Eau et Santé de l Homme au Mali

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1 Eau et Santé de l Homme au Mali Dakouo FMPOS, Université de Bamako, Mali dama9900@yahoo.fr dama-pharmacien@caramail.com I Introduction L eau est un élément clef de la vie terrestre. Elle est indispensable au fonctionnement de l organisme. L eau présente 70 % du poids corporel de l homme et 80 % de celui de l enfant. Ainsi, les 2/3 de l eau présente dans le corps humain sont répartis dans milliard de cellules, 5 % sous forme de plasma Sanguin et 15 % constitue le liquide intertitiel. Boire apparaît donc comme indispensable, on ne peut se priver d eau plus de 2 à 5 jours. Ainsi la sensation de soif résulte avant tout du constat par nos cellules d un déficit hydrique. Nos besoins en eau changent et notre organisme réclame une eau et une minéralité différentes. Ainsi, bébés, adolescents, adultes et sportif n ont pas les mêmes besoins. Ces besoins sont estimés entre 1,5 à 5 l d eau/jour [1]. L eau influence favorablement ou défavorablement sur notre santé. Pour apprécier la qualité de l eau et ses effets sur la santé, il faut analyser les risques induits par la consommation de l eau pollue. Les dangers potentiellement présents dans une eau sont soit des molécules chimiques toxiques, soit des micro-organismes (vers intestinaux, virus, bactéries, protozoaires). Au Mali les maladies hydriques fréquentes sont : le choléra, la dysenterie, la fièvre typhoïde, la bilharziose (toutes ces maladies sont liées essentiellement aux micro-organismes) et le goitre qui favorise l hyperthyroïdie due à l absence d iode dans l eau). II Objectif général : Proposer des moyens efficaces de lutte contre les maladies hydriques afin d améliorer l état de santé de notre population. III Objectifs spécifiques : - Faire une étude quantitative des ressources d eau au Mali. - Mettre en évidence les difficultés liées à l accès à l eau potable au Mali. - Enfin, faire une étude qualitative de l eau que nous consommons. 305 MSAS'2004

2 IV GENERALITES : 1 Définition : L eau est un bien collectif dont la gestion nous concerne tous. Elle constitue une ressource fragile et précieuse que menacent de nombreux risques d origine chimique, biologique, industrielle. L analyse des risques responsables de la transmission à l homme de maladies liées à l eau permet aujourd hui de les hiérarchiser. «Water Aid» (une organisation anglaise) estime que parmi les risques encourus par la population, trois (3) doivent être prioritairement combattus. Il s agit de l élimination sans danger des excrétas humains, la propreté de la chaîne concernant l eau destinée à la boisson (depuis le point d eau, le transport jusqu au stockage) et le lavage effectif des mains au moment critiques. Conscient des différents risques qu encourent l eau, l assemblée générale des nations unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution A/RES/47/193 qui déclara le 22 mars de chaque année «Journée mondiale de l eau». Et la décennie à venir ( ) est décrétée par l ONU comme la décennie de l eau [3] 2 Etude quantitative : 2-1 = Ressources et les besoins en eau : = Ressources en eau = On estime à 1400 millions de km3 le volume total de l eau sur terre, volume constitué à 97 % d eau salée. Sur les 39 millions d eau douce disponibles, seuls 10 millions de km3 d eau sont utilisables [3]. Le Mali dispose d importantes ressources en eau constituées : O de précipitations annuelles allant de moins 200 mm au sud. O de ressources en eaux de surface pérennes avec un écoulement moyen annuel de l ordre de 56,5 milliards de m3 répartis entre le fleuve Niger et le fleuve Sénégal, mais avec de fortes variations annuelles. O de ressources en eaux de surface non pérennes insuffisamment quantifiées actuellement mais représentant un potentiel important et mieux réparti. O de ressources en eau souterraine avec un taux annuel de renouvellement évalué à 66 milliards de m3. [1] = Besoins en eau = A l échelle mondiale, la répartition des utilisations en eau est de = - 69 % pour l agriculture - 23 % pour l industrie - 8 % pour l usage domestique et urbain. [3] - Les besoins en eau sont estimés à environ : 20 l/jour et par habitant au Mali (dans les zones nomades), plus de 400 l/jour dans les pays industrialisés et 600 l/jour au USA (Etats-Unis) [1]. Le seuil d alerte des besoins en eau par habitant se situe à environ 200 m3 par habitant et par an. Or, on peut aujourd hui considérer que MSAS'2004

3 pays, soit plus de 750 millions d habitants, disposent d une quantité inférieure à 1700 m3 par an et par habitant. Cela risque de s accentuer dans les décennies à venir, compte tenu de la désertification et de la hausse démographique de certaines régions du globe. On estime alors qu en Afrique plus d un milliard d hommes sera exposé à une carence en eau d ici 2025.[3]. Les besoins en eau du Mali, tous usages confondus, sont évalués à 6,12 milliards de m3 par an dont 1 % pour le cheptel et 96 % pour l agriculture et les autres usages [1]. Par conséquent les ressources en eau disponibles couvrent largement les besoins des différentes utilisations. 2-2 = Situation des sous-secteurs de l eau = = Hydraulique villageoise = (Villages et fractions à populations (1000 habitants) Le taux moyens de couverture des besoins en eau des populations en milieu rural est de 52 %. Cependant, si l on considère le nombre de villages équipés d au moins un point d eau moderne, ce taux est de 70 %. Il y a aujourd hui 30 % des villages maliens (3401 villages) qui ne possèdent aucun point d eau moderne. Le besoin minima à combler sont de : - 6,685 forages équipés de pompes à motricité humaine puits modernes = Hydraulique Semi URBAINE = (Population comprises entre 2000 et habitants) Les besoins minima à combler sont de 540 adductions d eau sommaires (AES) = Hydraulique urbaine = (Population > habitants). Le taux de couverture est de 79 %. Les besoins à combler : il reste à équiper 6 centres urbains [1]. 3 Etude qualitative = Pendant des siècles, l eau douce naturelle a pu être consommée sans souci majeur. Sa détérioration à grande échelle est un phénomène récent qui s est aggravé ces cinquante dernières années. Chimiques, biologiques ou bactériologiques, les causes de pollution sont nombreuses. Elles résultent toutes de l activité humaine. «Tout déchet ou toutes substance chimique déversé dans l eau y est soit dissout, soit maintenu en suspension». Cette loi de la nature est à l origine de la propagation des polluants de l eau. 3-1 = Paramètres de suivi de la qualité de l eau = Paramètres globaux On doit apprécier : la couleur, la limpidité, l odeur, la turbidité, le ph, la dureté. 307 MSAS'2004

4 3-1-2 = Paramètres chimiques = On doit évaluer la quantité des ions présents dans l eau. Les normes de l OMS pour ces ions sont : - pour le chlore total > 0,25 mg/l - pour le chlore libre > 0,2 mg/l - pour les nitrates < 50 mg/l - pour les nitrites < 3 mg/l - pour le sulfate < 250 mg/l - pour le phosphate < 5 mg/l = Paramètres des microorganismes = - Il s agit de rechercher la présence des coliformes totaux, des coliformes fécaux et des streptocoques fécaux. Les normes OMS sont = - Coliformes totaux < 10/100 ml d eau - Coliformes fécaux = 0/100 ml d eau - Streptocoques fécaux = 0/100 ml d eau. Au Mali, c est le laboratoire national de la santé (LNS) qui est chargé de l étude qualitative de l eau que nous consommons. Cette étude nous a conduit à ce département pour apprécier la qualité de l eau que nous consommons. Nous avons souhaité avoir les résultats des analyses sur les eaux de forages et les eaux du réseau de l énergie du Mali (EDM S.A) du district de Bamako. - Pour les eaux du réseau EDM S.A du district, nous aurions voulu avoir les résultats des 12 (douze) derniers mois (de juillet 2003 à juin 2004). Sur plus d une quinzaine d analyses réalisées, nous n avions pu accéder qu à deux (2) résultats. Notamment le certificat d analyse du 16 février 2004 et celui du 20 avril Les autres certificats d analyses n étaient pas sur place. Et selon ces deux résultats = «les échantillons analysés répondant aux nomes de l OMS» - Quant aux eaux de forages, nous n avons pu avoir les résultats parce qu il semblerait que les autorités n étaient pas encore informées des résultats de ces analyses. - Il nous paraît de rappeler qu au Mali, les eaux du réseau de l EDM S.A sont des eaux de surface, donc exposées à toute forme de pollution. Leur traitement doit donc nécessiter beaucoup de rigueurs scientifiques. 3-2 = Risques de contaminations = - Pour apprécier la qualité de l eau et ses effets sur la santé, il faut analyser les risques induits par la consommation de l eau pollue. - Ainsi nous avons 3 types de risques : = Risque à moyen terme : lié à la consommation d eau non saine durant 2 (deux) semaines au moins et une année au plus. Trois (3) paramètres chimiques sont en causes : les nitrates, le fluor.3-2-3= risque à long terme= lié à la consommation d eau non saine environ 2 l/ jour pendant 70 ans au 308 MSAS'2004

5 moins. L effet est donc cumulatif et les éléments en cause sont = le mercure, le chrome, le plomb (Hg, Cr, Pb, le Cadmium (Cd) et les hydrocarbures Au Mali, les maladies hydriques sont dues généralement au risque à court terme (micro- organisme). La diarrhée liée à la consommation d eau pollue constituent 50/ des consultations au Mali (référence n1) la couche la plus exposée sont les enfants. V. Conclusion = L eau constitue une ressource fragile précieuse que menacent de nombreux risques d origine chimique, biologique, industrielle. Des actions de protections doivent être mises en place pour ces différents types de risques dans notre pays. Des maladies hydrique demeurent encore un véritable problème de santé publique au Mali. Pourtant ces maladies ne sont pas une fatalité. Il faut des actions concrètes pour réduire les maladies hydriques. VI. RECOMMANDATIONS La pollution de l eau est due à l absence de protection des puits, aux pratiques de puisage, de transport et de conservation de l eau incorrecte. Quelles que mesures sont donc indispensables : - Eloigner des puits les rejets liquides, voire solides - Construire une margelle et réaliser une couverture - Maintenir propre l environnement des points d eau ou des bornes fontaine - Transporter l eau du puits vers la maison dans des récipients couverts - Respecter des règles d hygiène personnelle - Eviter les excréta - Mettre en place des systèmes de protection - Rechercher la ressource naturellement potable et protégée (si possible) - A défaut de ces mesures il faut donc : Mettre en place un système de traitement passif (filtration, ébullition etc.) Sinon un traitement actif (exemple = Chloration). - Mettre en place un programme permanent d inspection sanitaire - Repérer les sources de pollutions. - Mettre plus de rigueurs dans le contrôle de la qualité de l eau - Informer, sensibiliser et éduquer les populations pour les mesures prophylactiques et les différentes méthodes physique et chimique de traitement de l eau. 309 MSAS'2004

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