Combattre la contrefaçon des médicaments:
|
|
- Marie-Louise Lavigne
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Combattre la contrefaçon des médicaments: plan d action Présentée par: Dr Ziad NASSOUR Vice-Président de la CIOPF Référent contrefaçon à la CIOPF Ancien Président de l Ordre des Pharmaciens du Liban CIOPF Paris, 7 novembre 2007 État des lieux Plusieurs acteurs entrent en jeu, chacun ayant sa propre vision de la contrefaçon et agissant en conséquent: 1. Pour certains, le médicament contrefait constitue un moyen d épargne puisqu on se le procure à moins cher que le médicament original. Ceci est imputable à l ignorance des gens comme c est le cas de certains patients. 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 2 1
2 État des lieux 2. Pour d autres comme les autorités sanitaires, les magistrats, les douanes, les politiciens: c est la corruption qui entraîne une indulgence, voire un laxisme envers les contrevenants La politique et le clientélisme qui font que les responsables au sein de ces autorités se croient obligés de rendre des services pour rester dans la bonne grâce de potentiels électeurs Le déni du problème par crainte d être accusé de manquer à leur devoir Le refus d échanger les informations avec d autres acteurs concernés L ignorance de la gravité du sujet et de ses conséquences sur la santé publique et le trésor national Ils ne voient en ces médicaments que la taxe douanière non payée puisque ces médicaments sont introduits par des voies illégales 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 3 État des lieux 3. Pour les médecins et les infirmières c est le refus total des médicaments contrefaits N ont pas conscience de la gravité du problème Restent inactifs face à ce fléau et sont mal informés et non sensibilisés au problème 4. Pour les médias C est la nonchalance à couvrir l événement par ignorance Cherchent le scoop et ne couvrent que les événements à scandale 5. Quant aux directeurs d hôpitaux certains ont pour objectif de gagner rapidement de grandes sommes d argents et de faire des économies sur les dépenses de l hôpital. 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 4 2
3 État des lieux 6. Pour les dispensaires: Sous prétexte de rendre un service public, les dispensaires sont des lieux privilégiés pour promouvoir les médicaments contrefaits, échappant ainsi à toutes les autorités de contrôle 7. Les drogueries générales constituent un des maillons faibles de la chaîne de responsabilité du médicament. En effet, c est à ce niveau qu il est le plus facile de rompre cette chaîne. 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 5 Stratégie et objectifs Le médicament contrefait constitue un crime pharmaceutique qui menace la vie des gens et ébranle la crédibilité du système de santé. La contrefaçon est une activité criminelle qui viole les droits de l homme à la santé. Le but de ce cadre de travail est d uniformiser la vision du problème en alignant tous ces acteurs sur la vraie et unique définition de la contrefaçon résumée comme suit: Le médicament contrefait est un tueur silencieux distribué par des criminels 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 6 3
4 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 7 Un médicament contrefait n est pas un médicament! Fabriqué en échappant à tout contrôle Vendu en cachette Origine inconnue Fait pour tromper, dangereux 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 8 4
5 Un médicament contrefait...est un crime grave qui menace la santé de tous, y compris celle des ministres, députés, magistrats, hommes de loi, douaniers, les honnêtes et les corrompus sans distinction aucune! 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 9 Un médicament contrefait compromet la crédibilité du système de santé, de la chaîne de responsabilité des médicaments et des gouvernements! 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 10 5
6 Un médicament contrefait n est PAS un problème de propriété intellectuelle NI de taxes douanières! C est un problème de santé publique par excellence! Les médicaments ne sont ni des sacs, ni des montres, ni des CD, ni des T-shirts 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 11 Quelques questions Connaît-on l ampleur du problème? NON. Les données sont difficiles à obtenir A-t-on besoin de connaître les chiffres exacts? NON. Une estimation de la prévalence du problème dans le monde, est suffisante Un seul cas détecté n est pas admissible Est-on sérieux à ce propos? PAS ASSEZ 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 12 6
7 Pour cela on propose D expliquer l impact des médicaments contrefaits sur la santé De promouvoir une meilleure sensibilisation du public et des différents acteurs précités, sur le problème de la contrefaçon De faire un meilleur partage des informations et des données au niveau national et international D engager un contact direct avec les différents acteurs précités à travers des séminaires et des conférences d information De centraliser les données sur les médicaments contrefaits (site CIOPF) 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 13 Pour cela on propose De créer une force d impulsion pour joindre et coordonner les efforts dans la lutte contre la contrefaçon De créer un cadre légal adéquat et encourager une application plus rigoureuse des lois D inciter les autorités à reconnaître la spécificité du médicament et le soustraire à une politique basée sur les seuls critères de concurrence, d ouverture des marchés et de déréglementation D activer les services d inspection des différentes autorités et utiliser le principe: acheter-tester-inspectersanctionner-recommencer De se procurer les médicaments à travers le fournisseur agréé par le ministère de la santé 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 14 7
8 Pour cela on propose De créer une coordination active avec les instances internationales: FDA, EMEA, WHO, AFSSAPS De fournir un support technique visant à identifier les médicaments contrefaits à travers le GPHF minilab De créer des bulletins de déclaration de cas pour les pharmaciens D encourager un engagement politique et une volonté réelle des gouvernements du monde pour combattre la contrefaçon D inciter les autorités à renforcer et protéger la profession de pharmacien, le pharmacien étant la personne-clé dans ce combat. 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 15 Pour cela on propose D impliquer le pharmacien dans la lutte contre les médicaments contrefaits D encourager les fournisseurs des médicaments a utilisé l hologramme comme marqueur pour différencier les médicaments. D inciter les autorités à maintenir une chaîne de responsabilité sécurisée dont chaque maillon est un professionnel de santé ( le pharmacien ) D encourager les autorités à éviter la politique du déni du problème car ceci constitue un facteur favorisant le développement des contrefaçons. 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 16 8
9 Action à court terme Campagne de sensibilisation et d information Pharmaciens Médias Dispensaires Médecins Douanes Infirmières Justice/Magistrats Ministère de la santé Hôpitaux CNSS et tiers-payants Grand public 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 17 Action à court terme Outils Brochures pour pharmaciens et professionnels de santé et divers acteurs précités. Brochures pour patients Posters-affiches Conférences Cadre de travail Conférences: congrès, journées, séminaires, sociétés savantes, hôpitaux Brochures: CIOPF, ORDRES, WHO, MSP Posters: CIOPF, ORDRES, WHO, MSP 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 18 9
10 Action à moyen et long terme Cadres d affichage pour pharmacies: CIOPF, ORDRES, WHO, MSP Protocole 1 signé entre les différents organismes luttant contre la contrefaçon: douanes, CIOPF, ORDRES, WHO, MSP, CNSS et Mutuelle Protocole 2 signé entre la CIOPF, ORDRES et les pharmaciens d officine et d hôpitaux Création d un label pour valider les pharmacies signataires du protocole 2 Campagne publicitaire complète: billboards, radio, télé 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 19 Les actions menées au Liban Affiches distribuées en pharmacie, montrant la différence entre médicament authentique médicament contrefait Campagne publicitaire visant à informer le public sur l hologramme destiné à reconnaître le médicament authentique Circulaire aux pharmaciens expliquant l utilité de l hologramme et leur demandant de distribuer brochures et affiches aux patients Conférence AIMS destinée aux médias et portant sur la contrefaçon Conférences de presse 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 20 10
11 Les actions menées au Liban Circulaire aux pharmaciens leur expliquant leur rôle dans la lutte contre la contrefaçon à travers la charte de la CIOPF adoptée à Beyrouth en février 2006 Cycle de conférences (sociétés savantes, employés des douanes, grand public) portant sur la contrefaçon et ses dangers Projets en cours Campagne publicitaire complète: radio, télé, billboards Deux brochures (en trois langues) l une destinée aux professionnels de la santé et l autre au grand public 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 21 Le médicament n est pas un produit de consommation Votre santé est en jeu La santé c est l essentiel C est un droit élémentaire de l homme Le pharmacien: votre garantie 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 22 11
12 ? En tant que professionnels de la santé et vu nos devoirs éthiques, professionnels et légaux envers nos patients et la communauté, QUELLE EST NOTRE POSITION? 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 23 Merci de votre attention 30 juin 2007 Ziad NASSOUR 24 12
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailRECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT
RECOMMANDATIONS DU COLLEGE A PROPOS DU PHARMACIEN ADJOINT MAITRE DE STAGE ADJOINT L agrément de maître de stage repose à la fois sur des critères liés à l officine d une part et à son titulaire d autre
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailLA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES
LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES. Définition... 2. Qu'est-ce que la contrefaçon?... 2. Un fléau mondial... 2. Ses dangers... 3. Comment la déceler?... 4. Lutter contre la contrefaçon... 4. Qui est en
Plus en détailProjet pilote du programme de soutien de PAH au système pharmaceutique malgache Février-Juillet 2012
Projet pilote du programme de soutien de PAH au système pharmaceutique malgache Février-Juillet 2012 Notre mission à Madagascar s inscrit dans le cadre du projet pilote du programme de soutien de l association
Plus en détailCONTRIBUTION DU LEEM A LA MISE EN PLACE DE LA CHARTE II DE LUTTE CONTRE LA CONTREFACON SUR INTERNET. septembre 2011
CONTRIBUTION DU LEEM A LA MISE EN PLACE DE LA CHARTE II DE LUTTE CONTRE LA CONTREFACON SUR INTERNET septembre 2011 Le 6 juillet 2011, le Leem a été auditionné par la Mission Brochand-Sirinelli (la «Mission»)
Plus en détailSANOFI, ENGAGÉ DANS LA LUTTE ANTI-CONTREFAçON DANS LE MONDE.
faux médicaments, vrai danger pour la santé Crédits photos : Getty images, istockphoto. SANOFI, ENGAGÉ DANS LA LUTTE ANTI-CONTREFAçON DANS LE MONDE. www.sanofi.com La contrefaçon de médicaments : un danger
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailLES OBJECTIFS DU LIVRE
LES OBJECTIFS DU LIVRE 1- INFORMER 2- SENSIBILISER MOBILISER 3- DEBATTRE - RECONSTRUIRE 1 LES OBJECTIFS DU LIVRE 1- INFORMER 2- SENSIBILISER MOBILISER 3- DEBATTRE - RECONSTRUIRE LES OBJECTIFS DU LIVRE
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailLes médicaments génériques
ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le
Plus en détailBienvenue chez votre pharmacien
Bienvenue chez votre pharmacien En première ligne Le pharmacien Prestataire de soins à part entière, le pharmacien occupe aujourd hui une place centrale au cœur de notre système de santé. Disponible sans
Plus en détailReMeD Réseau Médicaments et Développement EVOLUTION DE L INSPECTION PHARMACEUTIQUE
ReMeD Réseau Médicaments et Développement Table ronde du 9 novembre 2004 Faculté de Pharmacie Paris V Communication Dr Nicole Ridolphi pharmacien inspecteur général honoraire EVOLUTION DE L INSPECTION
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailAccès aux médicaments et à la santé de qualité
Accès aux médicaments et à la santé de qualité Discours du Professeur Marc Gentilini Colloque «Les faux médicaments : comment les combattre?» Palais Brongniart, 15 octobre 2010 Stockbyte /Getty Images
Plus en détailProjet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730
PLAN DE COMMUNICATION APRÉS-LIFE Projet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730 Sensibilisation au recyclage des produits usagés SECTION I: APERCU DU PROJET LE PROJET Le projet COLLECT+ est mené par l un des leaders
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailBILAN D ACTIVITES PLAN D ACTION 2014. Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro
BILAN D ACTIVITES DU PLAN D ACTION 2014 Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro 1 AVANT PROPOS Avec un taux de croissance de 6% de nouveaux cas reçu cette année, l Hôpital Psychiatrique
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détailPartenaires en protection Aller de l avant
Partenaires en protection Aller de l avant Rapport de situation Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière Le 26 février 2008 Table des matières Point de vue du gouvernement 3 Consultations
Plus en détailLutter efficacement contre la contrefaçon en ligne
Lutter efficacement contre la contrefaçon en ligne 1 Le e-commerce et la contrefaçon en ligne L essor du e-commerce a permis aux industriels de la contrefaçon d élargir leur champ d action, passant du
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens
LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens Nouvel opérateur de la gestion du Tiers Payant Complémentaire, Mut Santé a souhaité
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailCERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailCarniel, centre de contacts basé en plein centre de Marseille, dispose de 100 positions et s organise suivant 3 entités :
Prestations Carniel Qui sommes-nous? Carniel, centre de contacts basé en plein centre de Marseille, dispose de 100 positions et s organise suivant 3 entités : Activateur de Relation Client Pour des actions
Plus en détail«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité»
«Les actions publiques en faveur de l action aux soins de proximité» Mai 2014 La définition de territoires prioritaires : les espaces d équipes de soins fragiles et sous vigilances Enjeux des espaces d
Plus en détailTIERS PAYANT. des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD!
TIERS PAYANT des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD! La généralisation du tiers payant à l ensemble des soins de ville avant 2017 fait partie des mesures
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l
Plus en détailAGRéMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS
COMMISSION D AGRÉMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS AGRéMENT DES PHARMACIENS HOSPITALIERS Pourquoi un agrément en tant que Pharmacien hospitalier? 4 introduction 5 notice explicative I. La demande d InscrIptIon
Plus en détailepatient, epharma: comment le Web modifie les relations
epatient et epharmacie: comment se modifie la relation, Genève (16.6.2015) Page 1 epatient, epharma: comment le Web modifie les relations Prof Olivier Bugnon Christine Bienvenu, @Tinaburger, epatiente
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailN COMPTE SOURCES DE PROVENANCE MONTANT Apport de l AM BLM ASS.NAT, (Deputés) Apport de mbres Fonds
Parti Politique enregistré par l Arrêté Ministériel n 151/010 du 03 Novembre 010 www.afdcrdc.com Le présent Rapport de Trésorerie de l Alliance des Forces Démocratique du Congo, AFDC en sigle, couvre l
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailM.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. Complété par l arrêté n 2333-12 du 13 juin 2012, B.O n 6084 du 20/09/2012
Complété par l arrêté n 2333-12 du 13 juin 2012, B.O n 6084 du 20/09/2012 Référence : B.O n 5958-5 chaabane 1432 (7-7-2011) Arrêté de la ministre de la santé n 1363-11 du 12 joumada II 1432 (16 mai 2011)
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détailRisques nucléaires en Belgique LES POUVOIRS PUBLICS VEILLENT À VOTRE SÉCURITÉ
Risques nucléaires en Belgique LES POUVOIRS PUBLICS VEILLENT À VOTRE SÉCURITÉ Cher concitoyen, Vous habitez à moins de 10 km des installations nucléaires de Fleurus. Soyons clairs : le risque de voir un
Plus en détailLIVRE BLANC COMBATTRE LE PHISHING. Auteur Sébastien GOUTAL Responsable Filter Lab. Janvier 2014. www.vade-retro.com
COMBATTRE LE PHISHING Auteur Sébastien GOUTAL Responsable Filter Lab Janvier 2014 LIVRE BLANC www.vade-retro.com Index Introduction... 3 Typologies du phishing et du spam... 4 Techniques de filtrage des
Plus en détailCharte de la Société suisse de la sclérose en plaques
Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en
Plus en détailRésumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader
Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailFORMATION EN PHARMACIE DANS L ESPACE CEDEAO
FORMATION EN PHARMACIE DANS L ESPACE CEDEAO PRESENTATION DU CURRICULUM HARMONISE PAR DR LAOPAN JEAN PARE PRESIDENT DE L ONPBF PRESIDENT DE L IOPA Plan de Présentation Contexte et justification I. CEDEAO
Plus en détailNOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES. (05 mars 2014)
Direction du Protocole P1.1 NOTE CIRCULAIRE IMMATRICULATION DES VÉHICULES DIPLOMATIQUES (05 mars 2014) Le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement
Plus en détailDISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE
A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS
Plus en détailDiscours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon
Alain Carrupt, Président syndicom, syndicat des médias et de la communication Fleurier 11.30 et Yverdon 18.30 Discours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon (Seul le texte parlé fait foi!) Les travailleuses
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailOCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication
OCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication 1 CONTEXTE Octobre Rose Pour la 21 ème année consécutive, Octobre Rose est le mois de sensibilisation dédié aux cancers féminins et
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE ET DES LIBERTÉS LOCALES Arrêté du 16 août 2004 relatif aux formations des médecins, pharmaciens et infirmiers
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détailAcadémie nationale de Pharmacie
Académie nationale de Pharmacie Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris Reconnue d utilité publique le 5 octobre 1877 Ventes de médicaments à partir de sites Internet 1. Des
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailINTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM
INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS Marc FOURNIER SAMU13- APHM LES MOYENS DE TRANSPORT INTER HOSPITALIER Ambulance simple : 2 ADE, véhicule catégorie C type A ambulance conçue
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détailPROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION -----------------
LIBERTE EGALITE FRATERNITE REPUBLIQUE D HAITI PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION ----------------- Vu la Constitution de la République ; Vu la Convention des Nations Unies
Plus en détailVente en ligne de médicaments : où en eston
JIM.fr -Vente en ligne de médicaments : où en est-on? Page 1 sur 5 Publié le 15/11/2014 Vente en ligne de médicaments : où en eston? Barbara Bertholet (à droite) et Caroline Balosso Paris, le samedi 15
Plus en détailCIRCULAIRE AUX BANQUES COMMERCIALES ET AUX BANQUES D ÉPARGNE ET DE LOGEMENT
CIR. # 99 CIRCULAIRE AUX BANQUES COMMERCIALES ET AUX BANQUES D ÉPARGNE ET DE LOGEMENT En conformité aux articles 2.2.2 à 2.2.6 de la loi du 21 février 2001, relative au blanchiment des avoirs provenant
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailTransport, logistique, Supply Chain * sdv.com. *Chaîne logistique
Transport, logistique, Supply Chain * sdv.com *Chaîne logistique AMÉRIQUES 45 agences 8 pays 950 collaborateurs Europe 157 agences 22 pays 5 710 collaborateurs ASIE-PACIFIQUE 136 agences 24 pays 3 950
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailDOCUMENT N 5 INSTITUT POUR LA PROTECTION DE LA SANTÉ NATURELLE. Conséquences de la pleine entrée en vigueur de la directive 24/2004/CE en France
DOCUMENT N 5 INSTITUT POUR LA PROTECTION DE LA SANTÉ NATURELLE Conséquences de la pleine entrée en vigueur de la directive 24/2004/CE en France Sommaire : Introduction page 2 I. L impossibilité économique
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailRÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES
RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES 3 AVANT-PROPOS Le présent code de bonne conduite définit les règles auxquelles les entreprises d assurances ont souscrit à l égard de leurs nombreux interlocuteurs:
Plus en détailLucie, Laurent et Elodie
Lucie, Laurent et Elodie Elo Relations Publiques D éf n itio n Les relations publiques se défnissent comme un ensemble de techniques de communication destinées à donner une image favorable à une personne
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détail2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire
2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière
Plus en détailDix idées reçues sur la Contrefaçon
Dix idées reçues sur la Contrefaçon *** Par Anne-Flore MAMAN, Ph.D. info@semioconsult.com Le marché de la contrefaçon est un marché commercial comme les autres c'est-à-dire classiquement composé d une
Plus en détailProtégez votre information stratégique
PRÉFET DE LA RÉGION BASSE-NORMANDIE Comité Opérationnel de Sécurité Protégez votre information stratégique Réseau Basse-Normandie L 2 J adapte ma conduite aux situations. J identifie Au sein de l entreprise,
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailSUPER! J ai trouvé un amateur!
Bonjour. Le gsm que vous vendez m intéresse. Vous pouvez l envoyer à F. Ilout, rue Harnak 22, 1000 Bruxelles. J effectuerai le paiement dans mon bureau de poste et vous pourrez retirer l argent en donnant
Plus en détailassurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace
assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace Notre vision Desjardins Assurances est un acteur canadien important en assurance collective, reconnu pour son
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailUN RÉSEAU ET DES MÉTIERS
LA MUTUALITÉ UN RÉSEAU ET DES MÉTIERS MUTUALITÉ Les mutuelles Une mutuelle est un organisme à but non lucratif. Portent le nom de «mutuelle» les organismes immatriculés au registre national des mutuelles
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Le développement de la e-santé : un cadre juridique et fonctionnel qui s adapte au partage Jeanne BOSSI Secrétaire
Plus en détailLes responsabilités civile et pénale de l'élu local. > Observatoire SMACL des risques de la vie territoriale
Les responsabilités civile et pénale de l'élu local des risques de la vie territoriale Nombre de poursuites contre les élus locaux, les fonctionnaires territoriaux, et les collectivités territoriales (toutes
Plus en détailManagement de la sécurité des technologies de l information
Question 1 : Identifiez les causes d expansion de la cybercriminalité Internet est un facteur de performance pour le monde criminel. Par sa nature même et ses caractéristiques, le monde virtuel procure
Plus en détailIntroduction. Cher pharmacien Cher membre de KLAV
C o t i s a t i o n s 2 0 1 4 K L AV A P B Introduction Cher pharmacien Cher membre de KLAV La fin de l année se rapproche. Comme d habitude, c est le moment pour renouveler vos cotisations pour 2014.
Plus en détailCharte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques
DIRECTION DE L EVALUATION DE LA PUBLICITE, DES PRODUITS COSMETIQUES ET DES BIOCIDES Charte pour la communication sur internet des entreprises pharmaceutiques Préambule Mise à jour 2010 Au plan mondial,
Plus en détaillv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16
P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailGroupe intervention. Etude COME-ON. Guide d utilisation de la plateforme de formation en ligne Groupe intervention. Dernière mise à jour 6/05/15
Groupe intervention Etude COME-ON Guide d utilisation de la plateforme de formation en ligne Groupe intervention Dernière mise à jour 6/05/15 0 Avant-propos La formation donnée dans le cadre de ce projet
Plus en détailLES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA
LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA Plan INTRODUCTION 1 / LA SOCIÉTÉ DE BOURSE DE CASABLANCA 2 / L AUTORITE DE SURVEILLANCE (CDVM) 3 / LES SOCIETES DE BOURSE 4 / LES ORGANISMES DE PLACEMENT
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailComité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé
Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé CSSS/09/010 DÉLIBÉRATION N 09/008 DU 20 JANVIER 2009 RELATIVE À L APPLICATION DE LA GESTION INTÉGRÉE DES UTILISATEURS ET DES ACCÈS PAR LA PLATE-FORME
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales
Août 2009 ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales Comme tous les ans le gouvernement algérien a adopté fin juillet une loi de finances complémentaires (LFC) pour 2009 (Ordonnance
Plus en détailCompte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.
Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois
Plus en détailSITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE
SECTION G CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SITES INTERNET Recommandations du Conseil central de la section G ONP/CCG Janvier 2012 A l heure où les
Plus en détail