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1 THEME 3A : LE MAINTIEN DE L INTEGRITE DE L ORGANISME : QUELQUES ASPECTS DE LA REACTION IMMUNITAIRE Eléments de correction 1. La réponse immunitaire dirigée contre un virus : fait intervenir l immunité innée uniquement. fait intervenir l immunité adaptative uniquement. s accompagne d une production d anticorps. 2. La liaison d un anticorps à son antigène : est non spécifique. s effectue par la partie variable des immunoglobulines. participe à l élimination de l antigène par les lymphocytes T cytotoxiques. forme un complexe immun insoluble. 3. Les anticorps : sont produits par les plasmocytes. sont libérés dans le sang quelques heures après l infection. peuvent se fixer aux phagocytes par l intermédiaire de leur partie constante. peuvent se fixer aux phagocytes par l intermédiaire de leur partie variable. 4. Les lymphocytes B : nécessitent les lymphocytes T CD8 pour se différencier. peuvent se différencier en plasmocytes. peuvent se différencier en lymphocytes T cytotoxiques. produisent des anticorps circulants. 5. Les lymphocytes T CD8 : s activent dès l entrée de l antigène libre dans l organisme. peuvent se différencier en plasmocytes. peuvent se différencier en lymphocytes T cytotoxiques. sont capables de reconnaitre un antigène à la surface d une cellule présentatrice de l antigène. 6. Les lymphocytes T auxiliaires : sont issus de la différenciation des lymphocytes T CD4. sont issus de la différenciation des lymphocytes T CD8. produisent de l interleukine 2 en grande quantité. produisent des anticorps circulants. 7. Les lymphocytes : sont présents chez tous les eucaryotes. sont sélectionnés pour ne pas réagir aux molécules de l organisme qui les possède. possèdent chacun une grande diversité de types de récepteurs à leur surface. possèdent un seul type de récepteur à leur surface. 8. Les anticorps : sont formés de 4 chaînes peptidiques identiques. sont formés de 2 chaînes peptidiques identiques. possèdent 2 parties variables capables de fixer un même antigène. possèdent 2 parties variables capables de fixer deux antigènes différents. 9. Le document : met en évidence la réponse immunitaire innée. met en évidence la réponse immunitaire adaptative. prouve que les lymphocytes B interviennent dans la réponse antivirale. 10. La réponse immunitaire antivirale : se déclenche 10 jours après l infection. met en jeu l immunité adaptative à voie humorale. met en jeu l immunité adaptative à voie cellulaire.

2 La première partie du document montre des expériences visant : à constater les conditions de rejet de greffe : les souris A ne sont pas compatibles avec les souris B greffon Greffon accepté à constater la vitesse de la réponse : les souris qui ont déjà été en contact de l antigène répondent plus vite à un second contact. 1 ère greffe 2 ème greffe Même souris La deuxième partie du document montre une série d expériences : 1 ère greffe 2 ème greffe Même souris 3 ème greffe Souris hyper-immunisées

3 Expérience 1 : Hypothèse : Cette expérience éprouve l hypothèse selon laquelle le sérum contient des éléments à l origine du rejet. En présence de ce sérum, le rejet devrait se faire plus rapidement. neuve neuve + serum SERUM Observations : Le greffon est rejeté, comme dans le cas du greffe sans injection de sérum. Interprétation : Il n y a pas eu de rejet plus rapide avec injection du sérum : l hypothèse est rejetée : le sérum ne contient aucun élément à l origine du rejet. Rappel = Le sérum ne contient que des molécules et ne contient plus de cellule. Expérience 2 : Hypothèse : Cette expérience éprouve l hypothèse selon laquelle les cellules sont à l origine du rejet. En présence de ces cellules, le rejet devrait se faire plus rapidement. neuve neuve + cellules Observations : Le greffon est rejeté, plus rapidement que dans le cas du greffe sans injection de sérum. Interprétation : Les cellules de la souris hyperimmunisée ont permis un rejet plus rapide du greffon.

4 neuve tuées neuve + cellules tuées Greffon toujours fonctionnel à 6 jours (ils seront rejetés à 11 jours) Observations : Le greffon n est pas rejeté. Interprétation : Il n y a pas eu de rejet plus rapide avec injection de souris tuées : il faut que les cellules soient vivantes pour que le rejet de la greffe soit plus rapide. neuve neuve + cellules Greffon toujours fonctionnel à 6 jours (ils seront rejetés à 11 jours) neuve Observations : Le greffon n est pas rejeté. Interprétation : Il n y a pas eu de rejet plus rapide avec injection de souris provenant de souris «neuves» : il faut que les cellules soient activées par un premier contact avec le greffon pour que le rejet de la greffe soit plus rapide. Conclusion : Le rejet de la greffe est dû à une action des cellules. La réponse est d autant plus rapide que l animal a déjà été au contact de l antigène.

5 THEME 3A : LE MAINTIEN DE L INTEGRITE DE L ORGANISME : QUELQUES ASPECTS DE LA REACTION IMMUNITAIRE Barème La réponse doit être : Pour cela, les critères de réussite sont : La problématique est clairement posée Conforme (raisonnement dans le cadre d un problème scientifique) Exacte Complète Pertinente (les éléments sont utilisés à bon escient en accord avec le sujet) Les hypothèses sous-tendant les expériences sont identifiées. Les résultats sont interprétés en référence avec des souris témoins. Les interprétations sont utilisées pour (in)valider les hypothèses. Une conclusion répond à la problématique : le rejet de greffe est dû à une action des cellules. Eléments scientifiques attendus : La première partie du document permet de constater les conditions du rejet de greffe : les souris A ne sont pas compatibles avec les souris B. La première partie du document permet de constater la vitesse de la réponse : les souris qui ont déjà été au contact de l antigène répondent plus vite à un second contact. L expérience 1 éprouve l hypothèse selon laquelle le sérum continent les éléments à l origine du rejet : son résultat invalide cette hypothèse. L expérience 2 éprouve l hypothèse selon laquelle les cellules sont à l origine du rejet : les résultats valident cette hypothèse. Barème par curseur : Démarche cohérente qui permet de répondre à la problématique Démarche maladroite et réponse partielle à la problématique Le raisonnement est cohérent et répond à la problématique e, intégrant et associant tous les éléments scientifiques issus des documents. Le raisonnement est cohérent et répond à la problématique en intégrant et associant de manière incomplète les éléments scientifiques issus des documents Ou Tous les éléments scientifiques issus des documents sont présents et reliés le plus souvent entre eux mais la réponse à la problématique est erronée ou partielle. Même s ils sont reliés entre eux, seuls quelques éléments scientifiques issus des documents sont cités Aucune démarche ou démarche incohérente Aucun lien et peu d éléments scientifiques prélevés. 0

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