Une opération ambitieuse : le retour au bon état écologique de la rivière et des milieux aquatiques associés (zones humides, plans d eau )

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1 Une opération ambitieuse : le retour au bon état écologique de la rivière et des milieux aquatiques associés (zones humides, plans d eau ) LES CHIFFRES CLÉS surface de ha dont 70 % à vocation agricole près de 700 sièges d exploitation agricole (87 installations entre 2002 et 2007) production annuelle d effluents d élevage avant traitement des déjections animales : tonnes de phosphore tonnes d azote un taux de résorption des excédents de déjections animales très important (plus de 85 %) disparition de plus de 50 % des surfaces en herbe (entre 1979 et 2006) 26 communes et habitants concernés 27 stations d assainissement collectif (une capacité équivalente au rejet de habitants dont pour Lamballe et ses parcs d activités) parc d assainissements individuels de près de équivalents habitants (dont 20 % classés non-conformes) estimation des rejets domestiques et industriels : - directs au milieu : 13,5 tonnes de phosphore/an et 50,4 tonnes d azote/an - via les épandages de boues : maximum de 30 tonnes de phosphore/an RECONQUÊTE DES MILIEUX AQUATIQUES POUR FAVORISER LEUR VIE NATURELLE Rive de l Évron Rejet de lagune MAÎTRISE DES POLLUTIONS GÉNÉRÉES PAR LES ACTIVITÉS HUMAINES POUR UNE BONNE QUALITÉ DE L EAU

2 Reconquête des milieux aquatiques Plantation de haie Zone humide RÉGULARISATION DES DÉBITS PAR UNE MEILLEURE GESTION DES ÉCOULEMENTS LORS DES ÉPISODES PLUVIEUX ACTIONS RECONSTITUTION DU BOCAGE PRÉSERVATION DES ZONES HUMIDES (rurales et périurbaines) GESTION DES EAUX PLUVIALES (limiter les impacts sur le débit de la rivière, les effets néfastes des eaux parasites sur le circuit d assainissement) AMÉNAGEMENT OU SUPPRESSION DES OBSTACLES (barrages, déversoirs, buses ) ACTEURS AGRICULTEURS ET COLLECTIVITÉS COLLECTIVITÉS Obstacle à la migration piscicole Abreuvement direct au cours d eau PRÉSERVER ET DÉVELOPPER DES HABITATS NATURELS ACTIONS RESTAURATION ET DIVERSIFICATION DE LA VÉGÉTATION DES BERGES (lutte contre les espèces indésirables, entretien des berges par une intervention plutôt régulière et douce sur la végétation, aménagement des abreuvoirs) ACTEURS TOUS LES RIVERAINS : AGRICULTEURS, COLLECTIVITÉS ET PARTICULIERS RESTAURATION ET RECONQUÊTE DES ZONES HUMIDES ET DE LEUR BIODIVERSITÉ (faune et flore) AGRICULTEURS ET COLLECTIVITÉS

3 Réduire les pollutions En lien avec les exigences du SAGE de la baie de Saint-Brieuc et du Grenelle de l Environnement. Couvert hivernal implanté sous le maïs LES NITRATES Limiter les risques de fuites de nitrates depuis la parcelle vers les cours d eau : - réduction des apports d azote chimique et organique - couverture végétale des sols efficace en hiver - préservation des zones humides et de leur fonction épuratrice - adoption de pratiques moins intensives en zones plus vulnérables LE PHOSPHORE (ORIGINES DOMESTIQUES, INDUSTRIELLES ET AGRICOLES) Lagune Érosion des sols Limiter les risques de fuites : au niveau des rejets d eaux usées : - collecte, traitement et limitation des rejets en étiage - limitation des produits d entretien industriels et domestiques, à base de phosphates et phosphonates NB : Ces efforts auront également un impact sur la qualité bactérienne de l eau de la baie de Saint-Brieuc pour la baignade et la conchyliculture. au niveau agricole : - lutte contre l érosion des sols par la reconstitution du bocage et la couverture des sols en hiver par les cultures - réduction des apports de phosphore sur les terres agricoles Désherbeur thermique à mousse LES PESTICIDES (ORIGINES DOMESTIQUES, INDUSTRIELLES ET AGRICOLES) Limiter leurs usages sur les surfaces à risque élevé de transfert vers les cours d eau, lors des traitements des espaces publics, des jardins privés et des cultures grâce aux techniques alternatives.

4 Les pesticides Ce sont des biocides, soit des «TUEURS de VIE». DANGER Poisons destinés à combattre les ennemis des cultures (maladies, parasites animaux, végétaux indésirables ), ils sont nocifs et toxiques pour la santé et dangereux pour l environnement. Autres noms donnés aux pesticides : produits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils passent dans le sang et s accumulent dans le corps selon 3 modes de contamination : Par les pores de la peau et les muqueuses Par les voies respiratoires RISQUES POUR LA SANTÉ Par la voie digestive Soyez vigilant et évitez les produits comportant sur les étiquettes les symboles : Irritant Nocif Attention, l absence de symbole de risque n est pas une garantie d absence de dangerosité Ils nécessitent une protection complète de l utilisateur. Plus insidieusement, ils s accumulent dans notre organisme lors de l ingestion des fruits et légumes qui ont subi des traitements chimiques. Pour se protéger : - porter un masque à cartouche qui protège les voies respiratoires - porter des gants imperméables aux produits - mettre des lunettes enveloppantes ou une visière - porter des vêtements de travail imperméabilisés et réservés à l utilisation des produits phytosanitaires RISQUES POUR L ENVIRONNEMENT Amie du jardin MORT DES AUXILIAIRES UTILES AU JARDIN (INSECTES ET PETITS ANIMAUX) ET CONTAMINATION DE LA CHAÎNE ALIMENTAIRE Les pesticides vont se concentrer tout au long de la chaîne, au risque d entraîner la mort de chaque maillon. = est mangé par Ami du jardin POLLUTION DE L EAU On peut retrouver une matière active dans un cours d eau 6 mois après le traitement Il y a un risque de transfert des pesticides par la pluie vers la rivière (accru sur des surfaces imperméabilisées). Il suffit d un gramme de substances actives pour polluer 10 km de rivière. Ami du jardin Eau et Rivières de Bretagne POLLUTION DE L ATMOSPHÈRE Lors de la pulvérisation, 25 à 75 % des quantités appliquées contaminent l air, les brouillards et les pluies. Maison de la consommation et de l environnement

5 APPRENONS À VIVRE SANS PESTICIDE Des jardins au naturel Les particuliers consomment 3 % des pesticides utilisés mais à dosage élevé et sur des surfaces à risque fort de transfert. Ils sont donc de gros contributeurs de pollution des eaux en produits herbicides (matière active : glyphosate). RÉDUISONS L UTILISATION DES HERBICIDES (destruction des mauvaises herbes) Attention : Le glyphosate, désherbant global, ne fait aucune distinction entre les plantes vraiment indésirables, les plantes sauvages qui peuvent avoir un intérêt floristique et nos plantes d ornement Biner ou arracher manuellement les herbes indésirables ne prend pas plus de temps que de traiter chimiquement Les bâches sont à éviter car elles nuisent à la vie biologique des sols. Des solutions existent pour : - lutter contre les mousses : apport de chaux en automne, scarification des pelouses au printemps, épandage de cendres directement sur la mousse, etc. - lutter contre les plantes indésirables : tonte haute de la pelouse, brûlage au gaz ou à l eau chaude des allées, paillage et/ou utilisation de couvre-sols dans les massifs, choix d outils adaptés, etc. RÉDUISONS L UTILISATION DES INSECTICIDES (destruction des insectes) ET DES FONGICIDES (destruction des champignons / moisissures) Des solutions existent pour : - lutter contre les insectes : bande de glue sur les arbres fruitiers, voiles anti-insectes dans le potager, utilisation de plantes protectrices provoquant la fuite des insectes (œillet d inde) ou servant de leurre (capucine à proximité de rosiers), utilisation de purin (fougère contre les pucerons) - lutter contre les maladies : utilisation de tisanes et de purins de plantes, choix des végétaux en fonction du climat et du sol, planter des haies variées, drainer le sol, l aérer et le fertiliser sans excès, etc. ILS SONT LÀ POUR VOUS CONSEILLER ET ÉVITER LES MAUVAISES PRATIQUES En adhérant à la charte «Jardiner au naturel, ça coule de source», les jardineries et magasins de coopérative du bassin versant nous garantissent des conseils appropriés aux problèmes rencontrés et nous proposent systématiquement une solution alternative aux substances dangereuses. N hésitez pas à les solliciter Maison de la consommation et de l environnement

6 APPRENONS À VIVRE SANS PESTICIDE Les collectivités s engagent En adhérant à la charte de désherbage des espaces (inter)communaux, les communes ou communautés de communes du bassin versant affichent leur volonté de faire évoluer leurs pratiques de désherbage en vue d une réduction de l usage des pesticides. Rappel règlementaire : Un arrêté préfectoral interdit tout traitement à moins d 1 mètre d un point d eau et à moins de 5 mètres de la rivière. LES PRINCIPES DE LA CHARTE Le niveau 1 : - utiliser des produits chimiques dans le respect de la réglementation et de la santé du personnel applicateur - prendre les précautions nécessaires pour limiter le transfert direct des pesticides vers le cours d eau Zone de fauche dans un parc public Le niveau 2 (en plus du niveau 1) : - développer les techniques de désherbage alternatives sur les zones à risque élevé de transfert selon les principes d action suivants : 1 éviter l enherbement grâce à des techniques préventives comme le paillage, les couvre-sols, etc. 2 réfléchir à la nécessité de traiter les zones où les techniques préventives ne peuvent pas être mises en place : développer un nouveau regard sur l enherbement et une tolérance à la végétation spontanée. 3 choisir quelle technique alternative curative mettre en œuvre sur les zones où l enherbement ne peut pas être toléré (en fonction des moyens de chaque collectivité). - absence de produits chimiques sur les sites des écoles et des crèches - prise en compte de l entretien dans les nouveaux aménagements urbains - information des habitants sur les pratiques de non traitement des zones communales et sensibilisation des jardiniers amateurs Fleurissement libre d une rue Le niveau 3 (en plus du niveau 2) : - absence de produits chimiques sur toutes les surfaces à risque élevé de transfert et si possible sur les surfaces à risque réduit - développement d une gestion durable en réduisant les engrais chimiques au profit des engrais verts (compost) Les niveaux 4 et 5 : Absence totale d herbicide puis d insecticide, de fongicide et d anti-mousse. PRINCIPAL OUTIL DE PILOTAGE DE LA CHARTE : LE PLAN DE DÉSHERBAGE ARBRE DE DÉCISION DU NIVEAU DE RISQUE ZONE À CLASSER proximité ou connexion à un point d eau, y compris drainage absence de proximité ou de connexion à un point d eau surface imperméable surface perméable risque élevé risque élevé risque réduit Légende avaloirs risque élevé risque réduit Détermination des zones à risque de transfert de substances dangereuses vers le cours d eau par ruissellement

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