Une croissance atone, un poids

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1 Agence d Urbanisme d Agglomérations de Moselle / TABLEAU DE BORD habitat la Communauté d METZ Agglomération de METZ MÉTROPOLE Immeuble Ecotech / de 3 rue Marconi / 577 / mail : contact@aguram.org / tél. : / fax : / DÉCEMBRE 213 DE BORD > TABLEAU habitat Communauté d Agglomération de 1 SOMMAIRE 1 / Une croissance atone, un poids croissant des seniors P. 1 2 / Un niveau de constructions qui explose en 213 P. 4 3 / Des mises en vente de logements en hausse, un stock élevé P. 7 4 / Foncier : des prix élevés P. 9 5 / Le marché de l ancien P. 9 6 / Un tiers de logements locatifs privés P / Des revenus segmentés P / Des besoins en offre sociale fortement présents P / Le parc social : photographie du parc et production neuve P / Un tiers de logements locatifs privés P / Un parc de logements en constante amélioration P / Jeunes ménages et séniors : Des problématiques logements particulières P / Les interventions de Metz Métropole P. 27 En partenariat avec Metz Métropole METZ MÉTROPOLE Une croissance atone, un poids croissant des seniors > habitants et 98 2 ménages en 21 Une population en baisse sur le territoire de la CA de Metz Métropole, liée à un solde naturel en diminution et un déficit migratoire en hausse 26 Perte de population liée au solde migratoire 22 Gain de population lié au solde migratoire 18 Gain de population lié au solde naturel 14 Population initiale Population totale Entre 199 et 1999, la population de la CA de Metz Métropole a progressé de 4 %. De 1999 à 26, elle a quasiment stagné (+,6 %). Depuis 26, elle a diminué de 1,6 %. Les dernières données de 211 indiquent toujours une tendance à la baisse. Le solde naturel est en baisse constante depuis les années 196, mais il reste toujours positif. C est par son solde migratoire que l agglomération perd des habitants : les habitants qui partent sont plus nombreux que les nouveaux arrivants, et les naissances ne suffisent plus à les compenser. Au total, Metz Métropole a perdu environ 35 habitants de 26 à 21. Le déficit Source : Insee migratoire s élèverait à -74 personnes et le solde naturel à 39 personnes. Pour l heure, il est encore difficile d évaluer précisément la part liée à la fermeture des sites militaires. La situation est très variable d une commune à une autre. Augny a ainsi vu sa population diminuer de près de 1 % entre 26 et 21 (départ progressif des militaires, qui sont comptabilisés dans la population depuis 26), tandis que Mey a accru sa population de 48 %, Marieulles de 14 % (lotissement «Les Termes»), et Saint-Privat-la-Montagne de 9 % (lotissement «Le Bois de la Ville»). La population de la ville de Metz a diminué de 3 %. / DÉCEMBRE 213 1

2 Sur cette même période, les quartiers de Saint Eloy (Woippy) et de Borny (Metz) ont perdu des habitants, en raison des programmes de rénovation urbaine. D autres en ont gagné : Queuleu (fin de la ZAC des Hauts de Queuleu, Chemin des Vignerons), et Woippy village (nombreux programmes immobiliers). Dans les prochaines années, les quartiers du Sablon, de Queuleu et de Devant-les-Ponts (Metz) devraient voir leur population croitre (ZAC de l Amphithéatre, ZAC des Coteaux de la Seille et ZAC du Sansonnet). Évolution de la population entre 26 et 21 de la CA de Metz Métropole > Un nombre de ménages croissant La hausse du nombre de ménages dépasse très nettement celle de la population, en raison de la décohabitation croissante. Les évolutions démographiques (vieillissement de la population) et sociologiques (monoparentalité, célibat) l expliquent. Le nombre moyen de personnes par ménage est faible : 2,13 pers./ mén. à Metz Métropole, contre 2,26 sur le SCoTAM*, et 2,26 pour la France. Au sein de l agglomération, c est dans les communes les plus urbaines que l on trouve, sans surprise, les tailles moyennes de ménages les plus petites (Metz, Longevillelès-Metz, Moulins-lès-Metz, Montigny-lès- Metz, Ban-Saint-Martin ). Ceci s explique par la typologie de leur parc. Évolution de la population entre 26 et 21 par quartier Des ménages de plus en plus petits, entrainant une croissance du nombre de ménages plus rapide que celle de la population Taille moyenne des ménages Population Ménages Source : Insee 3,5 3 2,5 2 1,5 1,5 *Schéma de Cohérence Territoriale de l Agglomération Messine 2 DÉCEMBRE 213 /

3 Malgré le vieillissement de la population, l indice de jeunesse (rapport des moins de 2 ans sur les plus de 6 ans) reste légèrement supérieur à celui de la France : il s établit à 1,11, contre 1,12 sur le SCoTAM, et 1,9 sur la France. Il a malgré tout fortement diminué depuis 199 (il s élevait alors à 1,78). Les pertes de populations sont importantes dans les classes actives (3-5 ans), et chez les 5-2 ans, tandis qu on note des gains de populations (zones bleues) importants chez les plus de 5 ans, mais aussi chez les moins de 5 ans, de manière plus modérée. Les plus de 6 ans constituent 21 % de la population en 21 (21 % sur le SCoTAM), contre 15 % en 199. Les personnes âgées dans la CA de Metz Métropole 13 communes de l agglomération présentent un indice de jeunesse inférieur à 1 : les plus de 6 ans y sont plus nombreux que les moins de 2 ans. C est à Pouilly que l indice de jeunesse est le plus faible, avec,5 (il y a deux fois plus de plus de 6 ans que de moins de 2 ans), et à Mey qu il est le plus élevé (il y a deux fois plus de plus de 2 ans que de plus de 6 ans). A Metz, il s élève à 1,17. On note de grandes disparités à l échelle des quartiers des 3 villes centres : l indice de jeunesse est très élevé à la Grange-aux-Bois (3,5), quartier récent, et dans les quartiers dominés par l habitat social (Saint Eloy et Quartier du Roi pour Woippy ; Borny, Bellecroix et Patrotte pour Metz). Les conclusions sur la part des plus de 75 ans font ressortir les mêmes communes et les mêmes quartiers. Les personnes âgées dans des quartiers de Metz, Montignylès-Metz et Woippy Pyramide des âges en 1999 et 21 dans la CA de Metz Métropole 1 ans et ans 8-84 ans 7-74 ans 6-64 ans 5-54 ans 4-44 ans 3-34 ans 2-24 ans 1-14 ans Femmes Hommes - 4 ans en millièmes de la population totale Femmes 1999 Hommes 1999 Femmes 21 Hommes 21 Source : Insee / DÉCEMBRE 213 3

4 Metz Métropole a perdu de la population entre 26 et 21, à l instar du Grand Nancy, et des Communautés d Agglomérations de Reims, Saint-Etienne, et Dijon. En Lorraine, l agglomération thionvilloise tire son épingle du jeu avec un gain de plus de 5 habitants, son attractivité étant renforcée par la proximité du Luxembourg. Les métropoles sud et ouest de Rennes, Montpellier, Toulouse et Nantes, affichent les taux de croissance les plus élevés, résultat de leur dynamisme et de leur héliotropisme. Ce sont aussi les agglomérations affichant l indice de jeunesse les plus élevés (1,36 pour Rennes, 1,26 pour Toulouse, contre 1,11 pour Metz Métropole), les meilleurs soldes migratoires (de -,1 % à +,5 % entre 1999 et 21, contre -,6 % pour Metz Métropole) et parmi les soldes naturels les plus importants (entre,6 % et,7 %, contre,5 % pour Metz Métropole). Evolution démographiques de 26 à 21 CA Rennes Métropole CA de Montpellier CU Toulouse Métropole CU Nantes Métropole CA Portes de France-Thionville CA Clermont Communauté CA Grenoble Alpes Métropole CU de Strasbourg CA Orléans Val de Loire CA Grand Dijon CU du Grand Nancy CA de Saint-Etienne Métropole CA Reims Métropole CA de Metz Métropole -2% -1% % 1% 2% 3% 4% % d évolution de 26 à 21 Source : Insee 2 Une explosion du niveau de constructions en 213 > Bilan De 22 à 213, 883 logements par an ont été commencés en moyenne à Metz Métropole (inclus les logements en résidence). La courbe de production a beaucoup fluctué, comme partout ailleurs, avec une montée en puissance jusqu au milieu des années 2, puis une diminution qui a précédé localement la crise immobilière de fin marque une remontée, suivie d une nouvelle baisse. Mais 213 marque une très forte hausse avec près de 18 logements commencés, le chiffre le plus élevé de ce début de siècle. Logements commencés en 212 et 213 Opération rue de la Cheneau à Scy-Chazelles 4 DÉCEMBRE 213 /

5 En moyenne, l agglomération messine a concentré 5 % des logements commencés du SCoTAM, alors qu elle y accueille 62 % des ménages. Depuis 27, on note une tendance à la hausse du poids de Metz Métropole dans la production du SCoTAM. Logements commencés en 212 et 213 à Metz, Montigny-lès- Metz et Woippy Au sein de l agglomération, la ville centre a concentré 48 % des logements commencés, et Woippy 12 %. On observe également une tendance à la hausse du poids de Metz depuis 27. Sur la décennie, environ 6 % des logements sont destinés à la vente. Cette part a progressé ces dernières années. Cependant, les logements destinés à la vente peuvent parfois comprendre des VEFA (Ventes en Etat Futur d Achèvement) à des bailleurs sociaux. Environ un quart des nouveaux logements relèvent de l individuel, le plus souvent émanant de propriétaires occupants (peu de logements individuels sont destinés à la vente). > Une année 212 en creux, mais des résultats très différents pour logements commencés en 212, dont 2 % d individuels, et 8 % destinés à la vente logements commencés en 213, dont 17 % d individuels, et 73 % destinés à la vente En 212, l agglomération concentre 44 % des logements commencés du SCoTAM (8 % en 213), et Metz concentre 4 % des logements commencés de l agglomération (58 % en 213). Les principales opérations se situent dans la ZAC des Coteaux de la Seille, à Metz («Les Panoramiques», de Habiter Promotion, et le programme de Logiest), et à Saint-Julien-lès-Metz (opération «Le Belvédère» de Nexity à la Sapinière). La production de nouveaux logements a été faible en 212, avec seulement 52 mises en chantier. Il s agit du niveau de production le plus faible depuis 198. Mais la courbe de production de logements est susceptible de fluctuer très fortement en fonction des différents projets d envergure du territoire. Ainsi, si la production 212 est faible, les 1 logements ciblés dans le PLH ont été atteints en 211, et ont très largement été dépassés en 213, avec près de 18 logements commencés. L émergence simultanée de nombreux projets l explique (Amphithéatre, Coteaux de la Seille, ZAC du Sansonnet, opération sur le site de la Manufacture à Metz ; La Sapinière à Saint-Julien-lès-Metz ; ZAC Paul Joly à Marly, ). Mais dans un contexte démographique préoccupant, la question de l absorption par le marché de cette offre abondante se pose. 18 Evolution des mises en chantier de logements sur le territoire de la CA de Metz Métropole % 8% 7% Destinations des logements commencés sur le territoire de la CA de Metz Métropole 5% des logements commencés dans le SCoTAM depuis 22 concentrés dans la CA de Metz Métropole 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% Source : DREAL lorraine, fichier Sit@del % % 4% 3% 2% 1% Reste du SCoTAM CA de Metz Métropole Part de la Metz CA de Métropole Metz Métropole au sein du au SCoTAM sein du SCoTAM 2 Source : DREAL lorraine, fichier Sit@del Individuel Collectif Résidence Objectif PLH ensemble Source : DREAL lorraine, fichier Sit@del2 / DÉCEMBRE 213 5

6 Taux de construction (Rapport des logements commencés entre 22 et 212 sur les résidences principales 21 sources et Insee) : CA Metz Métropole : 9 % CA Thionville Porte de France : 11,3 % CU du Grand Nancy : 9,9 % SCoTAM : 11% France : 14% % des nouveaux logements concentrés à Metz et Woippy depuis Metz Woippy Montigny-lès-Metz Marly Moulins-lès-Metz Reste de de Metz la CAMM Métropole Source : Sit@del > Les principales opérations commencées depuis 211 Commune Nombre de logements Pétitionnaire Adresse/Quartier Programme Nombre de logements locatifs aidés Metz 531 Bouygues La Manufacture Les Rives Logiest et Vilogia Metz 147 Bouygues Amphithéatre Intempor l Metz 147 Batigère 7 place sainte croix Maternité Sainte- Croix 147 Metz 138 Rizzon ZAC de l Amphithéatre, îlot E (Neolia) Metz 86 Elogia 2 rue de la falogne village senior elogia Saint-Julienlès-Metz Saint-Julienlès-Metz 86 Nexity La Sapinière Le Belvedere 68 Moselis (VEFA) Route de Bouzonville 68 Metz 67 Logiest Coteaux de la Seille 67 Augny 64 Vilogia et ICF (par une vente en VEFA) 46 rue de Metz Marly 64 Icade ZAC Paul Joly Flore&Sens Les Symphorines à Longeville-lès-Metz Les Coteaux de la Seille à Metz 6 DÉCEMBRE 213 /

7 3 Des mises en vente de logements en hausse, un stock élevé De 21 à 26, 44 logements par an ont été commercialisés, contre 33 de 27 à 212. L évolution du marché est très fluctuante : transactions en hausse jusque 25, maintien en 26 et 27, puis chute en 28, au moment de la crise immobilière. Depuis 29, la courbe de mise en vente reprend, de manière un peu plus franche que celle des ventes. Le stock repart à la hausse. Metz Métropole anime en moyenne 75 % du marché de la promotion immobilière du SCoTAM. En 212, 56 logements ont été commercialisés à Metz Métropole, dont 9 logements individuels. La même année, 361 logements ont été vendus. En conséquence de ce solde des ventes et mises en ventes, auquel s ajoute le stock précédent, le stock de logements est remonté à 38 unités fin 212. Au troisième trimestre 213, il s était encore accru pour atteindre 46 logements. Ces derniers mois, le délai d écoulement des biens ne cesse d augmenter : 7,3 mois fin 211, 15,4 mois fin 212, et 23 mois au troisième trimestre 213. Sur les trois premiers trimestres de 213, 336 logements ont été mis en vente dans l agglomération, dont 64 logements individuels. Sur la même période, 217 logements neufs ont été vendus. Le marché de la promotion immobilière dans la CA de Metz Métropole Mises en vente Ventes Stock Mise en vente de logements neufs en 212 Source : DREAL Lorraine, ECLN Les mises en vente de 212 se répartissent dans 5 communes : Marly : 7 logements ; Metz : 279 logements, dont 9 individuels ; Moulins-Lès-Metz : 44 logements ; Saint-Julien-lès-Metz : 86 logements ; Woippy : 81 logements. Répartition des ventes et mises en vente depuis 26 par typologie 6% 5% 4% 3% 2% 1% T1/T2 T3 T4 et + Ventes Mises en vente Stock fin 213 Source : DREAL, ECLN > Un recentrage vers les T3 Depuis 26, les ventes et mises en vente par typologie s équilibrent : 35 et 36 % de T1/T2, 39 et 41 % de T3, et 25 % de T4 et plus. Les données sur les stocks affichaient 5 % de T3 fin 212 et fin 213. Sur la période précédente, de 2 à 25, les T1/T2 et T4 et plus constituaient des parts plus importantes des ventes et mises en vente (de l ordre de 39 % et 3 %), au détriment des T3 (environ 3 %). / DÉCEMBRE 213 7

8 > Un prix moyen avoisinant les 3 /m 2 dans le neuf Évolution du prix au m 2 des logements collectifs Le prix de l immobilier collectif neuf ne cesse de croître depuis les années 2. Fin 213, il atteint 2 98 / m² en collectif à Metz Métropole. Le prix observé sur le territoire du SCoTAM, après avoir frôlé celui de l agglomération, y est désormais inférieur d environ 2 (2 76 fin 213). Depuis 21, le prix moyen au m² a augmenté de 7 % sur l agglomération. Cette hausse, aussi impressionnante soit-elle, reste inférieure à la celle de la France métropolitaine (hors IDF), évaluée à 89 %. Sur l intervalle , l indice du coût de la construction a progressé de 44 %. En appliquant au prix de 21 la seule progression du coût de la construction, le prix de vente théorique de l immobilier collectif neuf atteindrait 252 /m², soit 46 de moins qu aujourd hui. Sans surprise, la hausse du prix de l immobilier relève de bien d autres facteurs que le seul cout de la construction (charge foncière, honoraires, frais financiers et promotionnels, ), sur lesquels il conviendrait de se pencher. L agglomération nancéienne propose des prix légèrement inférieurs (293 / m² fin 213), avec un délai moyen d écoulement à 21,4 mois. Ces moyennes synthétisent d importantes disparités, d un programme à l autre* : le maximum est atteint avec le programme immobilier sur le site de l ancienne manufacture de tabac (Bouygues), avec des prix pouvant dépasser les 4 /m² (selon la typologie), inaccessibles pour la grande majorité des ménages de l agglomération. On note également des prix très élevés pour les opérations «Park Avenue» (Eiffage Immobilier), rue du XXème Corps Américain (quartier Nouvelle Ville), et «Villa Flora» (quartier de Plantières) à Metz, avec des prix pouvant dépasser les 35 /m². Les autres programmes affichent globalement des prix proches de 3 / m². Les programmes sont souvent issus des grandes ZAC en cours de réalisation : Amphithéâtre : «Pont de Lumière» (Rizzon), «Intempor L» (Bouygues) ; Coteaux de la Seille : «Riva Verde» (Icade), «Les Panoramiques» (Habiter Promotion), «Le Clos Nature» (Bue Habitat) ; Sansonnet : «Jardin sous les Vignes» (Blue Habitat). Un effet «Mettis» se fait également jour avec deux nouvelles opérations à proximité de la ligne en site propre, avenue de Strasbourg : «Villa Flora» (Nouvel Habitat ), et «Les Terrasses de la Pépinière» (Habiter Promotion), qui semble être à l heure actuelle le programme le plus accessible financièrement de la ville, avec des moyennes de l ordre de 27 / m². En sortant des limites communales de Metz, peu d opérations dépassent les 3 / m² : «L Eden», à Sainte-Ruffine (Icade), «Green Park» à Moulins-lès-Metz (Valor+), les programmes «Propriété Privée» et «Le Belvédère» à Saint-Julien-lès-Metz. Les prix moyens des autres opérations varient entre 27 et 29 / m² Évolution des prix de l immobilier neuf et de l indice du coût de la construction depuis CA Metz Métropole Indice du coût de la construction SCoTAM France MET (hors IDF) 213 Les très nombreux programmes actuellement en commercialisation, se répartissent sur diverses communes (12), même si Metz en concentre la majorité : Sainte-Ruffine («L Eden») Marly («Flore&Sens») Gravelotte («Le Clos du Haras») Woippy («La Résidence du Ruisseau», «Les Coteaux de Lorraine», «Avelia» et «Les Cigalines») Longeville-lès-Metz («Les Symphorines») Saint-Julien-lès-Metz (le «Propriété Privée» et «le Belvédère») Cuvry («La Résidence du Petit Bois») Montigny-lès-Metz («Les Terrasses d Eva») Laquenexy («La Résidence des Vergers») Moulins-lès-Metz («Green Park») Rozérieulles («La Résidence du Vignoble») On note quelques ventes en individuel, à Metz et Woippy (Espace Descartes et Coteaux de Lorraine) : des maisons de 5 à 6 pièces, commercialisées à 18 et 2 l unité, compatibles avec un budget familial. En France (hors IDF), le prix moyen au m² d un appartement neuf s établirait à 356. La Lorraine, avec 264 /m², demeure une des régions les plus accessibles en 212, juste devant le Limousin. * prix constatés sur les principaux programmes en novembre 213 Source : ECLN Source : ECLN 8 DÉCEMBRE 213 /

9 4 Foncier : des prix élevés Depuis 2, près de 12 parcelles en lotissement ont été proposées à la vente. Plus des trois quarts de cette offre est répartie dans 8 communes : Amanvillers ; Marly ; Moulins-lès-Metz ; Nouilly ; Saint-Privat-la-Montagne ; Saulny ; Laquenexy ; Woippy. 5 nouveaux lotissements ont été commercialisés en 212 : Les Jardins de Féy, à Féy : 12 parcelles de 535 m² en moyenne à 75, soit 14 l are ; Les Marronniers, à Coin-sur-Seille, 1 parcelles ; Entre deux cours, à Laquenexy : 14 terrains de 65 m² en moyenne, à 14, soit 16 l are ; Aux Domaines de la Grange-aux-Ormes, à Marly, 36 parcelles ; Les Coteaux de la Gentière, à Saulny : 48 terrains de 55 m² en moyenne, à 111, soit 2 2 l are. 5 Le marché de l ancien Évolution du prix au m 2 des terrains à usage d habitation individuelle à Metz Métropole Source : Perval Les tailles de parcelles varient entre 5 et 7 ares. Féy propose des prix à l are «raisonnables» pour le secteur, sur des parcelles de taille modeste. Les prix des parcelles s élèvent en moyenne à 75. Laquenexy et Saulny, avec des prix à l are et des surfaces différentes, proposent finalement des prix à la parcelle similaires, de l ordre de 1 /11 : des terrains plus grands mais moins chers à l are à Laquenexy, contre des terrains plus petits mais plus chers à l are Saulny. Ces prix sont élevés, mais plus raisonnables que les récents lotissements de Chieulles et Marly (parcelles à plus de 13 ). Les tailles des parcelles se réduisent en effet progressivement. Il n était pas rare, il a encore quelques années, de trouver des tailles moyennes autour de 8 ares. Il faut désormais veiller à contenir les prix à l are, pour ne pas perdre tout le bénéfice de cette tendance. Concernant l ensemble des terrains à usage d habitation (source Perval), la hausse des prix constatée depuis 21 atteint 97 %, pour atteindre une moyenne de 15 /are en 212. Après un léger tassement en 29, les prix de vente sont repartis à la hausse, atteignant ou dépassant les niveaux atteints en 28, notamment pour les appartements. 2 Évolution des prix des appartements et des maisons - base 1 en Source : Perval Appartements Maisons Maison ancienne à Metz, quartier de Plantières- Queuleu / DÉCEMBRE 213 9

10 Prix moyen pour un appartement dans l ancien en 212 dans la CA de Metz Métropole : 1 95 /m 2 : + 81 % depuis 2 SCoTAM : 1 88 /m 2, + 81 % depuis 2 Ces prix élevés engendrent un effet d éviction : plus de la moitié des acquéreurs sont cadres supérieurs ou cadres moyens, contre 16 % d employés, et 9 % d ouvriers, alors même qu ils composent respectivement 31 % et 19 % des actifs. En se concentrant uniquement sur les acquéreurs actifs et pour lesquels la profession est effectivement renseignée, les résultats paraissent encore plus discriminants : les cadres moyens et supérieurs atteignent alors 62 % des acheteurs. 35 % des acquéreurs ont moins de 35 ans. C est sur le plateau -secteur le plus accessible- que l on trouve la plus forte proportion de moins de 35 ans (42 %), et dans les secteurs résidentiels sud et sur les coteaux que leur proportion est la plus faible (27% et 25%). Ces éléments sont souvent fortement liés aux prix des biens proposés, ainsi qu à leur typologie. Prix moyen pour une maison dans l ancien en 212 dans la CA de Metz Métropole : 252 : + 61 % depuis 2 71 % des acquéreurs proviennent de l agglomération, 9 % du reste du SCoTAM, et 4 % du SCoTAT. 7 % viennent de la France hors Moselle et Meurthe-et-Moselle, et 1 % seulement de l étranger (dont la moitié du Luxembourg). SCoTAM : 22 /m 2, + 62 % depuis 2 Origine des acquéreurs Metz Métropole 71% Reste SCoTAM 9% SCoTAT 4% Reste Moselle 4% Meurthe-et-Moselle 4% Reste France 7% Etranger 1% 1 DÉCEMBRE 213 /

11 Répartition des acquéreurs de 2 à 212 à Metz Métropole Un marché immobilier toujours peu accessible en 213 La durée des prêts immobiliers à l accession diminue régulièrement depuis 6 ans : 46 % des prêts sont supérieurs à 2 ans au deuxième trimestre 213, contre 63 % en 27. Le retrait de la clientèle de primo-accédants, au profit des secundo-accédants, induit des durées de prêts plus courtes (conditions du PTZ+ plus restreintes dans le neuf, et arrêt dans l ancien). Malgré tout, après avoir augmenté en 212, l apport personnel est en recul depuis le début de l année 213, expliqué par la faiblesse des taux d intérêt. Les ménages les plus jeunes et les plus modestes ont de plus en plus de difficultés à entrer sur le marché de l accession à la propriété. En septembre 213, le total des prêts immobiliers accordés avait augmenté de 4,8 % (en année glissante), après une forte baisse en 212. I Marché du neuf : Coûts relatifs d une opération en années de revenus : 4,66 ans en septembre 213 ( niveau équivalent à 27 Evolution des prêts accordés : - 5,5 % sur un an, en septembre 212 (en année glissante) I Marché de l ancien : Coûts relatifs d une opération en années de revenus : 4,5 ans (proche des niveaux atteints en 27 et 211) Evolution des prêts accordés : +3,3 % sur un an, en septembre 212 (en année glissante) Agriculteur exploitant% Inactifs 2% Retraités 7% Ouvriers 9% moins de 25 ans 4% Inconnu 7% 65 ans et plus 5% ans 99% Inconnu 9% - Coteaux : 5% - Woippy : 18% - Plateau : 16% - Metz : 9% Employés 16% Un tiers des acquéreurs âgés de moins de 35 ans ans 18% Artisans/commerçants 6% 6 Cadres sup 23% - Coteaux : 28% - Sud : 27% - Plateau : 13% - Metz : 21% Cadres intermédiaires 28% ans 31% - Plateau : 39% - Coteaux : 23% - Sud : 26% - Metz : 33% ans 26% Source : Perval 6 Un tiers de logements locatifs privés Prix pratiqués sur le marché locatif Typologie Prix au m 2 T1 12 (-1,8 %) T2 9,5 (+,1 %) T3 8,4 (+1,9 %) T4 7,4 (+,1 %) T5 7,5 (-1,8 %) Ensemble 9,1 ( %) Propriétaires occupants 43% CA de Thionville Portes de France : 9,5 / m² (+,4%) Communauté Urbaine du Grand Nancy : 1,6 / m² (+1,8%) Statuts d occupation des ménages de Metz Métropole en 211 autres 2% Locataires parc aidé 23% Locataires parc privé 32% Source : CLAMEUR Source : Filocom 211 > 31 logements composent le parc locatif privé de Metz Métropole, soit 32 % du parc des résidences principales (contre 31 % en 1999). CC du Sillon Mosellan : 24 % du parc en 29, contre 23 % en 1999 CCPOM : 22 % du parc en 29, contre 2 % en 1999 > 8 % des ménages occupants sont constitués de 1 ou 2 personnes (6 % pour l ensemble des résidences principales), contre 71% en CC du Sillon Mosellan : 74 % de petits ménages CCPOM : 71% de petits ménages Metz Métropole est légèrement plus abordable que les autres agglomérations du Sillon Lorrain, avec une moyenne de 9,1 /m². Sur la ville centre, le loyer moyen est très légèrement supérieur, avec une moyenne de 9,2 /m². Montigny-lès-Metz se situe à 9,1 /m². / DÉCEMBRE

12 7 Des revenus segmentés Le revenu médian de la CA de Metz Métropole est évalué à 1616 par mois et par unité de consommation, tous types de ménages confondus, contre 1628 pour l aire urbaine de Metz, et 162 pour la France Métropolitaine. Les revenus diffèrent fortement en fonction de la taille du ménage, du statut d occupation et de l âge de la personne de référence. Unité de consommation Système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre du ménage et permettant de comparer les niveaux de vie de ménages de tailles ou de compositions différentes. Avec cette pondération, le nombre de personnes est ramené à un nombre d unités de consommation (UC). On retient ainsi la pondération suivante : - 1 UC pour le premier adulte du ménage ; -,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus ; -,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Type de public Metz Métropole Aire Urbaine de Metz France Métropolitaine CU du Grand Nancy CA Portes de France Thionville Locataire du parc social Locataire du parc privé Ménage de 4 personnes Personne seule Moins de 3 ans Tous types de ménages Source : Insee, statistiques locales 211 Source : Insee, statistiques locales 211 Postulats : - Emprunt sur 25 ans - Frais notariés à 7 % dans l ancien, 3 % dans le neuf - Taux à 3,8 % - Assurance incluse - PTZ+ pour les logements neufs - Loyer ou mensualité à rembourser supérieurs ou égaux à 3% des revenus du ménage - Apport personnel de 1% I Quelles possibilités pour une personne seule (revenu médian de 1 48 par mois)? Louer un F1 ou F2 dans l ancien ; Acquérir un bien d une valeur de 8 sur 25 ans (un T1 dans l ancien) I Quelles possibilités pour un ménage de 4 personnes (revenu médian de 3 52 par mois)*? Louer un grand logement (T4/T5/maison) ; Acquérir un bien d une valeur de 194 dans l ancien ou de 25 / 29 dans le neuf à l aide d un PTZ +. I Que peut acheter un ménage de 3 personnes locataire du parc privé (revenu médian de 2 66 par mois)*? Acquérir un bien d une valeur de 145 dans l ancien ; 16 dans le neuf à l aide d un PTZ +. I Que peut acheter un ménage locataire du parc public (revenu médian de 1 58 par mois)*? Acquérir un bien d une valeur de 85 dans l ancien (T1 ou T2 avec travaux, ne répondant pas aux besoins du ménage) ; Offre inexistante dans le neuf (biens commercialisés à 95 ). I Quelles possibilités pour un ménage de 2 personnes de moins de 3 ans (revenu médian de par mois)*? Louer un F1 ou F2 ; Acquérir un bien d une valeur de 1 dans l ancien ou de 113 dans le neuf, à l aide d un PTZ +. * Simulations de revenus réalisées à partir de calcul de la pondération par unité de consommation pour les revenus, et à l aide de l outil de simulation de l ANIL pour les diagnostics financiers. 12 DÉCEMBRE 213 /

13 TABLEAU DE BORD habitat de la Communauté d Agglomération de METZ MÉTROPOLE 8 Des besoins en offre sociale fortement présents Poids des ménages très modestes > 28 % de ménages éligibles au PLAI (27% sur le SCoTAM / 3% en France métropolitaine) > 54 % de ménages éligibles au PLUS (55% sur le SCoTAM / 6% en France métropolitaine) Les ménages très modestes : plus d un tiers logés au sein du parc privé autres 7% Propriétaires occupants 18% Locataires HLM 44% Locataires privés 37% Source : Filocom 211 Poids des ménages modestes > Les ménages éligibles au PLAI - 18% sont propriétaires occupants (27% sur le SCoTAM ) - 37% sont locataires du parc privé (34% sur le SCoTAM ) Logements Batigère à Metz, quartier du Sablon / DÉCEMBRE

14 > Les ménages allocataires CAF 3 5 ménages ont perçu une allocation logement de la CAF en 212, ce qui correspond à 31% des ménages de Metz Métropole. Ils se répartissent ainsi (répartition identique à 211) : 61 % de personnes seules 16 % de familles monoparentales 8 % de couples sans enfants 16 % de couples avec enfants Une famille monoparentale sur deux serait bénéficiaire d une aide au logement en 212. Cœur de l offre sociale Poids des ménages très modestes chez les locataires du parc privé Source : Filocom 211 > Les locataires du parc privé 35% des locataires du parc privé sont éligibles au PLAi (34% sur le SCoTAM ) 67% des locataires du parc privésont éligibles au PLUS (65% sur le SCoTAM) Les différents financements sociaux Il existe trois catégories de financements dans le domaine du logement social, correspondant chacun à des plafonds de ressources différents : Le PLA-I (Prêt Locatif Aidé d Intégration), est destiné aux ménages cumulant difficultés économiques et difficultés d adaptation sociale et qui, de ce fait, se trouvent exclus des filières classiques d attribution de logement. Le PLUS (Prêt Locatif à Usage Social), correspond au logement social «standard». Il constitue le cœur de l offre sociale actuelle. Le PLS (Prêt Locatif Social), correspond au logement social «haut de gamme». En ce sens, il s adresse aux familles à revenus dits «intermédiaires» et ne relève pas du cœur de l offre de logements sociaux à proprement parler. Plafonds de ressources pour l éligibilité au logement social : Catégorie de ménages PLAI PLUS PLS 1 personne personnes personnes personnes personnes personnes Par pers. suppl Source : Ministère du Logement 14 DÉCEMBRE 213 /

15 9 Le parc social : photographie du parc et production neuve > logements constituent le parc social de Metz Métropole en 212 (source RPLS), soit 23,2 % des résidences principales (18,5 % sur le SCo- TAM) : 22 % du parc social a été construit après 199, 38 % entre 197 et 199, et 4 % avant les années 197 SCoTAM : respectivement 23%, 43%, et 35% / France métropolitaine : respectivement 27%, 37%, et 36%. 9 % de l offre se localise dans le tryptique Metz, Montigny-lès- Metz, et Woippy (63 % de l offre à Metz) ; Le turn over est de 12,6 % (part des ménages arrivés au cours de l année écoulée). Il est très variable d une commune à l autre : 13,3 % à Metz, 33 % au Ban-Saint-Martin (en raison du mouvement important au sein du parc de la SNI). Le turn over est de 11,7 % dans le SCoTAM, et 1,1 % en France métropolitaine. 37 % des ménages occupent leur logement social depuis moins de 5 ans, en France métropolitaine, et 22% l occupent depuis plus de 2 ans (21 % en France métropolitaine). La vacance s élève à 3,7 % en 212, contre 3,5 % dans le SCoTAM, et 3,2 % à l échelle de la France Métropolitaine. Répartition du parc social de la CA de Metz Métropole en 212 > Des ménages occupants plus petits et plus âgés 63% des ménages du parc sont composés de une à deux personnes en 211, contre 55 % en % des ménages comptent cinq personnes et plus en 211, contre 14 % en SCoTAM : 1 % - France : 11 % La population au sein du parc vieillit, ce qui explique en partie le poids des petits ménages : 11% de ménages de plus de 75 ans en 211, contre 8 % en 1999 SCoTAM : 12% Age des occupants du parc social : inconnu 7% 75 ans et plus 11% 6-74 ans 15% moins de 25 ans 1% ans 27% 4-59 ans 39% Source : Filocom 211 / DÉCEMBRE

16 > Une déconnexion entre typologies proposées dans le parc social, et la typologie des logements demandés : Poids du parc social en 21 par quartier 21 % de T1/T2 au sein du parc social, contre 45 % de T1/T2 dans les demandes 45 % de T4 et plus au sein du parc social, contre 25 % de T4 et plus dans les demandes > Environ 24 logements sociaux classiques ont été financés depuis 22, ce qui établit la moyenne à près de 22 logements par an : 57,2 % de PLUS 3,2 % de PLS 12,6 % de PLAI 51 % de l offre nouvelle est concentrée à Metz, 11 % à Woippy, et 7 % à Montigny-lès-Metz. Sur cette période, Metz Métropole contribue à hauteur de 56 % de l offre nouvelle du SCoTAM, alors qu elle constitue 76 % de l offre sociale existante. En 212, en revanche, Metz Métropole concentre 7 % des nouveaux agréments du SCoTAM. > Une offre sociale en progression : plus de 5 financements classiques en nouveaux logements aidés ordinaires (hors offre spécialisée, et hors reconstitution de l offre ANRU) ont été financés en 212. Les financements PLUS dominent largement les agréments (298 logements), suivis par les PLS (12 logements), puis par les PLAI (84 logements). Les PLS proviennent parfois de bailleurs privés (Woippy, Gravelotte), mais aussi de bailleurs plus traditionnels (Moselis à Queuleu, Vilogia dans l opération de l ancienne manufacture de tabac à Metz). Près de la moitié se situent à Metz (6 % en PLUS, 14 % en PLAI, et 26 % en PLS), mais on note une part importante à Marly (près de 1 logements), dans la ZAC Paul Joly, tous en PLUS ou PLAI. Ils contribueront à la diminution du déficit SRU de la commune. Woippy (64 % de logements sociaux au sens de la loi SRU) arrive en troisième position avec 5 nouveaux logements aidés, mais la plupart en PLS. Plusieurs opérations importantes se développent sur certaines communes périurbaines, qui ont peu étendu leur parc social au cours de la décennie : Amanvillers : 18 logements Lorry-lès-Metz : 23 logements Scy-Chazelles (qui possède cependant un parc relativement important) : 2 logements Gravelotte : 1 logements Augny : 7 logements en 212, 16 en 211, et 11 en projets (Vilogia et Logiest) Hormis l opération de Gravelotte, émanant d un bailleur privé (opération «Le Clos du Haras», de Blue Habitat), ces opérations périurbaines sont dominées par les financements PLUS et PLAI. Typologie de l offre et de la demande dans le parc social de Metz Métropole 35% 3% 25% 2% 15% 1% 5% T1 T2 T3 T4 T5 T6 ou + Typologie du parc social Typologie de la demande Une évolution très positive des financements en logement social sur le territoire de la CA de Metz Métropole PLS PLUS PLAI Objectif PLH Source : Numéro unique Source : DDT Moselle 16 DÉCEMBRE 213 /

17 Le développement du parc locatif social de Metz Métropole en 212 Opération Logiest à Metz, quartier Devant-les-Ponts Année 212 Reste de Reste Metz de Métropole la CAMM : 46 Metz : 243 Scy-Chazelles : 2 Montigny-lès-Metz : 22 Lorry-lès-Metz : 23 Woippy : 5 Le développement du parc locatif social de Metz, Woippy et Montigny-lès-Metz en 212 Marly : 98 Source : DDT Moselle % 6% 5% 4% 3% 2% 1% Marly Woippy Metz Part de Metz Reste de Metz la CAMM Métropole Ars-sur-Moselle Le Ban Saint-Martin Montigny-lès-Metz Source : DDT Moselle / DÉCEMBRE

18 L objectif quantitatif du PLH, qui s élève à 36 logements aidés financés par an, est largement atteint pour la deuxième année consécutive : 438 logements aidés classiques financés en logements aidés classiques financés en 212 Au-delà de l aspect purement quantitatif, les objectifs qualitatifs en termes de types de financements sont atteints également : PLAI : Objectif PLH : 9 logements / an Financements 211 : 11 logements Financements 212 : 84 logements PLUS : Objectif PLH : 21 logements / an Financements 211 : 277 logements Financements 212 : 298 logements PLS : Objectif PLH : 6 logements / an Financements 211 : 6 logements Financements 212 : 12 logements PLS PLUS PLAI Les objectifs du PLH en matière de financements de logements aidés atteints Une diminution régulière du déficit SRU Source : DDT Moselle 38 2 > L application de l article 55 de la loi SRU Sont concernées par l article 55 de la loi SRU, les communes dont la population est au moins égale à 1 5 habitants en Ile de France et 3 5 habitants dans les autres régions, qui sont comprises, au sens du Recensement de la Population, dans une agglomération de plus de 5 habitants comptant au moins une commune de plus de 15 habitants et dans lesquelles, le nombre total de logements locatifs sociaux représente au 1 er janvier de l année précédente, moins de 2% des résidences principales. Ce déficit SRU diminue régulièrement à l échelle de l agglomération messine, pour atteindre 38 logements manquants au dernier inventaire. En 212, 3 communes de l agglomération demeurent concernées par l article 55 de la loi SRU : Longeville-lès-Metz : 161 logements manquants. Marly : 176 logements manquants (en forte baisse depuis 25). Le parc social y poursuit son développement. Moulins-lès-Metz : 43 logements manquants. Certaines difficultés pourraient expliquer partiellement la difficulté à développer ce type d habitat, comme l absence de réserves foncières, ou encore un marché immobilier subi par les communes, peu contrôlé malgré les outils de planification existants Ars-sur-Moselle Le Ban Saint-Martin Longeville-lès-Metz Marly Moulins-lès-Metz Source : DDT Moselle Sur la même période, près de 8 places en foyers ou résidences spécifiques ont été financées, le plus souvent en PLS : 443 places en établissements pour personnes âgées (toutes en PLS) 288 en résidences étudiantes (27 en PLS, 81 en PLUS) 21 en foyers pour handicapés (en PLS) 15 places en foyers de la fondation Abbé Pierre (en PLAI) Ces places se répartissent essentiellement à Metz (6 %), puis à Woippy (15 %), Vantoux (8 %), Cuvry (7 %), Montigny-lès-Metz (6%), et Moulins-lès-Metz (4%). Opération Metz Habitat Territoire rue Joseph Hénot à Metz, quartier de Plantières-Queuleu 18 DÉCEMBRE 213 /

19 1 Le logement spécifique Plusieurs types d établissements spécialisés, à destination de publics spécifiques ou en difficulté sont présents sur le territoire de Metz Métropole. Ils se répartissent entre hébergement et logements temporaire. > L hébergement d urgence et d insertion : CADA (Centre d Accueil pour Demandeurs d Asile) et pôle asile : près de 38 places réparties dans deux structures (Résidence Mazelle et pôle Asile AIEM). Les CADA accueillent les personnes pendant la durée d instruction de leur dossier de demande d asile par l office français d accueil pour les réfugiés. Le CADA est assimilé au régime des centres d hébergement et de réinsertion sociale. CHRS (Centre d Hébergement et de Réinsertion Sociale) : plus de 4 places réparties dans neuf centres. Les CHRS proposent une prise en charge individualisée et globale de toute personne ou famille en détresse, sous condition de l établissement préalable d un «projet d insertion». Ce projet doit être accepté par la personne recueillie. L accompagnement social, plus ou moins lourd selon les besoins de la personne, est assuré par une équipe pluridisciplinaire : travailleurs sociaux, psychologues, Il a pour objectif d aider les personnes ou familles accueillies à accéder ou recouvrer leur autonomie personnelle et sociale. Cet accompagnement social est proposé avec ou sans hébergement. Centre d Accueil Mère-Enfant : 33 places réparties dans deux établissements. Un autre établissement rassemble également 8 places (Labri AIEM). > Le logement temporaire Foyers des jeunes travailleurs : 9 établissements et 94 places (inclus le foyer Philippe Colson de Montigny-lès-Metz) Les foyers d hébergement pour jeunes travailleurs sont ouverts aux jeunes de moins de 3 ans, ou ne comportent parfois pas de limite d âge. Ils ne sont accessibles qu aux personnes ayant un projet professionnel ou un projet de formation. Foyers de travailleurs migrants : 5 établissements et 773 places Les foyers de travailleurs migrants ont initialement été créés pour loger les travailleurs immigrés vivant seuls en France, mais pouvant avoir une famille dans leur pays d origine. Ces critères ont évolué et ces structures accueillent également aujourd hui des français célibataires ou éloignés de leur résidence principale par des obligations professionnelles. Les résidents ont un contrat de résidence d un mois renouvelable tacitement sans limitation de durée. A terme, les foyers de travailleurs migrants ont vocation à devenir des résidences sociales. Résidences sociales : 4 établissements et 435 places Les résidences sociales sont des structures d hébergement collectif de type logement-foyer : chambres ou logements individuels, avec des espaces et services collectifs facultatifs (restauration, blanchisserie, salle de réunion, ). Les personnes ou ménages qui y sont accueillis ont un statut de résident et disposent d un titre d occupation (ils signent un contrat d une durée d un mois renouvelable). La durée d occupation ne doit pas en principe excéder deux ans. Ces structures collectives sont adaptées à des personnes ou familles éprouvant des difficultés particulières pour accéder à un logement décent ou indépendant, ou pour s y maintenir, notamment, les personnes ou familles expulsées de leur logement, sans solution de relogement. Les résidents acquittent une redevance. En tant que modalité particulière du logement meublé, l accès à ce type de structure est soumis à un plafond de ressources. Les résidents acquittent une redevance. Maisons relais : 3 établissements et 51 places Les maisons relais représentent une variété de résidences sociales. Ce dispositif généralise une expérimentation lancée en 1998 d une vingtaine de «pensions de famille», qui vont prendre le nom de «maisons-relais». La durée d hébergement peut y être plus longue que dans une résidence sociale : ces structures sont destinées à accueillir des personnes qui, compte tenu de leur isolement affectif, psychologique ou social, ne peuvent vivre en logement ordinaire, sans qu elles aient besoin d une prise en charge particulière. Ce type d offre s inscrit dans une logique d habitat durable. Ce sont de petites structures communautaires qui regroupent au plus une vingtaine de logements (studios), avec quelques espaces collectifs (repas, loisirs, ) permettant de développer un lien social. Elles se caractérisent par la souplesse de l encadrement. Les publics accueillis sont diversifiés, de tous âges et de toutes origines. Ces structures conviennent à des personnes seules disposant de faibles ressources, pour qui tout projet d insertion s avère vain, et souhaitant se soustraire à un isolement social et/ou affectif, en bénéficiant d une ambiance collective, avec des services à leur disposition. Un accompagnement social spécifique, mais léger, est proposé, axé sur la convivialité et l intégration des locataires dans leur environnement social. Foyer des Frères Fournel à Metz Source : AMLI / DÉCEMBRE

20 11 Un parc de logements en voie constante d amélioration > Une vacance élevée, en hausse constante depuis 1999 : 6,2 % en 1999 (672 logements) > 6,3 % en 26 (6651 logements) > 8,6 % en 21 (9329 logements / source Insee) SCoTAM : 7,8 % en 21 France Métropolitaine : 7,1 % en 21 La vacance structurelle en 211 dans la CA de Metz Métropole Les taux varient de 1,6 % à Pournoy-la-Chétive à plus de 1 % à Metz, Longeville-lès-Metz, et Saint-Privat-la-Montagne. Au-delà de l aspect quantitatif donné par l Insee, le fichier Filocom permet de mieux qualifier la vacance, même si son mode de calcul la surestime légèrement (un logement est vacant au sens de Filocom lorsqu il est inhabité au 1er janvier de l année en cours, c est-à-dire lorsqu il n y a pas de taxe d habitation perçue). La vacance structurelle (supérieure à 2 ans) s élève à 3,3 % en 211. Cette part est relativement élevée. Elle atteint également 3,3 % dans la CCPOM, 2,4 % dans la CC du Sillon Mosellan, et 3,1 % dans le SCoTAM. 38 % du parc vacant est daté d avant 1948, contre 24 % de l ensemble du parc de logements de l EPCI. A l inverse, les périodes les plus récentes sont moins représentées dans le parc vacant : 47 % du parc vacant date d après 1968, contre 55 % de l ensemble des logements. Dans le SCoTAM, la part de parc édifié avant 1948 au sein du parc vacant est de 4 %, contre 26 % dans l ensemble du parc. Les petits logements sont surreprésentés au sein du parc vacant. La rotation au sein du parc y est également beaucoup plus élevée, ce qui explique les périodes de vacance plus fréquentes. Des outils opérationnels ont été mis en place, afin de contribuer à réduire cette vacance : le PIG de lutte contre le logement indigne a été initié en 29 par la ville de Metz, puis engagé par Metz Métropole. Par ailleurs, la ville de Metz propose depuis février 212 la prise en charge de la GRL (Garantie des Risques Locatifs) des propriétaires de logements vacants, afin de favoriser la remise sur le marché d une partie du parc. Cependant les propriétaires privés restent frileux face à ce dispositif, puisque 12 dossiers ont été passés depuis son lancement. La vacance en 21 à Metz, Woippy et Montigny-lès-Metz 2 DÉCEMBRE 213 /

21 > Un parc dégradé faible, et en baisse Le PPPI (Parc Privé Potentiellement Indigne) est en baisse depuis 23. Ils seraient près de 2 logements en 21, soit 2,8 % du parc privé, contre 6,2 % pour la CCPOM, 3,5 % sur le Sillon Mosellan, et 3,7 % sur la Moselle. En 27, on dénombrait 23 logements en PPPI, et 2163 en % des PPPI en individuel, et 84 % en collectif, dont 34 en copropriété de plus de 2 logements 23 % du PPPI chez les propriétaires occupants 4,8 % du parc locatif privé classé en PPPI 28 % de ménages de plus de 6 ans, dont 48 % de propriétaires occupants 54 % de personnes seules En 212, 74 logements ont été réhabilités via une aide de l Anah et de Metz Métropole : 55 logements de propriétaires occupants, et 19 logements locatifs qui ont été conventionnés (conventionnement social). Sur les 55 logements de propriétaires occupants, 29 ont bénéficié de l Aide de Solidarité Ecologique (dossiers «Habiter Mieux»), et 11 logements ont été adaptés à la perte d autonomie. Parc privé potentiellement indigne (PPPI) Indicateur statistique qui constitue un instrument de prérepérage du parc privé de mauvaise qualité. Le volume et la densité de PPPI permettent de hiérarchiser les besoins et les priorités des territoires avant d approfondir le diagnostic par un travail de repérage plus poussé. Le calcul du PPPI repose sur le croisement de données concernant l état des logements du parc privé (estimé à partir du classement cadastral) et les revenus de ses occupants par rapport au seuil de pauvreté. Il correspond ainsi à la somme des résidences principales privées de catégorie 6 (qualité «courante»), occupées par un ménage au revenu inférieur à 7% du seuil de pauvreté, et des résidences principales privées de catégories 7 et 8 (qualité «médiocre» à «très médiocre»), occupées par un ménage au revenu inférieur à 15% du seuil de pauvreté. Le Programme Habiter Mieux Initié en juin 211 par l Anah, le programme Habiter Mieux vise à améliorer les performances énergétiques du parc de logements de plus de 15 ans. Initialement réservé aux propriétaires occupants modestes et très modestes (ressources définies par l Anah), il s est élargi aux propriétaires bailleurs depuis le 1er juin 213. De même, les plafonds de ressources ont été réévalués, afin d élargir le dispositif à plus de ménages. Pour être éligible au dispositif habiter mieux, et bénéficier ainsi de l ASE (Aide de Solidarité Ecologique), les travaux doivent permettre un gain énergétique de 25 % pour les propriétaires occupants, et de 35 % pour les propriétaires bailleurs, auxquels s ajoute l obligation de conventionner son logement (loyer et ressources du locataire soumis à des plafonds). Pour les propriétaires occupants, les subventions varient de 35 % à 5 % HT en fonction des ressources (travaux plafonnées à 2 ). Pour les propriétaires bailleurs, elles atteignent 25 % du montant des travaux HT (travaux plafonnés à 75 /m²). Une aide supplémentaire forfaitaire s ajoute pour chaque logement (3 pour les propriétaires occupants, 2 pour les propriétaires bailleurs). Elle peut être majorée dans la limite de 5, si une collectivité locale participe à cette opération exceptionnelle, à l image de Metz Métropole et la ville de Metz. Logements aidés par l ANAH > Depuis 24, plus de 233 logements ont été réhabilités via l aide de l Agence Nationale de l Habitat : 18 propriétaires occupants 1255 propriétaires bailleurs Près de 26 logements réhabilités par an en moyenne Environ 3,1 % des résidences principales relevant du privé (locatif privé et propriétaires occupants) ont bénéficié d une subvention de l Anah depuis 24 (4% dans le SCoTAM). / DÉCEMBRE

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