Introduction : histoire de la classification
|
|
- Violette Truchon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 3 : CLASSIFICATION PERIODIQUE DES ELEMENTS Introduction : histoire de la classification L inventaire des différents éléments connus a très tôt paru nécessaire aux chimistes. Lavoisier a proposé au XVIII ème siècle une liste des 35 éléments connus alors. Au XIX ème siècle, la communauté chimiste a entrepris de les classer. Plusieurs étapes ont été nécessaires avant de parvenir à une classification proche de notre tableau actuel : Döbereiner remarque une similitude dans le comportement de certains éléments et imagine le concept de triade regroupant 3 éléments aux propriétés semblables. Par exemple (Li, Na, K). Cette notion de triade s étend ensuite à celle de famille chimique, par exemple celle des alcalins (Li, Na, K, Rb, Cs) et apporte la notion de périodicité des propriétés : Beguyer de Chancourtois s appuie sur la toute récente notion de masse atomique (Canizzaro, 1858) et propose de disposer les éléments classés par masse atomique croissante sur une hélice de manière à ce que les membres d une même famille se trouvent sur la même génératrice (voir document 1 cicontre). Document 1 : Modèle de la vis tellurique de Chancourtois 1865 : Newlands, en rangeant les éléments par masse atomique propose une nouvelle classification en mettant en évidence des octaves : un élément a des propriétés similaires à celui situé sept cases avant et sept cases après, comme une note de musique ressemble à son octave : Mendeleïev, père de la classification moderne, publie un tableau contenant les 63 éléments connus à l époque, rangés par masse atomique croissante. Ce tableau permet de rendre compte de la périodicité des propriétés chimiques. En 1871, il a l idée de modifier l ordre de certains éléments pour mieux respecter les similitudes des propriétés (il échange par exemple I et Te) et grande originalité il présuppose l existence de certains éléments en laissant des cases vides et en prédisant les propriétés de ces éléments (voir doc 2 ci-contre) Document 2 : Classification proposée par Mendeleïev 1875 : La découverte du gallium puis celle du germanium (1886), dont les existences étaient prévues par Mendeleïev (pour compléter les cases vides) accrédite le modèle : La découverte des gaz nobles amène les chimistes et les physiciens à ajouter une colonne dans la classification : Rutherford découvre la charge du noyau : Moseley corrèle la place dans la classification périodique avec le numéro atomique (nombre de protons dans le noyau). XXème siècle : Les éléments radioactifs sont découverts par voie nucléaire (bombardement d atomes) et la classification est peu à peu complétée : Les éléments 113, 115, 117, 118 sont officiellement reconnus et nommés par l IUPAC (International Union of Pure and Applied Chemistry). Il n y a donc plus de cases vises jusqu à la 7 ème période.
2 I. STRUCTURE DU TABLEAU PERIODIQUE ACTUEL Utiliser la classification périodique en annexe pour répondre aux questions suivantes. 1. Construction du tableau périodique Dans le tableau périodique, les éléments sont rangés de gauche à droite par... Chaque case correspond à un élément chimique (avec tous ses isotopes), identifié par son numéro atomique. La classification se présente sous la forme d un tableau de.. lignes, appelées périodes, et.. colonnes. 2. Période Observer la configuration électronique des éléments. A quel moment passe-t-on d une ligne à l autre? Une nouvelle période (retour à la ligne) commence lorsque l on entame. Pour n>1, la n ième période commence avec le remplissage de la sous-couche.... et s achève avec celui de la sous-couche... Le dernier élément de chaque période, dont la configuration électronique se termine en np 6, est un gaz noble. Leur configuration électronique à sous-couches ns et np saturées leur confère une stabilité particulière. Ce sont des éléments chimiquement inertes (pratiquement aucune réactions chimiques). Remarque : Chaque gaz noble permet d écrire de façon simplifiée les configurations électroniques des éléments de la période suivante. Exemple 1 : La configuration du vanadium : 23 V : 1s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 3 peut s écrire [Ar] 4s 2 3d 3 Configuration électronique de Ar Exemple 2 : 15 P : Nombres d éléments dans chaque période : Période Sous-couches à remplir Nombre d électrons dans ces souscouches Nombre d éléments de la période Valeurs de numéros atomiques Z
3 Mise en forme : Les éléments possédant (dans la configuration électronique respectant la règle de Klechkowsky) une souscouche f en cours de remplissage sont situés en dehors du tableau (sinon la classification périodique comporterait 32 colonnes!). Ils sont appelés lanthanides pour la sous-couche 4f et actinides pour la sous-couche 5f. 3. Colonne Observer la configuration électronique des éléments d une même colonne. Dans une même colonne, les éléments ont. Ils forment une famille chimique et ont des propriétés chimiques voisines. Pourquoi les éléments d une même colonne ont-ils les mêmes propriétés chimiques?... Certaines familles portent un nom particulier : Colonne Colonne 1 Colonne 2 Colonne 17 Colonne 18 Nom de la famille Alcalins Alcalino-terreux Halogènes Gaz nobles Configuration de valence Anomalies de placement : ü L Hydrogène (Z = 1) se trouve dans la 1 ère colonne, car il possède une configuration électronique de valence de type ns 1. Néanmoins, il ne possède par les propriétés des autres éléments de la colonne. Ce n est pas un alcalin. ü L Hélium (Z = 2) se trouve dans la 18 ème colonne, mais il ne possède par la même configuration électronique de valence que les autres éléments de sa colonne. Il a été placé ainsi car il possède les mêmes propriétés chimiques que les gaz nobles. Ceci est dû à sa configuration électronique : la couche n=1 est pleine. 4. Blocs On regroupe les colonnes par blocs, chaque bloc correspondant au remplissage d un type de sous-couche : Bloc s : remplissage en cours des sous-couches s Bloc p : remplissage en cours des sous-couches p Bloc d : remplissage en cours des sous-couches d Bloc f : remplissage en cours des sous-couches f Colonnes Colonnes Colonnes Le bloc d s intercale à partir de la 4 ème période. Le bloc f s intercale à partir de la 6 ème période.
4 5. Lecture de la classification a. Comment placer un élément dans la classification connaissant son numéro atomique? Exemple 1 : Aluminium Al (Z = 13) Exemple 2 : Cobalt Co (Z = 27) b. Comment trouver la configuration d un élément connaissant sa position dans la classification? Exemple 1 : Magnésium Mg : 3 e période, 2 e colonne Exemple 2 : Cadmium Cd : 5 e période, 12 e colonne Remarque : Toujours utiliser la configuration prévue par Klechkowsky pour déterminer la position de l élément. Rappel : Il n y a aucune exception à la règle de Klechkowsky avant la.. période. II. EVOLUTION DE QUELQUES PROPRIETES ATOMIQUES 1. Rayon atomique a. Définition Le rayon atomique ρ d un atome est la distance la plus probable entre le noyau et ses électrons de valence les plus éloignés du noyau ( = ceux possédant la plus grande valeur de n). b. Evolution ρ
5 c. Interprétation Dans un atome polyélectronique, un électron subit l attraction du noyau, mais aussi la répulsion des autres électrons. Comme tous les électrons sont en mouvement autour du noyau, il est très difficile de déterminer de manière exacte l influence des autres électrons sur un électron donné. On utilise un modèle approché, appelé modèle de Slater, dans lequel on considère l effet moyen de l ensemble des électrons sur un électron donné. Situation réelle Modèle de Slater e - e - étudié Noyau chargé +Ze e - e - Noyau chargé +Z*e=+(Z-σ)e e - étudié e - La charge effective +Z*e ressentie par les électrons de valence peut être calculée à l aide de règles, appelées règles de Slater (voir Activité documentaire du TD). On obtient les valeurs suivantes pour le nombre de charge effective Z* ressentie par les électrons de valence : Dans le cadre du modèle de Slater, le rayon des atomes est donné par la formule :! ρ = n 2 $ max # & a 0 " Z *% avec a 0 = 52,9 pm, n max le nombre quantique principal maximal et Z* la charge effective du noyau ressentie par les électrons de valence de plus grand n. Exemple : Calculer le rayon de l oxygène dans le modèle de Slater : Dans une période, de gauche à droite : Dans une colonne, de bas en haut : ρ
6 d. Rayons ioniques A partir de ce modèle et des valeurs du tableau ci-contre, prévoir : l évolution du rayon lors du passage d un atome M au cation M + : Atome ρ(pm) Ion et ρ ionique (pm) Lithium (Li) 155 Li +, 60 pm Sodium (Na) 190 Na +, 95 pm Fer (Fe) 126 Fe pm Fe pm Fluor (F) 50 F -, 135 pm Soufre (S) 127 S 2-, 184 pm l évolution du rayon atomique lors du passage d un atome M à l anion M - : Le rayon du cation M + est toujours plus. que celui de l atome M. Le rayon de l anion M - est toujours plus. que celui de l atome M. 2. Electronégativité a. Définition L électronégativité, notée χ, est une grandeur relative traduisant l aptitude d un atome B à attirer à lui le doublet électronique qui l associe à un autre atome A. Plus un atome est électronégatif, plus il attire les électrons. Exemple : A-B C est une notion très importante! b. Echelles d électronégativité Il existe plusieurs échelles permettant de quantifier l électronégativité d un élément. L échelle de Mulliken utilise les valeurs de l énergie d ionisation E i de l élément (énergie qu il faut fournir à un atome pour lui arracher un électron) et l affinité électronique AE (stabilisation engendrée par le gain d un électron). L électronégativité d un élément B dans l échelle de Mulliken, χ M B, est proportionnelle à E i B 'AE B l énergie d ionisation est forte (plus il est difficile d arracher un électron) et plus l affinité électronique de l élément est forte (plus la stabilisation engendrée par l apport d un nouvel électron est importante), plus l élément est électronégatif. 2 : plus Dans l échelle d Allred-Rochow, l électronégativité est calculée à partir de la charge effective Z* du noyau qui serait ressentie par un électron que l on ajouterait au cortège électronique de l élément : plus cette charge effective est importante, plus le nouvel électron est attiré par le noyau, ce qui est caractéristique d un élément électronégatif. La plus utilisée est l échelle de Pauling, car les valeurs qu elle fournit expliquent très bien les observations expérimentales. Sa construction est moins intuitive. Elle est fondée sur des calculs d énergie de liaison entre A et B.
7 c. Evolution Toutes les échelles donnent la même évolution : χ Remarque : Cette évolution ne concerne pas les gaz nobles (car ne forment pas de liaisons) Elément le plus électronégatif : Elément le moins électronégatif : On peut aussi retenir la série suivante qui classe par électronégativité décroissante les éléments les plus utilisés en chimie organique : F > O > Cl > N > Br > I > S > C > H > métaux. Remarque : Après le fluor, l oxygène est l élément le plus électronégatif. Remarque importante : plus un atome est électronégatif, plus les niveaux énergétiques de ses OA sont bas. Exemple : énergie des OA 2p en ev : C N O F -10,7-12,9-15,9-18,6 d. Lien avec les propriétés d oxydoréduction des corps simples Rappel : Un corps simple est constitué d un seul type d atome. Exemple : I 2, Fe, O 2 Ex : Na(s) χ faible Corps simple.. Corps simple.. Ex Χ forte Ex : I 2(s) Un élément très électronégatif attire fortement à lui les électrons : le corps simple associé sera donc susceptible de capter des électrons. Il s agira d un Un élément peu électronégatif attire peu à lui les électrons : le corps simple associé sera donc susceptible de céder facilement des électrons. Il s agira d un III. EVOLUTION DE QUELQUES PROPRIETES CHIMIQUES 1. Etude de deux familles chimiques Dans une même colonne, les éléments ont la même structure de valence ce qui conduit à une grande similitude des propriétés chimiques. Ces ressemblances ont conduit à la création de familles chimiques. Position dans la classification : 1 ère colonne : Li, Na, K, Rb, Cs et Fr (attention : l hydrogène n est pas un alcalin) Les alcalins Configuration électronique de valence : Electronégativité : Rayon atomique : Forte Faible Grand Petit Les corps simples correspondant sont des métaux, dits métaux alcalins. L unique électron de valence de ces atomes peut être facilement cédé, pour former un cation métallique M + de même configuration électronique que le gaz noble qui le précède, donc particulièrement stable. àpropriété d oxydoréduction du corps simple correspondant : Oxydant Réducteur
8 Illustration vidéo : Réaction des alcalins avec l eau Le métal alcalin, très réducteur, réduit l eau en H 2 selon la réaction : Couple H 2 O/H 2 : 2H + (aq) + 2e - = H 2 (g) Couple M + /M : M(s) = M + (aq) + e - (x2) Bilan : 2H + (aq) + 2 M(s) = H 2 (g) + 2 M + (aq) à formation de H 2 (g), gaz explosif. Cette réaction est d autant plus violente que l électron cédé par l alcalin est loin du noyau, donc facilement cédé. Position dans la classification : 17 ème colonne : du fluor F à l astate At. Les halogènes Configuration électronique de valence : Electronégativité : Rayon atomique : Forte Faible Grand Petit Les corps simples correspondants sont des molécules diatomiques : à température ambiante, F 2 et Cl 2 sont gazeux, Br 2 est un liquide brun et I 2 solide. De par leur configuration électronique, les halogènes captent facilement un électron afin d accéder à la configuration électronique d un gaz noble (sous-couches pleines, synonyme de stabilité). Les anions correspondants bénéficient donc d une stabilité particulière. àpropriété d oxydoréduction du corps simple correspondant : Oxydant Réducteur Illustration vidéo : Réaction des halogènes avec des métaux, comme le fer. Les dihalogènes (I 2, Br 2, Cl 2 ) oxydent les métaux comme le fer. Cette réaction est d autant plus violente que l électronégativité de l halogène est grande (il attire alors d avantage les électrons). 2. Métaux Un métal est un solide cristallin possédant des propriétés physiques particulières : Propriétés électriques : Bonne conduction électrique et thermique. Résistivité qui augmente avec la température. Propriétés optiques : Eclat, pouvoir réflecteur. Propriétés mécaniques : Malléables : obtention de feuillets par laminage. Ductiles : possibilité de faire des fils. Les métaux et les non-métaux occupent une place bien précise dans la classification périodique des éléments. Les éléments qui se trouvent sur la frontière entre les deux domaines ont des comportements intermédiaires entre les corps simples métalliques et les non-métaux. Ils sont qualifiés de métalloïdes. Les éléments du bloc d sont appelés métaux de transition. Ils présentent une «similitude horizontale» : métaux durs et cassants engendrent facilement des cations dont les solutions aqueuses sont colorées à (ex : une solution aqueuse d ions cuivriques Cu 2+ (aq) est bleu turquoise). forment facilement des complexes (voir cours PCSI 2 e période) A partir de la configuration électronique des métaux de transition d une période donnée, expliquer cette similitude :. Le site internet : recensent les informations utiles sur tous les éléments chimiques.
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailDécouvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité. une histoire d électrøns
Découvrir les électrons par le pliage, à partir de 6 ans. supraconductivité une histoire d électrøns Vous trouverez au milieu du livret les pliages et les instructions à détacher pour les fabriquer. Il
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailLE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL?
Document professeur Niveau : Seconde LE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL? Compétences mises en œuvre : S approprier : extraire l information utile. Communiquer. Principe de l activité : La question posée à la classe
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailRenouvellement à 50000MW étalé sur 20 ans (2020-2040) rythme de construction nucléaire: 2500MW/an
L uranium dans le monde 1 Demande et production d Uranium en Occident U naturel extrait / année 40.000 tonnes Consommation mondiale : 65.000 tonnes La différence est prise sur les stocks constitués dans
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailLe nouveau programme en quelques mots :
Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailTHE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.
CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailLA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES
LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailA) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.
INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse
Plus en détailRadioactivité et chimie nucléaire
Radioactivité et chimie nucléaire ) Rappels sur la structure de l atome et du noyau D après le modèle lacunaire de Rutherford, l atome se subdivise en deux parties : - le noyau : minuscule grain de matière
Plus en détail