Evolution du dépistage organisé du cancer du sein
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- Lucile Boisvert
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1 Evolution du dépistage organisé du cancer du sein
2 Meilleure information des femmes et des professionnels et outils d aide à la décision Approche globale, personnalisée impliquant le médecin traitant prenant en compte le niveau de risque Consultation de prévention et de dépistage (+/- 40 ans)? Deux scénarios d évolution Arrêt des mammographies avant 50 ans sans facteur de risque particulier Double lecture pour toutes les mammographies négatives (DI/DO) Évaluation de la pratique de l échographie complémentaire et 100% Amélioration de l évaluation du programme de dépistage et SI Recherche : Connaissances sur l histoire naturelle des cancers du sein, limitation du sur-traitement, stratification des stratégies selon niveau de risque
3 Evolutions technologiques, Assurance qualité, Dimensions éthiques
4
5 Information, choix libre et éclairé, DO et DI Orienter vers le DO Information et communication ciblées, actions de promotion de la santé Renforcer l adhésion des professionnels Incitations et évolutions organisationnelles Prescription/demande au radiologue par le médecin traitant et autres outils Transmission systématique des résultats au Médecin traitant Implication médecin traitant : (Retour d info, ROSP sur la «participation» au DO) Conformité des pratiques Echographie à 100% et «Tiers payant» Limitation des pratiques de DI dans la population cible Non prise en charge progressive du DI Modification CCAM : codes spécifiques DO et DI Renforcement du pilotage (gouvernance et dénomination des structures) Compléter l évaluation (impact du DO, réduction des inégalités) Recherche (médico-éco, indications Echo, sur-diagnostic, DI, 2 nde lecture ACR3 )
6 Favoriser le DO «Faire le choix exclusif du dépistage organisé ou du déremboursement (partiel ou total) du DI serait un acte politique positif» Incitations et évolutions organisationnelles Amélioration du parcours et meilleure articulation entre les acteurs Améliorer l accès et le partage des données entre les acteurs Incitation AM, «ROSP» «Participation» (Cf. Reco HAS), Acbus Transfert informatisé des données ACP standardisées + Formation et double lecture lésions frontières Organisation spécifique pour les femmes à risques Information des médecins traitants et gynécologues sur les CAT/Niv de risque Surveillance clinique personnalisée des >75 ans Dépistage systématique non préconisé pour <50 ans, décision individuelle Réduction des inégalités, accessibilité, info et communication adaptées Renforcement du pilotage («Pilotage clair et lisible») Soutenir l évaluation du programme et valorisation des données Veille technologique, évaluer et accompagner les évaluations technologiques (Dématérialisation, tomosynthèse)
7 Il existe des indications suffisantes Que le dépistage par mammographie réduit la mortalité par cancer du sein pour les femmes de 50 à 74 ans et que les bénéfices dépassent largement les le risque lié à l irradiation. Il existe des indications limitées de l'efficacité du dépistage chez les femmes de ans. Il existe des indications suffisantes que le dépistage par mammographie détecte des cancers du sein qui n auraient jamais été diagnostiqués ni n auraient nui à la santé de ces femmes si elles n avaient pas été dépistées. d'un risque accru de cancer du sein radio-induit lié à la mammographie de dépistage chez les femmes d âge 50 ans; ce risque est largement compensé par la réduction de la mortalité par cancer du sein. qu une mammographie faussement positive entraîne des conséquences psychologiques négatives à court terme.
8 Lettre d accompagnement INCa Modernisation du programme actuel Approche personnalisée dans une logique du parcours de santé avec appui sur le médecin traitant : identification du niveau de risque et information Meilleure information des femmes et des professionnels et décision éclairée (appui si besoin sur les conseils du médecin traitant) Alignement de la qualité du DI sur celle du DO : Double lecture pour toutes les mammographies ACR1-3 Suppression des freins financiers : 100% échographie, si besoin forfait Amélioration de l évaluation du programme de dépistage : impact, morbidité, inégalités, qualité de vie Recherche : limitation du sur-traitement, marqueurs d évolutivité
9 Rénovation profonde du programme Parcours plus personnalisé Fondé sur une meilleure information des femmes Mieux coordonné et impliquant davantage le médecin traitant Confie à l INCa et la DGS l élaboration : Plan d action cohérent Assorti d un volet d évaluation et de recherche D ici la fin de l année INCa: Prendre en compte l ensemble des rapports/avis, évaluations et données disponibles : Rapport d orientation, HAS, CIRC, Avis CTP
10 Merci de votre attention plus d informations sur e-cancer.fr Institut national du cancer 52, avenue André Morizet Boulogne-Billancourt Cedex France Tél. +33 (0) e-cancer.fr
11 Refus de l abandon du dépistage Cohérence avec le plan caner Intégration du dépistage individuel dans le DO avec deuxième lecture systématique en cas de bilan négatif (sous réserve conditions de réalisation) Contrôle qualité à l ensemble des matériels (dont échographie et tomosynthèse) Approche personnalisée sur les différents professionnels de santé pour information complète fiable et neutre Action en faveur des non participantes (non accès) Développement de la formation des professionnels concernant le cancer du sein du dépistage au suivi thérapeutique Evaluation du dépistage, via Senolog, pour spport d une évaluation médico-économique
12 Droit des femmes à un choix libre et éclairé de s inscrire ou non dans les démarches de dépistage organisé Information plus objective en présentant aussi bien les avantages que les inconvénients du dépistage Formation adéquate des professionnels de santé concernés Retrait de la «participation» au dépistage de la ROSP
13 Vision globale des stratégies de prévention et de dépistage Consultations dédiées Médecin traitant en tant qu acteur principal Place essentielle du médecin traitant dans l information des femmes Modernisation du concept de dépistage Retirer le dépistage du cancer du sein des indicateurs de la ROSP Prise en compte du gradient social
14 Information plus objective des femmes sur effets indésirables et impact Réaffirmer la place du médecin traitant Renforcer le recueil de données et leur évaluation (pilotage médical et médico-économique optimisé) Étude sur le potentiel évolutif des cancers dépistés pour mieux adapter leur traitement Doute : Contexte de pénurie et de désert médical rendant difficile l investissement des médecins traitants Disponibilités sur les ressources disponibles et structures de gestion fragilisées Outils d évaluation individuelle du risque de cancer non encore validés +++ Informer sur le calendrier et sur l absence en l état d alternative à la mammographie
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