteinte des objectifs d un dirigeant. Ce qui pourrait ainsi être considéré comme un risque devient un indicateur de vulnérabilité. La littérature sur la gestion du risque a beaucoup évolué dans les cinq dernières années, pour notamment devenir un domaine de recherche en pleine émergence. ICAEW (2005) est toutefois un des premiers organismes à avoir conduit une étude dans le contexte des PME. Cette enquête, réalisée auprès de 364 expertscomptables britanniques oeuvrant pour des PME ayant au moins dix salariés et des grandes entreprises dans des proportions respectives de 72% et 28%, a permis une classification des risques en trois groupes égaux, selon l importance des impacts sur l entreprise et leur probabilité d occurrence: 1) fréquents et impacts importants (relativement aux employées, aux technologies, aux ventes et à la réputation), 2) peu fréquents mais impacts importants (relativement aux contrôles financiers et de la qualité, ainsi qu à la sécurité et à la protection), 3) peu fréquents et impacts peu importants (relativement aux aspects notamment financiers, politiques et environnementaux). Les facteurs de risque sont ainsi abordés dans un sens beaucoup plus large que strictement financier, mais leur évaluation et leur contrôle ne font pas l objet de processus formel et régulier. Pour sa part, St-Pierre (2004) présente une classification des risques susceptibles d affecter la performance des PME et même leur survie, et propose le suivi et la gestion à partir d un modèle faisant appel aux données comptables issues du compte de résultat. Cette solution est préconisée par l auteure afin de respecter 1287

10 les contraintes de temps et de ressources des PME et leur proposer un outil de gestion du risque facile à intégrer aux activités quotidiennes de l entreprise. 3.2 EFFET DU SICF SUR LA PERFORMANCE ET LA VULNÉRABILITÉ Les facteurs qui contribuent à accroître la performance et à réduire la vulnérabilité sont vraisemblablement multiples et d inégales importances. Ce qui rend d autant plus difficile la mise en évidence de causes probablement plus périphériques, comme l utilisation d outils informationnels. Les produits comptables n ont vraisemblablement pas tant un effet direct qu un indirect sur la performance et la vulnérabilité, par le biais d une bonification du processus de prise de décisions de gestion en général, grâce à la production d une information congruente avec les besoins des PME et de leurs dirigeants EFFET DIRECT SUR LA PERFORMANCE ET LA VULNÉRABILITÉ Plusieurs études se sont inscrites dans le courant s intéressant à l impact de la stratégie et/ou de la structure organisationnelle sur la performance financière des PME (D Amboise et al., 2000; Pelham, 2000). Bien que la plupart des études montrent une association, parfois mitigée (Pelham, 2000), D Amboise et al. (2000) ne mettent pas en évidence de relation entre la vision stratégique du dirigeant et la performance financière de PME de la nouvelle économie. À notre connaissance et à ce jour, seulement quelques études (McMahon et Davies, 1994; Gorton, 1999; Orser et al., 2000) ont porté sur la relation entre certaines caractéristiques du SIC des PME, pouvant être considéré comme une des composantes de la structure organisationnelle, et la performance financière. Alors que certaines études pouvaient laisser sous-entendre la supériorité absolue de certains choix organisationnels, des recherches postérieures (Raymond et al. 1998; Beal et Yasai-Ardekani, 2000; Milles et al., 2000; Orser et al., 2000) soulèvent plutôt l importance de la congruence entre ces choix et l environnement organisationnel. La plupart de ces recherches s inscrivent dans le courant plus général de l impact, sur la performance financière, de la congruence entre d une part, la stratégie et/ou la structure organisationnelle en général et d autre part, l environnement des entreprises. L étude de Orser et al. (2000), qui mesure la performance en termes de croissance des ventes, est une des seules qui comporte une considération explicite pour certains aspects comptables. De leur côté, Lavigne et St-Pierre (2002) obtiennent des résultats mitigés relativement à l association entre d une part, la congruence de certains facteurs de contingence et caractéristiques du SIC, et d autre part, la performance financière des PME EFFET INDIRECT SUR LA PERFORMANCE ET VULNÉRABILITÉ Compte tenu de cet effet vraisemblablement davantage indirect que direct, par le biais d une bonification de processus de prise de décisions, il nous apparaît intéressant de se pencher sur la question suivante : qui sont les utilisateurs des produits comptables financiers des PME et à quelles fins les utilisent-ils? Les recherches qui ont conduit notamment à la promulgation des cadres conceptuels comptables au Canada et aux États-Unis, ont identifié les utilisateurs des états 1288

11 financiers et leurs besoins, mais sans faire de distinction entre les PME et les organisations de grande taille. Par conséquent, ces cadres conceptuels comptables reconnaissent les investisseurs et les créanciers comme des utilisateurs prioritaires (FASB, 1978, SFAC No.1 ; ICCA, 1988, chapitre 1000). Peu d études se sont intéressées directement aux objectifs des états financiers des PME (Lacombe-Saboly, 1994; ICCA, 1999; Lavigne, 1999; ICAEW, 2000; Maingot et Zéghal, 2006). Un nombre plus considérable de chercheurs l ont fait indirectement en se penchant sur certaines caractéristiques de l offre et de la demande d information comptable. Lacombe-Saboly (1994) qualifie l attitude (objectif) comptable des dirigeants de type passif, actif et neutre selon qu ils considèrent comme une des composantes essentielles de la qualité des documents comptables externes les éléments suivants : 1) la sécurité fiscale, 2) l essence utilitaire notamment pour la prise de décisions, 3) le respect des normes. Les résultats de Lavigne (1999) ont permis l identification des quatre profils distincts suivants de PME eu égard aux objectifs déclarés des états financiers : 1) obligation fiscale et minimisation des impôts («fiscal») (16 %); 2) décisions de gestion interne («gestion») (34 %); 3) vocation générale sauf utilité pour la prise de décisions des investisseurs («pas investisseurs») (36 %); 4) vocation générale («général») (14 %). Ces résultats permettent donc la confirmation du caractère non universel des objectifs des états financiers annuels et intermédiaires des PME. Une étude britannique (ICAEW, 2000) sur l utilisation des états financiers annuels par les dirigeants propriétaires de PME montre que ces derniers ont une utilité restreinte à des fins de gestion interne en présence d information concurrente d autres sources. Toutefois, les comptes annuels sont tout de même utiles pour déterminer la rémunération des dirigeants, pour comparer la performance d un exercice à l autre et pour des fins de financement. Une enquête plus récente par questionnaire de Maingot et Zéghal (2006) auprès d experts-comptables canadiens, montre quant à elle une prépondérance des finalités externes des états financiers des PME, soit la fiscalité et les relations bancaires. Ces auteurs font justement remarquer que des études antérieures montrent que les banquiers utilisent régulièrement des états financiers qui ne respectent pas les principes comptables généralement reconnus (PCGR) ou ne considèrent pas certaines informations fournies en vertu de ces derniers. Au total, les créanciers, plus particulièrement les banquiers, sont considérés assez unanimement comme les principaux utilisateurs externes des états financiers des PME (ICCA, 1999; Lavigne, 1999; ICAEW, 2000). Par contre, un certain nombre d études réalisées dans différents pays (Lacombe-Saboly, 1994; Lavigne, 1999; ICAEW, 2000) montrent que les états financiers peuvent constituer des outils informationnels d aide à la prise de décision de gestion interne, visant à accroître la performance ou à réduire la vulnérabilité des PME. Comme ces dernières études se limitent généralement à identifier ce potentiel, sans toutefois démontrer précisément comment les produits comptables externes interviennent dans le processus de prise de décisions, la voie est ouverte pour de nouvelles recherches. 1289

12 4. NOUVELLES VOIES DE RECHERCHE Le modèle de recherche présenté, bien que partiellement appuyé par la documentation disponible, mérite notamment une validation empirique globale. La difficulté appréciable du recueil des données nécessaires, particulièrement aiguë dans le contexte des PME pour lequel les informations comptables sont du domaine privé, prêche en faveur d une étude de type recherche-action. En échange d un diagnostic de leur fonction comptable financière, un échantillon de PME pourrait être invité à participer à une recherche permettant simultanément l établissement d un tel diagnostic et le recueil des données nécessaires à la validation empirique du modèle de recherche proposé. Des recherches de moindre envergure pourraient aussi être menées de manière à ne valider que certaines des parties du modèle présenté. Par exemple, dans la poursuite des travaux de Chapellier (1994), des études devront permettre de mieux caractériser les SICF des PME. Après s être intéressé à la production et à la diffusion de données, d autres recherches devront se pencher sur leur utilisation à titre d informations. Une meilleure connaissance des processus décisionnels qui impliquent potentiellement les SICF des PME est certainement nécessaire. Nous suggérons donc une étude fine de l utilisation pratique actuelle des SICF par les gestionnaires de PME, pour répondre à des questions comme le type de décisions prises ou de problèmes solutionnés, les données spécifiques utilisées, la fréquence d utilisation. Conformément à la première proposition (P1) de notre modèle de recherche (figure 1, p. 3), la voie est aussi ouverte à des études pour permettre de mieux expliquer les facteurs qui déterminent les choix des caractéristiques des SICF, dans les contextes autant nationaux qu internationaux. La perspective contingente largement adoptée jusqu à ce jour, bien qu elle nous semble toujours pertinente, pourrait éventuellement être enrichie par les théories émergentes sur les PME. Relativement à nos trois autres propositions (P2, P3 et P4), des études davantage exploratoires sur les liens autant directs qu indirects, entre d une part, la congruence du SICF et de l environnement, et d autre part, l accroissement de la performance et la réduction de la vulnérabilité, semblent particulièrement porteuses pour maximiser les contributions de la comptabilité financière à l atteinte de ces dernières finalités fondamentales en gestion. Par exemple, des études pourraient viser une meilleure compréhension des définitions de performance et de vulnérabilité en tenant compte du rôle central que joue le dirigeant de la PME dans son entreprise et son influence sur ces deux concepts. Ainsi, on pourrait mieux comprendre que le rôle des SICF est très différent lorsqu on regroupe les PME selon les objectifs stratégiques de leur dirigeant. Plus généralement en guise de conclusion, nous pouvons certainement avancer que des efforts de recherches supplémentaires sont nécessaires pour favoriser l accroissement de la performance et la réduction de la vulnérabilité des PME. Toute recherche en comptabilité qui tient compte du fait que ces dernières sont hétérogènes et ne sont pas des modèles réduits des organisations de grande 1290

13 dimension est vraisemblablement porteuse d une contribution théorique et pratique en ce sens. RÉFÉRENCES AMPUERO, M., J. GORANSON et J. SCOTT (1998), Solving the measurement dilemma : How EVA and the balanced scorecard fit together, Strategic Performance Management Series, vol. 2, < >. BANKER, R. D., G. POTTER et D. SRINIVASAN (2000), An empirical investigation of an incentive plan that includes non financial performance measures, The Accounting Review, 75, p BEAL, R. M. et M. YASAI-ARDEKANI (2000), Performance Implications of Aligning CEO Functional Experiences with Competitive Strategies, Journal of Management, Vol. 26, No. 4, p CHAPELLIER, P. (1994), Comptabilités et Système d'information du Dirigeant de PME - Essai d'observation et d'interprétation des pratiques, Thèse de Sciences de Gestion - Université de Montpellier II. COLASSE, B. (1993), Comptabilité Générale, Économica, 4 ème éd., 393 p. CUMBY, J. et J. CONROD (2001), Non-financial performance measures in the Canadian biotechnology industry, Journal of Intellectual Capital, 2, 3, p D AMBOISE, G., Y. GASSE et D.J. GARAND (2000), Vision stratégique et performance de PME en nouvelle économie, Actes du 5 e Congrès international francophone de la PME (CIFPME), Lille (France). ECCLES, R.G. (1999), Le manifeste de l évaluation des performances, in Les systèmes de mesure de la performance, Harvard Business Review, Éditions de l Organisation, 2559 pages. FASB (1978), SFAC No 1, Objectives of Financial Reporting by Business Entreprises, FASB, Stamford, Conn. GOMES, C.F., M.M. YASIN et J.V. LISBOA (2004), An examination of manufacturing organizations performance evaluation, International Journal of Operations & Production Management, 24, 5, p GORDON, L. A. et V.K. NARAYANAN (1984), Management accounting systems, perceived environment uncertainty and organization structure : an empirical investigation, Accounting Organizations and Society, Vol. 9 No. 1, p GORTON, M. (1999), Use of financial management techniques in the U.K. based small and medium sized entreprises : empirical research findings, Journal of Financial Management and Analysis, p HOLMES, S. et D. NICHOLLS (1988), An analysis of the use of accounting information by autralian small business, Journal of Small Business Management, p ICAEW (2000), How owner-managers use account, Résumé d une recherche de l Institut des comptables agrées britannique, < ICAEW (2005), Risk Management among SMEs, ICAEW, 59 p. ICCA (1988), Chapitre 1000, Fondements conceptuels des états financiers, Manuel de l'icca. 1291

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